Wikipédia:Sélection/Paléontologie (période géologique)
ArchéenL’Archéen est un éon de l’échelle des temps géologiques, subdivisé en quatre ères. Il suit l’Hadéen et précède le Protérozoïque, tous trois étant regroupés sous le vocable de Précambrien (les 86 premiers pour cent de l’existence de la Terre). Son origine, traditionnellement placée à −3 800 Ma, est aujourd'hui fixée à −4 000 Ma par la Commission internationale de stratigraphie. L’Archéen commence en fait avec l’apparition certaine de la vie sur Terre : ce point de départ étant imprécis et faisant l’objet de nombreuses recherches par les spécialistes des origines de la vie, le début de l’Archéen restera sans doute une convention encore quelque temps. Lire l’article |
CambrienLe Cambrien, qui s'étend de −541 ± 1,0 à −485,4 ± 1,9 millions d'années, est la première, et la plus ancienne, des six périodes géologiques du Paléozoïque. Cette période succède à l'Édiacarien et précède l'Ordovicien. Le Cambrien est le seul système n'ayant pas encore de biostratigraphie complètement établie à l'échelle mondiale à cause du fort endémisme de la faune. Par vote en décembre 2004 de l'ISCS (International Sub-commission on Cambrian Stratigraphy), le Cambrien a été divisé en quatre séries et dix étages en vue de remplacer les termes anciens de Cambrien inférieur, moyen et supérieur. Les divisions sont en cours de définition, aussi certaines séries et étages ont provisoirement un numéro. Lire l’article |
CarbonifèreLe Carbonifère est une période géologique du Paléozoïque. Elle s'étend de −358,9 ± 0,4 à −298,9 ± 0,2 millions d'années (Ma). Le Carbonifère suit le Dévonien et précède le Permien. Carbonifère signifie « porteur de carbone », faisant référence aux importantes quantités de carbone qui ont été emprisonnées sous forme de charbon, formant ainsi d'abondants dépôts houillers. La Pangée continue sa formation durant le Carbonifère, la température moyenne, stable pendant la première partie du Carbonifère diminue par la suite. La partie sud du Gondwana est recouverte d’un glacier continental, mais aux latitudes plus basses un environnement propice et riche en vie prédomine. Cette période est caractérisée par la présence des premiers grands arbres en abondance. Dans le nord-est de l'Amérique, les lys de mer deviennent moins communs et sont presque inexistants vers la fin de cette période. La vie marine est riche en crinoïdes et autres espèces d’échinodermes. Les brachiopodes sont abondants. Les trilobites se sont raréfiés. Sur les terres, une population variée de plantes existe. Les vertébrés terrestres incluent de grands amphibiens et les premiers reptiles. Dans certains des textes anciens en français, une autre appellation (désormais obsolète) a été parfois utilisée : Carboniférien. La seconde moitié de la période a connu des glaciations, un niveau de la mer bas, et la formation de montagnes à mesure que les continents entraient en collision pour former la Pangée. Un événement mineur d'extinction marine et terrestre, l'effondrement de la forêt du Carbonifère, s'est produit à la fin de la période, provoqué par les changements climatiques Lire l’article |
CrétacéLe Crétacé est une période géologique qui s’étend d'environ −145,0 à −66,0 Ma. Elle se termine avec la disparition des dinosaures non aviens, des ptérosaures, de la plupart des reptiles marins, des ammonites et de nombreuses autres formes de vie. Cette période est la troisième et dernière de l’ère Mésozoïque ; elle suit le Jurassique et précède le Paléogène. Sa fin est marquée par un stratotype riche en iridium que l’on pense associé à l’impact d’une météorite dans le Yucatan. Cette collision est considérée comme ayant participé fortement à l’extinction massive ayant entraîné entre autres la disparition des dinosaures. Néanmoins, la géologie montre que l'activité volcanique de grande ampleur commune aux cinq grandes extinctions avait déjà commencé avant l'arrivée du bolide. Le Crétacé est nommé d’après le latin creta, « craie », se référant aux vastes dépôts crayeux marins datant de cette époque et que l’on retrouve en grande quantité en Europe, notamment dans le Nord de la France (affleurant par exemple au cap Blanc-Nez, aux falaises du pays de Caux et du val de Seine en Normandie ou encore en Champagne crayeuse) et en Grande-Bretagne. Il a été défini par Jean-Baptiste d'Omalius en 1822 d’après des couches stratigraphiques présentes dans le Bassin parisien Lire l’article |
DévonienLe Dévonien est une période géologique s'étendant d'environ −419 à −359 Ma. Il est précédé par le Silurien et suivi par le Carbonifère. Le Dévonien est nommé d'après le comté de Devon, en Angleterre, où les affleurements de couches datant de cette époque sont communs. Dans les océans, les brachiopodes sont communs ainsi que les grands récifs coralliens. De toutes nouvelles formes d'ammonites et de trilobites apparaissent ; les requins primitifs sont plus nombreux que pendant l'Ordovicien supérieur ou le Silurien. Sur les continents, les premiers Progymnospermes forment des forêts : les insectes et chélicérates s'y diversifient. Pendant cette période, les poissons ont atteint une diversité substantielle, ce qui a amené le Dévonien à être souvent surnommé l'Âge des poissons. Les placodermes ont commencé à dominer presque tous les milieux aquatiques connus. Dès le Dévonien inférieur, certains poissons de la classe des sarcoptérygiens évoluent vers des formes, regroupées dans le clade des tétrapodomorphes, qui vont conduire aux premiers tétrapodes puis aux amphibiens. La paléogéographie est dominée par le supercontinent Gondwana dans l'hémisphère sud et de plus petits continents au nord, Sibéria et de Laurussia, constitués de l'Amérique du Nord et d'une partie de l'Europe entre les deux. Lire l’article |
ÉocèneL’Éocène est la deuxième époque du Paléogène et aussi la deuxième de l’ère Cénozoïque. Il suit le Paléocène et précède l’Oligocène. Il s’étend d'il y a 56,0 à 33,9 millions d’années. Le début de l’Éocène est marqué par l’émergence des premiers mammifères modernes, sa fin par une extinction massive, dite « Grande Coupure », peut-être liée aux impacts météoritiques de Popigaï en Sibérie et de Chesapeake, en Amérique du Nord. Son nom provient du grec « ἠώς » (eos, aube) et « καινός » (kainos, nouveau) qui est une référence aux nouvelles espèces de mammifères apparaissant durant cette époque. Comme pour toutes les époques géologiques anciennes, les couches stratigraphiques de référence sont connues avec précision mais leurs datations exactes sont sujettes à variations. Les premiers travaux pour établir cette période paléontologique ont été effectués au XIXe siècle, en Angleterre par Barbara Yelverton. Au début de l’Éocène se produit un réchauffement global, l’un des plus extrêmes identifiés de nos jours. Cet événement se produit assez rapidement et dure moins de 100 000 ans. La température moyenne augmente d’au moins 7 °C dans les latitudes hautes, voire jusqu’à 15 °C pour la température de surface des océans dans les latitudes basses de l’hémisphère sud... Lire l’article |
HadéenL’Hadéen est le premier éon de l'histoire de la Terre. Il commence avec la formation de la Terre il y a environ 4,6 milliards d'années (Ga) pour se terminer autour de −4 Ga, et dure donc approximativement 600 millions d'années (Ma). L'Hadéen, division la plus ancienne des temps géologiques, forme avec l'Archéen et le Protérozoïque (les deux éons suivants) le Précambrien. En raison de la rareté des roches ou des minéraux d'âge archéen et des transformations qu'ils ont pu subir par la suite, les connaissances géologiques et paléobiologiques à propos de l'Hadéen sont limitées. Elles sont complétées par l'étude des roches lunaires et martiennes de même âge. L'Hadéen est donc la « petite enfance » de la Terre, mais représente tout de même 600 Ma dans le Précambrien, le Précambrien représentant les 86 premiers % du temps d'existence de la Terre (soit 4 milliards d'années). Compte tenu de l'étendue temporelle de cette période et de son « âge » sur l'échelle des temps géologiques, les connaissances des géologues sont minces comparativement aux dernières périodes géologiques. Toutefois, les spécialistes distinguent parfois plusieurs divisions dans l'Hadéen, d'après quelques grands évènements certains ou potentiels (dont on a également les traces via l'étude de la Lune)... Lire l’article |
HolocèneL'Holocène est une époque géologique s'étendant sur les 12 000 dernières années, toujours en cours. Il est fréquemment subdivisé en fonction de palynozones. L'Holocène est une période interglaciaire du Quaternaire. C'est une période tempérée qui suit la dernière période glaciaire du Pléistocène (dénommée Glaciation vistulienne en Europe du Nord, Glaciation de Wisconsin en Amérique du Nord, et Glaciation de Würm dans les Alpes). L'Holocène est la deuxième et dernière époque de la période Quaternaire. La remontée du niveau des océans, amorcée à la fin du dernier maximum glaciaire, durant lequel le niveau des mers était à environ 120 mètres sous le niveau actuel, et due à la fonte des inlandsis de l'hémisphère nord, s'est amplifiée au début de l'Holocène, jusqu'à atteindre le niveau actuel il y a environ 6 000 ans. Lire l’article |
JurassiqueLe Jurassique est une période géologique qui s’étend de −201,4 ± 0,2 à −145,0 millions d'années (Ma). Le Jurassique constitue la période, ou le système intermédiaire, de l'ère Mésozoïque, laquelle est aussi connue sous le nom d'« ère des reptiles ». Le début du Jurassique est marqué par une extinction massive d’espèces (l’extinction du Trias-Jurassique). Le système jurassique se subdivise en trois séries géologiques, le Jurassique inférieur, le Jurassique moyen et le Jurassique supérieur, autrefois dénommées, respectivement : Lias, Dogger et Malm. La base du premier étage géologique du Jurassique, l'Hettangien est officiellement définie par un Point Stratotypique Mondial (PSM) qui marque ainsi la base du système jurassique. Par contre, le PSM de la base du premier étage du Crétacé, le Berriasien, qui marquerait le toit du Jurassique, n’a pas encore été choisi. Cette période de l’ère Mésozoïque suit le Trias et précède le Crétacé. Lire l’article |
MiocèneLe Miocène est la première époque du Néogène et la quatrième de l’ère Cénozoïque. Elle s’étend de 23,03 ± 0,05 à 5,332 ± 0,005 millions d’années, est suivie par le Pliocène et précédée par l’Oligocène. Elle a été nommée ainsi par Charles Lyell à partir du grec μείων (meioon, moins) et καινός (kainos, nouveau), moins récent car cette période comporte moins d’invertébrés marins modernes que le Pliocène... Lire l’article |
OligocèneL’Oligocène est une époque géologique qui s’étend de 33,9 ± 0,1 à 23,03 ± 0,05 millions d'années. Elle suit l’Éocène après la Grande Coupure, et précède le Miocène. C’est la troisième époque de l’ère Cénozoïque et aussi la troisième du Paléogène. Son nom se réfère à la rareté d’apparition de nouveaux mammifères modernes en comparaison de leur rapide apparition durant l’Éocène. L'Oligocène débute avec la Grande Coupure, marquée par une chute brutale des températures sur toute la planète. Le refroidissement climatique entraine une extinction massive des espèces, surtout sous les latitudes moyennes, où le climat passe de tropical à tempéré. La chute initiale des températures est peut-être liée à l’impact d’une météorite dans la baie de Chesapeake aux États-Unis, et/ou un autre impact en Sibérie. Lire l’article |
OrdovicienL’Ordovicien est le second des six systèmes géologiques constituant le Paléozoïque. Il s’étend de - 485,4 ± 1,9 à - 443,4 ± 1,5 millions d'années (Ma). Il est précédé par le Cambrien et suivi par le Silurien. L’Ordovicien a été défini par Charles Lapworth en 1879 pour résoudre un problème de paternité de certaines couches géologiques. Adam Sedgwick et Roderick Murchison ont placé ces couches respectivement dans le Cambrien et le Silurien. Lapworth reconnaît que les fossiles présents dans les strates disputées sont distincts de ceux du Cambrien ou du Silurien et les attribue à un nouveau système, nommé Ordovicien en référence aux Ordovices, un peuple brittonique de l’actuel Pays de Galles. Les couches géologiques de l’Ordovicien renferment aujourd’hui de vastes réservoirs de pétrole et de gaz naturel dans certaines régions du monde. Il correspond à une époque où l'océan global et l'atmosphère terrestre se sont refroidis, conjointement à une explosion de la biodiversité sur la planète. Lire l’article |
PaléocèneLe Paléocène est la première époque de l'ère Cénozoïque, dans l'échelle des temps géologiques. Elle s'étend de 66,0 à 56,0 millions d'années. Il est précédé du Crétacé et suivi de l'Éocène. Il débute par un événement bien connu : la limite Crétacé-Tertiaire, il y a 66 Ma. La crise biologique qui y est associée pourrait être due au recoupement des effets d'un impact météoritique (caractérisé par un pic d'iridium dans les sédiments) et d'une activité volcanique intense (mise en place des plateaux de basaltes du Deccan). On peut ajouter à cela une régression du niveau marin (intense activité de la dorsale médio-Atlantique due à l'ouverture de l'océan) associée à un refroidissement global. Lire l’article |
PermienLe Permien est un système géologique qui a duré de 298,9 ± 0,2 à 252,2 ± 0,5 millions d'années. C'est la dernière période du Paléozoïque, précédée par le Carbonifère et suivie par le Trias qui est le premier système du Mésozoïque. Le Permien a été nommé d'après la province russe de Perm où se situent des gisements fossilifères de cette période. La fin du Permien est marquée par la troisième des cinq principales extinctions de masse survenues sur Terre : c'est la plus sévère, qui, selon les estimations des scientifiques, a vu disparaître 70 % des espèces de la terre ferme. Comme pour toutes les périodes géologiques anciennes, les couches stratigraphiques de référence sont bien connues, mais leur datation exacte est sujette à des variations de quelques millions d'années suivant les mesures isotopiques et les auteurs. Les datations des subdivisions correspondent à celles de l'échelle des temps géologiques publiée en 2012. Le Permien a longtemps été subdivisé en Permien inférieur et Permien supérieur (on l'a appelé Duas par comparaison avec le Trias). La Commission internationale de stratigraphie divise le Permien en trois séries (ou époques) : le Cisuralien (298,9 ± 0,2 à 272,3 ± 0,5 Ma), le Guadalupien (272,3 ± 0,5 à 259,9 ± 0,4 Ma) et le Lopingien (259,9 ± 0,4 à 252,2 ± 0,5 Ma) Lire l’article |
PléistocèneLe Pléistocène est la première époque géologique du Quaternaire et l'avant-dernière sur l'échelle des temps géologiques. Elle s'étend de 2,58 millions d'années à 11 700 ans avant le présent. Elle est précédée par le Pliocène et suivie par l'Holocène. Le Pléistocène est marqué par les cycles glaciaires. Sa fin correspond plus ou moins à celle du Paléolithique. Lire l’article |
PliocèneLe Pliocène est la seconde époque et la plus récente époque géologique du Néogène. S'étendant de 5,332 ± 0,005 à 2,588 ± 0,005 millions d’années, il est suivi du Pléistocène et précédé par le Miocène. Cette période a été dénommée par Charles Lyell à partir du grec πλεῖον / pleîon (« plus ») et καινός / kainós (« nouveau », « plus récent »), en référence aux mammifères déjà essentiellement modernes. Le début du Pliocène est défini par la transgression Pliocène, dite aussi transgression zancléenne (début du Zancléen). Il y a environ 5,33 millions d'années, le détroit de Gibraltar s'ouvre à nouveau sous l'effet des forces tectoniques et l'océan Atlantique se déverse dans la mer Méditerranée, qui en avait été totalement séparée pendant un demi-million d'années, donnant lieu à la crise de salinité messinienne. La fin du Pliocène est définie par l'inversion du champ magnétique terrestre dite Gauss-Matuyama, qui fait passer la planète de la polarité « normale » à la polarité « inverse ». Lire l’article |
ProtérozoïqueSur l’échelle des temps géologiques, le Protérozoïque est le dernier éon du Précambrien. Parfois nommé Algonkien (désuet), il couvre à lui seul près de la moitié du temps d’existence de la planète Terre, entre l’Archéen et le Phanérozoïque. Divisé en trois ères, il est marqué par plusieurs événements précis relativement bien connus des paléontologues et géologues mais dont la datation est approximative. Classiquement, cet éon finit au début du Cambrien, à partir du moment où les premiers fossiles d’animaux connus sous les noms de trilobites apparaissent. Dans la seconde moitié du XXe siècle des fossiles de trilobites ont été découverts dans des roches datant du Précambrien mais la fin du Protérozoïque est restée fixée au début du Cambrien. Il s’étend de {{Unité|2500 à 541|millions d’années}. Les évènements les mieux identifiés sont :
Au cours de cet éon, les noyaux continentaux, également appelés boucliers continentaux, apparus durant l’Archéen, montrent une forte croissance. À la fin du Protérozoïque, le volume de la masse continentale se stabilise. Lire l’article |
SilurienLe Silurien, parfois anciennement nommé Gothlandien, est un système géologique qui s'étend de −443,4 à −419,2 Ma. La datation de début et de fin, bien que définie avec précision par les couches stratigraphiques de référence, est connue à seulement quelques millions d'années près. Il est précédé de l'Ordovicien et suivi du Dévonien. La fin de l'Ordovicien est marquée par l'une des cinq grandes extinctions massives de l'histoire des temps géologiques, où près de 60 % des espèces marines ont disparu et peut-être 85 % du total des espèces (végétales et animales) : l'extinction Ordovicien-Silurien. Le Silurien a été décrit par Roderick Murchison en 1839 (The Silurian System) se basant sur des terrains découverts dans le sud du Pays de Galles. Il a été nommé en 1835 d'après une tribu celtique : les Silures. Cette classification est entrée en conflit avec celle d'Adam Sedgwick du Cambrien ; ce problème a été résolu par Charles Lapworth en ajoutant l'Ordovicien entre le Cambrien et le Silurien pour les couches géologiques contestées. Le nom « Gothlandien » provient des gisements de l'île suédoise de Gotland. Lire l’article |
TriasLe Trias (autrefois Triassique) est un système géologique, subdivision de l'ère Mésozoïque comprise entre −252,2 ± 0,5 et −201,3 ± 0,2 millions d'années. Le Trias est précédé par le Permien et suivi par le Jurassique. Défini et nommé par le géologue allemand Friedrich August von Alberti en 1834, le Trias doit son nom aux trois unités (litho-)stratigraphiques dont il se compose en Europe centrale : Buntsandstein (grès bigarré), Muschelkalk (calcaire coquillier) et Keuper. La régularité de ces dépôts en Europe centrale a permis aux sédimentologues de mettre en évidence les principes de la stratigraphie. L'appellation « le Triassique » a parfois été utilisée dans certains textes français plus ou moins anciens. Lire l’article |