1 Cours Catenaire Date Inconnue Fra
1 Cours Catenaire Date Inconnue Fra
1 Cours Catenaire Date Inconnue Fra
g!$$jg.$@i gg
.<.............
<,:.K.:.;<;.:.:.: <,
wz<.:<;;.>:.>:;~.>>>>:.>:.x>x.>;.>
Spic Eiicrkrns
"" ...,..*... ."..
....c,..........,...
1:$3.c2: ..*:ci::::
33>*s$Fs3g:$$?f3:
ENTREPRISE
FORMATRICE
, ~,:g$:$:;<:::$:j*::~:~<$;;<~).~
SOMMAIRE
W K M R ~ ~ N E ~ O R P J U C O U R S I S ~ ~ D ~ C Projet 1 212
;<.:.:.:.;&.,>>~ ~:<.%~<:<;<::.:;;*g:*;::$; : $ g ~ ~ &
- .....v,...
:+,. r..
:""" >
:.:*%
.......
,........: ..............,y..,............
.........,.,v.. "'......
<: .............,.........
!.!,:<.:<.:.:.:.>:.~..;<<.!.!.:.!<.:.:.:.:.x.x.>
f f fi:*;:<::>^:^::^;^
;(<<;~~<:~~~;$g~$<~*(:~:
ENTREPRISE
FORMATRICE
:*Ei>,>>:.:.; ....
>.. .... ;c.xYw,:
:
CHAPITRE 1
PRINCIPES GErnRAUX
111
POKMATIONIE~ORPJ~COUKSI~~-1.~0~ Projet 1
- ENTREPRISE FORMATRICE
1.1 INTRODUCTION
F ~ K M A ~ O N E N F O ~ J Y C O ~INIRO.DOC
SILI Projet 1 111
1.1 INTRODUCTION
.
1 1..1 L'XflSTORIQUE DE LA TRACTION ELECTRZQUE ......................................................................3
I . 1. 1. 1 FINnu CHARBON / DEBUTDE L'EECTRICITE ........................-- ............................................................... 3
1. 1.1.- 2 LES ETAPES FONDAMENTALES DE LA TRACTIONEECTRIQUE ................................................................. - 3
1. 1.1.- 3 LESTROIS S Y S ~ DE S TRACTIONEECTRIQUE .............................................................................. -4
~ LA
1. 1.1 .- 3 LATRACTION ELECTRIQUE ................................................................................................................... 5
1. 1..2 LE DEVELOPPEMENT DE L'ELECTRIFICATION ....................................................................... 6
1. 1.2.. 1 PREWBULE ......................................................................................................................................... 6
1. 12.-2 LESGRANDES E T ~ ' DE ~ SL'ELECTRII;ICATION DU RESEAU .......................................................................7
1. 1.2.- 3 L'AVENEMENT DU COUTM ALTERNATE ......................................................................... -- ...............-...9
1. 1.2.- 4 LA<( RENCONTP;E >) DES DEUX TYPES DE C O W ............................................................................... 10
1. 1.2.- 5 LAI'AUSEDES S- 70 ................................................................................................................... 10
1. 1.2.- G LARELANCE DES E L E C T ~ C A T I O N S................................................................................................... 1 0
1. 1..3 LES SYSTEMES DE TRACTION ELECTRIQUE ....................................................................... 1 2
1. 1.3.- 1 P I E A M B..................................................................................................................
~ ............ 12
1. 1.3.- 2 E L E C T ~ ~ C A TCOURANTI O N ~ COmINU 1500 VOLTS......................................................................... 12
1. 1.3.- 3 EECT~ICATIONEN COURANT ALTERNATE A HATJE TENSIONET DE FREQUENCE SPECIALE (16 2/3) .....13
1. 1.3 .- 4 E L E C T ~ ~ C A TPARION COlX!M?T ALTERNATIF, HAUTE TENSION FREQUENCE INDUSTRIELE 5 0 HERTZ.... 14
.
1 1.3.- 5 GENERALITE~ SUR LES E Q ~ ~ ~ E N..................................................................................................
T S 15
J . 1.3. 5.- 1 Les Iigties de confacf.......................................................................................................... 15
I . 1.3. 5.- 2 Iirteractioti pantograpjte-catéi~aire............................................................................................16
1. 1.3. 5.- 3 Aliinenfatioii et sectionnement des ligltes de contact................................................................. 16
1. 1.. 4 LA CATENAIRE..........................................................................................................................1 8
F O ~ ~ O N I E N F O R P ~ ~ C OBOWOTI.DOC
URSIL~ Projet 1 2/27
L 1 INTRODUCTION
Avaut même que la dynamo géiiératiice ne soit itlventée, des chercheurs tentaient de monter des
piles sur des engins de traction.
Plus tard, on assista à une ex*raordiilaire floraison d'iuveritioris et d'essais pour trouver le moteur de
traction capable de se nourrir en couraut monophasé ( dans uu premier temps, en moiiophasé 50
pé"des ).
Des Entreplises ont fait preuve d'uu esprit d'iuitiative pour construire elles-mêmes des l i g e s
à présenter au public, à l'occasion d ' e q ositions.
dYex~éliinentatioi1,
Ce sont à l'évidence les progrés de l'électrotecluiique qui ont pelais la naissance puis l'ex~eiisio~i.
de la traction électrique.
A ces trois pé~iodes,il ne faut pas faire correspondre les trois grands systèmes de traction
électiique qui existent aujourd'hui :
I ~Le
S* monophasé à fréquence industrielle.
Les trois systèmes qui existent aujourd'hui sont plus le résultat des industriels et des
y olitiques que des dévelopyements techniques.
Lorsqu'uue dyriamo aheutait directement en courant continu uii engin de traction situé à
quelques Homètres, c'était déjà de la traction électrique, ce n'était pas encore un
bLsystèmede traction".
Mais les trauspoits d'énergie, ici et là, prenaient naissance et s'ox-gauisaient. Tout cela,
grace au transfoimateur.
Et ce système de traction à courant contiuu a milité son nom qu'à paitk du moment où
coexistaient des locomotives à courant continu et des réseaux d'énergie triphasés 1 haute
'tension sur lesquels se branchaient des sous stations de conversion.
C'est dans les années de la seconde Guerre Mondiale que Monsieur Louis Armand lançait
l'idée du système à fi.équeuce industrielle,
Le thyristor n'existait pas encore.
L'idée essentielle, la conception ((politique », était de ré& dans un même système les
avantages d'uue tension élevée à la ligne de contact (donc l'alteinatif) et, comme en
courant continu, le raccordement de la traction au réseau général d'énergie (donc Ia
fréquence industrielie).
Les conveitisseurs à iode et thyristor sont venus un peu plus tard, après les redresseurs à
vapeur de mercure. Us ont transformé toute l'électrotecbnique, ils ont pu être alililiqués
aux laminoirs comme aux locomotives à 161213 et même un peu plus tard, sous folme de
Iiacheurs, aux locomotives à courant continu
PORMA~ONENFORPJUCOUKS~.I
BOWOTI.DOC Projet 1 4/27
1. 1.1.- 4 La tracfion électrique
Ces quelques explications nous ont fait apparaître le caractère essentiel de la traction
électiique.
Ceitaius problèmes ne trouvent une solution facile que grâce à la puissance, aujourd'hui
très grande, des réseaux d'énergie.
Le développement du chemin de fer est lié à celui de la vapeur et il a frapper vivement les
esprits... alors que l'appaiition de la traction électrique, beaucoup plus tard, passa presque
inaperçue, palmi d'autres iivales et prétendantes à la place de la vapeur
La traction électrique n'apparaît alors que comme une amé&rstion apportée à ce type de
tramp oit.
Par contre, plaide eii faveur de ce changement pour une autre énergie, les handicaps du
charbou :
Les lignes de montagne, avec une adhérence faible pour la vapeur, obligation
III*
F O K M ~ ~ O N E N I ~ O X P J U C DOWOTI.DOC
O~RSR~ Projet 1 5/27
De plus, les locomotives à vapeur, avec leur panache de fumée, les bielles, les
bruits, agressent les sens, visuels et auditifs par rapport à la locomotive électiique à
laquelle il sera demandé plus de discrétion en apportant le rnoius de troubles y ossibles à
l'eiiviromement. ..
1. 7.2.- 1 Préambule
Ii s'agit en premier lieu d'uue opération hancièremerit lourde : sont nécessaiîes, entre
autres, la const~uctioiide nombreuses sous-stations, l'irnplaiitation de la forêt de poteaux
et de supports qui vont pemettse la mise en place des caténaires, l'acquisition des
locomotives.
Par ailleurs, l'élect13ication d'uue ligne exige que soit dégagé uzz gabarit suffisant; c'est-à-
dire que, dans la plupart des cas, des travaux souveut impoitants sont iudispensables pour
que les caténaires puissent être posées à une hauteur correcte dans les tunnels, sous les
y o11ts...
E h 1 par la nature même de feus équipement, les ligues élect~5éessont plus fiagaes que
les autres : cette vulnérabilité explique que ce soit seulement à une ipoque récente, à partis
de 1955, que dans le Nord et le Nord-Est du pays, dans des régions longtemps
stratégiquement très sensibles, les caténaires aient fait leur apparition après que l'auto~ité
militaire ait levé son veto.
En effet, par rapport au charbon, l'énergie électrique o£üe l'avantage de pouvoir être
produite à peu près intégralement en France même, à partir de sources très diversifiées, et
à des coûts intéressants:
1114 Les centrales thermiques qui fonctionnent au charbon peuvent être alimentées en
houille de qualité hfi5ieure,
FOKMAT~ONENFORPJUCO~RSIL~
BOWOTI.DOC Projet 1 6/27
Par ailleurs, l'électrircation procure à la S.N.C.F. de sensibles gairis de productivité pour
des raisons exqrêmement diverses :
III* Les dépenses liées a la cousomation d'énergie proprement dite sout sensiblement
NI*A poids égal, une locomotive électrique est toujours plus puissante qu'une
locomotive à vapeur ou à moteur Diesel, avec des possibilités trés intéressantes de
nettement dépasser, pendant uu temps limité, la puissance produite en réagime régulier et
coutiuu.
Ces engins peuvent circuler dans les deux sens, sans fastidieuses manoeuvres de
III*
retoui~emeüt
III+ Au temps de la vapeur, une locomotive ne pouvait être mise en route qu'après m e
longue liréparatiort nécessitée par la mise à feu..,taridis qu'm engin de traction électiique
est immédiatement disponible
Dès 1900, la Compaguie de l'Ouest en bailieue parisieune, celle d'Orléans entre Palis et
,
-- . Juvisy et le Métro utilisent l'énergie électrique, fouinie y ar uu troisième rail.
I u
.f l
En 1908, la Compagnie du Midi lance uu ambitieux programme, se basant sur uii tiiple
constat :
Elle entend électiifier 850 kilomètres, en choisissant le courant monophasé de 12 KV. (12
000 volts); la première réalisation concerne la ligue Perpiguan-Villei?anche-Vernet-les-
Bains. En 1917, 100 kilomètres sont aiusi électrifiés.
Peu après la Grande Guei~e,le Miuistère des Travaux Publics, fait adoptes en France le
courant continu 1500 volts. Cette tension était assez basse pour f i t e s l'amlileur des
problèmes liés au franchissement des ouvrages d'art et aux nécessaii.es travaux d'entretien.
Commence alors la grande aventure du courant continu de 1500volts.
Mais le réseau du Paris-Orléans ne reste pas en arrière puisque les caténaires équipent :
ili* L'axe Paris-Vierzon dès 1926,
A cette époque sont activement menées les études conce~xaiitl'artère maîtresse du réseau
de la S.N.C.F., l'axe Paris-Lyon-Marseille :
"* Mise sous tension de la section Paris-Dijon, en 1950,
II*Pr-écède celle de la ligne Dijon-Lyon en 1952.
Les caténaires s'élancent toujours plus loin vers le Sud; elles atteiguent Avignon en 1959,
Marseille en 1962.
F O K M ~ ~ O N ~ ~ D K P I Y DOWOT~.DOC
C O U ~ ~ Projet 1 8/27
l. 7.2.- 3 L'avénernenf du courant alternatif
Depuis de longues années, des recherches étaient menées afin de rendre plus légères les
caténaires et de pouvoir alimenter les moteurs de traction en courant de fiéquence
industlielle.
Amorcés y ar les Chemins de Fer allemands en Forêt noire, les essais ont été repns après la
secoude gueire sur la 'ligue accidentée du Hollenthal, a h e n t é e en courant de 20 000
volts.
La fo~.muleappliquée en France en 1950 sur la ligne savoyarde qui relie Aix les Baius à
Annecy puis à La Roche-sur-Foron et b e r n a s s e , s'est révélée rapidement satisfaisante.
La mise sous tension de cette artère à voie unique en 1950-5 1, ultérieurement remontée à
25 000 volts, marque le début d'une véritable épopée, celle du courant altelnatif'
monophasé 25 IW. 5 0 Hz.
III* Metz-ForbacI1,
III* Palis-Auhoye-frontière.
Paris-Le Havre,
Tandis que s'achèvent cette amée là les travaux sur la relation Dôle-Mulhouse.
A cette date le nouveau type de courant règne sur uu domaine de plus de 4000 kilomètres
de voies ferrées, c'est A dire autant que ce que représentait l'élect~cationen 1500 volts
en 1950.
Nous voyons que le courant 25 KV. s'est propagé surtout dans des régions Nord et Nord-
Est du pays, Ià où le courant 1500 volts était absent..,Mais s'est pose le problkrne de la
rencontre de ces deux types de courant..
Le début des amées 1970 est marqué par une pause relative dans 17ex?eiision de
l'électrfication du réseau.
En eEet, les études montrent que pour les lignes les plus actives non encore électrifiées, la
rentabilité de l'opération est problématique en raison de la lourdeur des irivestissements,
même quand il s'agit du courant 25 KV. 50 Hz.
Le coût des produits pétroliers reste peu élevé et la traction Diesel semble donc une
solution judicieuse.. .
Mais à partir de 1975, à la suite du « pieinier choc pétrolier », les données fondamentales
du problème chaugent :
III* Le piix du carburant consommé par les engins thermiques augmentent biusquemeiit,
)II* Les pouvoirs pubfics souhaitent une ylus grande indépendance écoiiornique de la
C'est aussi le cousant altematif monophasé qui a h e n t e les catéuakes surplombant les
voies de la banlieue Saint-Lazare, à I'Ouest de la capitale, que 1'Etat avait électiiâées
avant 1936 en courant de 750 volts distribué par un troisième rail
Cependant la décision est parfois prise de faire appel de nouveau au courant continu de
1500 volts, lorsque la ligue à équiper se trouve étroitement hbsiquée dans uii ensemble de
voies fessées électiifiées auparavent avec ce type de tension.
Les cas les plus remarquables sont constitués par les artères :
ilil+ Lyou-Aviguon par la iive droite du Rhône,
NI* Narbonne-Port-BOU.
L'alimentation en courant colitiuu peimet alors une utilisation plus rationuelle de parc de
locomotives aptes à forictiomer seulement sous tension de 1500 volts.
Nous constatons qu'aucune paxtie hl~ortantedu teiritoire n'a été laissée à l'écart et
l'Ouest, longtemps délaissé, voit les caténaires s'avancer d'ores et déjà jusqu'i Brest et
Saint-B~ieuc.
F O ~ T i O N E N F O K P J 1 / C O U R S 5DOWOTI.DOC
1 Projet 1 11/27
Atère de Bretagne Sud, réalisée en juin 1991 de Rennes à Loiient ainsi
1
1
14 que la
jonction Savenay-Redon,
)II* Section Lorient-Quimper en 1992,
III* Lignes Hazebrouck-Calais, Lille-Baisieux, Douai-Cambrai,
1. 1.3.- 7 Préambule
Le système de traction par courant conthu, sous tensioü relativement peu élevée +600
)II*
à 3000 volts,
Depuis 1950, un troisième mode s'est révélé capable, non seulement de rivaliser avec ces
deux systèmes, mais de les surclasser :
(50 Hz) et à
IM* C'est le couraiit de traction par courant alternatif à fiéquence indust~ielle
haute tension.
traction idéal. Ii est robuste, facile à construire, de faible encombrement; sa vitesse est
facilement réglable et son couple, tant au démarrage qu'à pleine vitesse, est important,
Le choix du courant continu nécessitant une transformation du courant primaire
triphasé eu courant continu, -rie constituait pas un inconvénient plus séiieux que celui du
courant alterna@
La tension de 1500 volts était suffisamment basse pour ne poser aucun problème
NI*
AVANTAGES
111Certaines
4 opérations d'entretien saris suppression de la tension.
INCONVENIENTS
III+le courarit se prête très mal à uue distribution à loiigue distance et l'énergie
nécessaire aux locomotives doit nécessairement être produite et transportée jusqu'au point
à alimenter (la sous-station) sous foime de courant alteiuatif
III* Sous stations de conversioii du cousant iiombreuses et assez compliquées,
AVANTAGES
de section 4 150 rnrn2 de cuivre en général, ce qui allège toutes les installations k e s .
INCONVENIENTS
111Ce
4 cousant ne y eut pas être utilisé par les iudust~iels,donc pas commercialisé,
)II* Les iustallatioizs ne seiveut qu'au chemin de fer.
P O K M ~ ~ O N ~ ~ ~ N F O R P ~ Y CDOWOT~.DOC
OUK~~I Projet 1 13/27
1. 7.3.-4 Electrification par courant alfernatif, haute fension fréquence
industrielle 50 Hertz
La solution la plus iutéressaiite était celle qui aurait permis de coucilies les avantages d'une
caténaire légère et d'un moteur de traction pouvant être utilisé en fréquence industrielle.
Les premiers essais ont lieu en 1935 en Allemagne mais le conflit mondial va an-êter ce
projet.. .
C'est la S.N.C.F. en 1945 qui décide de reprendre à sou compte les études.
Les recherches et essais s'effectuent sur la ligue d'Aix-les-Baius-Annecy-La Roche-sus-
Foron. .!7
' I
Ces essais yeimetterit d'examiner la tenue des locornotives, les troubles apportés aux
ligues de télécommuuications, les répercussions sur le réseau primaise d'énergie, de
déterminer le type de caténaire.
AVANTAGES
Le courant de traction utilisé devient le courant (( industiiel» de tout le monde »,
)II+
Jl n'est plus nécessaire d'avois des usines, des lignes, des postes de trausfoiuation
III*
NI* La tension élevée permet d'avoir une caténaire de faible section 150 irun2 et des
-. iustallatioüs plus légères, (1
III* Les progrès de l'électrotechnique, en pa~ticulier
le développement des rediaesseurssecs,
ont y elmis de revenir à l'utilisation des moteurs conthus,
II* Les problèmes de jonction avec le 1500 volts ont été résolus par des sections de
séparation ou des gares comrnutabIes ou nous pouvons alimenter les caténaires soit en
courant conthu soit eu courant alternat%
III+ Arrivée des locomotives :
- bi-courant,
- tri-courant,
- quadri-courant.
111i+ Les pliériomènes d'induction et d'influence nécessitent la mise en câble de toute les
l i g e s aéiiemes,
III* L'intensité n'est pas plus grande en 50 Hz qu'en 16 2/3, l'augmentation de la fréquence
étant contrebalancée par la dimiuution des intensités, consécutive au relèvement de la tension, 25
KV au lieu de 15 KV.,
Les lignes de contact doivent présenter un ensemble de qualités, tant au point de vue électrique,
que du poiut de vue mécanique :
HI*Les lignes doiveut être const~uitesen utilisant des fils et des câbles bous conducteurs, sous
peine de créer des chutes de tension impoztantes;
- du trafic,
- du pro£il de Ta ligne,
- des chutes de tension admissibles,
- des sous-stations;
elle est exphnée en section f otale équivalente de cuivre étalon.
En courant moriophasé, cette section est iloimalement de 150 mm2, en courant continu cette
section valie de 400 à 800 rm2, voir plus...
Son écoulemeut du porteur vers le fil de contact doit être facile, d'où la nécessité de prévoir entre
ces deux conducteurs, des liaisons électiiques très bien sépaities.
De plus, les lignes de contact doivent résister à tous les efforts normaux auquels elles y euveut être
soumises tout en maintenant un coefficient de sécurité imposé par la législation en vigueur.
Outre l'élasticité pour le captage, il faut que la caténaire conserve m e même forme quelque soit la
température, cette fonction est assurée par les appareils tendeurs.
Ces appareils maiutiement constamment la tension mécanique entre les limites habituelles de
va~iationdes températures, on dit que la caténaire est régularisée.
P O W ï i O N ~ O K P J Y C D U R S DOWOTI.DOC
~L Projet 1 15/27
b 1.3. 5.- 2 In teractio~zpatztograpIz e-caténaire.
Les oscillations engendrées daus la caténaire se propagent avec une vitesse élevée supéiieure à
350 K d h .
Pour déplacer la vitesse critique, on agit sur ceitaius paramétres de coiistmction de la caténaire,
par exemple sur la tension mécanique des conducteuss.
Pour les vitesses supérieures à la vitesse cxitique, il convient d'agir sur le pantographe et la
caténaise , sans xisque y our le captage les hstallations.
P O ~ ~ O N ~ N F O W J Y C O UDOWOTI.DOC
RS~I Projet 1 16/27
Le découpage électrique poite le nom de sectionuement.
i. 7.4.-2Principe de foncfionnernenf
D'autre part, cette transmission électrique peut s'effectuer dans ii'iinposte que1 sens et
couceine aussi bien la traction que le fieiuage.
Si cette possibilité de capter le courant n'avait pas existé, la traction électrique n'aurait pas
pu se développer de la même manière et se serait limitée à :
"* La traction h.iculaim,
III* Des engins qui auraient stocké le courant ou mus par des courants produits par elie-
même,
II)* Des locomotives à accus, ou à moteurs theiniques avec transmission électrique
(diesel).
Les systèmes de captage sont des éléments ou des appareils iiidissociables des engins
moteurs, mais étroitement dépendants, dans l'espace, des installations fixes d'arrivée de
l'énergie.
F O R M A T I O N ~ O R P I U C O U R S DOWOTI.DOC
~~ Projet 1 18/27
1. 7.4.-4 Importance de la caténaire
II n'est donc pas étomaiit que les caténaires continuent de se dérouler au-dessus, aussi
bieu des ligues régionales que des Lignes riouvelles.
L
1.1-.5 LE COUT ET L'ENTRETIEN DE LA CATENAIRE
1. 7.5.-7 Préambule
1 - LA PRODUCTION D'ENERGIE
Qui dépend de la taille et du service assuré par les
ce~ltraleset de leur nature (hydraulique ou theidque);
2 - LE TRANSPORT D'ENERGIE
ill*
On appelle ligues de contact, les rails latéraux ou caténaires et, éventuellement, lignes ou
« feeder » en parallèle avec ces dernières, pour réduire les chute de tension, ahsi que les
circuits de retour, liaisons entre rads.
Ces dépenses, qui représentent la moitié des investissements, sont éviderriineut très
h p ortantes.
F O ~ ~ ~ O N E N F O K P I U C OIIOUVOT~.DOC
UR~~I Projet 1 19/27
II est nécessaire, tout d'abord, de dégager les distances d'isolemeut des lignes sous
tension, en exécutant des travaux de génie civil sur les ouvrages d'art, pour obtenir uu
gabarit dit « d'éfectdïcation ».
C'est le cas général en Grande-Bretagne, par exemple, où il est hors de doute que l'usage du
troisième rail est le moins couteux, ce qui est également vrai pour quelques lignes accideiitées, aux
ouvrages d'ait nombreux (cas des voies étroites en montagne).
Xdépeiidament des cas exTrêmes, on y eut du-e que y our uue élects5catiori en voie unique, le pl;.ri
de revient moyen de la ligue de contact, au kilomètre, varie - environ - du simple au double quand
on passe du cousant alternat3 au courant continu.
Ainsi, en 1940, le p ~ i xau kilomètre, en courant monophasé,est de 100 à 200 000 FF eu Suisse,
alors qu'il est , en courant contiuu 1500 volts, de 250 à 37.0 000 FT en France, et , en courant
coiitiriu 3000 volts, de 150 à 300 000 FF en Italie.
Ceci montre aussi qu'en courant coritiüu les prix diminuent sensiblement quand l a tension
double.
Nous y ouvons constater que, quelle que soit la période historique, le type de production et
de tratislioit de l'électiicité de traction le coût de l'énergie électrique, par rayyoit à celui
de la traction vapeur ou diesel, est toujours intéressant.
Au début de l'électi~cation, on peut dire que le motif de celle-ci n'est pas l'économie
d'énesgie car il s'agit trés souvent d'une traction vapeur à transmission électrique ou la
partie génératrice est constituée par une installation fjxe, groupe électrogène de rendement
à peine meilleur- à la condensation près - que celui des locomotives ii vapeur d'époque ...
Le moteur placé sur le véhicule est seul utilisateur du courant
Une comparaisou située avant 1900, époque où l'on a encore le choix entre les tractions
élect~iques,à valleur, animale et à câbles avec m a c h e s k e s , dome pour des ligues
analogues des dépenses globales de traction allant dans l'ordre croissant ci-après :
F O K ~ I ~ O N ~ N I ~ O R P J U C ODOWOTI.DOC
URS~~ Projet 1 2 0/27
1
1
14 1 - De 7 à 35 centimes par voiture ou train-kilomètre électrique;
III* 2 - De 12 à 35 ceilthes par voiture ou train-kilomètre à cheveaux;
3 - De 23 à 39 centimes par voiture ou train-kilomètre à vapeur;
III* 4 - De 22 à 43 centimes par voiture ou train-kilomètre à cable.
1114
Celui du l~essoiiiieide conduite;
Celui de l'entretien des engins moteurs qui sont differeilts dans les systèmes
(chasbon/hel= élect~icité),mais bien iuférieurs en traction élect~ique
Il faut prendre à son ailivée sur la locomotive, les fiais eiltraîués par les iustallations k e s .
fuel/charbon);
III* Economies d'investissement;
II!* L'élect~cationapp oite uii certain nombre d'avantages dont bénéficient le personnel
BOWOTI.DOC
I~OKM~~ON~ORPIUCOUK S~L~ Projet 1 21127
Les conditions de travail d'un conducteur électricien sont beaucoup moins pénibles
III*
que celles d'un mécanicien ou d'un chauffeur de locomotive à vapeur (cabine fermée,
bonne visibilité, travail en position assise, dépenses physiques inférieures, etc...);
III* De même, l'ambiance des dépôts électriques est plus agréable pour le personnel que
ceile des dépôts à vapeur, du fait de la disparition des fumées et d'une grande partie du
bruit;
i. 1.6.-I Préambule.
Le T.G.V. que l'on connaît aujourd'hui, c'est eu. réalité le {(nouvel âge » du cliemiu de
fer.
Ii faut attendre le symposium de Vienne, en 1968, pour que le K groupe vitesse )) mette en
évidence la nécessité, pour les chemins de fer, de satisfaire la clientèle par des vitesses
accrues.
Eu 1966, uii dépaltement recherche est créé à la S.N.C.F. C'est le début de la création
d ' w réseau grande vitesse qui, par ses ramiiicatiolis et ses antennes à approcher les clients
des Lignes Grandes Vitesses, relance les électdïcations.
FOKM~~ONENFORPJUCOURS/L~
BOWOTI.DOC Projet 1 22/27
Jusqu'à 1000 Km il oppose actuellement des avantages déterminants par rapport à l'avion
: il entre au coeur des villes!
Nous avons constaté que l'ensemble du réseau était couvert: par deux types de caténaires :
il)* Courant conthu 1500 volts;
Les prochaines élect&cations en cours ou à veuir pour compenser la traction thelmique sur
certaines lignes devront être rentables et , en plus, apporter uu plus à l'équipement du y ays
par m rôle social :
III* Tours-Sahcaize;
III* Saint-Germain-des-Fo ssés-Lyon.
Tandis que seule uue augmentation du trafic, ou des marchandises des échanges franco-
britannique y ourraient justifier la pose des caténaires sur les itinéraires :
Calais-Amiens-Ternier-Reims-Culmorit-Chalendrey.
III*
Eri ce qui concerne les grands projets, dont le coût est élevé; voir les retards dans les LGV
programmées de lorigues dates :
HI* Prolongement PSE=TGV-MED;
III* Projet du TGV-Est.
F O ~ T ~ O N ~ O R P J I I C O UDOWOTI.DOC
RSR~ Projet 1 23/27
Les fluancements étant élevés, 1'Etat ne souhaitant plus supporter seul ces grandes
dépenses, la SNCF n'ayant pas un bilan financier saiu et actuellement en phase de
restructuration, il semblerait que pour tenir certains engagements et améliorer les
dessertes, certaines adaptations- type train pendulaire - soient essayées ou testées très
yrochaiuement...(coût de construction du Km/ligne très kf&-ieur aux LGV) :
!III+ Essais actuels d'uu matériel italien sur certaines lignes en France;
S'ils devaient voir le jour, ces traius d'un nouveau concept entraheraient des travaux
caténaires importants à l ' h o ~ o n199912000.
Ii s'agit de rames sur lesquelles les caisses son suspeudues à la façon d'uu pendule, en
section, et s'iuclinant dans les courbes iiisuffisamzneiit compeusées, en devers, d'une
valeur assurant théoriquement la com~~ensation de la force ceiitlifuge pour éviter que les
voyageuss ne soieut iucomodés.
Palmi les grandes puissances économiques, deux acteurs majeurs - l'Allemagne et le Jay on
- out misé chacun plusieurs rnilliars de francs sur la sustentation magnétique :
,1 Pour 17AUemgrie,le TRANSRAPID;
ln* Poue le Japon, le MAGLEV.
Il s'agit d'un véhicule qui ne circule pas normalement sur des roues, nais qui est supporté
et guidé par des forces magnétiques -6Iecti.01nagilétiques ou électrodyriamiques.
Nous venons de vojx depuis l'avéiiement de l'électricité, que la traction électrique à travers les
moteurs et les lignes caténaires s'est transformée...
P O R M A ~ O N I ~ O R P J U C O ~ R SDOWOT~.DOC
IL~ Projet 1 24/27
Actuellement, il n'y a pas de solution, ni de possibilité économique de transmettre à grande distance
des quantités d'énergie électrique, surtout si elles sont modestes : on ne dépasse guère la centaiue
de Hométres entre deux points d'alimentation.
L'éventuelle solution du moteur héaire avec emoulemezits installés à y ostes h e s sur la voie et
essayée par les allemands et les japoriais n'est pas plus probable aujourd'hui que demain et.celi
malgré des essais en cours...( le coût des iustallations est en effet astronomique !!!).
Le début des électiîficatioiis a été le fait de pionniers qui ont travaillé ludimentairement. A cette
époque, le nombre prenait le pas sur la qualité de l'ouvrage ( les vitesses et la technicité des divers
montages en étaient aux premiers balbutiements). Ori avait pas encore tous les engins travaux que
rious co~aissons.
C'est la mécanisation maximale sur les Grands Projets, avec comme dernière évolution le
LAMA, qui est et qui deviendra aux monteurs un engiu indispensable ,tant dans certains travaux de
re~auiernentque dans tous les gsans travaux neufs.
Votre métier, mais Vous également, allez évoluer encore. La vie yrofessioiuielle ne cesse de
progresser, de se transfomer; et vous, quelle pue soit votre position dans l'eiitrepiise, êtes soumis
à ces changements par des mesures d ' a c c o m p a ~ e m t:
il1+ Par la fo~mation interne (projet entrepise formatrice, PO, Pl etc.. .);
111+ Par la formation externe (stages spécialisés de conduite d'engins, etc...) ;
F O ~ l l O N ~ O l t P J I / C O ü R SDOWOT~.DOC
Rl Projet 1 25/27
Cette fonnation (entreprise fornatrice), doit élever votre niveau professionnel. Vous devez
devenir :
II.) Autonome,
III* Mobile,
III* Compétent en plusieurs domaines :
- Parc,
- Génie-civil,
- Caténaires,
- Points spéciaux.
Afj, de mieux répondre à l'attente de tous nos clients, aussi bien en France qu'à l'étranger, vous
devrez :
III* Encadrer un, deux, voire trois agents,
\\..:3
il$* Transmettre votre savoir (de plus en plus souvent -surtout sur les grands projets et à l'exyort,
la main d'oeuvre locale sera présente, c'est uil souhait des clients et des politiques...),
II)* Représenter I'entreprise, quelque soit l'endroit où vous vous trouvez,
Après la ci.éation du Réseau Fe~xéde France, RFF, qui géresa les installations caténabes et
raisonuera économiquement, nous pouvons penser que, dans un proche avenir, des contrats de
maiiitenance seront négociés c o r n e cela se fait à la U T P ou pour les chantiers à l'étranger ou sui.
les tramways, où nous devons I'assistaiice techiquedu projet à la hitioii.
Eu quelques mots, nous pouvons résumer ce que l'entreprise attend des monteurs de l'an 2000 :
III* Autonomie,
ni* Responsabilité,
F D ~ i l O N ~ O R i ' J U C O U R S n BOWOT~.DOC
I Projet I 26/27
Lf
-cl --
1 . 1 . 4 HISTORIQUE DU GROUPE CATENAIRE
L'Histoire du Groupe Caténaires s'est bâtie tout au long des siècles à travers le Groupe Spie-
Batignolles qui s'appelait en 1846 (date de sa création par Monsieur Ernest Gouïu) la Société de
constiuction des Batignolles.
Les électrifications ~'existentpas encore, c'est la voie fen-ée et les const~uctioiisd'ouvrages d'ait à
travers le pays que développe Spie Batignolles.
A paitir de 1900, elle prend le nom de SPIE (Société Parisienne pour l'hdustie Electiique) et
développe les iudustnes se rattachant aux chemins de fer.
A cette époque SPIE développe des contrats (( clés en maius D...; elle pose même 3'ahentation par
3ème rail des lignes du métro y alisieri.
C'est à partir de 1968 que le poupe S P E BATIGNOLLES se fonde par la fusion de la Société de
coristiuction des Batignolles et la Société Parisienne pour l'Industrie Electrique.
Dans les amée 70, la croissance se réalise à travers des achats ou des prises de paiticipatioils.
,r -. De ce fait, le Groulie Caténaires s'enrichit des compétences et des coqlémenta~itésvenant
L-:'
d'autres sociétés à travers les bureaux d'études et les chantiers de montage des caténaires.
ELECTRO ENTREPRISE
TRMDEL
1989, acquisition de la Société DROUARD et recentrage des activités sur les transports, voie
ferrée, caténaires, sous-stations. C'est un retour aux sources... Mais n'oublions pas la delnière
étaye à veriir : la illialisation.
P O K M ~ ~ ~ O N E N F O R P J U C O U KBOWOT~.DOC
S~I Projet 1 27/27
........................ ...........<............
-..:<<,:.:<.:.:<,:.:.:<.:.:.;:::>:~?::
+:x<;a2>>:.:.>:.>:.:.>
....................... .. >:.>!....>...,
>...>.......>...3: 3:
Les principaux documents d'étude sur lesquels figurent des symboles soilt :
Les SAS sont des documents d'études (en général fouxllis par le client SNCF).
Les phcipaux symboles rencontrés sur ces documents sont principalement des
symboles graphiques d'alimentation, de coupure de courant, de pontage d'IS ...
O Sous slaticm
Poste de mire en p ~ a i l i i e
Dia 1
A Disjoncteur
Inlemipteur
Dia 3
Ce document sert de base pour toutes les études à réaliser et sert également à d é f i
les positions longitudinales des supports.
4 Support s u r chaise
Dia 4
Dia 5
vm
Rcprésmtatim sur plan de picluetage
Dia 6
E PORTIQUE RlGIDE
T T T T
PORTIQUE SOUPLE
Dia 7
Dia 8
eauiaeuie~itSANS
f équipement SANS
support A support B
- -r
-r-
-
T
A -
7-
L -
i
4
canton de poseB
Dia 9
support A
,
/- . .
.T équipement AVEC
appareil tendeur
support B
k.., 1
r".
3- -
1 1
,,*'
.,,t!,,,,.;,: J 3
-
.'
oanion de pose A t:f'-J;,a,...a.,n
canton de pose B
XXX loogueur du canton deposeA
YYY loiigueur du cantoii de pose B
Dia 10
Ce document est dessiué à l'échelle 0,002 (1/500) comporte les mêmes renseignement
que les plans de piquetage voie courante.
Ces documents sont réalisés sans échelle et repreriîient les renseignements des plans
de piquetage. Ces plans sont schématisés d'après la position relative des voies
comportent : Le tracé des coilducteurs, les valeus des eiicombrements, les valeurs
des relèvemeuts, les repères de pendulage, des ancrages et des comexions.
,.~,.VVVV . , , .v A#
.,. .~..~KvV.~VV,.., .,l,,i
t ......................t
F&Y& ligne
. 2% Pi.
1..........................................
.......................................
Liimncatie~tmcvm.-
Dia 11
Dia 12
Dia 13
Dia 15
Dia 16
Extrait de SAS
DlRECTlON DE L'EQUIPEMEIIT . :
!. DlVlSlON VZC
, '
1 . II
, ' LIGNES A E R I E ~ E S
:
! y
: < . . : A 2~ 25 C'JX-
D E..TRACTION ELECTRIQUE . . . ",
E P Chambre d e commerce
~-5ccL;onnrrnrn~
u
..
o Iomr dorr orcc opprc;l trndtur
V
fEqu.;pcrncn~ t<ndcur orcr oppa-$1 t t n d r u r
=uEqu~prmrnt trndrur dont unr mtrnoirr nr rorrpofic dapp~rr;l
~rndcur
%~qu;~mxnl tcndcur sons opporr;l Lcndrur
V Ant;chm;ncn~
D;sionckur
.i. ln~rrruptcur
i ~ 5tct;onnrur
b
_
o canrnandr manudlc
xLScd;onnrurs comrnondr cunjvgu;c monucllc
-/~Scc~;omcur o ~ talon
c dc misr ou h;I
1s 1
q
1
- M E Z ~ D Q N@ +t commande PRCI
1 215,516
Ne l a i . ' ; \ L b~ ÇS , $5 Jc i-;.pc,L
3 Jrt';,.*
Annexe B
1200 200
11 1, -- +-
.
, I
__ _ _- _
7 365 ;ULL,U~.~IUJLI
, - . -.- . - - -- .
*- --- -- -
*
.i .,!.,..,.:
.
:!,;z.b.,.:.
, '
.
b :
--.I.F
3 O i -.----.
..
.0 -1
.Y.---.-
. .
3
3 35 ,...*.a* .- - -..
-.
--
. .- -+:_. .- ,
--. -
--
-!
>
N -
> -l
-
t-
Z
a
z U
4 Z
614 666 . Q
U
A
-
Z
4
,B
J ANTICHEMINEMENT V.2 , , , ,
5
Annexe 1
Signes
Dénominations
conventionnels
(OU SOUS-
. .
Section
élémentaire
de caténaire
~lin-tentée par u?
normalement fermé
sectionneur
............ -@-
secondaire Alimentée par un sectionnew
normalement ouvert,. ..........
. .
. .
INSTALLATIONS DIVERSES
Signes
Dénominations
conventionneis
franchissables à :
< v 60kmlh
-0
Isolateurs
de
section
60 km/h
av < 120kmlh
-9-
(2)
\
V 120km/h
&
Sectionnement à lame d'air ponté .................
(situation provisoire)
Disioncteur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . v
Signes
Dénominations conventionnels
Commutateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
.
DQnominations
Signes
conventionnels
............. _$---
1,
Caténaire primaire.
Limites ..
d'équipement Caténaire secondaire ........... -!--- -
- - - - - --
1
Voies non Voies principales . . . . . . . . . . . . . . .
électrifiées
Voies de service ............... - - - A - -
Feeder
d'alimentation
1 Traversée de voie ..............
Jonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
(figuré en caténaire secondaire]
i
Voie ou partie de voie équipée de caténaire de
guidage mais interdite aux circulations électriques ... w
(1) Si certains signes conventionnels utilisés sur des schémas sont différents de
ceux de ce tableau, ils sont définis dans un cadre spécial de ces schémas.
Signes
Dénominations conventionnels
"
Sous-station.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Poste de sous-station . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
Poste de sectionnement. ......................... El
Poste de sous-sectionnement ..................... fi!
.Poste de mise en parallèle ........................
lt t@
1
vs
1 I
I I
I 1 VS
E.P.
I
VOIE 3
I VOIE 2
1 E.P. r
VS
l
f
I I
1 VS
1
I
I
t vs
-
11; 2.7. 1 Préambule.
Les consignes régionales S 11, appelées « Consignes Bleues )) ont pour objet de définir,
plus précisément la consistance des installations de traction électrique et de donner,
secondaires.
bianc
bleu
biartc
1 DEFENSE 1
1 MANOEUVRER 1
11 existe également divers modèles de dispositifs spéciaux d'attention qui
peuvent être installés sur les leviers, les boutons des postes...
kilom&&
fond blanc :peint ou plastique ahCsif
chiffres nous :peints ou plastique adhQifs
rang dans Se kilomhtre
flèches
Afin d'assurer la sécurité des personnes, la sauvegarde des installations et d'éviter les
fausses manoeuvres pouvant entraîner des incidents, il est fait usage, sur les sections de
lignes électrifiées, d'une signalisation spécifique en complément de la signalisation
ordinaire.
Les signaux propre à la traction électrique sont implantés dans les mêmes conditions que
les signaux ordinaires.
,\DANGER oe MORT,
II.2.6.2- 2 L e repère de hauteur de la caténaire.
Dans les zones où le plan de contact est à une hauteur idérieure à 5 mètres, une
bande. bleue avec liserés blancs est fixée ou peinte sur les supports ou les piédroits
côté voie et à 2 mètres au-dessus du sol.
FOR~IA~ONENFORPI
IICOURS~I~LASSAL.~DOC Projet i 18/25
II. 2.5.- 7Aiguillage (Equipement tangentiel) 25 000 K
Connexion au support intermédiaire.
PORTEUR
Fi1 OE CONTACT
\ Griffe .-a -
Les caténaires secondaires équipant les voies de service d'un établissement, (gare,
dépôt, ...) ou d'un embranchement particulier à installations importantes, qui
doivent pouvoir être isolées rapidement du secteur de caténaires primaires qui les
alimente, sont dimentées :
3 soit par un disjoncteur d'alimentation et constituent alors un
secteur de caténaires secondaires,
+ soit par un interrupteur d'alimentation et constituent alors un
sous-secteur de caténaires secondaires,
C'est une partie de caténaire, isolable par des sectionnements munis d'appareils
d'interruption, qui constitue le plus petit tronçon de caténaire isolable
électriquement.
A B
0 It
D D D#)D
Secteur A.B VI
V2 Secteur A.B V2
sous-secteur AX.VI
v
-
DMP
-
+
sous-secteur XB.V1
-
vers SIST A... 4 vers SIST B..
I ____)
sous-secteur f i V 2 I sous-secteur XB.V2
v- Secteur AS.Yl-V2
i Poste de sectionnement et de
i mise en parallele S .
- les sectionneurs....... -+
.les cornmutateu S..... -4
Les caténaires d'une même voie (par exemple voie 1) situées entre deux sous-
stations A et B, sont alimentées simultanément par le disjoncteur correspondant de
A et de B et constituent le secteur A B V 1.
A
FORMAnONENFORPJI/COURSlll2LASSAL.DOC Projet 1 612 5
LI. 2 LECTURE DE PLANS 2
Les lignes de contact sont alimentées par des sous-stations dont la répartition, le long de la
ligne, est fonction de la puissance délivrée, des chutes de tension admissibles et des possibilités
de raccordement au réseau EDF. Elles alimentent directement les caténaires des voies
principales, appelées caténaires primaires, les caténaires des voies de service et de certaines
voies principales de gare, appelées caténaires secondaires, sont alimentées à partir des
caténaires primaires.
Entre deux sous-stations, on installe des postes de traction électrique qui assurent, grâce à des
appareils d'interruption, la distribution aux divers éléments de caténaires
Dans tous les cas en double voie, il est nécessaire d' installer entre deux sous-stations un poste
qui connecte les caténaires des différentes voies, de manière à limiter les chutes de tension.
,.---.
i '
: $.
L/
II. 2.-2 LES POSTES DE TRACTION ELECTRIQUE
SOMMAIRE
.
11 2..1 LES PRINCIPES GENERAUX D'ALLRIENTATION....................................................................... 3
- I
NO. Ddsignations
i Sym boler
126
I
!
1 Semo:n;u ouver:. Syrrrnle gCnCrai.
i
11 7'-
1
i
127 Secticwimur krrné. S y r b d e ggnéral. I
I
i
128 Commutrteur rotatif a deux directions, manauvraole 1 vide (désignation
I
ibr6gCe : commutateur).
Shuntages.
136 - lsotateur de scction shunt4 par un cible ou uns barra de connexion. --W.-
- bctianncrncnt
137
connexion.
i lame d'air shunt6 par un d b l t ou une bm de
-&?-
.
138 - Sectionneur de 1DCO A. avec talon dc terre. fermé. mont6 sur
127(1105) .
@-J&@-
'
support ne tlOS. alimentant la section tltrncntair/na 127.
3402 10
139 - Sectionneur de secwrs. 2000 A. ouvert, monte sur support 402-18,
pcrn;cftant de shun:er Ic sectionnement a lame d'air.
I @pu47L~
1 4
l
i
Interrupteur 25 k Y avec scc~ionntzrbipolatre.
$.--+
r-----------
L ,,,---
2 ----
-t
I : O K M ~ ~ I ~ N ~ E ~ O K P ~ I IMC~~ RU K
~ S. D
I IOIC~ Projet 1 2/2
PAS DE TEXTE (1)
MlA R ~ . D O C
1:OMiiON~~OKPJUCOUKSm Projet 1 313
II. 1 COMMUNICATION 1
SOMMAIRE
.
II 1..1 LE ROLE ET L'ENXU DE LA COMMUNICATION .................................................................... 2
11. 1.1.- 1 LACOMMUNICATIONDANS UNE ENTREPRISE ? ...................................................................................... 2
II. 1.1.1.-1 La coinnturrication en ii~terize.......................................................................................................2
Il . 1.1.1.-7 La contnourricatioi~el7 externe ................................................................................................... 2
11.1..4 LE MESSAGE..................................................................................................................................... 2
Croupc Caténaires
7
APPLICATION A LA CATENAIRE
l'appareil tendeur est uri appareil à 5 poulies. 3 poulies sont fixes et 2 poulies sont mobiles.
La caténaire est k é e aux poulies mobiles et uu dispositif de contrepoids est h é i l'extrémité
d'uu cable dont l'autre exdinité est h é e au supp oit maintenant les poulies mobiles.
L'étude précédente peimet de détermllier le rapport de forces entre la tension mécanique
exercée par la caténaire et la charge nécessaire utilisée y oiir équilibrer l'ensemble.
L 'intérêt
Pour accoml~lirune tâche, monter uu fardeau y ai- exemple, il faut dévdopy er une force motlice
cap able de vaincre une force résistante
Des dispositifs vaziés appelés m a c h e s simples peimetterit de modifier les caractéristiques de
cette for-cemotrice de façon que l'exécutioii de la tâche soit rendue possible ,ou seulement
plus facile.
Une poulie sans frottement peut modifier la direction d'me force sans en changer l'iutensité.
Dans ce cas, l'intensité de la force motlice est égale à ceile de la force résistante.
F ~ ; O K M ~ ~ O N , ~ O ~ J U C ~ ~ $ / I J ~ ~ I ~ W ~ D OProjet
C 1 13/18
".""
Spic Enwkans
<'
.,,., .. ". ".."...
:.:.:.:?;#:<;::iA;::$$::CggG
::?I.':<:.<< .,. ...-..".... >......*:.
FORMATNCE
ENTREPRISE
.>>:.:.::s<:.:.:.:.:.>:$:$::~$:<:5z;$
:;:;x*>*p,:<$,:;:.>>:.>>:q.>,<x
Cruupc fit6iiaircs
La charge de poids P est accrochée à la chape de Ta poulie mobile 01; l'équilibre est obtenu
grace à une force motiice F appliquée à l'extrémité A de la corde qui soutient 01 et passe dans
la gorge de la poulie fixe 0 2 .
Dans ce cas simple, oû les deux biks NK et ML sont parallèles, tout se y asse comme si la
force résistante P était équilibrée par deux forces T et T', de même direction que P mais de
seus contraire, appliquées respectivement eu M et N.
Comme la résultante de ces deux forces paralléles et de même sens doit être opposée à P, elle
passe au rnilieu du segrneut MN et a pour intensité P; il en résulte que les deux composantes T
et T' sont égales et ont pour intensité P/2.
L'une de ces forces est la réaction du crochet K, traiismise en N par le biin de corde KN;
l'autre est la force motrice F, transmise eu. M par l'autre briu de corde et la poufie 5 x e 02. L-,
Aiiisi,l'iiitensité de la force motiice n'est que la moitié de l'iuterisité de la force résistante.
Ou appelle forces parallèles des forces dont les droites d'action sont parallèles
Le dispositif suivant étant en équilibre, ylagons des masses marquées daus les plateaux., par
exemple de 200 et 300g, ce faisant, nous appliquons aux y oints A et B deux forces Fa et IFb
y asallèles et de même sens.
1. L'ex-péiience montre que nous pouvons rétablit. l'équilibre qu'à une double conditiou:
Accrocher une masse marquée de 500g, ce qui revient à lui appliquer m e troisième force Fc
de même direction mais de sens contraire dont l'iuteilsité est
Fc=Fa+Fb
2. Amener le point d'application de Fc en un y oint C palfaitement déterminé situé entre A et B
plus près de A que de B et tel que l'on ait :
I : O K M ~ ~ ~ O N E ~ ~ K L ~ J ~ ~ C ~ ~ S I I ~ ~ ~ I S I N . DProjet
OC 1 11/18
APPLICATIONA LA CATENAIRE
1-4-6 ) Le couple
Exemples de couples: le tire bouchon, le tournevis, le clé de seil-age des boulons d'une roue de
voiture.. .
Des forces sont dites coucourantes quand leurs droites passent par uu même point.
APPLICATION
A LA CATENAIRE
Appareil de s e ~ ~ t i s s a ~ e
.....................
-..f.d
..
0.....,... .......>?.,C
.:.:.:*..
:. ,.,
. .. .... .y.v<<;.:<<.>..
>>x.:.>:.:.:.:.x+
Spic Euerbaus
:c.::$:a::::::.:c::t;*;%.:=c:
~$;;~~gj;;;.~;;$~~i;~~;~$;
FORMATRICE
ENTREPRISE
.,..---. .......
.......................
:.:;i,:,xsab::.:.:.:.: ...)i..-.
Groupe Catfiütircs
."
d Massif de -fondution
Un massif de fondation caténaire applique m e pression sur la terre. En effet, les forces et les
cha rges veiticales de la caténake sont transmises au massif de fondation par l'intermédiaire du
suppOlt.
Attachons deux fils un y etit ameau léger, engageons les as dans les gorges de deux y oulies,
puis susl~eridoiisaux d s deux masses égales.
Nous constatons
que 1' anneau s'immobilise
qu'entre les deux poulies, les fils se tendent dans le prolongement I'uu de l'autre,
L'anneau est soumis i deux forces de même droite, de même intensité et de sens contraire
APPLICATION
A LA CATENAIRE
d La force musculaire utilisée pour souIever des charges ou pour tirer une masse.
APPLICATION
A LA CATENAXRE:Personne soulevant uue charge
Spic Eueriraus
::,:::.~:,5::.::?.::;?,;.yi:<,;<
$<<m
:<*:?.*:.;::.;:;~;$$:$::.~..................
:y* ...
ENTREPRISE
FORMATRICE
~;~~g;;~$;$g~;;
Croupc Cat6u;iircs
APPLICATION A LA CATENAIRE
y..~;:i.:.>y..:.:.>>:
,.,) ...,.,...,. >:.>:.y:>
Spic Eucrtrans
....,.,...:.:...!.:.:?............. ._..
,:,:<,:<,:.:
.:.:?<.x.:.::.:,:.:,:.;:.!~:~:
........,. ....
yt;*.:
,.; :se.
.A,.>:.::
ENTREPRISE
FORMATRICE
,,,,......... .......... .
Croupc Cathuaircs
ILeu résulte qu'un ressoit élastique y ermet de mesurer l'intensité d'uu poids.
Si nous établissons des poiuts de repères par rappoit à des poids étalons, nous graduons uu
ressoit.
Un ressort gradué en poids devient uu dynamomètre. Il donne le poids d'un corps par simple
lecture. Il est nécessaire de faire véiifier fiéquement les dynamomètres a h d'avoir toujours
une lecture fiable.
FOKMn~ONE~ORPJIICDURS~4V01SININDOC Projet 1
L
-
:~:<:::>;~*?$~*,*$~~~
,',r............. .............x.... /...... ,
.........
<,,.;%:::<.x:g*:.
.i.c :$$s;z,j$
.... .-...-..
....i.:.;>:ri...,x$,.,:<>
......
r
.
Spic Eucrtaus
;<<:<$$;;;$$;~;$$~;<~~g;$~; ENTREPRISE
FOXIIMATXUCE
t ' ; ~ .-..
:y::I:..: .,.
~....... .:.; ....,.......
~ i.~
>.
ig~g~$$~.g
Croupc Cati.ualrcs
Eii catéiiaire, nous utiIisons uu dynamomètre afin de régler la terisiou mécanique dans les
cables.
Nous avons vu qu'un coiys tombe lorsqu'il n'est plus soutenu; if est m i s en mouvement par
sou poids.
Nous savons également que si uu colys est accroché à uu ressort, le poids du corps déforne le
ressort.
Aiilsi, il y a uue relation de cause à effet entre le poids d'un colys et le mouvement de la chute
de ce coiys ou la défolmation qu'il inflige au ressort.
Des causes de nature très diverses peuvent produire des effets analogues; par exemple :
La maiu poussaut ou tirant uu c o ~ ppiirnitivemeiit
s au repos se met en mouvement.
Une tractiori de la maiu allonge uu ressort.
1-4-6 ) LE COUPLE......................................................................................................................................12
1-4-7 ) LES MACHINES SIMPLES ............................................................................................................. 13
Groupc C s t k u a k ~ ~
d
Caractéristique du poids d'un corps
L'effort que uous devons fou~nirpour soulever tel ou tel coiys est vaiiable parce que les poids
des co~llsont des intensités dSérentes.
On ex~lrimel'iuteiisité d'un poids par uu nombre qui résulte de la mesure de ce poids.
Accrochoiis uu corps à uii ressoit d'acier à spires non jointives; nous constatons que:
Coficlusiori: Des poids sont égaux s'Zs infligent successivement au même ressort des
allongements égaux.
.......
Sple Eucrtraus
........>..!...,...,..................,...........
.. y.
..:::.::::.:::>:.>::.>:.:.:;.:.:<.:.:.i:7
:.>:.y;: ........?..:,:...*:G::? ..:,.,;:.:
ENTREPRISE
FORMATRICE
>;z;:
*;s;%G.%:.:*:?.,<.,.,...
@~*<s$;:~.~~~.:~*<
Groupc Cdt6ii~lres
1.4 MECANIQUE
LE COUPLE
LES MACHDES SIMPLES
Na : Désignations Symboles
L
ii --
15' il
Poteau avec liaison au rail.
I 4
i
158 1 Poteau avec liaison la terre. i
411
1 I
1
I
Groupa VI 1
1
- I
lw 1.i i c H n r d i n i a I h * o m . I r .
)mM d&-ir W i s r i a n d i (ymppuca b k & i C h I l iuipmlion w i w d e d i t8 ~ t h n i i r m
*n -4
fin(, a>dor&.rt l 1. filuri qui I r rrwia.nti. I~I d o i v u t oa w u i ( u i ~ i c u t idu c 6 i I #rucha d i 1. mir, d4iarminc
p u k n4 I. c~rcuL.tim.
159 --L-
1
I
1W 1 SignaJ idiinncc. '
..
161
162
.
I Sig- d'exécution.
. J
1 Signal dc fin de parcoua.
l
I
l
---- -
".-- LE
LE-
I,
l
Signaux commandant de couper I courint sui: I'anyin morcur
'
l
163 ; Signal d'cxCcution.
j LE!-
1M . S i n d de fin de parcours.
4
1
I
I
a
i '
Sirnzux indiquant Ir, plans de c o n u a slruCs i moins da 5,5 rn au-dessus c!e la voit
-
l 1
Nm ; Designations Symboler
.- 1
,109 I
I
Anticnemir.crnent du porteur.
1
I v
110 j Anticheminemcnt du fil de Contact. I '4
I
!
'.
112
i A ~ c n g sdu cible porteur
Sectionnement
SOM tunml.
Ilj 1 Sectlonnerncnt à lame d'air avec appareils tendeun ivis du OU des fils de
contact.
I
122 . Disjoncteur ouvcTt.
i !
!
I !
123 Disjoncteur ferrnt.
1
I
125 Contacte:. .o. -6. Symbole gén-ral.
!
!
126, ...+
. .
..
b
1- - 1I
-
I
i
Groupe IV !
I
!
Appareillage
90 ~ommutatcur. KD
Sectiwmr de ponuge. P
93 Interrupteur de sous-sution. 1s
94 Intarmptcur de ligne. IL
95 I n t e m p t n i r tete de dblc. IT
97 Interruptnir da pontqe. IP
Symboles
-
4
103 Appurit tendeur automatique du ou d u fils de contact. Syrnbale gintrd.
-
104 Appareil tcndeur automitiqu; du porteur e t du ou d a fils de contm. D
Symbole géncral.
I
L-
-
1
i
106 (quipemcnt tendeur avec appxcils tendeurs k vis du ou des file dc contact. ;
4
!
-,
Nw 1 Wsignatlons i
I
Symboles
4 0 '
I , roumis un effort dc traction. H
un effort de com;iression.
! soumis
!
I @
Nmta. - Ces i ~ r n b l c in i u n r a p p l t u b l t s q u i Lorsau. I i r a p p i l n'tir p t i en m a m i t e m p i ory6nm porcmur.
Ltmplt : I
41 R.ppel (soumis I un effort de compression) sur un support cn bois.
1
I
O
@
+-
t I
. .
I ! V o l a non 4Iecwlfiia 1l ----
I
# 1 V o i s principale. I
1
I 1 (7
45 1 V o i e secondaim. 1 . - c -
i iI '
i
1
I Yo!u ClmrHlia pit Ilgnu abrknncs
ii .
I I
.(6 C a t t ~ i mprinuirc. I
i I
47 CatCnairc secondaire. --
1
I
--1---
sa.... +-
- A
i Dksignations 1 - Symboles
N* I 1!
!
68 i CatCnairc 25 k V (arec porteur Dron:e).
! I
I
1
i"
Q t f n a i r t Zf LV relevCt (avec pOKtUr bronze).
69
70
i Cable d'ancngc d'une catknaire 25 kV (avec porteur bronze). 1 --------
----
71 GtCniirc 25 kV (avec porteur acier inoxydable).
I
78 Ligne de contact simple.
1.
82 a b l e d'ancrage de ligne de contact simple ou double.
83 /
:-:II
Cible dqalimen?a<ionaérien.
y-,
../
84 Qblc d'alimentatian s~utcrrain. i
n
E
11 Ne. - Lii i,m& II. 84 u t5 pruvmr m m u i Irr. uiilish rn noir iui ea d l n u iu tainth.
86
87
88
II
Cible auxiliaire da&quipmht.
-
noir
Désignations 1 Syrnhles
- 1
i
Groupe I '
I
I
I Sous-rtations e t postes
I 1
!
!
i
l
2
1
l
I
1 Sous-rution
.
de ~ e c l i o n n c m e n l .
i
I
!
C
I
3 W u t i o n m dhintion. !
.i
5 S o w t a t i o n avec rtdraseun.
1
!
'
H
I
ha
8
!
1 Poste i?c mise en parailhie.
1
i
B
1
1
i
9
i
l Posrc d'alimer,:ation.
I O--
! E ~ t i ~ :~ l t
i
I
Poste d'alircnration e t Ce mise en paraltele.
Groupe II
Annexe E
I : O K M A ~ ~ O N , N ~ O K ~ ~ J ~ C O ~ ~ ~ ~ ~ I S ~ . D O CProjet 1. 20120
- INSTALLATIONS FIXES FEkIOVUlkkS
l
NF
Symboles graphiques F os-003
-
N O R M E FIUS~ÇAISE
pou;'inrtlllttions de traaion dl+ctrique Octobre 1961
Sommaire
Groupe I ( p 2) ~
S o u n h t i o n i et portes
Groupe II (py. 3)
ÉlArnents porteurs
Appareillage
Groupe V ( p w 11)
Connexions
.-
4, Répertoire alphabétique ( p ~ 13)
c
0
,"
Groupa t...
-
?
Homologues le
31 octobre 1961
Annul.
Pr~*risr:cs meC.Fi:i:.ir.
-
.r r m r n p l i c i I*.d#tion dri 3 1 e n o b t m
Ac!>"<: 7 , c e $ 9 5v-.=>.e<.
l*u
I
(1. O. du 5 dcccmbre 1961) -. r!a:ar-l,.op cp - 9 5 . . , t ~ - = ~
I
hcproducrion i n l c r a i i c
P A R I S R I V E GAUCHE
PLAN DE PIQUETAGE
Date: Il Avril 1995 VU pour exécution:
t e Chef d e la Division VZC
t1
0 , d
Lettre Nb du
Spie Enertrans,
l certifié contorrne à ia minute
,L 1
1
Plan No TR 1100
-- Echelle: Format: %NEIF 56010
- 1/500 0.297m x 2.7om
- -
Projet 1
1:om1i1n0~im~~1~~11~om~~v~~s1~,~oc 18/20
Annexe D
: V.1-V.2
- Feeder -25kV Alu-Acier 288rnm2 : VI-V2
- Porteur Bz 65mm2 protégé ( sous les PRO et les tunnels )
- Hauteur f.c. : 5.50m
- Vitesse : 200 k W h
- Zone ventée
.
...-
M. DESCOUBES
.---.+.-
.............
Spi@. . Enerlfas
.......... ....-.+---
. . . ---.
..... . --.-
Lettre no 1033 du 9/06/1995
...........
-7-
8 01-96 1
Modifications Hfc b*
-39
-
Echelte
1 / 5 0
Format
A
N E 68210 '
B
A 10-95 Modification portée portique 10831'2083 V33-36 366 215 516/32 802
Modificalions Visa