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Protocole Des Ignobles en Robe Noire Version Courte PDF

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Insrer pr-rapport de lONU en page 6 P 23 ; dfinition pnale du viol denfant P 27 ; insrer passage de La Convention Internationale des Droits de lEnfant

Suite 33 ..

Justice pour enfants viols : Le protocole des ignobles en robes noires


Premire partie :
Introduction Nous allons traiter ici le sujet de la parole des enfants en matire de dnonciation de violences sexuelles travers le traitement apport ce type daffaires par notre institution judiciaire. Les affaires tudie en rfrence traitent de cas d'enfants qui ont, rcemment, os mettre en cause leurs gniteurs travers des accusations gravissimes de viols - ou dattouchements - par ascendant sur mineur de (moins de ) quinze ans . Dans chaque affaire tudie, ces enfants ont t arrachs leurs parents protecteurs, pour tre placs en foyer, quelques fois rendus directement aux gniteurs quils accusaient. Dans tous les cas, ces enfants se sont retrouvs exposs aux violences souponnes des personnes quils accusaient, et le sont actuellement. Nous prcisons que ce prsent dossier constitue une tude base sur une somme daffaires judiciaires et de tmoignages. Pour des raisons de scurit, ces tmoignages ne seront pas cits en rfrence. Comme nous lavons constat dans chaque dossier, notre institution judiciaire s'en prend non pas la personne mise en cause pour des prsomptions de viols sur mineur par ascendant , mais au parent qui accompagne l'enfant pour effectuer les dites dnonciations. Ce, prcisons-le, de faon arbitraire, sans relle enqute. Il serait naturel que la Justice rprime tout parent manipulateur, surtout sil savrait que celui-ci tentait de faire accuser injustement son ex conjoint dactes de viol incestueux de leur enfant. Nous ne pouvons pas exclure la possibilit que, dans labsolu, ce type de manipulation se produise. Mais, dans le contexte que nous allons mettre nu travers ce dossier, il est

bien difficile de dfinir le pourcentage que ces manipulations de la parole de lenfant pourraient reprsenter sur laffolante masse des affaires de ce type. Car la particularit du problme que nous pointons du doigt outre son ampleur proccupante tant qu insouponne - reste justement labsence denqute srieuse en vue de dterminer le vrai du faux, le crime sexuel de laffabulation. Pour autant, nous notons que des prtendus experts en la matire nhsitent pas parler de chiffres qui ne laisseraient place quun trs maigre pourcentage de cas avrs Il est vident que si les affaires de ce type sont traites dans ltat desprit que nous dnonons ici - cest dire de faon proprement criminelle, par les acteurs de linstitution judiciaire - les chiffres mis en avant ont une base mensongre. Ils ne reposent donc que sur une imposture majeure, dans laquelle trempe gnreusement notre institution politique. Il est intressant de noter que si des statistiques circulent faisant tat dune bonne moiti de plaintes mensongres - voire de trois quarts couter certains experts - le Canada admet de son ct des chiffres qui ne peuvent que nous interpeller, mis en face des ntres . Ainsi, selon une enqute mene en 2001 Allgations de violence envers les enfants lorsque les parents sont spars , le ministre de la justice canadienne parle de 1,3% de fausses allgations. Ce rsultat recoupe dailleurs ceux obtenus travers dautres tudes internationales. La France serait donc une exception. En fait dexception, celle-ci concerne plutt la fcheuse tendance de son institution judiciaire, violer les lois et interdire des victimes mineures la protection et la justice quelles, comme nous tous, sont en droit dattendre. Il ne sagit pas dune accusation lance la lgre, ni mme dun scoop. En 2003, le rapporteur spcial de lONU du nom de Juan Miguel Petit a pingl la France de faon accablante. Son enqute, passe sous silence par lautorit politique, mit en vidence des cas systmiques de violences judiciaires appliques sur des parents protecteurs et des enfants, dans des affaires de soupons de viols des dits enfants par un gniteur. Le pourcentage mis en avant par des acteurs politiques ou judiciaires, concernant les fausses allgations , ne semble donc tre que le fruit dune manipulation. Cela sinscrit dans une politique honteuse dont le but semble tre de nier lampleur de la problmatique des agressions sexuelles de mineurs, commis principalement en rseaux. Pour quelles raisons, nous rtorquerezvous ? Comme certaines sinistrement clbres affaires criminelles lont laisser entrevoir suite des accidents de parcours - mdiatisation non contrle ayant provoqu lclatement des dites affaires, vite caviardes - , des notables et des personnes intouchables constitueraient ces rseaux, au point que cela grippe de faon outrancire le fonctionnement de la Justice. Logique donc, dans ce contexte incroyable, que les prtendues autorits usent de leur pouvoir de communication pour affirmer que les dnonciations de viol,

tentes par des enfants et leurs parents protecteurs, ne seraient que des manipulations, en majeure partie. Pour autant, nous ne trouvons pas trace dun traitement judiciaire correcte concernant quelque pourcentage que ce soit, daffaires de ce type Ceci dit, avant de commencer, nous attirons votre attention sur une notion rcurrente intervenant dans toutes les manipulations, toutes les impostures dont nous faisons les frais dans notre triste socit ; il sagit du raisonnement binaire. Vous savez, cette faon de raisonner qui nous est impose tous, travers la manipulation insidieuse de notre inconscient collectif ? Soit on tend vers une direction toute faite, soit vers une autre, galement toute trace. Mais on exclue toute nuance, toute libre pense, toute libre analyse qui refuserait un extrme ou un autre. En loccurrence, le raisonnement binaire vous amnera admettre que si, une fois, un enfant a pu tre confondu face ses mensonges, cela signifie que tous les enfants mentent. Dans le mme esprit, on devra considrer que si un enfant se sent oblig de mentir un moment, et parfois sur un dtail de peu dimportance, cela prouve que toutes ses dclarations, avec lessentiel de celles-ci sont mensongres Pourtant, un enfant peut, dans ses rcits, substituer des actes terribles quil a subi, des faits dune moindre gravit, quil invente. Jai vu le cas o une victime mineure avre, narrivant pas avouer avoir t durement viole, prfrait inventer des maltraitances mineures afin de recevoir malgr toute lattention et laide dont elle souffrait. Mais rassurez-vous, la justice sait ce qu'elle fait, non ? Du moins, cest le rassurant lieu commun derrire lequel se rfugie toute personne qui ne veut pas voir la ralit de limposture dnonce ici. Nous vous parlons de cette imposture politico-mdiatico- judiciaire nationale qui crase en loccurrence enfants et parents protecteurs dans le cadre daffaires de viols denfants. Prcisons nationale , car le rel contexte dimposture politico-mdiaticojudiciaire criminel est international, comme nous lavons prcdemment dmontr avec notre reportage les rseaux de lhorreur , accessible sur Internet. Donc, pour ceux qui ne souhaiteront pas se poser plus de question ou ceux qui, bien au fait de leur propre implication criminelle, souhaiteront que qui que se soit ne sen pose pas plus - il est affirm qu'en fait de viol sur mineur par ascendant , c'est le reprsentant lgal celui qui accompagne lenfant dans sa dnonciation - qui est, la base, coupable des errements de son enfant, puisqu'il ne peut s'agir que de mensonges. Soit lenfant invente de lui-mme ces terribles histoires de viol , soit c'est carrment son reprsentant lgal qui le manipule jusqu' obtenir de lui qu'il soutienne de telles accusations, au point quelques fois - devrions-nous croire de parvenir le convaincre qu'il les aurait bien subies

Mais, dans un cas comme dans l'autre, la faute plus ou moins grave reviendrait naturellement au parent dnonciateur . Dans le premier cas de figure, l'enfant inventerait de lui-mme ces terribles histoires de viol pour, de la sorte, carter de la relation le parent dnonc ; ce parce qu' l'origine le parent dnonciateur aurait dvelopp avec le-dit enfant une relation fusionnelle alinante . Les experts parlent galement de syndrome d'alination parentale , lequel se reconnatrait justement au fait qu'un enfant aille jusqu' mettre en cause un parent travers de telles histoires de viol ( !)... Nous y reviendrons. Dans le deuxime cas, c'est nettement plus grave ; il s'agirait purement et simplement d'une machination du parent dnonciateur dans le but de nuire au conjoint ou ex conjoint, et ainsi rcuprer le droit de garde exclusif de l'enfant. Mais l encore, soit la relation fusionnelle alinante a t tablie entre l'enfant et le parent manipulateur , soit celle-ci est recherche par ce dernier, ce qui revient au mme en terme de rel danger encouru par l'enfant. La difficult de l'institution judiciaire reste alors, avec le concours prcieux de l'expert psychiatre , d'tablir lequel des deux cas de figure concerne chaque affaire, et le traitement qui doit y tre apport, tant entendu qu'il ne peut absolument pas s'agir d'une affaire de viol sur mineur par ascendant ayant droit , soyons srieux... Et oui, lexpert na pas besoin de perdre son temps explorer la psych du parent accus de viol, puisquil est tabli doffice quil sagit dune manipulation . Il mettra par contre en uvre tous ses talents pour tablir les troubles mentaux du parent accusateur et de lenfant menteur et/ou mythomane . Dans les deux cas, l'institution judiciaire se doit d'tre implacable envers ces parents dnonciateurs, si nocifs pour leurs enfants, si psychologiquement atteints. Dans la mesure du possible, les soins psychiatriques s'imposeront d'entre de jeu pour ceux-ci, sur la base de lexcellent travail de lexpert . Mais, vu le flou quant l'origine relle des mensonges de l'enfant - entre relle volont de nuire au conjoint ou ex-conjoint de la part du parent dnonciateur, ou simple relation de cause effet du syndrome dalination parentale - la culpabilit formelle du parent dnonciateur sur un plan pnal reste donc difficile tablir. Or, sur le plan pnal galement, la rpression serait bienvenue ! L'institution judiciaire se raccroche alors aux infractions de "non prsentation d'enfant", ventuellement de "soustraction de mineur". Car, non content de faire injustement accuser un ex-conjoint de crimes sexuels sur son propre enfant, le parent dnonciateur prtend , au prtexte de protger l'enfant menteur , ne pas lui permettre d'exercer son droit de garde, parfois en prenant carrment la fuite avec l'enfant !

L, pour le comble , l'enfant dj bien prouv psychologiquement par l'emprise alinante du parent manipulateur , subit une vritable dsocialisation le temps de la cavale. Quelle honte ! Heureusement que l'institution judiciaire saura alors dployer les moyens ncessaires pour envoyer ces parents prtendus protecteurs en prison et/ou en asile psychiatrique pour les punir de la commission de ces infractions de non-prsentation d'enfant ou de soustraction de mineur ! L'enfant, quant lui, sera naturellement spar du parent manipulateur , pour son bien . Il sera confi au parent victime de la manipulation , mme si, en raison de ladite manipulation , l'enfant manifeste violemment son refus de voir le parent en question. Et tant pis si les textes de la Convention Internationale des Droits de lEnfant prvoient de prendre en compte lavis du-dit enfant sur la question de son devenir, et en loccurrence de la personne avec laquelle on prtend le faire vivre. Car, puisqu'il est tabli qu'il n'y a aucunement eu viol d'enfant, la raction de lenfant accusateur ne peut tre que la rsultante de la manipulation du parent prtendu protecteur, et de son emprise alinante . De ce fait, bien que cela semble dur , l'enfant doit se voir forc d'accepter d'tre pris en compte par le parent injustement accus par lui. Il est impratif, plus que toute autre considration, que le parent injustement accus puisse restaurer les relations quil souhaite avec son enfant , malgr la mauvaise volont de ce dernier Le cas chant, si ce rapprochement est trop dlicat appliquer directement, un placement en foyer ou famille d'accueil sera dcid, afin de permettre au parent si injustement repouss par l'enfant, de retrouver la jouissance () de son droit de garde, de faon progressive. Bien sr, pour approuver la svrit de l'institution judiciaire envers ces parents qui se prtendent protecteurs et ces enfants mythomanes, nous sommes convaincus qu'au tout dbut de chacune de ces affaires une enqute a pu formellement mettre en vidence le fait que les enfants mentaient , et qu'il ne s'agissait nullement de parti-pris, la Justice se devant d'tre impartiale pour la manifestation de la vrit. Donc, nous sommes convaincus que pour mettre ainsi en vidence le caractre mensonger des dclarations de l'enfant - et la machination du parent dnonciateur - les enquteurs ont commenc par avoir des lments permettant un tel soupon Ce au point que le-dit soupon vienne se superposer au soupon initial celui naturellement attach l'infraction dnonc par le plaignant- pour finir par le supplanter... (Car ds quune infraction est dnonce par le biais dune plainte dpose dans les formes lgales, il y a de fait soupon que ladite infraction soit

constitue, en loccurrence linfraction criminelle de viol sur mineur par ascendant ayant droit .) Nous sommes donc convaincus que, pour quun soupon nen supplante un autre, la manifestation de la vrit a pu tre tablie de faon formelle, par une enqute soigne mene en bonne et due forme... Mais, si, en fait de manifestation de la vrit, il ny avait eu que prise de position arbitraire ? Si lenqute avait t bcle, et laffaire caviarde , sur ordres ? Et si il ny avait pas eu de relle enqute ? Et si, mme, la base, le tmoignage des enfants navait pas t pris en compte en tant que tel, conformment ce que la Loi prescrit ? Cest justement de cela dont il sagit. Pour vous permettre de prendre la mesure de lampleur et de la gravit de la problmatique, nous vous soumettons la lecture du pr rapport de lONU ralis par le rapporteur Juan Miguel Petit, dans ce cadre dimposture criminelle clairement dnonc. Vous apprcierez la rponse faite lpoque par madame le Dfenseur de lEnfance, que nous nous ferons un plaisir de commenter. Copie du pr rapport de Juan Miguel Petit insrer ici Voici maintenant les rponses apportes par une certaine Claire Brisset, prtendue Dfenseur des Enfants cette priode, quelques questions simples poses par un journaliste du nom de Christophe Gueugneau. Rponse qui mritaient dtre commentes Le journaliste : - Comment jugez-vous le pr-rapport dont L'Humanit publie des extraits et qui met en cause les autorits judiciaires franaises dans le traitement des dossiers de svices sexuels sur des enfants ? Rponse : - Je trouve ce rapport, prliminaire, injuste. En ralit, il est juste sur deux points. D'abord, c'est vrai que les procdures en France sont trop lentes, mais je ne crois pas que ce soit en raison de la mauvaise volont des juges; davantage cause de son manque de moyens Si une affaire aussi monstrueuse - qui concerne un minimum de 81 enfants franais, pour ceux reconnus officiellement sur les cd roms de Zandvoort - est classe avec un non-lieu, cest parce que les juges manquent de moyens Ils nen manquent pas, en revanche, pour faire envoyer les parents protecteurs en asile de fou.

Le manque de moyens est souvent mis en avant pour botter en touche, linstar du manque de textes de loi ncessitant que de nouvelles lois soient votes ; en ralit, les lois et les moyens sont bien l, mais dtournes par limposture. Ensuite, il est juste de dire que les familles ne sont pas assez informes, en temps rel, du droul de l'enqute. Ce qui peut faire dire aux familles que la justice fonctionne mal. Mais ce n'est pas vrai Mensonge ; les familles ne peuvent mme pas avoir accs au dossier pnal qui les concerne. Et il ny a jamais eu denqute, juste un non lieu arbitraire rendu par la juge Ringot, malgr des vidos et des photos montrant les enfants concerns qui se faisaient violer. J'ai relev plusieurs informations primes dans ce rapport prliminaire. Ainsi, quand le rapporteur dit que le cdrom (dit "de Zandvoort", ndlr) n'a toujours pas t prsent Interpol, il se trompe. Interpol l'a bien reu, je le sais de sources policires Pardon, mais on se fiche, quant nous, que linformation soit soit-disant prime au moment de cette rponse l. Car, au moment o le matriel aurait dj d tre entre les mains dInterpole, a ntait pas le cas, do lorigine de cette dnonciation prcise et plus que pertinente, faite par le rapporteur de lONU. Une fois ce fait dnonc, si les cd roms ont t remis finalement Interpole, a naura de toutes faons pas plus fait avancer les choses. Ou, comment faire diversion Lorsqu'il dit que les mdecins qui dnoncent des faits de svices sexuels sont inquits par l'Ordre des Mdecins, il se trompe galement. En effet, depuis 2002, la loi protge les mdecins qui dnoncent de tels faits. Exercice de mauvaise fois de trs haut vol. Le fait quil y ait des textes de loi qui soient censs protger les mdecins neffacent en rien les constats faits par Juan Miguel Petit. Lexistence de ces textes est mettre sur la mme ligne que tous les articles de loi qui sont censs protger les tmoins et victimes mineures, et qui sont tout simplement outrageusement ignors et bafous par les acteurs prtendus judiciaire. Lindividu interrog botte en touche comme le font tous les imposteurs de son acabit. Enfin, quand le rapporteur explique que les enfants ne sont pas assez couts par les juges dans les procdures de divorce, ce n'est pas si simple. Les juges des affaires familiales ne sont pas aussi bien forms que leurs homologues juges pour enfants, ce qui pose des problmes, mais qui ne sont pas du fait des

juges eux-mmes. Pas si simple ?! Quy a-t-il de compliqu dans le fait dcouter un enfant ? Les JAF pas aussi bien forms que les autres ? Comment ose-t-on prtendre laisser de tels incomptents traiter de telles problmatiques ? Parce que lincomptence est, linstar du manque de moyen, le prtexte facile pour justifier tous les caviardages daffaires trop sensibles Cest certain ; pas du fait des juge eux-mmes . Ceux-ci ne sont que complices, que des tratres aux ordres des politiques, eux-mmes tant la solde des rseaux, et le tout faisant en fait partie des-dits rseaux Mais je peux vous dire que la France est actuellement en train de prparer une rponse au rapporteur de faon ce que ces "erreurs" ne figurent pas dans le rapport final. Autrement dit, cest la France - comprenez, limposture politique que nous subissons en France -qui entend corriger le rapport qui lpingle Facile ! Le journaliste : - L'expert estime aussi que les juges ont tendance trop sous-estimer l'importance des rseaux pdophiles en France, privilgiant plutt la "pdophilie familiale", les cas d'inceste entre autres ? Rponse : - D'abord il faut prciser que la mise au jour de tels rseaux est le fait de la police, et pas des juges a cest nouveau ; ce sont les policiers qui doivent faire le travail dun procureur, dun juge dinstruction et dun prsident de tribunal Ou alors il faut comprendre que si les magistrats ne suivent pas les enquteurs, cest de la faute de ceuxci Mais de toute faon je suis d'accord avec les juges pour dire que la grande majorit des cas de svices sexuels ont lieu dans le cadre de la famille et des proches. Ben voyons ; la stratgie du bouc missaire. Si il y a des rseaux, a ne peut concerner que le bas peuple. Souvent, l'enfant connat son agresseur Oui, cest bien a le problme ! Surtout le fait que la justice , elle aussi, connat parfaitement lagresseur de lenfant, au point de le couvrir totalement Cela se vrifie dans les chiffres. Environ 80% des dossiers qui arrivent la Dfenseure des enfants concernent le milieu proche de l'enfant Tiens, comme cest curieux ; et que deviennent les enfants et leurs agresseurs ? O en sont les enqutes ? On nen entend jamais parler, si ce nest que de

terreur judiciaire applique aux dits enfants et parents protecteurs Mais il faut noter paralllement qu'internet prsente une nouvelle menace pour les enfants. La pdopornographie est en train d'y exploser et internet est la porte des enfants. Un sujet que le rapporteur aborde peu On y est ! Il faut dvier le problme, en fustiger un autre qui videmment est hors sujet, et qui est le seul que lon est autoris voquer. Les viols denfants, les tortures et mises mort denfants, cest du virtuel diffus sur Internet, le grand coupable ! Vive la cyber-police ! Vive la cyber-criminalit ! Et merci madame la dfenseuse - des rseaux - de nous faire remarquer que le rapporteur devrait soccuper de ce qui ne vous drange pas, et ne communiquer que sur les sujets mis en cran de fume par limposture dont vous faites partie ! Le journaliste : - Selon lui, vous, Dfenseure des enfants, souffrez d'un manque de moyens humains et matriels Rponse : - C'est tout fait vrai. Il faudrait davantage de monde pour traiter les requtes individuelles mais aussi les requtes collectives. Il faudrait que nous puissions tendre notre rseau de correspondants rgionaux. Ils sont actuellement 36, j'aimerais qu'ils soient 100 la fin de mon mandat ! Fin de citation. Pardon, mais pour ma part, madame la dfonseure , jaurais tendance dire que votre rseau est mon got justement trop tendu Voil ; nous avons l un chantillon de la faon dont les choses sont tournes, ds que lon aborde le sujet trop gnant trait par ce brave ex rapporteur de lONU. Sachez, pour information, que le poste de Dfenseur des Enfants nexiste plus, et a t remplac par celui de Dfenseur des Droits, et que ce poste est tenu par un certain Dominique Baudis Vous savez, ce cocanoman notoire impliqu jusquaux oreilles dans laffaires des soires toulousaines dite laffaire Algre. Avec un tel personnage, les crimes quil couvre et ceux auxquels il a particip en toute imunit, nul doute que nos droits soient bien dfendus. Ceci dit, il fut dabord question que nous ayons ce poste lambassadeur en titre de la criminalit pdophile chez les politiques, le sieur Jack Lang en personne. Si nous fmes nombreux, activistes, monter au crneau pour manifester notre indignation, nous navons pas apprhend le fait que nous tombions dans le pige grossier du contre-feu. Car au final, bout de souffle et de voix, nous avons fini par accepter un soitdisant moins pire

Premire partie
Gnralits sur les rseaux pdophiles : La face cache de l'imposture socitale Pour comprendre, pour trouver une cohrence dans les affaires sordides sur lesquelles nous avons enqut, et le terrorisme institutionnel qui crase enfants et parents protecteurs, il convient de savoir de quoi nous parlons, en terme de rseau pdophile, et de crimes sexuels sur enfants. Tout dabord, comme nous en avons fait la dmonstration dans notre premier reportage vido intitul "les rseaux de l'horreur", nous n'avons pas affaire de multiples rseaux dissmins sur le territoire national, mais de multiples ramifications de la branche nationale du vaste rseau international. Ainsi, le plus petit rseau de village est connect aux plus puissants de notre imposture socitale, ce qui ncessite quil soit parfaitement intouchable. Quelques unes des ramifications nationales du rseau international de crimes sur enfants se constituent sur la base de "violences dites intra familiales". La raison en est simple : ce type de configuration est pris des amateurs de chair frache. Ds que des parents un peu tordus sont reprs par exemple par des services sociaux - ils sont incits passer du viol incestueux intra-familiale lexploitation sexuelle de leurs malheureux enfants, ce au sein dun sous-rseau local qui se constitue pour loccasion. Les parents dsaxs sont dautant plus faciles reprer que, majoritairement, il sagit dex victimes dabus et de violences sexuels, qui nayant jamais t reconnues comme telles, nen sont pas moins suivies . Nous reviendrons plus prcisment sur ce point au chapitre suivant. Ainsi, les notables localement regroups dans la ramification en question se voient protgs par la prsence initiale d'un fusible parfait, autour duquel tout se met en place. Ce fusible se constitue en l'occurrence du pre ou de la mre, soit du couple de criminels incestueux, issus du "bas peuple". Vritable bouc missaire potentiel, les criminels incestueux seront, en cas de problme, exhibs sur la place publique par l'imposture politico-judiciaire, avec si possible un traitement exemplaire . A condition bien videmment quil sagisse dindividus de basses extractions , nullement intgrs dans les cercles de pouvoir. Notons que le-dit traitement exemplaire sera jug l'occasion d'un spectacle bien men, jugement qui la plupart du temps ne sera pas appliqu, mais a, vous n'tes pas cens le savoir. Ceci permet aux notables concerns, aux criminels pdophiles de la pseudo lite et leurs rseaux d'influence, de conforter le grand public manipul dans la croyance qu'il n'y a, en fait de rseau pdophile , que des criminels isols, spcimens monstrueux issus du bas peuple . Mais, si le problme peut tre vit - ou qu'il ne s'agit pas en ralit d'une campagne de communication organise par l'imposture politico-judiciaire - le

criminel en question sera volontiers protg par ce qui semble tre le bras arm du rseau ; l'appareil judiciaire ! Il y a un autre schma aujourd'hui trs rpandu ; le criminel auquel vous, en tant que parent protecteur, pouvez avoir affaire, fait partie de cercles d'influence tels que la rose-croix ou la franc-maonnerie, d'o il tire son impunit. Derrire des socits secrtes de ce type, nous retrouvons tout un procd de cooptation et d'initiation rituelle, qui drive graduellement et formellement vers le satanisme. Au del du dix huitime degr pour la franc-maonnerie, les rituels deviennent de plus en plus odieux, allant jusqu'au rituel sacrificiel d'enfant. Evidemment, la grande majorit des personnes cooptes dans ces socits secrtes ne doute pas, de prime abord, quil puisse sagir de crime organis, de satanisme. Cela lui est prsent comme tout son inverse, et, au comble du machiavlisme, lon parle de philanthropie, de bienfaisance. a ne sera quen grimpant les chelons, au fil du temps, quun franc-maon percevra ce quoi il appartient en ralit. Il aura entre-temps t profondment compromis, et aura got les fruits empoisonns de la dbauche et du pouvoir, du crime impuni, de ce sentiment exclusif dtre au dessus de lois et des masses incultes et stupides . Comme il en est des religions instaures dans toute culture pour manipuler lhumain des croyances sont vhicules, mixes avec des pratiques sotriques de plus en plus noires. Avant d'en arriver l, les membres sont insidieusement orients vers des pratiques sexuelles de groupes, les orgies si tendance et ouvertement plbiscites par l'imposture politique qui nous parle de libralisme . Lorgie est donc devenu le divertissement privilgi des notables . Au del de la joyeuse soire , les sujets concerns glissent imperceptiblement vers la magie sexuelle, trs prise en satanisme. Pour celles et ceux qui, navement, pensaient juste samuser entre amis de la haute , un moment donn, tout bascule. Pour les initis dj bien avertis, dans ces joyeuses soires, lexpression de leur pouvoir sexalte dautant plus que dinnocentes victimes pubres subissent leffet de leurs pulsions, avec cette parfaite impunit que leur rserve leur statu Le viol de ltre pur et innocent, avec son sacrifice, constitue la constante en matire dexpression de domination dautrui, ainsi quun support essentiel en matire de rituel satanique. Plus le crime est odieux, plus limpunit qui sy attache confre celui qui le commet un sentiment de pouvoir suprme, et, si ncessaire, un peu de cocane anile toute capacit de se ressaisir. Si tout le monde se tient par la... ...barbichette, dans ce type de cercles privs, le got du pouvoir malsain sur autrui et de la dbauche se dveloppe rapidement, pour les membres svrement compromis. Ceux-ci choisissent de ne voir plus que les bons cts de la situation, plongeant corps et me dans l'abme o ils sont prcipits au fil des passages de grades et des rituels initiatiques. Les pseudos lites concernes en arrivent, en fonction de leur loge et grade,

apprcier des soires prives o des enfants sont collectivement viols, certains tant parfois mme torturs, cela pouvant aller jusqu' la mise mort sacrificielle. Il peut galement sagir de garden-parties avec de parties de chasses suivis de barbecue de chair humaine frachement chasse et dbite, dans des proprits somptueuses , assez isoles et trs protges. Dans certains cas, lhorreur qui peut concerner de malheureux enfants na mme pas dquivalent cinmatographique connu Notre enqute en cours sur cette extension du prsent sujet, tenterait, lheure actuelle, prouver que ces pratiques sont rpandues sur lensemble du territoire national, linstar de la Belgique, tout comme le Satanisme, et ce, prcisons-le toujours, au niveau des cercles dits de pouvoir. Ce sera donc le sujet dun prochain dossier. Pour en revenir la notion de justice, ladulte protecteur a perdu davance, se dsignant comme cible, ds quil entend faire appel linstitution pour aider un enfant viol. Les seuls cas o les choses peuvent se passer correctement, sont ceux qui excluent toute notion de rseau, et qui naccablent donc quun individu isol et non protg. Ces cas sont trs utiles en guise dentretient des apparences, pour limposture judiciaire. Concernant les rseaux, limposture politico-judiciaire agite le chiffon rouge de la cyber-criminalit ; il sagit de personnes de tous milieux se mettant en rseaux sur lInternet, pour partager et exprimer leurs pulsions pdophiles. Ne sagissant pas de rseaux physiques constitus de notables, les criminels imposteurs en font leur contre-feux. Mais il arrive quasiment toujours que dans ces rseaux pdophiles virtuels se soient glisss quelques notables imprudents ; du coup, quand une affaire se dclenche grand renfort deffet mdiatique, lissue relle sur le plan judiciaire est bien loin de se que le grand public attendait. En ralit, il semblerait bien que les crimes sur enfants, commis en runions, soient avant tout le fait dindividus faisant partie de cercles de pouvoir, o simbrique largement la magistrature. Les rseaux ne faisant quun, jamais les membres de limposture judiciaire ne se risqueront inquiter ne serait-ce que le plus insignifiant des criminels, si celui-ci a des connexions maonniques ou autres, de quelque nature quelles puissent tre. Ces socits secrtes ne sont pas confondre avec les sectes si diabolises par limposture politico-judiciaire. Celles-ci, linstar des mafias reconnues ne font partie du dcors que pour occuper les fonctionnaires et militaires des services spcialiss comme la police et gendarmerie est occupe avec leur cyber-police pour les rseaux - et assurer leffet cran de fume qui, l encore, protge les cercles de notables o se pratiquent viols et sacrifices denfants, rose-croix et franc-maonnerie, principalement. La franc-maonnerie a t le ciment de la construction de notre socit industrielle des quatre derniers sicles, entre la conqute du Nouveau Continent et la restructuration de lEurope. La configuration gostratgique que lon connat, nest que luvre des lites de la haute finance internationale qui la font voluer selon leur bon vouloir. Cest travers des guerres et des rvolutions en

fait fomentes par ces cercles dlite internationale que le monde et notre univers socital ont t faonns, des fins mafieuses de domination globale. Les instigateurs de cette entreprise de domination du monde et de lespce humaine, sigeant donc tout au sommet de la pyramide, ont su constituer cet univers occulte de socits secrtes, servant en ralit corrompre et compromettre tous les chelons infrieurs et faire appliquer leurs plans maudits dans le plus grand secret. Le vrai crime organis international nest pas une force criminelle marginale venant des basses couches de notre socit, cherchant en contrler les institutions, mais la puissance qui contrle le monde depuis ses sommets, et englue les couches infrieures par la compromission. Nous vivons une poque o - je lai vcu moi-mme - les magistrats se vantent, en pleine audience publique, dappartenir la rose croix ou la francmaonnerie. Si, me direz-vous, il ne faut pas gnraliser, la question de savoir de quelle nature est la tendance gnrale, dans tout dispositif, pour comprendre comment doivent tourner les choses. Les lments intgres ne font donc pas le poids, devenant au fil du temps minoritaires. Ils sont contraints de scraser pour ne pas tre briss et immdiatement remplacs. Ils ne constituent aucun danger pour le crime organis international qui les domine, et leur relve est dj en cours de prparation . La reproduction des criminels pdophiles gnration aprs gnration : Il est un phnomne insouponn du grand public , vritable toile de fond de la problmatique que nous traitons dans ce dossier. Il sagit du processus d'initiation la pdophilie subie par d'innombrables enfants, en France et dans le monde. Cette notion, comme vous le verrez, explique elle-seule le "dysfonctionnement" chronique de notre institution judiciaire. Cest le cadre de soires spciales que l'enfant de notable subit trs certainement un procd formel d'initiation la pdophilie . Beaucoup de tmoignages font tat denfants qui sont amens par leur propre gniteur tourner dans ces soires spciales, y subissant rgulirement viols collectifs et tortures. La majorit des cas, le parent qui fait subir ces horreurs son propre enfant est un homme, mais il est quelques cas o il peut galement sagir du couple, ou uniquement de la mre. Si on a du mal imaginer quune femme puisse pratiquer des violences sexuelles sur des enfants, a nest pas pour autant que cela ne se produit pas. En fonction de lcrasement du traitement et de sa dure, la programmation applique aux enfants par la violence sapplique galement sur des fillettes, lesquelles deviennent donc elles aussi prdatrices lge adulte. Cest probablement ainsi que nous notons des cas o des femmes sont dnonces par des enfants, en

tant quagresseur sexuel. Ce fut le cas dans laffaire Vincent , o lenfant accusait la compagne de son gniteur, Virginie Frzoul, de violer son petit demi-frre trs rgulirement. Cest galement le cas o, dans laffaire Blanchard du nom des parents protecteurs perscuts - des enfants dnoncent les violences sexuelles commises sur eux par plusieurs femmes, des occasions distinctes. Ainsi, cest tout dabord une animatrice, Laetitiat Ppino et une assistante sociale au nom de Anne-Galle Luquet qui sont mises en cause par la petite Julie, six ans et demi. Les rpercussions de la tentative de saisine de la justice par les parents Blanchard, suite ce premier viol, auront t dramatiques : Cest une Juge pour Enfant, Laurence Canavero et sa greffire, Mme Pachat, qui sont accuses par la petite Gurande, six ans et demi, de lavoir viole dans leur propre bureau, en guise de reprsailles la dnonciation. A titre dexemple plus connu, citons laffaire Karim Kamal , milieu des annes 90, du nom du pre qui mit tout en uvre pour sauver sa fille du rseau de Nice. L, ctait la mre de lenfant qui la faisait tourner dans les soires dorgies, la livrant des notables niois, dont des magistrats. Malheureusement, si Karim Kamal avait pu sexfiltrer aux Etats Unis avec sa fille Lauriane et y bnficier de lasile politique, le rseau sut organiser le kidnapping de lenfant, et la remettre en circuit jusqu briser son mental. Aujourdhui, la jeune fille, devenue adulte, soutient que toute cette histoire nest que pure invention. La programmation quelle a subie a parfaitement atteint lobjectif recherch de scission de personnalit. NB : Le problme pour le rseau, au niveau judiciaire , rside dans le fait que la prtendue manipulation de la parole de l'enfant par le parent protecteur reste impossible tablir. A moins de faire une pression suffisante sur l'enfant pour lui soutirer un faux tmoignage en ce sens, faux tmoignage o il reconnatrait avoir tout invent, pouss par le parent protecteur. Lidal reste de plonger - ou replonger - la victime dans un cadre permettant son lavage de cerveau et son conditionnement mental, ce par le biais de la reprise rgulire des svices quelle voulait dnoncer. La collaboration de quelques experts psy , pratiquant l'hypnose, rentre dans les options disposition du rseau. Nous verrons plus en dtail comment le mental des victimes est bris de faon tudie. Cest ainsi que lon peut retrouver de petites victimes devenues adultes aprs avoir t replonges dans les rseaux, qui affirment alors navoir jamais fait lobjet de violences sexuelles, mais plutt de manipulation de la part du parent protecteur. Cette technique est particulirement intressante pour le crime organis en question, car mieux vaut un tmoin retourn quun tmoin mort en victime martyre. L, la collaboration de limposture mdiatique est de mise, et des apparitions sur des plateaux de tlvision dmissions grande coute seront organise. ( Ce quoi na jamais droit une victime de rseau, cela va de soi. Mais si cela se produisait par accident, la censure sappliquerait implacablement pour pallier les

effets du regrettable dysfonctionnement). Les malades mentaux appartenant aux cercles dlite sont donc invits amener leurs propres enfants dans les sances qui permettent de les prparer devenir les prdateurs soumis que le rseau veut en faire, la grande gloriole de leurs gniteurs. Donc, en fonction de limportance , de la loge et du grade des notables en question, ces enfants peuvent mme subir jusqu' l'initiation l'assassinat sacrificiel , par lequel trs probablement leurs propres gniteurs seront passs eux-mmes dans leur enfance, faisant deux ce qu'ils sont aujourd'hui. En loccurrence, les malheureux enfants sont destins officier un cran trs largement au dessus de la moyenne, probablement au niveau politique. En outre, il est dautres milieux formellement utiliss pour lapplication de ces plans odieux, et crer les sujets programms pour la socit de demain, diffrents niveaux sociaux. Les associations proches de lenfance, ou prtendues daide lenfance : Sachez donc que certaines associations ayant subventions, pignon sur rue et honneurs mdiatiques, souvent prsides par des membres de l'institution judiciaire se prvalant de la protection de l'enfance, sont en fait des couvertures pour de vritables et formelles structures d'initiation la pdophilie . De jeunes enfants y atterrissent pour diverses raisons et sous divers prtextes, et en fonction de leur milieu d'origine, ils sont destins servir la cause pdophile dune faon ou une autre. Soit ils sont choisis pour intgrer l'lite moyenne , par la petite porte, soit ils sont destins servir de rabatteur, de briseur de victimes, avec la double casquette de fusible. C'est ainsi que de jeunes ados seront duqus la pdophilie dans des cadres lis une scolarit prtendue amliore ou des activits en mer ou en montagne. Le programme consiste normaliser, dans un effet de groupe et l'autorit, la sexualit de groupe dirige par des adultes ducateurs, jusqu' obtenir la pleine collaboration du sujet. Mais, en parallle, une scolarit amliore pourra effectivement tre applique ; ainsi les victimes dvelopperont le potentiel pour intgrer la vie active de faon avantageuse. Ces jeunes adultes entreront alors dans notre lite moyenne , donc, par la petite porte. Cest dire quils seront la cheville ouvrire des cercles de pouvoir, pour se retrouver des postes cls dans nos rouages institutionnels. Ainsi, on les retrouvera avocats, juges pour enfant, juges aux affaires familiales, officiers de gendarmerie, etc. Le placement abusif denfants ; contexte odieux et bien opportun Notre socit permet et organise le phnomne de vritables rafles d'enfants, via des interventions de services sociaux. Un enfant sur deux, en France, est victime

de placement abusif. Il y a, daprs les chiffres officiels, 150 000 enfants placs chaque anne, dont environs 75 000 placs abusivement. Autrement dit, environs 75 000 enfants par an sont psychologiquement briss, arrachs des parents qui ne mritaient aucunement, eux non plus, un tel traitement. Un tel contexte ne peut pas tenir du simple dysfonctionnement , l encore, et ce fait constitue une ralit scandaleuse et intolrable en lui-mme, pour lequel le silence et le dsintressement de tout responsable politique constituent une trahison. A nos yeux, il sagit de terrorisme dEtat. Pour les personnes qui se penchent sur le problme, ce scandale ne cacherait que des intrts crapuleux lis largent. En effet, il faut savoir que lEtat dbloque un budget annuel de plus de six milliards d'euros pour les organismes en charge des placements denfants, et que chacun dentre eux rapporte environs entre sept milles et dix mils euros par mois aux institutions rgionales, les familles d'accueil n'en percevant en moyenne qu'un peu plus d'un dixime - hormis les primes diverses et les avantages en nature... Comment nos chefs dEtat successifs pourraient-ils permettre un tel gaspillage ? Rappelons que chacun dentre eux nest en poste que parce que loligarchie de la haute finance internationale le lui a permis travers sa slection occulte groupe de Bilderberg, notamment et que son contrat vis vis des banquiers privs internationaux est dendetter la Nation quil est invit trahir. Sachez, titre dexemple, que tous ces ahurissants abus qui conduisent creuser le trou de la scurit sociale ne rentrent aucunement dans le cadre dun dysfonctionnement ou dun excs de laxisme politique. Il sagit dune volont, tout comme celle de protger les rseaux pdophiles. Ceci dit, on ne peut quapprcier au passage le fait reconnu, donc, de sources officielles que, calcul fait, l Etat aggrave lendettement de la Nation dune moyenne de trois milliards par an pour des placements strictement abusifs. Cela veut dire que l Etat nous soutire nous tous, contribuables soumis, des sommes colossales pour briser officiellement des dizaines de milliers denfants chaque anne. Connaissant un peu notre socit, on imagine sans peine que ces mouvements de sommes importantes permettent en outre quelques dtournements par si, par l. Cet aspect de la question suffirait lui seul expliquer le phnomne , mais galement le fait, qu travers le-dit phnomne , l'imposture politico-judiciaire arrache quasi systmatiquement les enfants-victimes de pdophilie, ces petits tmoins trop gnants, leurs parents protecteurs, pour les placer abusivement. Cependant, pour le comble, comme nous le constatons dans ltude de nos dossiers, ce sont alors les criminels prsums qui bnficient le plus largement de droits de visite ou de garde alterne, pour bien souvent rcuprer terme leurs petites proies, temps plein. Nombre de ces placements abusifs servent donc redonner les moyens des criminels pdophiles impunis de violer leurs malheureuses victimes.

Donc, en ayant connaissance du contexte rel trait dans cette premire partie de notre dossier, on comprend aisment que ces rafles denfants par dizaines de milliers lan rentrent dans les plans odieux de la reproduction des criminels pdophiles. La question financire attache ce scandale nest sans doute, l encore, quun contre-feux, quun leurre, servant cacher le rel objectif recherch. Aux vues des collusions criminelles avres - qui permettent qu'un vritable protocole institutionnel soit en vigueur pour briser les petits tmoins trop gnants - il apparat clair que beaucoup des milieux associatifs ou des familles d'accueil concerns dans les dossiers que nous connaissons, ne sont en fait dsigns par l'imposture politico-judiciaire qu'en fonction de leurs capacits briser un peu plus les enfants, en jouant avec les apparences. Probablement, travers ces placements, beaucoup de ces malheureuses victimes dnies, trahies et abandonnes leur sort par des mres trop crdules ou pas assez courageuses, subissent les pires traitements, jusqu'au viol, histoire de les briser en profondeur, de faon irrmdiable. Ainsi, nous pouvons imaginer sans peine le schma d'un foyer qui mlangerait de jeunes enfants briser et faire taire, avec des ados dj passs par ce traitement. Ceux-ci, briss et passs au stade de prdateurs, seraient alors encourags participer activement, leur tour, la fameuse initiation la pdophilie , sous la vigilance d'ducateurs aviss plus ou moins actifs eux aussi... En fait, si nous l'imaginons si bien, c'est que nous avons dj recueilli des tmoignages interdits- qui font tat de cette ralit Crime sexuel incestueux : La dviance pdophile en question Il est essentiel, pour comprendre lampleur du problme dans notre socit, de considrer quune victime non secourue devient le plus souvent bourreau ellemme. La souffrance subie ds les premires annes, tant sur le plan physique que psychologique, ne peut tre supporte sur le long terme que si le sujet finit par adhrer au traitement qui lui est inflig. (Sur du trs court terme, la seule occultation de la ralit peut suffire, sans que pour autant les rpercussions en terme de troubles de personnalit ne soient bnignes.) Cette souffrance, jamais traite, denfant martyris sur du long terme et jamais secouru, sera alors enfouie dans son subconscient, avec le message que rentrer dans le jeu du tortionnaire aura t le seul moyen de survivre ses monstruosits. A ce niveau, effectivement, le sujet aura t invit passer du rle de victime celui de bourreau, faisant le constat indicible quil sagissait de lunique moyen de ne plus tre victime. On retrouve galement dans ce processus un peu du syndrome de Stockholm, o lotage en vient prendre le parti du preneur dotage et adhrer sa cause, suite au traumatisme quil subit, entre terreur et impuissance. La notion dinjustice rentre quant elle en ligne de compte dans linconscient du sujet , comme une frustration majeure, jamais conscientise, et donc jamais traite.

Cette notion naura jamais t conscientise parce que le sujet aura t conduit lenfouir dans son subconscient, en occultant galement cette notion dinjustice et en privilgiant la seule issue qui tait de devenir lui-mme bourreau. Noublions pas que pour supporter linsupportable, le cerveau humain active un processus de ngation et doccultation du rel vcu, qui conduit au ddoublement de la personnalit. Il est trs facile des bourreaux avertis, linstar des vulgaires briseurs de victimes des rseaux classiques de proxntisme, datteindre le seuil du supportable chez leurs proies, au point que celles-ci dclenchent naturellement ce processus de survie psychologique qui fait delles des esclaves incapables de la moindre rbellion. Mais la souffrance reste bien prsente, profondment enfouie dans le subconscient de toute victime brise. Cette souffrance et ces ressentis la parasiteront toute sa vie de faon envahissante. Pour ponger cette souffrance et ses frustrations inconscientes, le sujet aura t amen, encourag par ses tortionnaires au fil des annes, dvelopper des mcanismes la base dj naturels, de transfert sur dautres sujets vulnrables. Ce sujet dorigine, devenu adulte, dfaut dune thrapie profonde, continue donc traiter ses propres souffrances par lagression sexuelle quil reproduit le plus souvent sur ses propres enfants. Car si lex victime subissait elle-mme comme enfant les abus de la part de ses propres parents, sa propre progniture est ce qui lui permet justement ce transfert, cette forme dexorcisation des souffrances vcues. Ces processus psychiques ont t trs largement tudis et dcods, depuis des lustres, par ceux qui entendent contrler lHumanit. Paralllement cela, le lavage de cerveau et la manipulation mentale appliqus dans les runions de socits secrtes de type franc-maonnerie, ds certains niveaux, rpandent la croyance que la pratique de ce type de magie sexuelle applique jusque sur ses propres enfants, est ce qui permet liniti dexalter son potentiel de domination, tout en prparant les gnrations futures sa progniture - suivre ce chemin dlu . Cette malheureuse progniture est ainsi programme pour devenir llite de demain, parfaitement dtraque psychologiquement, vritable docteur Jekyl et mister Hyde .

Le contrle de lHumanit par la diffusion de la dviance sexuelle pdophile Pourquoi rpandre la pdocriminalit dans notre socit ? Je vous rpondrais simplement que nous ne constituons en fait qu'un grand btail, et que plus ce btail est cras, avili et perverti, plus il est facile contrler, manuvrer. Plus on s'attaque tt aux membres du btail, plus le mal se rpand dans une spirale infernale, comme une contagion. Il faut lire les Protocoles des Sages de Sion , les plans criminels des banquiers privs juifs Khazars - dresss il y a plus de deux sicles avec le

premier de la dynastie Rothschild, en guise de stratgie pour prendre le contrle du monde. Vous saisirez, d'une part, la ralit de ce concept machiavlique du contrle des masses, crit noir sur blanc, et, d'autre part, la surprenante superposition que l'on peut faire entre ces crits et ce qu'est devenue notre prtendue civilisation moderne. La pdophilie doit se rpandre dans toutes les couches de notre imposture socitale, selon les plans sculaires des matres du monde . Nos propres institutions sont donc utilises non pas pour protger les citoyens et les plus vulnrables, mais pour protger les rseaux et ces fameux mcanismes de reproduction la chane des dtraqus pdophiles. Jeux des illusions oblige Ces plans sont appliqus fidlement travers les socits secrtes des cercles de pouvoir, dont les membres se passent le flambeau gnration aprs gnration. Chaque membre tire son avantage de son vivant en bnficiant en retour de pouvoirs et de jouissances exclusifs, flattant une vanit totalement exacerbe par les manipulateurs . La mise en superposition de linconcevable contexte de terreur judiciaire dnonc ici et de lexistence de ces plans sculaires pour un meilleur contrle de lHumanit, nous permet de redouter que la dviance pdophile, linstar de toutes les autres dviances sexuelles dgradantes pour lHumain, est dj trs largement rpandue au sein des milieux intermdiaires de pouvoir de notre socit. Il en est de mme, de ce fait, pour le satanisme Il est probable que nous soyons trs loin de la vrit, et quun jour quelques franges conscientes se rveillent dans un cauchemar, cerns de vampires . Car, tel le vampire, le criminel pdophile diffuse le mal quil porte et auquel il se voue corps et me en mordant autrui, et le rsultat en terme de propagation du mal est donc exponentiel. Parenthse ; zoom sur la notion de satanisme et de sacrifices rituels : Si la pdophilie se rpand travers les morsures de vampires non soignes, il en est exactement de mme concernant les pratiques sataniques. Il faut dailleurs bien intgrer le fait que le satanisme constitue la religion des cercles de pouvoirs, et probablement le support dune stratgie pour ceux qui sont au dessus, le cas chant. Pour les croyants, Satan existe comme Dieu ou Allah. Pour quelques noncroyants, en crant le concept de Dieu, les manipulateurs dorigine ont calcul que cela provoquerait la cration de son oppos dans lesprit des croyants . Quoi quil en soit, ces socits secrtes diverses reposent sur cette religion satanique, ce qui napparat que bien trop tard pour la masse des initis. L, le crime sexuel sur enfant, au del de la simple tare, se voit dclin jusquau crime de sang, au sacrifice rituel. La pratique pdophile nest plus, dans ce cadre, quun support au satanisme, dans le registre de la magie sexuelle , fer

de lance des socits secrtes. Nous restons exactement dans le mme contexte, mais passons juste un cran au dessus dans lhorreur. Si dans ces soires et garden-parties des enfants sont mis mort - ce qui n'est pas le sujet de cette enqute-ci - ces malheureuses victimes ont des provenances diverses : de dtournements et denlvements, dans des milieux svrement dfavoriss de kidnappings, en France ou en Europe, essentiellement denlvements organiss de type dportation, depuis des pays dAfrique (affaire Arche de Zo, par exemple) ns sous x, des suites de viols de leurs jeunes mres sacrifies (levage dans des cages) C'est dans ce type de configuration que l'on retrouve galement des pions tels que des rabatteurs ou des kidnappeurs, protgs eux aussi en fonction de leur utilit. (Quelques noms tristement clbres, titre dexemples : Emile Louis, Claude Dunand, Marc Dutroux, Patrice Algre, Fourniret, etc) Les enfants kidnapps qui se retrouvent dans des soires spciales pour notables, sont le plus souvent mis mort, quelque fois simplement pour servir dexemple et obtenir la soumission totale dautres victimes, femmes ou enfants. Ce fut probablement le cas pour la petite Marion Wagon ; daprs des tmoignages qui se sont parfaitement recoups, avant dtre touffs par limposture politico-judiciaire franaise, il apparat que la fillette aurait t gorge par Algre, en guise dexemple. Bref ; ces enfants sans papiers, ns sous x de viols, ou enlevs, ici ou dans des pays dfavoriss par de pseudos associations humanitaires avec la complicit des autorits, ne sont pas destins, eux, devenir l'lite de demain. Non, ces malheureuses victimes l doivent uniquement servir de matire premire pour les rjouissances maudites. Elles sont utilises notamment pour le conditionnement mental des initis, en l'occurrence des enfants dsigns, quant eux, pour assurer la relve au sein de la pseudo lite de demain. Les enfants servant donc de matire premire seront abominablement torturs, jusqu tre mis mort dans des conditions particulirement atroces. Dans laffaire Dutroux Julie et Mlissa -, qui ne sont jamais mortes de faim dans la cave de Dutroux, il sagissait dempalement. (Difficile de dfinir si le double assassinat barbare eut lieu dans le cadre dune simple distraction de notable dtraqu, ou dans le cadre dun programme particulier.) Dans dautres cas rapports en France plus rcemment, il est question de dpeage denfants, vivants. Car, le meilleur moyen de conditionner de jeunes sujets pour le sinistre avenir auquel ils sont destins, reste - ce ds leur plus jeune ge - non seulement de leur faire subir tortures et viols collectifs avant de les obliger assister aux massacres dautres enfants, mais galement de les faire activement participer aux mises morts.

Cest ainsi, travers des traumatismes insoutenables pour leur psychisme, que lon obtient la fragmentation de leur esprit, base ncessaire toutes les programmations possibles et imaginables. On parle en loccurrence des programmes MK Ultra ou encore du projet Monarque , qui se rpandraient sous toutes formes de dclinaison, un peu partout au sein de notre civilisation . Il est intressant de savoir que ce programme a t labor dans les camps de concentration nazis, avant dtre rcupr par les services secrets amricains qui les dvelopprent dans des bases secrtes. La programmation mentale, tout comme lusage de technologies et produits nocifs fluor, micro-ondes, pesticides, vaccins, etc- est ce qui se cache derrire la fable impose de lholocauste. Lomerta qui est impose par la terreur politico-judiciaire concerne en fait les vritables objets des dportations de malheureuses victimes, vers les camps de concentration nazis. Lobjectif ntait nullement lextermination, mais bien lexprimentation sur cobayes humains. Pourquoi dployer de tels moyens pour dplacer des centaines de milliers de prisonniers, sil ne sagit que de les abattre ? Cela na pas de sens, videmment. Par contre, quand on dcouvre que Hitler tait un initi au service des Illuminati avant de vouloir faire cavalier seul et que ceux-ci poursuivaient des objectifs occultes travers cette guerre quils avaient organise, on comprend que leurs descendants aient intrt ce que les monstruosits de leurs cercles ne ressortent pas plus que leurs rels objectifs et mfaits. Car les exprimentations nazies avec la lgende de lholocauste en guise dcran de fume - ont principalement servie pour laborer les facteurs dempoisonnement, de dgnrescence et de contrle mental, qui nous crasent de faon permanente et omniprsente travers notre mode de vie dit civilis dont nous sommes devenus les irresponsables promoteurs, ce au nom dune imposture de progrs et dun confort illusoire, formatage et lavage de cerveau obligent... Si nous sommes saturs de pollutions et de poisons multiples, de na nourriture lusage de ptrole avec ses drivs, dont le funeste plastic -, en passant par leau et les centrales nuclaires, les tlphones portables et leurs antennes relais, les fours micro-ondes, les additifs alimentaires, les amalgames dentaires, les vaccins etc, il n sagit ni dune suite interminable de disfonctionnements, ni mme dune histoire dargent, mais bien dune stratgie trs labore d crasement des populations mondiales et de destruction de la Nature, notre initiale source de bienfaits et de libert. Et, ceux qui, par lusage de la terreur, svertuent imposer le silence sur le thme de lholocauste interdisant la manifestation de la vrit, linstar de nos bons magistrats dans le cadre des rseaux pdophiles et sataniques trahissent en fait leur appartenance ces cercles infmes. Ils ne savent probablement dailleurs pas tous, loin sen faut, la relle raison des ordres quils reoivent en la matire. Je me suis permis un petit dtour, histoire dlargir notre champ de vision quant au contexte dans lequel la thmatique traite ici sinscrit. Le thme de cette parenthse ci ne sera pas plus trait dans ce dossier. Le large public auquel nous tentons de nous adresser ici n'est pas prt apprhender

cette incursion dans l'horreur absolue des pratiques sataniques et mises mort denfants, horreur si bien cache et protge aux trfonds de notre imposture socitale. Mais, restez l'coute pour la suite venir, vous ne serez pas en reste, si vous arrivez dj digrer le prsent dossier. Conclusion de la premire partie et transition pour la deuxime partie. Donc, avec ce petit tour d'horizon du ct de la face cache de notre socit, vous tes maintenant en mesure de comprendre comment, dans la pratique, au comble de l'ignominie et du machiavlisme, les milieux de la politique, de la haute finance, de la justice et de la protection de l'enfance ainsi que les milieux associatifs, sont justement ceux les plus concerns par la pratique organise de crimes sexuels en runion, sur enfants. Ainsi, d'une pierre plusieurs coups, pour les membres de ces ramifications du rseau pdophile international ; le contact privilgi, souvent impos, avec les enfants, permet effectivement quils soient impunment viols, formats et exploits. Les fonctions et statut des criminels permettent que limposture judiciaire viole outrageusement la loi en usant de ce prtexte de notabilit pour estimer toute accusation irrecevable. A ce sujet, les tmoignages, touffs, sont innombrables et bouleversants, et nous en poursuivons le recueillement titre denqute citoyenne clandestine. Linstitution judiciaire, trs largement imbrique dans la branche nationale du rseau international de criminels pdophiles, en protge farouchement ses membres, crasant systmatiquement enfants victimes et adultes protecteurs. Ceci n'est hlas pas une supposition, ni une lgende urbaine ou une thorie de complot, mais bien un fait, un fait de socit , et les quelques dossiers slectionns, en permettent eux seuls le terrifiant constat. Nous allons donc passer la mise nu de ce protocole de la honte mis en place par l'imposture politico-judiciaire, dans l'tape qui permet que l'enfant soit au final arrach au parent protecteur, et expos aux violences du criminel prsum. Pour raliser notre dmonstration, nous-nous sommes bass sur les dossiers tudis, et avons superpos ce que la loi prvoit et ce que l'imposture commet en donnant l'illusion d'appliquer la loi.

Deuxime partie :

Introduction : La manifestation de la Vrit

I. Les dogmes de substitution aux notions de droit, et autres interprtations crapuleuses : Quelques notions concernant la pdophilie La pdophilie ; crime ou relation interdite ? Le mineur de quinze ans Linceste Les relations sexuelles interdites

A propos des affaires dclenches par un parent protecteur Le conflit de couple Lintrt suprieur de lenfant La protection de lenfant Le drame de la dscolarisation et dsocialisation de lenfant La parole de lenfant depuis laffaire dOutreau Lincohrence du tmoignage La notion de gravit des accusations Latteinte la vie prive et la prsomption dinnocence Le jugement de valeur II. Les malversations judiciaires A loccasion de la saisine de linstitution judiciaire Le signalement et la main courante ; saisines mises hors jeu La plainte, doigt dans lengrenage fatal La poursuite en diffamation Le simulacre denqute Entre analyse mdico-lgale et expertise psy Orienter le tmoignages de lenfant Laudition du mis en cause ; acte dcisif Le retournement de situation Larrachement de lenfant au parent protecteur ou rapt lgalis La mise en accusation : Non prsentation denfant et soustraction de mineur Ltablissement de la culpabilit du parent protecteur III. Entre violation systmatique du Droit et politique de la terreur Le rle de lavocat Les Droits de lEnfant

Les Droits de la dfense La Convention des Droits de lHomme et des Liberts Fondamentales LIndpendance de la Justice Le principe du respect de lordre de chronologie de survenance et de lchelle de gravit des faits survenants dans les affaires Conclusion : Que faire ? Saisir les instance internationales ? Solliciter laide dassociations de protection de lEnfance ? Autres options envisageables .. Introduction : La manifestation de la vrit Le rle essentiel de linstitution judiciaire consiste, lors de toute affaire, uvrer pour la manifestation de la vrit tout en assurant la protection de tout tmoin ou victime. Elle est ainsi sense tablir linfraction souponne et en confondre auteur et coauteurs ; la faire cesser en interdisant sa persistance et son aggravation. En outre, la justice prvoit de rprimer les auteurs et coauteurs en fonction de la gravit de linfraction de faon, essentiellement, interdire toute rcidive. Lenqute est loutil principal de la justice pour la manifestation de la vrit. Raison pour laquelle, comme nous allons le voir en dtails, on ny a droit en loccurrence que sous forme de simulacre. Lenqute est sense le plus souvent intervenir sur la base dune saisine par le biais de victime ou de tmoin, signalement, main-courante ou plainte. Raison pour laquelle, comme nous allons le voir en dtails, les saisines sont la base un problme, dailleurs sur un plan galement plus gnral. Lenqute peut galement tre dclenche de faon spontane par les acteurs judiciaires en fonction de soupons ou de constats leur niveau. Raison pour laquelle les enquteurs trop intgres et scrupuleux qui omettent de ddaigner ce point risquent gros pour leur carrire, voire mme leur vie. La prise daudition des tmoins, lenqute prliminaire ou en flagrance, linstruction et le passage devant le tribunal sont autant dtapes indispensables cette manifestation de la vrit. Autant dtapes qui doivent donc concerner le protocole criminel de limposture judiciaire, afin dinterdire cette manifestation de la vrit. A linverse, ces tapes doivent tre autant doccasions de retourner la situation contre tmoins-victimes mineurs et reprsentants lgaux, sous couvert de mesures judiciaires, jusqu une rpression purement terroriste.

De mme, tout acteur judiciaire trop consciencieux ou intgre et recherchant contre vents et mares la manifestation de la vrit, jusque dans des affaires de crimes sur enfant et crimes en rseaux dinfluence, deviendra un lment neutraliser, dune faon ou dune autre, linstar de tout tmoin gnant. Il sera donc de mise, pour la cheville ouvrire de limposture judiciaire constitue des carriristes peu scrupuleux et ou peu courageux, et des acteurs judiciaires dj compromis dune faon ou dune autre, et ce en fonction de leurs postes : De faire en sorte que la phase de la saisine ne constitue quune complication dcourageante, et au mieux naboutisse pas Dviter que des enqutes gnantes ne se dclenchent De planter les enqutes dclenches malgr tout De retourner au plus vite la situation, afin que tout notable ou lment protg soit blanchi, et que se soient tmoins gnants et reprsentants lgaux qui se retrouvent accuss, condamns et briss. A charge aux donneurs dordres et hautes sphres de faire admettre la gnralisation de non-sens judiciaires, tels que leffective et inconcevable nullit de tout signalement ou main courante, par exemple, ou lintolrable difficult que revt le dpt de plainte, dmarche devenue alors incontournable. Limplication gnrale de lunivers politique se peroit galement travers la rponse que celui-ci est sens apporter, quand, confront des imposteurs se relayant et se soutenant dans toutes les juridictions, le citoyen, alors victime de violences judiciaires, cherche un recours vers le politique qui fait alors la sourde oreille, ou le balade de bureau en bureau. Au plus haut niveau de lEtat, il est courant que le garant de la constitution prtende saffranchir de ses responsabilits en bottant en touche avec le joker de la sparation des pouvoirs. Donc, si cest au niveau de la simple saisine de linstitution judiciaire que les problmes commencent dans le cadre qui nous occupe, il faut savoir que tout sera mis en uvre, du moment que le doigt est mis dans cet engrenage, pour retourner la situation lencontre de tout tmoin gnant, et le cas chant de son reprsentant lgal. Par le biais de vritables dogmes crapuleux, par des jeux dinterprtations crapuleuses de nos principes de justice, le terrain est configur en amont, au niveau politique, pour que linversement des fonctions rgaliennes de linstitution judiciaire ne choque plus personne, et apparaisse comme la simple expression dune justice lgitimement svre, quelques fois malmene, certes et tout au plus, par dinnocents dysfonctionnements.

Les dogmes de substitution aux notions de droit, et autres interprtations crapuleuses : Avant tout, les autres principes lmentaires de Droit tant de nature indisposer srieusement le crime organis qui semble bien engluer nos institutions judiciaire et politique, il convient de les pitiner en donnant lillusion de les respecter si on ne peut les occulter, et au mieux de les substituer par des notions et des dogmes adapts au problme. Lessentiel est de savoir entretenir le jeu des illusions, et donc de jouer avec les mots et les apparences, avec autorit. 1) Quelques notions concernant la pdophilie Je tiens tout dabord vous faire partager ma rpulsion utiliser le terme de pdophilie pour parler de la tare qui menace des enfants dagressions sexuelles. Etymologiquement, la pdophilie est lamour envers les enfants. Bien que la confusion entre les notions damour et de sexe soit impose linconscient collectif, parler damour envers les enfants ne convient nullement au cadre de crime qui nous occupe. En effet, lagression sexuelle dun mineur constitue, du point de vue de la loi, un crime, avec toutes ses aggravations. Textes Que se soit celui qui rve de violer des enfants ou celui qui passe lacte, ou celui qui est coutumier du fait avec toutes les aggravations possibles, on parle pourtant unanimement de pdophilie. Certains, conscients du problme, prfrent employer le terme de pdocriminalit. Mais celui-ci est dj utilis de faon impropre pour dsigner la criminalit commise par des enfants. Ceci dit, on remarque de plus en plus que la notion dagression est remplace dans les discours. Ainsi, on parlera de moins en moins dimposer des relations sexuelles un mineur, mais plutt davoir des relations sexuelles avec un mineur, sous-entendant que celui-ci aurait pu tre consentant, mme sil sagit dun mineur de moins de quinze ans. Il est mme des cas ou des magistrats osent accorder un criminel la circonstance prtendument attnuante quune victime mineure ait pu tre consentante, alors que pour le moment, heureusement, le droit ne laisse aucune possibilit une telle interprtation.

Le mineur de quinze ans :

La faon de prsenter les infractions criminelles qui concernent des victimes mineures est galement de nature brouiller les discours et dtourner les attentions. Ainsi est employe la terminologie de mineur de quinze ans en droit franais, pour parler dun enfant de moins de quinze ans. Cela concerne aussi bien un jeune adolescent quun bb. De ce fait, dans le cas de svices sexuels sur un enfant en bas ge, celui-ci sera indiffremment dsign de mineur de quinze ans , ce qui dans linconscient de tout le monde a tendance ddramatiser labomination pourtant bien relle des actes en question. Bien que lorigine de cette dsignation soit lointaine et indfinie, lintrt de sa mise en avant nest pas ngligeable pour limposture, bien des quiproquos tant possibles en direction dun public pas au fait de la teneur dune affaire. Lagression sexuelle sur mineur commise par un autre mineur :

Le lgislateur ne semble pas press de combler cette curieuse lacune de Droit, rien ntant prvu de faon spcifique sur le sujet. Pourtant, de plus en plus de mineurs commettent ce genre de crime, la plupart du temps en runion , cest dire plusieurs, et quelques fois sous lencadrement de criminels adultes. En fait, ne pas combler le vide juridique qui concerne les viols commis par des mineurs na rien dune innocente lacune ; cela sert le crime organis travers sa volont de rpandre la dite pdophilie dans nos murs, et la faire admettre terme dans notre socit. Comme nous lavons vu dans la premire partie, il y a deux cadres prcis propice au dveloppement de lagression sexuel sur mineur par mineur : Le premier concerne des associations qui prtendent par exemple uvrer en faveur de lenfance, la plupart du temps lenfance dfavorise. Ce prtexte est le plus rpandu en terme de couverture des associations caractre social dans nos pays dits civiliss, ou des organisations criminelles, travesties en ONG dans les pays pauvres. Lautre cadre dans lequel peut se retrouver pig un enfant est plus en rapport avec notre sujet, sagissant du foyer daccueil ou lieu de vie pour enfants placs. Il sagit du moyen le plus subtil de briser un tmoin mineur, lequel, une fois arrach au parent protecteur, se retrouve dans un foyer ou un lieu de vie o il sera la proie dautres mineurs dits en difficult. Ceux-ci, les violeurs mineurs, ont t ventuellement briss au pralable par des bourreaux adultes et autres prtendus ducateurs, devenant en grandissant, adeptes des pratiques sexuelles sur des jeunes proies. Si lenfant ose en parler, il sera dit que cela constitue la preuve quil ne cesse de mentir sur un sujet obsessionnel, ce qui ncessite des soins. Si les faits sont attests malgr tout, il sera dcrt quil sagit dun accident indpendant de la bonne volont des adultes prtendus responsables, ne mettant aucunement en cause leur prtendue honorabilit... Si celui-ci se reproduit, cest lvolution des murs mmes des mineurs en

gnral qui sera au centre de dbats plus formels. Lge de la majorit sexuelle devra-t-il tre rabaiss pour viter ce genre dincident ? LONU vient effectivement de dcrter rcemment qu dix ans lenfant avait une sexualit Dans tous les cas, si il ne sagit pas dun programme formel, lenfant qui a subit des violences sexuelles sans avoir eu ni protection ni justice, ni mme avoir t reconnu comme victime, devient immanquablement un adolescent tourment, sa profonde frustration pouvant faire de lui, terme, un bourreau, et donc un initiateur potentiel. Linceste : Cest le mot tendance employ pour minimiser la notion criminelle de toute agression sexuelle sur mineur par ascendant. Le hors sujet de linceste nest pas, l non plus, un dtail, sagissant de la stratgie fondamentale omniprsente. En effet, linceste nest pas un crime, mais une simple dviance sexuelle. Ce terme dsigne les rapports sexuels entre des membres dune mme famille, unis par des liens sanguins. Cette tare peut concerner des frres et surs aussi bien que des parents avec leur progniture. Mais dans ce cas, on ne peut parler de relations incestueuses que si les enfants sont majeurs. Dans le cas contraire, nous sommes bien dans le cadre de lagression sexuelle criminelle, certes incestueuse. La tare incestueuse nest donc alors quune notion aggravante du crime. Pour autant, en employant ce mot on en vient ne plus parler de crime, et donc occulter cette notion fondamentale de la classification de linfraction en question. Parler dinceste plutt que de crime est galement une faon insidieuse de sousentendre une simple problmatique de murs, qui se manifesterait en fonction dune prtendue volution de ceux-ci. Car, qui dit volution des murs dit ncessit de reconsidrer les textes de lois, de la bouche des criminels pdophiles , avec tout ce que cela sous-entend de leur point de vue. Rpandre la pdophilie et la normaliser, notamment en abaissant lge de la majorit dite sexuelle, apparat effectivement en filigrane comme une vritable volont politique, ce depuis mai 68, vnement cr de toutes pices puis mont en pingle. La libration des murs est en effet le cheval de bataille sournois des imposteurs soucieux, travers celle-ci, de rpandre dbauche et crime sexuel sur enfants, comme si la Libert de lHomme ne devait concerner que se qui se passe en dessous de sa ceinture. Lusage du mot inceste , sans lassocier au mot crime ou viol , dans lintitul dune association se prtendant intervenir dans la lutte contre les crimes sexuels sur enfant, nest pas anodin. Exemple ; SOS Inceste .

Si lassociation nest dans les fait daucun secours aux malheureuses victimes le contraire se saurait, et les tmoignages que nous avons le confirment la manuvre pour minimiser la notion de viol sur enfant - bnficie dun support avantageux et insidieux. Les relations sexuelles interdites : Exactement dans le mme esprit, on entendra de plus en plus parler de relations sexuelles interdites, que se soit dans les tribunaux ou dans les mdias. Jai pour ma part, apprci sa juste valeur lusage de la tournure relations sexuelles interdites employe de faon systmatique par les prsentateurs tl et divers intervenants de la crasse politique, pour parler de laffaire Polansky. Le viol sur mineur, condition quil soit le fait dune clbrit ou dun notable, nest pas un crime odieux mais une relation sexuelle interdite, tenez-le vous pour dit ! Dans linconscient collectif, manipul par le crime organis, la notion dinterdit sous-entend celle de non ouverture desprit, et sous-tend celle de libration. A noter aussi que le fait que la victime soit arrive lge adulte pour effectuer ses poursuites contre son bourreau, est utilis insidieusement pour faire perdre de vue au grand public que cest bien en tant quenfant que le plaignant tait agress sexuellement. Si limposture politico-judiciaire matrise la communication et la mise en forme des histoires, on peroit tout lintrt quelle trouve ce quune affaire dagression sexuelle sur mineur par notable - ou tout type dindividu protg - ne transpire que, au pire, une fois la victime devenue adulte Si une victime devenue adulte nmeut plus personne, il est en outre beaucoup plus facile limposture de la descendre en flche, dune faon ou dune autre.

A propos des affaires dclenches par un parent protecteur Le conflit de couple : Fer de lance de la stratgie de fond pour interdire ici la manifestation de la vrit, en discrditant doffice la parole de lenfant et reniant dautorit sa double qualit de tmoin et victime prsume, renforce par sa qualit de mineur. Cette notion intervient systmatiquement pour interdire quil y ait enqute gnante, laquelle devient non avenue du point de vue des responsables judiciaires qui prtendent connatre le fond du problme. Pour autant, nous ne pouvons nier, quant nous, le fait quil y ait un conflit de couple : Comment, en effet, un parent souponnant que son conjoint ou ex conjoint commette des crimes sexuels sur son enfant, puisse ne pas rentrer en conflit avec lui ? Mais la mauvaise fois criminelle de rigueur, au lieu de considrer cette notion

totalement mineure et hors sujet, car simplement et logiquement inhrente aux soupons de maltraitance de lenfant, fait mine de considrer que cest le conflit de couple qui est lorigine des dclarations de lenfant. Ainsi commence la manuvre de retournement de la situation. Le hors sujet constituant lexercice principal auquel se livrent les imposteurs judiciaires, ceux-ci savent orienter les dbats hors de la zone dangereuse. Mais l, dune pierre deux coups ; lorientation prise et impose comporte lavantage de nuire en profondeur au tmoin gnant et son reprsentant lgal. Cette apprciation arbitraire daffaire sur fond de conflit parental est en effet extrmement grave et sournoise, car il est ainsi sous-entendu, puis dcrt que les accusations de l'enfant sont fausses car provenant d'une manuvre malfaisante initie par le parent protecteur. Du moment que l'on a parl de conflit de couple, l'issue de la procdure en dfaveur de l'enfant et de son reprsentant lgal devient une vidence. Il sera prtendu que l'enfant, ment, parce que le parent protecteur lui monte la tte dans le but unique de nuire lautre parent, et ce faisant suite au fameux conflit de couple. Aucune enqute n'aura alors lieu sur l'objet de la plainte dpose par le reprsentant lgal du tmoin mineur, et celle-ci sera classe au plus vite pour faire place l'engagement de poursuites l'encontre du parent protecteur. Ce sera principalement la notion de protection de lenfant qui servira de base limposture pour mettre en forme lincrimination du parent protecteur.

La protection de lenfant : a) Du point de vue de la Loi En loccurrence, le mineur protger est une victime prsume de crimes, ayant de surcrot qualit de tmoin ds lors que la saisine de linstitution judiciaire est faite dans les formes lgales par son reprsentant lgal. La protection de tout tmoin-victime prsume constitue une notion fondamentale en matire judiciaire. Il sagit alors, dune part et dans le doute, de neutraliser tout risque potentiel de persistance et daggravation des violences que la victime prtend subir dun tiers ; et dautre part, dinterdire que la personne souponne puisse, le cas chant, appliquer des pressions sur le tmoin. En outre, sagissant dun mineur et donc dune personne vulnrable, la notion de protection est renforce par de nombreux textes. La Convention Internationale des Droits de lEnfant, ratifie par la France en 1990, en largit le cadre. Textes

Lenfant - victime prsume et tmoin mineur - doit avant tout tre mis hors datteinte de la personne quil entend dnoncer, au moins le temps de lenqute. Ds que lenfant fait ses rvlations son reprsentant lgal, cest avant tout lui de sassurer, son niveau, de sa scurit. Or, la premire et vidente mesure de scurit qui simpose en tel cas est de garder la victime mineure prsume hors de porte du criminel souponn, quelque soit le droit dont ce dernier se prvaut en matire civile pour prtendre disposer de lenfant. Tout droit de garde ou dhbergement doit dans lurgence, tre interrompu par le parent protecteur. Cette mesure doit, pour tre lgale, saccompagner de la saisine de la justice, en matire pnale avec le dpt dun signalement ou dune plainte, mais galement en matire civile, avec une assignation en rfr auprs du juge des affaires familiales afin de formaliser linterruption du droit de garde du mis en cause. Aux vues du soupon constitu par les dclarations, que lenfant puisse subir des agressions sexuelles, ne pas prendre les mesures de protection adaptes constitue, de la part du reprsentant lgal, un manquement ses obligations lgales, infraction prvue et rprime par le Code Pnal en son article 227-17 de deux ans demprisonnement et de 30 000 euros damende : Fait, par le pre ou la mre lgitime, naturel ou adoptif, de se soustraire, sans motif lgitime, ses obligations lgales au point de compromettre gravement la sant, la scurit, la moralit ou lducation de son enfant mineur. De plus, le parent protecteur se retrouve susceptible dtre poursuivi pour complicit des violences commises sur lenfant, dans le cas ou celles-ci seraient attestes par la suite. . En matire civile, tout manquement de ce type justifie en outre que le reprsentant lgale perde le droit de garde de son enfant, en raison dune irresponsabilit flagrante extrmement prjudiciable pour celui-ci. b) Interprtation de la notion de protection par limposture judiciaire : Si le thme de la protection de lenfance est accapar par les politiciens en mal de popularit, pour des effets de manche aussi ineptes que grandiloquents, il sagit en fait dune imposture profonde. Etant donc tabli que les dclarations de lenfant ne sont que le fruit de sa manipulation par son reprsentant lgal dans le cadre dun conflit parental, cest du parent qui le pousse tmoigner dont il faut le protger. Comprenez donc que, si le parent protecteur insiste un peu trop pour que soit protg son enfant, le lui arracher constitue donc la rponse approprie En outre, et en tout tat de cause, cest de lui-mme dont il faudra ventuellement protger lenfant, en fonction de son atteinte psychique, laquelle ne manquera pas dtre tablie par un expert

Extrait de lexpertise du docteur Aiguevives dans laffaire Vincent (extrait du livre Laffaire Vincent ; au cur du terrorisme dEtat , disponible en PDF sur le site pdopolis .

Cette expertise du docteur AIGUEVIVES ne comporte dj pas de test de Q.I. Une expertise initiale avait tablie que lenfant disposait dun quotient intellectuel remarquable. Pourtant, malgr les nombreuses attestations de lintelligence particulire de lenfant, l expert dclara de faon ambigu que : Ce grand enfant a une intelligence dans les limites de la normale . Le pdopsychiatre commena son rapport par une chronologie des faits incomplte la dcharge du pre, ne retenant que des lments qui avaient tort t retenus contre la mre, dnotant immdiatement sa partialit. Il crivit ensuite ; - Par plainte de madame ROIG Myriam, une procdure pnale a t ouverte le 29 octobre 2005 et clture le 11 mars 2006 pour des faits dagressions sexuelles . A cet instant prcis, il tait vident que, puisque laffaire tait clture, son intervention ne pouvait avoir pour objet que de descendre en flche la partie plaignante ; nous avons la preuve quil ne sagissait que dune mascarade pour justifier posteriori le fait quil ny ait pas eu de relle enqute, puisque entre le 29 octobre 2005, date du dpt de plainte, et le 11 mars 2006, aucune vrification au domicile du pre navait t ordonne par le Parquet. Lexpert continuait, avec une parfaite mauvaise fois : - Les allgations de Vincent, g de 9 ans, selon lesquelles il a t victime de viols de la part de son pre, nont pas t confirmes, les examens mdico-psychologiques et pdo-psychiatriques nont rvl aucun fait de viol ou dagression sexuelle . Forcment ; les examens mdicaux navaient pas t faits correctement, rappelons-le Quant lexamen psychiatrique ralis par le docteur GRAUD-ESPEL, le passage cit dnotait la mme orientation partiale : Vincent refuse de rencontrer Monsieur Franois TANYERES, son pre, par loyaut lgard de sa mre et en raison de limpuissance de celle-ci arrter les visites, il nhsite pas inventer des svices invraisemblables pour chapper une obligation que sa mre ne supporterait pas Le docteur GRAUD-ESPEL affirma, sans aucune preuve pour tayer ses allgations, que lenfant mentait. Depuis quand, dailleurs, une expertise psy pouvait-elle attester ou non du viol commis sur une victime ? Ntait-ce pas du ct de lagresseur prsum quil aurait fallu chercher les indices, et sur un plan plus cartsien que cette ridicule mode de lexpertise psy ? A lorigine, lexpertise psy servait comprendre un acte, aprs que celui-ci ait t attest par une enqute ; mais lexpertise psy a remplac lenqute, subrepticement, dans les cas de plus en plus nombreux o une justice instrumentalise, pour ne pas dire corrompue, cherche non plus la vrit, mais touffer celle-ci.

Pour revenir sur le travail de cet expert AIGUEVIVES, sa pathologie tait inquitante, quand il crivait de Vincent ; il est dans la jouissance chaque fois quil peut contrer les arguments paternels ; le terme de jouissance employ pour un enfant de dix ans, mme pour voquer une perversion psychologique car cest bien de cela quil semble sagir me parat plus que dplac, surtout dans un tel contexte. Il voquait, je cite : une abondance mythomaniaquede graves fabulations qui progressivement avec le temps, suscitent des confusions de mmoirelenfant parvient sautosuggrer que cela a pu existernos rserves dexpert sur la crdibilit des dires de ce garon ont eu pour effet de stimuler limaginaire mythomaniaque de Vincentlenfant rpte les mmes minauderiesCest dans cet motionnel maternel fortement perturb que sest construit psychiquement Vincent. Aujourdhui, comme lcrit justement un de nos collgues experts, le docteur GRAU-ESPEL, cet enfant met en acte les reprsentations psychiques maternelles. Vincent est dpendant de liens prdipiens non labors, il met en scne les phantasmes maternels car pour linstant ce grand enfant ne peut pas sautoriser corner la loyaut affective qui le relie sa mamansyndrome dalination parentale (mre/fils)un grand enfant plutt de forte corpulencece grand enfant parle comme un adultesassigne une fonction, celle de tmoin charge contre son pre Ce prtendu expert poursuivait ainsi, je cite : Vincent crit Franoisil sest enlev le pantalon et le caleon et sest mis de la pommade blanche transparente sur son ziziil ma pris, il ma plaqu par terreil ma mis une gifle et ma tir par le brasil a mis son pied sur mon dos et ma baiss le pantalon et ma mis une autre pommade sur mes fessesil rigolait, moi je pleuraisil sest couch sur moi et a commenc bouger de droite gauche et de haut en basjai senti mes fesses mouilles, comme un robinet, javais trs mal aux fessesmoi je pleurais et il continuaitplus tard quand Virginie rentre, il lui a dit quil mavait bais, javais mal aux fesses, javais encore les fesses mouillesjavais un liquide couleur jauntreil la dit toute sa famille et ses amis quil mavait bais, il ma dit que si je disais il recommencerait il me tuerait comme il la fait au chienmon pre ma bais plusieurs fois : Or, je suis formel sur ce point, Vincent ne prononait jamais ce verbe baiser , ni le mot pre En ma prsence mon pre en a parl Mimie, Charles, Olivier, le frre de papa, il ne prononce jamais ce mot : papa , pas plus que le mot pre - Stphanie, Gilles, le copain Franois, Frdric, Germainpar la suite, ils se sont tous moqu de moi car javais t bais par mon pre : une fois de plus, AIGUEVIVES employait deux mots que Vincent ne prononait jamais Lindividu osait en outre prciser en NB, je cite : Nous expliquons Vincent que son rcit nous semble incohrent car il parat invraisemblable que son papa se soit flicit davoir viol son fils en prsence dautant de tmoins.

Et oui : En fait de tmoins , on appelle a des complices, dans le cadre de ce qui semble bien constituer un rseau de criminels pdophiles, et la manigance pour couvrir ce dernier apparat vidente.
Nous expliquons ce grand garon dcidment, il apprcie le terme de grand garon ! quelles sont les consquences prvisibles de tels propos Vincent a t alin sa mre, peut-tre sa grand-mrele rcit de cet enfant est expression mythomaniaquemanipulations psychologiques subies durant la premire enfance Vincent souhaite rester lunique objet de satisfaction de sa mre Curieuse faon de prsenter les choses Il tente de nous sduire par des histoires rocambolesquesil investit au bnfice de sa mre une fonction de justicier lencontre du pre, ce grand garon dcidment !se transforme en procureur de lautorit paternelle Ouaw ! On nest la limite du complexe dudype non ngoci Alors, je ne sais pas ce que vous pensez de cet talage de psychologie plus que douteuse, mais je pense pour ma part de cet expert que non seulement il fut certainement corrompu, mais que de surcrot il sagissait dun grand malade, ltant en toute logique au moins autant encore aujourdhui, faute de soins Fin de lextrait. A titre dinformation, le prtendu expert psychiatre Aiguevives, totalement la solde des rseaux pdocriminels, serait prsident de lassociation La voix (ou voie ?) de lenfant ... L encore, rompre les liens fusionnels tant primordial, larrachement de lenfant au parent protecteur sera de mise. Enfin, la remise de lenfant entre les mains de celui qui laccuse des pires svices, directement ou par tapes, sera la condition fondamentale pour permettre lenfant de se reconstruire. Lintrt suprieur de lenfant Cest, semble-t-il, cette notion si vague qui permet toutes sortes dinterprtations pour toutes sortes de dcisions, aussi injuste et criminelles soient-elles. La terminologie semble vouloir faire de lenfance une affaire dexpert, et ainsi retirer au profane non initi sa prrogative naturelle de parent responsable. Ainsi, dans les cas sensibles o il est question de la scurit dun mineur, seuls les experts pourront prtendre dcider du sort et du devenir dudit mineur. Les textes et principes de loi qui emploient ce terme si technique dintrt suprieur de lenfant seront dtourns, comme toujours. Du moment que ces quelques mots-cls apparaissent dans la conclusion dune prtendue dcision de justice, comme celle de la soustraction dun enfant son parent protecteur, cela sous-entend que seuls les experts intervenus dans le

cadre de cette dcision taient en mesure dapprcier alors cette notion pointue dintrt suprieur de lenfant. Le drame de la dscolarisation et dsocialisation de lenfant : Quelques fois, le parent protecteur se trouve contraint de partir dans une cavale dsespre avec son enfant, pour le protger du criminel souponn, mais galement, ce qui est largement plus problmatique, de la collusion mafieuse qui le soutient. Forcment, la clandestinit simposant pour protger lenfant, celui-ci ne peut plus frquenter dautres enfants, ni aller lcole. Entre, dune part, ces regrettables effets secondaires - inhrents la mesure extrme prise en dsespoir de cause pour protger lenfant -, et, dautre part, le danger encouru initialement par celui-ci sagissant de celui de subir svices et violences sexuels le reste de son enfance -, le parent protecteur a naturellement fait le choix qui simposait lui. La dscolarisation et dsocialisation de lenfant sont des notions qui, alors montes en pingle sur un ton mlodramatique par les imposteurs, masquent la problmatique du rel danger encouru par lenfant, et celle de la situation dramatique dans laquelle il se trouve effectivement, mais dcoulant de limposture judiciaire. La notion si technique dintrt suprieur de lenfant vient en force pour donner tout son poids au procs dintention qui dtourne lattention vis vis du vrai problme : Le parent protecteur met en danger lintrt suprieur de lenfant en le dscolarisant, voire en le dsocialisant. La parole de lenfant depuis laffaire dOutreau Lcoute du tmoin mineur, revue et corrige Larticle 706-52 du Code de Procdure Pnale prescrit lobligation pour les enquteurs de prendre laudition du tmoin mineur dans une salle amnage avec un dispositif de camra vido, avec le concours dun pdopsychiatre pour mettre le mineur en confiance et lassister dans sa dmarche. Il sagit de la fameuse procdure Mlanie. Pourtant, voil ce qui se passe bien souvent : lenfant nest seulement pas cout, et si procdure Mlanie il y a, elle vient souvent disparatre des pices charge. En effet, couter lenfant comme le prescrit la loi, et en outre en produire des pices charge telles que les tmoignages vido, ne fait pas laffaire de ceux qui ont intrt dissimuler le rel contexte dans lequel on devrait placer toute affaire de ce type ; ceux qui ont intrt protger les rseaux de criminels pdophiles, dfaut de protger les enfants. Si la parole de l'enfant est sacre, comme se sent oblige de le souligner la Convention Internationale des Droits de l'Enfant, elle est avant tout

dangereuse pour le rseau qui englue en profondeur l'appareil judiciaire, dangereuse pour le Pouvoir galement, manifestement impliqu en profondeur. La consigne formelle circule donc dans l'optique de discrditer d'entre de jeu la parole de lenfant, en vitant autant que possible de la recueillir dans les formes prescrites par la loi. Si le tmoignage de la victime mineure prsume a malgr tout t recueillie comme le prvoit la Loi, le magistrat du parquet - ou le magistrat instructeur, le cas chant - mettra un point dhonneur nen tenir aucun compte. Pour justifier un tel dnis de justice, il fallait bien substituer aux textes trop encombrants une notion plus tendance (up to date). La manipulation d'Outreau a donc palli le problme. NB : Rappelons que laffaire porte le nom du village franais o plusieurs enfants tmoignrent subir des abus sexuels de la part dun rseau, impliquant des notables locaux. Des parents taient impliqus, pratiquant lexploitation sexuelle de leurs propres enfants, pour le compte de ce rseau. Suite lclatement du scandale, un jeune magistrat instructeur, inexpriment, fut nomm. Il fut pris dans une vritable tourmente mdiatique, laffaire faisant ressortir des faux tmoignages de la part dadultes, et soit-disant denfants. Mais, plusieurs personnes avaient t incarcres en prventive, et le rebondissement mis en scne avec le revirement dun vrai-faux tmoin , fit clater le cur du scandale qui devait faire diversion : Ainsi, selon le procd de raisonnement binaire, il fut dcrt que lensemble des tmoignages relevait dune manipulation contre toutes les personnes impliques. Cest ainsi que celles-ci prirent le statu de victimes, encense par toute la crasse politique indigne ; Certains allrent jusqu crire des livres se voulant poignants, et que des enfants qui avaient subis des viols pourtant attests, furent dsign de menteurs. Jeus le loisir de rencontrer personnellement lun dentre eux, qui, mis en confiance, me tint des discours libertaires carrment pro-homophile et pdophile. Bref : Il y avait bien eu viols denfants en runion, mais au final aucun coupable si ce nest ce vrai-faux tmoin, et ce magistrat inexpriment qui semble bien avoir servi de marionnette pour la machination politico-mdiaticojudiciaire. La parole de lenfant tait devenue, quant elle, irrecevable, laffaire dOutreau faisant office de jurisprudence pour ce dogme criminel.. L'affaire n'a d'ailleurs probablement t traite telle qu'elle l'a t que pour tablir ce dogme effarant que la parole des enfants ne doit pas tre prise en compte ! En outre, il sagirait la base dun coup mont de toutes pices : Ce coup mont fut une mesure prventive suite l'affaire Dutroux-tmoins X de Belgique. Le pouvoir belge, impliqu jusqu'au coup dans le trafic, le viol, la torture et le meurtre d'enfants - Images des cd-roms de Zandvoort - avait eu les plus grandes

peines planter cette affaire, en en isolant la partie qui concernait les notables impliqus, savoir les dossiers X , pour orienter les dbats sur le rabatteur et briseur de victimes de leur rseau, Marc Dutroux. Suite au scandale, 650 000 citoyens taient descendus dans les rues pour une gigantesque marche blanche - images darchives - soit plus du double des chiffres officiels. Le peuple belge, pourtant de nature placide et peu ractif, avait fait trembler le pouvoir en place ! Du coup, notre imposture politique nationale - implique galement dans laffaire Dutroux et laffaire connecte dite des cd-roms de Zandvoort - avec, en outre, tous les dossiers sur le thme des rseaux de trafic d'tres humains et d'enfants qui, en France, ds le dbut des annes 90, menaaient de lui exploser au visage, a vite organis un contre-feu prventif ; la fameuse manipulation d'Outreau. Je devais, quant moi, saisir en application pratique toute limportance de cette manipulation, dans le cadre de laffaire Vincent, ce courageux enfant dalors dix ans lpoque, que je tentais de protger de la terreur judiciaire perpignanaise dans le contexte prcis en objet de ce dossier. L, loccasion dune audience en huis clos intervenant au bout de trois semaines de mon incarcration en prventive pour soustraction de mineur , le magistrat prsident en cette cours dappel de Montpellier, me mit face ma purile irresponsabilit : Il me fut expliqu gentiment que depuis laffaire dOutreau, jaurais d savoir que la parole des enfants ne valait plus rien, et que donc mon intervention pour sa cause tait aussi stupide que dplace. Pour autant, laffaire dOutreau est loin davoir livr tous ses secrets, bien au contraire. Si lun des acquitts dOutreau est prsent comme un martyr, cest parce que lon oublie la dclaration quil fit aux enquteurs. Daniel Legrand dclarait ainsi : Jai viol des enfants. Cest arriv chez Delay, chez Myriam et Thierry, cest des amis que jai connu lge de quinze ans quand jallais chercher mon shit Outreau jatterrissais chez eux. Jai fait a pour largent, on ma propos de faire a pour de largent et moi jai accept, cest Thierry Delay. Je touchais 300, 400, jusqu 600 francs, souvent, jachetais du shit avec / jai eu des relations sexuelles avec les femmes, a mest arriv avec Aurlie Grnon, a cest pass plus ou moins bien, a a t. Ctait quand il se passait a Les femmes pntraient les enfants avec les godes, on faisait lamour avec des adultes. On tait films, des fois on me demandait de filmer. / Jai fait a de 15 ans 19 ans, jai arrt vers lan 2000 parce que jen avais marre / Les enfants je les violais, il y avait les femmes qui taient l pour nous masturber, on me mettait bien en jambe, avec les femmes qui taient prsentes. Myriam et ses copines, des fois on tait dix ou quinze . La vrit est interdite galement car, au del de la pdophilie en rseau de notables locaux, il y a assassinat denfants :

Les enfants criaient, ils hurlaient. A cette poque je fumais mon shit, je prenais pas encore dhro Thierry il a tu la fillette avec ses mains parce quelle hurlait et il a pas support, jtais prsent au moment o il la fait .

Lincohrence des dclarations du tmoin mineur : Aux vues de ce que lenfant dclare, il ne peut sagir que de mensonges. Leitmotiv que je devais essuyer chaque fois que je me retrouvais face un gendarme ou un magistrat, dans le cadre de laffaire Vincent. Sappuyant toujours sur le dogme dOutreau, voil une faon courante de traiter la parole de lenfant, ou de tout tmoin trop gnant qui oserait rapporter des monstruosits commises en rseau. Surtout quand les dclarations font ressortir limplication de notables Les pratiques monstrueuses dont nos lites seraient coutumiers doivent rester au stade de lgendes urbaines sur fond de thories de complot. Leurs hommes de mains, pourvoyeurs de chair frache, briseurs de victimes et organisateurs de rjouissances, servent en outre de fusibles, de bouc-missaires en cas de besoin ; condition de ntre que des seconds couteaux, ils peuvent tre sacrifis par le rseau pour endosser alors le rle du serial killer dtraqu et isol. Mme des faits concrets et tablis daprs des preuves seront ignors ou jugs irrecevables, si on prtend ne pas trouver de logique, ou de cohrence, leur existence. Tout est fonction de la perception que lon a de notre socit, ou plus prcisment de la perception que certains veulent que nous en ayons. Tmoignage de Patricia Poupart ; affaire des cd roms de Zandvoort Car, ce qui dfinit lincohrence prtendue des faits rapports ou tablis, cest bien entendu la seule apprciation des enquteurs et magistrats - celle du magistrat jugeant en audience tant souveraine en Droit franais, comme chacun sait. Une apprciation du contexte tablie en fonction des faits jusquici connus, cest dire ayant subi filtrage et traitement adapts. Une apprhension du dit contexte qui nest donc que le fruit dun formatage socital, de la manipulation de lopinion publique entre mensonges, manigances et terreur sourde, orchestrs par nos lites philanthropes .

Le mot dordre des membres de linstitution judiciaire est donc de brandir cette notion dincohrence du tmoignage, sagissant de celui dun enfant qui ose parler de viols commis par acteurs dinstitutions proches de lenfance, ou par son gniteur, loccasion de quelques soires prives, par exemple. Plus laccusation va en saggravant, plus celle-ci est dcrte incohrente, et donc irrecevable doffice Extrait du tmoignage de Vincent sur les vidos de viols et mises mort denfants A fortiori si un tiers ou mme un enquteur trop intgre parle de rseau constitu, frquent par des notables. En fait, il ny a rien dincohrent dans les faits les plus pouvantables qui puissent tre rapports, aux vues du rel contexte qui les permet, et dont nous dcouvrons avec horreur la relle ampleur. Re images des cd-roms de Zandvoort en dfil rapide Extrait du rapport de lONU sur ce quil en est des dossier qua vis le rapporteur Juan Miguel Petit et la cohrence des tmoignages La notion de gravit des accusations : Quand un acteur judiciaire fait remarquer que les dclarations dun petit tmoin sont graves, le vent tourne dangereusement. En effet, le cynisme sans limite des imposteurs leur permettra d'insinuer, jusqu' faire admettre avec autorit, que a ne sont pas les actes odieux dnoncs par l'enfant qui sont concerns par cette notion de gravit. Non, comprenez ici que ce qui est grave, cest quun enfant soit assez tordu pour faire de telles accusations. Mais ne vous en faites pas ; lexpert psychiatre viendra bien vite expliquer tout cela LAtteinte la vie prive et la prsomption dinnocence : Comment donc, dans un tel contexte de manipulation de la parole de lenfant sur fond de conflit de couple, peut-on se permettre dinquiter un malheureux gniteur par une quelconque enqute ? Fort heureusement, la plus part du temps celui-ci aura les relations ncessaires pour que lui soit viter un tel affront, une telle insoutenable pression. Il sera alors jug indigne, au nom des principes de respect de la prsomption dinnocence et de respect de la vie prive, de procder une enqute sur le mis en cause, lequel devra tre disculp au plus vite.

Pourtant, si il est vrai que faire lobjet dune enqute nest jamais agrable, la loi prvoit des mesures particulires afin de garantir ces notions de respect de vie prive ou de prsomption dinnocence, dans le cadre du secret dinstruction. Ces principes ont t renforcs par la loi Guigou de janvier 2000. Comment se fait-il que se soit au nom de ces principes, justement garantis dans le cadre de toute affaire judiciaire, que lon prtende ne pas mener denqute sur une personne mise en cause dans les formes lgales ? Ne sagirait-il pas alors de prtextes fallacieux servant interdire la manifestation de la vrit, en donnant lillusion que lon protge des principes de justice ? Il est dailleurs intressant de constater quen revanche, ce sont quelques fois les personnes mises en cause qui violent elles-mmes le secret dinstruction cens protger leur vie prive, quand leur relationnel leur permet daccder aux mdias pour ainsi les instrumentaliser . Il sagit dune manuvre consistant faire tat soi-mme de laccusation dont on fait lobjet en hurlant la diffamation ! avec lair le plus indign, abattu ou rvolt possible, comme si cela constituait alors la preuve dune bonne fois vidente, et donc de son innocence. La manuvre sert influencer tant lopinion publique ainsi indment alerte, que les acteurs judiciaires concern mais non ncessairement impliqus. Effet quest justement sens interdire le respect du secret dinstruction, en plus de la prsomption dinnocence de toute personne mise en cause. Exemple ; cas Chauvet. Tmoignage de Priscilla et extraits du site SOS PAPA, et des missions tlvises Plante Justice . Le procd nest pas sans rappeler certaines interventions tlvises particulirement dplaces, dun certain Dominique Baudis. Venant tout juste de quitter le poste de maire de Toulouse pour se retrouver prsident du CSA Comit de Scurit de lAudiovisuel , impliqu par des tmoignages dans des affaires de crimes en runion dans le cadre de laffaire Algre exemple de bouc-missaire -, il abusa de sa fonction et dtourna une chane publique pour clamer son innocence, ruisselant de sueur. France 2 claqua mme un budget consquent pour pondre un tlfilm en deux parties la gloire du pauvre notable victime de la jalousie du bas peuple. Le titre me met encore la larme lil, jugez vous-mme ; Notable donc coupable . La classe politique , avec sa lgendaire solidarit fraternelle, fit une spectaculaire leve de bouclier, embotant le pas au certifi innocent doffice avec une indignation granguignolesque, jusqu Nicolas Sarkozy dans sa plate autobiographie - livre Tmoignages . Le jugement de valeur Lvocation de laffaire Algre permet cette transition sur cet autre procd si tendance au sein du club des robes noires et noires et pourpres - bonne cole

avec la crasse politique - sagissant de la primaut du jugement de valeur lexamen de tout fait criminel rapport. Nous pouvons apprcier la faon dont est apprhend et trait un tmoignage venant de prostitues, recueilli dans les formes lgales et recoup par des faits indniables, mais incriminant un magistrat du parquet : En loccurrence, il sagissait du sieur Marc Bouraguet, lpoque substitut du procureur la section financire du parquet de Toulouse. Le tmoignage naurait pas t crdible, parce que provenant de prostitues, lesquelles, devraient-on croire, nauraient donc pas les mmes prrogatives citoyennes que tout le monde. Quant lincrimination, malgr des recoupements accablants mis en forme dans le rapport Brard - du nom du procureur chapotant lenqute du gendarme Michel Roussel -, elle fut simplement dcrte irrecevable parce que concernant un magistrat. Il sagissait pourtant dun contexte de viols collectifs dans lenceinte du tribunal, recoupes par des dtails de description des lieux prcis et des tmoignage croiss. Contexte agrment de faits de tortures avec actes de barbarie dans des soires orgiaques de notables qui se droulaient dans la maison de No , et dune longue srie dassassinats. Notons que ce fameux rapport Brard est, depuis, tenu au secret la chancellerie sous le numro 8 PG 05, et ainsi rendu inaccessible aux nombreuses familles de victimes. A ce procd de substitution de jugement de valeur lexamen des faits, apprcions le rle de lexpert psychiatre qui, jetant lopprobre sur un tmoin par une apprciation oriente de sa psych, permet que celui-ci soit disqualifi dans sa qualit de tmoin ou de victime. Notons pour finir que le jugement de valeur concerne directement les enfants, de faon sournoise, quand le tmoin est purement et simplement rabaiss et discrdit parce que mineur.

Les malversations judiciaires

1) A loccasion de la saisine de linstitution judiciaire Quil sagisse dun reprsentant lgal, dun professionnel au contact de lenfance, ou de tout adulte, quiconque a connaissance de soupons de violences diverses

physiques ou psychologiques, maltraitances ou privations de soins dont peut tre victime un mineur, fortiori de moins de quinze ans, a obligation de saisir au plus vite lautorit judiciaire, sur la base des lments recueillis ou constats. Aux vues du soupon constitu par les dclarations, que lenfant puisse subir des agressions sexuelles, ne pas saisir la justice de faon formelle constitue, de la part de tout parent, un manquement ses obligations lgales, exactement comme il en ait de la dfaillance de tout parent vis vis de la protection de son enfant. Rappelons que cette infraction est prvue par le Code Pnal en son article 227-17 et rprime de deux ans demprisonnement et de 30 000 euros damende : Fait, par le pre ou la mre lgitime, naturel ou adoptif, de se soustraire, sans motif lgitime, ses obligations lgales au point de compromettre gravement la sant, la scurit, la moralit ou lducation de son enfant mineur. Notez quune complicit passive peut galement tre releve lencontre du reprsentant lgal pris en faute, dans le cas o les faits criminels seraient attests. Concernant les professionnels au contact de lenfance, on parle dobligation de signalement. textes Outre la notion morale, et limprieux devoir de tout mettre en uvre pour protger un enfant, la ncessit de saisir linstitution judiciaire, dans un tel cadre, nchappe personne. Et nous parlons, videmment de suspicion dagressions sexuelles, les faits tant senss tre tablis ou infirms par linstitution saisie, au cours de lenqute quelle est sense dclencher. De son ct, le procureur de la rpublique, saisi par toute plainte dite directe dpose dans une brigade de gendarmerie ou un commissariat de police -, doit, dans le cadre daffaires qui nous occupe, transmettre au juge des enfants lexistence dune procdure en cours. Texte (Loi n98-468 du 17 juin 1998) Il a obligation de faire procder une enqute, aux vues de la gravit de la situation souponne. Ceci dit, cest dj au seul niveau du dpt de plainte que les choses se gtent.

Tmoignages Pourtant, sachez tout dabord que quiconque est en droit de dposer plainte o bon lui semble sur le territoire national, quelque soit son lieu de domicile ou de rsidence, quelque soit la nature du problme. Tout Officier de Police Judiciaire, OPJ - ce qui nest quune fonction denquteur commune aux gendarmes et aux policiers indpendante du grade - est habilit prendre la plainte dun citoyen. Chaque unit de police ou de gendarmerie se doit de mettre sans dlais un OPJ au service de tout plaignant. On est reu en principe par un agent de police judiciaire, APJ, et celui-ci peut, le cas chant, nous faire attendre le temps de trouver un OPJ en mesure de prendre notre plainte sance tenante. Si cest un OPJ qui nous reoit, cela sous-entend quil est alors disponible et notre service. En aucun cas on ne saurait tre balad par un OPJ au prtexte de son emploi du temps charg. Il sagit dun non sens qui indique la probabilit du dbut dune manuvre frauduleuse pour faire obstacle notre dmarche. En outre, les OPJ qui se livrent se genre de manuvre sont coupables de prvarication . Quant savoir si un OPJ peut refuser de prendre une plainte en fonction de manque de preuve, il s'agit l encore d'un non-sens, et toujours dun acte de prvarication : Une plainte sert signaler une infraction alors souponne, et dclencher une enqute, pour au final obtenir rparation, et le cas chant protection de faon immdiate. Cest lenqute qui a pour objet la manifestation de la vrit, et donc la recherche de preuves de ce que lenfant accompagn par son reprsentant lgal, entend, en loccurrence, dnoncer. a n'est pas, selon les principes mmes du fonctionnement de la justice, au plaignant dapporter des preuves de linfraction souponne. Bien sr, si le plaignant, ou le parent qui reprsente l'enfant tmoin, dispose dj d'lments de nature confirmer la vracit des accusations, le travail des enquteurs devrait s'en trouver facilit. Le seul cas o le plaignant doit se munir de preuves concerne la citation directe comparatre, procdure qui a lavantage de permettre au parent protecteur, en loccurrence, de confondre rapidement en audience publique lagresseur de son enfant et ses complices ventuels, ce sans passer par une enqute judiciaire. Pour autant, malgr ce que prvoit la Loi, tout semble mis en place pour qu la base, un signalement ou une plainte constitue une dmarche vaine et dsagrable effectuer, voire mme prjudiciable. Tmoignages

Je peux vous assurer, tant ancien gendarme et ayant travaill plus tard de nombreuses annes au contact des forces de lordre, que des consignes particulires sont donnes en haut lieu destination des brigades de gendarmerie et commissariats de police. Celles-ci ne concernent pas lattention apporter aux victimes et tmoins dsirant porter plainte, mais au contraire la ncessit de les en dissuader autant que possible, ce afin de truquer les chiffres statistiques sur la dlinquance et la criminalit. Ces effarantes consignes sont dautant plus appliques quil sagit de prsomption de crimes sexuels sur mineur. Toute affaire survenant est de nature lever le voile quant au rel contexte de la criminalit sur enfant, et de la relle emprise des rseaux dits pdophiles sur nos institutions. Outre le fait que ce contexte doit tre dissimul tout prix, on remarque que dans la plupart des cas, les personnes mises en cause appartiennent la francmaonnerie. Tmoignages Quand a nest pas le cas, du moins en apparence, il y a des liens de nature mafieuse entre la personne mise en cause et les autorits judiciaires du secteur concern par laffaire. Tmoignages de Virginie, Sonia, Vronique Le signalement et la main courante ; saisines mises hors jeu Distinguons le signalement de la main courante. Le signalement concerne principalement les professionnels au contact de lenfance, constituant le moyen par lequel ils doivent saisir lautorit judiciaire dans les cas o ils suspectent des mauvais traitements ou des svices subis par un mineur. Le signalement se fait sur la base, le plus souvent, des dclarations spontanes dun enfant, exprimes un moment o il se sent en confiance avec ladulte qui lencadre. Il peut galement sagir de constatations mdicales effectues par un mdecin, par exemple ; des lsions suspectes au niveau des parties basses, des marques de coups. A loccasion de son auscultation, le mdecin doit interroger son petit patient, en fonction de ses soupons. Les dclarations de lenfant doivent alors tre annexes aux constats mdicaux, travers un signalement que le mdecin a obligation deffectuer lautorit judiciaire. Pour un mdecin, le moyen le plus simple de rpondre son obligation de signalement reste dadresser un courrier explicite au procureur de la Rpublique.

Mais, contre toute logique, une vritable terreur est applique, de la part mme des acteurs judiciaires saisis, vis vis des mdecins qui entendent rpondre leurs obligations lgales et morales Extrait du rapport de lONU concernant les poursuites illicites contre les mdecins qui effectuent des signalements. Si les mdecins sont soumis une telle inquisition de la part des prtendues autorits judiciaires, dune faon si formelle quun rapporteur de lONU ait cru ncessaire de le dnoncer officiellement, on imagine sans peine ce quoi se heurtera tout parent protecteur tentant de remplir son devoir lgal dans ce mme cadre. Ce mme rapport nous donne la tendance. Extrait du rapport de Juan Miguel petit concernant la terreur applique aux parents protecteurs. La main courante est le nom donn une procdure simplifie qui permet au citoyen de saisir lautorit judiciaire, accessible en loccurrence au parent protecteur suspectant des faits dagressions sexuelles sur son enfant. Cette main courante se fait, sur demande, par le biais dune note dinformation rdige lors dune simple audition prise par un policier ou un gendarme. Si elle ne constitue pas une plainte, la procdure nen est pas moins une saisine formelle et rgulire de lautorit judiciaire, sense, quant elle, y donner suite. Dans les deux cas, sagissant donc de suspicion dagressions sexuelles sur mineur de moins de quinze ans, lautorit judiciaire, en loccurrence le procureur de la rpublique, ne peut que diligenter une enqute. Sen abstenir constitue un acte de prvarication, un grave dni de justice. Lorsquune enqute atteste la ralit des faits suspects, il nest pas pour autant ncessaire que le reprsentant lgal porte plainte au nom de son enfant pour que justice se fasse : Aprs la manifestation de la vrit, et avec la notion primordiale de protection de tmoin qui plus est mineur, le rle de linstitution judiciaire, alors reprsente par le procureur saisi, est dinterdire la persistance et laggravation de linfraction et den rprimer auteur et coauteurs. Le procureur, ayant les pleins pouvoirs en cette optique, doit donc engager la poursuite dite du ministre publique lencontre du criminel souponn mais prsum innocent, afin de le faire comparatre devant le tribunal. Vous lavez compris, nous sommes l dans un cadre thorique qui tient plus lieu de lgende urbaine que de ralit judiciaire, la poursuite du ministre publique ne se pratiquant en fait que pour briser un parent protecteur Tmoignage Priscilla prcisant tre poursuivie par le ministre public La plainte, doigt dans lengrenage fatal

Donc, par ce premier manquement de lEtat, sagissant de limpossibilit pour quiconque dobtenir quune simple main courante puisse tre traite tel que la loi le prescrit, le parent protecteur se trouve rapidement dans lobligation de porter plainte au nom de son enfant. Il sagit l de la dmarche du reprsentant lgal dun mineur de moins de quinze ans. Quand ceux-ci ne font pas tout pour refuser une plainte, ce sont parfois des policiers ou gendarmes saisis qui imposent effectivement au parent protecteur de porter plainte comme condition ce quil y ait une suite. Soit ces enquteurs, bien conscients du problme relev, font simplement de leur mieux, ce qui arrive tout de mme, au moins ce niveau, soit le parent protecteur est dj cibl, et attendu au tournant. Pourtant et quoi quil en soit, on peu comprendre aisment quune mre puisse avoir peur des reprsailles lide de devoir dposer une plainte - qui a toutes les chances de ne pas aboutir - contre un conjoint ou ex conjoint rput violent Tmoignage de Virginie sur sa peur de porter plainte On peut galement comprendre, que, mise part la peur de reprsailles, le parent protecteur soit suffisamment boulevers pour ne pas souhaiter autre chose que de se dcharger totalement sur linstitution judiciaire, laquelle tant sense tre infaillible pour venir en aide aux plus vulnrables, fortiori dans un tel cadre. Tmoignage Blandine Mme si il reste habit dun doute quant la vracit des propos de son enfant, le parent protecteur se retrouve alors impliqu dans une procdure offensive lencontre dune tierce personne quil est oblig de nommer, du moins dans le cadre dune plainte directe. Cest partir de l que le cadre se forme pour linsidieux retournement de situation lencontre du parent protecteur. Comme nous le verrons plus en dtails, sa plainte sera trs vite prsente par les imposteurs de service comme sagissant dun acte malveillant. La poursuite en diffamation C'est le spectre brandi pour effrayer le parent protecteur, et qui devrait dissuader celui-ci de dposer une plainte pour mettre fin aux viols subis par le malheureux enfant. Effectivement, un parent protecteur ou un tmoin-victime peut trop facilement se retrouver poursuivi pour dnonciation calomnieuse , suite au classement sans-suite de sa plainte, ou au non-lieu de l'instruction ayant suivi sa plainte, si l'affaire arrive jusque l. Il est comprhensible que les personnes mises en cause veuillent interfrer dans la procdure dont elles font lobjet, fortiori si elle sont coupables, ce en

essayant de retourner la situation contre les personnes qui laccusent. Ainsi, se retrouvant accuses de violences aggraves sur mineur, ces personnes prtexteront le plus souvent tre victimes, entre autres, de dnonciation calomnieuse. Une suite nest rendue possible dans la pratique qu travers le parti-pris doffice des acteurs judiciaires contre le parent protecteur et lenfant, et en faveur du mis en cause. Si il est dcrt et ainsi admis que la plainte initiale est le fruit dun conflit parental, et donc dune manipulation du parent protecteur en vue de nuire au conjoint ou ex conjoint, cela induit de fait que la plainte est abusive. La diffamation est galement induite. En outre, et dune faon plus gnrale, le problme vient du fait que lon nous impose insidieusement le raisonnement binaire, une fois encore. S il na pas pu tre tabli la culpabilit dune personne mise en cause, cest que la personne souponne est innocente. Si la victime prsume de viol na pas pu bnficier de ltablissement des faits incrimins, cela permettra de sous-entendre que celle-ci ou son reprsentant lgal diffame. Le retournement de la situation est en suite permis et mis en forme par les acteurs judiciaires. Car si, pour le compte, cette plainte provenant du criminel prsum est prise au srieux par les acteurs judiciaires saisis, il ne sagit pas dun hasard ; on remarque alors le dcalage entre la faon, par exemple, dont est traite la plainte initiale pour viol, et celle dont est traite la plainte du mis en cause pour dnonciation calomnieuse ou diffamation. Tmoignage L, nul besoin de preuve pour tablir la culpabilit de celle ou celui qui tait initialement victime prsume, ou de son reprsentant lgal protecteur. C'est une des raisons pour lesquelles il faut viter la plainte directe, qui permet aux imposteurs, aux postes cl avec leurs ouvriers , de rendre un classement sans suite express, et donc doprer un retournement de situation radical en dfaveur de la victime, et ou de son reprsentant lgal. Si il nest pas apport dlment de preuve plus convaincant que les dclarations de lenfant, il convient surtout - de faon prventive - de prendre des gants lors de l'audition ou de la rdaction du dpt de plainte, et mme dune simple main-courante. Avant tout, le parent protecteur doit viter de tmoigner. Cest lenfant de tmoigner, le rle de son reprsentant lgal tant simplement de laccompagner et, si ncessaire, de dposer une plainte en son nom - si il na pas encore quinze ans. Le seul cas dont il doit tmoigner travers sa dposition, cest si il a

personnellement constat des lments susceptibles de confirmer les accusations de lenfant. Mais en ce cas, il convient de rester factuel, et demployer systmatiquement le conditionnel dans le cas o il savre ncessaire de parler de ce que lenfant avance. Malgr le choc des rvlations de son enfant, le parent protecteur ne doit jamais se dpartir du dtachement d'usage, ne jamais faire tat du fait quil considre que la personne mise en cause serait bel et bien un criminel Relire sa dposition est essentiel. Il ne faut jamais accepter de la signer si elle nest pas parfaitement conforme ses dclarations, dans le fond comme dans la forme. Si le parent protecteur sait respecter ces rgles , il ne devrait pas tre relev le moindre lment moral et mme matriel pour constituer linfraction de diffamation ou de dnonciation calomnieuse. Mais il sagit toujours de thorie car quelles que soient les prcautions prises, les moyens seront mis en uvre pour interdire toute justice et protger le rseau. 2) Le simulacre denqute A ce stade, puisque plainte il y a, le problme de lenqute doit tre trait par les imposteurs avec une obligation de rsultat. Vous lavez compris, le rsultat devant tre obtenu est le retournement de situation contre le parent protecteur. Lenqute va donc prendre la tournure dun simulacre, histoire de sauvegarder les apparences, ce avec maestria en terme dhypocrisie et de machiavlisme. Lanalyse mdico-lgale La logique veut que le reprsentant lgal de lenfant fasse, au plus vite, effectuer une analyse gyncologique des voies basses de lenfant par un spcialiste. Si il est vident que le parent protecteur peut commencer par cette dmarche de son propre chef, il est de toutes faons prvu que celle-ci soit organise dans le cadre de lenqute qui doit se dclencher ; cest donc aux enquteurs de lorienter dans cette optique. Mais lexpertise doit tre programme et effectue au plus vite, dans les heures suivant la dmarche. Il sagit en effet dune notion lmentaire durgence en matire de protection dindices en fonction de leur caractre phmre et fragile. Tout laxisme quaurait subir une victime et son reprsentant lgal, de la part des acteurs judiciaires saisis est de nature trahir alors la probable et plus ou moins formelle implication criminelle de ces derniers. Soient ceux-ci entendent protger directement le mis en cause, soit il sagit de protger le rseau auquel il appartiendrait en loccurrence. Tout au moins, ces acteurs judiciaires se rendent coupables daccepter des

ordres irrecevables, ou de suivre tacitement des consignes gnrales dune nature toute aussi illicite, dispenses des fins criminelles. Ceci dit, dans des proportions trs leves, intervient un classement sans-suite de la plainte dpose au nom dun enfant, en raison de rsultats prtendus ngatifs des expertises mdico-lgales. Ceci constitue une imposture majeure, car les probabilits quune telle expertise se rvle positive, et puisse ainsi mettre en vidence les preuves de violences sexuelles, sont extrmement rduites. Labsence de trace laisse par un criminel dcoule dune mthodologie vidente de la part de celui-ci, qui peut exprimer ses pulsions de diffrentes faons, en prenant diffrentes prcautions. En outre, il nchappe pas tout criminel que lors de la commission de svices particulirement graves sur une petite victime, il est des prcautions particulires prendre pour viter que des traces exploitables puissent tre prleves, au cas o... Il est en effet connu de tous les experts que les criminels violent principalement les voies anales galement pour lagression sexuelle de fillettes, ce afin dviter de laisser les traces de leur crime au niveau gyncologique proprement parler. Les criminels coutumiers du fait et ou initis - savent galement quils ont intrt laisser passer un certain dlais entre leurs actes criminels de viol par voies anales et le moment ou la victime est rcupre par un parent protecteur. En effet, de faon gnrale, les dformations et lsions anales disparaissent assez rapidement. Il existe mme des sites qui mettent en ligne des forums pour dtraqus pdophiles o de vritables procdures qui indiquent comment violer des enfants en toute scurit sont ouvertement en objet. Si la censure frappe les sites qui osent dnoncer la pdophilie et les rseaux, la justice ne trouve ici rien y redire. C est une indication de plus quant au rel contexte qui nous occupe. Exemple de sites pdo Donc, il convient de savoir que selon les chiffres officiels, les examens gyncologiques ne permettent de trouver des lsions suspectes que dans 6% des cas. Comment, alors, un magistrat peut-il prtendre clore un enqute au bnfice dun criminel souponn, sur la seule base dune expertise gyncologique prtendument ngative ? Comment peut-on tolrer que le principe de raisonnement binaire vienne, l encore, se substituer llmentaire bon-sens, dans un tel cadre ? Limposture judiciaire prtend ainsi monter en pingle limportance plus que relative dune simple expertise, en ngligeant lenqute profonde et minutieuse qui doit tre mene avec des recherches de preuves tout azimut, en particulier en direction du mis en cause.

Si il ny a pas de trace des violences sexuelles, malgr le peu de chances den trouver, ce serait la preuve quil ny a pas de violences sexuelles. Mais il y a un autre aspect du problme qui vient renforcer linstrumentalisation criminelle de la fameuse expertise gyncologique. Dans les soit-disant uniques 6% intervenant en terme de rsultats positifs - et donc de preuves formelles dactes de viol -, a nest pas pour autant que lesdites lsions sont interprtes comme telles par les mdecins. Les mdecins font montre dun extrme prudence, quant leur interprtation, en raison du fameux contexte dnonc par le rapporteur de lONU, Juan Miguel Petit. Cest dans ce contexte l, galement, que des expertises rentrant dans les 6% positifs sont susceptibles, quand bien mme elles passeraient le cap dune courageuse interprtation mdicale, dtre alors carrment perdues ou cartes des dbats par des magistrats corrompus, investis de pouvoirs dterminants, et jamais en reste darguments frauduleux imposs avec autorit. tmoignages Lexpertise psychologique Une autre expertise viendra complter le tableau du simulacre denqute. Celleci aura le double avantage de permettre le retournement de situation contre parent protecteur et tmoin mineur ; il sagit de lexpertise psychologique ou psychiatrique. Celle-ci sera effectue par un expert soigneusement slectionn, et ne concernera pas le mis en cause, mais bien laccusation. Cette imposture ci mritant une attention particulire car intervenant pour la mise en accusation du parent protecteur, cest donc au chapitre sur ce thme que nous dvelopperons le sujet. Lorientation des propos du tmoin mineur Une question pige est souvent pose lenfant par les imposteurs avertis, loccasion dune audition ou une autre. - Dis-moi ; qui cest qui ta dit de dire tout a ? Cest ta maman ton papa - ? Lenfant va naturellement rpondre en dsignant le parent protecteur qui laccompagne dans sa dmarche, en toute logique. Car effectivement, le parent protecteur prpare un minimum son enfant linterrogatoire quil va subir, afin de le mettre en confiance et de lenjoindre de parler sans crainte. De ce fait, le parent protecteur dit immanquablement son enfant que celui-ci doit raconter tout ce qui lui est arriv, aux grandes personnes quil va avoir en face de lui dans un contexte intimidant.

Mais cest sur lambigut de la question-rponse et sa prsentation oriente par les tratres, que se joue pernicieusement limposture. Lenfant aura, du point de vue des imposteurs, avou que cest son parent protecteur qui la incit parler, cest dire raconter des histoires . De cette simple question pige, lincrimination du parent protecteur devient une formalit. Laudition du mis en cause Naturellement, lenqute tait, la base, sense concerner le mis en cause avant quiconque. Dans un tel cadre de suspicion de crime sur mineur - de moins de quinze ans -, un minimum de mesures est prvu. Ainsi, le suspect devrait faire lobjet dune surveillance discrte mais appuye -, ainsi que dune enqute sur ses faits et gestes, les personnes quil frquente, ses ventuels antcdents, etc La mise sur coute de ses lignes tlphoniques fixes et mobiles ainsi que la perquisition de ses domiciles et lieux de rsidence font galement partie des mesures lmentaires quune simple commission rogatoire permet, de la part dun juge dinstruction, ou mme loccasion dune enqute en flagrance. Mais en fait, lors de lenqute dclenche par la plainte directe, laudition du suspect sera la seule contrainte dont il fera lobjet, ds lors que le procureur a dj dcid que laffaire doit tre classe sans-suite, fort des rsultats de sa pseudo enqute oriente et caviarde . Dans la majorit des cas, le mis en cause pour des faits de agressions sexuelles sur mineur de (moins de) quinze ans par ascendant ayant droit ne sera mme pas mis en garde vue, et sa simple audition - que lon peut imaginer stant droule dans une ambiance conviviale et confraternelle bouclera lenqute. Tmoignage Priscilla etc Dans quelques rares cas o le simulacre denqute doit impliquer plus de monde, ce qui est toujours regrettable car plus dlicat, cest en principe parce que des projecteurs ont t brandis sur laffaire. Notons que dans un tel climat terroriste, il convient de ne pas rester porte de gendarme pour maintenir la lumire sur ce type daffaire, quelque soit le moyen employ. Tmoignage de Patricia Poupart sur sa condamnation une astreinte la forant fermer son blog Ainsi, dans laffaire Vincent, mtant soustrait limposture judiciaire pour mettre en ligne et maintenir le tmoignage vido de lenfant sur lInternet, la blogosphre tait alerte du scandale, grce la pugnacit des internautes

qui relayaient linformation malgr les manuvres de censure. Du coup, un simulacre dinstruction a d tre organis, histoire de sauvegarder les illusions. Une perquisition fut mme dcide au domicile du gniteur, en fonction de lvidence de la ncessit dune telle mesure, la ngligence de celle-ci alors rendue publique. Extraits du tmoignage de Vincent sur ce que contenait la maison de son bourreau Bien videmment, si le criminel suspect tait dj largement alert, il fut pour le coup prvenu ouvertement par le juge dinstruction lors dune confrontation, trois mois avant que nait eu lieu ladite perquisition, ce qui est annot dans laudition. 3) Le retournement de situation De cette notion de protection de lenfant revue par limposture judiciaire, deux actions criminelles dcouleront alors ; arracher lenfant au parent protecteur et mettre ce dernier en accusation, ce, sous couvert de mesures prtendues judiciaires.

Larrachement de lenfant au parent protecteur ou rapt lgalis Si il est donc tabli doffice quil ny a aucun soupon de viol sur mineur, malgr le tmoignage de lenfant et mme quelques fois des preuves videntes, interdire au mis en cause de jouir de son droit de garde mauvais jeu de mot oblige nest donc pas admissible. Toutes les mesures prvues dans le cadre de la protection de tmoin sont ainsi hors sujet, tout comme tous ces textes qui ne servent en loccurrence qu parfaire le jeu des illusions quant la prtendue volont politique de protection de lenfance. A linverse, comme nous lavons vu, dans lintrt suprieur de lenfant - tournure bateau utilise toutes les sauces contre lenfant -, il convient de lloigner du parent protecteur qui le manipulerait Lenfant sera donc expos rapidement au criminel souponn, le plus souvent pour commencer par le biais dune garde alterne. Tmoignages Priscilla ; Virginie ; Blandine Bien souvent, la victime mineure sera carrment arrache son parent protecteur. Lenfant sera alors plac dans un foyer ou une famille daccueil, ce qui permet galement au criminel souponn den disposer.

Tmoignages Vronique ; Sandrine ; etc Lenfant sera quelque fois carrment confi son bourreau-certifi innocent. Tmoignages Donc, partir du moment o la justice est saisie, deux mesures menacent directement lenfant : La premire concerne son placement en foyer daccueil ; la deuxime concerne sa livraison dfinitive et permanente la personne quil accusait de viol. a) Le placement abusif : Lenfant est souvent arrach au parent protecteur sans mme quune accusation ait t formule formellement lencontre de ce dernier. Tmoignage Au comble, il ny a parfois mme pas de dcision de justice formule lors du passage lacte, lequel est quelque fois men de faon violente et traumatisante pour les enfants concerns sans parler du traumatisme que constitue en luimme la sparation. Tmoignages Etant prtext la scurit de lenfant, il est en fait tabli que la mesure de protection la plus adapte est le placement, par soucis de neutralit aux vues du conflit parental dcrt. Il est vident quil sagit de vritables reprsailles lencontre du parent protecteur et du tmoin trop gnant, lesquelles servent principalement briser ledit tmoin. Car, le placement reste une mesure exceptionnelle, pour la quelle en outre la Convention Internationale des Droits de lEnfance impose que lavis de lenfant soit pris en compte, ce qui nest jamais le cas. Textes Ouvrons une parenthse intressante. Un des paramtres ce recours quasi systmatique de placement abusif est la dimension financire : Voici quelques chiffres en passant, pour comprendre cet aspect nausabond du scandale que nous soulevons ici en passant.

En 2010, la dpense nette de laide sociale lenfance slve 6,16 milliards deuros () . Le placement des enfants reprsente 80 % de la dpense totale. Le placement en tablissement correspond la part le plus importante de cette dpense. Source : Observatoire national de laction sociale dcentralise (ODAS 2010) : Pages 7 et suivants du rapport. Source : Insee (Etudes et statistiques n391- 392, 2006): influence des vnements de jeunesse et hritage social au sein de la population des utilisateurs des services daide aux SDF . Chiffres. En France, 150 000 enfants sont placs la suite de dcisions administratives ou judiciaires. 77 000 enfants sont toujours placs abusivement. Soit 50% des enfants placs. Et sur ces 50%, 25% le sont pour une mauvaise valuation de dpart. 25% car ce placement naurait pas du se prolonger. En moyenne un placement dure de 6 mois un an . Source : Emissions et site de Toute une histoire (France 2).
Il faut savoir en outre que le cot mensuel du placement dun enfant se situe aux alentours des sept mille euros, dont environs un dixime irait la famille daccueil ou lieu de vie. A raison de 150 000 enfants placs chaque anne, dont la moiti est officiellement reconnu tre le fruit dun abus, nous avons l, dans le mme esprit que le trou de la scurit sociale, une belle participation leffort de mise en faillite permanente de la nation. Et oui ; jai bien dit effort de mise en faillite permanente de la Nation : Rappelons au passage quil sagit dun contrat tacite pass entre la mafia internationale des banquiers privs, celle qui soctroie le monopole de la fabrication de la monnaie la place des nations ainsi dpendantes, et nos chefs dEtat successifs, coupables de haute trahison. Cette petite parenthse place la problmatique dimposture politico-judiciaire gnrale dans son contexte rel. Donc : Le placement abusif constitue un rapt denfant lgalis. Il sagit, dans des proportions impossibles tablir, dun vritable kidnapping au sens criminel du terme cest dire avec une intention foncirement criminelle. Quelques fois en effet, travers un placement en famille daccueil ou en foyer, lenfant sera expos subir de nouveaux svices, rien ntant laiss au hasard. tmoignages Si lenfant doit tre bris en sa qualit de tmoin, lidal pour le rseau est de le

prparer pour quil devienne son tour un pdophile en puissance en atteignant lge adulte, femme aussi bien quhomme. Le meilleur moyen de fabriquer des criminels pdophiles reste de contraindre des sujets, encore enfants, subir toutes sortes de svices, sans jamais leur permettre, au moins, la reconnaissance de leur statu de victime. Tmoignages de mamans propos du pass de victime de leur ex conjoint devenu criminel b) La livraison du tmoin mineur son bourreau prsum : Au registre des mesures terroristes, faisant suite laccomplissement du devoir dun parent de saisir la justice pour protger un enfant dagressions sexuelles souponnes parfois mme attestes - restons sur le rapt lgalis. Outre le placement en institution ou famille daccueil, lenfant est quelques fois directement et froidement remis ladulte quil ose accuser, quelques fois malgr les preuves indniables des svices subis. Ainsi, titre dexemple, cette mre qui, bien quayant reconnu son garonnet sur les fameux cd-roms de Zandvoort, fut brise ; tout comme le malheureux enfant, abandonn au gniteur qui le violait et plaait les photos quil prenait de ses crimes. Tmoignage Patricia Poupar Comme le conflit parental serait lorigine du refus exprim par lenfant de retourner chez le parent quil accuse, quoi de plus naturel que de se moquer des prescriptions de la Convention Internationale des Droits de lEnfant, qui imposent que la parole de lenfant soit prise en compte. Dans le mme esprit, les jurisprudences existantes seront passes sous silence, comme celle de larrt Fourchon du 28 juin 2005 qui relaxe une mre poursuivie pour non prsentation denfant, les enfants refusant catgoriquement de voir leur pre ; il avait t estim que les y contraindre risquait de mettre en pril leur sant psychique. La mise en accusation du parent protecteur : De la non prsentation denfant la soustraction de mineur Le deuxime axe fondamentale du retournement de situation vise naturellement le reprsentant lgal du tmoin mineur. Nous avons dj voqu la poursuite pour diffamation et plainte calomnieuse. Voyons maintenant les incriminations les plus graves. Dans les cas dcrts ne relever que de conflits parentaux, le parent protecteur

reoit rapidement lordre, de la part des acteurs judiciaires saisis, de remettre lenfant la personne mise en cause, dans le cadre de son prtendu droit de garde. Certains parent refusent dobtemprer, entendant maintenir la mesure de protection lmentaire du tmoin mineur. Cest ainsi que ceux-ci se retrouvent accuss de non prsentation denfant . Article 227-5 du Code de procdure pnale : Fait, pour tout parent de refuser indment de reprsenter un enfant la personne qui a droit de le rclamer ; infraction prvue et rprime dun an demprisonnement et de 15 000 euros damende . Le pige de la fuite : Quelques fois, le parent protecteur affol juste titre par la tournure quont pris les vnements, croit bon dtendre sa mesure de protection de lenfant en le mettant hors de porte des imposteurs. Il opre alors la soustraction de la victime mineure la menace dont celle-ci fait lobjet. Le problme pour dfendre une telle position face limposture judiciaire vient dans le fait que la menace en question englobe justement cette mme imposture judiciaire La soustraction de mineur viendra alors agrmenter lincrimination souhaite par la-dite imposture, pour la plus grande satisfaction de cette dernire.

Article 227-7 : Le fait, par tout ascendant lgitime, naturel ou adoptif, de soustraire un enfant mineur des mains de ceux qui exercent lautorit parentale ou auxquels il a t confi ou chez qui il a sa rsidence habituelle, est puni dun an demprisonnement et de 15 000 euros damende.
Tout tant dans la prsentation des choses, dans le jeu des apparences et des interprtations, le fait que le parent protecteur ait t oblig de prendre la fuite avec son enfant apporte sur un plateau aux imposteurs un lment exploit alors pour affirmer la dangerosit pour lenfant dudit parent protecteur. Comme nous lavons vu plus haut, le parent protecteur, jug dsax parce que rduit cette extrmit, est, entre autre, accus de mettre en pril lintrt suprieur de lenfant en le dscolarisant, en le dsocialisant. On saperoit en fait le parent protecteur semble avoir carrment t pouss prendre la fuite avec son enfant, ce par le biais de pressions insoutenables. Tmoignage de Priscilla sur son arrestation et sa garde vue

Que faire en effet quand on reoit la certitude que lenfant que lon veut protger se verra remis entre les griffes de son bourreau ? Comment ne pas ragir ds lors que lon ralise avec effarement que linstitution judiciaire est actionne pour vous craser, avec lenfant ? Dans lurgence, aux vues de la gravit de lpe de Damocls place au dessus de la tte de lenfant, il ny a pas trente six solutions. La fuite devient un rflexe humain de protection, la seule alternative court terme, bien quaussi prilleuse que dlicate organiser. Mais limposture nattendait que cette raction pour incriminer au maximum le parent protecteur, et achever de lcraser. A tel point que dans certains cas, il semble que le parent protecteur soit tomb dans un pige mont de toutes pices. Tmoignage Sandrine Si limposture judiciaire se dchane alors, il nen reste pas moins que dans un tel cadre, une fuite avec son enfant est ni plus ni moins que la rsultante du dnis de justice subi, suivi du retournement de situation des fins purement criminelles. Le parent protecteur agit selon ltat de ncessit, principe de Droit l encore totalement occult. Texte sur ltat de ncessit Car, reconnatre ltat de ncessit consisterait reconnatre linversement des valeurs de linstitution judiciaire manifest jusque l, et limposture criminelle des acteurs judiciaires concerns Ce serait reconnatre que le danger auquel il faut soustraire lenfant, outre celui provenant dun criminel incestueux, concerne limposture judiciaire que nous dnonons, et tout un contexte criminel qui veut sa perte, et celle de tout tmoinmineur trop gnant. Ltablissement de la culpabilit du parent protecteur : Pourtant, pour tre constitue, une infraction telle que la non prsentation d'enfant , dite infraction intentionnelle, doit runir trois lments qui sont : l'lment matriel ; autrement dit, le fait, en l'occurrence de ne pas prsenter l'enfant l'lment lgal ; on entend par l le fait que l'infraction en question soit prvue par la loi enfin, l'lment moral ou intentionnel. En effet, fort heureusement, il ne suffit pas que la non prsentation d'enfant ait

lieu, ou ait eu lieu, pour quil sagisse dun dlit. Encore faut-il prouver qu'il s'agit l d'une volont de commettre un dlit et ou de nuire gratuitement la personne sense tre en droit de rcuprer lenfant. Cela veut dire que si la personne qui se rend responsable de non prsentation d'enfant agit pour protger son enfant des violences d'un criminel prsum, par exemple, l'infraction ne peut pas tre constitue. Rappelons, que, dans le cadre de cette incrimination couramment instrumentalise, la notion intentionnelle est clairement mentionne dans lnonc mme de la prvention : Fait, pour tout parent de refuser indment de reprsenter un enfant la personne qui a droit de le rclamer. Pour quil y ait infraction, le refus de reprsenter lenfant doit tre indus, donc non motiv par un cas de force majeure ou un tat de ncessit. La ncessit, double du devoir de protger le tmoin mineur, ne peut donc tre assimile une intention dlictueuse, ou intention de nuire la personne prtendue en droit de rclamer lenfant. Il ne suffit pas de prsumer de lintention coupable dun mis en cause, la loi prescrivant que celle-ci doit tre tablie, tout comme sa culpabilit. Comment, alors, prtendre incriminer le parent protecteur ? Dcrter lintention malfaisante du parent protecteur est donc lenjeu de la machination des imposteurs concerns, la sauvegarde des apparences restant un paramtre essentiel. Cest l que lon peroit mieux le rle de lexpert psychiatre. Il nest pas l pour tablir le rel profil des personnes alors incrimines. Il a mission de valider la thorie impose doffice, sagissant de la dfaillance ou de la tare de lenfant et du parent mis en cause. Cela afin de coller lincrimination de ce dernier le paramtre manquant pour donner corps llment intentionnel dj dcrt au mme titre que sa culpabilit. Car, en clair, il ne peut y avoir que trois explications au refus dun parent de prsenter lenfant au conjoint ou ex conjoint. Soit il y a une suspicion de mauvais traitements de quelques nature ou gravit que se soit -, soit il sagit dune volont de priver gratuitement lex conjoint de son enfant. Notons quil peut galement sagir du refus manifest par lenfant lui-mme. Mais, cela pouvant sous-tendre une suspicion de mauvais traitement - ce dont limposture ne veut pas entendre parler - la responsabilit pnale est froidement impute au parent qui nest pas en mesure de contraindre son enfant. Texte CPP

Mme si, pour sa part, le parent naffiche aucun refus en loccurrence, il est accus de jouer un jeu en tant hypocritement lorigine de lhostilit que lenfant manifeste lgard de lautre parent. Dans ce cas prcis, cela ne fait pas de diffrence pour limposture judiciaire, quant la faon dont elle entend traiter le problme et incriminer le parent protecteur. Donc, la suspicion de mauvais traitements ou violences diverses ntant pas recevable pour les imposteurs judiciaires, la thorie du conflit de couple simpose. Pour lexpliquer, et dfinir donc llment intentionnel de la prtendue infraction, on parlera de vengeance ou de rancur, ou, mieux encore, dun problme dordre affectif ou psychologique, voire les deux la fois. Mais, pour tablir quil puisse y avoir dans les trfonds de la psych dun sujet une telle rancur vis vis dun ex conjoint, ou de tels troubles affectifs envers son enfant, linstrumentalisation de la psychiatrie pardon si jenfonce une porte ouverte simpose. La psychiatrie convient merveille au crime organis ; cette prtendue science est en effet experte pour inventer toutes sortes de maladies mentales afin de justifier la mise sur le march et l'utilisation massive de traitements mdicamenteux hautement nocifs et destructeurs. La liste des prtendues maladies mentales est rgulirement mise jour avec une nouveaut pour chaque nouveau besoin commercial de lindustrie pharmaco -chimique. Ce qui donne en loccurrence corps llment intentionnel, nous vient tout droit de lesprit tourment dun prtendu expert psychiatre pdophile doutre atlantique, sagissant du syndrome dalination parental, ou de la relation fusionnelle alinante. Voil ce qucrit notamment Richard Gardner, ce prtendu expert, inventeur du " Syndrome dalination parentale " : Lenfant attir dans des interactions sexuelles ds lenfance est susceptible de devenir hautement sexualis et de rechercher activement des expriences sexuelles durant les annes prcdant la pubert. Un tel enfant "charg bloc" est susceptible de devenir plus actif au plan sexuel aprs la pubert et donc susceptible de transmettre rapidement ses gnes sa progniture. [...] Lidal est donc, du point de vue de lADN, que lenfant soit sexuellement actif trs tt, quil ait une enfance hautement sexualise avant dentamer sa pubert . Nous avons chez nous, par exemple, le prtendu expert, nomm comme tel prs la Cour dAppel de Versailles , le dnomm Paul Bensussan si souvent prsent en rfrence, et qui est naturellement dans la pure ligne de limposture pro pdophile :

Comme beaucoup de mes confrres, en France et ltranger, jai pu constater la multiplication des affaires dabus sexuels "fantasms", mettant en cause des parents, principalement des pres . Ainsi, tout prtendu expert psychiatre intervenant dans la machination dnonce ici, est pay pour rendre les expertises qui concluent par lemploie de ce terme pdant. Lexpert psychiatre accepte dintervenir tel un inquisiteur sopposant un scientifique et ses thories intolrables pour lEglise. La Terre ne peut pas tre ronde, elle est plate. Non pas que lon vous apporte la preuve par des relevs cartographiques et astronomiques que la Terre est plate, et donc pas ronde, mais parce que lon dcrte avec la seule force de la terreur, que celui qui soutient le contraire est fou, ou vou Satan. Comme le scientifique est fou ou vou Satan, cela prouve que la Terre nest pas ronde, et donc quelle est plate. Comme le parent protecteur est dtraqu ou anim par la rancur, cela prouve quil ny a pas de violences sexuelles sur lenfant. Le problme de la constitution de linfraction est donc un faux problme, puisque rgl davance. Une terreur implacable pourra en outre sappliquer pour briser totalement le parent protecteur, sagissant de son internement. Vritable terreur institutionnelle, larme psychiatrique a largement fait ses preuves, sur tous les fronts, pour servir crime organis et dictatures diverses, et briser les opposants, les tmoins gnants. III. Entre violation systmatique du Droit et politique de la terreur La liste des notions lmentaires de Droit qui sont ouvertement violes travers ce protocole de la honte est impressionnante, comme nous allons le voir plus prcisment. Lavocat : Mais, avant tout, nous devons zoomer sur le principal outil de limposture qui permet que ces malversations passent comme des lettres la poste. Il sagit de lauxiliaire de justice, dit avocat, qui se fait appeler matre bien que nayant pas fait plus dannes dtude quune infirmire pour passer son diplme . Un diplme que bien souvent, en outre, beaucoup dentre eux ne dcrochent quavec lappui de papa franc-maon. Pour autant, lauxiliaire de justice se complait dans lapparente technicit de la Loi, si rbarbative, ne sagissant l que de complications tudies pour en limiter laccessibilit au plus grand nombre dentre nous. Comme il en est de tout ce qui est important dans notre vie, quil sagisse de

justice, de politique, de sant ou dnergie, la stratgie de la complication est mise en place par la pseudo lite dominante pour prtendre saccaparer le monopole et centraliser la gestion de ces notions. Cest ainsi que les populations sont maintenues dans lignorance et la dsinformation, restant complaisamment sous dpendance de cette pieuvre de la haute finance et de lindustrie, dont les acteurs, du coup, se prtendent suprieurs et incontournables. La justice nchappe pas cette rgle de domination ; en France elle est place sous tutelle dun ministre et donc du sous-pouvoir politique infods la mafia de la haute finance et de lindustrie. Ceci dit, dans lesprit de la plupart des gens la justice ne leur est permise que par le biais de lavocat. Si celui-ci se veut indispensable en tout point, ce qui heureusement nest pas le cas, le systme va mme jusqu nous limposer pour certaines procdures ou dmarches. Triste paradoxe, justice rime donc avec argent, car, moins de bnficier de laide juridictionnelle ponge par le systme social qui doit maintenir la nation en faillite permanente il faudra engraisser un auxiliaire de justice pour tenter de bnficier de justice. Si les membres de cette profession librale veulent nous faire pleurer sur le sujet de leur imposition et frais divers, ils savent plumer les pigeons en les menant de provision dhonoraires en provision dhonoraires, mais en prsentant cela comme un vritable privilge concd au-dit pigeon Se faire appeler matre est alors le moyen de senduire dun vernis flattant la vanit de lauxiliaire de justice et masquer son caractre mercantile, tout en permettant ce dernier de prtendre prendre lascendant psychologique sur tout client. Entre sentimentalisme de faade et dmonstration dautorit indue, lavocat, en fait d expert , se doit dtre avant tout un comdien. Si savoir sduire, voire envoter le client, est la premire ncessit de tout bon avocat, ses talents de comdien doivent faire vibrer les salles daudience, fort brassage dair prodigu laide de ses imposantes manches do, probablement, lorigine de la manche air L, travers une dmonstration de sa soumission tous les rituels et codes dusage dans le cirque des experts en robes, les efforts de sduction de lauxiliaire de justice visent plus que quiconque les magistrats, jugeant galement la maestria quil sait dployer au bnfice du jeu des illusions. Le collaborateur se fera congratuler au restaurant du coin. Car, en pratique, la carrire de lavocat est assujettie la faon dont il volue dans limposture, lauto censure tant un rflexe essentiel quil acquiert trs vite. Un bon collaborateur doit comprendre demi mot ce que lon attend de lui, la grand classe tant de navoir pas exprimer clairement des souhaits odieux. Cest ainsi que limposture truque son jeu sa base, trouvant dans lincontournable avocat le moyen de contrler sans en avoir lair celui qui y fait appel. Le rle de lauxiliaire de justice est donc essentiel dans le jeu des illusions. La

premire quil convient de maintenir tant quil y aurait une justice, et donc espoir de lobtenir dans des cas o, comme celui qui nous occupe, elle est rigoureusement interdite. Paradoxalement, lissue dun jugement ou dune procdure sera toujours prsente comme assujettie aux capacits de lauxiliaire de justice : Si celui-ci est dfaillant pour assurer la dfense dune victime ou dun mis en cause innocent, la justice ne sera pas rendue. Si, en revanche, celui-ci est brillant et assez retord pour assurer la dfense dun criminel et donc accessible seulement ceux qui jouissent dun certain standing - la justice pourra galement tre vite, et devra ltre dans bien des cas. Les vices de forme ou vices de procdure sont autant de jokers rservs certains criminels, lesquels auront eux, lavocat autoris les relever en cas de besoin. Ceux qui saccumulent dans les dossiers qui nous occupent ici nayant pas lieu, quant eux, dtre relevs, aucun avocat ne se permet de le faire. Au contraire, lauxiliaire de justice usera, le cas chant, de son ascendant dexpert pour convaincre son client quil ny a rien relever du genre. Lavocat, dont la forme et les humeurs du jour constitueraient le premier paramtre dune saine justice correctement administre, est donc la preuve vivante que la justice nest quune funeste illusion, quune sinistre imposture. Pour autant, si lauxiliaire de justice se glorifie de faire relaxer un criminel et sen faonne toute son honorabilit , il nencoure pas le moindre prjudice, si son client, innocent, est jet en prison. On voit ainsi que lavocat sert galement de bouc missaire limposture quand linjustice frappe de faon trop flagrante. En effet, dnormes carences de dfense ne mettent pas en cause le magistrat qui juge en fonction de ce qui lui est prsent ou non. Le magistrat sait alors faire savoir en coulisse ce quil ne veut pas qui lui soit prsent. Si les rpliques et tirades raisonnent avec emphase dans les salles sacres des temples de justice , toutes les bassesses tant permises de la bouche dun baveux, lorientation des dbats se dfinit dans les coulisses, les restaurants ou les lieux de runion fraternelle. Quelques fois, un entretient de dernire minute peut avoir lieu, en toute intelligence et intimit, entre le prsident de laudience et le baveux, titre dchauffement de ses capacits orales. Quelle subtilit ! Ne perdons pas de vue le fait que le bon droulement de la carrire de lauxiliaire de justice, tout comme sa notorit, est tributaire de ces ngociations en coulisses et autres inqualifiables procds dusage. Quant au client, proprement rackett, roul dans la farine et trahit, il na qu aller se rhabiller, nayant aucun recours ni contre lavocat, ni contre la chose juge inbranlable notion de Droit - ni contre les jugeurs de choses Si les dlais dun recours ont t passs, par exemple, il ny a plus rien faire, quand bien mme le jugement se serait bas sur un dossier qui ne comportait

aucune des pices dcharge essentielles existantes, aucune conclusion crite mettant en vidence les faits primordiaux. Combien de justiciables se font crass par absence de remise de conclusions crites ? Se remettant entre les mains de son auxiliaire de justice, le parent protecteur aura perdu bien des plumes et un temps prcieux avant de comprendre que la passivit de ce dernier nest pas innocente, et lui a t extrmement prjudiciable, bien souvent sans possibilit de rattraper le coup. Le plus grave reste que pendant tout ce temps et cette nergie perdus de recours en recours, grce lauxiliaire de justice, une petite victime subit le pire, tant un peu plus brise chaque jour, chaque anne qui passe. Non ; les longs silences de lavocat, sa discrtion quant la stratgie de dfense prtendument sur le mtier, tout cela ntait que de la fourberie histoire de laisser la dfense sembourber tout en prenant des honoraires Le parent protecteur sera en outre tenu de payer des supplments dhonoraires pour prtendre changer davocat, ce que ne lavancera en fait rien. Souvent, bien que cela soit totalement illgal, lauxiliaire de justice fait de la rtention de pices ou de dossier, le cas chant, pour racketter une dernire fois son client. Mettre le reprsentant lgal de la victime mineure sur la paille est un des moyens prvus pour le mettre genoux en sa qualit de parent protecteur. Vous lavez compris ; sans lauxiliaire de justice, pas de possibilit dappliquer le protocole de la honte, lequel ncessite sa collaboration active. Cette petite mise au point faite, passons en revue quelques unes des plus frquentes malversations judiciaires intervenant dans la problmatique qui nous occupe. Les Droits de lenfant : La premire notion combien sacre, tre pitine et instrumentalise avec machiavlisme - et la complicit de lavocat vreux -, concerne les Droits de lEnfant, avec la notion de sa protection en premier lieu. Rfrences de textes Si le thme est accapar par les politiciens en mal de popularit pour des dbats thtraux aussi ineptes que grandiloquents, il sagit en fait dune imposture profonde ayant pour objet, une fois encore, la sauvegarde des apparences. En effet, la premire violence judiciaire est applique lencontre de la victime mineure. Malgr les prescriptions des divers textes de loi sur la protection de lenfant, comme nous lavons constat et pour rcapituler : celui-ci nest pas entendu comme il devrait ltre selon larticle du code pnal prvoyant la procdure adapte :

sa parole nest pas prise en compte en matire de garde parentale et de placement comme le prvoit la Convention Internationale des Droits de lEnfant il subit le dchirement de son enlvement au parent protecteur pour un placement abusif (rappel des textes de rfrence) il est au final - ou immdiatement - purement et simplement expos aux crimes pour lesquels il demandait assistance, de faon le plus souvent dfinitive, irrmdiable et sans recours. Concernant les droits du parent protecteur, des manuvres systmiques lui interdisent dy accder, avec les complicits que nous venons dvoquer. Ces manuvres frauduleuses, prsentes comme dysfonctionnements quant un projecteur les claire par accident, concernent aussi bien le reprsentant lgal dune victime mineure, dans cette premire phase de dnonciation de faits de viol sur mineur, que lorsque ce parent protecteur se retrouve en position daccus, une fois la situation retourne son encontre. Ainsi : Le reprsentant lgal de la victime mineure na, la plus part du temps, pas accs au dossier pnal, que se soit lors de la phase o il ne sagit que laccusation du criminel souponn, ou la phase qui concerne le retournement de situation. Tmoignages sur limpossibilit de voir son dossier Pourtant, laccs au dossier pnal, dans un cas comme dans lautre, constitue un droit inconditionnel pour toute partie. Il est effectivement inconcevable de pouvoir suivre son affaire et organiser sa dfense, le cas chant, sans accs son dossier. Textes du nouveau code de procdure civile L encore, lauxiliaire de justice joue un rle essentiel, prtendant dtenir lexclusivit de la dmarche, et la prsentant comme dlicate, ncessitant patience et doigt dexpert Il est courant que ce soit en fait lavocat qui fasse la rtention du dossier, quand a ne sont pas la base les services du greffe du tribunal. Si le parent protecteur na dcidment pas accs son dossier, il est fort parier par contre que la partie adverse, en grande ngociation avec les magistrats et son propre avocat, en ait la primeur. Donc, pour obtenir laccs son dossier pnal sans perdre de temps, mieux vaut se passer dauxiliaire de justice et se rendre soi-mme aux greffes du tribunal, si possible avec un tmoin, et exiger le dossier. Le refus tant techniquement impossible, il faut insister et manifester son intention de ne pas quitter les lieux sans avoir eu satisfaction.

Droit visionner la vido de laudition de son enfant : Dans le mme esprit, et toujours quelque soit la phase de laffaire, le parent protecteur na pas possibilit de visionner les vidos prise en salle Mlanie loccasion de laudition de son enfant - pour peu que laudition ait eu lieu conformment aux prescriptions de la Loi. Pourtant, un double de ces vidos doit tre vers au dossier pnal, et, selon larticle 706-52 du Code de Procdure Pnale, ce double peut tre visionn au tribunal, par toute partie, au tribunal. Seule condition ce droit ncessitant dans la pratique la prise dun rendez-vous qui doit tre accord rapidement ; la prsence dun greffier ou du juge dinstruction est prescrite, afin de garantir la confidentialit de lopration. Celle dun auxiliaire de justice totalement facultative, pour ne pas dire inutile, fortiori sil se prtend impuissant obtenir la manifestation de ce droit lmentaire. La disparition des scells et des pices dites conviction : La disparition de pices telles que, par exemple, une vido Mlanie trop accablante pour le mis en cause et ses soutiens, intervient galement assez souvent. Cest mme une constante dans toutes les grosses affaires plantes, mettant en cause des notables sur fond de crimes en runion sur enfants. La thorie veut quune telle fraude ne soit pas possible, mais la thorie ne prend pas en compte la possibilit que ce soient les acteurs judiciaires qui puissent servir, de lintrieur, le crime organis. Sans pices charge pour incriminer le suspect, le classement sans suite ou le non-lieu est garanti. Le retournement de situation galement. Et concernant ce retournement de situation, sans pices dcharge, toute dfense du parent protecteur alors incrimin, est voue lchec. Un avocat vreux saura toujours paralyser le parent protecteur dans sa dfense, ce afin que le jour fatidique, devant la barre, il ny ait rien au dossier qui soit relev dcharge. Le dfaut de remise de conclusions commis par lavocat, comme nous lavons dj soulev, est son niveau une des malversations trs souvent utilise pour planter le client indsirable lors dune audience. Le classement sans suite de la plainte dpose au nom de la victime mineure par son reprsentant lgal vient trs souvent botter en touche sans raison apparente, sans raison avouable en loccurrence. Selon larticle 40-1 du Code de Procdure Pnale en son alina 3, le procureur de la Rpublique ne peut classer la plainte sans suite la plainte que, je cite : ds lors que les circonstances particulires lies la commission des faits le justifient

Il a alors obligation de notifier cette dcision de classement sans suite au plaignant, ou en loccurrence au reprsentant lgal de la victime mineure prsume. Toujours comme le stipule larticle 40-1 du CPP, il doit indiquer sur son courrier le motif de sa dcision, et le recours ouvert au plaignant. Lecture du paragraphe 8 de tout rcpiss de dpt de plainte :

Le procureur de la rpublique peut dcider de classer laffaire pour des motifs juridiques ou des motifs dopportunit lis par exemple aux conditions de commission de linfraction ou au degr de gravit des faits. Si laffaire est classe sans suite, vous en serez inform par un courrier qui vous indiquera le motif du classement sans suite et qui vous indiquera quels sont vos droits dans cette situation .
Sans sa notification, aucun classement sans suite na dexistence lgale, comme il en est de toute dcision de justice. Tmoignages sur les cas o il y classement sans suite sans notification Concernant la motivation du procureur pour rendre une telle dcision, si lourde en consquences en loccurrence, celle-ci doit videmment indiquer quelles pourraient bien tre les circonstances particulires lies la commission des faits, qui pourraient la justifier. Tmoignages sur labsence de motivation des classements sans suite Un classement sans suite intervenu sans motivation, est purement et simplement contraire ce que prescrit la loi. La formule employe selon laquelle les faits nauraient pas pu tre tablis, en plus de ne pas rpondre ce qui est entendu par la loi en terme de motivation, est ainsi en fait la consquence dune absence denqute. En effet, quelles pourraient bien tre les motivations d'un procureur pour classer une affaire, sans avoir permis qu'une enqute srieuse ait t suivie ? Car, en guise d'enqute, malgr l'extrme gravit des accusations d'un enfant, les magistrats se seront borns faire produire des piles de paperasses pour des expertises psychiatriques frauduleuses, en prenant bien soin de descendre en flche parents protecteurs et enfants, et ventuellement proches du parent protecteur ou intervenant divers pour leur cause. Nous sommes, l encore et un peu plus profondment, dans le dnis de justice, la prvarication, et mme lentrave la manifestation de la vrit par personne dpositaire de lautorit publique.

L'abscence de notification ou de signification des dcisions de justice : Comme nous l'avons vu, il est quasi systmatique que le classement sans suite de la plainte du parent protecteur soit dcid par avance par un imposteur soucieux de protger un criminel pdophile et trs certainement, en amont, le rseau qui les lie. Labsence de notification sert ici dclencher le retournement de situation lencontre du parent protecteur, sans lui laisser le temps ni loccasion de ragir, faute de savoir ce qui se trame. Tmoignage Priscilla NB : Concernant les droits de recours du classement sans suite de toute plainte directe, il sagit en loccurrence de la possibilit de dposer une nouvelle plainte mais l avec constitution de partie civile, auprs du doyen des juges dinstruction. Cela doit tre fait sans dlais, ds que lon est inform ce mme de faon irrgulire - dune dcision de classement sans suite de la prcdente plainte directe. Cest justement cette procdure que les imposteurs veulent viter, raison pour laquelle la plupart des gens ignore son existence, et le fait quelle est privilgier largement une plainte directe. Car en fait, mieux vaut faire un courrier adress au doyen des juges dinstruction pour dposer une plainte avec constitution de partie civile que de se rendre dans une brigade de gendarmerie ou un commissariat de police pour porter plainte. Fort heureusement, comme pour la plupart des dmarches, lauxiliaire de justice nest absolument pas indispensable. En terme de recours au classement sans suite dune plainte directe, ou doption privilgier la plainte directe, il existe galement la possibilit de faire citer comparatre le criminel souponn, avec ses ventuels coauteurs et complices souponns et tout tmoin ncessaire la manifestation de la vrit. Car, le premier avantage de cette procdure mconnue est de court-circuiter les tapes de la saisine et de lenqute, pour rgler le problme rapidement en audience publique. Le deuxime est de pouvoir prendre de court les criminels souponns. Linconvnient de la procdure de citation directe comparatre est que laccusation doit, pralablement son offensive, avoir recueilli les lments de preuves ; inconvnient contre-balanc avec le fait que ces lments nont vocation ntre produits que le jour J. Le concours dun dtective priv peut alors tre indispensable, encore faut-il sassurer de sa fiabilit, cest dire de sa non appartenance la francmaonnerie, par exemple. Mieux vaut le slectionner en dehors de la rgion

concerne par le problme. La dernire recommandation que je peux faire pour fermer cette parenthse, consiste sassurer de remplir le tribunal avec un maximum de personnes soutenant la cause que lon dfend, et ventuellement avoir su obtenir que pour le jour J la presse soit prsente. Dans le climat dnonc ici, seul les projecteurs et la prise tmoin du public contraint les imposteurs lcher du lest, voire capituler pour sauver les apparences. Les erreurs dadresse lors de lenvoi de courrier judiciaire : Pour juger quelquun par dfaut, et ainsi le dstabiliser tout en prtendant lui interdire dexercer ses recours, prtendre une erreur de destinataire dans lenvoi dune convocation une audience est souvent utilis. Une dcision de jugement en matire civile pouvant tre communique par courrier, lerreur dexpdition est galement utilise pour des dcisions civiles pouvant prter nanmoins largement consquences. Tmoignages Cette malversation concerne galement les condamnations, dont un vague rcpiss sans valeur est adress une mauvaise adresse. Le stratagme consiste toujours jouer sur la rumeur de la condamnation pour intimider le parent protecteur tout en lui interdisant la raction qui simpose, savoir engager dans les temps le recours prvu. Mais il convient de savoir quune condamnation non notifie dans les formes prescrites par a Loi na, elle non plus, aucune valeur juridique. Toute condamnation doit tre signifi directement la personne concerne, soit au tribunal, par le greffier, soit par voie dhuissier de justice. Le document remettre en main propre doit comporter en sa dernire page les modalits et dlais de recours. Si il sagit dune condamnation au pnal en premire instance, de la prison ferme par exemple, lappel est le recours prvu. En ce qui concerne un jugement rendu en cours dappel, le pourvoi en cassation est le seul recours, mais qui, hlas, ncessite lemploi dun avocat dont cest la spcificit, avec ses frais incontournables. Lappel et le pourvoi en cassation suspendant lapplication des peines juges en matire pnale, une peine de prison ferme juge ne saurait tre applique tant que la procdure est en cours ou que les dlais pour lengager courent encore. Et, tant que le parent protecteur na pas reu en main propre signification du-dit jugement, les dlais pour en interjeter appel courent. Ceci dit, limposture judiciaire a le plus souvent recours la prison en prventive, pour laquelle il ny a aucun recours qui peut la suspendre dans linstant.

Lappel nintervient quune fois que lon est enferm. Tmoignage de Sandrine et Patricia La non communication des dcisions et des convocations de justice : Une autre malversation largement rode par limposture judiciaire consiste juger dans le dos des intresss, que se soit en matire civile ou pnale. Ainsi, une peine de prison ferme peut tre juge lencontre dune personne. Pour juger quelquun sans sa prsence, les imposteurs prtendent souvent, l encore, stre tromp dadresse lors de lenvoi de la convocation L, il convient de savoir quil sagit dun jugement rendu par dfaut, sans que la notion du contradictoire ait pu intervenir. Le recours qui simpose est dy faire opposition par le biais du greffe du tribunal. Lopposition enregistre annulant le jugement, une date doit tre programme pour une nouvelle audience. Mais le pige qui peut tre tendu une personne qui ne connat rien ces procdures et qui ignore ses droits, en loccurrence est le suivant : Une fois le jugement par dfaut rendu, un certain temps peut passer avant que lintress nen prenne connaissance dans les formes lgales. Cest sur ce point prcis que la trahison intervient, le plus souvent par le biais de lavocat : Il peut tre prtendu quentre le moment du jugement et le jour o il est enfin notifi, ses dlais dappel ont t prescrits alors quils ne commencent courir qu partir de ce moment. Cest ainsi que la personne juge par dfaut, se sentant crase par la terrible nouvelle, se fait piger en ninterjetant pas appel, parce que pensant, tort, quil est trop tard. Tmoignage Le recours manqu : En plus dtre lorigine de la carence de dfense qui a valu une condamnation injuste lencontre de son client, lauxiliaire de justice est souvent derrire un dfaut de recours ou un renoncement celui-ci. Souvent, il conseille son client de ne pas interjeter appel, assurant quil sen est pas trop mal tir, et que le recours, irritant les magistrats, ne risque que de dclencher leurs foudres et de provoquer le doublement de la peine. Or, un jugement injuste, mme modr dans son peine excutoire, est intolrable. Tout aussi intolrable ce climat permettant des fonctionnaires au service du Peuple Souverain dabuser de leur pouvoir en jouant ainsi avec la menace quil peut reprsenter, sagissant dintimidation, non de justice. En outre, la plupart du temps, on napprhende pas tout de suite les consquences du renoncement un recours tel que lappel, renoncement faisant

sans aucun doute le jeu de la partie adverse - et sur lequel on ne peut plus revenir une fois les dlais passs, ne loublions pas. A titre dexemple, cette maman condamne une peine de prison avec sursis pour non prsentation denfant, et qui se voit convaincue de ne pas interjeter appel du jugement afin de ne pas risquer de prendre de la prison ferme : Ce que ne lui dit pas son avocat cest quune fois le recours abandonn et les dlais prescrits, la culpabilit est valide dfinitivement. La femme se retrouve coupable, et cet tat de fait servira, par exemple, pour prtendre lui supprimer dfinitivement ses droits parentaux, par le biais dun jugement intervenant ensuite en matire civile, et l, sans plus aucun argument de dfense. Noublions pas que le pnal tient le civil. Il est un autre scnario possible. Ainsi, ce qui mest arriv dans une affaire civile : lauxiliaire de justice ayant permis votre condamnation peut sengager verbalement interjeter appel en votre nom et nen rien faire, laissant le dlais spuiser. Une fois que cest le cas, il ny a plus rien faire, ni mme aucune possibilit de se retourner contre le tratre. Cest une des raisons pour lesquelles, si on choisit de sencombrer dun auxiliaire de justice, il faut lui donner ses ordres par courrier recommand avec accus de rception, ou lui remettre sa lettre de mission en lui faisant signer le double que lon conserve. Lusage de courrier recommand avec accus de rception est la procdure utiliser pour demander rgulirement des comptes votre avocat quant aux actes quil est sens engager pour votre dfense - comme par exemple la rdaction de conclusions ou la rcupration immdiate de lintgralit de votre dossier - en fonction des honoraires perus. Certes, tout litige avec un baveux sera port devant limposture judiciaire ; mais, la sauvegarde des apparences tant une de ses exigences fondamentales, lauxiliaire de justice fera - si vous avez su suffisamment le mettre en difficult et faire un peu de bruit - office de fusible pour cette fois-ci. Un autre principe de Droit malmen : Zoom sur le principe du respect de lordre de chronologie de survenance et de lchelle de gravit des faits survenants dans les affaires : Ce principe de droit lmentaire est combien logique. Il est comprhensible que toute personne mise en cause pour des faits criminels, veuille interfrer dans la procdure dont elle fait lobjet, fortiori si elle est coupable, ce en essayant de retourner la situation contre les personnes qui la dnoncent. Ainsi, se retrouvant accuse de violences sexuelles sur mineur, la personne mis

en cause prtextera tre victime de dnonciation calomnieuse ou de diffamation, pour commencer Ceci est heureusement impossible, en vertu des principes de droit souleves ici. Premirement, la plainte du parent protecteur tant intervenue en premier lieu, celle qui viendrait de la part du mis en cause en vue de se disculper nest tout simplement pas recevable. Seule une enqute peut disculper la personne dnonce, et lui permettre ventuellement de se retourner contre laccusation, ce qui nest heureusement pas si simple pour autant, du moins en thorie. Le mis en cause pouvant en pratique sadresser une juridiction diffrente de celle saisie initialement, a nest donc pas de la comptence des OPJ saisis par le suspect de juger de la recevabilit de sa dmarche ou de celle de toute plainte, mais au procureur ou magistrat instructeur saisi par leur intermdiaire. Si le parent protecteur devait alors tre convoqu par un bureau diffrent de celui auquel il stait adress, la vrification que devra faire son interlocuteur suite aux explications quil avancera ne pourra que permettre au procureur de le disculper au plus vite. Le mis en cause entre, quant lui, dans le cade dune plainte abusive qui pourra tre releve contre lui ultrieurement, une fois que les faits pour lesquels le parent protecteur a port plainte auront t attests. Ceci dit, si le parent protecteur a t retard dans son dpt de plainte - par exemple par des manuvres pour lindure en erreur quant lurgence et la ncessit de cette procdure - et que la personne souponne est mise au courant de la menace dont elle fait lobjet, celle-ci ne manquera pas de le devancer. Prtextant le refus de lui remettre sa victime prsume, il se htera de porter plainte pour non prsentation denfant avant que le parent protecteur nait pu dposer la plainte cense le couvrir pour cette mesure de protection lmentaire. Mais la justice est bien tudie, comme nous lavons vu. La notion dchelle de gravit des infractions mises en balance donne la primaut la plainte pour viol sur mineur par ascendant ayant droit. Toute plainte dpose sous-tend une suspicion dinfraction. Lorsque deux plaintes viennent se superposer, dposes par deux parties opposes, il est logique que la loi donne la primaut linfraction la plus grave pour faire appliquer le principe de prcaution qui concerne la victime prsume. Cela ne veut pas dire que lenqute ne tiendra pas en compte les deux versions pour la manifestation de la vrit, ni que des mesures de prcaution ne seront pas prises galement en faveur de celui qui reprsente la partie adverse. Dun ct, nous avons une personne qui prtend subir le prjudice dune diffamation ou dune non reprsentation denfant, ou encore dune soustraction

de mineur, sagissant de dlits dune gravit relative. Dun autre, nous avons un mineur de moins de quinze ans, qui se plaint de subir des actes criminels dune gravit particulire. Le prjudice viter pour lun ou pour lautre est sans commune mesure, tout comme linfraction laquelle il doit tre mis fin. Il est donc vident que la justice mette en place des mesures pour protger avant tout la victime mineure prsume, le temps de ltablissement de la vrit, quand bien mme ces mesures lseraient provisoirement et dans une mesure toute relative, la personne mise en cause. Son prjudice reste mineur, ce qui nest jamais le cas pour une victime de violences sexuelles, qui plus est mineure. Nous assistons, dans les cas contraires, une violation gravissime de nos principes de loi les plus lmentaires, toujours favorise par l instrumentalisation de la notion de conflit parental. Lindpendance de la justice : Si la justice constitue donc la base une si criante imposture, cest parce quil en a t fait une science exagrment complique dans une forme particulirement rbarbative et difficile apprhender, vritable affaire de pseudo experts se partageant des pouvoirs plus que discutables. Nous avons dj fait allusion cet aspect du problme. Ceci dit en passant, les-dits experts semblent appartenir une secte, en juger par leurs rituels et accoutrements lugubres, manifestement tudis pour impressionner le justiciable , et exiger de lui une soumission craintive. A travers ces rituels et artifices, le justiciable doit oublier quavant tout il est un membre du Peuple Souverain, et que les acteurs de linstitution judiciaire en sont les serviteurs. La notion de savoir , accapare et rserve lexclusivit dune pseudo lite, semble, dans les faits, garantir ces reprsentants un pouvoir malsain sur, en loccurrence, le justiciable . Ce savoir rendu si difficile daccs, bien que pas si sorcier en loccurrence, confre galement cette branche de la pseudo lite autoproclame, travers ses fonctions, des prrogatives mritants linsurrection. Citons en passant et celle de lapprciation souveraine du magistrat, qui permet tant dimposteurs de botter en touche quant les intrts criminels quils protgent sont menacs. Citons galement cette obscne impunit pnale dont jouissent les magistrats en cas de faute, quelque soit la gravit de la faute ou de la manuvre frauduleuse. Cette recherche de la suprmatie sur autrui par dtention dun savoir, mme

simple, alors rserv llite, se retrouve dans le fondement de toute socit secrte telle que la franc-maonnerie. Rien dtonnant ce que la-dite socit secrte et la secte judiciaire aient en commun ce procd, lune et lautre tant totalement fusionnes. Sachez alors quil existe un texte de la constitution, que jamais aucun auxiliaire de justice nacceptera de mettre en avant, et qui mrite pratiquement dintervenir comme un joker dans toute affaire rentrant dans le cadre qui nous occupe : Texte du recours constitutionnel relatif la franc-maonnerie interfrant dans la justice Donc, travers cette main mise de linstitution judiciaire par la franc-maonnerie, le principe fondamental de lindpendance de la justice, notion pour toutes les institutions sense tre garantie par le chef de lEtat dont on ne saurait souponner lappartenance la franc-maonnerie- est totalement hors jeu la base. Les fonctions au sein des institutions judiciaires europennes et internationales sont rserves aux initis et aux mieux nots, cest dire ceux qui ont servi au mieux limposture socitale leur niveau local. La justice peut cependant se rendre du moment quelle ne doit que trancher entre des justiciables sans importance, pour des faits dont on peut parler, et la condition quil ny ait aucun enjeu crapuleux de type maonnique ou assimil. Cest mme dans ces cadres l que les magistrats font le plus illusion, ne manquant jamais une occasion de se dchaner sur de petits malfrats pour les jeter en pture au bas peuple avec laide dune presse complaisante et docile. Le jeu des illusions reste, tous les niveaux dexpression de cette parodie de justice, la constante qui en assure protection. Lillusion apporte, avec le divertissement abrutissement et dcadence organiss des masses - et loccupation permanente le sacro-saint travail, pour lequel nous sommes formats et sans lequel nous nous sentons si coupables et inutiles ! la garantie quaucune rvolte profonde et bien cible ne peut venir inquiter la dictature mondiale. Seuls de petites rvolutions localises en fonction de besoins occultes, sont organiss dans les niveaux infrieurs de la pyramide pour distraire le public et alimenter quelques massacres, justement dans le cadre du jeu des illusions. Les textes et notions de Droit, de Libert, de Justice, de Protection de lEnfance, ne sont donc mis en avant par les cercles dinfluence que dans un soucis de tromperie du bas peuple . Toutes ces notions ont en vrit vocation tre dtournes et bafoues ; mais il sagit l dun luxe rserv exclusivement ces cercles dinfluence, ceux-ci se plaant au dessus des basses couches que nous constituons leurs yeux. Plus quun luxe, il sagit l du mode le plus pervers dexpression dune

domination que certain entendent exercer sur la masse. En intgrant ce paramtre si cher aux esprits malades des pseudos lites, les pires ignominies et atrocits ne sont commises sur les plus vulnrables qu titre de sport de trs haute classe, dans le cadre de cette expression de domination prdatrice. Le fin du fin en terme de machiavlisme litiste est de passer du rle de mister Hyde celui de Dr Jeckyl, sous couvert de rseaux trs bien structurs et protgs et au grs de leurs programmes de rjouissances, en toisant de haut et avec ironie les thoriciens de complots qui se dbattent maladroitement avec leurs lgendes urbaines et besoin de justice. Bref, pour revenir plus simplement ce symptme si odieux, que celui en objet de ce dossier ; grce lignorance du parent protecteur en matire de Droit, ce sont les obligations de lappareil judiciaire envers lui et son enfant, tmoin mineur, qui passent las dans un premier temps. Ds quintervient le retournement de situation, ce sont plus prcisment les droits la dfense qui sont viols sans vergogne. Parent protecteur et victime mineure se retrouvent alors sans dfense, face ce criminel sous-rseau dinfluence que constitue linstitution judiciaire, actionne alors dans loptique de la terreur. Rcapitulons les quelques une des plus courantes malversation de la loi qui interviennent systmatiquement dans le traitement de ce genre daffaire, travers une flagrante partialit des acteurs judiciaires : la difficult de saisir linstitution judiciaire la rapidit du classement sans suite le non accs au dossier pnal ou aux vidos de laudition du tmoin mineur la disparition de preuves ou dlments essentiels, charge ou dcharge (mais au seul prjudicie du mineur et de son reprsentant lgal) la non recevabilit des-dits lments charge ou dcharge (en fonction de la situation du parent protecteur), dcrte arbitrairement par les magistrats impliqus la non notification des dcisions prtendues judiciaires le non respect du principe contradictoire dans les prtendues dcisions de justice les obstacles aux recours lapplications de mesures coercitives injustifies, outrageantes et traumatisantes La politique de la terreur : La terreur se dclenche lors de la phase de retournement de la situation, travers - outre le rapt lgalis de lenfant - des interpellations, des gardes vues, des mises en prventives, des peines de prison ferme sans possibilit

damnagement, et mme des internements psychiatriques. Tout ceci, rentrant dans le cadre de violations des Droits de lHomme et des Droits de la Dfense, est permis travers la passivit de lavocat, dans bien des cas. Larrestation : Encore une fois, lerreur dadresse de destinataire dun courrier judiciaire est utilis dans le cadre de prtendues convocations qui, narrivant jamais, permettent de prtendre justifier une interpellation domicile. Tmoignage Priscilla Nous passons l au stade lapplication des mesures de pression. La garde vue : Il sagit dune mesure de privation de libert qui rentre dans un cadre strict, heureusement. Textes du CPP sur la garde vue Malheureusement, ceux qui pourraient rprimer tout abus de pouvoir en la matire sont ceux-l mme qui les commanditent, savoir en premier lieux les procureurs de la rpublique. Tmoignages Lincarcration en prventive : Dans le mme ordre dide, lincarcration en prventive est une mesure de privation de libert exceptionnelle, en raison de sa svrit et du prjudice psychologique morale et civile incontestable quelle occasionne. Textes sur lincarcration en prventive Quil sagisse de prventive ou de prison ferme, on ne sort jamais intact dune telle exprience, les dommages psychiques et parfois physiques intervenant en fonction de la force de caractre du sujet, et dun certain facteur chance Malheureusement, en parlant de ces dommages, ds lors que rien ne justifie une telle mesure, cest justement leffet recherch par son commanditaire, ses coauteurs, son rseau... Nous sommes dans un cadre dabus de pouvoir dans loptique de la terreur, au service du crime organis. Tmoignages de victimes de la prventive abusive

Pour ma part, jy ai eu droit trois fois, dont deux en territoire franais, sans jamais avoir commis dinfraction, bien au contraire. La troisime fois rentre prcisment dans le cadre qui nous intresse ; jtais accus de soustraction de mineur dans laffaire Vincent, parce quayant protg lenfant. Je prcise que si jai t laccus principal, la mre de lenfant nayant t que ma complice aux yeux de limposture, lenfant tait toujours soit en prsence de sa mre, soit de sa grand-mre, soit des deux. Mon arrestation tant intervenue au moment o le prsident de lassociation qui mavait mis sur laffaire Christian Cotten, de Politique de Vie - livrait lenfant aux gendarme, et ce afin de sviter des ennuis. Pourtant, la motivation de mon incarcration faisait tat de la persistance et de laggravation de linfraction quil convenait dinterdire, en fonction de la gravit particulire des faits... Seule mon incarcration apportait cette garantie - en couter la vice procureur qui rcitait ces sornettes avec un air totalement absent -, alors que lenfant tait hlas entre les mains des imposteurs, et que moi-mme mtais livr en dsespoir de cause, ayant fait le choix de les affronter sur leur terrain pourri. Du moment que les grandes tournures bateau sont employes, mme dans le plus total hors sujet, les imposteurs criminels en robe noire et noire et pourpre - saffranchissent de toute retenue pour appliquer la politique de la terreur. Linternement psychiatrique : Comme nous lavons vu, la psychiatrie est larme absolue, linternement rivalisant largement avec tout type dincarcration en terme de terreur. Cette pe de Damocls vient au dessus de la tte de tout parent protecteur, un moment ou un autre, dune faon plus ou moins formelle. Tmoignages divers Je nchappe pas la rgle, ayant t galement condamn pour ma part linternement, et ce sans aucune expertise, sil vous plait. Le cadre diffre en revanche de celui qui nous occupe, ce qui prouve que le procd tant appliqu tout gneur. Mais un parent protecteur qui se sera enfui avec son enfant, du moment quil est repris par limposture judiciaire, linternement sera quasi certain. Tmoignage de la neuvime femme, ou rcit rapide si pas mieux Si on ne sort pas intact dune incarcration, que dire dun internement psychiatrique ! Tmoignage de Patricia

Linternement est une mesure qui menace de plus en plus facilement le bas peuple ; Ainsi, si un maire pouvait dj, depuis peu, faire interner doffice toute personne prtendue troubler lordre public ce qui est encore une notion dapprciation bien floue -, il faut savoir que dernirement le cadre lgal de linternement a encore empirer. Texte Que de meilleur moment pour faire passer au vote des lois criminelles, que celui de la transhumance estivale Conclusion : Que faire ? Saisir les instances internationales : Rien ne sert de saisir les instances et organismes politiques ou assimils, mme au niveau international. Ce genre de recours nest de toutes faons ouvert quune fois que ceux prvus au sein de notre justice nationale ont t puis, donc aprs des annes de combat. Des annes pendant lesquelles lenfant aura t irrmdiablement bris, faute de navoir eu de rel secours. Cest bien pour cette raison que tout est mis en uvre, entre les conseils davocats ou dassociations diverse, pour inciter le parent protecteur mettre toute son nergie dans le jeu truqu de linstitution judiciaire. Dans cette optique, le parent protecteur se sentira toujours appuy, pour constituer de jolis dossiers ou faire des dmarches audacieuses sur le jeu truqu. Laffaire des cd roms de Zandvoort, pour laquelle nous avons produit un prcdent dossier vido, met en vidence limplication de tous les gouvernements concerns, ainsi que celle des instances internationales, pour le compte de ce qui nest en fait quun seul et mme rseau international, avec ses branches nationale et rgionales pour chez nous NB : Rappelons quil sagissait de fichiers dcouverts par un enquteur belge indpendant en 1998, concernant prs de 90 000 enfants diffrents mis en scne lors de viols, tortures avec actes de barbarie et mme mise mort, pour du matriel photo et vido destin internet. Ces abominations taient luvre dun rseau de trafic denfants qui agissait en Europe, avec des ramification jusquaux Etats Unis. Pour autant, seul lenquteur fut inquit, devant la cible de la terreur judiciaire de son pays, avec les encouragements tacites des autres gouvernements et des instances europennes et internationales saisies.

Si laffaire remonte 1998, le rseau nayant jamais t inquit, il ne sagit donc pas dune histoire ancienne et dpasse. Seul le point de diffusion de Zandvoort est tomb grce lenquteur, tout fil pour faire tomber lensemble du monstrueux rseau ayant t interdit daccs et protg par les institutions judiciaires et politiques des pays concerns, la France en tte de liste. Ds quun scandale djoue la vigilance des gardiens de limposture socitale, runions et propositions de nouvelles lois font thtre ; Il sagit alors de cacher le fait que les lois existantes suffisent, ntant tout simplement pas appliques parce que dtournes. Avec ce rapport de lONU qui pingle la France trs gravement, nous avons la dmonstration de la trs subtile efficacit du deuxime niveau de protection des rseaux, situ au niveau international. Si il convient de rendre hommage monsieur Juan Miguel Petit pour avoir fait son devoir, son rapport ne fut malgr tout quun coup dpe dans leau de plus. Force est de constater en effet quaucune sanction contre la France ou au moins contre un fusible, ni aucune mesure en faveur des victimes mineures et parents protecteurs, dsigns dans ledit rapport, na jamais t prise, bien au contraire. Tmoignage de Patricia sur ce qui lui est arriv Rappelons au passage que ce rapporteur tait intervenu suite la saisine de lONU par un parent protecteur, dans le cadre de laffaire des cd roms dits de Zandvoort qui concernait 81 familles franaises de victimes mineurs, lesquelles ne devaient jamais tre reconnues et encore moins secourues. Tmoignage de Patricia quant sa saisine de lONU Prendre au srieux ce rapport aurait constitu un prcdent catastrophique aussi ingrable quintolrable pour le crime organis et sa reprsentation nationale si clairement pointe du doigt ; le mieux pour cette dernire tait alors de lignorer purement et simplement. Cest la politique du cause toujours , dernier cercle de protection du crime organis, utilise tous ses niveaux en cas daccident. Ainsi, on comprend cet engouement pour les runions et dbats rallonge qui, dfaut davoir des suites concrtes, nont vocation qu occuper le public, monopoliser le prtendu traitement du problme, flatter la vanit des tratres et des imposteurs, le temps de mettre en place un opportun contre-feu. Les seules suites concrtes auxquelles a droit le bas peuple dans un problme tel que celui qui nous occupe, concernent la cration de nouvelles lois, dont la vocation fondamentale reste videmment, comme il en est des prcdentes, dtre joyeusement ignores et ou dtournes. Le recours des associations de la protection de lenfant :

Je suis au regret de vous dire que je ne connais pas dassociation viable qui ne constitue pas une imposture. Soit il sagit dune cration linitiative mme des protecteurs de rseaux criminels, soit lassociation ou le collectif est rapidement infiltre et contrle. Ce qui reste sur lchiquier truqu et qui chappe se contrle est pris en compte par le terrorisme et linquisition dEtat, qui neutralise les gneurs dune faon ou dune autre. Je souhaite citer titre dexemple cette femme admirable que jai connue en 2006, Chantal Clos, qui avait fond le Collectif des Mres. Cette maman sortait dun interminable combat contre limposture judiciaire, incarne entre autre, en loccurrence, par un certain Jean Pierre Rosengzeig. Prcisons que ce juge pour enfant, actuellement vice prsident du tribunal pour enfant de Bobigny, est prsent par lintelligentsia pro pdophile nationale comme tant une sommit en matire de protection de lenfance. Pourtant, lindividu a t formellement identifi par une analyse bio mtrique comme tant le sujet posant, une trentaine danne en arrire, sur une photo obscne, avec une adolescent nord africain. Photo N9 du cd rom de Zandvoort La dernire fois que je rencontrai Chantal Cols, elle tait plonge dans une prcarit extrme, narrivant plus assurer sa survie dcemment, et tait totalement au bout du rouleau, bout de nerf, puise comme tant de mres qui luttent pour sauver leurs enfants. Mis part quelques collectifs danciennes victimes totalement impuissantes face au rouleau compresseur en objet ici, on ne peut que tomber sur de vritables piges. Les collectifs danciennes victimes ou de familles de victimes ne peuvent pas, en fonction de leur origine, tre du lot, me direz-vous Et pourtant, si il ny a rien de plus honnte que des familles de victimes, en thorie, lavocat vreux attend immanquablement au tournant de pouvoir exceller dans son rle abjecte. Tantt larmoyant, avec des trmolos dans la voix, tantt dbordant dune combativit indigne, il saura toujours influencer des personnes trop crdules et manquant de recul, pris par la douleur qui les ronge. Concernant les associations se voulant protger lenfance martyrise, les mieux loties, les mieux subventionnes dentre elles, celles qui ont pignon sur rue, sont de loin les plus suspectes. Leur ligne daction et faon de faire trahissent leur rle la solde du crime organis. Dans lesprit de SOS enfant maltrait , qui, bnficiant dun numro vert, se borne offrir une oreille compatissante tout parent dsespr, le mot dordre pour toutes ces impostures dassociation reste de brasser de lair et dinterdire toute action concrte. Je peux vous en citer les plus clbres ; lEnfant bleu ; Enfance et Partage ; Innocence en Danger ; Fondation Princesse de Cro - qui, bien que situe en Belgique svit largement en France On peut remarque que bien souvent, le nom de lassociation comporte une

ambigut qui, place dans le contexte qui nous occupe, est loin dtre un innocent hasard. Ainsi, notons, dans lEnfant Bleu, le mot bleu , sagissant de la couleur du logo du mouvement international pdophile appel Boy Lovers . Logo Si ctait le rose qui avait t employ, cela aurait fait rfrence la branche du mouvement qui touche les fillettes. Dans Enfance et partage, on peut se demander de quelle faon lenfant est partag Je ne vous fait pas de dessin, sachant que les membres du directoire de cette association sont notoirement de joyeux partouzards fiers de ltre. Avec Innocence en Danger , force est de constater que si ce sont bien les enfants qui sont dsigns par le terme dinnocence , avec une telle association pour prtendre les protger ils sont effectivement en danger. Car mis part les festivits organises avec abondance de champagne et petits fours pour rguler les comptes de lassociation et divertir le gratin environnant, lassociation ne fait que promouvoir des ouvrages et actions parfaitement ineptes. Il sagit simplement dorganiser contres-feu et diversion quand certains gneurs font trop de bruit, comme ce fut le cas avec un certain Marcel Vervloesem, par exemple. L o tout le monde se fait avoir, cest dans la stratgie employe par les imposeurs qui consiste dnoncer certaines choses, et ce avec une nergie fort convaincante. Mais il faut savoir que ce qui est alors dnonc lest en fait dj par dautres, et que cest l tout le problme pour le rseau. Ainsi, pour minimiser la casse il convient de rentrer dans le jeu et ensuite monopoliser lattention du public pour orienter les dbats hors de la zone dangereuse pour le crime organis. Concernant la fondation Princesse de Cro , elle applique cette mme stratgie si bluffante , dnonant par exemple Innocence en Danger comme tant limposture quelle constitue effectivement, et le fameux juge pour enfants auquel nous avons fait allusion, comme tant le criminel pdophile quil est effectivement. Cest ainsi que miss de Cro se fait passer pour tout le contraire de ce quelle est elle-mme en ralit, et que de trop crdules parents protecteurs lui vouent une confiance totale. Concernant le nom de sa fondation, cest dans sa devise, les armes au service du combat de la pdophilie , que lon trouve lambigut. Devise qui accompagne lillustration des armes de la ligne tristement clbre des de Cro - qui descend entre autre de Vlad lEmpaleur ou du comte de Dracula ; de quoi inspirer confiance ! Ainsi, est-ce que la fondation combat contre la pdophilie, ou pour le compte de la pdophilie ? La rponse est claire, quand on sait que la fondation en question fut, linstar de Child Focus notez au passage lambigut du nom - mise en place sur les directives du roi belge, l, pour infiltrer et neutraliser le groupe Morkhoven fond et prsid par Marcel Vervloesem.

En effet, lenquteur qui avait dcouvert les fameux cd-roms dits de Zandvoort faisant clater le scandale au niveau international, cherchait faire rendre justice pour la centaine de milliers de victimes mineurs qui y apparat. Au comble du comble, il mettait en vidence limplication du roi belge dans cette pouvantable affaire, troitement lie celle dite Dutroux - et donc son volet principal dsign daffaire des tmoins X -. Le calme ntait pas encore retomb totalement en Belgique, suite au scandale provoqu par la terreur dEtat trop flagrante qui avait svit pour touffer laffaire dite Dutroux , que cet enquteur indpendant trop intgre remettait le couvert, menaant directement et en premier lieu le pouvoir belge. Trois ans aprs laction dclat de Marcel Vervoloesem , la pseudo princesse de Cro arriva alors de nul part pour prtendre se placer ses cts, ce sous un prtexte fumeux. Elle est aujourdhui vice prsidente du groupe Morkhoven, cr des adresses e-mail au nom de Marcel Vervoloesem sans quil nen sache rien, et dtient dans sa demeure maonnique, au 10 rue Feider, Bruxelles, les archives du groupe. Archives auxquelles, je lai constat moi-mme avec Marcel Vervloesem, celui-ci navait plus accs librement avant sa dernire incarcration. Si lenquteur a subit dernirement la torture et la prison, pour tre rduit aujourdhui au secret, sans droit de communiquer, madame la vice-prsidente na jamais eu le moindre soucis, part quelques ridicules inventions de sa part, histoire de donner le change. Lessentiel de sa communication tait de faire de lincarcration du hros flamand un feuilleton pisodes, annonant sa mort avec un mauvais got macabre chaque fois quelle voulait faire monter son audience. A travers cette communication indcente, elle tentait de sassimiler lhrosme de lenquteur. Miss de Cro a su en outre crer une habile confusion entre le groupe Morkhoven et sa fondation. En mettant en avant celle-ci comme tant la rfrence, miss de Cro sous-entendant que se serait elle-mme qui serait lorigine du combat. Aujourdhui, cette fondation qui envahit la toile - bloquant les premires pages de rfrences avec une trentaine de sites, selon les aveux mmes de lintresse - entretient un ascendant certain et nocif sur bon nombre de parent protecteurs en difficult avec la terreur dEtat svissant principalement en France. La stratgie pour neutraliser leur capacit daction est simple ; dployer une apparente bonne volont pour aider constituer des dossiers bien ficels en apparence -, les faire tourner en rond sur lchiquier truqu de limposture politico-judicaire, de recours en recours, de dmarche vaine en dmarche inepte. Miss de Cro a rat sa vocation, et aurait d tre avocate Un des principaux conseils de cette pseudo princesse envers les parents protecteurs consiste les inciter mettre toute leur nergie pour crer des blogs Comme si le fait de communiquer sur Internet allait changer le sort des malheureuses victimes mineures. Et, quand la censure frappe durement le parent protecteur qui a suivi le-dit conseil, cest le conseilleur qui propose de remettre en ligne avec son propre hbergeur le blog alors ferm, condition den assurer la gestion, comme de bien entendu Et, comme de bien entendu, ce qui ne doit pas y apparatre ny apparatra plus, au prtexte de permettre que le blog,

alors totalement creux, puisse tout de mme exister Pour mettre en exergue ses raisonnements foireux, le personnage nhsite pas dnoncer mon intervention dans la problmatique, avec ma vision des choses, comme sagissant dune imposture criminelle : Ainsi, la princesse de Cro mavait fait lhonneur de tout un article qui me prsentait, entre autre, comme un tratre la solde du rseau, qui pousserait les parents protecteurs fuir dans le seul but de les enfoncer. Effectivement, je tiens le raisonnement suivant : pour sauver un enfant martyr de lenfer auquel les imposteurs entendent le condamner, il faut le soustraire lenfer en question, cote que cote. Cela implique de le soustraire limposture en question, prcisment sa banche judiciaire. Avec Interpole aux trousses, les chances de protger son enfant travers une cavale dsespre jusqu ce quil atteigne lge adulte sont moindres, je ne peux que le reconnatre. Les risques sont levs, et pour le parent protecteur qui trouve le courage de passer malgr tout ce cap, il ny a pas de retour en arrire possible. Etre pris, cest linternement psychiatrique doffice et la prison, pendant que lenfant est replong dans son enfer, sans plus personne pour len sortir. Comment, alors, puis-je tre si formel dans une telle prise de position ? Permettez-moi de finir ma dmonstration, aprs cette petite mise au point quant la face cache du monde associatif qui se prtend uvrer pour la protection de lenfance Conclusion : Nous avons voqu le problme de lindpendance de la justice, comme tant le problme fondamentale qui fait delle une imposture. Pour conclure ce sujet, je souhaite revenir sur le traitement des problmes en amont de ceux-ci. Jai jusquici systmatiquement employ la tournure dimposture judiciaire, pour dsigner cette prtendue institution judiciaire, et mme les institutions europennes et internationales. La raison en est que personne ne peut nier que linstitution judiciaire franaise, comme tant dautres dans le monde, dpend du pouvoir politique, lui-mme tant la solde du crime organis international, savoir loligarchie internationale de la haute finance et de lindustrie. Si ce constat vous choque, si vous trouvez cette affirmation exagre, expliquezmoi comme il se fait que tous les pouvoirs politiques de tous les pays prtendus civiliss, et mme des autres, imposent leurs populations, comme sagissant dune norme tablie, que leur monnaie pour ne parler que de a - soit fabrique, non pas par leur nation, mais par llite de la haute finance internationale dont ils dpendent alors en-en payant le prix fort ? (Le seul pays oser sopposer depuis toujours aux banquiers privs internationaux, et se permettre davoir son propre systme montaire en

parallle aux leur, est le Japon. Le mme pays qui, ceci-dit en passant, permet une diffusion sous le manteau dune nergie mouvement perptuel,le moteur Minato Les thoriciens de complots considrent dailleurs que cela na pas port chance au Japon jusquici, entre ce que ce peuple d endurer avec la deuxime guerre mondiale et les si malencontreux cataclysmes rcents, aux consquences mondialement irrversibles) Indpendance de la justice ! De quelle indpendance peut-on alors bien parler, sagissant dun ple ou un autre, quand on ne peut que dplorer le fait que cest le crime organis international de la haute finance et de lindustrie qui, en amont de tout le systme socital, contrle nos gouvernements, et donc nos institutions, sassurant avant tout de la totale collaboration de lessentiel de la chane des acteurs judiciaires ? On peut toujours prtendre se battre pour la Libert ; on ne fait que jouer dans des bacs sable pour enfants attards si, en fait de lutte pour la Libert, les Droits de lHomme et autres, on sattache uniquement des symptmes en omettant de se dresser contre ce qui, en amont de toutes les problmatiques, entend rduire lHumanit ou se quil en reste - ltat dun vaste btail format et content de lui ( pour ce qui est du deux-tiers-monde ) Les incendies doivent tre circonscrits, dans tous les domaines, et je vous concde quil y a du travail. Pour autant, les incendiaires doivent aussi tre neutraliss. Mais tout cela ne sert rien et ne fait mme que le jeu des commanditaires, si, paralllement, on ne sattache pas neutraliser ceux-ci, par tous moyens, et de faon dfinitive. a ne sert rien non plus si, terme, les millions dindividus qui refusaient de voir que les incendiaires taient des incendiaires en prfrant se chauffer leurs brasiers, nacceptent pas de reconnatre leur lourde responsabilit a ne sert rien non plus si les millions dindividus restants, ceux qui ne rvaient que daccder quelques miettes de pouvoir des incendiaires en soufflant de concert et pleins poumons sur leurs brasiers, ne prennent pas conscience de leur profond garement A charge alors lHumanit, une fois libre de le faire, de rparer les dgts, tout en ralisant la prise quelle offrait aux vrais criminels, et daccepter les efforts concder pour voluer enfin en vue dinterdire jamais que cela ne se reproduise. A terme, quel que soit notre problme, nous ne pouvons y trouver une relle issue quen considrant la vraie et terrifiante origine de tout problme. Nous ne pouvons y trouver issue quen acceptant de traiter le problme sa base, donc, ce qui ncessite en parallle ses efforts pour se sortir de sa situation catastrophique, celui dengager le combat pour la cause commune, en acceptant de considrer la part de responsabilit que lon porte, et en refusant ltiquette de victime que lon a trop tendance rclamer avec complaisance.

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