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Allumage Torche Automatique MS

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1

Tyna Pet rol eum Ecol e N at i onal e D i ngni eurs


Servi ces D e Sf ax
Ral i s par : Sl i men M aj di
Encadr par : M r.Aboud Abdel azi z
M r.Wal i Abderrazak
2
SOMMAI RE
PREFACE................................2
PREMI ER CHAPI TRE : GENERALI TE SUR TPS...................3
I . PRESENTATI ON DE LENTREPRI SE....................4
I I . SECURI TE...................................5
I I I . DI FFERENT SI TES DE LA TPS.......................6
I V. TANK BATTERY ET LA SEPARATI ON.................8
DEUXI EME CHAPI TRE : MI NI - PROJET....................16
I . I NTRODUCTI ON.............................17
I I . CI RCUI T DE PASSAGE DU GAZ VERS LA TORCHE............17
I I I . SYSTEME DALLUMAGE........................18
CONCLUSI ON.............................22
3
PRFACE
Le stage des l ves i ngni eurs de l'Ecole Nationale d'I ngnieurs de Sfax a pour objecti f de
permettre au stagiai re de vi vre les ral its des usi nes et des entreprises et de le prparer
aborder le monde professionnel et se familiariser avec les techniques act uelles.
Alors, comme tous mes col lges, j'ai fait durant l a priode du 15 Janvi er au 11 Fvri er
2007 un stage au sei n du TPS.
Durant la priode du stage, jai accomplis le programme de stage fix par le responsable du stage
au sein de lentreprise. Jai fait un mini projet que jespre quil vous plu.
Je me suis soumis aux mmes contraintes que les employs de l'entreprise ; horaire de
travail, ponctualit, assiduit, discipline.
4
PREMI ER CHAPI TRE :
GENERALI TE SUR LA TPS
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I . PRESENTATI ON DE L ENTRPRI SE
Tyna Petroleum Services connu sous le nom de TPS, est une socit anonyme cre
en 1992 aprs un accord de partenariat parts gales conclu entre l'Entreprise Tunisienne
d'Acti vits Ptrolires (ETAP) et British Gaz Tunisian Limited (BGTL).
En 1992, le nom de l'entreprise tait TBS : Tunisian British Services. Sa production
actuel l e est en moyenne de 5000 Bari ls par jour.
Depui s 1998, l a part de BGTL a t achete par l a soci t al lemande Preussage
Energi e et ce n'est qu'en Janvi er 1999 que TBS a chang son nom pour deveni r TPS.
TPS a pour objet l'tude et la ralisation des projets de dveloppements,
d'exploitation, de traitement et de transport en Tunisie des hydrocarbures liqui des et
gazeux provenant des concessions suivantes : Elhajeb, Guebiba, Elan, Cerci na et
Ramoura.
La collecte et le traitement des diffrents bruts provenant des sites de TPS sont
raliss dans le centre Tank Battery situ Sfax, route Menzel Chaker Km 9. ce centre
est reli aux di vers sites grce des canaux.
Lors de la sparation, le brut est dcompos en gaz, eau et de l'huile ; le gaz sera
brl au moyen d'une torche sit u au fond du site, l'eau produite est trait avant qu'el le
soit conduite vers les puits de rejets alors que l'huile obtenu sera stock dans des citernes
avant son expdition vers la Skhi ra ou la CFTP (Compagnie Franaise Tuni sienne de
Ptrole) dans des camions.
De pl us l a TPS vei l l e dans l e cadre de ses acti vi ts respecter l'hygi ne publ ique, l a
lutte contre la poll ution d'une part et le bon fonctionnement des installations.
6
I I . SECURI TE
Les rgles de scurit sont trs strictes et ell es sont la premire leon de toute personne
travaillant dans compagnie de mme que pour les stagiaires. La scurit des humains est
l'objectif le plus important de la compagnie
Le Step 5 x 5.
Les 10 " Must-Do ''.
1-Respecter scrupuleusement les informations de signes de scurit et les rglements.
2-Conserver le site de travail, bien rang et sans obstacle.
3-Utiliser correctement les outils adapts la tache.
4-Utiliser la technique correcte Gestes et Postures dans le cas ou la manutention
manuel le ne peut tre vite.
5-Se tenir la rampe d'escalier et ne jamais sauter une marche.
6-Marcher et ne pas courir. Ne pas prendre de raccourcis ni traverser les barrires de
scurit.
7-Rapporter immdiatement tout accident ou i ncident la direction. Participer
I'identification des risques.
8-Appl iquer le Step Back 5*5. Utiliser la tte avant d'engager les mai ns . Si je ne sais
pas, je demande.
9-Toujours porter la cei nture de scurit en voiture et ne jamais uti liser le tlphone en
condui sant.
10-Toujours porter correctement et entretenir l'Equipement adquat de Protection
Indi vi duel l e.
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I I I . DI FFERENTS SI TES DE LA TPS :
Rhemoura : c'est un si tu dans l a route Gabs qui possde une tte de pui t en
production est une en arrt. Dans ce existe un sparateur qui n'a pour rle que
l e comptage du brut de Rhmoura et de cel ui provenant de cerci na.
Cerci na : le site de cercina est une plat-forme existante dans la mer de l'le de
kerkena qui possde 5 tte depuits qui sont : Cercina1, Cerci na2, Cerci na3,
Cerci na6 et Cercina7 .les ttes 2,3,6,7 sont disperss autour de la plat-forme
tandi s que l a pui t1 est si tu sur la pl at-forme.
El an : comme son nom l'i ndique ce site exist e dans la rgion d'Elan possedant
deux ttes de puits qui sont caractriss par une qual it de brut mei l leure d
sa densit faible. Dans ce site n'existe pas de sparateur, le brut est directement
pomp vers Tank Battery.
Gebi ba : ce si te est si tu l a rgi on de Gebi ba possdant deux ttes de puits et un
sparateur.
El haj eb : ce site existe dans l a rgion d'El hajeb possdant une seul e tte de puit
et un sparateur. Ce site n'est pas toujours en production.
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Tank Battery : ce le site de traitement du brut provenant des diffrents sites, il
est spar en ci nq zone :
Zone de sparation : c'est la zone o existe les diffrents sparateurs lis
chaqu'un un pipe-li ne provenant d'un site.
Zone de stockage de brut :constitu de quatre tanks.
Zone de stockage de l'eau : consti tu de troi s tanks.
Zone de rejet : c'est un puit dans lequel on se dbarrasse de l'eau.
Zone de chargement : o les camions-citernes se charges du brut.
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I V. TANK BATTERY ET LA SEPARATI ON:
1. I NTRODUCTI ON :
Le rl e princi pal e de Tank Battery est l a sparati on du brut.
Cette opration consiste sparer le brut provenant des diffrents sites en trois pri ncipale
composantes qui sont ; l'hui l e, l 'eau et l e gaz.
2. LA SEPARATI ON :
Quant on met en production un gisement d'hydrocarbures liquides ou gazeux, on
ne recuei l le pas un seul produit homogne, mais pl usieurs qui se sparent pl us ou moins
facilement.
Dans les puits d'hui le, le fl ui de produit peut tre homogne dans les conditions de
fond du gisement, mais les dtentes en surface, librent de l'huile une quantit variable de
gaz.
Suivant l'importance de la quantit de gaz ai nsi produite, on peut envisager de
I'util iser ou de le brler dans une torche. De toute faon, l'huile doit tre dbarrasse de
son gaz. Il peut y avoir galement de l'eau dans l'huile. L'huile doit galement tre
dbarrasse de cette eau.
Le problme consi ste donc sparer un effl uent complexe en une phase gazeuse et
une ou plusieurs phases liquides.
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RAI SONS DE LA SEPARATI ON
Rai sons Techni ques : Il est important de disposer d'un fluide (huile ou
gaz), qui dans les conditions de temprat ure et de pression des installations
de stockage et de transport se maintien en tat monophasique. En effet si la
tension de vapeur de I'huil e aprs traitement reste trop leve, des
bouchons de gaz apparaissent aussitt.
Ces bouchons perturbent l 'quil ibre des rservoi rs de stockage, drglent
les mesures, perturbent le fonctionnement des pompes, crent dans les
rseaux des pertes de charge importantes et imprvisibles.
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Ces i nconvnients sont du mme ordre dans les lignes de transport du gaz.
L'apparition de condensats qui survi ent la faveur d'une chute de pression
ou de temprat ure fausse les comptages, augmente les pertes de charge et
peut dans certai nes conditions critiques, provoquer le bouchage des
conduites par formation d'hydrates.
Rai sons Economi ques : Une sparation bien mene peut augmenter dans
des proportions intressantes, le volume de liquide par pigeage des
composants lgers. El le lve par la mme occasion la valeur commerciale
du brut. La valeur d'un brut augmente gnralement avec sa densi t API.
C'est--dire, en sens inverse de son poids spcifique.
Degr API = 141.5 _ 131,5
S.G.
S.G. - Speci fi c Gravi ty 60F/ 60F
En pl us, l'limi nation immdiate de l'eau conomise des frais de transfert et de
traitement au niveau des raffineries.
Rai sons De Contrl e :Ce fait de pouvoir disposer des produits spars
facilite grandement le contrle de la product ion l'chelle du champ. Des
contrles quoti diens sont ai nsi possibles sur place : Gas Oi l Rati o, I ndex de
Producti vi t, Densi t, Sal i ni t, etc.
Q = Quanti t d'Hui le Produite.
PG = Pression de Gisement
PF = Pression de Fond
P
F
= Pression de Fond Q
IP (Indexe de Productivit) = -------------
P
G
- P
F
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3. LES SEPARATEURS :
A l'origi ne, la sparation se faisait pression atmosphrique dans de simples
bacs de dcantation. Cette mthode avait le double i nconvnient d'entraner des
pertes de produits considrables et d'obliger reprendre l'huile la pompe pour la
renvoyer au stockage. Les sparateurs actuels travai l lent sous pression. Le
rendement est ainsi amlior et la pression sert de moteur pour le transfert de l'huile.
3.1 Df i ni ti on dun Sparateur
C'est une capacit fonctionnant pression constante grce une
rgulation approprie. De vol ume suff isant, elle est quipe d'un systme
i ntrieur de chicanes et de gril lages qui provoquent un ralentissement dans
I'coulement du mlange diphasique qui l'al imente, provoquant ai nsi l a
sparation effective de la phase gazeuse et de la phase liquide, et, limitant
galement l'entranement mcanique de gouttelettes liquides dans le gaz, et de
bul l es de gaz dans le l iqui de.
3.2 Pri nci pe f ondamental du sparateur
Contrai rement aux procds complexes de rcupration de l iqui de
partir d'un effl uent diphasique ncessitant toujours un apport extrieur
d'nergie, un sparateur fonctionnant une pression P et une temprat ure T
spare la phase liquide et la phase gazeuse existant dans l'effl uent diphasique
cette pression et cette temprature.
Il ne provoque aucune modification de l'quilibre l iqui de vapeur
prexistant, mais engendre simplement leur sparation par la diffrence de
leurs masses spcifiques.
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3.3 Mcani sme dun sparateur
Un sparateur reoit des produits dj partiel lement spars. Ces
produits sont des liquides, huil e et eau contenant du gaz dissous et du gaz
charg d'huile en suspension.
Le premier rle du sparateur est d'isoler les liquides dans une chambre
de tranquil lisation pour que le gaz ait le temps de se librer. Le phnomne
n'est pas instantan, et, si tout le gaz librable la pression du sparateur n'a
pas pu se vaporiser, le dgagement sera trop rapide au moment o l'huile
passera la pression infrieure de l'tage suivant. Il y aura alors perte par
entranement des produits lgers qui, normalement auraient du rester en
dissol ution dans le mlange.
Par ai lleurs, des dispositifs chicanes et des filtres brouillard favorisent l a
coalescence sur les parois des gouttelettes liquides en suspension dans le gaz
et les tranent dans la chambre de dcantation.
Le mcanisme permet de comprendre que l'unit de sparation ne peut
fonctionner correctement que si el le n'est pas surcharge c..d., si le temps de
tranquil lisation est assez long pour permettre le dgazage de l'huile et si la
vitesse d'coulement et suffisamment lente pour viter les entranements.
Ai nsi, mme si la production a t rduite on a toujours intrt
mai ntenir en service la batterie de sparateurs complte. Le rendement est
meil leur. Inversement, le chef de champ doit connatre la capacit maximum
de ses appareils pour viter les surcharges et les pertes qui s'en suivent.
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Le traitement consistera donc, lorsqu'on di spose en tte de puits d'un effl uent
diphasique une pression et une temprature donnes gnralement leves
obtenir sparment la pression atmosphrique et temprature ambiante : la
phase gazeuse et la phase liquide, cette dernire tant la plus importante
possible.
3.4 Schma de pri nci pe dun sparateur
L'appareil est constitu par une enveloppe cyli ndrique, rsistante la
pression et ferme chaque extrmit par un fond bomb (1). Pour certains
sparateurs, nous le verrons pl us loi n, cette enveloppe est sphrique.
L'effluent est amen par la conduite (2) dans la chambre de sparation
(3). Le jet liquide se bri se contre le dflecteur (4). Par gravit, le liquide tombe
sur le plancher perfor (5) et s'accumule dans la chambre de dcantation (6)
o des cloisons brise vagues (7) tranquil lisent le fl uide et permettent la
sparation par diffrence de densits de l'eau et de l'huile.
Le gaz de la masse liquide pntre dans la chambre de sparation
secondaire (8) par les perforations du plancher (9) et s'y dbarrasse des
liqui des mai ntenus en suspensi on qui tombent par gravit. Dans certai ns
sparateurs, un rseau de chi canes disposes en cran dans cette chambre
force le courant de gaz humide suivre un parcours si nueux. Cette
disposition favorise, par projection sur les parois des particules lourdes, la
coalescence des gouttelettes liquides et leur ruissellement vers le bas.
Les broui l lards forms de particules trop fi nes pour tre prcipi tes par
gravit sont retenus dans un fi ltre (10). Le gaz trait est vacu par la conduite
(11).
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Les liquides rcuprs dans la chambre de dcantation sont purgs par
deux conduites. Au point le plus bas est piqu le soutirage de l'eau (12) dont
l a densi t est suprieure cel l e de l'hui l e. L'hui l e est prise par un tube crpi n
en dessus du pl an d'eau (13).
Les vannes contrlant l'entre et les sorties du sparateur sont
gnralement commandes par des di spositi fs automatiques.
I - Ecrans horizontaux
2 - Ecrans verticaux. Suppression des vagues
3 - Extracteur de brouillard. Rcupration du condensat
4 - Tube crpi n. Dpart de l'hui l e
5 - Dpart de l'eau de sparati on
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6 - Drai n. Vidange du sparateur
7- Soupapes de scurit. Elles librent le gaz du sparateur en cas de surpression vers
la chemin de dtente pour les sparateurs H.P. l'air libre pour les sparateurs
M.P.
8 - Indicateur de temprat ure
9 - Indicateur de pression
10 - Ecran des flotteurs. Stabilisation du niveau
11 - Fl otteur de l'hui l e d< 0,8
12 - Fl otteur de l'eau - 0,8< d < 1
13 - Niveau visuel
14 - Vanne automati que d'entre du brut rgl e manuel l ement
15 - Vanne automatique de sortie d'huile rgul e par le contrleur du ni veau d'hui le
(16)
16 - Contrleur de niveau d'huile command par torsion depuis le flotteur (11)
17 - Vanne automatique de sortie d'eau manoeuvre par le contrleur de ni veau
d'eau (18)
18 - Contrleur de niveau d'eau command par torsion depuis le flotteur (12)
19 - Vanne automati que de sorti e de gaz rgul e par le contrl eur de pressi on (20)
20 - Contrleur de pression de gaz
21 - Vanne de purge de contrl e du gaz
22 - Vannes de purge des vannes automatiques.
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DEUXIEME CHAPITRE :
ETUDE ET CONCEPTION D'UN
SYSTEME D'ALLUMAGE
AUTOMATIQUE
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I . I ntroducti on :
Suite au mcanisme du sparation, on obti ent l'eau qui sera dans des pentes de rejets,
I'huile ou dit aussi br ut qui sera stocks dans les Tanks puis exports et enfi n une
certaine quantit qui est riche en H2S qui sera brl dans deux torches.
Dans ce qui suit on va tudi le mcanisme de cration d'tincelle pour brler ce gaz,
puis en deuxime l ieu rendre ce systme automatique.
I I . Ci rcui t de passage du gaz vers l a torche :
Le gaz sortant du sparateur sera transport vers le mecapgaz qui sera filtr une
deuxime fois. Sortant de cette dernire, il va passer la torche.
On note qu'une parti e de gaz est transport vers le pilote pour construi re une source
d'al imentation de la flamme allumant la torche et la majeure partie est conduite vers
la torche.
Notre but est d'avoi r une torche all ume durant les 24h du jour. Dans le rgime
act uel, la torche est allume manuellement si el le est teinte. On va essayer de
concevoi r un systme d'al l umage automati que permettant l'al l umage automati que
de la torche.
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I I I . SYSTEME DALLUMAGE :
Pri nci pe :
On va parti r d'une ide simple, on prend un transformateur al iment par une tension
conti nue, ce dernier un rapport de transformation assez lev, si on rapproche les
deux fils du secondai re, on constate des tincelles qui apparaissent nettement ; ceci
est d au fait d'avoir une tension de sortie trs lev.
On va passer de cette ide pour concevoir notre
systme d'al l umage.
Prsentati on du matri el :
BOBI NE :
La bobine contient le transformateur-lvat eur
de tensi on comprenant un noyau magntique en
tles feuil letes autour duquel on trouve
l'enroulement secondai re et l'enroulement
primai re.
La bobine la pl us rpandue a la forme d'une
bote cylindrique en tle emboutie.
A la partie suprieure, la tte de bobine isolante
est sertie sur la bote en tle avec l'interposition
de joints d'tanchit. Elle supporte les deux
bornes primaires, l'une d'entre venant du contact
d'all umage, l'autre de sortie al lant vers
l'all umeur, ai nsi que la sortie haute tension
monte dans une chemi n au centre.
Dans ce type de bobine verticale, les
enroulements baignent dans l'huile afi n de
limiter leur chauffement.
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CAPACIT :
La variation du fl ux magntique qui a donn
naissance au courant secondai re engendre galement
dans l 'enroulement primaire en raison de sa self
i nduction un courant i nduit dit "extra courant de
rupt ure" qui s'oppose a l'ouverture du circuit et
produit aux contacts de l'i nterrupteur une tincelle
qui les mettrait rapi dement hors d'usage. L'extra
courant de rupt ure charge le condensateur qui se
dcharge dans le ci rcuit primai re et produit dans le
secondai re un potentiel lev Le condensateur a donc pour effet d'viter la
production d'ti ncelles aux contacts du rupteur et de renforcer l 'ti ncel le aux
bougies.
BATTERI E :
C'est une d'accumulation de l'nergie. Elle permet de
d'al imenter le ci rcuit par une tension continue.
Cette source est de l'ordre de 12V.
RELAI S (rupteur):
Dans notre application, le relais joue le rle du rupteur ;
elle ouvre et ferme circuit brusquement.
Ceci permet la variation du fl ux dans le secondaire de
la bobine crant ai nsi un courant induit dans l'i ntensit
peut atteindre 6000 vol t.
RELAI S:
Cette relais a pour rle de fermer le ci rcuit une fois si le
dtecteur de flamme fonctionne.
El le est ouverte au repos, elle est command par le
dtecteur de flamme.
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BOUGI E:
Suite au phnomne de l'i nduction la haute tension form
va tre vacu entre les deux lectrodes du bougie.
TEMPORI SATEUR:
Ce composant est uti l i s pour assure un retard a
I'ouverture du ci rcuit.
Une fois le dtecteur est fonctionn; il va ferm le
circuit travers le relais.
Lorsqu'on obtient une flamme, le dtecteur ouvre le
circuit brusquement.
Le temporisateur i ntervient pour ajouter un retard
I'ouverture pour s'assurer que la flamme ne disparat
pas.
CABLE CONNECTI ON:
Lorsque l'arc lectrique se produit, la haute tension
produite par la bobine d'allumage (jusqu' 6 kV), doit
d'abord transiter par les cbles d'al lumage en direction de
l a bougi e.
DETECTEUR DE FLAMME:
C'est un capteur qui permet de veiller sur l'existence de la flamme.
Grae au systme de dtection, ce dtecteur ferme le circuit en cas d'abscence
du flamme. Ceci en dlivrant une tension al i mentant la bobine du relais qui
ferme ai nsi le circuit.
22
MODE DE FONCTI ONNEMENT:
A l'ouverture du rupteur, le courant pri mai re est brusquement coup, ceci provoque
une variation rapi de du champ magntique et la cration d'un courant i nduit haute
tension dans l'enroulement secondai re (l'i ntensi t peut attei ndre 5 000 6 000 vol ts).
L'enroulement secondaire est l i la bougie qui dclenche l'tincel le dsire.
Le condensateur plac en dri vation du rupteur absorbe le courant de self induit
dans le primaire lors de la coupure et vite la dtrioration des contacts du rupteur.
La tension secondaire est fonction :
du courant primaire ,
de la rapi di t de la vari ati on de champ (profi l de came),
de la capacit du condensateur et du rapport de transformation
primai re/secondaire.
La force lectromotrice d'induction est donne par la formule
E= n. .
t
: fl ux final .
:flux primitif.
23
CONCLUSI ON
}'ai le grand plaisi r d'exprimer ma satisfaction face ce stage qui tait vraiment utile
malgr sa courte dure.
Je me suis intress durant ce mois aux diffrentes tapes d'extraction de ptrole.
Aussi bien, j'ai vu en proche les diffrentes t apes de sparation du brut jusqu' qu'il
sera transmit dans les Tanks. J'ai eu une occasion d'assimiler un chantier ptrolier ;
I'quipement mcanique et lectrique surtout automatique.
Durant ce mois j'ai fait un mi ni-projet qu'il m'a ouvert vraiment beaucoup
d'opportunits pour savoir des trs intressantes choses.
Je sui s trs content cette formati on que j'ai obtenue dans ce moi s. J'tais
profondment touch, non seul ement par le climat professionnel qui rgne entre les
diffrentes units, mai s aussi par l'esprit de collaboration qui marque le travai l dans
l e TPS.
Enfi n, je ti ent encore remerci er tous qui m'ont m'ai d de prs ou bi en mme de loi n
ral i ser ce modeste stage.
24

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