La Plannification de La Preparation Physique en Football
La Plannification de La Preparation Physique en Football
La Plannification de La Preparation Physique en Football
LA PLANIFICATION
de la
PRPARATION
PHYSIQUE
organis l'UFR STAPS de Dijon
par Gilles Cometti
RESUME
DES
COMMUNICATIONS
les 17 et 18 dcembre 1999
avec la collaboration de la
14h 30. Ouverture du colloque Bernard Meurgey (Directeur de lUFR STAPS de Dijon).
14h 45. Les diffrents niveaux de la planification. Gilles Cometti (Centre dExpertise, Dijon).
15h. Entranement simultan de la vitesse-force et de lendurance. G. Cometti.
15h 30. La vitesse : les procds classiques de lentranement de la vitesse. G. Alberti (Milan).
16h. Mthodes d'tirement musculaire : bases scientifiques et aspects pratiques. Nathalie Guissard
(Bruxelles).
13 h. Fin du colloque.
1) Dans la semaine:
2) Dans le cycle:
La dure idale du cycle est aujourd'hui de 3 semaines pour les disciplines de force
explosive. La figure 1 illustre le profil des 3 semaines.
3) Le bloc:
cette notion introduite par Vercoshanski consiste mettre l'accent sur une qualit
physique pendant un temps assez long pour nous le bloc correspondra 2 cycles. (figure 2)
figure 2 : le bloc
Figure 1 : volution de la vitesse des sprints dun joueur au cours dun match.
La conception arobie consiste effectuer du travail arobie pour rsoudre le problme de fin de
match et lever ainsi la vitesse des sprints effectus sur la fatigue. (fig.2)
PERTE
Figure 2 : effets de la conception arobie : les sprints de fin de match sont effectus plus vite grce
lentranement.
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Cette conception nglige une chose : la vitesse des premiers sprints du match est suppose rester
la mme, ce qui serait lidal. En fait ce nest pas le cas et plusieurs exemples vont nous le
dmontrer. En pratiquant ce type dentranement on perd en vitesse sur 30 m.
La conception vitesse-force :
Pour avoir des chances damliorer la vitesse sur 10, 20 ou 30 m il faut la mettre en priorit et
mme comme cela ce nest pas vident. Si on y parvient (fig.3) le joueur sera plus efficace sur
lensemble du match. Le bnfice se fera sur les 40 mn. Mais la perte en fin de match sera
toujours prsente et il faudra alors travailler la puissance maximale arobie avec le procd le plus
qualitatif qui prend en compte une grande qualit dans le travail : le travail intermittent .
Les progrs de lathltisme italien dans son ensemble sont en grande partie ds aux tudes et aux
intuitions de Carlo Vittori. Dabord comme athlte puis comme technicien, entraneur et
prparateur physique il a consacr lathltisme toute sa vie, contribuant normment avec ses
collaborateurs aux progrs surtout culturels de tout le mouvement athltique et en particulier
dans le domaine de la vitesse, si bien quaujourdhui on peut vritablement parler d cole
italienne de la vitesse
Le professeur Vittori a contribu dissiper certains lieux communs comme la conviction que les
physiologistes avaient dans les annes 50 ou 60 que laptitude courir vite ntait pas une qualit
composite mais quelle avait essentiellement des limites gntiquement inamovibles.
Vittori comprit et dmontra linverse que lentranement et lcole de leffort constituaient les
principes premiers de lamlioration de la performance. Il a analyser la course sous tous ses
aspects, mais ceux apparement les plus insignifiants, et partir de ses crits, il est possible,
comme synthse gnrale, de dgager certains points fondamentaux :
- Avant tout le rle central de la force , ou mieux de certaines expressions de la force dont la
succession dynamique influence le geste biomcanique du sprinter.
- A cela est associ le rythme compris comme le meilleur compromis entre la frquence et
lamplitude de la foule dans le but de trouver pour chaque athlte le modle rythmique adapt
sa biotypologie.
- Lendurance galement, apparement peu importante pour un sprinter, joue un rle
dterminant dans la fameuse rsistance la vitesse . Elle est en relation, en plus de la force,
avec les processus nergtiques qui sont utiliss pendant la performance, cest pourquoi on peut
parler de modle bionergtique du sprinter.
-
Ces dernires annes, les tirements musculaires ont t aussi bien intgr aux programmes
dentranement en sport quaux programmes de reducation en kinsithrapie.
La recherche sest, ds lors, multiplie et sest oriente vers des tudes non seulement mcaniques
mais galement neurophysiologiques. Au point de vue neurophysiologique, ltirement passif
diminue lexcitabilit des neurones moteurs du muscle traduisant une rduction du tonus
musculaire.
Cependant, une fois ltirement termin, le muscle retrouve immdiatement son niveau
dexcitabilit initial et son tonus de base. Ce maintien est cohrent avec labsence de modification
de force de contraction volontaire maximale observe dans certaines tudes. Cependant, le gain
de mobilit articulaire conserv suggre malgr tout une adaptation mcanique court terme.
Diffrentes mthodes ont t galement compares dun point de vue mcaniques et
neurophysiologiques. Les mthodes passives sont davantage recommandes que les mthodes
dynamiques. La mthode du contract-relch ainsi que le CRAC permettent une amlioration
considrable de la mobilit articulaire.
Certaines tudes ont montrs que le muscle sadapte suite un tirement musculaire. Ce type de
sollicitation va modifier les proprits mcaniques et viscolastiques musculo-tendineuse ainsi
que la rgulation rflexes. Une meilleure comprhension des fondements des diffrents processus
physiologiques mis en jeu va permettre de concevoir un type de prpartion plus performant.
La charge d'entranement des sances un ou plusieurs processus nergtiques est le plus souvent
dcrite par le volume, l'intensit et la frquence des sances. Le volume d'entranement s'exprime
en heures ou kilomtres parcourus par jour, semaine, anne. L'intensit est quantifie partir de
la relation entre la vitesse ou la puissance et la concentration des lactates sanguins.
La planification de l'entranement divise l'anne en petites priodes ou cycles dont la dure est
variable. Plusieurs micro-cycles forment un macro-cycle, plusieurs macro-cycles un mso-cycle.
Le but de la planification est d'optimiser la charge d'entranement l'adaptation de l'organisme et
de prvenir le surentranement et la fatigue. La dure d'un micro-cycle est en gnral d'une
semaine. La dure d'un macro-cycle est plus variable de 3 12 semaines. Elle dpend du type de
processus nergtique dvelopper (arobie ou anarobie), de l'tat initial d'entranement (repos
ou fatigu), de la priode de l'anne (reprise d'entranement ou fin de saison), du type de sport
(individuel ou collectif), de la frquence des comptitions, du niveau de pratique et de l'ge des
sujets.
Pendant l'enfance et l'adolescence, le volume moyen d'entranement augmente rgulirement
d'anne en anne et suit paralllement les performances mesures en comptition. Il est toutefois
difficile pendant cette priode de dterminer ce qui revient exactement la croissance corporelle
et au volume d'entranement lui-mme. Aprs l'adolescence, le volume d'entranement perd sa
capacit de stimulation partir d'un certain seuil. Au del de ce seuil, le paramtre majeur devient
l'intensit. Le travail faible intensit garde malgr tout un intrt chez les sprinters. Il amliore
en effet la rcupration et la tolrance des sances d'entranement trs intenses.
L'afftage correspond une phase de rduction importante du volume d'entranement (30 50
%) pendant 2 4 semaines. Il s'accompagne d'une trs nette amlioration des performances.
Pendant cette priode, la rcupration de la fatigue est plus rapide que la perte d'aptitude
physique ce qui explique l' amlioration des performances.
La rponse individuelle un entranement donn varie normment d'un sujet l'autre. Elle
dpend du niveau initial de la performance et du nombre d'anne d'entranement de chaque sujet.
Cette rponse peut tre tudis l'aide de corrlations simples entre performances et charges
d'entranement ou l'aide de modles mathmatiques. Ces analyses permettent aux sportifs et
entraneurs de programmer de faon individuelle l'entranement, particulirement au cours des
phases d'afftage. Ainsi, le temps de rcupration optimal peut tre calcul pour chaque individu.
Des valeurs variant de 1 8 ont pu ainsi tre calcules.
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nature est dtermine par les trois paramtres FI, DC et DR. La quantit totale du travail qu'elles
effectuent dpend du nombre de fois que lon rpte le cycle "contraction repos" (NR = nombre
de rptitions). Par exemple, si FI est 50Hz, DC 5 secondes et DR 15 secondes, rpter 10 cycles
"contraction repos" commande une quantit de travail totale pour les fibres recrutes de 50 x 5 x
10 = 2500 units de travail. Et, le temps total de la sance de stimulation sera: (5+15)x10 = 200
secondes.
Outre les lments dvelopps ci-dessus, il faut insister sur la notion du recrutement
spatial des fibres. Le recrutement spatial, c'est le nombre de fibres musculaires qui sont stimules
ou recrutes par l'lectrostimulation. Ce recrutement dpend de l'intensit lectrique exprime en
mA (milliampres) et rgle pendant la sance de stimulation sur l'appareil. Si on utilise peu
d'intensit, on fait travailler un petit nombre de fibres. Si on applique la stimulation avec une
intensit significative pour un sportif, par exemple 70mA, on recrute beaucoup plus de fibres.
Seules les fibres recrutes par l'ESM travaillent et seules les fibres qui travaillent peuvent
progresser. Peu d'intensit signifie peu de progrs possibles, beaucoup d'intensit signifie
beaucoup plus de progrs possibles.
Le nombre de fibres qui travaillent dpend du nombre de mA rgl sur l'appareil par
l'utilisateur pendant sa sance de stimulation. La nature et la quantit de travail qu'effectuent les
fibres recrutes dpendent des paramtres programms (FI, DC, DR, NR).
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le cycle d'lectrostimulation
3) Le cycle :
Il est de 3 semaines
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Parce que la sollicitation musculaire excentrique provoque, pendant ltirement du muscle, des
tensions maximales, il apparat que ce type de contraction est favorable au dveloppement de
lhypertrophie et de la force musculaire. Cependant ce type de sollicitation ncessite une longue
dure de rcupration en raison des dommages subis par lultrastructure myofibrillaire. Afin de
prciser si lintensit de la sollicitation musculaire dtermine la dure de la rcupration de la
force maximale, 10 sujets fminins entrans ralisent une sance dentranement excentrique
et concentrique . La sance est compose de 10 sries de 10 contractions maximales
concentriques ou excentriques du quadriceps ralises pour chaque sujet sur un ergomtre
isocintique (Biodex), spares par six mois dintervalle. Pour chaque sance, lvolution de la
force maximale excentrique et concentrique est value 5 min., 24h et 48h aprs la sance
dentranement.
Lors de ce type de sance, la force maximale concentrique et excentrique diminue
significativement pendant les sries respectivement partir de la 1re et de la 7me srie.
Immdiatement aprs la sance de type concentrique, le moment excentrique diminue
significativement par rapport la valeur obtenue avant la sance (valeur initiale) de -15,18 ,8%,
puis revient une valeur proche de la valeur initiale aprs 24 heures de repos (-8,212,7%). En
revanche, le moment concentrique nest pas significativement modifi immdiatement (4,310,1%) et aprs 24 heures de repos (-1,310,3%). Aprs la sance de type excentrique, les
moments excentrique et concentrique sont significativement diminus (-15,67,5% et -15,17,6%
respectivement), puis reviennent vers leur valeur initiale 48 heures (-6,311,9% et -5,113,2%
respectivement). Il semble donc quune priode de 24 heures soit ncessaire pour rcuprer de
faon complte la force maximale suite une sance concentrique , alors quune priode de
repos de 48 heures est ncessaire suite la sance excentrique . Ces dlais sont prendre en
compte dans la programmation de lentranement.
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La ralisation dune performance sportive ncssite une synergie parfaite entre deux
qualits physique: la force musculaire et la souplesse. Un manque de souplesse limite
lefficacit dexcution dun geste technique et peut tre lorigine de lsions musculotendineuses.
Depuis quelques annes, le stretching constitue un volet incontournable de tout
programme dentranement. Il permet de prparer la musculature au travail, daugmenter
la mobilit articulaire, damliorer la performance. De plus, par la rduction de tension
musculaires quil peut engendrer, il permet de limiter les accidents musculaires et
tendineux.
Cependant, pour tre efficace et sans danger, les tirements doivent rpondre un
certain nombre de principes techniques respecter. En fonction de lobjectif que
lentraneur sest fix, les tirements seront placs avant, pendant ou aprs la sance
dexercice ou dentranement.
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La version Standard
la version Plan Plus qui intgre deux nouvelles fonctions d'aide
la dcision
Le suivi de l'tat d'entranement
la quantification
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site
internet :
Aprs plusieurs semaines ou mois nags un volume d'entranement lev, une rduction
importante du volume (30 50 %) pendant 2 4 semaines, appele "afftage", s'accompagne
d'une trs nette amlioration des performances (Houmard et Johns 1994, Maglischo 1982, Mujika
1998) .
Mujika, et coll. (1995) ont montr que l'augmentation de la performance tait directement lie la
rduction du volume d'entranement. Banister et Calvert (1980) ont indiqu que l'entranement
induit une augmentation de l'aptitude physique mais aussi une fatigue limitant la performance.
Pendant l'afftage, la rcupration de la fatigue est plus rapide que la perte d'aptitude physique.
Cela explique qu'une courte rduction d'entranement s'accompagne dans ces conditions d'une
amlioration des performances.
La dure de l'afftage est variable selon les sujets de 4 32 jours. Elle peut tre ralise
progressivement ou par palier (Houmard et Johns 1994, Mujika 1998) . Elle s'accompagne en
moyenne d'une augmentation de performance de 3 % (Cavanaugh et Musch 1989, Costill, et coll.
1991).
Pendant l'afftage, le maintien d'une intensit leve parat ncessaire pour viter le
dsentranement
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Rfrences
1. Banister, E. W. Calvert, T. W., (1980) Planning for future performance: implications for long
term training. Canadian Journal of Applied Sport Sciences 5: 170-6.
2. Cavanaugh, D. J. Musch, K. I., (1989) Arm and leg power of elite swimmers increase after
taper as measured by biokinetic variable resistance machines. Journal of Swimming Research
5: 7-10.
3. Costill, D. L., Thomas, R., Robergs, R. A., Pascoe, D., Lambert, C., Barr, S. Fink, W. J., (1991)
Adaptations to swimming training: influence of training volume. Medicine and Science in
Sports and Exercise 23: 371-7.
4. Houmard, J. A. Johns, R. A., (1994) Effects of taper on swim performance. Practical
implications. Sports Medicine 17: 224-32.
5. Maglischo, E. (1982) Swimming faster. Mayfield Publishing Company, Palo Alto, California, 1472
6. Mujika, I., (1998) The influence of training characteristics and tapering on the adaptation in
highly trained individuals: a review. International Journal of Sports Medicine 19: 1-8.
7. Mujika, I., Chatard, J. C., Busso, T., Geyssant, A., Barale, F. Lacoste, L., (1995) Effects of
training on performance in competitive swimming. Canadian Journal of Applied Sport Sciences
20: 395-406.
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1,80 s
Joueur A
Joueur B
Figure 1 : volution de la vitesse foule par foule (mesur par optojump ) pour deux joueurs avec le mme temps
sur 10m (1,80s)
Nous conseillons donc pour le footballeur 3 sances de vitesse par semaine dont une se termine
par un intermittent arobie :
- une sance de vitesse type renforcement de lappui (skippings, bondissements..) couple
avec charges trs lourdes en 1/2 squat
- une sance axe sur la ractivit et la frquence (avec situation adapte au football :
distances 10-20m et changements de direction)
- une sance oriente sur la vitesse de dmarrage (moins de 10 m) avec contrle type
optojump
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Les sances que nous avons choisies alternent des situations spcifiques (si possible avec mesure
= ergomtre par exemple) et des situations de musculation o l'ergopower est souvent l'appareil
de mesure privilgi.
ergomtre
ergomtre
ergomtre
ergomtre
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Lchauffement est classiquement compos dune partie gnrale, qui serait plutt consacre la
circulation sanguine et la temprante, et dune partie spcifique, plus axe sur les caractristiques
neuromusculaires.
Quelle est lintensit optimale pour que la performance ne soit pas perturbe ?
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Rferences
De Bruyn-Prevost P. The effects of various warming up intensities and durations upon some
physiological variables during an exercise corresponding to the WC170. Eur J Appl Physiol 1980 ;
43(2) : 93-100.
Inbar O, Bar-Or O. The effects of intermittent warm-up on 7-9 year-old boys. Eur J Appl Physiol
1975 ; 34(2) : 81-89.
Ingjer F, Stromme SB. Effects of active, passive or no warm-up on the physiological response to
heavy resistance. Eur J Appl Physiol 1979 ; 40(4) : 273-282.
Genovely H, Stamford BA. Effects of prolonged warm-up exercise above and belox anaerobic
threshold on maximal performance. Eur J Appl Physiol 1982 ; 48(3) : 323-330.
OBrien B, Payne W, Gastin P, Burge C. A comparison of active and passive warm ups on
energy system contribution and performance in moderate heat. Aust J Sci Med Sport 1997 ; 29(4) :
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Robergs RA, Pascoe DD, Costill DL, Fink WJ, Chwalbinska-Moneta J, Davis JA, Hickner R.
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23(1) : 37-43.
Stewart IB, Sleivert GG. The effect of warm-up intensity on range of motion and anaerobic
performance. J Orthop Sports Ther 1998 ; 27(2) : 154-61.
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Cest en 1966 que Mastrovo met au point une procdure dchauffement qui est reste sous
lappellation dchauffement russe.
Les nombreux accidents constats chez des sprinters particulirement aux ischio-jambiers ont
motiv une tude exprimentale.
Dans un premier temps lauteur constate linefficacit de lchauffement traditionnel sur les
muscles postrieurs de la cuisse. La temprature ne slve que de 0,2 et chez certains athltes
elle baisse.
Mastrovo cherche alors la phase de la foule o les ischios sont le plus sollicits, il constate que
cest au moment du blocage de la jambe libre en avant la suite dune action excentrique.
Il propose ensuite une procdure dchauffement base sur le principe dexercices de force
alterns avec des tirements pour tous les groupes musculaires concerns par la course
(principalement les ischios, mais aussi les quadriceps, psoas, triceps).
Il met au point une course exprimentale destine complter la mise en train.
Il constate que ce protocole permet une augmentation de la temprature des ischios denviron
1,6 3,4.
Nous proposerons une vido illustrant les diffrentes tapes de cet chauffement.
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Interactif Gym'
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CHARGES LOURDES
BONDISSEMENTS
VERTICAUX
BONDISSEMENTS
HORIZONTAUX
SPRINTS