Plan Strétégiques Mines
Plan Strétégiques Mines
Plan Strétégiques Mines
L’INTEGRALE
2/465
ELECTRICITE
Le
présent
document,
qui
constitue
l’annexe
du
rapport
du
secteur
de
l’Electricité
classique
et
les
Energies
Nouvelles
et
Renouvelables,
présente
l’ensemble
des
fiches
techniques
des
projets
identifiés.
Leur
sélection
a
tenu
compte
des
capacités
financières
et
techniques
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire,
des
opportunités
offertes
à
travers
les
partenariats
en
cours
ou
à
venir
et
les
niveaux
de
ressources
mobilisables.
3/465
La
mise
en
œuvre
de
ces
projets
pourrait
nécessiter
la
réalisation
d’études
de
faisabilité
devant
permettre
d’affiner
les
données
techniques
et
financières.
Aussi,
les
coûts
affichés
dans
le
présent
document
sont-‐ils
donnés
à
titre
indicatif.
Le
document
comporte
66
projets
déclinés
à
partir
de
la
vision
du
développement,
des
enjeux,
des
axes
stratégiques
et
des
objectifs
spécifiques.
§ Numéro
de
la
fiche
projet
ou
micro
projet
:
c’est
un
numéro
d’ordre
permettant
un
repérage
et
une
manipulation
aisée
des
fiches
projets
§ Nom
du
projet
:
c’est
l’intitulé
ou
la
désignation
du
projet
;
§ Code
action
:
c’est
un
numéro
permettant
d’identifier
l’action
par
rapport
à
l’enjeu,
à
l’axe
stratégique,
aux
objectifs
correspondants
;
1. Orientation
:
elle
se
rapporte
à
l’objectif
de
développement
;
2. Objectif
:
il
indique
pourquoi
le
projet
est
réalise
;
3. Description
de
la
situation
:
il
s’agit
de
décrire
la
situation
qui
prévaut
actuellement
et
qui
est
à
la
base
de
la
formulation
du
projet
;
4. Coûts
des
faiblesses
:
situent
les
efforts
à
accomplir
5. Contraintes
liées
au
projet
:
quels
sont
les
facteurs
ou
les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
;
6. Bénéficiaires
:
catégorie
de
la
population
pour
laquelle
le
projet
est
entrepris
;
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
il
s’agit
d’indiquer
les
activités
déjà
entreprises
ou
en
cours
de
réalisation
se
rapportant
au
projet
en
question
;
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
c’est
l’ensemble
des
méthodes
techniques,
d’organisation
et
de
collaboration
qui
sera
utilisé
pour
mettre
en
œuvre
les
actions
;
9. Activités
à
réaliser
:
décrit
comment
le
projet
compte
atteindre
ses
objectifs.
Ce
sont
les
actions
nécessaires
à
mener
pour
réaliser
le
projet
;
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
mesures
qualitatives
ou
quantitatives
visant
à
un
suivi
d’un
état
à
atteindre
;
11. Période
d’exécution
:
c’est
la
période
nécessaire
pour
atteindre
les
objectifs
fixés
;
12. Maître
d’ouvrage
:
c’est
l’institution
responsable
(propriétaire)
du
projet
;
13. Maître
d’œuvre
:
c’est
l’institution
responsable
de
la
mise
en
œuvre
du
projet
;
14. Partenaires
:
ceux
sont
des
acteurs
qui
participent
diversement
à
l’exécution
du
projet,
à
des
niveaux
différents
de
responsabilité.
Cette
participation
peut
se
faire
sous
forme
financière,
sous
forme
matérielle
ou
sous
forme
d’expertise
;
15. Coût
prévisionnel
:
combien
va
coûter
le
projet
;
16. Contributions
souhaitées
:
c’est
l’apport
en
espèce
ou
en
nature
par
les
bénéficiaires
du
projet.
Dans
le
cas
d’un
cofinancement
extérieur,
c’est
la
décomposition
du
montant
à
financer
localement,
entre
la
Commune
et
les
bénéficiaires
du
projet
17. Gains
attendus
:
dans
le
cadre
de
projets
à
rentabilité
économique,
ils
permettent
d’apprécier
le
retour
sur
l’investissement
4/465
18. Impact
sur
les
OMD/
su
l’environnement
:
il
s’agit
d’indiquer
comment
le
projet
contribue
à
la
mise
en
œuvre
des
objectifs
du
millénaire
pur
le
développement
(OMD).
Mais
également
d’indiquer
les
débats
ou
les
effets
néfastes
du
projet
sur
l’environnement
19. Charges
récurrentes
:
il
s’agit
de
préciser
la
prise
en
compte
des
charges
pesant
normalement
sur
le
fonctionnement
du
projet
Les
projets
sont
déclinés
selon
les
quatre
(4)
Domaines
d’Activités
Stratégiques
(DAS)
retenus,
eux-‐
mêmes
déclinés
en
axes
stratégiques
:
1
Adéquation
offre
3
371
100.0
210
330.0
6.4
3
060
770.0
93.6
électricité
d’origine
classique-‐demande
2
Energie
durable
par
le
522
469.8
20
037.5
3.8
502
432.3
96.2
développement
des
sources
d’énergie
nouvelles
et
renouvelables
Cumul 3 883 169.8 313 967 .5 8.1 3 569 202.3 91.9
Le
coût
prévisionnel
du
plan
de
développement
du
secteur
de
l’Electricité
classique
et
des
Energies
Nouvelles
&
Renouvelables
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
est
évalué
à
3
883.2
milliards
de
franc
CFA.
Les
investissements
productifs
sont
confiés
au
secteur
privé
et
l’Etat
assure
son
rôle
régalien
de
mise
en
place
des
règles,
de
leur
contrôle
et
de
la
promotion.
6/465
Liste
des
projets
DAS N°1: Adéquation de l’offre en électricité d’origine classique et de la demande
3 Gestion et économie d'énergie dans les bâtiments publics 2 300 1 380 920 X
4 Suivi de la consommation d'électricité de l'Etat 5 000 3 000 2 000 X
Audit
énergétique
des
complexes
hôteliers
et
administratifs
de
350
150
X
7
Yamoussoukro.
500
8 Maitrise de l'Energie dans les secteurs Public et Privé (MEPP) 2 300 1 380 920 X x x
Maitrise
de
l'Energie
dans
les
20
Centres
Hospitaliers
(MECH)
de
800
2
200
X
X
10
Cote
d'Ivoire
3
000
700
300
x
12
Labellisation
des
appareils
électroménagers
1
000
7/465
Cumul
promotion
efficacité
énergétique
47
630
24
592
51.6
23
038
48.4
15 Réhabilitation des ouvrages de production -‐ BUYO 9 170 6 200 2 970 X
125
000
X
16
Réhabilitation
des
équipements
de
distribution
125
000
187
000
X
17
Réhabilitation
des
équipements
de
transport
187
000
Cumul réhabilitation 374 370 135 260 36.1 239 110 63.9
Développement
400
X
18
Extensions
de
réseau
électrique
400
des
marchés
19
Subvention
des
branchements
3
000
-‐
3
000
x
Alimentation
électrique
des
quartiers
peri-‐urbain
sous
équipé
et
2
300
20
700
X
20
quartier
précaire
23
000
(*) : Etudes
8/465
DAS/Axe
Coûts
Période
réalisation
proposée
Stratégique
N°
Coût
total
Part
Etat
CI
Part
autres
CT
MT
LT
fiches
(Millions
F
Millions
F
%
Millions
F
%
(2011-‐2015)
(2016-‐
2020)
(2021-‐2030)
Projets
Titre
du
projet
CFA)
CFA
CFA
DAS N°1: Adéquation de l’offre en électricité d’origine classique et de la demande
Augmentation
21
Centrale
thermique
tampon
(150
MW)
125
000
-‐
125
000
-‐
X
capacités
production/Thermi 22
Azito
Phase
3)
200
500
-‐
200
500
-‐
X
x
que
23
CIPREL
IV
150
000
-‐
150
000
-‐
X
x
25 Centrale thermique à cycle combiné à Abatta (450 MW) 250 000 -‐ 250 000 -‐ X x
Centrale
thermique
à
cycle
combiné
1
(450
MW)
250
000
-‐
250
000
-‐
x
26
27 Centrale thermique à cycle combiné 2 (450 MW) 250 000 -‐ 250 000 -‐ X
Centrale
thermique
à
cycle
combiné
3
(450
MW)
250
000
-‐
250
000
-‐
X
28
Centrale
thermique
à
cycle
combiné
4
(450
MW)
250
000
-‐
250
000
-‐
x
29
Cumul augmentation capacités/thermique 1 960 500 -‐ 0.0 1 960 500 100.0
Augmentation
30
Construction
du
barrage
de
Soubré
(270
MW)
305
000
30
500
274
500
X
X
capacités
production/Hydraul 31
Sassandra/
Gribopopoli
:
112
MW
630
(*)
630
X
ique
32
Sassandra/
Bou
Toubré
630
(*)
630
X
33
Sassandra/
Louga
:
270
MW
630
(*)
630
X
34
Sassandra/
Kouroukoro
:
29
MW
800
(*)
800
X
35
Barrage
de
Bolouméré
630
(*)
630
X
9/465
36
Barrage
de
TAHIBLI
:
18
MW
800
(*)
800
X
Cumul augmentation capacités/hydraulique 584 520 32 420 5.5 552 100 94.5
Cumul DAS 1 : adéquation offre vs demande 3 271 100 210 330 6.4 3 060 770 93.6
(*) : Etudes
10/465
DAS/Axe
Coûts
Période
réalisation
proposée
Stratégique
Coût
total
Part
Etat
CI
Part
autres
CT
MT
LT
N°
fiches
(Millions
F
Millions
F
%
Millions
F
%
(2011-‐2015)
(2016-‐
2020)
(2021-‐2030)
Projets
Titre
du
projet
CFA)
CFA
CFA
52 Etude de préfaisabilité d’un programme électronucléaire 5 600 (*) 5 600 A/D X
Cumul DAS N° 2 : Contribution des EN & R 522 469.8 20 037.5 3.8 502 432.3 96.2
Cumul DAS 3 : Mesures accompagnement/Cadre Institutionnel 7 600 1 600 21.1 6 000 78.9
(*) : Etudes
A/D : A déterminer
12/465
DAS/Axe
Coûts
Période
réalisation
proposée
Stratégique
Part
Etat
CI
Part
autres
CT
MT
LT
N°
fiches
Coût
total
Millions
%
Millions
%
(2011-‐2015)
(2016-‐
2020)
(2021-‐
2030)
Projets
Titre
du
projet
(Millions
F
CFA)
F
CFA
F
CFA
62 Lutte contre la fraude, les vols, actes de vandalisme 22 000 22 000 -‐ -‐ x x
63 Apurement des dettes du secteur de l’électricité 60 000 400 -‐ -‐ x
65 Etude tarifaire dans secteur de l'électricité A/D A/D -‐ -‐ x
66 Révision des contrats de vente d’électricité à l’export A/D A/D -‐ -‐ x
Cumul DAS no 4 : Mesures accompagnement/Equilibre financier 82 000 82 000 100.0 -‐
Plan de développement du secteur de l’Electricité classique et des EN & R 3 883 169.8 313 967.5 10.4 3 569202.3 91.9
(*) : Etudes
A/D
:
A
déterminer
13/465
FICHES
PROJETS
DU
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
N°1
:
ADEQUATION
DE
L’OFFRE
EN
ELECTRICITE
D’ORIGINE
CLASSIQUE
ET
DE
LA
DEMANDE
14/465
Fiche n° 1
- Internes
:
En
2010,
l’énergie
non
distribuée
était
de
33
GWh
dont
25
GWh
pourraient
être
économisés.
Soit
une
perte
évaluée
à
12,5
milliards
Fcfa/
an.
La
non
réalisation
du
projet
conduirait
à
une
aggravation
de
cette
situation
estimée
à
10%,
soit
1,25
milliards
F
CFA/an
;
TMC
réf
Coût
END
Risques
END
2010
TMC
2010
2000
500
+10%
33
GWh
55,51
h
13,6
h
Fcfa/kWh
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie,
CIE
autorisé
à
agir
en
qualité
de
maître
d’ouvrage
délégué.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
:
La
SOGEPE
pour
la
phase
de
recherche
de
financement
;
La
SOPIE
dans
la
phase
de
réalisation
du
projet
;
la
CIE
pour
l’exploitation
des
réseaux
de
transport
et
de
distribution.
15. Coûts
prévisionnels
:
Obtenu
après
une
consultation
restreinte
de
trois
(3)
candidats
GTG,
JST
et
STA
en
exigeant
des
candidats
d’apporter
le
financement.
Montant
du
moins
disant
:
4
000
millions
F
CFA
:
Fiche n° 2
Projet
Promotion
de
l’efficacité
énergétique
en
matière
d’éclairage
dans
le
secteur
public
1. Orientation
:
Promouvoir
l’utilisation
rationnelle
de
l’énergie
dans
le
secteur
public.
2. Objectifs
:
Réduire
la
consommation
d’électricité
par
la
transformation
du
marché
de
l'éclairage
à
efficacité
élevée
et
par
l'élimination
progressive
des
ampoules
incandescentes
des
secteurs
résidentiels,
municipaux
et
institutionnels
de
Côte
d'Ivoire.
3. Description
de
la
situation
:
La
Côte
d'Ivoire
compte
un
peu
plus
de
1
000
000
consommateurs
de
l'électricité
basse
tension
en
2010.
L’éclairage
représente
approximativement
50%
de
la
demande
de
puissance
dans
le
secteur
domestique
et
30%
dans
les
bâtiments
publics,
soit
environ
880
GWh
par
an
de
l'électricité
consommée.
En
remplaçant
des
produits
d’éclairage
de
meilleur
rendement,
il
est
possible
de
réaliser
une
économie
d’environ
60%
en
cinq
(5)
ans.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
- Internes
:
non
mobilisation
du
financement,
résistances
des
distributeurs,
coût
prohibitif
des
lampes
basses
consommation
;
non
observance
de
la
nouvelle
réglementation
sur
les
produits
d’éclairage.
- Externes
:
instabilité
politique.
- Métier
:
5. Contraintes
liées
au
projet
:
bonne
pénétration
du
marché
par
les
produits
d’éclairage
à
mauvais
rendement
;
coût
très
bas
les
produits
d’éclairage
à
mauvais
rendement
;
délais
souvent
long
pour
les
changements
de
comportement.
6. Bénéficiaires
:
secteur
de
l’électricité
;
populations
ivoiriennes
;
Etat.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
étude
de
préfaisabilité
achevée
;
enregistrement
auprès
du
secrétariat
général
du
Fonds
pour
l’Environnement
Mondial
(FEM)
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
d'éclairage
public
efficacité
vise
à
lever
les
barrières
à
l'utilisation
massive
des
systèmes
efficaces
d'éclairage
d'énergie
en
Côte
d'Ivoire
à
savoir:
(1)
la
mise
à
jour
des
politiques
d'efficacité
énergétique,
des
normes
et
des
directives
sur
les
applications
d'éclairage;
(2)
le
renforcement
des
capacités
institutionnelles
et
techniques;
(3)
la
diffusion
de
l’'information
et
l’éducation
du
consommateur;
(4)
le
développement
et
mise
en
œuvre
de
mécanismes
appropriés
de
financement;
(5)
l’atténuation
de
l’impact
sur
l'environnement
de
la
diffusion
des
lampes
basse
consommation.
Le
projet
portera
spécifiquement
sur
la
promotion
des
produits
économes
en
énergie
tels
que
les
réglettes
fluorescentes,
les
lampes
fluorescentes
de
compact
(LFC),
les
lampes
à
décharge
à
haute
intensité,
les
ballasts
pour
les
réglettes
fluorescentes
et
les
appareils
d'éclairage
à
haute
efficacité.
9. Activités
à
réaliser
:
renforcer
la
Politique
et
la
règlementation
en
faveur
de
l’éclairage
à
efficacité
élevée,
renforcer
les
capacités
en
matière
de
création
du
marché
de
l’éclairage
à
efficacité
élevée,
améliorer
la
qualité
des
produits
d’éclairage,
diffuser
des
lampes
à
efficacité
élevée
dans
les
secteurs
résidentiel,
commercial,
éclairage
public
et
le
bâtiment
publics,
Informer
et
sensibiliser
les
consommateurs
17/465
18. Impact
sur
les
OMD/Environnement
:
OMD
N°7
:
Garantir
un
environnement
durable
à
travers
la
réduction
de
nos
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre
(réduction
annuelle
d'émissions
de
GES
à
la
fin
du
projet
de
0,42
MtCO2/an).
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Pas
de
charges
récurrentes.
18/465
Fiche n° 3
KW MAX MONTANT
NOM POINT DE LIVRAISON KWH (2009)
ANNUELLE FCFA
MINIST CONSTR URBANI CITE ADMINIS TOUR D 1005 5 620 500 417 078 680
MINIST CONSTRUCTION CITE ADMINIST TOUR C 1125 6 118 500 370 037 085
MINISTERE CONS URBA CITE ADMINIS TOUR E 1020 5 262 000 355 267 265
MINISTERE CONS URBA ADJAME IMM ADMINIST TOUR A&B 1290 4 284 000 274 044 915
MINISTERE TELECOM IMMEUBLE POSTEL 2001 1000 5 049 746 319 419 418
IMMEUBLE CCIA IMMEUBLE CCIA 978 5 113 893 290 043 678
MINST MINES ENERGIE IMMEUBLE EECI 990 5 180 820 296 187 479
TOTAL 36 629 459 2 322 078 520
L’énergie
totale
consommée
dans
les
services
(32,7
%
de
la
consommation
totale)
est
de
969
000
MWh
;
soit
environ
55
400
000
000
FCFA
avec
57,17
FCFA/kWh
La
Puissance
moyenne
correspondante
est
de
138,14
MW
si
on
considère
que
la
demande
de
cette
puissance
est
maintenue
sur
80%
de
l’année
L’énergie
gaspillée
dans
les
services
(35%
de
la
consommation)
est
de
339
000
MWh/an,
représentant
environ
19
400
000
000
FCFA/an
- Externes
:
- Métier
:
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Expertise
avérée
d’une
seule
entreprise
locale,
Non
adhésion
du
secteur
privé
au
projet.
6. Bénéficiaires
:
Etat,
population,
structures
privées
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Profil
énergétique
des
bâtiments
cibles
réalisé,
campagne
de
formation
du
personnel
de
conduite
des
équipements
énergétiques:
FNR
1987
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Assistance
de
l’expertise
de
l’Institut
de
l’énergie
et
de
l’environnement
de
la
Francophonie
(IEPF)
pour
la
mise
en
place
du
programme
9. Activités
à
réaliser
- Elaboration
du
Dossier
d’Appel
d’Offres
(DAO)
pour
la
réalisation
du
projet
- Lancement
et
attribution
du
marché
- Mise
en
place
de
la
gestion
technique
et
autonome
des
bâtiments
concernés
- Réaliser
le
profil
énergétique
des
structures
privées
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
§ 1
an
:
Elaboration
du
Dossier
d’Appel
d’Offres
(DAO)
pour
la
réalisation
du
projet,
Lancement
et
attribution
du
marché
§ 2
ans
:
mise
en
place
de
la
gestion
technique
dans
les
bâtiments
cibles
(30%
du
parc
de
l’Etat)
§ 3
ans
:
mise
en
place
de
la
gestion
technique
du
bâtiment
dans
l’ensemble
du
parc
de
l’Etat
§ 5
ans
:
réalisation
du
profil
énergétique
des
structures
privées
ciblées
11. Période
d’exécution
:
Court
Terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds,
CIE,
LYNAYS
15. Coûts
prévisionnels
:
2
300
millions
F
CFA
Etude
:
300
M
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
60
%,
soit
1
380
MF
CFA
;
Institutionnels
:
40
%,
soit
920
MF
CFA
17. Gains
attendus
:
A
l’étude
20/465
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Réduction
des
GES
à
travers
la
réduction
de
la
consommation
d’énergie
électrique
d’origine
thermique.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet
21/465
Fiche n° 4
Externes :
Métier :
§ 3
ans
:
les
bâtiments
cibles
pilotés
automatiquement
;
les
gestionnaires
des
bâtiments
de
l’Etat
formés.
22/465
11. Période
d’exécution
:
Court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds,
CIE,
LBTP,
UEMOA,
IEPF
23/465
Fiche n° 5
Externes : instabilité politique ; vols et acte de vandalisme sur le réseau
Métier :
5. Contraintes
liées
au
projet
:
faibles
retour
sur
l’investissement
à
cause
du
tarif
de
l’éclairage
public
qui
est
bas
;
parc
de
l’éclairage
public
étendu
sur
l’ensemble
du
territoire
national.
6. Bénéficiaires
:
secteur
de
l’électricité,
populations
ivoiriennes,
Etat.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Etude
de
préfaisabilité
achevée.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
consiste
au
remplacement
des
lampes
mixtes
160
W
et
250
W
du
parc
d’éclairage
public
ivoirien
en
lampes
Haute
Pression
(SHP).
Ce
sont
74
033
foyers
EP
de
type
Mixte
qui
sont
concernés
:
-‐ Remplacement
des
lampes
mixtes
160
W
:
Le
parc
d’éclairage
public
ivoirien
comporte
37
406
lampes
mixtes
160
W
qui
seront
remplacées
par
des
lampes
SHP
100W
;
-‐ Remplacement
des
lampes
mixtes
250
W
:
Le
parc
d’éclairage
public
ivoirien
comporte
36
627
lampes
mixtes
250
W
qui
seront
remplacées
par
des
lames
SHP
150
W.
La stratégie de mise en œuvre sur le plan technique se résume comme suit :
1) la dépose de la totalité des lampes mixtes (74 033) ;
9. Activités
à
réaliser
:
− Recherche
de
financement
;
− Etude
de
faisabilité
;
25/465
Fiche n° 6
Projet
Diffusion
de
cinq
(5)
millions
de
lampes
basse
consommation
en
milieu
résidentiel
en
Côte
d’Ivoire
Fiche n° 7
Investissement : 3 x 500 millions de FCFA. Soit 1,5 milliards de FCFA
Métier :
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Manque
de
compétences
locales
pour
l’audit
6. Bénéficiaires
:
Etat/Entreprises
privées/Populations
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
- Projet
d’Audit
dans
les
Bâtiments
publics
- Etude
de
cas
–
Projet
d’efficacité
énergétique
en
Côte
d’Ivoire
–
Mars
1993
- Projet
FEM/BM/IEPF
de
développement
du
marché
de
l’efficacité
énergétique
en
Côte
d’Ivoire
sur
la
période
2000-‐2005
30/465
Fiche n° 8
Projet Maitrise de l'Energie dans les secteurs Public et Privé (MEPP)
L’énergie
totale
consommée
dans
les
services
(32,7
%
de
la
consommation
totale)
est
de
969
000
MWh
;
soit
environ
55
400
000
000
FCFA
avec
57,17
FCFA/kWh.
La
Puissance
moyenne
correspondante
est
de
138,14
MW
si
on
considère
que
la
demande
de
cette
puissance
est
maintenue
sur
80%
de
l’année.
L’énergie
gaspillée
dans
les
services
(35%
de
la
consommation)
est
de
339
000
MWh/an,
représentant
environ
19
400
000
000
FCFA/an
Externes :
Métier :
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Non
adhésion
du
secteur
privé
au
projet.
6. Bénéficiaires
:
Etat,
structures
privées
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
- Profil
énergétique
des
bâtiments
cibles
réalisé
- campagne
de
formation
du
personnel
de
conduite
des
équipements
énergétiques:
FNR
1987
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Assistance
de
l’expertise
de
l’Institut
de
l’énergie
et
de
l’environnement
de
la
Francophonie
(IEPF)
pour
la
mise
en
place
du
programme
9. Activités
à
réaliser
- Mettre
en
place
une
gestion
technique
et
autonome
des
bâtiments
de
l’Etat
- Réaliser
le
profil
énergétique
des
structures
privées
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
an
:
mise
en
place
de
la
gestion
technique
du
bâtiment
dans
30%
du
parc
de
l’Etat
§ 3
ans
:
mise
en
place
de
la
gestion
technique
du
bâtiment
dans
l’ensemble
du
parc
de
l’Etat
§ 5
ans
:
réalisation
du
profil
énergétique
des
structures
privées
ciblées
33/465
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
20
ans
à
partir
de
2012
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds,
CIE,
LYNAYS
15. Coûts
prévisionnels
:
2
300
millions
F
CFA
− Etude
:
300
millions
F
CFA
− Equipement
:
2
000
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
− Etat
CI
:
60
%,
soit
1
380
millions
F
CFA
− Institutionnels
:
40
%,
soit
920
millions
F
CFA
17. Gains
attendus
:
A
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Réduction
des
GES
à
travers
la
réduction
de
la
consommation
d’énergie
électrique
d’origine
thermique.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet
34/465
Fiche n° 9
Projet
Audit
du
système
de
climatisation
et
d’éclairage
dans
les
bâtiments
administratifs
d'Abidjan
Externes :
Métier :
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Manque
de
compétences
locales
pour
l’audit
6. Bénéficiaires
:
Etat/Populations
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
- Projet
d’Audit
dans
les
Bâtiments
publics
- Etude
de
cas
–
Projet
d’efficacité
énergétique
en
Côte
d’Ivoire
–
Mars
1993
- Projet
FEM/BM/IEPF
de
développement
du
marché
de
l’efficacité
énergétique
en
Côte
d’Ivoire
sur
la
période
2000-‐2005
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Mise
en
œuvre
du
projet
en
collaboration
avec
le
LBTP
9. Activités
à
réaliser
- Sélection
des
bâtiments
administratifs
à
auditer
- Elaboration
des
Dossiers
d’Appel
d’Offres
(DAO)
pour
l’audit
et
la
mise
en
œuvre
- Lancement
et
attribution
des
marches
- Réalisation
des
audits
- Mise
en
œuvre
des
recommandations
des
audits
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
an
:
les
bâtiments
administratifs
à
auditer
sélectionnés
;
les
DAO
élaborés
et
les
marchés
attribués
§ 2
ans
:
les
audits
réalisés
35/465
36/465
Projet
Maitrise
de
l'Energie
dans
les
20
Centres
Hospitaliers
(MECH)
de
Cote
d'Ivoire
Externes :
Métier :
Externes : à définir
Métier : à définir
Etude
de
cas
–
Projet
d’efficacité
énergétique
en
Côte
d’Ivoire
–
Mars
1993
-
Projet
FEM/BM/IEPF
de
développement
du
marché
de
l’efficacité
énergétique
en
Côte
-
d’Ivoire
sur
la
période
2000-‐2005
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Mise
en
œuvre
du
projet
en
collaboration
avec
le
patronnât
9. Activités
à
réaliser
- Mise
en
place
de
la
subvention
à
accorder
aux
entreprises
;
- Sélection
d’une
entreprise
de
service
éco-‐énergétique
- Prédiagnostic
énergétique
o point
globale
sur
la
situation
énergétique
du
site,
avec
avis
d’un
expert
(électricité,
gaz,
fuel,
vapeur,
eau
chaude,
eau
surchauffée,
fluides
thermiques,
eau
glacée,
eau
glycolée,
détente
directe,
air
comprimé,
vide,
eau,
process,
etc.…)
o
identification
par
utilité
ou
par
application,
le
potentiel
d’améliorations
techniques
et
de
réduction
des
coûts
o définir
et
cibler
par
ordre
de
priorité
un
plan
d’actions
sur
mesures
o réalisation
d’une
première
approche
à
un
coût
limité
- Expertise
instrumentée
o évaluation
de
la
perte
d’énergie
occasionnée
par
l’application
identifiée
o détermination
des
travaux
et
de
l’investissement
nécessaires
Externes :
Métier :
- mise
en
place
d’un
laboratoire
pour
effectuer
les
mesures
et
contrôles
pour
l’attribution
des
étiquettes
- étiquetage
en
conformité
avec
la
norme
et
les
standards
adoptés.
Cette
phase
se
décompose
en
deux
:
o La
définition
du
processus
de
l’étiquetage
o Les
mesures
et
contrôle
pour
attribuer
l’étiquette
correspond
aux
différents
appareils.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
an
:
Normes
élaborées
et
approuvées
au
niveau
de
l’assemblé
national
§ 2
ans
:
Mis
en
place
du
laboratoire
§ 5
ans
:
70%
des
appareils
électroménagers
étiquetés
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2016
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds,
CCI-‐CI
15. Coûts
prévisionnels
:
1
000
millions
F
CFA
(Equipements)
16. Contributions
souhaitées
− Etat
CI
:
70
%,
soit
700
millions
F
CFA
− Institutionnels
:
30
%,
soit
300
millions
F
CFA
17. Gains
attendus
:
A
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
− Lutte
contre
la
pauvreté
à
travers
la
promotion
de
l’efficacité
énergétique
− Réduction
des
GES
à
travers
la
maîtrise
de
la
consommation
d’énergie
électrique
d’origine
thermique.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet
42/465
Projet Projet d’Urgence de Réhabilitation du Secteur de l’Electricité (PURE)
5. Contraintes
liées
au
projet
:
La
Cellule
de
coordination
du
projet
comprend
plusieurs
structures
différentes.
1. Orientation
:
Organisation
d’une
meilleure
exploitation
du
réseau
électrique
ivoirien
et
sécuriser
l’alimentation
de
la
clientèle
nationale
2. Objectifs
:
− Réduire
l’énergie
non
distribuée
due
aux
limites
de
capacité
de
certains
ouvrages
du
réseau
interconnecté
de
plus
de
80%
(soit
plus
de
10
GWh
)
;
− Contribuer
à
la
satisfaction
des
besoins
en
énergie
électrique
du
réseau
interconnecté
par
la
production
annuelle
de
175
GWh.
3. Description
de
la
situation
:
− Dégradation
de
la
qualité
de
service
(TMC
est
passé
de
13
heures
en
2000
à
56
heures
en
2010).
− Coûts
d’exploitation
élevés
;
− Réduction
des
exportations
d’électricité
vers
les
pays
voisins,
− Limite
de
capacité
du
réseau
de
transport
6. Bénéficiaires
:
Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
L’accord
de
prêt
a
été
signé
par
le
Ministère
de
l’Economie
et
de
Finance
et
la
rétrocession
du
prêt
à
la
SOGEPE
est
en
cours.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
− Satisfaire
les
conditions
suspensives
à
la
mise
en
vigueur
du
prêt
;
− Mettre
en
place
une
cellule
de
coordination
du
projet
regroupant
les
structures
du
secteur
de
l’électricité
− Préparer
et
lancer
les
consultations
conformément
aux
directives
nationales
et
de
la
banque
en
matière
de
passation
de
marché
;
− Faire
réaliser
les
études
et
travaux
;
− Faire
une
revue
périodique
du
programme
à
travers
la
transmission
d’un
rapport
d’avancement
à
la
Banque
mondiale.
9. Activités
à
réaliser
:
- DPP/DMP
:
gestion
du
don
et
du
processus
de
passation
des
marchés
- BOAD
:
financement
à
travers
le
prêt
sur
le
Fonds
de
développement
Energie
- SOPIE
:
équipe
de
coordination
du
projet
47/465
1. Orientation
:
Sécurisation
du
parc
de
production
par
la
réhabilitation
du
barrage
hydroélectrique
de
Buyo
de
165
MW.
2. Objectifs
:
- permettre
une
connaissance
approfondie
de
la
Réaction
Alcali-‐Granulat
(RAG)
et
ses
conséquences
(gonflement
de
béton,
stabilité
des
ouvrages,
effets
sur
les
équipements
électromécaniques),
afin
de
trouver
les
solutions
appropriées
;
- comprendre
le
comportement
des
ouvrages
en
béton
siège
des
réactions
afin
de
prévenir
toutes
les
dégradations
dommageables.
- réaliser
une
réhabilitation
complète
des
équipements
électromécaniques
afin
de
leur
permettre
de
fonctionner
en
respectant
les
limites
de
tolérance
;
- sécuriser
la
disponibilité
de
la
puissance
de
Buyo
165
MW.
3. Description
de
la
situation
:
La
centrale
hydroélectrique
de
BUYO
est
le
siège
de
réactions
alcali-‐
granulat.
La
réaction
alcali-‐granulat
se
traduit
par
un
gonflement
du
béton.
Ce
gonflement
anisotrope
a
pour
conséquence
la
déformation
des
ouvrages
et
l’apparition
de
fissures
qui
occasionnent
des
fuites
importantes
d’eau.
Il
est
aussi
à
l’origine
de
la
désolidarisation
des
pièces
mécaniques
du
béton
et
la
réduction
importante
des
jeux
fonctionnels
des
groupes
turbo-‐
alternateurs.
Ces
différents
désordres
remettent
en
cause
la
sécurité
des
ouvrages,
accélèrent
la
détérioration
des
pièces
électromécaniques
et
réduisent
considérablement
la
disponibilité
des
groupes.
Enfin,
ils
compromettent
la
pérennité
des
ouvrages
et
de
l’exploitation
de
la
centrale
de
Buyo.
-‐ Absence
de
financement
suite
au
retrait
du
principal
Bailleur
de
Fonds
(AFD)
;
-‐ Retards
importants
dans
l’exécution
du
projet.
6. Bénéficiaires
:
9. Activités
à
réaliser
:
Les
activités
suivantes
ont
été
identifiées
:
réhabilitation
de
la
turbine
et
de
l’alternateur
du
groupe
n°3,
réhabilitation
de
l’alternateur
du
groupe
n°2.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
mois
:
mise
en
place
du
financement
;
§ 6
mois
:
livraison
des
pièces
à
Abidjan
;
§ 12
mois
:
exécution
des
travaux.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
période
de
18
mois
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
14. Partenaires
:
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
OMD
(Objectif
7)
:
Préservation
de
l’environnement
par
l’utilisation
d’une
technologie
réduisant
les
émissions
de
CO2.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Le
Concessionnaire
chargé
de
l’exploitation,
CIE
supporte
la
maintenance
et
le
secteur
ivoirien
de
l’électricité
supporte
les
charges
de
grosses
révisions.
51/465
1. Orientation
:
Amélioration
de
la
fourniture
d’électricité
et
réduction
des
risques
de
disfonctionnement
du
réseau
électrique.
2. Objectif
:
- Améliorer
la
qualité
de
la
fourniture
d’électricité
;
- Réduire
les
pertes
techniques.
3. Description
de
la
situation
:
Le
réseau
de
distribution
est
dans
un
état
de
vétusté
et
de
dégradation
avancé.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Contrainte
financière
;
la
contribution
de
l’Etat
à
hauteur
de
100%
est
requis.
6. Bénéficiaires
:
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Le
Projet
d’Urgence
de
Réhabilitation
du
secteur
de
l’Electricité
(PURE)
–
PPU.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
9. Activités
à
réaliser
:
Il
s’agit
de
la
fourniture
et
de
la
mise
en
œuvre
du
matériel
de
réseau
HTA,
BTA,
de
Postes
de
transformation
HTA/BTA
et
de
Foyers
d’éclairage
public.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
Le
planning
de
réalisation
est
le
suivant
:
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
14. Partenaires :
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
125
000
millions
F
CFA,
soit
100%;
17. Gains
attendus
:
A
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
OMD
:
Objectif
1
:
Réduction
de
la
pauvreté
par
la
densification
du
réseau
de
distribution
d’électricité.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE)
est
chargée
de
l’entretien
et
de
la
maintenance
du
réseau
de
distribution.
53/465
1. Orientation
:
Réhabilitation
des
équipements
de
transport
du
réseau
électrique
ivoirien.
2. Objectif
:
renouveler
les
équipements
de
transport
et
de
téléconduite
du
réseau
électrique
ivoirien.
3. Description
de
la
situation
:
Certains
équipements
de
transport
sont
vétustes,
d’autres
hors
service.
Il
est
impérieux
de
les
réhabiliter
afin
de
permettre
la
satisfaction
des
besoins
en
matière
d’électricité
et
d’améliorer
le
service
et
la
qualité
du
produit.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Internes
:
En
2010,
le
réseau
a
transporté
une
production
brute
de
5850
GWh.
L’accroissement
escompté
de
+8%
soit
468
GWh
qui
ne
pourrait
être
transmise
si
le
projet
n’est
pas
réalisé,
soit
un
manque
à
gagner
sur
les
recettes
de
28
milliards
Fcfa/an;
Hypothèses
:
Production
Risques
Tarif
moyen
2010
5850
GWh
60
Fcfa/kWh
-‐8%
Métier
:
Risque
d’explosion
des
transformateurs
existants
saturés,
de
surchauffe
des
câbles,
d’explosion
des
disjoncteurs.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Contrainte
financière
:
la
contribution
des
Etats,
de
l’aide
bilatérale
et
des
partenaires
au
développement
est
requise.
6. Bénéficiaires
:
Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;
Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie,
CIE
autorisé
à
agir
en
qualité
de
maître
d’ouvrage
délégué.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE)
est
chargée
de
l’entretien
et
de
la
maintenance
du
réseau
électrique.
55/465
1. Orientation
:
Amélioration
du
taux
d’accès
des
ménages
à
l’énergie
électrique
de
+1%.
2. Objectif
:
- Assurer
la
fourniture
d’électricité
à
tous
les
ménages
en
zones
urbaine
et
rurale
;
- Assurer
la
sécurisation
des
populations.
3. Description
de
la
situation
:
Le
réseau
de
distribution
n’est
pas
assez
dense
dans
certains
quartiers
se
qui
empêche
le
raccordement
économique
de
nouveaux
abonnés.
Métier
:
Augmentation
de
la
fraude
par
des
branchements
anarchiques
fait
perdre
20
milliards
F
CFA
par
an
au
secteur
électrique.
7. Cible
:
Les
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
8. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Le
Projet
d’Urgence
de
Réhabilitation
du
secteur
de
l’Electricité
(PURE)
–
PPU.
9. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Lancer
un
appel
d’offre.
10. Activités
à
réaliser
:
Il
s’agit
de
la
fourniture
et
de
la
mise
en
œuvre
du
matériel
de
réseau
HTA,
BTA,
de
Postes
de
transformation
HTA/BTA
et
de
Foyers
d’éclairage
public.
11. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
56/465
14. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
15. Partenaires
:
1. Orientation
:
Amélioration
du
taux
d’accès
des
ménages
à
l’énergie
électrique
en
subventionnant
les
branchements.
2. Objectif
:
subventionner
de
50
000
F
CFA
le
coût
des
branchements
afin
d’améliorer
le
taux
d’accès
des
ménages
en
zone
rurale
au
service
électrique.
3. Description
de
la
situation
:
Le
taux
d’accès
des
ménages
au
service
électrique
est
évalué
à
25%,
ce
qui
est
très
faible.
Cela
est
dû
en
partie
au
frein
que
constitue
le
coût
de
branchement
qui
est
de
l’ordre
de
150
000
Fcfa.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Internes
:
la
non
réalisation
du
projet
entrainerait
un
risque
de
non
raccordement
de
60
000
Abonnés
et
un
manque
à
gagner
sur
les
recettes
estimé
à
2,7
milliards
Fcfa/an.
Hypothèses
:
Risque
Zone
péri
Facture
zone
péri
Facture
zone
rurale
Risque
Zone
rurale
urbaine
urbaine
30
000
Abonnés
30
000
Fcfa/an
60
000
Fcfa/an
30
000
Abonnés
Métier
:
Augmentation
de
la
fraude
par
des
branchements
anarchiques
La
fraude
fait
perdre
20
milliards
Fcfa
par
an
au
secteur
électrique.
12. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
1
an
à
partir
de
2016
13. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
14. Maître
d’œuvre
:
Société
de
Gestion
du
Patrimoine
Electrique
(SOGEPE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
15. Partenaires
:
la
Société
de
Gestion
du
Patrimoine
Electrique
(SOGEPE)
pour
la
mise
en
place
du
Fonds;
la
CIE
pour
la
gestion
clientèle.
16. Coûts
prévisionnels
:
Fonds
de
3
000
millions
en
revolving
credit
(crédit
renouvelable).
17. Contributions
souhaitées
:
Institutionnels
:
100%.
18. Gains
attendus
:
A
l’étude
19. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
- OMD
:
Objectif
1
:
Réduction
de
la
pauvreté
par
l’amélioration
de
l’accès
à
l’électricité
en
zone
rurale
et
péri
urbaine
;
- OMD
:
Objectif
2
:
Assurer
l’éducation
primaire
par
l’amélioration
de
l’accès
à
l’électricité
de
toutes
les
écoles
primaires
;
- OMD
:
Objectif
4
:
Réduire
la
mortalité
infantile
et
post-‐infantile
par
l’amélioration
de
l’accès
à
l’électricité
de
tous
les
centre
de
santé
;
- OMD
:
Objectif
5
:
Améliorer
la
santé
maternelle
par
l’amélioration
de
l’accès
à
l’électricité
de
toutes
les
maternités.
20. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE)
est
chargée
de
la
gestion
clientèle.
59/465
1. Orientation
:
Améliorer
le
taux
d’accès
des
ménages
vivant
dans
les
quartiers
précaires
et
péri
urbain.
2. Objectif
:
Ce
Projet
vise
à
créer
et/ou
à
densifier
le
réseau
électrique
HTA
et
BTA
dans
les
quartiers
précaires
et
péri
urbain
afin
d’améliorer
le
taux
d’accès
des
ménages.
3. Description
de
la
situation
:
Le
taux
d’accès
des
ménages
au
service
électrique
dans
les
quartiers
précaires
et
péri
urbain
est
très
faible
du
fait
de
l’absence
de
réseau
électrique
fiable.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
7. Cible
:
100
000
Abonnés
vivant
dans
les
quartiers
précaires
et
péri
urbain.
8. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Le
Projet
d’Urgence
de
Réhabilitation
du
secteur
de
l’Electricité
(PURE)
–
PPU.
9. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
14. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
;
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
15. Partenaires
:
Municipalités;
SOPIE
dans
la
phase
de
réalisation
du
projet
;
CIE
pour
l’exploitation
des
réseaux
de
transport
et
de
distribution.
16. Coûts
prévisionnels
:
- OMD
:
Objectif
1
:
Réduction
de
la
pauvreté
par
l’amélioration
de
l’accès
à
l’électricité
des
quartiers
précaires
;
- OMD
:
Objectif
2
:
Assurer
l’éducation
primaire
pour
tous
par
le
raccordement
systématique
des
écoles
primaires
;
- OMD
:
Objectif
4
:
Réduire
la
mortalité
infantile
et
post-‐infantile
par
le
raccordement
systématique
des
centre
de
santé
;
- OMD
:
Objectif
5
:
Améliorer
la
santé
maternelle
par
le
raccordement
systématique
des
maternités.
20. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE)
est
chargée
de
la
gestion
clientèle
61/465
1 117 GWh et un manque à gagner sur les recettes projetées de 50 milliards/an.
Hypothèses :
8. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Analyse
des
propositions
de
promoteurs
de
centrales
IPP
par
le
Comité
de
Pilotage
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
9. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
sera
réalisé
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
10. Activités
à
réaliser
:
-‐ Lancer
un
appel
à
manifestation
d’intérêt
-‐ Sélectionner
les
candidats
et
lancer
un
appel
d’offres
-‐ Négocier
le
contrat
-‐ Réaliser
les
travaux
11. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
§ 1
mois
:
Dossier
technique
;
§ 1
mois
:
Dossier
d’appel
d’offres
;
§ 0,5
mois
:
Convention
de
concession
signée
;
§ 0,5
mois
:
PV
de
mise
en
vigueur;
§ 1
mois
:
Bouclage
du
financement
;
§ 8
mois
:
Construction
et
mise
en
service
de
la
première
tranche.
12. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
période
de
12
mois
à
partir
de
2012.
13. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
14. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
15. Partenaires
:
Projet Conversion de la Centrale d’Azito en cycle combiné (Phase 3)
1. Orientation
:
Installer
des
chaudières
de
récupération
les
turbines
à
gaz
de
la
centrale
existante
afin
de
réaliser
un
cycle
combiné.
2. Objectif
:
Ce
Projet
vise
à
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
avec
un
cycle
combiné
dont
le
coût
de
production
est
inférieur
à
celui
de
l’actuelle
centrale
à
cycle
ouvert.
L’objectif
est
de
réduire
la
consommation
en
gaz
naturel
et
de
réaliser
des
économies
sur
le
coût
du
combustible.
3. Description
de
la
situation
:
La
Phase
3
du
Projet
Azito
est
justifiée
par
le
contexte
actuel
du
secteur
de
l’électricité
caractérisé
par
un
déficit
chronique
d’énergie,
la
raréfaction
et
l’indisponibilité
des
combustibles
(notamment
le
gaz
naturel)
ainsi
que
la
flambée
des
prix
des
combustibles
fossiles.
Le
projet
permettra
l’augmentation
de
la
puissance
installée
de
140
MW
sans
consommation
de
combustible
supplémentaire.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
6. Bénéficiaires
:
-‐ Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;
-‐ Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
-‐ Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(ménages
et
industriels).
-‐ Azito
Energie.
-‐ les
négociations
sont
entamées
depuis
2009
avec
Azito
Energie
;
-‐ le
cahier
des
charges
des
ouvrages
a
été
déterminé
et
validé.
9. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
serait
réalisé
en
BOOT
par
l’actuel
Producteur
Privé
Indépendant
(IPP).
10. Activités
à
réaliser
:
-‐ Faire
signer
l’avenant
N°3
à
la
Convention
Azito
;
-‐ Réaliser
toutes
les
études
de
faisabilité
technique
et
financière
de
la
centrale
à
cycle
combiné
sur
le
site
actuel
;
-‐ Réaliser
l’étude
de
faisabilité
de
l’évacuation
d’énergie.
-‐ Réaliser
l’étude
d’impact
environnemental
;
-‐ Rechercher
le
financement
;
-‐ Construire
la
centrale.
20. Financement
des
charges
récurrentes
:
Le
Producteur
Privé
Indépendant,
Azito
Energie,
est
chargée
de
l’exploitation,
l’entretien
et
de
la
maintenance
de
l’ouvrage
réalisé
en
BOOT
;
Les
charges
de
combustibles
sont
à
la
charge
du
Secteur
ivoirien
de
l’électricité.
67/465
1. Orientation
:
Installer
une
turbine
à
gaz
et
une
turbine
à
vapeur
sur
la
centrale
existante
afin
de
réaliser
un
cycle
combiné.
2. Objectif
:
Ce
Projet
vise
à
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
avec
un
cycle
combiné
dont
le
coût
de
production
est
inférieur
à
celui
de
l’actuelle
centrale
à
cycle
ouvert.
La
vapeur
produite
entrainera
une
turbine
à
vapeur
pour
produire
de
l’électricité
sans
consommation
supplémentaire
de
combustible.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
serait
réalisé
en
BOOT
par
l’actuel
Producteur
Privé
Indépendant
(IPP).
9. Activités
à
réaliser
:
-‐ Réaliser
toutes
les
études
de
faisabilité
technique
et
financière
de
réalisation
de
la
centrale
à
cycle
combiné
sur
le
site
actuel
;
-‐ Réaliser
l’étude
de
faisabilité
de
l’évacuation
d’énergie.
11. Période
d’exécution
:
court
et
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
période
de
31
mois
à
partir
de
2013.
69/465
2. Objectif
:
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
afin
de
satisfaire
la
demande
à
moyen
et
long
terme.
3. Description
de
la
situation
:
La
capacité
actuelle
du
parc
de
production
ne
permet
pas
de
satisfaire
la
demande
d’énergie
à
moyen
long,
et
long
terme.
Le
projet
est
envisagé
s’inscrit
dans
une
logique
de
planification
des
moyens
de
production
d’énergie
électrique.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Internes
:
La
non
réalisation
du
projet,
sans
alternative
viable,
entrainerait
un
déficit
énergétique
de
2
457
GWh
et
un
manque
à
gagner
sur
les
recettes
projetées
de
110
milliards/an.
Hypothèses :
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Analyse
des
propositions
de
promoteurs
de
centrales
IPP
par
le
Comité
de
Pilotage
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
sera
réalisé
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
9. Activités
à
réaliser
:
-‐ Lancer
un
appel
à
manifestation
d’intérêt
-‐ Sélectionner
les
candidats
et
lancer
un
appel
d’offres
-‐ Négocier
le
contrat
70/465
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
1. Orientation
:
Construction
d’une
centrale
thermique
à
cycle
combiné,
d’une
puissance
globale
brute
de
370
MW,
sur
un
site
identifié
à
Abatta
(Bingerville)
sous
forme
de
BOOT
(Build
–
Own
–
Operate
–
Transfer).
Les
principales
composantes
principales
du
projet
sont
:
• Equipements
:
2
turbines
à
gaz
General
Electric
MS9001E
(GE
9E)
d’une
capacité
respective
de
123
MW,
2
chaudières
de
récupération
de
chaleur,
1
turbine
à
vapeur
GE
(la
sélection
d’équipement
General
Electric
reste
sujet
l’obtention
de
termes
et
conditions
jugés
économiques
et
compétitifs
de
la
part
du
dit
fournisseur).
• La
construction
des
infrastructures
de
base
associées
à
la
Centrale;
• La
construction
d’un
poste
d’évacuation
de
l’électricité
et
de
lignes
de
haute
tension
contribuant
au
renforcement
du
réseau
de
transport
couvrant
la
région
d’Abidjan;
• Combustible
de
base
de
la
Centrale
:
le
gaz
naturel
(livraison
via
un
pipeline
dont
la
construction
sera
effectuée
par
PETROCI).
2. Objectif
:
Combler
le
déficit
de
production
existant
et
offrir
des
capacités
de
production
additionnelles
pour
faire
face
aux
perspectives
de
croissance
de
la
demande
nationale
en
électricité
et
de
la
demande
à
l’exportation
dans
la
sous-‐région.
3. Description
de
la
situation
Un
déficit
énergétique
lié
à
l’insuffisance
des
capacités
installées
actuelles
à
répondre
à
l’évolution
croissante
de
la
demande
nationale,
avec
pour
corollaire
depuis
le
début
de
l’année
2010:
et
de
la
contribution
financière
négative
de
certaines
exportations
d’électricité.
Dans
le
cadre
de
la
mise
en
exploitation
de
nouvelles
capacités
de
production,
le
secteur
électrique
doit
confirmer
sa
capacité
à
faire
face
à
ses
engagements
vis-‐à-‐vis
des
producteurs
indépendants
d’électricité
et
des
producteurs
de
gaz
et
ce
sans
recourir
à
des
mesures
compensatoires
non-‐durable
et
négatives
pour
l’équilibre
économique
et
budgétaire
du
pays
à
moyen
et
à
long
terme
tel
que
des
subsides
ou
dans
ce
cas
précis
le
non-‐paiement
de
la
quote-‐part
du
prix
du
gas
qui
revient
de
droit
à
l’Etat.
Les
deux
contraintes
décrites
ci-‐dessus
constituent
les
principaux
obstacles
à
la
levée
de
fonds
auprès
des
bailleurs
de
fonds
internationaux
dont
la
participation
est
nécessaire
afin
d’accéder
à
des
termes
financement
adéquats
pour
ce
type
de
projets.
6. Bénéficiaires
Ø Les
consommateurs
(les
ménages
et
les
personnes
morales)
qui
disposeront
de
l’énergie
nécessaire
pour
les
besoins,
ce
qui
constitue
un
facteur
essentiel
du
développement
économique
et
social.
Ø L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
PETROCI
HOLDING,
qui
prendrait
une
part
plus
active
dans
le
développement
du
secteur
électrique
par
un
partenariat
public-‐privé
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Ø Signature
d’un
Protocole
d’Accord
avec
un
opérateur
de
premier
rang
et
mondialement
reconnu,
THE
AES
CORPORATION
à
travers
sa
filiale
africaine
AES
Africa
Power
Company
(AES
APCO).
Ø Prospection
des
institutions
financières
internationales
qui
ont
manifesté
leur
intérêt
à
participer
au
financement
du
projet
:
AFREXIMBANK,
Banque
Africaine
de
Développement,
Overseas
Private
Investment
Corporation
(OPIC),
Société
Financière
Internationale
(SFI),
Multilateral
Investment
Guarantee
Agency
(MIGA).
Ø Finalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
projet
par
AES
APCO.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Pour
la
réalisation
de
ce
projet,
PETROCI
HOLDING
est
en
partenariat
avec
un
opérateur
mondial
de
premier
rang,
AES
APCO.
PETROCI
HOLDING
a
également
sollicité
l’assistance
d’un
Consortium
de
Conseil
financier
et
juridique
à
l’effet
de
structurer
et
lever
le
financement
nécessaire
à
la
réalisation
du
projet.
9. Activités
à
réaliser
:
Ø Négociation
de
l’Accord
définitif
de
développement
du
projet
et
du
pacte
d’actionnaire
entre
PETROCI
et
AES.
Ø Réalisation
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social
Ø La
négociation
de
la
Convention
de
Concession
avec
l’Etat
Ivoirien,
qui
définira
les
conditions
juridiques
et
commerciales
d’exploitation
de
la
Centrale.
Ø La
levée
de
fonds
pour
le
financement
global
de
la
construction
de
la
Centrale.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2,5
ans
:
mise
en
exploitation
du
cycle
simple
avec
deux
turbines
à
gaz
§ 4
ans
:
fermeture
de
cycle
combiné
avec
la
mise
en
exploitation
de
la
turbine
à
vapeur.
11. Période
d’exécution
:
court
et
moyen
terme
§ Bouclage
financier
:
Juin
2012
sous
réserve
de
la
résolution
positive
des
contraintes
sectorielles
invoquées
au
paragraphe
5
ci-‐dessus
73/465
§ Début
de
la
construction
-‐
Phase
1
(2
turbines
à
gaz)
:
Décembre
2012
§ Début
de
l’exploitation
-‐
Phase
1
(2
turbines
à
gaz
:
Décembre
2013
§ Début
de
la
construction
-‐
Phase
2
(1
turbine
à
vapeur)
:
Février
2014
§ Début
de
l’exploitation
-‐
Phase
2
(1
turbine
à
vapeur)
:
Juin
2015
12. Maître
d’ouvrage
:
PETROCI
HOLDING,
privés
ivoiriens
et
AES
APCO
13. Maître
d’œuvre
:
entreprise
EPC
à
déterminer
sur
base
d’appel
d’offre
14. Partenaires
:
AES
Africa
Power
Company
(AES
APCO)
est
la
filiale
africaine
d'AES
Corporation,
une
multinationale
américaine
classée
parmi
les
500
plus
grandes
entreprises
américaines
(Fortune
500)
et
spécialisée
dans
l’exploitation
d’installations
de
production
et
de
distribution
d’électricité,
particulièrement:
le
développement
;
la
construction
et
l’exploitation
de
centrales
;
la
production,
le
transport,
l’exploitation,
l’importation
et
la
vente
de
l’énergie
électrique.
Le
Groupe
AES
dispose
d’une
expertise
reconnue
au
niveau
mondial,
qui
lui
permet
d’exploiter
des
centrales
électriques
à
partir
de
diverses
sources
de
combustibles,
notamment:
le
charbon,
le
diesel,
l'énergie
hydraulique,
le
gaz,
le
pétrole
et
la
biomasse.
AES
intervient
sur
les
5
continents
dans
29
pays
et
possède
132
installations
de
production
d'électricité
d’une
capacité
totale
de
40
498
MW
à
fin
2010.
Micro projet : Centrale thermique à cycle combiné de 450 MW (CT1)
Hypothèses :
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Société
du
Projet
est
chargée
de
l’exploitation,
l’entretien
et
de
la
maintenance
de
l’ouvrage.
Les
charges
de
combustibles
sont
à
la
charge
du
Secteur
ivoirien
de
l’électricité.
77/465
Micro projet : Centrale thermique à cycle combiné de 450 MW (CT2)
2. Objectif
:
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
afin
de
satisfaire
la
demande
à
moyen
et
long
terme.
3. Description
de
la
situation
:
La
capacité
actuelle
du
parc
de
production
ne
permet
pas
de
satisfaire
la
demande
d’énergie
à
moyen
long,
et
long
terme.
Le
projet
est
envisagé
s’inscrit
dans
une
logique
de
planification
des
moyens
de
production
d’énergie
électrique.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Internes
:
La
non
réalisation
du
projet,
sans
alternative
viable,
entrainerait
un
déficit
énergétique
de
3
351
GWh
et
un
manque
à
gagner
sur
les
recettes
projetées
de
150
milliards/an.
Hypothèses :
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Analyse
des
propositions
de
promoteurs
de
centrales
IPP
par
le
Comité
de
Pilotage
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
sera
réalisé
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
9. Activités
à
réaliser
:
78/465
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Société
du
Projet
est
chargée
de
l’exploitation,
l’entretien
et
de
la
maintenance
de
l’ouvrage.
Les
charges
de
combustibles
sont
à
la
charge
du
Secteur
ivoirien
de
l’électricité.
80/465
Micro projet : Centrale thermique à cycle combiné de 450 MW (CT3)
2. Objectif
:
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
afin
de
satisfaire
la
demande
à
moyen
et
long
terme.
3. Description
de
la
situation
:
La
capacité
actuelle
du
parc
de
production
ne
permet
pas
de
satisfaire
la
demande
d’énergie
à
moyen
long,
et
long
terme.
Le
projet
est
envisagé
s’inscrit
dans
une
logique
de
planification
des
moyens
de
production
d’énergie
électrique.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Analyse
des
propositions
de
promoteurs
de
centrales
IPP
par
le
Comité
de
Pilotage
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
sera
réalisé
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
9. Activités
à
réaliser
:
81/465
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2021
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Société
du
Projet
est
chargée
de
l’exploitation,
l’entretien
et
de
la
maintenance
de
l’ouvrage.
Les
charges
de
combustibles
sont
à
la
charge
du
Secteur
ivoirien
de
l’électricité.
83/465
Micro projet : Centrale thermique à cycle combiné de 450 MW (CT4)
2. Objectif
:
augmenter
la
capacité
du
parc
de
production
de
l’électricité
de
la
Côte
d’Ivoire
afin
de
satisfaire
la
demande
à
moyen
et
long
terme.
3. Description
de
la
situation
:
La
capacité
actuelle
du
parc
de
production
ne
permet
pas
de
satisfaire
la
demande
d’énergie
à
moyen
long,
et
long
terme.
Le
projet
est
envisagé
s’inscrit
dans
une
logique
de
planification
des
moyens
de
production
d’énergie
électrique.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Internes
:
La
non
réalisation
du
projet,
sans
alternative
viable,
entrainerait
un
déficit
énergétique
de
3
351
GWh
et
un
manque
à
gagner
sur
les
recettes
projetées
de
150
milliards/an.
Hypothèses :
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Analyse
des
propositions
de
promoteurs
de
centrales
IPP
par
le
Comité
de
Pilotage
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
sera
réalisé
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
9. Activités
à
réaliser
:
84/465
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
3
ans
à
partir
de
2021.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
La
Société
du
Projet
est
chargée
de
l’exploitation,
l’entretien
et
de
la
maintenance
de
l’ouvrage.
Les
charges
de
combustibles
sont
à
la
charge
du
Secteur
ivoirien
de
l’électricité.
85/465
86/465
6. Bénéficiaires
:
Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;
Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Suite
à
une
offre
de
SINOHYDRO,
une
entreprise
chinoise,
des
discussions
ont
été
engagées
en
vue
de
réaliser
le
projet
sous
forme
de
contrat
clé-‐en-‐main.
Un
contrat
commercial
a
été
signé
entre
le
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie
et
SINOHYDRO,
le
28
avril
2009
amis
la
requête
de
financement
du
Gouvernement
de
la
Côte
d’Ivoire
au
Gouvernement
de
la
République
de
Chine
n’a
pas
été
encore
faite.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
L’option
privilégiée
est
la
réalisation
du
barrage
par
SINOHYDRO
sous
la
forme
d’un
contrat
clé-‐en-‐main,
Cependant,
la
possibilité
de
réalisation
du
projet
par
BOOT
n’est
pas
écartée.
A
cet
effet,
un
appel
à
manifestation
d’intérêt
a
été
lancé
en
2010
pour
sélectionner
les
entreprisses
intéressées
par
le
projet.
Le
dépouillement
de
cet
appel
n’est
pas
encore
réalisé.
9. Activités
à
réaliser
:
Faire
la
requête
de
financement
auprès
du
Gouvernement
Chinois
;
Mise
en
place
du
financement.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2
mois
:
Signature
de
la
requête
de
financement
;
§ 4
mois
:
Mise
en
place
du
financement
;
§ 5
ans
:
Construction
et
mise
en
service
de
l’ouvrage.
11. Période
d’exécution
:
court
&
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
7
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
15. Coûts
prévisionnels
:
Le
coût
estimatif
du
projet
est
de
305
milliards
F
CFA
pour
les
ouvrages
de
génie
civil
et
équipements
de
l’usine,
le
réseau
de
transport
d’énergie
ainsi
que
tous
les
coûts
relatifs
aux
déplacements
de
population.
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
- Le
projet
est
éligible
au
titre
du
mécanisme
MDP.
Mais
sa
réalisation
soulève
des
questions
quant
au
déplacement
des
populations
et
la
destruction
de
plantations
de
culture
de
rente
(café,
cacao,
notamment)
;
- OMD
(Objectif
7)
:
Préservation
de
l’environnement
par
l’utilisation
d’une
technologie
réduisant
les
émissions
de
CO2.
3. Description
de
la
situation
:
Ces
projets
s’inscrivent
dans
la
stratégie
de
mise
en
valeur
équilibrée
des
ressources
énergétiques
nationales.
Après
la
réalisation
des
ouvrages
hydroélectriques
de
Kossou,
Taabo
et
Buyo
entre
1972
et
1981,
une
priorité
a
été
accordée
au
développement
du
parc
de
production
thermique
à
la
faveur
de
la
découverte
des
réserves
importantes
de
gaz
naturel
au
large
des
côtes
ivoiriennes.
La
demande
d’électricité
est
aujourd’hui
satisfaite
à
environ
75%
par
les
Centrales
thermiques
fonctionnant
essentiellement
au
gaz
naturel
dont
le
prix
est
indexé
au
cours
du
pétrole.
La
flambée
des
cours
du
pétrole
fait
peser
une
menace
sur
la
viabilité
financière
du
secteur
et
le
place
dans
une
situation
de
déficit
chronique
depuis
plusieurs
années.
La
construction
de
ces
barrages
hydroélectriques
va
permettre
de
relever
le
niveau
de
l’hydroélectricité
en
Côte
d’Ivoire
et
de
faire
face,
à
moindre
coût,
à
la
croissance
de
la
demande
d’électricité.
4. Contraintes
liées
au
projet
:
Les
contraintes
du
projet
sont
les
contraintes
environnementales
et
sociales.
En
effet
la
zone
du
projet
est
une
zone
agricole
à
forte
densité
de
population.
La
gestion
du
plan
de
gestion
environnementale
et
sociale
conditionnera
la
réussite
du
projet.Par
ailleurs,
l’étude
et
le
dimensionnement
du
réseau
d’évacuation
de
l’électricité
produite
aura
un
impact
sur
le
coût
du
projet.
Les
contraintes
liées
au
projet
sont
donc
:
7. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
La
stratégie
de
mise
en
œuvre
consiste
à
réaliser,
dans
un
premier
temps,
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
hydroélectrique
et
du
réseau
d’évacuation
d’énergie
associé.
Une
fois
les
ouvrages
dimensionnés
et
le
coût
de
réalisation
déterminés,
la
construction
du
barrage
sera
engagée
soit
par
l’Etat
sous
la
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
On
veillera
également
à
inscrire
le
projet
au
mécanisme
MDP.
8. Activités
à
réaliser
:
10. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
11. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
91/465
Caractéristiques
Fiche
n°
36
-‐ Mauvaise
maîtrise
du
plan
de
gestion
environnementale
et
sociale
;
-‐ Coût
prohibitif
des
compensations
et
des
mesures
d’atténuation
d’impact
environnemental
;
-‐ Non
faisabilité
technique
et/ou
économique
de
l’évacuation
de
l’énergie
produite.
6. Bénéficiaires
:
93
Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;
Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
de
distribution
et
de
la
facturation
;
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
consommateurs
d’énergie
électrique
(ménages
et
industriels).
La
stratégie
de
mise
en
œuvre
consiste
à
réaliser,
dans
un
premier
temps,
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
hydroélectrique
et
du
réseau
d’évacuation
d’énergie
associé.
Une
fois
les
ouvrages
dimensionnés
et
le
coût
de
réalisation
déterminés,
la
construction
du
barrage
sera
engagée
soit
par
l’Etat
sous
la
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
On
veillera
également
à
inscrire
le
projet
au
mécanisme
MDP.
9. Activités
à
réaliser
:
Les
activités
suivantes
ont
été
identifiées
:
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
réseau
d’évacuation
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
d’impact
environnemental
;
-‐ le
montage
financier
du
projet
et
la
recherche
de
financement
;
-‐ la
construction
du
barrage.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
-
5
mois
:
Voies
d’accès
réalisées
;
- 18
mois
:
Rapports
des
études
de
faisabilité
disponibles
;
-
3
mois
:
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
disponibles
;
- 48
mois
:
La
construction
du
barrage.
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
l’étude
sera
réalisée
sur
une
durée
de
1
an
et
le
projet
sur
5
ans
à
partir
de
2021.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
94
-‐ Les
études
de
faisabilité
sont
estimées
à
800
millions
F
CFA
;
-‐ Les
études
de
faisabilité
détermineront
les
coûts
de
réalisation
du
projet.
- Le
projet
est
éligible
au
titre
du
mécanisme
MDP.
Mais
sa
réalisation
soulève
des
questions
quant
au
déplacement
des
populations
et
la
destruction
de
plantations
de
culture
de
rente
(café,
cacao,
notamment)
;
- OMD
:
Objectif
7
:
Préservation
de
l’environnement
par
l’utilisation
d’une
technologie
réduisant
les
émissions
de
CO2.
95
Fiche
n°
37
2. Objectif
:
- réaliser
l’équipement
du
bief
aval
de
la
rivière
Drou
dans
la
région
de
Man
;
- augmenter
de
1,5
MW
a
capacité
du
parc
de
production
hydraulique.
La
mini
et
micro
hydraulique
est
très
peu,
voire
inexploitée
en
Côte
d’Ivoire.
La
centrale
hydraulique
des
rapides
Grah,
2x
2,5
MW
est
la
plus
petite
en
exploitation.
Le
potentiel
de
mini
et
micro
hydraulique,
comme
source
d’énergie
nouvelle
et
renouvelable
reste
encore
à
exploiter.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Du
fait
de
la
faible
taille
de
l’aménagement,
les
contraintes
d’ordre
environnemental
et
social
du
projet
sont
minimales.
6. Bénéficiaires
:
Secteur
ivoirien
de
l’Electricité
;
Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
de
distribution
et
de
la
facturation
;
Population
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
consommateurs
d’énergie
électrique
(ménages
et
industriels).
96
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
réseau
d’évacuation
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
MDP
;
-‐ le
montage
financier
du
projet
et
la
recherche
de
financement
;
-‐ la
construction
du
barrage.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
- 3
mois
:
Voies
d’accès
réalisées
;
- 5
mois
:
Rapports
des
études
de
faisabilité
disponibles
;
- 4
mois
:
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
disponibles
;
- 18
mois
:
La
construction
du
barrage.
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
durée
de
2,5
ans
à
partir
de
2021
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
97
Le
Concessionnaire
chargé
de
l’exploitation,
CIE
supporte
la
maintenance
et
le
secteur
ivoirien
de
l’électricité
supporte
les
charges
de
grosses
révisions.
98
Fiche
n°
38
Projet Microcentrale hydroélectrique de 300 KW sur le fleuve Agnéby
1. Orientation
:
Organisation
de
l’accès
aux
services
énergétiques
modernes
des
populations
des
localités
rurales.
2. Objectifs
:
- Développer
l’électrification
rurale
décentralisée
par
la
micro
hydroélectricité
;
- Accroitre
la
part
des
énergies
renouvelable
dans
le
bilan
électrique
national
;
- Promouvoir
et
développer
les
énergies
renouvelables
;
- Renforcer
les
capacités
des
agents
dans
le
domaine
de
la
micro
hydroélectricité.
3. Description
de
la
situation
:
La
demande
d’électricité
n’est
pas
satisfaite
et
la
Côte
d’Ivoire
veut
diversifier
ses
sources
de
production
mais
surtout
faire
la
promotion
des
énergies
renouvelables
notamment
la
petite
hydraulique.
La
Côte
d’Ivoire
dispose
d’un
nombre
important
de
cours
d’eau
et
d’une
bonne
pluviométrie
qui
offrent
de
fortes
possibilités
de
développement
de
l’hydroélectricité
avec
des
répercussions
limitées
sur
l’environnement
;
99
9. Activités
à
réaliser
- Etude
de
faisabilité
du
projet
- Renforcement
des
capacités
techniques
des
partenaires
intervenant
dans
le
projet.
- Réalisation
des
travaux
(génie
civil,
électromécanique,
électricité)
et
mise
en
service
;
- Suivi
et
évaluation
du
projet
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
12
mois
:
100
Fiche
n°
39
9. Activités
à
réaliser
:
Les
activités
suivantes
ont
été
identifiées
:
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
;
-‐ la
construction
du
barrage.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
- 3
mois
:
Rapports
des
études
de
faisabilité
disponibles
;
- 12
mois
:
La
construction
du
barrage.
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
1
an
à
partir
de
2016.
101
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
102
Fiche
n°
40
103
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
La
stratégie
de
mise
en
œuvre
consiste
à
réaliser,
dans
un
premier
temps,
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
hydroélectrique
et
du
réseau
d’évacuation
d’énergie
associé.
Une
fois
les
ouvrages
dimensionnés
et
le
coût
de
réalisation
déterminés,
la
construction
du
barrage
sera
engagée
soit
par
l’Etat
sous
la
sous
la
forme
d’un
contrat
BOOT.
On
veillera
également
à
inscrire
le
projet
au
mécanisme
MDP.
9. Activités
à
réaliser
:
Les
activités
suivantes
ont
été
identifiées
:
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
barrage
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
du
réseau
d’évacuation
;
-‐ la
réalisation
de
l’étude
d’impact
environnemental
;
-‐ le
montage
financier
du
projet
et
la
recherche
de
financement
;
-‐ la
construction
du
barrage.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§
5
mois
:
Voies
d’accès
réalisées
;
§ 18
mois
:
Rapports
des
études
de
faisabilité
disponibles
;
§
3
mois
:
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
disponibles
;
§ 48
mois
:
La
construction
du
barrage.
11. Période
d’exécution
:
long
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
7
ans
à
partir
de
2021.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
L’Etat
de
Côte
d’ivoire
représenté
par
les
acteurs
du
secteur
ivoirien
de
l’électricité
qui
sont:
104
105
Fiche
n°
41
3. Description
de
la
situation
:
La
configuration
actuelle
du
réseau
ivoirien
de
transport
d’énergie
électrique,
dans
sa
partie
Nord,
n’offre
pas
la
sécurité
nécessaire
pour
exporter
de
grandes
puissances
vers
le
Burkina
et
le
Mali.
En
effet,
toute
indisponibilité
d’une
des
lignes
225
kV
BOUAKE2-‐FERKE,
BUYO-‐MAN
ou
KOSSOU-‐BOUAKE2
entraîne
une
interruption
de
l’exportation
vers
le
Nord
et
des
Energies
Non
Distribuées
(END)
dans
le
réseau
Nord
ou
Nord-‐Ouest
du
pays
selon
les
cas.
Métier
:
Risque
d’insécurité
de
transport
d’énergie
dans
la
partie
nord
du
réseau
électrique
ivoirien.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Contrainte
financière
:
la
contribution
des
Etats,
de
l’aide
bilatérale
et
des
partenaires
au
développement
est
requise.
6. Bénéficiaires :
- Les
secteurs
de
l’électricité
de
la
Cote
d’Ivoire
et
du
Mali
;
- Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
- Les
populations
vivant
en
Côte
d’Ivoire
et
au
Mali,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
des
réseaux
interconnectés
de
la
CEDEAO.
106
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
9. Activités
à
réaliser
:
Il
s’agit
de
la
fourniture
et
de
la
mise
en
œuvre
du
matériel
nécessaire
à
la
réalisation
:
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires :
15. Coûts
prévisionnels
:
47
000
millions
F
CFA
(94
millions
$US)
16. Contributions
souhaitées
:
107
Fiche
n°
42
1. Orientation
:
Renforcement
de
la
capacité
de
la
ligne
d’Interconnexion
Côte
d’Ivoire
–
Ghana
par
le
doublement
de
la
ligne.
2. Objectif
:
pour
faire
face
à
des
niveaux
élevés
prévisibles
de
transit,
il
est
nécessaire
de
procéder
au
renforcement
de
la
capacité
de
transit
entre
la
Côte
d’Ivoire
et
le
Ghana
par
la
construction
de
la
deuxième
ligne
d’interconnexion
en
330
kV.
Le
niveau
des
exportations
de
puissance
de
la
Côte
d’Ivoire
vers
le
Ghana
a
souvent
atteint
le
pic
de
280
MW.
Métier
:
Risque
d’insécurité
de
transport
d’énergie
dans
la
partie
sud-‐est
du
réseau
électrique
ivoirien.
6. Bénéficiaires :
- Les
secteurs
de
l’électricité
de
la
Cote
d’Ivoire
et
du
Ghana
;
- Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
- Les
populations
vivant
en
Côte
d’Ivoire
et
du
Ghana,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Les
études
de
faisabilité
sont
achevées.
Les
études
d’impact
environnemental
sont
en
cours
de
réalisation.
108
- Réalisation
des
études
d’impact
environnemental
;
- Confection
des
Dossier
d’Appel
d’Offres
;
- Montage
financier
- Réalisation
des
ouvrages.
9. Activités
à
réaliser
:
Il
s’agit
de
la
fourniture
et
de
la
mise
en
œuvre
du
matériel
:
- de
la
ligne
330
kV
RIVIERA
–
PRESTEA
longue
d’environ
de
220
km
dont
146
km
en
Côte
d’Ivoire,
- de
la
création
d’un
nœud
330
kV
au
poste
de
RIVIERA,
- de
l’installation
deux
(2)
transformateurs
330/225
kV
au
poste
de
RIVIERA,
- de
l’extension
du
poste
330
kV
de
PRESTEA
avec
créations
de
travées
330
kV,
- de
l’installation
des
équipements
de
télétransmission
et
de
comptage
associés.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
48
mois
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
pour
le
tronçon
ivoirien.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires
:
109
Fiche
n°
43
1. Orientation
:
Interconnexion
des
réseaux
électriques
de
la
Côte
d’Ivoire,
du
Liberia,
de
la
Sierra
Leone
et
de
la
Guinée
en
vue
d’échanger
de
l’énergie.
2. Objectif
:
Le
projet
a
pour
objectif
l’interconnexion
des
réseaux
électriques
de
la
Côte
d’Ivoire,
du
Libéria,
de
la
Sierra
Leone
et
de
la
Guinée
à
partir
du
poste
de
Man.
Il
rentre
dans
le
cadre
de
la
mise
en
œuvre
des
projets
du
Système
d’Echanges
d’Energie
Electrique
Ouest
Africain
(EEEOA)
pour
le
renforcement
des
échanges
d’énergie
électrique
entre
les
pays
de
la
sous
région.
- Externes
:
à
déterminer
;
- Métier
:
Risque
d’insécurité
de
transport
d’énergie
dans
la
partie
ouest
du
réseau
électrique
ivoirien.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Contrainte
financière
:
la
contribution
des
Etats,
de
l’aide
bilatérale
et
des
partenaires
au
développement
est
requise.
6. Bénéficiaires :
- Les
secteurs
de
l’électricité
de
la
Cote
d’Ivoire,
du
Liberia,
de
la
Sierra
Leone
et
de
la
Guinée
;
- Concessionnaire
du
service
Public
(CIE)
en
charge
de
l’exploitation
du
réseau
;
- Les
populations
vivant
en
Côte
d’Ivoire,
au
Liberia,
en
Sierra
Leone
et
en
Guinée,
Consommateurs
d’énergie
électrique
(Ménages
et
Industriels).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
110
Les
études
de
faisabilité
et
d’impact
environnemental
sont
achevées
et
en
cours
de
consolidation.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
représenté
par
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
pour
le
tronçon
ivoirien.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE).
14. Partenaires :
- Les
Etats
de
Côte
d’ivoire,
du
Liberia,
de
la
Sierra
Leone
et
de
la
Guinée
;
- Le
West
Africa
Power
Pool;
- Les
Bailleurs
de
Fonds
:
la
BOAD,
la
CEDEAO,
Etc.
15. Coûts
prévisionnels
:
208
530
millions
F
CFA
(317,9
millions
d’euros)
;
16. Contributions
souhaitées
:
Institutionnels
:
100%
;
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
111
112
Fiche
n°
44
Projet Etude d’évaluation du potentiel national des sources d’énergie alternatives
1. Orientation
:
Promotion
et
développement
des
énergies
renouvelables
en
Côte
d’Ivoire
2. Objectif
:
L’objectif
de
cette
étude
est
d’identifier
le
potentiel
des
énergies
renouvelables
pour
aider
à
la
définition
de
la
stratégie
en
matière
de
développement
des
énergies
renouvelables
de
la
Côte
d’Ivoire.
3. Description
de
la
situation
La
récente
crise
du
pétrole
de
2008
a
fini
par
convaincre
les
plus
septiques
de
la
nécessité
de
se
tourner
vers
des
sources
de
production
de
l’énergie
électrique
moins
dépendantes
des
hydrocarbures.
En
Côte
d’Ivoire,
environ
70%
de
l’énergie
électrique
est
d’origine
thermique.
Pour
relever
ces
défis,
le
développement
et
la
promotion
des
énergies
nouvelles
et
renouvelables
s’imposent.
A
cet
effet,
des
études
doivent
être
menées
pour
déterminer
avec
exactitude
le
potentiel
de
chaque
filière
d’énergies
renouvelables
en
vue
d’aider
à
la
définition
de
la
stratégie
en
matière
de
développement
des
énergies
renouvelables
en
Côte
d’Ivoire.
113
- Publication
des
différents
rapports
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
- En
6
mois
:
rapport
d’analyse
du
profil
de
consommation
énergétique
disponible
- En
12
mois
Rapport
d’Analyse
et
cartographie
des
ressources
en
énergies
renouvelables
disponible
- En
18
mois
rapport
d’Etudes
du
potentiel
et
d’opportunité
d’utilisation
et
le
rapport
plan
d’action
stratégique
disponibles.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
l’étude
durera
au
maximum
18
mois
à
partir
de2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Les
Conseils
Généraux,
instituts
de
recherches,
SODEXAM
15. Coûts
prévisionnels
:
1
328
millions
F
CFA
- Etude
:
915
000
000
F
CFA
- Fonctionnement
413
000
000
F
CFA
sur
18
mois
16. Contributions
souhaitées
- Etat
CI
:
929
500
000
F
CFA,
soit
70
%
- Institutionnels
:
398
500
000
F
CFA,
soit
30
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
OMD/Environnement
:
à
déterminer
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
398
500
000
F
CFA
114
Fiche
n°
45
pour des usages productifs dans des communautés rurales en Côte d’Ivoire
L’usage
des
énergies
renouvelables
pour
l’électrification
rurale
peut
être
une
alternative
crédible.
Cependant
des
barrières
institutionnelles,
techniques
et
de
manque
de
sensibilisation
se
dresse
à
la
promotion
de
cette
énergie
source
d’énergie.
Enfin,
la
forte
proportion
des
énergies
fossile
dans
la
production
nationale
d’électricité
(environs
70%)
contribue
à
la
dégradation
de
l’environnement
:
3
116
752
t
CO2
ont
été
émis
dans
l’atmosphère
en
2009
(facteur
d’émission
du
réseau
national
:
0,537
tCO2/
MWh
;
production
nationale
d’électricité
en
2009
:
5
804
008
MWh).
115
ü Approbation
par
le
FEM
de
la
requête
de
la
subvention
pour
la
préparation
du
projet
(SPP)
:
la
SPP
est
gérée
par
l’ONUDI/
Février
2010;
ü Etude
socio-‐économique
dans
onze
(11)
localité/réalisée
par
la
Direction
Générale
de
l’Energie
(DGE)
avec
appui
financier
de
la
SPP
(ONUDI)/
Juillet
2010;
ü Remise
de
2
ordinateurs
portables
à
la
DGE
sur
financement
de
la
SPP
(l’ONUDI)/
Août
2010
;
ü Renforcement
de
capacités
technique
du
point
focal
du
projet
au
Rwanda/financé
par
la
SPP
(l’ONUDI)/Mai
2011
- En
cours
:
Rédaction
du
document
final
de
projet
par
l’ONUDI
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
La
mise
en
œuvre
du
projet
est
basée
sur
une
approche
d’apprentissage
à
la
pratique
(learning
by
doing)
;
9. Activités
à
réaliser
:
- Sensibilisation
et
renforcement
des
capacités
techniques
nationales
;
- Renforcement
du
cadre
légal
et
réglementaire
pour
une
électrification
rurale
à
base
d’énergies
renouvelables
;
- Conception
et
installation
de
cinq
(5)
microcentrales
électriques
(photovoltaïque
et
micro-‐
hydraulique)
à
base
d’énergie
renouvelable
d’environs
300
KW
(si
le
financement
se
limite
à
la
subvention
du
FEM
et
à
l’apport
de
l’Etat)
à
900KW
(si
le
financement
prend
en
compte
la
subvention
du
FEM,
l’apport
de
l’Etat
et
l’apport
à
trouver
au
près
de
bailleurs
bi
ou
multilatéraux)
connectées
à
des
réseaux
isolés
dans
cinq
(5)
localités.
- Diffusion
des
leçons
apprises
et
évaluation
indépendante
du
projet
;
- Coordination
et
gestion
du
projet.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
- Deuxième
semestre
2013
:
Cadre
légal
et
réglementaire
rédigé
- Premier
semestre
2014
:
La
puissance
électrique
installée
;
- 2011
à
2014
:
Le
nombre
de
personnes
dont
les
capacités
ont
été
renforcées
au
niveau
local
et
au
niveau
gouvernemental
;
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
réalisé
de
septembre
2011
à
août
2014
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines
du
pétrole
et
de
l’énergie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
FEM,
ONUDI,
autres
bailleurs
bi
ou
multilatéraux,
secteur
privé
15. Coûts
prévisionnels
:
1
631.8
millions
F
CFA
- Sensibilisation
et
renforcement
des
capacités
techniques
nationales
:
181
millions
F
CFA
- Renforcement
du
cadre
légal
et
réglementaire
pour
une
électrification
rurale
à
base
d’énergies
renouvelables
:
155
millions
F
CFA
- Conception
et
installation
de
cinq
mini
réseaux
:
1
062
millions
F
CFA
- Diffusion
des
leçons
apprises
et
évaluation
indépendante
du
projet
:
78.5
millions
F
CFA
- Coordination
et
gestion
du
projet
:
155.046
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
- Etat
CI
:
400
millions
F
CFA,
soit
25
%
- FEM
(subvention):
431,
8
millions
F
CFA,
soit
26
%
- ONUDI
(Subvention
déjà
disponible)
:
25
millions
F
CFA,
soit
2%
- Agence
Multilatérale/
privés
local
ou
extérieur
(à
trouver)
:
775
millions
F
CFA,
soit
47
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
116
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
- OMD
N°7
:
Garantir
un
environnement
durable
à
travers
la
réduction
des
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre
(500
à
3580
tCO2/an)
;
- OMD
N°1
:
Réduire
l’extrême
pauvreté
et
la
fin
à
travers
la
création
d’activité
génératrices
de
revenus
du
fait
de
la
disponibilité
de
l’électricité
;
- OMD
N°4
:
réduire
la
mortalité
des
enfants
de
moins
de
5
ans
à
travers
la
conservation
des
vaccins
et
l’amélioration
des
soins
grâce
à
la
disponibilité
de
l’électricité;
- OMD
N°
5
:
Améliorer
la
santé
maternelle
à
travers
l’amélioration
des
conditions
d’accouchement
grâce
à
la
disponibilité
de
l’électricité
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet.
117
Fiche
N°
46
démarches
administratives
traduites
sous
forme
de
séances
de
travail
avec
les
autorités
des
-
mines
et
énergies
(Direction
des
énergies
nouvelles
et
renouvelables
–
Cabinet
du
Ministre
des
mines).
Les
travaux
avec
les
autorités
administratives
ses
sont
soldés
par
l’attribution
d’une
lettre
d’intention
enregistré
sous
le
n°0510/MME/CAB-‐DGE/DEBR/DR
du14
avril
2010
- Recherche
et
identification
d’un
partenaire
technique
Allemand
en
la
personne
de
NOVIS
- Recherche
et
identification
d’un
partenaire
financier
Allemand
- Séjour
en
mai-‐juin
2010
en
Côte
d’ivoire
de
NOVIS
et
réalisation
par
lui
d’une
étude
de
faisabilité
du
projet
Actions
encours
118
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Elaboration
d’une
carte
nationale
énergétique
par
biomasse
en
fonction
de
la
spécificité
de
la
matière
première
de
chaque
région.
9. Activités
à
réaliser
Ø Obtention
de
la
convention
avec
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
:
- Mobilisation
effective
des
ressources
financières
(partenaires
identifiés)
- Mobilisation
effective
des
ressources
techniques
(fournisseurs
identifiés)
- Organisation
des
circuits
de
collecte
de
la
matière
première
(en
région)
- Mise
en
place
d’une
Gestion
Prévisionnelle
des
Emplois
et
des
compétences
pour
l’ensemble
du
secteur
de
l’électricité
- Etude
et
création
d’un
centre
de
formation,
de
perfectionnement
et
de
recherche
en
énergie
Ø Négociation
et
signature
des
termes
des
contrats
d’emprunts
bancaires
Ø Identification
et
organisation
dans
chaque
région,
des
unités
de
ravitaillement
des
centrales
en
matières
premières
Ø Commande
et
importation
s’il
y
a
lieu
du
matériel
de
construction
des
centrales
de
production
Ø Construction
des
centrales
de
façon
progressive
(l’énergie
par
biomasse
se
fait
par
pyrolyse
et
par
méthanisation)
Ø Construction
des
postes
de
liaison
au
réseau
Ø Production
de
l’énergie
et
mise
à
la
disposition
des
pouvoirs
publics
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
an
:
Négociations
avec
bailleurs
et
signature
de
contrats
de
prêts
;
Organisation
des
circuits
de
collecte
de
la
matière
première
;
Importation
s’il
ya
lieu
du
matériel
et
fournitures
de
construction
;
Construction
des
premières
unités
industrielles
de
production
§ 2
ans
:
Mise
en
production
des
unités
industrielles
§ 5
ans
:
Construction
et
mise
ne
service
d’un
institut
de
formation
en
énergie
par
biomasse
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie/Opérateurs
13. Maître
d’œuvre
:
Structures
du
secteur
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds,
structures
de
formation
15. Coûts
prévisionnels
:
98
400
millions
F
CFA
(150
000
millions
euros)
16. Contributions
souhaitées
- promoteur
(ENERGY
COTE
D’IVOIRE)
0.5%
soit
492
millions
F
CFA
(750
millions
euros)
- partenaire
Technique
(NOVIS)
1.5%
soit
1
476
millions
F
CFA
(2
250
millions
euros)
- entreprise
du
secteur
Energie
5%
soit
4
920
millions
(7
500
millions
euros)
- Etat
Côte
d’Ivoire
3%
soit
2
952
millions
F
CFA
(4
500
millions
euros)
- Emprunt
90%
soit
88
560
millions
F
CFA
(135
000
millions
euros)
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Réduire
l’extrême
pauvreté
par
la
création
d’activités
génératrices
de
revenus
du
fait
de
la
disponibilité
de
l’électricité
;
Garantir
un
environnement
durable
à
travers
la
réduction
des
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet
119
120
- JUIN
2010
:
signature
de
la
convention
de
concession
2010-‐006/MJSSU/ANASUR
relative
à
la
réalisation
et
l’exploitation
d’une
unité
de
production
d’énergie
électrique
à
partir
des
déchets
solides
municipaux
du
District
d’Abidjan
valable
sur
30
ans
;
- JANVIER
2011
:
signature
d’un
protocole
d’accord
portant
achat/
vente
d’électricité
entre
le
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie
et
la
SITRADE
SA
;
- JANVIER-‐
FEVRIER
2011
:
deux
courriers
du
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie
relatifs
à
l’engagement
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
racheter
toute
l’électricité
produite
par
la
SITRADE
SA
;
121
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
fonds
de
roulement
et
recette
sur
vente
de
produits
(électricité,
gaz,
compost,
ordures
ménagères…)
122
Fiche
n°
49
1. Orientation
:
Ce
projet
dans
l’objectif
de
développement
qui
est
d’assurer
un
bien
être
social
pour
tous,
permettra
de
faciliter
l’accès
aux
services
énergétiques
modernes
des
populations
des
localités
rurales
bénéficiaires
dans
l’optique
d’améliorer
la
qualité
de
vie
de
ces
ménages
ruraux
pour
la
plupart
économiquement
faibles.
2. Objectif
:
L’objectif
est
de
développer
l’électrification
rurale
décentralisée
en
électrifiant
50
localités
chaque
année
par
l’installation
de
systèmes
solaires
photovoltaïques
individuels
pour
les
ménages,
les
centres
communautaires
de
base
et
l’éclairage
public
3. Description
de
la
situation
Au
31
décembre
2010,
2
821
localités
ont
été
électrifiées
sur
un
total
de
8513,
soit
un
taux
de
couverture
de
33%,
très
faible
au
vu
de
la
demande
pour
un
accès
aux
services
énergétiques
dans
les
zones
rurales
non
électrifiées
de
plus
en
plus
forte
alors
que
les
caisses
de
l’Etat
ne
permettent
pas
aujourd’hui,
de
faire
face
véritablement
au
problème
de
l’électrification
rurale
par
le
système
conventionnel
qui
nécessite
de
gros
moyens.
9. Activités
à
réaliser
:
-‐ Étude
d’avant-‐projet
pour
l’identification
des
sites
à
électrifier
;
-‐ Étude
de
faisabilité
technique
123
-‐ Étude
de
viabilité
économique
et
financière
-‐ Consultation
des
bénéficiaires
-‐ Conduite
des
appels
d’offres
pour
l’attribution
des
marchés
-‐ réalisation
et
de
consolidation
-‐ suivi
et
d'évaluation
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
cumul
du
nombre
de
localités
ayant
été
électrifiées
§ 2
ans
:
50
localités
effectivement
électrifiées
§ 4
ans
:
100
localités
effectivement
électrifiées
§ 5
ans
:
125
localités
effectivement
électrifiées
11. Période
d’exécution
:
court
terme
et
moyen
terme;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Conseils
généraux
des
localités
bénéficiaires
;
populations
des
localités
bénéficiaires,
l’Institut
de
Recherche
sur
les
Energies
Renouvelables
(IREN),
les
fournisseurs
et
installateurs
de
systèmes
photovoltaïques,
les
bureaux
d’études
spécialisé
dans
le
photovoltaïques
15. Coûts
prévisionnels
:
7
150
millions
F
CFA
§ Etude
:
358
millions
F
CFA,
représentant
5%
de
l’investissement
initial
§ Equipement
et
installation:
6
650
millions
F
CFA,
représentant
93%
de
l’investissement
initial
§ Fonctionnement
:
143
millions
F
CFA/an,
soit
2%
de
l’investissement
initial
par
an.
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
:
1
788
millions
F
CFA,
soit
25
%
§ Institutionnels
:
5
363
millions
F
CFA,
soit
75
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
Ce
projet
va
contribuer
à
:
Améliorer
la
conservation
des
produits
pharmaceutiques
thermosensibles
en
dotant
les
-
centres
de
santé
de
réfrigérateurs
;
- Améliorer
le
cadre
de
vie
et
de
travail
du
personnel
médical
et
enseignant
;
- Réduire
le
taux
de
mortalité
par
l’accès
à
des
prestations
de
qualité
;
- Faciliter
l’accès
à
l’information
audio-‐visuelle
;
- Réduire
les
maladies
respiratoires
liées
à
l’emploi
du
pétrole
lampant
;
- Améliorer
les
résultats
scolaires
des
écoliers
;
- Réduire
les
dépenses
énergétiques
;
- Améliorer
le
temps
consacré
à
l’éducation
des
enfants.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Les
charges
de
fonctionnement
relatif
aux
dépenses
administratives
du
à
la
gestion
du
projet,
aux
pièces
de
rechanges
et
à
la
maintenance
des
systèmes
installés
sont
financées
à
hauteur
de
un
milliard
de
Francs
CFA
124
Fiche
n°
50
125
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
période
de
3
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
/
Direction
des
Energies
Nouvelles
et
Renouvelables
14. Partenaires
§ Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
(SOPIE)
§ Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE)
§ Société
américaine
«
Solar
Electric
Power
Company
(SEPCO)
»
15. Coûts
prévisionnels
:
2
000
millions
F
CFA
§ Etude
:
100
000
000
F
CFA
§ Equipement
:
1
700
000
000
F
CFA
§ Fonctionnement
:
200
000
000
F
CFA
pendant
5
ans.
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
2
000
000
000
MF
CFA,
soit
100
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
OMD/Environnement
:
L’éclairage
public
permet
de
prolonger
l’activité
commerciale
au-‐delà
des
heures
du
jour,
l’activité
peut
être
menée
par
des
entreprises
locales
de
petite
taille,
et
donc
constituer
une
source
de
création
d’emplois
(opération
et
maintenance)
-‐
(OMD1)
;
L’utilisation
des
systèmes
solaires
photovoltaïques
contribue
à
limiter
la
pollution,
les
émissions
des
gaz
à
effet
de
serre
et
assurer
un
environnement
durable
-‐
(OMD7).
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
10
millions
par
an
126
Fiche
n°
51
Projet Production d’électricité par utilisation du biogaz de la décharge d’Akouédo
1. Orientation
:
Le
projet
vise
à
contribuer
à
la
lutte
contre
les
changements
climatiques
par
la
réduction
des
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre
à
partir
d’une
gestion
intégrée
et
durable
des
résidus
urbains,
en
vue
d’améliorer
de
façon
tangible
le
cadre
de
vie
de
la
population
ivoirienne.
2. Objectif
:
Production
d’énergie
renouvelable
par
la
destruction
du
biogaz
généré
par
les
déchets
entreposés
à
la
décharge
d’Akouédo.
3. Description
de
la
situation
Depuis
1965
les
déchets
urbains
et
industriels
d'Abidjan
sont
déversés,
sans
aucune
précaution,
à
la
décharge
d'Akouédo.
Située
à
proximité
d'une
zone
habitée
(le
village
d'Akouédo
est
situé
à
quelques
dizaines
de
mètres,
la
cité
Génie
2000
à
environ
500
mètres),
cette
décharge
qui
occupe
un
terrain
de
100
hectares
dont
80%
ont
déjà
été
utilisés
de
façon
anarchique,
reçoit
chaque
jour
plus
de
2
000
tonnes
de
déchets
ménagers,
industriels
et
biomédicaux
sans
aucune
précaution
et
sans
contrôle
environnemental.
Il
en
résulte
:
ü Un
empilement
massif
de
déchets,
atteignant
par
endroit
25
mètres,
et
qui
engendre
la
prolifération
de
rongeurs
et
d’insectes
;
ü Des
odeurs
nauséabondes
dues
à
l’émanation
incontrôlée
de
bio
gaz,
provoquant
une
pollution
atmosphérique
insupportable
dans
les
quartiers
environnants
;
ü Des
écoulements
et
infiltrations
d’effluents
liquides
polluant
la
lagune
proche
(moins
de
1
km)
et
la
nappe
phréatique.
Cette
décharge
constitue
une
catastrophe
écologique
mondialement
connue.
Ce
projet
permettra
de
détruire
le
biogaz
généré
par
les
déchets
entreposés
à
la
décharge
d’Akouédo
par
la
production
de
l’électricité.
127
9. Activités
à
réaliser
:
-‐
sécurisation
du
site
par
la
construction
d’une
clôture
de
dissimulation
;
128
Fiche
n°
52
Projet Etude de préfaisabilité d’un programme électronucléaire pour la Côte d’Ivoire
6. Bénéficiaires
:
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire,
la
cellule
technique
en
charge
de
l’étude,
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
La
Côte
d’Ivoire
a
exprimé,
à
l’Agence
Internationale
de
l’Energie
Atomique
(AIEA),
son
intérêt
pour
l’électronucléaire.
A
ce
titre,
dans
le
cadre
de
sa
129
coopération
avec
l’AIEA,
Elle
participe
au
projet
RAF
0033
portant
sur
la
sensibilisation
des
décideurs
politiques
sur
les
challenges
et
exigences
liés
à
la
faisabilité
dans
programme
électronucléaire.
(projet
en
cours).
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
L’assistance
d’un
consultant
(recommandation
de
l’AIEA)
et
le
renforcement
des
capacités
techniques
nationales.
9. Activités
à
réaliser
:
• Création
et
fonctionnement
d’une
cellule
technique
chargée
entre
autres
de
réaliser
les
études
de
préfaisabilités
;
• Création
et
fonctionnement
d’un
comité
de
pilotage
des
activités
de
la
cellule
chargé
d’orienter
et
de
valider
les
travaux
de
la
cellule
;
• Sélection
d’un
consultant
pour
appuyer
la
cellule
technique
dans
l’exécution
de
ses
missions;
• Identification
et
ratification
par
l’Etat
des
instruments
internationaux
dans
les
domaines
de
la
sûreté
et
la
sécurité
nucléaire,
de
la
radioprotection
et
la
gestion
des
déchets
radioactifs
;*
• Développement
des
ressources
humaines
dans
le
domaine
de
l’électronucléaire
;
• Identification
des
potentiels
sites
d’installation
de
la
centrale
;
• Elaboration
d’études
relatives
à
la
gestion
des
déchets
radioactifs
;
• Elaboration
et
proposition
au
gouvernement
des
études
technico-‐économiques
pour
l’utilisation
de
l’énergie
nucléaire
;
• Sensibilisation
en
vue
d’une
acceptation,
par
l’opinion
nationale,
de
l’électronucléaire.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
• Premier
semestre
2012
:
Les
actes
réglementaires
créant
la
cellule
et
le
comité
;
• Deuxième
semestre
2012
:
Contrat
d’engagement
du
consultant
;
• Deuxième
semestre
2013
:
La
liste
des
potentiels
sites
d’accueil
de
la
centrale.
• Deuxième
semestre
2015
:
Document
contenant
les
études
de
préfaisabilité
du
programme
;
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
pétrole
et
de
l’énergie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Primature,
SOPIE,
CIE,
SODEMI,
BNETD,
Ministère
d’Etat
Ministère
de
l’économie
et
des
finances,
Ministère
d’Etat
Ministère
du
plan
et
du
développement,
Ministère
de
la
Santé,
Ministère
de
l’Environnement,
AIEA
15. Coûts
prévisionnels
:
5
600
M
F
CFA
• Création
et
fonctionnement
d’une
cellule
technique
chargée
entre
autres
de
réaliser
les
études
de
préfaisabilités
:
15
000
millions
FCFA
sur
5
ans
• Création
et
fonctionnement
d’un
comité
de
pilotage
des
activités
de
la
cellule
chargé
d’orienter
et
de
valider
les
travaux
de
la
cellule
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique
• Sélection
d’un
consultant
pour
appuyer
la
cellule
technique
dans
l’exécution
de
ses
missions
:
600
millions
F
CFA
• Identification
et
ratification
par
l’Etat
des
instruments
internationaux
dans
les
domaines
de
la
sûreté
et
la
sécurité
nucléaire,
de
la
radioprotection
et
la
gestion
des
déchets
radioactifs
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique
• Développement
des
ressources
humaines
dans
le
domaine
de
l’électronucléaire
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique+aide
de
l’AIEA
130
• Elaboration
d’études
relatives
à
la
gestion
des
déchets
radioactifs
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique
• Identification
des
potentiels
sites
d’installation
de
la
centrale
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique
• Elaboration
et
proposition
au
gouvernement
des
études
technico-‐économiques
pour
l’utilisation
de
l’énergie
nucléaire
:
sur
budget
de
la
cellule
technique
• Sensibilisation
en
vue
d’une
acceptation,
par
l’opinion
nationale,
de
l’électronucléaire
:
Sur
budget
de
la
cellule
technique
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
5
600
millions
F
CFA,
soit
100
%
;
AIEA
(subvention):
Non
encore
déterminé
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
à
déterminer
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
le
budget
de
fonctionnement
de
la
cellule
de
2011
à
2015
:
5
000
millions
F
CFA
131
Fiche
n°
53
Projet Centrale solaire de 2 MW dans la région nord de la Côte d’Ivoire
1. Orientation
:
Amélioration
de
l’accès
aux
services
énergétiques
modernes
des
populations
2. Objectifs
- renforcer
la
capacité
de
desserte
en
énergie
électrique
des
zones
du
Nord
;
-
Développer
l’électrification
rurale
dans
le
nord
du
pays
;
- Accroitre
la
part
des
énergies
renouvelable
dans
le
bilan
électrique
national
;
- Promouvoir
et
développer
les
énergies
renouvelables
;
- Renforcer
les
capacités
nationales
dans
le
domaine
de
l’énergie
solaire
photovoltaïque.
3. Description
de
la
situation
Le
taux
de
couverture
en
matière
d’électrification
faible
de
l’ordre
de
33%
en
décembre
2010.
La
Production
électrique
est
basée
exclusivement
sur
le
thermique
(75%)
et
l’hydraulique
(25%).
La
demande
d’électricité
n’est
pas
satisfaite.
La
Côte
d’Ivoire
veut
la
diversification
des
sources
de
production
d’électricité
en
développant
les
sources
alternatives
(part
des
sources
de
production
d’origine
renouvelable
de
0%).
132
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
/
Direction
des
Energies
Nouvelles
et
Renouvelables
14. Partenaires
:
CIE,
SOPIE,
IREN,
le
secteur
p
15. Coûts
prévisionnels
:
6
560
millions
F
CFA
§ Etude
:
328
000
000
F
CFA
§ Equipement
+
Installation
:
5
641
600
000
F
CFA
§ Fonctionnement
:
196
800
000
F
CFA
sur
3
ans
16. Contributions
souhaitées
:
§ Etat
CI
:
1
968
MF
CFA,
soit
30
%
§ Institutionnels
:
1
312
MF
CFA,
soit
20
%
§ Privés
locaux
:
1
640
MF
CFA,
soit
25
%
§ Privés
extérieurs
:
1
640
MF
CFA,
soit
25
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Lutter
contre
la
pauvreté
par
la
création
d’activité
génératrice
de
revenus
et
contribuer
à
réduire
les
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
budget
du
projet
133
Fiche
n°
54
1. Orientation
:
Amélioration
de
l’accès
aux
services
énergétiques
modernes
des
populations
vivant
dans
les
zones
propices
à
la
technologie
de
l’énergie
éolienne
2. Objectifs
- Développer
l’électrification
rurale
décentralisée
par
l’énergie
éolienne
;
- Accroitre
la
part
des
énergies
renouvelable
dans
le
bilan
électrique
national
;
- Promouvoir
et
développer
les
énergies
renouvelables
;
- Renforcer
les
capacités
des
agents
dans
le
domaine
de
l’énergie
éolienne
3. Description
de
la
situation
:
Taux
de
couverture
en
matière
d’électrification
faible
de
l’ordre
de
33%
en
décembre
2010.
Sources
de
production
La
demande
d’électricité
n’est
pas
satisfaite
et
la
Côte
d’Ivoire
veut
diversification
des
sources
de
production
d’électricité
pas
suffisantes
(part
des
sources
de
production
d’origine
renouvelable
de
0%).
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
§ Internes
:
limite
du
système
d’électrification
rurale
conventionnelle
du
au
coût
élevé
du
raccordement
d’une
localité
(100
à
150
millions
FCFA),
le
raccordement
des
ménages
non
compris
§ Externes
:
recours
à
une
technologie
non
disponible
sur
place
§ Métier
:
risque
lié
à
l’indisponibilité
des
équipements
de
rechange
5. Contraintes
liées
au
projet
- Inexistence
d’un
atlas
éolien
aidant
à
la
détermination
préalable
de
zones
propices
à
cette
technologie.
- Rupture
dans
le
financement
du
projet
6. Bénéficiaires
:
Population
des
localités
bénéficiaires,
conseils
généraux
des
localités
à
électrifier,
secteur
privé.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Elaboration
des
termes
de
référence
de
l’étude
d’avant
projet
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
-‐ Mise
en
place
un
partenariat
Public/privé
pour
la
mobilisation
des
fonds
;
-‐ Développement
d’une
expertise
nationale
;
-‐
Créer
et
pérenniser
un
marché
national
de
l’éolien
9. Activités
à
réaliser
-‐ Déterminer
le
site
du
projet
et
acquérir
les
données
de
vent.
-‐ Faire
les
études
de
faisabilité
-‐ Publier
et
lancer
les
appels
d’offres
-‐ Installer
les
équipements
et
faire
la
mise
en
service
-‐ Suivre
et
évaluer
le
projet
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
§ 18
mois
:
rapport
d’étude
de
faisabilité
disponible
§ 12
mois
:
rapport
de
réception
et
de
mise
en
service
de
la
centrale
éolienne
§ 6
mois
:
rapport
de
suivi-‐évaluation
du
projet
134
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
période
de
3
ans
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
/
Direction
des
Energies
Nouvelles
et
Renouvelables.
14. Partenaires
:
CIE,
SODEXAM,
IREN,
le
secteur
privé
15. Coûts
prévisionnels
:
4
000
millions
FCFA
§ Etude
:
200
millions
F
CFA
§ Equipement
+
Installation
:
3
800
millions
F
CFA
§ Fonctionnement
:
319
640
000
F
CFA
sur
3
ans
16. Contributions
souhaitées
:
§ Etat
CI
:
1
000
millions
FCFA,
soit
25
%
§ Institutionnels
:
1
200
millions
MF
CFA,
soit
30
%
§ Privés
locaux
:
1
200
millions,
soit
30
%
§ Privés
extérieurs
:
600
millions
FCFA,
soit
15
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Lutter
contre
la
pauvreté
par
la
création
d’activité
génératrice
de
revenus
et
contribuer
à
réduire
les
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
budget
du
projet
135
Fiche
n°
55
1. Orientation:
Traitement
des
ordures
ménagères,
ordures
médicales,
pneus
usagés,
biomasse
d’origine
agricole,
eaux
usées
dérivant
des
industries
pétrolières
ou
maritimes
et
production
de
la
bioénergie.
2. Objectif:
Doter
la
Côte
d’Ivoire
d’une
Unité
de
traitement
des
ordures
municipales
et
industrielles,
débarrasser
le
District
d’Abidjan
des
ordures
municipales
et
industrielles
tout
en
évitant
le
stockage
des
ordures
en
décharge,
participer
à
la
protection
de
l’environnement
urbain.
3. Description
de
la
situation
:
Pollution
généralisée
dans
toute
la
Côte
d’Ivoire
en
général.
Dans
le
District
d’Abidjan,
drame
environnemental
avec
pollution
de
la
Décharge
d’Akouedo,
la
pollution
de
la
lagune
Ebrié,
la
saturation
des
marchés
en
déchets,
la
pollution
des
plages
de
l’Océan
Atlantique.
Conséquence
:
Détérioration
de
santé
publique,
apparition
de
nouvelles
maladies
liées
à
la
pollution
de
l’eau,
de
l’air
et
du
sol
dans
le
District
d’Abidjan,
Problème
de
«
déchets
toxiques
».
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
§ Internes:.
Le
Gouvernement
devra
donc
assurer
de
façon
permanente,
prendre
des
dispositions
légales
afin
d’éviter
toute
décharge
quelque
soit
sur
toute
l’étendue
du
District.
Mener
une
campagne
de
sensibilisation
de
la
population.
§ Externes:
Apport
de
technologie
dans
le
domaine
des
énergies
renouvelables,
formation
des
cadres
ivoiriens,
participation
aux
projets
de
développement
du
District
d’Abidjan,
participation
et
appui
aux
programmes
de
développement
du
Gouverneur
du
District
d’Abidjan.
Maintenir
les
unités
en
état
de
fonctionnement.
Embaucher
le
maximum
de
femmes.
Ouvrir
une
cantine
et
mettre
un
car
de
liaison
pour
le
transport
du
personnel.
§ Métier:
241
emplois
permanents.
Un
millier
d’emplois
temporaires.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Ramassage
et
approvisionnement
réguliers
des
ordures
à
l’usine.
6. Bénéficiaires
:
Le
projet
bénéficiera
aux
ingénieurs,
techniciens,
conducteur
d’engin,
agent
de
maîtrise
et
ouvriers
sans
qualification
précise
;
toute
femme
sachant
lire
et
écrire
;
toute
personne
ayant
au
moins
18
ans
et
50
ans
au
plus
et
capable
de
travailler
sous
pression
et
devant
soulever
au
moins
10
kg
de
charge
;
handicapés
physiques.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ Travaux
:
Canada
:
MacRay
Timber
Ldt
à
Whitney,
Ontario
;
E.B.EDY
Co
à
Nairane
Center,
Ontario.
§ ETATS
UNIS
D’AMERIQUE:
Angelo
MFG
à
Jonesboro,
Arkansas
;
WI
Forest
Products
à
Thompson
Falls,.
§ Malaysie:
Tabwood
à
Sarawa.
§ Indonesie:
Goodwood
Management
à
Borneo.
§ Chili:
Asberaderos
Mininco
S.A
à
Santiago,
Métropolitaine
136
§ Activités
en
cours
:
-‐
Coopération
avec
Power
Group
Technologies
Inc
de
Hamtramck,
Michigan
;
Agrément
d’achat
d’usine
par
la
société
locale
Burns
Environnemental
&
Technologies
Ldt
à
Sri
Lanka.
8. Stratégies
de
mise
en
oeuvre
:
Conception,
Design,
Fabrication
des
équipements,
Formation
;
Cinergex
Ld.
Ingénieur
Consultant,
Permis
et
Autorisations,
Gestion
de
l’usine
:
WTEDG.
9. Activités
à
réaliser
:
§ Finalisation
financement
et
contrats
(1er
mois)
;
§ Conception,
plan
(3e
mois)
;
§ Sélection
entrepreneurs
(5e
mois)
;
§ Construction
phase
1
(14e
mois)
;
Construction
phase2
(20emois)
;
§ Mise
en
service
phase
1
(22e
mois)
;
Mise
en
service
phase2
(24e
mois).
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
Cumul
de
Cash
Flow
après
Taxes
(35%)
§ 1
an
:
14.246.266
F
CFA
§ 2
ans
:
29.262.948
F
CFA
§ 3
ans
:
45.066.897
F
CFA
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
les
travaux
de
génie
civil
du
site
du
projet
devront
commencer
en
Septembre
2011,
pour
une
durée
de
2
ans.
12. Maître
d’ouvrage
:
La
société
nord
Américaine
Waste
To
Energy
Development
Group
(WTEDG)
13. Maître
d’oeuvre
:
CINERGEX
Ldt
14. Partenaires
:
Cinergex,
Capital
Resources,
MIGA
(Banque
Mondial),
ASCOMA,
SunTrust
Bank,
CITI
Bank,
ANASUR,
ANDE,
Direction
de
Energies
Renouvelables
(MME
–
Direction
Gle
de
l’Energie)
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Total
salaire
personnel
Administration
/Usine
+
bénéfice
(4.959
Milliard
FCFA),
Dépenses
Administration
+
charge
locative
(7
millions
FCFA),
Assurance,
Légal
(750
millions
FCFA),
Maintenance
/
Pièces
de
rechanges
Usine
(12.259.593.500
FCFA),
Maintenance
turbine
(9.770.203.250
FCFA)
137
Fiche
N°
56
1. Orientation
:
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
n’a
pas
investi
dans
le
secteur
de
la
dépollution
des
sites
de
production
des
déchets,
compte
tenu
du
vide
juridique
et
institutionnel
;
Des
études
d’impact
environnemental
(EIEs)
ainsi
que
des
audits
environnementaux
n’ont
pas
conduits
qui
auraient
permis
d’imposer
à
l’industrie
du
bois
et
aux
entreprises
agro
industrielles,
le
respect
de
l’environnement
;
D’où
la
présence
des
montagnes
de
sciures
et
de
déchets
aux
abords
de
ces
installations
qui
occasionnent
de
nombreux
problèmes
environnementaux
(poussières,
pollution
des
sols,
pollution
des
eaux
de
surface
et
souterraines).
Ce
projet
vise
la
dépollution
des
sites
de
production
des
déchets
agro
industriels
par
une
technologie
de
valorisation.
Cette
technologie
de
valorisation
va
donc
non
seulement
permettre
de
recycler
les
déchets
en
assainissant
l’environnement,
mais
également
de
produire
de
la
chaleur
et
de
l’électricité.
Il
s'agit
de
l'installation
d'une
centrale
à
cogénération
(centrale
à
biomasse)
de
4MW
pour
la
production
d'électricité
et
de
chaleur.
2. Objectifs
:
- dépolluer
les
sites
- réduire
les
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre,
- éviter
la
déforestation
et
séquestrer
le
CO2,
- produire
et
distribuer
de
l’électricité
et
de
la
chaleur
à
moindre
coût
;
- créer
les
conditions
d’un
développement
durable.
3. Description
de
la
situation
:
L’industrie
du
bois,
prospère
depuis
des
années,
n’a
pas
réglé
la
problématique
de
la
pollution
chronique
dont
elle
est
la
cause.
Des
montagnes
de
déchets
de
bois
résultent
de
cette
activité.
Ces
déchets
sont
de
divers
types
allant
des
chutes
de
bois
au
niveau
des
coupes
de
troncs
d’arbres
dans
les
forêts
jusqu’aux
sciures
de
bois
s’accumulant
sur
les
sites
des
scieries.
Ces
quantités
importantes
de
sciures
et
les
autres
déchets
solides
de
bois
occupent
beaucoup
d’espace.
Les
opérateurs
sont
amenés
à
les
incinérer
de
manière
massive
avec
des
conséquences
sanitaires
et
environnementales
importantes
ainsi
que
des
risques
considérables
d’incendie.
Celles
qui
sont
stockées
depuis
des
années
génèrent
des
poussières
qui
altèrent
la
santé
des
populations
environnantes.
Risques physiques, techniques et chimiques liés à la nature des déchets
138
Risques
liés
à
l’hygiène,
à
la
santé
et
à
la
sécurité
des
personnes
;
Risques liés aux gaz à effet de serre et dangers environnementaux
- Externes
:
Besoin
d'assistance
technique
et
d'expertise
:
Afin
d’éviter
ces
risques
externes,
la
technologie
sera
mise
en
œuvre
clé
en
main
;
le
fournisseur
assurera
le
fonctionnement
pendant
au
moins
six
mois
voire
un
an
pour
s’assurer
de
l’appropriation
et
la
maîtrise
par
l’utilisateur.
- Métier
:
Les
risques
existent
dans
la
maîtrise
de
l’installation
;
Existence
de
jeunes
électromécaniciens
diplômés
de
l’Institut
INPHB
de
Yamoussoukro.
L’installation
sera
très
bien
maîtrisée
dans
la
mesure
où
elle
se
fait
avec
le
concourt
du
Bureau
National
d’Etudes
Techniques
et
de
Développement
(BNETD)
avec
lequel
ADERCI
va
signer
une
convention
de
maîtrise
d’œuvre
chargé
du
contrôle
et
suivi
des
travaux,
de
la
surveillance
environnementale
du
projet
5. Contraintes
liées
au
projet
- Barrières
administratives
- Contraintes
réglementaires
fiscales,
financières,
juridiques
et
tarifaires
fortes,
- Absence
du
produit
financier
adapté
sur
le
marché
- Coût
des
produits
financiers
trop
élevé
- Non
adhésion
des
opérateurs
privés
des
unités
agroindustrielles
et
du
public:
Institution
d’une
politique
de
d’information
et
de
communication
ciblée
- Non
adhésion
du
personnel
:
Formation
et
information
du
personnel
et
des
cadres
6. Bénéficiaires
:
Industriels
du
bois
(séchage
du
bois),
Industriels
utilisant
de
la
vapeur
et
l’électricité,
Producteurs
de
cacao
pour
le
séchage
des
fèves,
Réseau
électrique
de
CI
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ Lettre
d’intention
AND
:
réalisé
§ Documentation
phase
actuelle
:
réalisé
§ Etude
de
faisabilité
:
en
cours
§ Négociations
:
en
cours
§ Signature
de
contrats
:
en
cours
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
§ Processus
de
mise
en
place
des
projets
dans
le
secteur
;
§ Mise
en
place
d’un
cadre
administratif,
institutionnel
et
règlementaire
volontariste
;
§ Accès
aux
financements
du
secteur
;
§ Accès
au
marché
de
l’énergie
de
sources
renouvelables
;
§ Transparence
de
la
fixation
des
prix
de
l’électricité
renouvelable
;
§ Exonérations
douanières
et
fiscales
;
§ Accompagnement
technique
des
opérateurs
du
secteur.
§ Transfert
de
technologies
9. Activités
à
réaliser
:
- Recherche
et
identification
de
la
technologie
(chaudière
biomasse
et
turbine)
la
plus
performante
et
la
moins
onéreuse;
- Recherche
et
identification
du
système
de
broyage
de
la
biomasse,
du
traitement
et
du
stockage
de
l'eau,
etc.
139
- Etudes
relatives
à
la
disponibilité
et
la
sécurisation
de
la
biomasse
(bois
d'héveas,
coques
de
palme,
sciures
de
bois,
etc.);
- Etudes
relatives
au
système
de
transport
de
la
biomasse
jusqu'à
la
centrale
à
biomasse;
- Etudes
relatives
à
la
clientèle
cible;
- Démarches
relatives
au
cadre
institutionnel,
administratif
et
fiscal
(vente/achat
électricité
verte,
position
tarifaire,
exonération
du
matériel,
etc.).
- Formation
et
renforcement
des
capacités
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
- juin
2011
:
Term
sheet,
Erpa,
PDD,
Etudes,
LOA
- Février
2012
:
mise
en
place
du
financement,
arrangements
institutionnels
et
juridiques
- Décembre
2012
:
livraison
de
l’usine,
délivrance
des
crédits
carbone
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
durée
de
20
mois
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
La
responsabilité
de
la
réalisation
du
projet
incombe
au
maître
d'ouvrage
(porteur
de
projet)
que
nous
sommes;
L'unité
comprenant
la
chaudière
à
biomasse,
la
turbine
sera
réalisée
par
le
vendeur
de
la
technologie
clé
en
main.
13. Maître
d’œuvre
:
La
responsabilité
de
la
maîtrise
d'œuvre
sera
confiée
au
Bureau
National
d'Etudes
Techniques
et
de
Développement
(BNETD);
Le
BNETD
aura
sous
contrôle
l'ensemble
des
corps
d'état
(génie
civil/VRD/Assainissement,
évaluations
environnementales,
etc.)
;
Le
contrôle
de
qualité
des
installations,
le
suivi
environnemental
sera
assuré
par
le
Bureau
Veritas.
14. Partenaires
- Banques
sous
régionales
;
- Direction
Générale
de
l’Electricité
(DGE)
;
- Conseil
Général
et
Mairie
de
San
Pedro
Côte
d’Ivoire
;
- Plantations
Industrielles
d’hévéas
du
sud
ouest
;
- Direction
de
la
Production
et
des
Industries
Forestières
(DPIF)
;
- Industriels
du
secteur
du
bois
du
Sud
Ouest
;
- Société
de
développement
des
forêts
(SODEFOR)
;
- Port
Autonome
de
San
Pedro
(PASP).
- Agence
de
Développement
des
Energies
Renouvelables
en
Côte
d’ivoire
(ADERCI)
;
Contact:
Monsieur
YAO
Amani
Pascal
DGA,
Téléphone
:
00225
22422885,
Cellulaire
:
00225
08146815,
E
mail
:
bionol_ci@yahoo.fr
15. Coûts
prévisionnels
:
7
500
millions
F
CFA
(11
316
400
Euros)
§ Coût
de
développement
du
projet
:
- Visites
des
sites
industriels
:
Haut
et
Bas
Sassandra,
Fromager
:
prospection
et
caractérisation
du
potentiel
;
- détermination
des
gisements
mobilisables
;
obtention
des
différentes
autorisations
administratives
;
voyages,
négociations
avec
différents
partenaires,
TDR,
EIEs,
LOA,
relations
publiques
:
- Coût
de
développement
du
projet
:
……………………………………350
000
Euros
§ Coût
d’installation
de
la
technologie
:
- Choix
de
la
technologie
et
optimisation
de
la
technologie
choisie
;
installation
d’un
groupe
de
cogénération
de
4
MW
avec
:
Ø ingénierie
(étude)
140
Ø Raccordement
du
circuit
de
chauffage
au
groupe
de
cogénération;
Ø Raccordement
électrique
;
Ø Réseau
de
chaleur
(distribution,
sous-‐station,
raccordement);
Ø Tampon
de
stockage
si
c’est
nécessaire,
qui
permet
le
stockage
du
surplus
d’eau
chaude
lorsque
la
production
de
l’unité
de
cogénération
est
supérieure
à
la
demande
:
La
chaleur
ainsi
stockée
est
utilisée
lorsque
la
demande
est
supérieure
à
la
production
ou
encore
pendant
les
heures
d’arrêt;
Ø Récupérateur
sur
fumées;
Ø Système
de
traitement
des
fumées,
Ø Equipements
spécifiques
;
Ø construction
de
bâtiments
;
génie
civil,
logistique
et
transport
:
- Coût
des
équipements:
…………………………………………….6
000
000
Euros
§ Coût
d’obtention
du
terrain
- Plan
de
masse
;
Frais
topographe
;
délimitation
du
terrain
;
rattachement
au
plan
directeur
de
la
ville
;
dossier
technique
(montage,
extrait
topo,
coordonnées)
;
bornage
;
attributions
;
Permis
de
construire,
bâtiments
:
- Coût
d’obtention
du
terrain
:
………………………………………….
250
000
Euros
§ Coûts
des
utilités
- Voiries,
réseaux
de
desserte,
eau,
électricité,
assainissement
;
équipements
de
sécurité,
téléphone,
réglementation,
plan
de
gestion
de
l’environnement
:
- Coûts
des
utilités:
…………………………………………………….
500
000
Euros
§ Autres
coûts
(études,
matériels
roulants,
etc.):……………………
1
338
400
Euros
§ Fonds
de
roulement
2
878
000
Euros
16. Contributions
souhaitées
(estimations)
- Etat
CI
:
2
100
M
FCFA,
soit
28
%
- Institutionnels
:
1
500
M
FCFA,
soit
20
%
- Privés
locaux
:
800
M
FCFA,
soit
11
%
- Privés
extérieurs
:
3
000
M
FCFA,
soit
41
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Lutte
contre
la
pauvreté,
Contribution
à
la
reforestation
et
à
l’accès
à
l’électricité
;
Amélioration
de
la
qualité
de
vie
de
la
population
;
Réduction
des
GES
;
Réduction
des
nuisances
olfactives
et
auditives
;
Développement
durable.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Charges
récurrentes
incluses
dans
le
projet.
141
Fiche
N°
57
1. Orientation
:
Vulgarisation
de
l’utilisation
de
l’énergie
solaire
en
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif
:
Fournir
une
capacité
électrique
supplémentaire
afin
de
combler
une
bonne
partie
du
déficit
électrique
actuel
du
pays.
Tant
pour
les
particuliers
que
pour
les
industries
en
renforçant
la
capacité
actuelle
du
réseau
électrique
nationale.
3. Description
de
la
situation
:
Le
déficit
électrique
actuel
est
compris
entre
150
et
200
MW.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
préciser
hypothèses
et
calculs
Internes
:
Finalisation
des
négociations
sur
le
prix
de
cession
du
KWh
au
distributeur
d’électricité
(CIE)
/
Situation
socio
politique
et
sécuritaire
du
pays.
Externes
:
Finalisation
des
négociations
pour
la
mise
en
place
des
fonds
dits
«
verts
»
européens
et
autres
avec
les
partenaires.
Métier
:
Aucun
obstacle
du
fait
que
T.D
CONTINENTAL
S.A
dispose
de
ressources
humaines
(ingénieurs
et
techniciens)
de
qualité
pour
la
mise
en
œuvre
du
projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Confirmation
des
promesses
d’exonération
de
l’Etat
sur
les
équipements
entrant
dans
la
construction
de
la
Centrale.
6. Bénéficiaires
:
Consommateurs
d’électricité
en
général
à
travers
la
CIE
(abonnés
subissant
le
délestage)
;
villages,
centres
hospitaliers
et
tous
autres
équipements
communautaires
isolés
du
réseau
électrique
national
;
unités
industrielles
par
le
renforcement
des
capacités
de
la
CIE.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Réalisation
d’installations
tests
autonomes
de
200
volts
stable
pour
le
compte
de
particuliers.
Pour
le
projet
de
centrale
solaire
Africa
PV
CI
01,
les
différentes
études
techniques
et
de
faisabilité
sont
bouclées.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Réalisation
et
livraison
par
tranches.
Trois
(03)
tranches
successives
de
15
Mégawats
pour
une
capacité
totale
de
45
Mégawats.
9. Activités
à
réaliser
:
§ Conclure
les
différentes
négociations
Financières
et
humaines
;
§ Engager
les
négociations
pour
la
cession
du
site
devant
abriter
la
centrale
;
§ Préparer
les
commandes
de
matériels
et
équipements
;
§ Négocier
le
prix
de
cession
de
l’électricité
produite
à
la
CIE
avec
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
prévu
pour
fin
2011.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
§ 2010
:
Etude
du
projet
sur
la
supervision
par
Ingénieur/Expert
auprès
de
la
Tâche
3
(systèmes
autonomes
du
programme
photovoltaïque
de
l’Agence
Internationale
de
l’Energie)
à
Lausanne
en
SUISSE.
§ 2011
:
Mobilisation
des
ressources
financières
et
début
de
préparation
du
site
d’accueille
de
la
centrale.
§ 2012
:
Démarrage
des
travaux
et
livraison
des
trois
(03)
tranches
de
la
centrale
en
huit
(08)
mois.
142
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
;
La
durée
d’exécution
du
projet
sera
de
huit
(08)
mois
à
compter
de
la
date
de
démarrage
des
travaux
;
à
partir
de
2016.
12. Maître
d’ouvrage
:
T.D
CONTINENTAL
S.A
13. Maître
d’oeuvre
:
MondiaSolar
Suisse
14. Partenaires
:
MondiaSolar
Suisse
/
T.D
CONTINENTAL
France
/
Autres
15. Coûts
prévisionnels
:
95
000
millions
F
CFA
- Etudes
:
8
000
millions
F
CFA
- Equipements
87
000
millions
F
CFA
- Fonctionnement
annuel
:
1
800
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
- Etat
CI
:
Exonération
de
taxes
et
droits
de
douanes
sur
les
entrants,
matériels
et
équipements.
- Exemption
d’impôts
sur
une
période
de
dix
(10)
ans
;
- Institutionnels
(Banque
Mondiale,
BAD,
BOAD)
:
47
500
millions
F
CFA,
50
%
à
solliciter.
- Privés
locaux
:
19
000
millions
F
CFA,
soit
20
%
- Privés
extérieurs
:
28
500
millions
F
CFA,
soit
30
%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
Contribution
à
un
environnement
sain,
exempt
de
pollution
;
Absence
d’émission
de
gaz
à
effet
de
serre.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
1%
du
coût
du
projet
soit
900
000
000
F
CFA
143
144
CADRE INSTITUTIONNEL
145
Fiche
n°
60
Projet Code de l’énergie de la République de Côte d’Ivoire
Le
Gouvernement
estime
que
le
cadre
législatif
et
règlementaire
ainsi
que
le
cadre
institutionnel
actuel
du
secteur
de
l’énergie
ivoirien
font
face
à
des
difficultés
notamment
(i)
une
capacité
de
production
insuffisante
par
rapport
à
une
demande
croissante
;
(ii)
une
capacité
limitée
de
l’Autorité
Concédante
à
répondre
aux
besoins
d’investissements
dans
les
segments
de
la
production,
le
transport
et
de
la
distribution
;
(iii)
un
manque
d’engouement
du
146
secteur
privé
d’investir
dans
le
secteur
de
l’énergie
;
(iv)
un
manque
de
mécanisme
pérenne
pour
le
financement
de
l’électrification
rurale
;
(v)
une
promotion
insuffisante
des
énergies
nouvelles
et
renouvelables
et
de
la
maîtrise
de
l’énergie
;
(vi)
l’incapacité
du
secteur
de
l’énergie
à
contracter
des
prêts
auprès
des
bailleurs
de
fonds
;
(vii)
un
chevauchement
dans
l’application
des
attributions
des
différentes
structures
;
(viii)
et
une
absence
d’indépendance
de
la
structure
en
charge
de
la
régulation
du
secteur.
C’est
dans
ce
contexte
que
le
Gouvernement
envisage
une
revue
du
cadre
législatif,
réglementaire
et
institutionnel
du
secteur
de
l’énergie
ivoirien.
-‐
Accroître
la
capacité
de
production
pour
un
équilibre
entre
l’offre
et
la
demande
en
énergie
;
-‐ Assumer
la
pleine
capacité
par
l’Autorité
Concédante
afin
de
répondre
aux
besoins
d’investissements
dans
les
segments
de
la
production,
le
transport
et
de
la
distribution
;
-‐
Créer
un
mécanisme
pérenne
pour
le
financement
de
l’électrification
rurale
;
-‐ Développer
et
accroître
la
promotion
des
énergies
nouvelles
et
renouvelables
et
de
la
maîtrise
de
l’énergie
;
-‐ Favoriser
l’ouverture
du
secteur
de
l’énergie
aux
prêts
des
bailleurs
de
fonds
;
-‐ Clarifier
les
textes
créant
les
différentes
structures
en
précisant
leurs
attributions
pour
éviter
d’éventuels
empiètements
;
-‐ Rendre
indépendante
la
structure
en
charge
de
la
régulation
du
secteur.
Externes
:
Encourager
le
secteur
privé
à
investir
dans
le
secteur
de
l’énergie.
Métier : à déterminer
147
-‐
Recrutement
d’un
consultant
pour
faire
le
diagnostic
du
cadre
législatif,
réglementaire
et
institutionnel
existant
en
s’appuyant
sur
des
rapports
existants
notamment
le
rapport
NERA
;
-‐ Organisation
d’un
séminaire
de
validation
de
Code
de
l’Energie.
9. Activités
à
réaliser
-‐ Transmettre
le
Code
au
Gouvernement
en
tant
qu’une
mesure
d’urgence
(Ordonnance)
;
-‐ Prendre
des
décrets
et
arrêtés
d’application
;
-‐ Informer
et
sensibiliser
les
parties
concernées
par
l’application
du
Code
aux
fins
d’une
appropriation
totale.
Mise
en
route
de
la
validation
du
Code
de
l’Energie
et
de
la
mise
en
1
T0
place
des
organes
créés
T0
+
3
Séminaire
de
validation
du
Projet
de
Code
de
l’Energie.
3.5
m+1m
5 Signature du Projet de Code par le Président de la République. T0 + 4.5 m+1m
T0
+
5.5
m+5m
7
Rédaction
des
décrets
et
Arrêtés
d’application
du
Code.
Mise
en
place
des
organes
crées
par
le
Code
ainsi
que
des
8
nouveaux
organes
et
structures
suggérés.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
exécuté
sur
une
période
de
onze
mois
à
partir
de
2012
12. Maître
d’ouvrage
:
Le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
(MMPE).
13. Maître
d’œuvre
:
La
Direction
Générale
de
l’Energie.
14. Partenaires
-‐ Le
Ministère
de
l’Economie
et
des
Finances
(MEF)
;
-‐ la
Société
d’Etat
dénommée
«
Autorité
Nationale
de
Régulation
du
secteur
de
l’Electricité
»
(ANARE)
;
-‐ la
Société
d’Etat
dénommée
«
Société
de
Gestion
du
Patrimoine
du
secteur
de
l’électricité
»
(SOGEPE)
;
-‐ la
Société
d’Etat
dénommée
«
Société
d’Opération
Ivoirienne
d’Electricité
»
(SOPIE)
;
-‐ La
Compagnie
Ivoirienne
d’Electricité
(CIE).
15. Coûts
prévisionnels
:
100
millions
FCFA
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
100%
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
148
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
L’atteinte
des
objectifs
déclinés
dans
le
Code
de
l’Energie,
renforcée
par
une
lisibilité
législative
et
réglementaire
du
secteur
aura
un
effet
notable
sur
7/8
OMD,
incluant
aussi
la
sauvegarde
de
l’environnement
:
-
Objectif
1:
Réduire
l'extrême
pauvreté
et
la
faim
:
Réduire
de
moitié,
d'ici
à
2015,
la
proportion
de
la
population
dont
le
revenu
est
inférieur
à
1
dollar
par
jour.
- Objectif
2:
Assurer
l'éducation
primaire
pour
tous
:
D'ici
à
2015,
donner
à
tous
les
enfants,
garçons
et
filles,
partout
dans
le
monde,
les
moyens
d'achever
un
cycle
complet
d'études
primaires.
- Objectif
4:
Réduire
la
mortalité
des
enfants
de
moins
de
cinq
ans
:
Réduire
de
deux
tiers,
d'ici
à
2015,
le
taux
de
mortalité
des
enfants
de
moins
de
cinq
ans.
- Objectif
5:
Améliorer
la
santé
maternelle
:
Réduire
de
trois
quarts,
d'ici
à
2015,
le
taux
de
mortalité
maternelle.
- Objectif
6:
Combattre
le
VIH/sida,
le
paludisme
et
d'autres
maladies
:
D'ici
à
2015,
stopper
la
propagation
du
VIH/sida
et
commencer
à
inverser
la
tendance
actuelle.
- Objectif
7:
Assurer
un
environnement
durable
:
Intégrer
les
principes
du
développement
durable
dans
les
politiques
nationales
et
inverser
la
tendance
actuelle
à
la
déperdition
des
ressources
environnementales.
- Objectif
8:
Mettre
en
place
un
partenariat
mondial
pour
le
développement
:
Poursuivre
la
mise
en
place
d'un
système
commercial
et
financier
multilatéral
ouvert,
fondé
sur
des
règles,
prévisible
et
non
discriminatoire.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer
149
Fiche
n°
61
Projet Etude, élaboration et mise en œuvre de la loi sur l’électricité
1. Orientation
:
Réorganiser
le
cadre
légal
et
institutionnel
du
secteur
de
l’électricité
en
vue
d’en
améliorer
les
performances
2. Description
de
la
situation
- Inadaptation
loi
85-‐583
- Chevauchements
dans
les
missions
des
structures
- Insuffisance
du
contrôle
de
l’état
sur
le
domaine
concédé
-
Insuffisance
des
pouvoirs
du
régulateur
- non
respect
de
la
Planification
- Retard
dans
renouvellement
du
personnel
- Insuffisance
de
la
prise
en
compte
des
énergies
renouvelables
et
de
la
maîtrise
de
l’énergie
3. Objectifs
- optimisation
des
structures
du
secteur
de
l’électricité
- renforcement
du
rôle
du
régulateur
- lutte
contre
la
fraude,
les
vols,
actes
de
vandalisme
et
l’occupation
anarchique
sur
le
réseau
électrique
- promotion
des
énergies
renouvelables
- promotion
de
la
maîtrise
de
l’énergie
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
− Internes
:
faiblesse
des
performances
du
système
− Externes
:
insuffisance
des
investissements
extérieurs
− Métier
:
rupture
de
compétences
5. Contraintes
liées
au
projet
− Validation
du
projet
de
loi
par
l’Assemblée
Nationale
− Promulgation
par
le
Président
de
la
République.
6. Bénéficiaires
:
Secteur
de
l’électricité
/
Usagers
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Rapports
et
études
antérieurs
disponibles
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Assistance
d’un
Consultant
9. Activités
à
réaliser
− L’élaboration
des
Termes
de
Références
par
le
secteur
de
l’électricité
prenant
en
compte
:
• l’optimisation
des
structures
du
secteur
de
l’électricité
• la
lutte
contre
la
fraude,
les
vols,
actes
de
vandalisme
et
l’occupation
anarchique
sur
le
réseau
électrique
• la
promotion
des
énergies
renouvelables
• la
promotion
de
la
maîtrise
de
l’énergie
•
Renforcement
du
rôle
du
régulateur
150
− le
recrutement
du
Consultant
;
− la
réalisation
de
l’étude
et
validation
du
projet
de
loi
par
l’Assemblée
Nationale
− la
création
de
l'agence
de
la
maitrise
de
l'énergie
et
des
énergies
renouvelables
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 1
an
:
Promulgation
de
la
Loi
§ 2
ans
:
Mise
en
place
du
nouveau
cadre
institutionnel
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
l’étude
sera
réalisé
sur
une
durée
de
1
an
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
14. Partenaires
:
Bailleurs
de
fonds
institutionnels,
Organisations
régionales
15. Coûts
prévisionnels
:
2
800
millions
F
CFA
− Etude
:
350
millions
CFA
− Equipement
:
2
450
millions
CFA
16. Contributions
souhaitées
− Etat
CI
:
50
%,
soit
1
400
millions
CFA
− Institutionnels
:
50
%,
soit
1
400
millions
CFA
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
− Lutte
contre
la
pauvreté
à
travers
la
promotion
des
énergies
renouvelables
− Réduction
des
GES
à
travers
la
maîtrise
de
la
consommation
d’énergie
électrique
d’origine
thermique.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Inclus
dans
le
coût
du
projet
151
Fiche
n°
62
Projet
ETUDE
POUR
LA
GESTION
DES
EMPLOIS
ET
COMPETENCES
DU
MINISTERE
DES
MINES,
DU
PETROLE
ET
DE
L’ENERGIE
(MMPE)
- l’inadéquation
entre
la
formation
et
les
emplois.
En
effet,
le
recrutement
des
techniciens
du
secteur
(ingénieurs
et
techniciens
supérieurs
toutes
spécialités
confondues)
ne
correspond
pas
aux
emplois
et
aux
besoins
du
ministère
;
- le
déficit
notable
en
cadres
techniques,
dû
d’une
part,
au
départ
à
la
retraite
et
vers
des
secteurs
mieux
rémunérés
et
d’autre
part,
aux
cas
de
décès
et
maladies.
Il
se
pose
dès
lors
le
problème
de
renouvellement
qualitatif
et
quantitatif
du
personnel
technique
dudit
Ministère,
d’où
l’opportunité
d’une
nouvelle
étude
qui
permettra
de
faire
le
point
et
définir
les
orientations
stratégiques
à
adopter
pour
asseoir
une
véritable
politique
de
gestion
prévisionnelle
des
emplois
et
compétences.
152
- Etude
de
renforcement
de
capacités
du
secteur
de
l’électricité
en
cours,
dans
le
cadre
du
projet
Programme
d’Urgence
de
Réhabilitation
du
secteur
de
l’Electricité
(PURE).
- Etude
similaire
envisagée
dans
le
secteur
des
Mines
dans
le
cadre
d’un
don
de
la
Banque
Mondiale.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Utilisation
des
services
d’un
consultant
local
afin
de
mener
et
l’étude,
avec
l’appui
des
directeurs
de
service,
et
mise
en
œuvre
des
plans
de
formation
et
de
renforcement
de
capacités,
à
travers
des
financements
à
rechercher
(budget
de
l’Etat,
bourses
de
formation
et
dons
institutionnels
…)
9. Activités
à
réaliser
:
- Enquête
- Traitement
des
données
- Rédaction
du
rapport
d’enquête
intégrant
un
plan
de
formation
et
de
renforcement
de
capacités
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
à
déterminer
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
l’étude
sera
réalisée
sur
une
période
de
six
mois
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
la
Planification,
de
la
Documentation
et
de
la
Formation
(DGPDF)
14. Partenaires
:
Cabinet
de
consultant
local
15. Coûts
prévisionnels
:
100
millions
F
CFA
(étude)
16. Contributions
souhaitées
:
Structures
sous-‐
tutelle
:
100
millions
FCFA
soit
100
%
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
à
déterminer
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Frais
de
renforcement
des
capacités
à
prendre
en
charge
par
l’Etat
et
les
structures
sous
tutelle
(contribution
à
définir
par
les
autorités).
Bourses
de
formation
à
rechercher
également
auprès
des
partenaires
au
développement.
153
Fiche
n°
63
Projet
CREATION
D’UN
INSTITUT
DE
FORMATION
AUX
METIERS
DES
MINES,
DU
PETROLE
ET
DE
L’ENERGIE
1. Orientation
:
Doter
le
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
d’un
institut
de
formation
aux
métiers
des
mines,
du
pétrole
et
de
l’énergie.
2. Objectif
- S’approprier
la
résolution
n°
09
(renouvellement
et
renforcement
des
ressources
humaines
du
séminaire
de
Grand
Bassam
tenu
le
18
janvier
2007.
- Développer
une
politique
nationale
et
sous
régionale
de
formations
spécialisées
professionnelles,
continues
et
pratiques
à
l’endroit
des
ingénieurs,
des
techniciens
et
des
professionnels
aux
métiers
des
secteurs
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
- Utiliser
des
cadres
nationaux
en
activité
ou
à
la
retraite
comme
formateurs.
3. Description
de
la
situation
- Désintégration
des
systèmes
de
formation
(ESIE,
IIAO)
- Vieillissement
des
cadres
:
165
départs
à
la
retraite
d’ici
2015
sur
490
cadres,
soit
34
%
du
personnel
- Appauvrissement
du
capital
humain
expérimenté
et
opérationnel.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
- Internes
:
à
déterminer
- Externes
:
à
déterminer
- Métier
:
à
déterminer
5. Contraintes
liées
au
projet
:
volonté
politique
6. Bénéficiaires
:
Etat,
population,
secteur
public
et
secteur
privé
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
- Communication
en
Conseil
des
Ministres
:
Une
Communication
en
Conseil
des
Ministres
portant
création
d’un
Institut
Supérieur
de
Formation
aux
Métiers
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Electricité
a
été
signée.
- Un
arrêté
:
Un
arrêté
portant
création
d’une
structure
de
réflexion
et
de
gestion
du
projet
composée
de
:
un
comité
de
pilotage,
une
coordination
et
une
équipe
projet
composée
de
trois
commissions
techniques
(pédagogique,
infrastructure
et
juridique)
a
été
signé.
- Mission
de
prospection
:
Une
mission
de
prospection
pour
le
secteur
du
Pétrole
a
été
effectuée
dans
les
centres
de
formation
spécialisés
:
à
l’Institut
Algérien
du
Pétrole,
à
l’Institut
Français
du
Pétrole,
à
Gaz
de
France
à
Paris
et
au
Centre
de
Formation
aux
Métiers
de
Gaz
à
Nantes
- Missions
de
prospection
à
réaliser
:
Des
missions
de
prospection
pour
les
secteurs
de
l’Electricité
et
des
Mines
sont
prévues
en
France
et
au
Canada.
Comme
dans
le
secteur
des
hydrocarbures,
nous
recherchons
des
partenaires
sûrs
dans
les
instituts
de
formation
français
et
canadiens.
Ce
retard
est
essentiellement
dû
au
problème
de
prise
en
charge
des
financements
par
les
secteurs
des
154
Mines
et
de
l’Electricité.
Aujourd’hui,
un
budget
prévisionnel
du
programme
d’activité
2011
du
projet
est
adopté
par
toutes
les
sociétés
d’Etat
et
le
Ministère.
- Projet
Pilote
(Amont
Pétrolier)
:
Le
projet
pilote
aura
lieu
sur
le
site
de
Yopougon
:
Amont
Pétrolier
(exploration
forage
production).
- Etat
d’avancement
du
projet
pilote
:
v Maquette
pédagogique
des
stages
de
formation
qualifiante
élaborée
et
disponible
v Maquette
pédagogique
des
formations
diplômantes
des
cycles
«
Ingénieurs
Spécialisés
en
évaluation
des
gisements
»
et
«
Ingénieurs
Spécialisés
en
évaluation
développement
et
production
des
gisements
»
élaborée
et
disponible
v Inventaire
des
équipements
didactiques
disponible
v Répertoire
des
experts
formateurs
disponible
v Maquette
architecturale
disponible.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Assistance
d’un
Consultant
9. Activités
à
réaliser
:
- Construction
des
bâtiments
et
mise
en
place
des
infrastructures
sur
le
site
de
Yopougon
- Formation
des
formateurs
pour
l’Amont
Pétrolier
- Missions
de
prospection
pour
les
secteurs
de
l’électricité
et
des
mines
- Construction
des
bâtiments
et
mise
en
place
des
infrastructures
sur
le
site
de
Vridi
pour
les
secteurs
de
l’électricité
et
des
mines.
10. Marqueurs
de
progrès
:
Rapports
d’étape
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
le
projet
sera
réalisé
sur
une
durée
de
2
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Comité
de
pilotage
(voir
arrêté)
14. Partenaires
:
Structures
sous
tulle
du
ministère
15. Coûts
prévisionnels
:
4
600
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
Afin
d’assurer
l’autofinancement
de
l’Institut
et
son
autonomie,
il
est
envisagé
la
mise
en
place
d’une
structure
de
type
Société
Anonyme
(SA)
dont
les
actionnaires
sont
les
structures
sous
tutelle
du
Ministère
et
les
entreprises
du
secteur
privé
intéressées.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
à
déterminer
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer
155
VIABILITE FINANCIERE
156
157
Fiche
n°
62
Projet
Lutte
contre
la
fraude,
vols
et
actes
de
vandalisme
et
occupations
anarchiques
Risques internes
Fraude massive
Renouvellement
précoce
des
équipements
C=
19
milliards
de
électriques
CFA/an
Coûts
de
production
supplémentaires
importants
158
dépannage
Risques externes
9. Activités
à
réaliser
-‐ études
de
faisabilité
des
microprojets
;
-‐ recherche
de
financement
;
-‐ mise
en
œuvre
;
-‐ suivi
et
évaluation.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2
ans
:
adoption
du
code
de
l’énergie,
mise
en
place
de
la
brigade
de
lutte
contre
la
fraude
et
début
des
opérations
de
terrain
anti
fraude
§ 2
à
4
ans
:
annulation
des
permis
et
arrêtés
municipaux
sur
des
espaces
réservés,
libération
des
couloirs
électriques,
balisage
des
ouvrages
électriques,
réduction
des
cas
de
fraudes
de
70%
§ 4
à
5
ans
:
réduction
des
cas
de
fraudes
de
95%
11. Période
d’exécution
:
court
terme
et
moyen
terme
;
cette
action
devra
être
réalisée
sur
une
durée
de
5
ans
à
partir
de
2012
et
éventuellement
être
renouvelée.
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
de
l’Energie
159
14. Partenaires
-‐ Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie
;
-‐ Ministère
de
l’Economie
et
des
Finances
;
-‐ Ministère
de
la
Construction,
de
l’Urbanisme
et
de
l’Habitat
;
-‐ Ministère
de
l’Environnement,
des
Eaux
et
Forêts
-‐ Ministère
de
l’Agriculture
;
-‐ Ministère
des
Infrastructures
Economiques
;
-‐ Ministère
de
la
Justice
et
des
Droits
de
l’Homme
;
-‐ Ministère
de
l’Artisanat
et
de
la
promotion
des
PME
-‐ Ministère
de
l’Intérieur
;
-‐ Collectivités
territoriales
(UVICOCI,
ADDCI)
;
-‐ Ministère
de
l’Education
Nationale
;
-‐ Ministère
de
l’Enseignement
Technique
et
Professionnel
;
-‐ Ministère
de
la
Communication
;
-‐ Ministère
de
la
Défense
et
le
Ministère
de
l’Intérieur
;
-‐ Ministère
de
la
Justice
et
des
Droits
de
l’Homme
;
-‐ Organisations
professionnelles
(UPECI;
UGECI;
FIPME;
MPME;
ATCI;
SODECI)
;
-‐ SOPIE,
SOGEPE,
ANARE
;
-‐ CIE
;
-‐ LBTP-‐SECUREL
15. Coûts
prévisionnels
:
22
000
millions
F
CFA
Etude
:
5
000
millions
F
CFA
160
Fiche
n°
63
Projet Apurement des dettes des opérateurs privés (IPPs et Gaziers)
(150 x 8760 x 70% x 74%)/12 x 60 = 3, 4 milliards de francs CFA)
Le
Coût
économique
évalué
à
plus
de
28
milliards
de
francs
CFA
pour
l’arrêt
d’une
centrale
de
150
MW
pendant
un
mois.
(150 x 8760 x 70% x 74%)/12 x 500 = 28, 4 milliards de francs CFA).
Externes
:
Perte
de
ressources
pour
les
ventes
exports
:
environ
25
milliards
de
francs
CFA
§
pour
l’année
2010
§ Métier
:
à
déterminer
5. Contraintes
liées
au
projet
:
- Difficultés
financières
de
l’Etat
et
du
secteur
de
l’électricité
(insuffisances
des
ressources)
- Incapacité
du
secteur
a
emprunté
sur
le
marché
6. Bénéficiaires
:
Producteurs
d’électricité
et
de
gaz
dans
le
secteur
d’électricité
;
population
ivoirienne
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
- Négociations
avec
les
opérateurs
privés
pour
la
réduction
des
charges
du
secteur,
notamment
les
opérateurs
gazier
pour
la
réduction
coût
du
gaz
naturel
(plafonnement
du
prix
du
gaz)
;
161
- Prévision
de
hausse
de
hausse
tarifaire
(pour
améliorer
les
ressources
du
secteur)
non
réalisée
du
fait
de
la
crise
que
le
pays
a
traversée
;
- Réalisation
d’une
étude
tarifaire.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
- Recherche
de
financement
par
l’Etat
pour
l’apurement
de
la
dette
des
IPPs
et
de
gaziers
;
- Mise
en
place
de
fonds
revolving
chaque
trimestre
pour
soutenir
le
secteur
jusqu’à
l’équilibre.
9. Activités
à
réaliser
:
- Solliciter
l’Etat
pour
la
mise
en
place
d’un
mécanisme
de
fonds
revolving
chaque
trimestre
pour
le
financement
d’une
partie
du
déficit
du
secteur,
notamment
les
factures
des
IPPs
et
des
producteurs
gaziers
;
- Poursuivre
les
négociations
par
l’Etat
pour
le
plafonnement
de
prix
du
gaz
et
la
réduction
des
autres
charges
du
secteur
;
- Prévoir
un
ajustement
tarifaire
pour
améliorer
les
ressources
du
secteur.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
1
an
:
Apurement
de
la
dette
des
fournisseurs
d’électricité
et
de
gaz
naturel.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
la
période
nécessaire
pour
la
réalisation
du
projet
est
d’environ
douze
mois
maximum
à
compter
du
1er
juillet
2011
12. Maître
d’ouvrage
:
SOGEPE/
Etat
13. Maître
d’œuvre
:
SOGEPE/Etat
14. Partenaires
:
Etat/
Bailleurs
de
fonds
15. Coûts
prévisionnels
:
La
dette
prévisionnelle
des
IPP
et
des
opérateurs
gaziers
par
l’application
du
PARI-‐PASSU
est
estimée
à
60
000
millions
de
francs
CFA
pour
la
fin
de
l’année
2011.
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
de
CI
:
100
%
17. Gains
attendus
:
en
cours
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
à
déterminer
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Remboursement
des
échéances
si
le
financement
est
obtenu
par
emprunt
au
près
des
bailleurs.
162
Fiche
n°
64
163
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Inscrire
le
projet
«
Baisse
du
prix
du
gaz
naturel
»
parmi
les
actions
prioritaires
de
l’Etat
;
Sensibiliser
tous
les
partenaires
gaziers
(Etat,
PETROCI
et
partenaires
privés)
sur
la
nécessité
de
réduire
le
prix
du
gaz
naturel.
9. Activités
à
réaliser
:
Reprendre
les
négociations
avec
FOXTROT
;
débuter
les
négociations
avec
CNR
et
AFREN.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
§ Début
Octobre
2011
:
Reprise
des
négociations
§ Fin
Octobre
2011
:
Signature
de
l’avenant
n°4
de
FOXTROT
§ Fin
Octobre
2011
:
Signature
des
avenants
aux
contrats
avec
CNR
et
AFREN.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
Début
Septembre
2011
:
informer
les
opérateurs
gaziers
à
la
reprise
des
négociations
;
Début
2012
:
application
de
la
réduction
du
prix
du
gaz
naturel.
12. Maître
d’ouvrage
:
SOGEPE/
Etat
13. Maître
d’œuvre
:
SOGEPE/Etat
14. Partenaires
:
Etat/
AFREN/CNR/FOXTROT
15. Coûts
prévisionnels
:
en
cours
16. Contributions
souhaitées
:
en
cours
17. Gains
attendus
:
en
cours
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
en
cours
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
en
cours
164
HYDROCARBURES
165
Le
présent
document,
qui
constitue
l’annexe
du
rapport
du
secteur
des
Hydrocarbures,
présente
l’ensemble
des
fiches
techniques
des
projets
identifiés.
Leur
sélection
a
tenu
compte
des
capacités
financières
et
techniques
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire,
des
opportunités
offertes
à
travers
les
partenariats
en
cours
ou
à
venir
et
les
niveaux
de
ressources
mobilisables.
La
mise
en
œuvre
de
ces
projets
pourrait
nécessiter
la
réalisation
d’études
de
faisabilité
devant
permettre
d’affiner
les
données
techniques
et
financières.
Aussi,
les
coûts
affichés
dans
le
présent
document
sont-‐ils
donnés
à
titre
indicatif.
Le
document
comporte
47
projets
déclinés
à
partir
de
la
vision
du
développement,
des
enjeux,
des
axes
stratégiques
et
des
objectifs
spécifiques.
§ Numéro
de
la
fiche
projet
ou
micro
projet
:
c’est
un
numéro
d’ordre
permettant
un
repérage
et
une
manipulation
aisée
des
fiches
projets
§ Nom
du
projet
:
c’est
l’intitulé
ou
la
désignation
du
projet
;
§ Code
action
:
c’est
un
numéro
permettant
d’identifier
l’action
par
rapport
à
l’enjeu,
à
l’axe
stratégique,
aux
objectifs
correspondants
;
20. Orientation
:
elle
se
rapporte
à
l’objectif
de
développement
;
21. Objectif
:
il
indique
pourquoi
le
projet
est
réalise
;
22. Description
de
la
situation
:
il
s’agit
de
décrire
la
situation
qui
prévaut
actuellement
et
qui
est
à
la
base
de
la
formulation
du
projet
;
23. Coûts
des
faiblesses
:
situent
les
efforts
à
accomplir
24. Contraintes
liées
au
projet
:
quels
sont
les
facteurs
ou
les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
;
25. Bénéficiaires
:
catégorie
de
la
population
pour
laquelle
le
projet
est
entrepris
;
26. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
il
s’agit
d’indiquer
les
activités
déjà
entreprises
ou
en
cours
de
réalisation
se
rapportant
au
projet
en
question
;
27. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
c’est
l’ensemble
des
méthodes
techniques,
d’organisation
et
de
collaboration
qui
sera
utilisé
pour
mettre
en
œuvre
les
actions
;
28. Activités
à
réaliser
:
décrit
comment
le
projet
compte
atteindre
ses
objectifs.
Ce
sont
les
actions
nécessaires
à
mener
pour
réaliser
le
projet
;
29. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
mesures
qualitatives
ou
quantitatives
visant
à
un
suivi
d’un
état
à
atteindre
;
30. Période
d’exécution
:
c’est
la
période
nécessaire
pour
atteindre
les
objectifs
fixés
;
31. Maître
d’ouvrage
:
c’est
l’institution
responsable
(propriétaire)
du
projet
;
32. Maître
d’œuvre
:
c’est
l’institution
responsable
de
la
mise
en
œuvre
du
projet
;
33. Partenaires
:
ceux
sont
des
acteurs
qui
participent
diversement
à
l’exécution
du
projet,
à
des
niveaux
différents
de
responsabilité.
Cette
participation
peut
se
faire
sous
forme
financière,
sous
forme
matérielle
ou
sous
forme
d’expertise
;
166
34. Coût
prévisionnel
:
combien
va
coûter
le
projet
;
35. Contributions
souhaitées
:
c’est
l’apport
en
espèce
ou
en
nature
par
les
bénéficiaires
du
projet.
Dans
le
cas
d’un
cofinancement
extérieur,
c’est
la
décomposition
du
montant
à
financer
localement,
entre
la
Commune
et
les
bénéficiaires
du
projet
36. Gains
attendus
:
dans
le
cadre
de
projets
à
rentabilité
économique,
ils
permettent
d’apprécier
le
retour
sur
l’investissement
37. Impact
sur
les
OMD/l’environnement
:
il
s’agit
d’indiquer
comment
le
projet
contribue
à
la
mise
en
œuvre
des
objectifs
du
millénaire
pour
le
développement
(OMD)
;
mais
également
d’indiquer
les
débats
ou
les
effets
néfastes
du
projet
sur
l’environnement
38. Charges
récurrentes
:
il
s’agit
de
préciser
la
prise
en
compte
des
charges
pesant
normalement
sur
le
fonctionnement
du
projet
Les
projets
sont
déclinés
selon
les
quatre
(4)
Domaines
d’Activités
Stratégiques
(DAS)
retenus,
eux-‐
mêmes
déclinés
en
axes
stratégiques
:
Abréviations
- HC
:
Hydrocarbures
- UPSTR
:
Upstream
- MSTR
:
Midstream
- DSTR
:
Downwtream
- EXPLO
:
Exploration
- PROD
:
Production
- GN
:
Gaz
Naturel
- LOG
:
Logistique
- RAFF
:
Raffinage
- A
CC
:
Accompagnement
- CT
:
Court
Terme
- MT
:
Moyen
Terme
- LT
:
Long
Terme
167
RECAPITULATIF
DES
PROJETS
PAR
DOMAINE
D’ACTIVITES
STRATEGIQUES
(DAS)
Cumul général 7 089 750 119 643 1 .7 6 970 108 98.3
168
LISTE
DES
PROJETS
1
315
5
985
X
Exploration
Bloc
CI-‐12
6
300
(*)
2
850
7
650
X
Exploration
Bloc
CI-‐24
8
500
(*)
3
888
16
863
X
Exploration
Bloc
CI-‐100
17
750
(*)
4
1
100
20
900
X
Exploration
Bloc
CI-‐101
22
000
(*)
5
1
275
11
475
X
Exploration
Bloc
CI-‐102
12
750
(*)
6
998
18
953
X
Exploration
Bloc
CI-‐103
19
950
(*)
7
315
5
985
X
Exploration
Bloc
CI-‐104
6
300
(*)
8
1
463
27
788
X
Exploration
Bloc
CI-‐105
29
250
(*)
9
315
5
985
X
Exploration
Blocs
CI-‐110
/
CI-‐111
6
300
(*)
10
1
125
21
375
X
Exploration
Bloc
CI-‐202
22
500
(*)
11
1
250
11
250
X
Exploration
Bloc
CI-‐205
12
500
(*)
12
1
250
11
250
X
Exploration
Bloc
CI-‐206
12
500
(*)
13
1
200
22
800
X
Exploration
Bloc
CI-‐401
24
000
(*)
Sous
cumul
DAS
1
:
UpStream
/
Exploration
200
600
12
343
6.2
188
258
93.8
(*)
:
Etudes
A/D
:
A
déterminer
169
170
171
DAS/Axes
N°
Coûts
Période
réalisation
proposée
Stratégiques
fiches
Titre
du
projet
Coût
total
Part
Etat
CI
Part
autres
CT
MT
LT
Projets
(Millions
F
Millions
F
%
Millions
F
%
(2011-‐2015)
(2016-‐
2020)
(2021-‐2030)
CFA)
CFA
CFA
172
Cumul DAS N°2 : MidStream 3 940 650 -‐ -‐ 3 940 850 100.0
45
600
-‐
46
Réforme
du
cadre
légal
et
contractuel
du
secteur
des
600
hydrocarbures
47
Apurement
créance
SIR
sur
Etat
92
300
92
300
-‐
Cumul
DAS
N°4
:
Accompagnement
92
900
92
900
100.0
0.0
Cumul
Hydrocarbures
(DAS
1,
DAS
2,
DAS
3,
DAS
4)
7
089
119
1.7
6
970
98.3
750
643
108
173
174
Fiche
n°
1
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐12
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_1
1. Orientation
:
Intensifier
les
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : Accroitre la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐12
d’une
superficie
de
1
062
km²,
est
situé
en
offshore
peu
profond
(0
à
1500
m)
à
l’Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
YAM’S
PETROLEUM
LLC
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
22
Mai
2006.
L’accord
d’Association
n’a
été
signé
que
le
3
Août
2006.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
première
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Echanger
sur
le
programme
d’activités
2011
et
faire
un
suivi
des
études
géologiques
et
géophysiques
(G&G)
effectués
par
l’opérateur.
175
9. Activités
à
réaliser
:
2e
phase
:
2
ans
§ 2012-‐2014
:
Acquisition
sismique
3D
de
200
Km²
§ 2012-‐2014
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
§ 2012-‐2014
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
e
3
phase
:
2
ans
§ 2014
-‐
2016
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
§ 2014
-‐2016
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2012-‐2014
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
§ Rapport
de
EIES
§ Rapport
d’acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
3D
§ 2012-‐2014
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
§ 2014-‐2016
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
11. Période
d’exécution
:
Périodes
d’exploration
§ 1ère
phase:
3
ans
(22
Mai
2006
-‐21
Mai
2012)
avec
une
extension
de
36
mois
§ 2e
phase:
2
ans
(22
Mai
2012
–
21
Mai
2014)
§ 3e
phase:
2
ans
(22
Mai
2014
–
21
Mai
2016)
15. Coûts
prévisionnels
:
6
300
millions
F
CFA
(étude
:
12
600
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
600
000
USD
e
2
phase
6
000
000
USD
e
3
phase
6
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
630
000
USD,
soit
5
%
PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’autre
partenaire
§ Autre
partenaire
:
11
970
000
USD,
soit
95%
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
176
Fiche
n°
2
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐24
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_2
1. Orientation
:
Intensifier
les
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : Accroitre la production locale dans une période maximum de cinq (5) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐24
d’une
superficie
de
589,96
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(0
à
1000
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
EDISON
INTERNATIONAL
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
09
Septembre
2004.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
troisième
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
9. Activités
à
réaliser
:
3e
phase
optionnelle:
2
ans
§ Acquisition
de
150
km²
de
nouvelles
sismiques
3D
§ un
(1)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
ou
200
mètres
en
dessous
du
toit
de
l’Albien
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2005
:
Rapport
de
la
demande
d’avis
des
travaux
sismique
;
Rapport
de
EIES
;
Rapport
d’Acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
2D
de
1066
Km
;
Rapports
hebdomadaires
d’acquisition
sismique
;
Copie
des
rapports
d
études
et
de
synthèses
géologiques
§ 2005-‐2006
:
rapport
d’Acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
3D
de
203
Km²
;
Rapports
hebdomadaires
d’acquisition
sismique
§ 2007
:
Rapports
journaliers
sur
les
activités
de
forages
du
puits
Ariès
1
;
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
Ariès
1
;
copie
des
rapports
d’implantation
et
de
complétion
pour
chacun
des
forages
ainsi
qu’un
jeu
complet
de
diagraphies
§ 2010
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
Virgo-‐1X
;
Copie
des
rapports
d’implantation
et
de
complétion
pour
chacun
des
forages
ainsi
qu’un
jeu
complet
de
diagraphies
;
Une
portion
représentative
des
carottes
et
des
déblais
de
forage
prélevés
dans
chaque
puits
ainsi
que
des
échantillons
des
fluides
produits
pendant
les
tests
ou
essais
de
production
178
14. Partenaires
:
EDISON
INTERNATIONAL
(36,25%),
KUFPEC
OIL
(33,75%),
SVENSKA
(20%),
PETROCI
(10%)
15. Coûts
prévisionnels
:
8
500
millions
F
CFA
(Etude
:
17
000
000
USD
sur
les
3
périodes)
Avant
toute
opération
d’exploitation,
l’opérateur
devrait
obtenir
une
autorisation
d’évaluation
du
prospect
Virgo.
1ère
phase
2
500
000
USD
2e
phase
optionnelle
7
000
000
USD
e
3
phase
optionnelle
7
500
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
1
700
000
USD
soit
10%
§ Autres
partenaire
15
300
000
USD
soit
90%
o EDISON
INTERNATIONAL
(36,25%)
o KUFPEC
OIL
(33,75%)
o SVENSKA
(20%)
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
179
Fiche
n°
3
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐100
Code
action
HC_UPST/EXPLO/CT_3
1. Orientation
:
Intensifier
les
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : Accroitre la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐100
d’une
superficie
de
1908
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(1800
à
3000
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire
et
jouxte
la
frontière
ghanéenne.
Il
a
été
attribué
à
YAM’S
PETROLEUM
LLC
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
23
janvier
2006.
En
2010,
après
un
accord
signé
avec
YAM’S
Petroleum,
TOTAL
Exploration
Production
Côte
d’Ivoire
devient
l’opérateur
du
bloc
CI-‐100.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
première
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Echanger
sur
le
programme
d’activités
2011
et
faire
un
suivi
des
études
géologiques
et
géophysiques
(G&G)
effectués
par
l’opérateur.
180
9. Activités
à
réaliser
:
2e
phase
:
2
ans
§ 2011-‐2012
:
Acquisition
sismique
3D
de
350
Km²
§ 2012
:
1
forage
d’exploration
(enfouissement
1
500
m
minimum).
§ 2012
:
cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
e
3
phase
:
2
ans
§ Etudes
G&G
§ 1
forage
d’exploration
(enfouissement
1
500
m
minimum).
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2011
:
Rapport
de
la
Demande
d’avis
des
travaux
sismique
;
Rapport
de
EIES
;
Rapport
d’acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
3D
(1
145
km²)
§ 2012
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
11. Période
d’exécution
§ 1ère
phase:
3
ans
(23
Janvier
2006
-‐22
Janvier
2012)
avec
une
extension
de
36
mois
§ 2e
phase:
2
ans
(22
janvier
2012
–
21
janvier
2014)
§ 3e
phase:
2
ans
(22
Janvier
2014
–
21
Janvier
2016)
15. Coûts
prévisionnels
:
17
750
millions
F
CFA
(Etude
:
35
500
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
2
000
000
USD
e
2
phase
18
500
000
USD
3e
phase
15
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
1
775
000
USD,
soit
5
%
§ PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’autre
partenaire
§ Autre
partenaire
:
33
725
000
USD,
soit
95%
o TOTAL
(60%),
o YAM’S
PETROLEUM
(25%),
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
181
Fiche
n°
4
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐101
Code
action
HC_UPST/EXPLO/CT_4
1. Orientation
:
Intensifier
les
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : Accroitre la production locale dans une période maximum de 6 ans ½.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐101
d’une
superficie
de
2398
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(500
à
3000
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
VANCO
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
30
Septembre
2005.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
seconde
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
liés
au
projet.
2e
phase
:
2
ans
§ Acquisition
de
500
km²
de
données
sismiques
3D
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
§ Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
Obligations
remplies
:
182
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Echanger
sur
le
programme
d’activités
2011
et
faire
un
suivi
des
études
géologiques
et
géophysiques
(G&G)
effectués
par
l’opérateur.
9. Activités
à
réaliser
:
3e
phase
:
1
an
½
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2
500m
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2006
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
;
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
(EIES)
;
Rapport
d’acquisition
et
de
traitement
des
données
sismiques
3D
§ 2009:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
;
Rapport
d’acquisition
et
de
traitement
des
données
sismiques
3D
§ 2012
:
Rapport
de
forage
d’exploration
15. Coûts
prévisionnels
:
22
000
millions
F
CFA
(Etude
:
44
000
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
4
000
000
USD
e
2
phase
20
000
000
USD
3e
phase
20
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
2
200
000
USD,
soit
5
%
§ PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’autre
partenaire
§ Autre
partenaire
:
41
800
000
USD,
soit
95%
o VANCO
(28,34%),
o LUKOIL
(56,66%),
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
183
Fiche
n°
5
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐102
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_5
1. Orientation
:
L’intensification
des
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de 5 ans ½.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐102
d’une
superficie
de
861
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(0
à
1000
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
EDISON
INTERNATIONAL
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
09
Décembre
2007.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
seconde
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
Cas
de
renonciation
ou
de
résiliation
du
CPP
- A
l’expiration,
ou
en
cas
de
renonciation
ou
de
résiliation
du
présent
contrat,
les
documents
originaux
et
échantillons
relatifs
aux
opérations
pétrolières,
y
compris
en
cas
de
demande,
les
bandes
magnétiques
seront
remis
au
gouvernement
Acquisitions
sismiques
2D/3D:
-‐ Les
conditions
atmosphériques
(liées
aux
mouvements
du
vent)
étant
néfastes
pendant
les
trois
premiers
trimestres
sur
nos
côtes
engendrent
beaucoup
de
temps
morts,
donc
des
surcoûts
pour
l’acquisition
des
données
sismiques.
Forages
:
-‐ Les
rigs
de
forages
doivent
être
sécurisés
dans
les
meilleurs
délais
pour
respecter
les
programmes
d’exécution
des
travaux
de
forages
planifiés.
2008 -‐2009 : Achat et Retraitement de 617 km² de données sismiques 3D existantes
184
2008
-‐2009
:
Etudes
géologiques
et
géophysiques
;
Etudes
PSDM
dans
la
zone
du
trou
sans
fond
2009-‐2010
:
Etudes
biostratigraphiques
de
puits
(A-‐6X,
C1-‐9X
et
D1-‐1X)
2010
:
Etudes
de
Modélisation
du
système
pétrolier
Obligations
en
cours
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
de
la
région
delimitée
Notification
de
l’entrée
dans
la
deuxième
période
?
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Echanger
sur
le
programme
d’activités
2011
et
faire
un
suivi
des
études
géologiques
et
géophysiques
(G&G)
effectués
par
l’opérateur.
9. Activités
à
réaliser
:
2e
phase
:
2
ans
§ un
(1)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
ou
200
metres
en
dessous
du
toit
de
l’Albien
§ Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
e
3
phase
:
2
ans
§ Deux
(2)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
ou
200
metres
en
dessous
du
toit
de
l’Albien.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2000-‐2010
:
rapport
d’études
biostratigraphiques
des
puits
A-‐6X,
C1-‐9X
et
D1-‐1X
2008
-‐2009
:
rapport
d’études
géologiques
et
géophysiques
2010
:
rapport
d’études
de
Modélisation
du
système
pétrolier
14. Partenaires : EDISON INTERNATIONAL (31, 5%), TULLOW OIL (31,5%), KUFPEC (27%), PETROCI (10%)
15. Coûts
prévisionnels
:
12
750
millions
F
CFA
(Etude
:
25
500
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
1
500
000
USD
ferme
(8
000
000
USD
optionnel)
2e
phase
optionnelle
8
000
000
USD
e
3
phase
optionnelle
16
000
000
USD
185
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
2
550
000
USD,
soit
10
%
PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
les
autres
partenaires
§ Autres
partenaires
:
22
950
000
USD,
soit
90%
o EDISON
INTERNATIONAL
(31,
5%),
o TULLOW
OIL
(31,5%),
o KUFPEC
(27%),
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
186
Fiche
n°
6
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐103
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_6
1. Orientation
:
L’intensification
des
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de 5 ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐103
d’une
superficie
de
1883,67
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(500
à
3000
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
TULLOW
OIL
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
05
Avril
2007.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
seconde
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
Acquisitions
sismiques
2D/3D:
-‐ Les
conditions
atmosphériques
(liées
aux
mouvements
du
vent)
étant
néfastes
pendant
les
trois
premiers
trimestres
sur
nos
côtes
engendrent
beaucoup
de
temps
morts,
donc
des
surcoûts
pour
l’acquisition
des
données
sismiques.
Forages
:
-‐ Les
rigs
de
forages
doivent
être
sécurisés
dans
les
meilleurs
délais
pour
respecter
les
programmes
d’exécution
des
travaux
de
forages
planifiés.
2007
:
Achat
et
Retraitement
de
917
km²
de
données
sismiques
3D
existantes
:
Acquisition
sismique
3D
de
600
km²
:
Retraitement
PSDM
de
600
km²
de
données
sismiques
3D
187
2e
phase
:
2
ans
§ Acquisition
de
400
km²
de
données
sismiques
3D
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
ou
200
metres
en
dessous
du
toit
de
l’Albien.
§ Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
Obligations
remplies
:
2010
:
Acquisition
sismique
3D
de
1100
km²
:
Traitement
de
2200
km²
de
PSTM
et
PSDM
9. Activités
à
réaliser
:
3e
phase
:
1
an
½
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
ou
200
metres
en
dessous
du
toit
de
l’Albien.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2007
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
(EIES)
188
15. Coûts
prévisionnels
:
19
950
millions
F
CFA
(Etude
:
39
900
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
6
400
000
USD
2e
phase
18
500
000
USD
e
3
phase
15
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
1
995
000
soit
5%
PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
les
autres
partenaires
§ Autres
partenaires
:
37
905
000
USD,
soit
95%
o TULLOW
OIL
(45%),
o ANADARKO
(40%),
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
189
Fiche
n°
7
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐104
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_7
1. Orientation
:
L’intensification
des
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐104
d’une
superficie
de
1
092
km²,
est
situé
en
offshore
peu
profond
(0
à
200
m)
à
l’Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
YAM’S
PETROLEUM
LLC
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
22
Mai
2006.
L’accord
d’Association
n’a
été
signé
que
le
3
Août
2006.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
première
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
Obligations
remplies
:
2006
:
Etudes
Géologiques
et
géophysiques
2010
:
Achat
de
1339
km
de
sismique
2D
et
561
km²
de
sismique
3D
Obligations
en
cours
:
2011
:
retraitement
de
1339
km
de
sismique
2D
et
561
km²
de
sismique
3D
190
9. Activités
à
réaliser
:
2e
phase
:
2
ans
§ 2012-‐2014
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
§ 2012-‐2014
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
e
3
phase
:
2
ans
§ 2014
-‐
2016
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
§ 2014
-‐2016
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2012-‐2014
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
Rapport
de
EIES
Rapport
d’acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
3D
2012-‐2014
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
2014-‐2016
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
15. Coûts
prévisionnels
:
6
300
millions
F
CFA
(Etude
:
12
600
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
600
000
USD
e
2
phase
6
000
000
USD
e
3
phase
6
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
630
000
USD,
soit
5
%
PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’autre
partenaire
§ Autre
partenaire
:
11
970
000
USD,
soit
95%
o YAM’S
PETROLEUM
(85%)
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
191
Fiche
n°
8
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐105
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_8
1. Orientation
:
L’intensification
des
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐105
d’une
superficie
de
1
551,4
km²,
est
situé
en
offshore
peu
profond
(0
à
200
m)
à
l’Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
Al
Thani
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
17
Mars
2006.
En
Août
2009,
après
un
accord
signé
avec
Al
Thani,
ANADARKO
Petroleum
Corporation
(APC)
devient
l’opérateur
du
bloc
CI-‐105.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
seconde
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
Forages
:
-‐ Les
rigs
de
forages
doivent
être
sécurisés
dans
les
meilleurs
délais
pour
respecter
les
programmes
d’exécution
des
travaux
de
forages
planifiés.
192
Obligations
remplies
:
2010
:
Acquisition
de
1171
km²
de
sismique
3D
Retraitement
PSDM
Etude
post
forage
de
South
Grand
Lahou-‐1X
Obligations
en
cours
:
2011
:
Forage
d’un
(1)
puits
d’exploration
193
Fiche
n°
9
Projet
Exploration
du
Bloc
CI-‐110
et
CI-‐111
Code
action
HC_UPSTR/EXPLO/CT_9
1. Orientation
:
L’intensification
des
activités
de
recherche
et
d’exploration
dans
le
bassin
sédimentaire
de
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Les
blocs
CI-‐110
et
CI-‐111
d’une
superficie
respective
de
1
557
km²
et
2
103
km²,
sont
situés
en
offshore
(0
à
1
000
m
pour
CI-‐110
et
0
à
500
m
pour
CI-‐111)
à
l’Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
Ils
ont
été
attribués
à
YAM’S
PETROLEUM
LLC
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
23
janvier
2006.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
première
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
194
9. Activités
à
réaliser
:
2e
phase
:
2
ans
§ 2012-‐2014
:
Acquisition
sismique
3D
de
200
Km²
§ 2012-‐2014
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
§ 2012-‐2014
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
e
3
phase
:
2
ans
§ 2014
-‐
2016
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale.
§ 2014
-‐2016
:
01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2012-‐2014
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
Rapport
de
EIES
Rapport
d’acquisition
de
nouvelles
données
sismiques
3D
2012-‐2014
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
2014-‐2016
:
Rapports
de
Forage
du
puits
d’exploration
11. Période
d’exécution
Périodes
d’exploration
:
1ère
phase:
3
ans
(23
Janvier
2006
-‐22
Janvier
2012)
avec
une
extension
de
36
mois
2e
phase:
2
ans
(22
janvier
2012
–
21
janvier
2014)
3e
phase:
2
ans
(22
Janvier
2014
–
21
Janvier
2016)
15. Coûts
prévisionnels
:
6
300
millions
F
CFA
(Etude
:
12
600
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
600
000
USD
e
2
phase
6
000
000
USD
3e
phase
6
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
630
000
USD,
soit
5
%
(PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’autre
partenaire)
§ Autre
partenaire
:
11
970
000
USD,
soit
95%
(YAM’S
PETROLEUM
(85%))
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
195
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de six (6) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐202
d’une
superficie
de
675
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(0
à
200
m)
à
l’Est
de
la
Côte
d’Ivoire.
Il
a
été
attribué
à
C&L
NATURAL
RESOURCES
(Opérateur)
et
PETROCI,
le
10
Mai
2006.
En
Décembre
2010,
Rialto
a
conclu
un
accord
avec
les
actionnaires
de
CLNR
d'augmenter
ses
fonds
propres
à
85%.
A
ce
jour,
les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
première
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
196
Obligations
remplies
:
2010:
Retraitement
de
300
Km²
de
données
sismiques
3D;
9. Activités
à
réaliser
:
2ème
phase
:
1
an
½
§ Acquisition
de
300
km²
de
données
sismiques
3D
§ Un
(1)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
§ Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
de
la
région
délimitée
3e
phase
:
1
an
½
§ Acquisition
de
200
km²
de
nouvelles
sismiques
3D
§ Un
(1)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2005
:
Rapport
de
retraitement
sismique
3D
197
15. Coûts
prévisionnels
:
22
500
millions
F
CFA
(Etude
:
45
000
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
15
000
000
USD
(15
000
000
optionnel)
2e
phase
15
000
000
USD
e
3
phase
15
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
2
250
000
soit
5%
(PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
les
autres
partenaires)
§ Autres
partenaires
:
42
750
000
USD…,
soit
95
%
(C&L
NATURAL
RESOURCES
(85%))
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
198
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
3. Description
de
la
situation
:
Le
bloc
CI-‐205
d’une
superficie
de
1922
km²,
est
situé
en
eau
profonde
(2000
à
3000
m)
à
l’Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
Depuis
de
2001,
ORANTO
était
opérateur
sur
le
bloc
jusqu’au
20
Juillet
2005
où
Il
signa
un
accord
avec
LUKOIL
qui
devient
le
nouvel
opérateur
du
bloc
CI-‐205.
Les
travaux
contractuels
issus
du
CPP
se
situent
dans
la
deuxième
phase
d’Exploration.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
2e
phase
:
2
ans
½
§ 01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
§ Cession
de
surface
25%
199
Obligations
en
cours
:
15. Coûts
prévisionnels
:
12
500
F
CFA
(Etude
:
25
000
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
5
000
000
USD
2e
phase
10
000
000
USD
e
3
phase
10
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
2
500
000
USD
,
soit
10
%
PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
l’opérateur
§ Autres
partenaires
:
22
500
000
USD,
soit
90%
o LUKOIL
(63%),
o ORANTO
(27%).
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
déterminer.
200
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de sept (7) ans.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
2e
phase
:
2
ans
½
§ 01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
§ Cession
de
surface
25%
201
8. Activités
à
réaliser
:
3e
phase
:
2
ans
½
§ 01
forage
d’exploration
(enfouissement
1500
m
minimum).
202
2. Objectif : L’accroissement de la production locale dans une période maximum de 6 ans ½.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Se
rapprocher
de
l’opérateur
afin
d’obtenir
les
risques
éventuels
lié
au
projet.
2005
:
Achat
et
Retraitement
de
2533
km
de
données
sismiques
2D
existantes
:
Acquisition
sismique
2D
de
500
km
:
Acquisition
sismique
3D
de
400
km²
2010
:
Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
de
1239
km²
soit
627,89
km²
203
2e
phase
:
2
ans
§ Acquisition
de
150
km²
de
données
sismiques
3D
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
§ Cession
de
25%
de
la
surface
initiale
Obligations
remplies
:
2010
:
Acquisition
sismique
3D
de
500
km²
2010
:
Forage
du
puits
Orca-‐1X,
9. Activités
à
réaliser
:
3e
phase
:
1
an
½
§ Un
(01)
forage
d’exploration
jusqu'à
une
profondeur
minimale
de
2500m
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2006
:
Rapport
de
la
Demande
d’Avis
des
travaux
sismiques
Rapport
de
l’étude
d’impact
environnemental
(EIES)
204
15. Coûts
prévisionnels
:
24
000
millions
F
CFA
(Etude
:
48
000
000
USD
sur
les
3
périodes)
1ère
phase
8
000
000
USD
2e
phase
20
000
000
USD
e
3
phase
20
000
000
USD
16. Contributions
souhaitées
§ Etat
CI
(PETROCI)
:
2
400
000
USD
soit
5%
(PETROCI
est
portée
à
hauteur
de
10%
par
les
autres
partenaires)
§ Autres
partenaires
:
45
600
000
USD,
soit
95%
(VANCO
(28,34%),
LUKOIL
(56,66%))
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
à
déterminer.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
préciser
205
21. Objectif
§ Maintenir
la
production
actuelle
du
champ
et
assurer
la
longévité
de
l’exploitation.
§ Intervenir
sur
les
différents
puits
du
champ
qui
ont
été
endommagés
par
la
venue
de
sable
afin
de
les
réhabiliter
et
les
remettre
en
production.
§ Avoir
une
connaissance
plus
approfondie
des
causes
d’échec
des
puits
précédent
pour
une
meilleur
conception
des
forages
et
complétion
de
la
phase
III
plus
importante
en
termes
d’investissement
et
de
volume
de
travail.
25. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
§ CNR,
PETROCI,
SVENSKA.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
206
32. Maître d’œuvre : La compagnie de service en charge des opérations (A sélectionner)
34. Coûts prévisionnels : 250 000 millions F CFA (500 millions de Dollars US)
207
6. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
§ CNR,
PETROCI,
SVENSKA.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
208
8. Stratégies de mise en œuvre : Sera clarifier après la phase II ½.
13. Maître d’œuvre : La compagnie de service en charge des forages (A sélectionner)
15. Coûts prévisionnels : 1 000 000 F CFA (1 000 à 2 000 Millions de Dollars US)
18. Impact sur les ODM/Environnement : Contribution à la fourniture d’énergie nationale.
209
2. Objectif
§ Forer
de
nouveaux
puits
de
production
dans
les
zones
mal
drainée
ainsi
que
des
puits
d’injection
d’eau.
§ Intervenir
sur
les
puits
défaillants
(workover)
afin
de
les
réhabiliter.
§ Développer
simultanément
le
prospect
Etimoe.
L’option
d’une
nouvelle
plate-‐forme
de
production
n’est
pas
écartée.
6. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
§ CNR,
PETROCI,
TULLOW.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ Phase
I
de
développement
;
§ Phase
II
de
développement
;
§ En
cours
:
travaux
préparatoires
à
la
phase
III.
210
9. Activités
à
réaliser
:
§ Construction
de
nouvelles
caves
de
forage
;
§ Forage
et
complétion
de
nouveaux
puits
;
§ Intervention
(workover)
sur
des
anciens
puits.
13. Maître d’œuvre : La compagnie de service en charge des forages (A sélectionner)
15. Coûts prévisionnels : 140 000 millions F CFA (400 Millions de Dollars US pour la Tranche 1.
18. Impact sur les ODM/Environnement : Contribution à la fourniture d’énergie nationale.
211
2. Objectif : Développer les champs Kudu et Eland du bloc CI-‐01.
5. Contraintes liées au projet : Existence d’un marché de gaz naturel.
6. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
§ AFREN,
PETROCI,
SK
CORPORATION.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
7. Actions antérieures ou en cours : Etudes géosciences et forages d’exploration.
9. Activités
à
réaliser
:
§ Forage
de
puits
;
§ Construction
et
installation
de
plates-‐formes
;
§ Pose
de
pipelines.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
A
spécifier
en
cas
de
débouché
pour
le
gaz
naturel.
212
11. Période d’exécution : Période non spécifiée (durée du projet : 2 ans).
13. Maître d’œuvre : Les compagnies de service en charge de opérations (à sélectionner).
18. Impact sur les ODM/Environnement : Contribution à la fourniture d’énergie nationale.
213
2. Objectif : Développer les champs Mahi, Foxtrot, Marlin et Manta du bloc CI-‐27.
6. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
§ FOXTROT,
PETROCI,
SECI,
ENERCI.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
214
9. Activités
à
réaliser
:
§ Forage
et
complétion
de
puits
;
§ Construction
et
installation
de
plates-‐formes
;
§ Pose
de
pipelines.
13. Maître d’œuvre : Les compagnies de service en charge des travaux (à sélectionner)
18. Impact sur les ODM/Environnement : Contribution à la fourniture d’énergie nationale.
215
6. Bénéficiaires
§ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
§ RIALTO,
PETROCI,
C&L.
§ Marché
mondial
des
hydrocarbures
;
§ Marché
ivoirien
de
gaz
naturel.
7. Actions antérieures ou en cours : Etudes géosciences et forages d’exploration.
216
9. Activités
à
réaliser
:
§ Forage
et
complétion
de
;
§ Construction
et
installation
de
plates-‐formes
;
§ Pose
de
pipelines.
10. Marqueurs de progrès (indicateur) : 2012 : Forage des puits de Gazelle ;
13. Maître d’œuvre : Les compagnies de service en charge des opérations (à sélectionner).
15. Coûts
prévisionnels
:
82
600
millions
F
CFA
(165.2
millions
USD)
§ Forage
et
complétion
de
deux
(2)
puits
de
gazelle
:
54.4
millions
USD
;
§ Plate-‐forme
de
gazelle
:
110.8
millions
de
USD
;
18. Impact sur les ODM/Environnement : Contribution à la fourniture d’énergie nationale.
217
2. Objectif : Sécuriser l’approvisionnement à moindre coût du marché national en gaz naturel
6. Bénéficiaires : Secteurs électrique, industriel, tertiaire, et domestique, marché du gaz ivoirien
La
signature
d’un
protocole
d’accord
entre
SAIPEM
et
PETROCI
afin
de
déterminer
les
principaux
termes
du
cadre
de
collaboration
pour
la
réalisation
du
Projet
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Partenariat
Privé
Publique
entre
PETROCI
et
des
Partenaire
Privés
regroupé
au
sein
d’une
société
gazière
opérant
dans
le
cadre
d’une
concession
avec
l’Etat
ivoirien.
9. Activités
à
réaliser
:
• La
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
pour
la
construction
du
Gazoduc
Est
• La
négociation
d’un
protocole
d’accord
entre
SAIPEM
et
PETROCI
HOLDING
afin
de
déterminer
les
termes
de
références
de
l’étude
de
faisabilité
du
Projet.
• L’actualisation
et
la
validation
des
plans
de
développement
des
blocs
CI-‐01
et
CI-‐202.
• La
levée
de
fonds
auprès
des
institutions
financières
internationale,
pour
le
financement
global
du
Projet.
218
17.Contributions
souhaitées
§ A
déterminer
après
l’étude
de
faisabilité.
219
2. Objectif
:
Sécuriser
l’approvisionnement
à
moindre
coût
du
marché
national
en
Gaz
Naturel
à
travers
l’interconnexion
des
réserves
de
la
sous
région.
3. Description
de
la
situation
:
Interconnexion
au
Gazoduc
Ouest
Africain
(GOA
ou
WAGP).
A
ce
jour
Le
Gazoduc
marin
d’environ
700
km
part
du
Nigéria
et
arrive
au
Ghana
à
Takoradi.
Le
tronçon
à
réaliser
pour
son
extension
en
Côte
d’Ivoire
est
d’environ
300
km.
5. Contraintes liées au projet : Impact environnemental et social en phase de construction
6. Bénéficiaires : Etat de Côte d’Ivoire, Sociétés électriques et industrielles ivoiriennes
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Lettre
d’intention
d’adhésion
de
la
Côte
d’Ivoire
au
projet
GOA
adressée
au
Secrétariat
Général
de
la
CEDEAO,
Visite
de
la
société
de
transport
inter
état
WAGPCo
à
Accra;
Convention
d’assistance
en
financement
et
intermédiation
avec
un
cabinet
privé
(PCM).
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Négocier
l’entrée
de
la
Côte
d’Ivoire
dans
le
projet
du
GAO
afin
de
bénéficier
des
mêmes
avantages
que
les
fondateurs.
9. Activités
à
réaliser
:
Etude
de
faisabilité
technico
économique,
signature
des
différents
contrats
commerciaux
(achat
de
gaz
avec
NGAS,
transport
et
interconnexion
avec
WAGPCo).
220
221
222
2. Objectif : Sécuriser l’approvisionnement à moindre coût du marché national en gaz naturel.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Contrat
de
type
«
take
or
pay
»
6. Bénéficiaires
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
et
sous
région,
entreprises
de
production,
de
transport
et
distribution
de
gaz
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
lancement
de
l’Appel
à
Manifestation
d’intérêt.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
répartir
le
marché
national
9. Activités
à
réaliser
:
Prendre
contact
avec
les
différents
acteurs
nationaux
et
établir
un
planning
des
séances
de
travail
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2012
:
Etudes
(faisabilité
technico-‐économiques,
ingénierie,
impact
environnemental
et
social)
§ 2013
:
Construction
et
mise
en
service
11. Période
d’exécution
:
2012
-‐
2013
12. Maître
d’ouvrage
:
PETROCI
&
SAPIEM
13. Maître
d’œuvre
:
SAPIEM
14. Partenaires
:
Tous
les
producteurs,
de
transport
et
distribution
15. Coûts
prévisionnels
:
225
000
millions
F
CFA
§ Etude
:
6
750
millions
F
CFA
§ Equipement
:
112
500
millions
F
CFA
§ Travaux
:
105
750
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
A
déterminer
après
l’étude
de
faisabilité
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
non
identifiés
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
RIALTO,
PETROCI,
C&L.
223
2. Objectif
§ Protéger
l’environnement
en
limitant
les
pollutions
atmosphériques
et
sonores
§ Valoriser
le
potentiel
gazier
Ivoirien
§ Valoriser
le
transport
public
en
réduisant
les
coûts
d’exploitation
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Absence
d’un
cadre
règlementaire
et
normatif
propre
à
la
Côte
d’Ivoire
et
Impossibilité
financière
pour
la
SOTRA
d’honorer
ses
engagements
contractuels
9. Activités
à
réaliser
:
§ Réception
des
deux
derniers
bus
à
Abidjan
§ Rebranding
des
deux
derniers
bus
§ Installation
du
comité
de
suivi
224
16. Contributions souhaitées : Etat CI : (PETROCI) 700 Millions F CFA, soit 100 %
18. Impact sur les ODM/Environnement : Réduction de la pollution atmosphérique et sonore
225
2. Objectif
:
Développer
le
réseau
de
distribution
du
gaz
naturel
par
l’utilisation
du
gaz
porté
pour
:
§ Approvisionner
les
usines,
les
centres
industriels,
tertiaires
et
résidentiels
non
desservis
par
le
réseau
§ Pénétrer
le
territoire
jusqu’à
400
km
§ Développer
des
applications
du
gaz
naturel
grâce
à
une
pénétration
de
gaz
porté
§ Libérer
les
GPL
pour
le
secteur
résidentiel
à
l’intérieur
du
pays
§ Préparer
à
une
distribution
par
réseau
de
canalisations
dans
les
meilleures
conditions
opérationnelles
de
sécurité
et
de
rentabilité
durable
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Cadre
réglementaire,
institutionnelle
et
législatif
pour
le
transport
et
la
distribution
du
gaz
naturel
6. Bénéficiaires : Etat de Côte d’Ivoire ou PETROCI, Secteurs industriels, tertiaires et résidentiel
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Etudes
préliminaires
et
prises
de
contact
avec
les
partenaires
et
fournisseurs
potentiels
226
9. Activités
à
réaliser
:
§ Délimitation
de
la
zone
pilote
§ Etude
d’ingénierie,
étude
d’impact
environnemental
et
social
§ Construction
des
installations
:
livraison
du
gaz,
station
de
compression,
déchargement,
stockage
et
conditionnement
du
gaz
§ Achat
des
équipements
de
transport
du
gaz
comprimé
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2012:
Projet
Pilote
:
Etudes
(faisabilité
technico-‐économiques,
ingénierie,
impact
environnemental
et
social),
approvisionnement
en
matériel
et
équipement,
travaux
et
mise
en
service
§ 2013
:
Distribution
pilote
à
quelques
collectivités
regroupant
habitat
–
infrastructures
collectives
(hôpitaux,
écoles,
etc..)
et
entreprises
artisanales,
et
génération
associée
d’électricité
pour
mini
réseaux
électriques
isolés
et
Amorçage
de
la
distribution
à
San
Pedro
227
3. Description
de
la
situation
:
Ce
projet
consiste
à
la
mise
en
place
des
infrastructures
d’un
réseau
de
distribution
de
gaz
naturel
en
vue
d’approvisionner
la
zone
industrielle
de
Yopougon
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Démarcher
plusieurs
prospects
dans
les
zones
d’extension
et
proposer
un
préfinancement
PETROCI
pour
la
conversion
de
leurs
unités.
9. Activités
à
réaliser
:
o Acquisition
de
station
de
traitement
de
gaz
o Aménagement
et
agencement
du
poste
source
o Travaux
de
construction
du
réseau
o Poste
de
livraison
CIE
du
poste
source
o Essais,
contrôle
et
mise
en
gaz
du
réseau
2. Objectif : Assurer la qualité du gaz naturel distribué et maximiser la production nationale de GPL
3. Description
de
la
situation
:
Les
flux
de
gaz
naturel
transporté
dans
les
canalisations
qui
traverse
la
péninsule
de
Jacqueville
font
l’objet
d’un
traitement
sommaire
sur
plateforme,
seuls
les
flux
d’AFREN
et
de
CNR
font
l’objet
d’un
traitement
approprié
après
leur
passage
dans
l’unité
de
LION-‐GPL
où
leurs
teneurs
en
gaz
acide
(CO2)
et
en
eau
(H2O)
et
en
hydrocarbures
liquides
(Condensat
et
GPL)
sont
renvoyés
à
des
niveaux
acceptables.
Le
gaz
naturel
issu
du
champ
Foxtrot
n’est
jusqu’à
présent
pas
soumis
à
ce
niveau
de
traitement
de
sorte
que
PETROCI
ait
été
contraint
d’installer
une
mini
unité
de
traitement
à
l’amont
de
son
réseau
de
distribution.
6. Bénéficiaires
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
et
consommateurs,
arché
local
(production
d’électricité,
usage
industriel
et
usage
domestique)
7. Actions antérieures ou en cours : Elaboration des textes législatifs et réglementaires
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Mise
en
œuvre
du
nouveau
cadre
réglementaire
contraignant
les
producteurs
à
traiter
leur
gaz
aux
spécifications
réglementaire
avant
injection
dans
les
canalisations
de
transport.
15. Coûts
prévisionnels
:
l’étude
de
faisabilité
du
projet
n’a
pas
encore
été
réalisée.
Le
coût
prévisionnel
du
projet
pourra
être
évalué
dans
les
travaux
d’ingénierie
du
Terminal
de
Stockage.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ Etudes
de
rentabilité
réalisée
par
AXENS
(France)
:
Oct.
2010
§ Etudes
d’Impact
Environnemental
et
Sociales:
En
cours
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
ü Phase
1:
500
000
TM
(Produits
finis)
ü Phase
2:
1
100
000
TM
(Produits
finis
+
Pétroles
bruts)
9. Activités
à
réaliser
:
§ Finalisation
des
EIES
§ Actualisation
des
études
de
faisabilité
technico-‐économique
§ Promotion
du
projet
des
partenaires
(pays
sous
région
et
partenaires
stratégiques
divers)
§ Selection
de
l’EPC
(Engineering,
Procurement,
Construction)
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2011
:
Actualisation
des
études
de
faisabilité
technico-‐économique
§ 2012:
100%
Etudes
d’ingénierie,
100%
préparation
du
site
(nettoyage,
terrassement,…)
50%
fourniture
et
20%
construction
§ 2013
:
100%
fourniture,
70%
construction
et
mise
en
exploitation
de
la
première
tranche
de
500
000
TM
§ 2014
:
100%
Construction
et
mise
en
exploitation
de
la
seconde
tranche
de
600
000
TM
14. Partenaires : Pays de la sous région et autres partenaires stratégiques
4. Risques
o Difficultés
au
niveau
des
Approbations
Administratives
(Diligence)
o Demandes
des
populations
relatives
aux
Mesures
d’Accompagnement
o L’état
de
la
route
ne
facilitant
pas
les
Missions
6. Bénéficiaires : Population Ivoirienne et pays de l’hinterland, consommateurs de produits pétroliers
8. Stratégies : à préciser
9. Activités
à
réaliser
- Mise
en
place
de
l'équipe
projet
- Sélection
du
cabinet
d'ingénierie
- Etude
de
projet
- Sélection
par
AO
des
cabinets
pour
la
réalisation
des
études
de
danger
et
EIES
- Etudes
de
danger
et
EIES
- Validation
de
l'EIES
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
2014
-‐
2016
:
Travaux
de
construction
pipe
Bouaké
–
Ferkessédougou.
11. Période
d’exécution
:
2014-‐2016
12. Maître
d’ouvrage
:
PETROCI
15. Coûts
prévisionnels
(hors
produits)
:
90
000
millions
F
CFA
(Longueur
du
pipe
Bouaké
–
Ferkessédougou)
:
300
km
§ Etudes
(12%)
:
10
800
millions
F
CFA
§ Travaux
(48%)
:
43
200
millions
F
CFA
§ Fournitures
(40%)
:
36
000
millions
F
CFA
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Adhésion
de
toutes
les
entreprises
du
domaine
portuaire
6. Bénéficiaires
:
Toutes
les
entreprises
du
domaine
portuaire,
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire,
toutes
les
entreprises
du
domaine
portuaire
9. Activités
à
réaliser
:
Construction
du
réseau
suivant
les
différentes
phases
ci-‐dessus
:
§ Un
Réseau
incendie
de
18
pouces
en
résine
polyester
renforcée
à
la
fibre
de
verre
avec
un
débit
maxi
de
1500
m3/
h
à
15
bar
§ 3
groupes
motopompes
de
500
m3/h
chacun
à
15
bar
§ 1
groupe
électropompe
de
500
m3/h
à
15
bar
§ 2
groupes
jockey
de
20
m3/
h
chacune
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§
Phase
1:
PV
de
réception
des
travaux
§ Phase
2:
PV
de
réception
des
travaux
§ Phase
3:
PV
de
réception
des
travaux
11. Période
d’exécution
:
court
+
moyen
terme
§
Phase
1:
2011-‐2012
§ Phase
2:
2013-‐2014
§ Phase
3:
2016-‐2017
12. Maître
d’ouvrage
:
PETROCI
et
Associés
14. Partenaires
:
PAA,
SIR,
GESTOCI,
PETROCI,
Assistance
:
Office
National
de
la
Protection
Civile,
Groupement
des
Sapeurs
Pompiers
Militaires
14. Partenaires : Pays de la sous région et autres partenaires stratégiques
15. Coûts
prévisionnels
:
125
000
millions
F
CFA
(250
millions
USD)
-‐ Etude
d’ingénierie
:
en
attente
-‐ Equipement
et
autres
coûts
:
en
attente
-‐ Fonctionnement
:
en
attente
§ Fin
2011
:
Fin
des
travaux
de
construction
d’une
sphère
Butane
de
2
000
TM
et
des
lignes
reliant
le
dépôt
aux
appontements
;
§ 2012
–
2013
:
Construction
de
trois
(03)
réservoirs
de
32000
m3
chacun
(GO,
SSP,
JET
A1),
de
deux
(02)
réservoirs
de
bitume
de
500
TM
chacun
et
d’une
sphère
Butane
de
2
000
TM
;
§ 2014
-‐2016
:
Construction
de
quatre
réservoirs
de
GO
de
15
000
m3
chacun
et
d’une
sphère
Butane
de
2
000
TM.
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
12. Maître
d’ouvrage
§ Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
;
§ Ministère
de
l’Economie
et
des
Finances
;
§ GESTOCI.
13. Maître
d’œuvre
:
GESTOCI
14. Partenaires
§ Institutions
financières
;
§ PETROCI
;
§ Entreprises
privées.
15. Coûts
prévisionnels
(hors
produits)
:
65
000
millions
F
CFA
(130
millions
USD
/
99
millions
euros)
16. Contributions
souhaitées
:
A
déterminer.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
§ Garantir
l’approvisionnement
en
produits
pétroliers
dans
le
respect
des
normes
de
sécurité
et
de
la
préservation
de
l’environnement
;
§ Sauvegarder
le
patrimoine
forestier
de
la
Côte
d’Ivoire
en
favorisant
l’utilisation
du
gaz
butane
à
travers
tout
le
pays.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
préciser
2. Objectif
Mettre
à
la
disposition
de
l’industrie
pétrolière
du
Downstream
un
laboratoire
performant
d’analyses
et
de
contrôle
de
la
qualité
des
produits
pétroliers
afin
que
soit
respecté
les
normes
requises
pour
chaque
produit
vendu
en
Côte
d’Ivoire.
3. Description de la situation : Œuvre achevée et début de promotion
5. Contraintes
liées
au
projet
Cout,
temps
et
qualité
des
prestataires
de
service
dans
la
réhabilitation
du
bâtiment,
délai
de
livraison
et
installation
des
équipements,
situation
sociopolitique.
6. Bénéficiaires
PETROCI
;
Toutes
les
sociétés
pétrolières,
stations
services,
industries,
douane,
centres
de
recherche,
universités
….
7. Actions antérieures ou en cours : Finalisation du projet et début de promotion
2. Objectif
Construire
une
unité
de
désulfuration
de
gazole
et
unités
associées
pour
suivre
l’évolution
des
spécifications
des
produits
pétroliers.
3. Description
de
la
situation
Les
produits
issus
de
la
SIR
respectent
les
spécifications
AFRI
II
pour
l’essence
et
AFRI
III
pour
le
gazole.
Ces
spécifications
vont
évoluer
vers
AFRI
IV
puis
AFRI
V
qui
seront
plus
sévères.
Les
unités
de
la
SIR
ne
sont
pas
aujourd’hui
capables
de
fournir
des
produits
qui
respectent
ces
normes.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
préciser
hypothèses
et
calculs
Internes
:
Dépenses
de
santé
publique
élevées
(voir
rapport
«
Le
secteur
de
raffinage
en
Afrique
subsaharienne
»).
Externes
:
Impossibilité
de
vendre
certains
produits
pétroliers
sur
le
marché
international.
Métier
:
Disparition
de
l’activité
de
raffinage
en
Côte
d’Ivoire.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Chronogramme
de
l’évolution
des
spécifications
vers
AFRI
V
(2017).
6. Bénéficiaires
:
Populations
pour
l’amélioration
de
la
santé
publique.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
-‐ Plan
stratégique
SIR
2020
-‐ Etudes
de
faisabilité
d’une
unité
HDS
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
-‐ Elaborer
le
Process
Design
Package
(PDP)
-‐ Réaliser
les
études
d’avant-‐projet
détaillé
(FEED)
-‐ Réaliser
les
études
de
détails
et
commander
les
équipements
longs
délais
(EP)
-‐ Construire
la
nouvelle
unité
-‐ Rechercher
le
financement
9. Activités
à
réaliser
:
§ 2011/2012
:
PDP
et
FEED
§ 2013
:
EPC
§ 2014
:
Début
de
construction
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2011
:
100%
PDP
§ 2012
:
100%
FEED
§ 2013
:
100%EP
§ 2014
:
Début
construction
264/465
2. Objectif
Augmenter
la
capacité
de
raffinage
de
la
SIR
de
4
millions
de
tonnes
à
10
millions
de
tonnes
pour
satisfaire
les
besoins
de
certains
pays
à
l’horizon
2030.
3. Description
de
la
situation
La
SIR
a
une
capacité
actuelle
de
3.8
millions
de
tonnes
de
traitement
de
brut
par
an.
Elle
approvisionne
le
marché
ivoirien
et
certains
pays
voisins
(Mali,
Burkina
Faso,
Niger).L’excédent
de
produit
est
exporté
Les
études
sur
les
besoins
en
produits
pétroliers
en
2030
prévoient
un
taux
de
croissance
d’environ
4%.
Ainsi
les
besoins
annuels
de
la
côte
d’ivoire
et
des
pays
voisins
n’ayant
pas
de
raffinerie
seront
respectivement
de
2.5
millions
de
tonnes
et
7.7
millions
de
tonnes.
Pour
satisfaire
cette
demande
en
produits
pétroliers
et
pour
respecter
les
exigences
environnementales,
la
SIR
modifie
son
plan
SIR
2020
et
propose
un
plan
de
développement
stratégique
à
l’horizon
2030.
L’objectif
de
traitement
visé
est
dix
millions
de
tonnes
par
an
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
préciser
hypothèses
et
calculs
Internes
:
Risque
d’importation
de
gazole.
Externes
:
Perte
de
marchés
captifs
par
manque
de
produits.
Métier
:
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Développement
du
tissu
industriel
de
la
sous-‐région.
6. Bénéficiaires
:
Etats
de
la
sous-‐région
;
pays
de
la
sous-‐région
n’ayant
pas
raffinerie
et
le
Nigeria
en
partie
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Plan
stratégique
SIR
2020
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
-‐ Réaliser
une
étude
du
marché
-‐ Réaliser
les
différentes
-‐ Rechercher
le
financement
-‐ Construire
les
nouvelles
unités
9. Activités
à
réaliser
:
§ 2017
:
Etudes
de
marché
/
APS
§ 2018
:
Etude
d’Avant
Projet
Détaillé
(APD)
§ 2019
:
Etudes
de
détail
268/465
§ 2020
:
Construction
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
§ 2017
:
100%
Etude
de
marché
et
APS
§ 2018
:
100%
FEED
§ 2019
:
100%
Etudes
de
détails
§ 2020
:
Début
construction
11. Période
d’exécution
:
long
terme
§ 2017/2019
:
Etudes
augmentation
de
capacité
§ 2020/2022
:
Construction
12. Maître
d’ouvrage
:
SIR
/
SMB
13. Maître
d’œuvre
:
A
désigner
14. Partenaires
:
Actionnaires
15. Coûts
prévisionnels
:
2
630
000
millions
F
CFA
§ Etude
:
30
000
millions
F
CFA
§ Equipement
:
2
600
000
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
à
déterminer
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:Ces
nouveaux
projets
impliqueront
des
traitements
plus
efficaces
des
rejets
et
engendreront
une
meilleure
qualité
de
ces
rejets
(eaux,
air)
19. Financement
des
charges
récurrentes
Phases
Etudes
:
SIR
/
SMB
Phase
réalisation
:
SIR-‐SMB
/
Etat
de
Côte
d’Ivoire
269/465
FICHES
PROJET
RELATIVES
AU
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
N°
3
:
DOWNSTREAM
270/465
FICHES
PROJET
RELATIVES
Les
toutes
dernières
versions
des
projets
de
Code
des
Hydrocarbures
et
de
Contrat
de
Partage
de
Production
type
ont
été
transmises
à
la
date
du
28
mars
2011
au
Cabinet
du
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie.
Ces
dernières
versions
sont
essentiellement
basées
sur
les
observations
du
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie.
A
la
suite
de
l’atelier
de
validation
et
d’appropriation
desdits
textes
qui
s’est
tenu
en
juillet
2010,
une
première
version
des
projets
de
Code
des
Hydrocarbures
et
de
Contrat
de
Partage
de
Production
type
produite
par
le
Comité
de
Suivi
et
de
Finalisation
des
textes
de
la
réforme
du
secteur
pétrolier
a
été
transmise
aux
cabinets
du
Ministre
des
Mines
et
de
l’Energie
et
au
cabinet
du
Ministre
de
l’Economie
et
des
Finances.
4. Coûts
des
faiblesses
:
à
déterminer
5. Contraintes
liées
au
projet
:
à
définir
6. Bénéficiaires
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
et
opérateurs
pétroliers,
sociétés
pétrolières
opératrices,
sociétés
de
services
de
la
chaine
de
l’industrie
pétrolière
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ Signature
du
contrat
de
consultance
avec
le
cabinet
Van
Meurs
§ Rencontres
du
cabinet
Van
Meurs
avec
tous
les
acteurs
du
secteur
des
hydrocarbures
§ Restitution
par
le
cabinet
Van
Meurs
des
projets
de
Code
des
Hydrocarbures
et
de
Contrat
de
Partage
de
Production
type
§ Constitution
d’un
comité
pour
la
revue
des
projets
de
textes
§ Séminaire
de
préparation
de
l’atelier
de
validation
des
projets
de
textes
§ Atelier
de
validation
et
d’appropriation
§ Constitution
d’un
comité
de
suivi
des
projets
de
textes
§ Production
par
le
comité
des
projets
de
textes
:
projet
de
Code
des
Hydrocarbures
et
projet
de
Contrat
de
Partage
de
Production
type
et
transmissions
aux
§ Rédaction
du
rapport
de
présentation
du
projet
de
Code
des
Hydrocarbures
§ Redécoupage
du
bassin
sédimentaire
ivoirien
sur
la
base
des
nouvelle
dispositions
légales
du
projet
de
Code
des
Hydrocarbures
(arrêté
n°039
du
24
juin
2010
portant
création
de
nouveaux
blocs
pétroliers
dans
le
bassin
sédimentaire
ivoirien)
§ Organisation
d’une
consultation
restreinte
sur
les
blocs
CI-‐504,
CI-‐513,
CI-‐514,
CI-‐515
et
CI-‐
516
en
octobre
2010
avec
ANADARKO
et
MARATHON
sur
la
base
des
nouveaux
termes
:
résultats
transmis
au
cabinets
MME
et
MEF
§ Préparation
de
négociation
sur
les
blocs
CI-‐500,
CI-‐501,
CI-‐502
et
CI-‐520
avec
PETROCI
en
décembre
2010
et
janvier
2011
sur
la
base
de
nouveaux
termes
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
à
définir
9. Activités
à
réaliser
- Faire
adopter
par
le
gouvernement
les
projets
de
Code
des
Hydrocarbures
et
de
Contrat
de
Partage
de
Production
type
- Promulguer
le
Code
des
Hydrocarbures
:
assemblée
nationale
ou
ordonnance
présidentielle
- Adopter
le
Contrat
de
Partage
de
Production
type
- Conclure
le
contrat
de
prestation
de
service
pour
l’élaboration
des
textes
règlementaires
afférents
au
Code
des
Hydrocarbures
273/465
Risques internes
Risques externes
Dégradation
de
la
confiance
des
banques
Métier
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Obligation
de
contracter
des
prêts
avec
des
frais
financiers
élevés
6. Bénéficiaires
:
SIR
et
consommateurs
;
Secteur
raffinage
du
pays.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Discussion
avec
les
autorités
publiques.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Introduire
dans
la
structure
des
prix
de
produits
pétroliers
sur
le
marché
national
un
poste
de
35
F
CFA
par
litre.
Ce
poste
serait
inclus
dans
le
prix
ex-‐SIR
et
donc
facturé
et
prélevé
par
la
SIR
jusqu’à
l’apurement
de
la
créance
de
92
300
millions
F
CFA.
275/465
La
structure
des
prix
serait
réaménagée
en
agissant
sur
la
TVA
de
sorte
que
les
prix
à
la
pompe
restent
inchangés.
9. Activités
à
réaliser
:
2011
:
Changement
de
la
structure
de
prix
pour
intégrer
le
poste
de
remboursement
de
la
dette
SIR.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
2011
:
Signature
décret
de
changement
de
la
structure
de
prix
11. Période
d’exécution
:
2011
:
Modification
de
la
structure
de
prix
12. Maître
d’ouvrage
:
SIR
13. Maître
d’œuvre
:
SIR
14. Partenaires
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire,
Banques
15. Coûts
prévisionnels
:
92
300
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
emprunt
de
65
000
millions
F
CFA
auprès
des
banques.
17. Gains
attendus
:
à
préciser
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
à
préciser
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
à
expliciter
276/465
277/465
Le
présent
document,
qui
constitue
l’annexe
du
rapport
du
secteur
des
Mines
et
de
la
Géologie,
présente
l’ensemble
des
fiches
techniques
des
projets
identifiés.
Leur
sélection
a
tenu
compte
des
capacités
financières
et
techniques
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire,
des
opportunités
offertes
à
travers
les
partenariats
en
cours
ou
à
venir
et
les
niveaux
de
ressources
mobilisables.
La
mise
en
œuvre
de
ces
projets
pourrait
nécessiter
la
réalisation
d’études
de
faisabilité
devant
permettre
d’affiner
les
données
techniques
et
financières.
Aussi,
les
coûts
affichés
dans
le
présent
document
sont-‐ils
donnés
à
titre
indicatif.
Le
document
comporte
57
projets
déclinés
à
partir
de
la
vision
du
développement,
des
enjeux,
des
axes
stratégiques
et
des
objectifs
spécifiques.
§ Numéro
de
la
fiche
projet
ou
micro
projet
:
c’est
un
numéro
d’ordre
permettant
un
repérage
et
une
manipulation
aisée
des
fiches
projets
§ Nom
du
projet
:
c’est
l’intitulé
ou
la
désignation
du
projet
;
§ Code
action
:
c’est
un
numéro
permettant
d’identifier
l’action
par
rapport
à
l’enjeu,
à
l’axe
stratégique,
aux
objectifs
correspondants
;
39. Orientation
:
elle
se
rapporte
à
l’objectif
de
développement
;
40. Objectif
:
il
indique
pourquoi
le
projet
est
réalise
;
41. Description
de
la
situation
:
il
s’agit
de
décrire
la
situation
qui
prévaut
actuellement
et
qui
est
à
la
base
de
la
formulation
du
projet
;
42. Coûts
des
faiblesses
:
situent
les
efforts
à
accomplir
43. Contraintes
liées
au
projet
:
quels
sont
les
facteurs
ou
les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
;
44. Bénéficiaires
:
catégorie
de
la
population
pour
laquelle
le
projet
est
entrepris
;
45. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
il
s’agit
d’indiquer
les
activités
déjà
entreprises
ou
en
cours
de
réalisation
se
rapportant
au
projet
en
question
;
46. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
c’est
l’ensemble
des
méthodes
techniques,
d’organisation
et
de
collaboration
qui
sera
utilisé
pour
mettre
en
œuvre
les
actions
;
47. Activités
à
réaliser
:
décrit
comment
le
projet
compte
atteindre
ses
objectifs.
Ce
sont
les
actions
nécessaires
à
mener
pour
réaliser
le
projet
;
48. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
mesures
qualitatives
ou
quantitatives
visant
à
un
suivi
d’un
état
à
atteindre
;
49. Période
d’exécution
:
c’est
la
période
nécessaire
pour
atteindre
les
objectifs
fixés
;
50. Maître
d’ouvrage
:
c’est
l’institution
responsable
(propriétaire)
du
projet
;
51. Maître
d’œuvre
:
c’est
l’institution
responsable
de
la
mise
en
œuvre
du
projet
;
278/465
52. Partenaires
:
ceux
sont
des
acteurs
qui
participent
diversement
à
l’exécution
du
projet,
à
des
niveaux
différents
de
responsabilité.
Cette
participation
peut
se
faire
sous
forme
financière,
sous
forme
matérielle
ou
sous
forme
d’expertise
;
53. Coût
prévisionnel
:
combien
va
coûter
le
projet
;
54. Contributions
souhaitées
:
c’est
l’apport
en
espèce
ou
en
nature
par
les
bénéficiaires
du
projet.
Dans
le
cas
d’un
cofinancement
extérieur,
c’est
la
décomposition
du
montant
à
financer
localement,
entre
la
Commune
et
les
bénéficiaires
du
projet
55. Gains
attendus
:
dans
le
cadre
de
projets
à
rentabilité
économique,
ils
permettent
d’apprécier
le
retour
sur
l’investissement
56. Impact
sur
les
OMD/l’environnement
:
il
s’agit
d’indiquer
comment
le
projet
contribue
à
la
mise
en
œuvre
des
objectifs
du
millénaire
pour
le
développement
(OMD)
;
mais
également
d’indiquer
les
débats
ou
les
effets
néfastes
du
projet
sur
l’environnement
57. Charges
récurrentes
:
il
s’agit
de
préciser
la
prise
en
compte
des
charges
pesant
normalement
sur
le
fonctionnement
du
projet
Les
projets
sont
déclinés
selon
les
cinq
(5)
Domaines
d’Activités
Stratégiques
(DAS)
retenus,
eux-‐
mêmes
déclinés
en
axes
stratégiques
:
2
Exploitation
des
2
699
229
265
184
9.8
2
434
045
90
.2
ressources
naturelles
Le
coût
prévisionnel
du
plan
de
développement
du
secteur
des
Mines
et
de
la
Géologie
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
est
évalué
à
2
758.2
milliards
de
francs
CFA.
Les
investissements
productifs
sont
confiés
au
secteur
privé
et
l’Etat
assure
son
rôle
régalien
de
mise
en
place
des
règles,
de
leur
contrôle
et
de
la
promotion.
280/465
Organiser
le
secteur
1
Agence
en
charge
de
l’élaboration
de
l’infrastructure
1
320
A/D
A/D
X
géologique
et
geoscientifique
nationale
Renforcer
les
2
Unité
de
prospection
géophysique
700
202
498
X
capacités
(SODEMI)
institutionnelles
3
Laboratoire
d’analyses
minérales
et
de
traitement
de
1
625
570
1
055
X
minerai
Cumul
organisation
secteur
géologique
et
Renforcement
capacités
3
645
772
21.2
2
873
78.8
(SODEMI)
Promouvoir
le
4
institutionnelles
21
000
A/D
X
Cartographie
géologique
des
complexes
volcano-‐ 21
000
potentiel
sédimentaires
de
la
Côte
d’Ivoire
à
l’échelle
1/100
000
géologique
5
Elaboration
de
packages
de
données
geoscientifiques
A/D
A/D
A/D
X
6
Cartographie
géologique
de
reconnaissance
8
600
8
600
A/D
X
7
Carte
géologique
nationales
de
la
Côte
d’Ivoire
à
15
000
15
000
A/D
X
l’échelle
1/1
000
000
8
Levé
géophysique
aéroporté
(magnétométrie
et
60
60
X
radiométrie)
sur
les
permis
de
recherche
PR
194,
196,
197
et
Tanda
Cumul
Promotion
potentiel
géologique
44
660
44
600
99.9
60
0.1
Cumul
DAS
1
:
Infrastructure
geoscientifique
48
305
45
372
93.9
2933
6
.1
(*)
:
Etudes
A/D
:
A
déterminer
281/465
27 Evaluation du potentiel aurifère du PR N° 222 5 500 -‐ 5 500 X X
28
Recherche
et
mise
en
évidence
de
gisements
d’or
dans
les
500
-‐
500
X
régions
d’Abengourou
et
d’Agboville
Permis
de
recherche
minière
dans
la
zone
de
Konéla
275
275
X
(Département
d’Odienné)
pour
l’or
et
toutes
substances
29
concessibles
(hors
hydrocarbures)
:
Décret
N°
2005-‐299
du
15
septembre
2005
Permis
de
recherche
minière
dans
la
zone
de
la
Débo
640
-‐
640
X
(département
de
Soubré
et
de
Gagnoa)
et
toutes
substances
30
concessibles
(hors
hydrocarbures)
:
Décret
N°
2005-‐298
du
15
septembre
2005
24
559
3
762
15.3
20
796
84.7
Cumul
intensification
activités
d’exploration
sur
le
territoire
ivoirien
(*)
:
Etudes
A/D
:
A
déterminer
DAS/Axes
Titre
du
projet
Coûts
Période
réalisation
proposée
N°
283/465
Cumul
augmentation
production
du
secteur
minier
industriel
2
649
920
255
871
9.7
2
394
049
90.3
Satisfaire
la
42
Production
de
granites
concassés
d’Azaguié
4
000
1
500
2
500
X
demande
nationale
43
Exploitation
de
carrières
d’argiles
100
(*)
A/D
100
X
et
régionale
en
44
Exploitation
de
carrières
de
granite
4
050
4
050
X
matériaux
de
45
Exploitation
de
pierres
ornementales
16
550
A/D
16
550
X
46
Exploitation
de
carrières
de
sables
de
verrerie
50
(SODEMI)
50
X
construction
et
Cumul
Satisfaire
la
demande
matériaux
24
750
5
550
22.4
19
200
77.6
autres
matériaux
de
carrières
Cumul
DAS
2
:
Exploitation
des
ressources
naturelles
2
699
229
265
184
9.8
2
434
045
90.2
(*)
:
Etudes
A/D
:
A
déterminer
DAS/Axes
Titre
du
projet
Coûts
Période
réalisation
proposée
N°
284/465
Cumul secteur Mines et Géologie (DAS 1, DAS 2, DAS 3, DAS 4, DAS 5) 2 758 183 315 433 11.4 2 442 750 88.6
(*)
:
Etudes
A/D
:
A
déterminer
FICHES
PROJET
RELATIVES
286/465
AU
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
N°
1
:
INFRASTRUCTURE
GEOSCIENTIFIQUE
287/465
Fiche N° 1
1. Orientation
:
En
Côte
d’Ivoire,
le
secteur
de
l’infrastructure
geoscientifique
connaît
des
difficultés
malgré
les
efforts
consentis
par
l’Etat
depuis
l’indépendance.
Par
rapport
à
ses
voisins
de
la
sous-‐région,
le
pays
dispose
d’une
infrastructure
geoscientifique
qui
souffre
d’insuffisances
majeures,
lesquelles
handicapent
de
façon
notable
le
développement
de
l’activité
minière.
Parmi
ces
insuffisances,
le
cadre
institutionnel
inadapté
de
la
structure
en
charge
de
l’élaboration
de
ce
patrimoine
demeure
le
problème
majeur.
2. Objectifs
L’objectif
de
ce
projet
est
d’ériger
la
direction
en
charge
d’élaboration
de
l’infrastructure
geoscientifique
nationale
en
une
Agence
de
recherche
géologique
à
gestion
autonome.
Cet
objectif
se
décline
en
trois
(3)
objectifs
spécifiques
qui
sont
les
suivants
:
i. prendre
les
textes
réglementaires
(décrets
et
arrêtés)
de
création
et
de
fonctionnement
d’une
Agence
autonome;
ii. mettre
en
place
les
infrastructures
organisationnelles
et
physiques
de
l’Agence
;
iii. doter
l’Agence
de
moyens
humains,
financiers
et
matériels.
3. Description
de
la
situation
Le cadre institutionnel de la structure en charge de l’édification de l’infrastructure
geoscientifique nationale est inapproprié pour les objectifs qui lui sont assignés. En effet,
l’exécution des programmes annuels d’activité se trouve confrontée à une inadéquation
objectifs/moyens.
La
structure
ne
dispose
pas
de
flexibilité
financière
pour
l’exécution
des
travaux
de
terrain
et
des
analyses
sommaires
des
lithologies
à
étudier.
4. Coûts
des
risques
(faiblesses)
La
réussite
de
ce
projet
sera
assurée
par
un
contexte
sociopolitique
favorable,
une
volonté
politique
des
autorités
ivoiriennes,
un
financement
adéquat
pour
la
mise
en
place
et
le
fonctionnement
de
la
nouvelle
Agence
et
son
atelier
de
pétrographie-‐pétrologie.
5. Contraintes
liées
au
projet
Les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
sont
:
-‐‑ l’instabilité
de
la
situation
socio-‐politique
;
-‐‑ le
manque
de
volonté
politique
des
autorités
;
-‐‑ l’insuffisance
de
moyens
humains,
financiers
et
matériels.
6. Bénéficiaires
:
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
Les
opérateurs
miniers
;
Le
monde
académique
;
La
communauté
scientifique
;
Le
secteur
minier
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
Des
initiatives
ont
été
plusieurs
fois
prises
depuis
les
années
1980,
afin
de
rendre
la
structure
chargée
de
l’édification
de
l’infrastructure
geoscientifique
autonome.
Malheureusement
toutes
ces
idées
et
actions
n’ont
connu
aucun
aboutissement
concret
jusqu’à
nos
jours.
288/465
290/465
Fiche N° 2
1. Orientation
:
Doter
la
SODEMI
d’un
outil
technique
moderne
pour
l’intensification
de
la
recherche
minière.
2. Objectifs
Créer
une
nouvelle
unité
de
prospection
géophysique
répondant
aux
normes
internationales
pour
satisfaire
les
besoins
sans
cesse
croissants
de
la
SODEMI
et
des
opérateurs
miniers
sur
le
territoire
ivoirien
et
dans
la
sous
région.
Cet
outil
répondra
également
aux
besoins
des
acteurs
en
recherche
des
eaux
souterraines,
en
environnement
et
en
aménagement
du
territoire.
3. Description
de
la
situation
Dans
le
cadre
de
la
mise
en
œuvre
de
son
plan
stratégique,
la
SODEMI
a
décidé
de
renouveler
ses
équipements
et
de
renforcer
la
capacité
de
son
personnel
afin
de
prendre
en
mains
ses
besoins
propres
en
matière
d’exploration
géophysique.
La
SODEMI
évalue
ses
besoins
propres
annuels
à
environ
cent
millions
(100
000
000)
de
francs
CFA
et
envisage,
dans
le
même
ordre,
des
prestations
aux
autres
opérateurs;
soit
une
recette
prévisionnelle
d’environ
deux
cent
millions
(200
000
000)
de
francs
CFA
par
an.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
-‐‑ Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
-‐‑ Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
-‐‑ Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
de
prospection.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
100
000
000
FCFA.
5. Contraintes
liées
au
projet
-‐‑ Manque
de
financement
;
-‐‑
Baisse
des
activités
de
recherche
et
d’exploitation
minière
liée
à
une
chute
éventuelle
des
cours
des
matières
premières
minérales.
6. Bénéficiaires
:
Les
promoteurs
du
projet
;
Les
populations
riveraines
des
zones
des
opérations
par
la
création
d’emplois
;
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts
;
Opérateurs
du
secteur
minier
;
Instituts
de
recherche
scientifique
;
Organismes
de
recherche
sur
l’environnement
;
Organismes
de
recherche
et
de
gestion
des
eaux
souterraines
;
Organismes
d’aménagement
du
territoire
;
Instituts
de
formation.
Le
projet
permettra
entre
autres
à
la
SODEMI
d’acquérir
une
expertise
dans
le
domaine
de
l’exploration
géophysique
et
contribuera
à
améliorer
sensiblement
ses
ressources
financières.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ 2010
:
Etude
du
marché
(réalisée)
;
Identification
et
plan
d’acquisition
des
équipements
(réalisés)
;
§ 2011
:
Aménagement
des
locaux
(en
cours)
;
Acquisition
du
matériel
et
renforcement
des
capacités
du
personnel.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
- Étude
des
besoins
internes
et
externes
à
court
et
moyen
termes
(réalisée);
- Recherche
de
financement
(en
cours)
;
- Réalisation
du
projet.
291/465
9. Activités
à
réaliser
- Mise
à
jour
de
l’étude
du
marché;
- Aménager
les
bureaux;
- Acquérir
et
installer
les
équipements;
- Recruter
et
renforcer
les
capacités
du
personnel.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
- Rapport
étude;
- Bureaux
aménagés;
- PV
de
réception
d’équipements;
- Certificats
de
formation.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
2011-‐2012
(2
ans)
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenaires
:
La
SODEMI
envisage
une
collaboration
active
avec
un
partenaire
international
à
capacité
technique
et
financière
avérée
pour
répondre
à
la
demande
du
marché
du
secteur
minier
en
pleine
expansion
en
Côte
d’Ivoire
et
dans
la
sous-‐région.
15. Coûts
prévisionnels
:
Sept
cent
millions
(700
000
000)
FCFA.
16. Contributions
souhaitées
- SODEMI
:
202
000
000
FCFA,
soit
29
%
pour
les
études,
l’aménagement
des
bureaux
et
l’acquisition
partielle
des
équipements.
- Recherche
de
financement
:
498
000
000
FCFA,
soit
71
%
pour
l’acquisition
des
équipements
complémentaires,
le
recrutement
et
le
renforcement
des
capacités
du
personnel.
17. Gains
attendus
:
en
cours
d’évaluation
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
Le
champ
d’action
du
projet
s’étendra
sur
l’ensemble
du
territoire
national
et
générera
de
nombreux
emplois
permanents
et
occasionnels,
contribuant
ainsi
à
la
réduction
de
la
pauvreté
en
milieu
rural.
Il
contribuera
au
développement
du
secteur
minier
et
à
une
gestion
plus
appropriée
de
l’environnement
en
Côte
d’Ivoire.
Les
prestations
vont
également
intéresser
des
opérateurs
de
la
sous
région
ouest
africaine.
Les
opérations
de
prospection
géophysique
ne
génèrent
aucun
impact
négatif
direct
sur
l’environnement.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
SODEMI
(et
Partenaire
technique)
assure(nt)
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
de
l’unité
de
géophysique.
292/465
Fiche N° 3
Fiche
N°
4
Projet
:
CARTOGRAPHIE
GEOLOGIQUE
DES
COMPLEXES
VOLCANO-‐SEDIMENTAIRES
DE
LA
COTE
D’IVOIRE
A
L’ECHELLE
1/100
000
Code
action
M&G_IG/CT
_2
1. Orientation
La
réalisation
de
ce
programme
fournira
aux
opérateurs
miniers
nationaux
et
internationaux,
aux
décideurs
étatiques
et
à
la
collectivité,
les
connaissances
geoscientifiques
nécessaires
et
attendues
pour
la
mise
en
valeur
des
zones
cibles
de
complexes
volcano-‐sédimentaires
(CVS).
Les
résultats
de
ces
travaux
constitueront
un
important
outil
qui
facilitera
et
orientera
les
investisseurs
dans
l’élaboration
de
leurs
programmes
de
recherche.
2. Objectifs
L’objectif
global
de
ce
programme
est
d’élaborer
en
plusieurs
phases,
la
cartographie
géologique
de
détail
couplée
avec
la
géochimie
stratégique
sur
35
blocs
de
CVS
à
l’échelle
1/100
000.
Cet
objectif
se
décline
en
cinq
(5)
objectifs
spécifiques
qui
sont
:
-‐‑ mettre
en
évidence
le
potentiel
géologique
et
minier
de
la
Côte
d’Ivoire
;
-‐‑ former
et
perfectionner
sur
le
tas,
des
cadres
ivoiriens
à
la
méthodologie
moderne
de
cartographie
géologique
et
géochimique
;
-‐‑ produire
des
cartes
géologiques
de
détail,
numériques
et
analogiques
aux
normes
internationales
;
-‐‑ produire
des
résultats
de
campagne
de
géochimie
ciblée,
stratégique
et
tactique
;
-‐‑ constituer
une
base
de
données
geoscientifiques
;
-‐‑ faire
la
promotion
des
CVS.
3. Description
de
la
situation
Les
CVS
qui
constituent
des
sillons
dans
les
formations
birimiennes,
sont
réputés
pour
leur
niveau
potentiellement
élevé
de
minéralisation,
surtout
en
or,
comme
l’attestent
les
différentes
mines
de
grande
production
sur
ces
types
de
formations
dans
les
pays
limitrophes
(Ghana,
Burkina
Faso
et
Mali
etc.).
Environ
33%
du
territoire
national
sont
recouverts
par
ces
formations
(CVS),
qui
restent
inexplorées
à
environ
90%.
La
cartographie
de
ces
CVS
contribuera
à
la
promotion
du
potentiel
géologique
et
au
développement
du
patrimoine
minier
ivoirien.
Ces
travaux
seront
devancés
ou
complétés
par
les
cartes
géologiques
à
l’échelle
1/100
000,
que
l’Administration
exigera
des
opérateurs
miniers
dans
le
dossier
de
premier
renouvellement
de
leur
permis
de
recherche.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
- Externe
:
Troubles
sociopolitiques
délétères:
- Interne
:
la
Perte
des
données
de
base
par
faute
de
maintenance
appropriée
des
équipements
imposera
l’achat
de
nouveaux
logiciels
et
équipements
de
travail,
lorsque
la
décision
sera
prise
d’exécuter
ce
projet.
- Métier
:
Ø la
défaillance
de
prestataire
de
service
qui
ne
pourront
honorer
leur
contrat
mettront
en
danger
le
projet
;
295/465
Ø
le
départ
d’experts
locaux
qui
accepteront
de
meilleures
offres
et
démissionneront
tuera
le
projet.
L’édification
de
l’infrastructure
geoscientifique
nationale
incombe
à
l’Etat.
Les
faiblesses
de
cette
infrastructure
ont
pour
conséquence
le
manque
d’intérêt
des
investisseurs
et
un
retard
dans
le
développement
du
secteur
minier.
L’impact
de
ces
faiblesses
est
donc
difficile
à
quantifier,
cependant
il
pourrait
s’estimer
en
dizaines
de
milliards
à
court
terme
et
en
centaines
de
milliards
de
francs
CFA
à
long
terme,
car
ce
travail
est
à
faire
et
coûtera
plus
cher
dans
le
futur.
5. Contraintes
liées
au
projet
Les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
sont
:
-‐ l’inadaptation
du
cadre
institutionnel
de
la
structure
chargée
de
l’infrastructure
geoscientifique
nationale
;
-‐ l’inadéquation
Objectifs
/
Moyens
;
-‐ l’instabilité
de
la
situation
sociopolitique
;
-‐ l’insuffisance
(effectif
et
spécialité)
en
ressources
humaines
;
-‐ l’absence
de
mesures
incitatives
;
-‐ la
vétusté
des
locaux.
6. Bénéficiaires
-‐ Les
opérateurs
miniers
;
-‐ Les
entreprises
des
travaux
publics
;
-‐ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
-‐ Le
monde
académique.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
Ce
programme
a
démarré
depuis
1993
avec
l’appui
du
BMZ
(Ministère
de
la
coopération
de
la
République
Allemande)
et
est
à
sa
5ème
phase.
Six
(6)
cartes
géologiques
ont
été
éditées
avec
trois
(3)
bulletins
géologiques.
La
5ème
phase
connait
des
difficultés
d’exécution
à
cause
de
La
crise
sociopolitique
et
de
l’arrivée
à
échéance
de
la
coopération
avec
le
bailleur.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
Les
stratégies
de
mise
en
œuvre
de
ce
projet
consisteront
en
:
- l’actualisation
de
l’évaluation
du
coût
du
projet
;
- la
finalisation
du
montage
du
projet
par
la
mise
en
place
des
ressources
internes
et
externes
;
- l’aménagement
des
locaux
du
siège
du
projet
;
- l’appel
à
candidature
des
éventuels
experts
nationaux
et
internationaux
;
- la
constitution
des
équipes
d’exécution
et
de
suivi
du
projet
(experts
nationaux
et
internationaux);
- la
formation
par
mise
à
niveau
des
acteurs
locaux
;
- l’exécution
des
différentes
phases
du
projet.
296/465
9. Activités
à
réaliser
:
Pour
atteindre
ces
objectifs,
les
activités
requises
consistent
à
:
- réévaluer
le
coût
du
projet
;
- rechercher
le
financement
;
- constituer
les
équipes
d’exécution
et
de
suivi
;
- attribuer
des
locaux
adéquats
pour
l’exécution
et
le
suivi
du
projet
;
- former
les
acteurs
(mise
à
niveau
des
acteurs
sur
une
des
approches
informatisées
de
la
cartographie
géologique
et
de
la
gestion
des
bases
de
données
geoscientifiques
,
pour
la
maîtrise
de
la
collecte,
la
numérisation,
l’archivage
et
la
gestion
des
données
geoscientifiques
de
terrain
et
de
laboratoire)
;
- acquérir
les
équipements
techniques
;
- acquérir
et
compiler
les
documents
geoscientifiques
existants
:
données
et
cartes
topographiques,
géologiques,
aéromagnétiques,
images
satellitaires
(Landsat,
Spot
et
Radar)
;
- intégrer
les
données
acquises
:
scanning,
digitalisation,
géo
référence
et
archivage
électronique
des
documents
dans
une
banque
de
données
;
- produire
une
esquisse
géologique
à
l’échelle
1
/
100
000
;
- élaborer
une
légende
;
- identifier
les
secteurs
vierges
à
couvrir
;
- exécuter
les
travaux
de
terrain
(échantillonnages
pour
analyses
:
XRF,
pétrologiques,
EGP,
géochronologiques,
etc.);
- exploiter
les
résultats
de
terrain
et
de
laboratoires
;
- valider
la
légende
;
- numériser
le
manuscrit
de
la
carte
finale
;
- rédiger
une
notice
explicative
;
- imprimer
au
moins
cinq
cents
(500)
exemplaires
de
chaque
carte
géologique,
à
l’échelle
1/100
000
;
- diffuser
les
résultats.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
§ 2012
:
les
équipes
d’exécution
et
de
suivi
du
programme
sont
constituées
et
ont
bénéficié
de
formation
d’appoint
;
§ 2013
:
des
maquettes
de
base
à
l’échelle
1/100
000
sont
disponibles
;
§ 2014
:
une
légende
lithostratigraphique
et
des
échantillons
témoins
sont
disponibles;
§ 2016
:
des
cartes
géologiques
éditées
à
l’échelle
1/100
000
(numériques
et
analogiques),
avec
des
notices
explicatives
et
une
base
de
données
geoscientifiques
sont
disponibles.
11. Période
d’exécution
:
2011-‐2016
pour
une
zone
cible
et
pour
quatre
équipes.
12. Maître
d’ouvrage
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie.
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique
14. Partenaires
297/465
298/465
Fiche
N°
5
Projet
:
ELABORATION
DE
PACKAGES
DE
DONNEES
GEOSCIENTIFIQUES
Code
action
M&G_IG/CT_3
1. Orientation
:
La
Côte
d’Ivoire
a
connu
pendant
les
50
premières
années
d’indépendance
une
exploitation
de
ses
ressources
minières
essentiellement
portée
sur
l’or,
le
diamant
et
le
manganèse.
Cette
exploitation
qui
porte
sur
une
infime
partie
de
son
potentiel
minier,
mérite
d’être
renforcée,
vu
que
le
secteur
minier
ambitionne
de
devenir
un
acteur
important
au
développement
de
l’économie
du
pays.
Pour
atteindre
cet
objectif,
il
est
impératif
de
doter
la
Côte
d’Ivoire
d’infrastructures
geoscientifiques
fiables
aux
normes
internationales.
Il
est
donc
nécessaire
de
disposer
des
données
geoscientifiques
multiformes
dans
des
packages
de
promotion,
pour
les
opérateurs
du
secteur.
2. Objectifs
Promouvoir
le
potentiel
géologique
et
minier
par
une
exploitation
rationnelle
des
données
aérogéophysiques
et
géologiques
existantes.
L’objectif
spécifique,
est
de
disposer
dans
l’immédiat
à
la
Direction
de
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique,
de
packages
d’informations
geoscientifiques
pour
les
opérateurs
miniers.
3. Description
de
la
situation
:
La
couverture
partielle
du
territoire
en
cartes
géologiques
à
l’échelle
1/200
000
et
la
disponibilité
de
données
aérogéophysiques
justifie
la
réalisation
de
ce
projet.
En
effet,
sur
les
trente
trois
(33)
degrés
carrés
que
compte
la
Côte
d’Ivoire,
on
note
onze
(11)
édités
en
version
définitive
et
plus
des
¾
du
territoire
sont
couverts
en
cartes
aérogéophysiques,
favorisant
ainsi
une
possible
compilation
de
ces
données
geoscientifiques
pour
une
meilleurs
connaissance
du
potentiel
minier
et
géologique
national.
4. Coûts
des
risques
(faiblesses)
:
- Externe
:
Mouvements
sociopolitiques
délétères
- Interne
:
Perte
de
base
de
données
- Métier
:
Défaillance
de
prestataires
internes
et
externes
L’édification
de
l’infrastructure
géoscientifique
nationale
incombe
à
l’Etat.
Les
faiblesses
de
cette
infrastructure
ont
pour
conséquence
le
manque
d’intérêt
des
investisseurs
et
un
retard
dans
le
développement
du
secteur
minier.
L’impact
de
ces
faiblesses
est
donc
difficile
à
quantifier,
cependant
il
pourrait
s’estimer
en
centaines
de
milliards
de
francs
CFA.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
sont
:
-‐‑ l’inadéquation
niveau
de
financement/objectifs
;
-‐‑ l’instabilité
de
la
situation
socio-‐politique
;
-‐‑ l’insuffisance
(effectif
et
spécialité)
en
ressources
humaines
;
299/465
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
14. Partenaires
:
-‐‑ Expertise
interne
:
agents
de
la
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique
-‐‑ Expertise
externe
:
La
Société
pour
le
Développement
Minier
en
Côte
d’Ivoire
(SODEMI)
-‐‑ Partenaires
financiers
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
15. Coûts
prévisionnels
:
en
cours
d’évaluation
Les
coûts
prévisionnels
sont
à
établir,
pour
prendre
en
compte
l’extraction
des
données
aérogéophysiques
par
degré
carré,
la
numérisation
des
cartes
géologiques
au
1/200
000,
le
gravage
des
CD,
la
composition
des
packages.
16. Contributions
souhaitées
:
Les
contributions
nécessaires
pour
boucler
le
budget
requis
pour
l’élaboration
de
packages
composés
de
cartes
aérogéophysiques
et
de
cartes
géologiques
à
l’échelle
1/200
000,
devront
provenir
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
et
sont
à
évaluer.
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impacts
sur
les
ODM/Environnement
:
L’impact
du
projet
sur
l’environnement
est
négligeable,
car
il
s’agit
des
travaux
à
exécuter
au
bureau,
et
sans
production
de
rebus
massifs.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Les
charges
récurrentes
de
fonctionnement
devraient
couvrir,
les
consommables
informatiques
et
fournitures
de
bureau,
les
frais
d’extraction
et
de
numérisation
de
données
geoscientifiques
et
l’entretien
du
parc
informatique.
301/465
Fiche
N°
6
Micro
projet
:
CARTOGRAPHIE
GEOLOGIQUE
DE
RECONNAISSANCE
Code
action
M&G_IG/CT_4
1. Orientation
La
Côte
d’Ivoire
a
connu
pendant
les
50
premières
années
d’indépendance
une
exploitation
de
ses
ressources
minières
essentiellement
portées
sur
l’or,
le
diamant
et
le
manganèse.
Cette
exploitation
qui
porte
sur
une
infime
partie
de
son
potentiel
minier,
mérite
d’être
renforcée
afin
que
le
secteur
minier
devienne
un
facteur
important
dans
le
développement
économique
du
pays.
La
réalisation
de
l’infrastructure
géoscientifique
nationale
aux
échelles
1/200
000
et
1/500
000
s’avère
fort
préoccupante
afin
d’équiper
le
pays
en
cartes
géologiques
de
reconnaissance
et
permettre
une
meilleure
connaissance
du
sol
et
du
sous-‐sol.
2. Objectifs
L’objectif
global
de
ce
projet
est
d’élaborer
vingt-‐deux
(22)
cartes
géologiques
à
l’échelle
1/200
000
couvrant
les
degrés
carrés
restants
et
quatre
(4)
cartes
géologiques
à
l’échelle
1/500
000
couvrant
tout
le
territoire.
Cet
objectif
se
décline
en
deux
objectifs
spécifiques
qui
sont
de
:
-‐‑ disposer
de
cartes
géologiques
de
reconnaissance
aux
normes
internationales
;
-‐‑ disposer
d’informations
geoscientifiques
susceptibles
de
guider
les
opérateurs
miniers
et
le
décideur
étatique.
3. Description
de
la
situation
La
couverture
incomplète
du
territoire
en
cartes
géologiques
de
reconnaissance
justifie
la
réalisation
de
ce
projet.
En
effet
les
moyens
mis
à
disposition
pour
la
réalisation
des
cartes
n’ont
toujours
pas
permis
d’obtenir
des
cartes
de
reconnaissance
couvrant
tout
le
pays
à
l’échelle
1/200
000.
En
outre,
sur
les
trente
trois
(33)
degrés
carrés
qui
couvre
la
Côte
d’Ivoire,
on
ne
dispose
que
de
onze
(11)
cartes
éditées
en
version
définitive.
Cette
situation
n’entraînant
qu’une
connaissance
partielle
du
potentiel
minier
et
géologique
national.
4. Coûts
des
risques
(faiblesses)
- Externe:
Troubles
sociopolitiques
;
- Interne:
Perte
de
base
de
données
;
- Métier:
Défaillance
de
prestataires.
L’édification
de
l’infrastructure
geoscientifique
nationale
incombe
à
l’Etat.
Les
faiblesses
de
cette
infrastructure
ont
pour
conséquence
le
manque
d’intérêt
des
investisseurs
et
un
retard
dans
le
développement
du
secteur
minier.
L’impact
de
ces
faiblesses
est
difficile
à
quantifier,
cependant
il
pourrait
s’estimer
en
centaines
de
milliards
de
francs
CFA.
302/465
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique.
14. Partenaires
:
- Expertise
interne
:
agents
de
la
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique
- Expertise
externe
§ BRGM
(souhaité),
pour
ses
aptitudes
dans
la
réalisation
de
carte
de
reconnaissance
§ GAF
AG
(souhaité),
pour
ces
performances
en
construction
et
maintenance
de
base
de
données
geoscientifiques
§ GeccAr
Geoconsult
(souhaité),
pour
ses
performances
en
production
de
cartes
géologiques
et
ses
atouts
dans
l’évolution
ancienne
et
actuelle
de
la
géologie
du
birimien
de
l’Afrique.
- Partenaires
financiers
§ Etat
de
Côte
d’Ivoire
§ FAC
(souhaité)
§ Banque
Mondiale
(souhaitée)
§ Autre
(souhaité)
15. Coûts
prévisionnels
:
8
600
000
000
F
CFA
- La
couverture
d’un
degré
carré
coûte
environ
trois
cents
millions
(300
000
000)
FCFA.
- La
couverture
d’un
quart
du
territoire
en
carte
de
reconnaissance
coûte
environ
cinq
cent
millions
(500
000
000)
F
CFA.
16. Contributions
souhaitées
:
Les
contributions
nécessaires
pour
boucler
le
budget
requis
pour
la
réalisation
des
cartes
géologiques
de
reconnaissance
devront
être
réparties
entre
l’Etat,
une
institution
de
financement
telle
que
la
Banque
Mondiale,
les
opérateurs
miniers
en
activité
en
Côte
d’Ivoire.
Les
parts
respectives
seront
à
préciser
lors
de
la
révision
des
coûts
requis.
-‐ Etat
CI
:
8,6
milliards
F
CFA,
soit
100
%
-‐ Institutionnels
:
à
définir
et
à
négocier
;
-‐ Privés
locaux
:
à
définir
et
à
négocier
;
-‐ Privés
extérieurs
:
à
définir
et
à
négocier.
17. Gains
attendus
:
à
l’étude
18. Impacts
sur
les
ODM
/
Environnement
:
L’impact
du
projet
sur
l’environnement
est
négligeable
car
l’échantillonnage
à
effectuer
sur
les
affleurements
rocheux
portera
sur
des
volumes
relativement
faibles.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Les
charges
récurrentes
sont
celles
afférentes
au
personnel
impliqué
dans
l’exécution
et,
le
suivi
du
projet
jusqu’à
la
livraison
de
l’ouvrage.
305/465
Fiche
N°
7
Projet
:
CARTE
GEOLOGIQUE
NATIONALE
DE
LA
COTE
D’IVOIRE,
A
L’ECHELLE
1/1
000
000
Code
action
M&G_IG/CT_5
39. Orientation
La
carte
géologique
à
l’échelle
1/1
000
000,
présente
une
vue
d’ensemble
et
totale
de
la
géologie
et
des
potentialités
minières
du
pays.
Elle
permet
d’orienter
le
décideur
gouvernemental
et
l’investisseur
minier
pour
optimiser
les
campagnes
de
prospection
et
les
programmes
de
développement
(réseaux
routiers,
ferroviaires,
agroindustriel,
hydrogéologiques,
hydroélectriques,
etc.).
40. Objectifs
Mettre
à
jour
l’infrastructure
geoscientifique
nationale,
par
la
production
de
la
deuxième
édition
de
la
carte
géologique
de
la
Côte
d’Ivoire
à
l’échelle
1/1
000
000,
dans
des
formats
numériques
et
analogiques
compatibles
avec
les
projets
régionaux
et
mondiaux
actuels.
41. Description
de
la
situation
• La
carte
actuelle
date
de
1965.
Elle
présente
de
nombreuses
incompatibilités
avec
le
contexte
mondial
actuel
de
gestion
des
données
geoscientifiques
géologiques.
Elle
est
en
rupture
de
stock.
Sa
reproduction
est
lourde
d’exploitation
et
onéreuse,
car
elle
n’est
pas
numérique.
• Les
données
récoltées
depuis
une
cinquantaine
d’années
en
matière
de
cartographie
géologique
sont
disponibles.
Elles
n’ont
pas
été
produites
selon
les
normes
internationales
actuelles.
42. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
- Externe
(Troubles
sociopolitiques
délétères)
:
au
moins
15
milliards
de
F
CFA
;
- Interne
:
La
perte
des
données
de
base
par
faute
de
maintenance
appropriée
des
équipements
imposera
l’achat
de
nouveaux
logiciels
de
travail
;
- Métier
:
Défaillance
de
prestataires
qui
ne
peuvent
honorer
leur
contrat/
Défaillance
d’experts
qui
acceptent
de
meilleures
offres
et
démissionnent.
43. Contraintes
liées
au
projet
-‐ Espace
physique
abritant
le
service
en
charge
de
l’exécution
du
projet
est
non
sécurisé
et
régulièrement
soumis
à
des
risques
d’inondation
et
d’incendie
;
-‐ Délai
de
réalisation
(pour
des
projets
qui
durent
dans
le
temps)
;
-‐ Déficit
de
formation
sur
la
cartographie
géologique
et
la
gestion
de
base
de
données
geoscientifiques
assistées
par
ordinateur
;
-‐ Déficit
de
maîtrise
des
concepts
récents
de
la
géologie
de
l’Afrique
de
l’ouest.
306/465
44. Bénéficiaires
-‐ Opérateurs
miniers
nationaux
et
internationaux
;
-‐ Etat
de
Côte
d’Ivoire
;
-‐ Monde
académique
;
-‐ Communautés
nationales
et
internationales
des
géosciences.
45. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
-‐ Echanges
avec
GAF
AG
:
1. spécialiste
européen
de
géoinformation
et
GeccArcGeoconsult,
spécialiste
en
cartographie
géo
logique
en
Afrique
de
l’Ouest
et
du
Birimien
;
2. FUGRO,
spécialiste
en
levé
aérogéophysique
en
Afrique
et
dans
le
reste
du
monde
;
3. Au
niveau
régional
et
à
l’échelle
du
globe
:
harmonisation
des
géoressources
(African
European
Georesources
Observation
System),
«
AEGOS
»
et
«
ONE
GEOLOGY
».
46. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
• actualiser
l’évaluation
de
la
réalisation
de
ce
projet
;
• exécuter
les
différentes
phases
du
projet
;
• évaluer
chacune
des
phases
du
projet.
47. Activités
à
réaliser
a. Actualiser
l’évaluation
du
projet
;
b. Composer
les
équipes
d’exécution
et
de
suivi
du
projet
;
c. Réhabiliter
les
locaux
pour
l’installation
physique
des
équipes
d’exécution
et
de
suivi
du
projet
;
d. Former
les
acteurs
:
mise
à
niveau
sur
une
des
approches
informatisées
de
la
cartographie
géologique
et
de
la
gestion
des
bases
de
données
geoscientifiques,
pour
la
maîtrise
de
la
collecte,
la
numérisation,
la
gestion
et
l’archivage
des
données
geoscientifiques
de
terrain
et
de
laboratoire)
;
e. Acquérir
les
équipements
techniques
;
f. Acquérir
un
levé
aérogéophysique
(magnétisme,
électromagnétisme,
radiométrie,
gravimétrie,
radar,
etc.)
g. Acquérir
et
compiler
les
documents
geoscientifiques
existants
:
données
et
cartes
topographiques,
géologiques,
géophysiques,
images
satellitaires
(Landsat,
Spot
et
Radar)
;
h.
Numériser
les
données
acquises
:
scanning,
digitalisation,
géoréférence
et
archivage
électronique
des
documents
dans
une
banque
de
données
;
i. Elaborer
la
maquette
de
base
de
la
future
carte
à
l’échelle
1/1
000
000
;
j. Collecter
des
données
de
terrain
et
échantillonner
pour
analyses
:
(XRF,
pétrologiques,
EGP,
géochronologiques,
etc.)
;
k. Exploiter
les
résultats
de
terrain
et
de
laboratoires
;
l. Etablir
une
carte
des
géostructures;
307/465
Fiche
N°
8
LEVÉ
GÉOPHYSIQUE
AÉROPORTÉ
(MAGNÉTOMÉTRIE
ET
RADIOMÉTRIE)
SUR
Projet
:
LES
PERMIS
DES
RECHERCHE
PR
194,
196,
197
ET
TANDA
Code
action
:
M&G_IG/CT_7
1. Orientation
Après l'exécution des programmes d'échantillonnage de surface sur les permis PR 194, 196 et
197, il s'agit de réaliser la couverture géophysique aux fins de l'identification de cibles de
travaux détaillés. Pour le permis de Tanda, qui n'a fait que l'objet de travaux localisés, le levé
géophysique arrive en amont pour contribuer à la programmation des travaux depuis l'échelle
régionale en combinaison avec les résultats positifs obtenus.
2. Objectifs
Réaliser la couverture géophysique (magnétométrie et radiométrie) aéroportée des quatre (4)
Permis de Recherche PR 194, PR 196, PR 197 et Tanda.
PR 194, 196 et 197 : Identifier des cibles de travaux détaillés (sondages) par combinaison de
l'interprétation géophysique avec les résultats des levés de surface (sols), de sub-surface (puits
et tranchées) et de semi-profondeurs ou de profondeurs (sondages RAB et RC).
Permis de Tanda : Repérer les linéaments régionaux et structures magnétiques et
radiométriques, et en déduire des cibles de suivi au sol (géophysique au sol, échantillonnage
de surface, sondages).
7. Actions
antérieures
L'échantillonnage de sols et roches a permis d'identifier des anomalies superficielles. à
Daoukro, la mototarière, les puits et tranchées ont testé la sub-surface immédiate et les
sondages RAB et RC ont poussé les investigations en semi-profondeur (Travaux réalisés par
Etruscan).
Actions
en
cours
:
Mise
en
approbation
du
projet
auprès
du
siège
d'ETRUSCAN
9. Activités
à
réaliser
:
- Action 1 : reconfirmer et approuver (renégocier) le contrat de prestation déjà signé
311/465
15. Coûts
prévisionnels
:
Coût
initial
du
contrat
:
60.000.000
FCFA
(au
taux
du
Dollar
US
de
500
FCFA,
en
2010)
;
Ce
montant
sera
réactualisé
avec
la
révision
du
contrat.
16. Contributions souhaitées : ETRUSCAN RESOURCES CI : 60.000.000 F CFA, soit 100 %
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Etruscan
Resources
Côte
d'
Ivoire
SARL.
312/465
FICHES
PROJET
RELATIVES
AU
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
no
2
:
EXPLOITATION
DES
RESSOURCES
NATURELLES
313/465
314/465
Fiche N° 9
Projet
:
EXPLORATION
Code
action
:
M&G_ERN/CT_26
1. Orientation
Le
développement
prodigieux
de
Newcrest
Australie
et
sa
solide
réputation
dans
l’industrie
mondiale
de
l’or
ont
été
établis
grâce
à
ses
succès
dans
le
domaine
de
l’exploration.
Newcrest
Côte
d’Ivoire
développe
en
conséquence
un
programme
ambitieux
et
agressif
de
recherche
en
vue
de
consolider
durablement
sa
position
de
leader
dans
la
production
d’or
en
Côte
d’Ivoire.
2. Objectif
:
Trouver
en
Côte
d’Ivoire
plusieurs
mines
d’or
justifiant
des
ressources
minimales
de
1
million
d’onces.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Le
prolongement
de
l’instabilité
socio-‐politique
et
la
pérennisation
de
l’insécurité
ou
du
sentiment
d’insécurité.
6. Bénéficiaires
:
Newcrest-‐CI
9. Activités
à
réaliser
-‐ Remobilisation
des
équipes
de
géologues
expatriés
-‐ Actualisation
des
programmes
de
travail
sur
les
permis
-‐ Remobilisation
des
sous-‐traitants
pour
les
campagnes
de
forage
315/465
3. Description
de
la
situation
:
Depuis
la
crise
de
2002,
l’obtention
d’un
permis
d’exploration
est
quasiment
impossible.
Il
faut
se
contenter
des
autorisations
pour
travailler
sur
les
parcelles
demandées.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Cette
attente
fait
perdre
de
l’argent
à
l’Etat
et
aux
sociétés
minières.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Durée
de
la
signature
du
décret
et
le
climat
socio-‐politique
instable
depuis
2002.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Activités
de
bureau
et
échantillonnage
géologique.
8. Stratégie
de
mise
en
œuvre
:
Les
étapes
de
la
prospection
minière.
9. Activités
à
réaliser
- Campagnes
d’échantillonnage
- Puits
et
tranchées
- Sondages
16. Contributions
souhaitées
:
Privés
locaux
:
196
000
000
F
CFA
(70%)
;
Partenaires
extérieurs
:
80
000
000
F
CFA
(30%)
18. Impacts
sur
les
OMD/Environnement
:
Création
d’emploi
et
prise
en
compte
des
mesures
pour
atténuer
l’impact
sur
l’environnement.
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Identifier
des
ressources
additionnelles
pour
la
mise
en
valeur
du
gisement
de
nickel-‐
cuivre
à
platinoïdes
de
Samapleu.
3. Description
de
la
situation
:
le
marché
mondial
favorable
pour
les
matières
premières
minérales
;
un
gisement
d’environ
11
millions
de
tonnes
de
minerai
à
0,27
%Ni
et
0,27%Cu
avec
présence
de
platinoïdes
(50
–
500
ppb
de
palladium
et
1330
–
2360
ppb
de
platine)
de
ressources
mises
en
évidence
au
sud
de
l’important
projet
nickel
latéritique
de
Sipilou
dans
l’ouest
de
la
Côte
d’Ivoire.
C’est
un
gisement
de
sulfures
de
ségrégation
magmatique
lié
à
un
complexe
de
roches
ultramafiques.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
- Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
- Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
- Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
d’exploration.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
825
000
000
FCFA.
5. Contraintes
:
- Manque
de
financement
;
- Ressources
insuffisantes
pour
une
exploitation
économique
;
- Baisse
du
nickel.
6. Bénéficiaires
:
Les
promoteurs
du
projet
;
Le
secteur
minier
ivoirien
;
Les
populations
riveraines
de
la
zone
du
projet
par
la
création
d’emplois
;
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
et
contributions
diverses
;
marché
mondial
du
nickel
et
des
métaux
précieux
;
Industrie
de
la
métallurgie
pour
l’acier
inoxydable.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
§ 1976-‐1998
:
Mise
en
évidence
du
gisement
de
nickel-‐cuivre
à
platinoïdes
de
Samapleu
par
la
SODEMI
suite
à
d'importants
travaux
de
prospection
et
d'évaluation.
§ 2009-‐2010
:
Renouvellement
du
permis
de
recherche
et
reprise
des
travaux
d’exploration
en
partenariat
avec
la
société
canadienne
SAMA
NICKEL
CORPORATION.
319/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Mettre
en
évidence
d’un
gisement
de
phosphates
pour
la
production
de
fertilisants
agricoles.
3. Description
de
la
situation
:
Face
à
la
rareté
et
à
la
pauvreté
des
terres
cultivables
d’une
part,
et
des
coûts
élevés
des
engrais
chimiques
d’autre
part,
l’utilisation
des
phosphates
naturels
constitue
de
plus
en
plus
une
alternative
pour
la
fertilisation
des
sols.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
- Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
- Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
- Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
d’exploration.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
127
500
000
FCFA.
5. Contraintes
- Manque
de
financement
;
- Ressources
insuffisantes
pour
une
exploitation
économique
;
- Baisse
de
la
demande
en
phosphate
naturels.
6. Bénéficiaires
:
Les
promoteurs
du
projet
;
Les
secteurs
miniers
et
agricoles
ivoiriens
;
Les
populations
riveraines
de
la
zone
du
projet
par
la
création
d’emplois
;
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses,
les
impôts
et
l’amélioration
du
rendement
agricole
;
Industries
agricoles
;
Secteurs
minier
et
agro-‐industriel
;
Populations
agricoles.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Compilation
de
données,
prospection
géologique,
géochimique,
géophysique,
analyses
chimiques,
sondages,
tests
de
traitement
sur
de
gros
échantillons
et
étude
de
faisabilité.
9. Activités
à
réaliser
:
Collecter
les
données
antérieures,
effectuer
la
synthèse
des
données,
effectuer
une
cartographie
de
détail,
foncer
des
puits,
des
tranchées,
analyser
les
échantillons
collectés,
effectuer
des
levés
géophysiques,
effectuer
des
sondages
et
estimer
les
ressources,
prélever
de
gros
échantillons
et
effectuer
des
tests
de
traitements
et
réalisés
l’étude
d’exploitabilité
du
gisement.
10. Marqueurs
de
progrès
(Indicateurs)
§ 2011:
Banque
de
données
numériques
;
carte
géologique
détaillée
du
permis;
carte
des
anomalies
de
surface
et
subsurface
et
carte
géophysique.
§ 2012:
carte
des
gisements;
modèle
géologique
et
minéralisations
§ 2013:
ressources
estimées;
procédé
de
traitement
du
minerai
;
étude
de
faisabilité
bancable
du
projet.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
(PIP
2011-‐2013)
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenaires
- Phase
d’exploration
:
SODEMI
financée
par
l’Etat
à
travers
le
Programme
d’Investissements
Publics
(PIP
2011-‐2013)
jusqu’à
l’étude
de
faisabilité
du
projet.
- Phase
d’exploitation
:
Recherche
de
partenaires
financiers
et
techniques.
15. Coût
prévisionnel
:
huit
cent
cinquante
millions
(850
000
000)
F
CFA
.
Recherche
de
financement
estimé
à
environ
3
000
000
000
FCFA
pour
la
phase
d’exploitation.
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
16. Contributions
souhaitées
- SODEMI
(PIP
2011-‐2013)
:
850.000.000
FCFA
soit
100
%
en
phase
d’exploration.
- Les
coûts
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
17. Gains
attendus
:
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
du
Sud-‐Comoé
bénéficiera
des
retombées
directes
de
la
mine
par
la
création
323/465
d’emplois.
Le
produit
issu
de
l’exploitation
de
cette
mine
permettra
une
amélioration
du
rendement
des
terres
agricoles
et
une
réduction
de
la
pauvreté
en
milieu
rural.
Le
projet
contribuera
entre
autre
à
réduire
la
contamination
des
nappes
phréatiques
par
les
engrais
chimiques
et
promouvoir
l’émergence
d’une
agriculture
biologique.
Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
Phase
d’exploitation
:
délocalisation
possible
des
populations
et
expropriation
possible
des
terres.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
En
phase
d’exploration
la
SODEMI
assure
les
charges
de
fonctionnement.
En
phase
d’exploitation
la
SODEMI
et
le
partenaire
technique
et
financier
assurent
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
324/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Identification
d’un
gisement
polymétallique
de
nickel-‐cuivre
et
minéraux
associés.
-‐‑ Demande
de
permis
de
recherche
auprès
de
l’Administration
Minière
;
-‐‑ Mobilisation
du
financement
;
-‐‑ Mise
en
œuvre
du
projet.
9. Activités
à
réaliser
Effectuer
la
synthèse
des
données
antérieures,
effectuer
une
cartographie
de
détail,
foncer
des
puits,
des
tranchées,
analyser
les
échantillons
collectés,
effectuer
des
levés
géophysiques,
forer
et
estimer
les
ressources,
effectuer
des
tests
métallurgiques,
effectuer
l’étude
de
faisabilité
économique
du
projet.
10. Marqueurs
de
progrès
(Indicateurs)
§ 2012
:
Décret
d’octroi
de
permis,
banque
de
données
numériques,
carte
géologique
détaillée
du
permis.
§ 2013
:
Carte
des
anomalies
de
surface
et
subsurface,
carte
géophysique
de
sol.
§ 2014
:
Carte
des
gisements,
modèle
géologique
et
minéralisations,
rapport
d’estimation
des
ressources
et
réserves.
§ 2015-‐2016
:
Procédé
de
traitement
et
étude
de
faisabilité.
11. Période
d’exécution
:
Court
terme
;
5
ans
à
partir
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
13. Maître
d’œuvre
:
SAMA
NICKEL
CORPORATION
14. Partenaires
:
Phase
d’exploration
:
SAMA
NICKEL
CORPORATION
;
Phase
d’exploitation
:
Recherche
de
partenaires
financiers
et
techniques.
15. Coût
prévisionnel
:
1
300
000
000
FCFA
pour
la
période
2012
–
2014.
16. Contributions
souhaitées
Phase
d’exploration
:
-‐‑ SODEMI
:
63
000
000
FCFA
soit
5
%
pour
la
gestion
du
titre
minier
et
le
suivi
du
projet.
-‐‑ SAMA
NICKEL
CORPORATION
:
1
227
000
000
FCFA
soit
95
%
pour
les
travaux
d’exploration
jusqu’à
l’étude
de
faisabilité
du
projet.
Phase
d’exploitation
:
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
Le
financement
est
réparti
comme
suit
:
- SODEMI
:
33,3
%
(Recherche
de
financement)
;
- SAMA
NICKEL
CORPORATION
:
66,7
%.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
326/465
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
du
Bafing
bénéficiera
des
retombées
de
la
mine
par
la
création
de
nombreux
emplois
directs
et
indirects.
Le
projet
contribuera
à
augmenter
la
production
minière
nationale
et
à
améliorer
les
ressources
financières
de
l’Etat.
- Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
- Phase
d’exploitation
:
Le
projet
présente
des
risques
de
dégradation
des
sols
et
de
la
végétation,
de
contamination
des
eaux
souterraines,
des
nuisances
sonores
et
d’altération
de
la
qualité
de
l’air
due
aux
poussières.
Toutefois,
ces
risques
sont
fortement
atténués
du
fait
de
l’éloignement
du
projet
des
sites
d’habitations
et
de
la
mise
en
application
des
recommandations
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social.
19. Financement
des
charges
récurrentes
-‐‑ En
phase
d’exploration
SODEMI
et
SAMA
NICKEL
CORPORATION
assurent
les
charges
de
fonctionnement.
-‐‑ En
phase
d’exploitation
SODEMI,
SAMA
NICKEL
CORPORATION
et
autres
partenaires
techniques
et
financiers
assurent
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
327/465
Fiche
N°
14
Projet
:
EXPLORATION
DE
LITHIUM
ET
BERYLLIUM
D’ADZOPE
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Explorer
les
indices
de
lithium
et
de
béryllium
de
la
région
d’Adzopé
en
vue
de
l’identification
d’un
gisement
économiquement
exploitable.
3. Description
de
la
situation
Compte
tenu
des
nombreuses
applications
du
lithium
et
du
béryllium
dans
l’industrie
aéronautique,
électronique
et
énergétique,
l’on
assiste
à
une
montée
considérable
des
coûts
de
ces
métaux
sur
le
marché
international.
Dans
la
région
d’Adzopé
les
travaux
de
la
SODEMI
ont
permis
la
découverte
d’importants
indices.
L’environnement
géologique
est
dominé
par
des
formations
de
granites
à
pegmatites
dans
lesquelles
l’on
trouve
le
lithium
à
2,55%
Li
(tout-‐venant)
et
à
7,60%
Li
(spodumène)
et
le
béryllium
à
800g/m3
Be
(alluvions)
et
2800g/m3
Be
(éluvions).
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
-‐‑ Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
-‐‑ Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
-‐‑ Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
d’exploration.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
75
000
000
FCFA.
5. Contraintes
-‐‑ Manque
de
financement
;
-‐‑ Ressources
insuffisantes
pour
une
exploitation
économique
;
-‐‑ Baisse
du
cours
du
lithium
et/ou
du
béryllium.
6. Bénéficiaires
:
Les
promoteurs
du
projet
;
Le
secteur
minier
ivoirien
;
Les
populations
riveraines
de
la
zone
du
projet
par
la
création
d’emplois
;
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
et
contributions
diverses
;
Marché
mondial
du
lithium
et
du
béryllium
;
Industrie
de
la
métallurgie,
de
l’énergie
et
de
l’électronique.
328/465
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
§ 1960-‐1968
:
Travaux
de
cartographie
géologique
mettant
en
évidence
des
formations
dominées
par
des
granites
à
pegmatites
effectués
par
la
SODEMI.
Découverte
d’importants
indices
de
lithium
de
béryllium
dans
la
région
d’Adzopé.
§ 2010
:
Compilation
des
données
antérieures
suivie
de
la
demande
de
permis
de
recherche
auprès
de
l’Administration
Minière.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
-‐‑ Identification
de
sites
prospectables
;
-‐‑ Demande
de
permis
de
recherche
auprès
de
l’Administration
Minière
;
-‐‑ Mobilisation
du
financement
;
-‐‑ Mise
en
œuvre
du
projet.
9. Activités
à
réaliser
Effectuer
la
synthèse
des
données
antérieures,
effectuer
une
cartographie
de
détail,
foncer
des
puits,
des
tranchées,
analyser
les
échantillons
collectés,
effectuer
des
levés
géophysiques,
forer
et
estimer
les
ressources,
effectuer
des
tests
métallurgiques,
effectuer
l’étude
de
faisabilité
économique
du
projet.
10. Marqueurs
de
progrès
(Indicateurs)
Décret
d’octroi
de
permis,
banque
de
données
numériques,
carte
géologique
détaillée
du
permis,
carte
des
anomalies
et
de
contrôle
des
minéralisations
en
profondeur,
carte
géophysique,
rapport
d’estimation
des
ressources,
procédé
de
traitement
du
minerai,
étude
de
faisabilité
bancable
du
projet.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
5
ans
à
partir
de
2012
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI.
14. Partenaires
-‐‑ Phase
d’exploration
:
SODEMI
-‐‑ Phase
d’exploitation
:
Recherche
de
partenaires
financiers
et
techniques.
15. Coût
prévisionnel
:
500
millions
F
CFA
pour
la
période
2011-‐2013
(3
ans).
16. Contributions
souhaitées
-‐‑ SODEMI
:
500
000
000
FCFA
soit
100%
pour
la
phase
d’exploration.
329/465
-‐‑ Recherche
de
financement
:
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
de
l’Agnéby
bénéficiera
des
retombées
de
la
mine
par
la
création
de
nombreux
emplois
directs
et
indirects.
Le
projet
contribuera
à
augmenter
la
production
minière
nationale
et
à
permettre
à
la
Côte
d’Ivoire
de
disposer
d’une
ressource
d’intérêt
stratégique.
- Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
- Phase
d’exploitation
:
Le
projet
présente
des
risques
de
dégradation
des
sols
et
de
la
végétation,
de
contamination
des
eaux
souterraines,
des
nuisances
sonores
et
d’altération
de
la
qualité
de
l’air
due
aux
poussières.
Toutefois,
ces
risques
sont
fortement
atténués
du
fait
de
l’éloignement
du
projet
des
sites
d’habitations
et
de
la
mise
en
application
des
recommandations
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
En
phase
d’exploration
la
SODEMI
assure
les
charges
de
fonctionnement
;
En
phase
d’exploitation
la
SODEMI
et
le
partenaire
technique
et
financier
assurent
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
330/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Identifier
un
gisement
économiquement
exploitable
en
vue
d’augmenter
la
production
d’or
nationale.
§ 2011
:
Identification
et
vérification
des
résultats
des
travaux
antérieurs
sur
le
terrain.
§ 2012
:
Mise
en
place
d’un
camp
d’exploration
et
début
des
travaux
de
prospection
tactique.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
-‐‑ Identification
de
sites
prospectables
;
-‐‑ Actualisation
de
la
validité
du
permis
de
recherche
auprès
de
l’Administration
Minière
;
-‐‑ Mobilisation
du
financement
;
-‐‑ Mise
en
œuvre
du
projet.
9. Activités
à
réaliser
:
Effectuer
la
synthèse
des
données
antérieures,
effectuer
une
cartographie
de
détail,
foncer
des
puits,
des
tranchées,
analyser
les
échantillons
collectés,
effectuer
des
levés
géophysiques,
forer
et
estimer
les
ressources,
effectuer
des
tests
métallurgiques,
effectuer
l’étude
de
faisabilité
économique
du
projet.
10. Marqueurs
de
progrès
(Indicateurs)
Banque
de
données
numériques,
carte
géologique
détaillée
du
permis,
carte
des
anomalies
et
de
contrôle
des
minéralisations
en
profondeur,
carte
géophysique,
rapport
d’estimation
des
ressources,
procédé
de
traitement
du
minerai,
étude
de
faisabilité
bancable
du
projet.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
3
ans
à
partir
de
2012
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
(2011-‐2013)
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenaires
-‐‑ Phase
d’exploration
:
SODEMI
(2011-‐2013)
-‐‑ Phase
d’exploitation
:
Recherche
de
partenaires
financiers
et
techniques.
15. Coût
prévisionnel
:
710
millions
F
CFA
pour
la
période
2011
–
2013.
16. Contributions
souhaitées
-‐‑ SODEMI
:
710
000
000
FCFA
soit
100%
pour
la
phase
d’exploration.
-‐‑ Recherche
de
financement
estimé
à
environ
50
000
000
000
FCFA
pour
la
phase
d’exploitation.
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
332/465
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
des
Dix
huit
montagnes
bénéficiera
des
retombées
de
la
mine
par
la
création
de
nombreux
emplois
directs
et
indirects.
Le
projet
contribuera
à
augmenter
la
production
d’or
nationale
et
à
améliorer
les
ressources
financières
de
l’Etat.
- Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
- Phase
d’exploitation
:
Le
projet
présente
des
risques
de
dégradation
des
sols
et
de
la
végétation,
de
contamination
des
eaux
souterraines,
des
nuisances
sonores
et
d’altération
de
la
qualité
de
l’air
due
aux
poussières.
Toutefois,
ces
risques
sont
fortement
atténués
du
fait
de
l’éloignement
du
projet
des
sites
d’habitations
et
de
la
mise
en
application
des
recommandations
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social.
19. Financement
des
charges
récurrentes
- En
phase
d’exploration
la
SODEMI
assure
les
charges
de
fonctionnement.
- En
phase
d’exploitation
la
SODEMI
et
le
partenaire
technique
et
financier
assurent
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
333/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Identifier
un
gisement
économiquement
exploitable
en
vue
d’augmenter
la
production
d’or
nationale.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
120
000
000
FCFA.
5. Contraintes
-‐‑ Manque
de
financement
;
-‐‑ Découverte
d’une
ressource
insuffisante
pour
une
exploitation
économique
;
-‐‑ Baisse
du
cours
de
l’or.
6. Bénéficiaires
:
Les
promoteurs
du
projet
;
Le
secteur
minier
ivoirien
;
Les
populations
riveraines
de
la
zone
du
projet
par
la
création
d’emplois
;
L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts
;
Marché
mondial
de
l’or
;
Industries
de
joaillerie
et
de
l’électronique
;
Banques
et
Trésors.
§ 2009-‐2010
:
Reprise
des
travaux
par
une
vérification
des
indices
sur
le
terrain,
suivie
d’une
demande
de
permis
de
recherche
couvrant
la
zone
d’intérêt.
§ 2011
:
Mise
en
place
d’un
camp
d’exploration
et
début
des
travaux
de
prospection
.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
-‐‑ Identification
de
sites
prospectables
;
-‐‑ Demande
de
permis
de
recherche
auprès
de
l’Administration
Minière
;
-‐‑ Mobilisation
du
financement
;
-‐‑ Mise
en
œuvre
du
projet.
9. Activités
à
réaliser
Effectuer
la
synthèse
des
données
antérieures,
effectuer
une
cartographie
de
détail,
foncer
des
puits,
des
tranchées,
analyser
les
échantillons
collectés,
effectuer
des
levés
géophysiques,
forer
et
estimer
les
ressources,
effectuer
des
tests
métallurgiques,
effectuer
l’étude
de
faisabilité
économique
du
projet.
10. Marqueurs
de
progrès
(Indicateurs)
Banque
de
données
numériques,
carte
géologique
détaillée
du
permis,
carte
des
anomalies
et
de
contrôle
des
minéralisations
en
profondeur,
carte
géophysique,
rapport
d’estimation
des
ressources,
procédé
de
traitement
du
minerai,
étude
de
faisabilité
bancable
du
projet.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
5
ans
à
partir
de
2012
12. Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenariats
- Phase
d’exploration
:
SODEMI
(2011-‐2013)
- Phase
d’exploitation
:
Recherche
de
partenaires
financiers
et
techniques.
15. Coût
prévisionnel
:
800
000
000
F.
CFA
pour
la
période
2011
-‐2013.
16. Contributions
souhaitées
-‐‑ SODEMI
:
800
000
000
FCFA
soit
100%
pour
la
phase
d’exploration.
-‐‑ Recherche
de
financement
estimé
à
environ
50
000
000
000
FCFA
pour
la
phase
d’exploitation.
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
335/465
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
du
N’Zi-‐Comoé
bénéficiera
des
retombées
de
la
mine
par
la
création
de
nombreux
emplois
directs
et
indirects.
Le
projet
contribuera
à
augmenter
la
production
d’or
nationale
et
à
améliorer
les
ressources
financières
de
l’Etat.
- Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
- Phase
d’exploitation
:
Le
projet
présente
des
risques
de
dégradation
des
sols
et
de
la
végétation,
de
contamination
des
eaux
souterraines,
des
nuisances
sonores
et
d’altération
de
la
qualité
de
l’air
due
aux
poussières.
Toutefois,
ces
risques
sont
fortement
atténués
du
fait
de
l’éloignement
du
projet
des
sites
d’habitations
et
de
la
mise
en
application
des
recommandations
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social.
19. Financement
des
charges
récurrentes
- En
phase
d’exploration
la
SODEMI
assure
les
charges
de
fonctionnement.
- En
phase
d’exploitation
la
SODEMI
et
le
partenaire
technique
et
financier
assurent
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
336/465
2. Objectif
:
Donner
la
preuve
de
l’existence
d’un
gisement
d’or
sur
le
PR
121.
Risques internes
Risques externes
Sans objet
337/465
7. Actions
antérieures
:
Mayana
qui
a
mené
depuis
7
ans
des
travaux
sur
le
terrain
et
obtenu
des
résultats
prometteurs,
a
demandé
à
l’Administration
Minière
de
lui
permettre
de
poursuivre
ses
activités.
Elle
attend
toujours
la
réponse
de
l’Administration
qui
a
suspendu
les
travaux.
9. Activités
à
réaliser
§ Demander
une
audience
à
Monsieur
le
Ministre
pour
lui
expliquer
les
faits
dont
Mayana
est
victime
et
lui
demander
de
bien
vouloir
rétablir
Mayana
dans
ses
droits
en
levant
la
mesure
de
suspension
des
travaux
sur
le
PR
n°121
,
§ Renforcer,
la
sécurité
dans
la
zone
du
projet,
§ Concentrer
les
travaux
d’exploration
sur
4
cibles
identifiées,
par
les
travaux
antérieurs
en
exécutant
:
o Un
programme
mécanique
et
manuel
de
20
tranchées
totalisant
4000m
avec
une
profondeur
de
3m
et
analyse
d’échantillons
prélevés,
o Un
programme
de
géochimie
sol
en
amont
des
zones
d’échantillonnage
de
sédiments
de
ruisseaux
ayant
présenté
de
fortes
valeurs
aurifères
et
analyse
d’échantillons
;
o Un
programme
de
forage
RC
portant
sur
60
trous
pour
un
total
de
4800m
et
de
forages
carottés
de
1000m
au
droit
des
forages
RC
définis
et
analyse
d’échantillons,
o Présentation
d’une
étude
faisabilité,
§ Réalisation
d’un
permis
d’exploitation.
-‐‑ En
deux
mois,
mise
en
place
de
moyens
visant
à
renforcer
les
capacités
d’intervention
des
FRCI
dans
la
zone
du
projet,
-‐‑ En
deux
mois,
les
tranchées
sont
foncées
et
l’échantillonnage
sol
réalisé
parallèlement,
-‐‑ En
un
mois,
les
échantillons
sont
analysés,
-‐‑ En
un
mois,
les
résultats
sont
étudiés
et
compilés,
-‐‑ En
deux
mois,
les
accès
et
plates
formes
sont
réalisés,
-‐‑ En
trois
mois,
les
sondages
RC
sont
réalisés,
-‐‑ En
un
mois,
les
échantillons
de
sondage
RC
sont
analysés,
-‐‑ En
un
mois,
les
résultats
sont
étudiés
et
compilés,
-‐‑ En
deux
mois,
les
sondages
carottés
sont
réalisés,
-‐‑ En
un
mois,
les
échantillons
de
carottes
sont
analysés,
-‐‑ En
un
mois,
lés
résultats
sont
étudiés
et
compilés,
-‐‑ En
trois
mois,
l’étude
de
faisabilité
est
réalisée
et
la
demande
de
permis
d’exploitation
est
déposée.
Durée
totale
:
20
mois
16. Contributions
souhaitées
:
Mayana
–Sarl
et
Mount
Vita
ltd
100%.
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
:
Création
d’emplois,
réalisation
d’œuvres
socio
économiques
et
culturelles,
contribution
aux
caisses
du
Trésor
public
de
la
Côte
d’Ivoire.
19. Charges
récurrentes
:
Mayana
–
Sarl
et
de
Mount
Vita
ltd.
340/465
2. Objectif
§ 2011,
développer
l’indice
manganésifère
en
vue
de
proposer
un
schéma
d’exploitation
du
gisement
;
§ 2011
fin,
faire
les
tests
métallurgiques
en
vue
de
l’implantation
à
court
terme
d’une
unité
d’enrichissement
du
minerai
;
§ fin,
obtenir
le
permis
d’exploitation
sur
les
mines
de
Korhogo
et
d’Odiénné
;
§ à
2015,
et
enfin
de
mettre
en
œuvre
des
opérations
industrielles
de
valorisation
sur
le
territoire
ivoirien.
La
NABC
a
également
une
autorisation
d’extraction
et
d’exportation
sur
la
mine
de
Korhogo
pour
une
quantité
de
50.000
MT
de
minerai
de
manganèse
et
compte
commencer
l’exploitation
du
gisement
de
Lopin
à
brève
échéance.
La
NABC
est
la
seule
société
engagée
dans
l’exploitation
du
manganèse
en
Côte
d’Ivoire
et
ayant
des
capitaux
exclusivement
d’origine
ivoirienne.
Externes
:
la
NABC
fera
appel
aux
sous-‐traitants
et
partenaires
suivants
:
BANLAW,
SODEMI,
FOREMI,
SGS.
Métiers
:
les
métiers
concernés
seront
l’exploitation
minière,
les
travaux
publics,
les
laboratoires
d’analyse,
le
forage
et
la
géologie.
341/465
5. Contraintes
liées
au
Projet
:
Les
contraintes
sont
celles
habituellement
liées
aux
projets
miniers
dits
en
«
open
pit
»,
à
ciel
ouvert.
Principalement,
on
listera
les
contraintes
environnementales
et
sociales.
Par
ailleurs,
le
projet
reste
sensible
aux
fluctuations
des
marchés
des
transports
terrestres
(le
train
n’est
pas
du
tout
compétitif
à
l’heure
actuelle,
ce
qui
constitue
un
réel
frein
au
développement),
maritime
(le
coût
du
fret
est
très
significatif)
et
bien
sûr
du
marché
international
du
minerai
de
manganèse.
-‐‑ Sensibiliser
les
populations
riveraines
avec
le
concours
du
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
;
-‐‑ Réhabiliter
les
voies
d’accès
au
gisement
;
-‐‑ Réhabiliter
les
anciennes
tranchées
et
les
anciens
puits
;
-‐‑ Réaliser
de
nouveaux
travaux,
notamment,
de
nouveaux
puits
et
de
nouvelles
tranchées
;
-‐‑ Réaliser
un
grille
de
prélèvement
;
-‐‑ Cartographier
les
différentes
formations,
etc.
-‐‑ Présenter
le
projet
aux
différentes
autorités
administratives
et
coutumières
de
la
région
de
production
;
-‐‑ Recenser
les
besoins
des
populations
de
ces
localités
en
matière
de
développement
de
proximité
;
-‐‑ Rendre
compte
à
la
DMG
et
au
DRM
régulièrement
par
un
rapport
d’activité,
etc.
9. Activités
à
réaliser
- Déterminer
les
réserves
de
minerai
de
manganèse
du
gisement
de
Lopin
;
- Démarrer
l’exploitation
dans
les
limites
de
l’autorisation
(50
000
MT
à
ce
jour)
- Préparer
et
déposer
un
dossier
de
demande
de
permis
d’exploitation
;
342/465
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
14. Partenaires
-‐‑ Administration
minière
-‐‑ Entreprises
des
travaux
publics
-‐‑ Entreprises
du
génie
Civil
-‐‑ Autorités
administratives
et
coutumières
locales
-‐‑ Transporteurs
-‐‑ Transitaires
-‐‑ Sidérurgistes.
1. Orientation
:
Ceci
est
un
aperçu
de
l’histoire
de
la
société
RESOLUTE
en
Côte
d’Ivoire
et
un
bref
rapport
sur
son
engagement
à
l’exploration
et
l’exploitation
de
construire
une
base
de
production
d’or
à
long
terme
et
être
une
valeur
ajoutée
pour
le
développement
du
secteur
des
mines
en
Côte
d’Ivoire.
2. Objectifs
:
Finaliser
l’exploration
portant
sur
nos
permis
pour
générer
des
cibles
qui
deviendront
éventuellement
une
mine
de
production
à
pleine
échelle
et
développer
une
production
d’or
à
long
terme
pour
un
minimum
de
3,0
M
oz
de
dépôt.
Au
début
de
2009,
le
groupe
Resolute
utilisant
son
entité
ghanéenne,
Resolute
Amansie
Ltd
(RAL)
a
soumis
six
demandes
de
permis
de
prospection
dans
les
zones
vertes
autour
de
Toumodi,
Dimbokro,
Didiévi,
Tié
N’diékro,
Koun
Fao
et
Gouméré
sous
le
code
minier
553-‐95
du
18
juillet
1995
de
Côte
d’Ivoire.
Ces
permis
ont
été
accordés
en
février
pour
une
période
de
un
(01)
an
pour
l’exploration
de
surface
pour
l’or
ainsi
que
pour
divers
minéraux.
Par
la
suite
RAL
a
effectué
de
la
géochimie
sol
sur
tous
les
permis
de
prospection.
En
février
2010,
la
durée
des
permis
expira
et
RAL
a
soumis
des
rapports
complets
de
fin
d’activité
sur
ses
travaux
et
des
conclusions
pour
chaque
projet,
à
la
Direction
des
Mines.
Comme
les
résultats
des
travaux
de
géochimie
de
premier
passage
ont
été
encourageants,
Resolute
a
ensuite
décidé
d’enregistrer
une
société
ivoirienne
Resolute
Côte
d’Ivoire
SARL
(ci-‐après
dénommée
Resolute-‐CI)
en
mai
2010.
Sous
Resolute-‐CI,
les
demandes
de
permis
de
recherche
ont
été
présentées
au
ministère
pour
tous
les
six
permis
de
prospection
expirés
sous
le
code
minier
553-‐95
du
18
juillet
1995
de
la
Côte
d’Ivoire.
344/465
Aussi,
pour
des
raisons
de
ciblage
régional
et
du
souhait
de
l’entreprise
de
mettre
un
pied
ferme
dans
la
ceinture
d’or
potentiels
du
pays
et
augmenter
ses
chances
de
succès,
Resolute
a
également
fait
la
demande
de
cinq
(5)
nouveaux
permis
dans
les
zones
autour
de
Kassiolo
(demande
de
permis
de
recherche),
Kpouebo,
Bocanda,
Satama
et
Nassian
(demandes
de
permis
de
reconnaissance)
de
la
période
de
décembre
2009
à
mars
2010.
Le
ministère
des
mines
a
demandé
que
Resolute
Amanisie
transfère
ses
demandes
de
permis
à
Resolute-‐CI
nouvellement
enregistré
et
de
refaire
la
demande
avec
les
documents
de
l’entreprise.
Resolute
CI
s’est
soumis
à
la
demande
du
Ministère
et
a
de
nouveau
envoyé
ses
demandes
de
permis
en
juin
2010.
Le
permis
de
recherche
de
Toumodi
(Min.
Réf
#
275)
et
celui
de
Gouméré
(Min.
Réf
#
274)
ont
été
accordé
en
octobre
2010.
Au
cours
du
processus
de
demande
de
permis,
la
direction
des
mines
a
également
conseillé
Resolute
CI
de
prioriser
ses
demandes,
de
sorte
que
les
plus
importantes
soient
octroyées
au
moment
précis.
Basé
sur
les
objectifs
actuels
des
anomalies
de
surface
et
internes
au
processus
de
classement
pour
nos
allocations
budgétaires
annuelles,
les
priorités
en
terme
de
demande
ont
été
formulées.
En
raison
de
la
crise
post
électorale
de
fin
2010,
Resolute-‐CI
a
suspendu
ses
activités
d’exploration,
mais
conservé
le
personnel.
Notre
bureau
sis
à
Yamoussoukro
a
rouvert
en
juin
2011
et
la
compagnie
se
prépare
à
la
deuxième
phase
du
travail
sur
les
permis
déjà
accordés
(Gouméré
et
Toumodi).
C’est
donc
le
souhait
de
Resolute-‐CI
que
le
reste
des
permis
en
attente
soit
accordée
rapidement
par
le
ministère
pour
permettre
à
l’entreprise
de
compléter
son
évaluation
du
potentiel
aurifère.
Il
est
dans
l’intérêt
à
tous
de
comprendre
que
sans
aucun
résultat
à
envoyer
au
Conseil
d’Administration
du
groupe
à
la
fin
de
l’année
financière
2012,
Resolute
Mining
serait
dans
l’obligation
d’ordonner
la
fermeture
de
Resolute-‐CI
et
réachéminer
les
ressources
à
allouer
ailleurs
pour
de
nouvelles
explorations.
6. Bénéficiaires
-‐‑ Les
employés
et
les
actionnaires
;
-‐‑ Augmentation
de
la
capacité
du
secteur
des
minéraux
à
l’échelle
nationale
;
-‐‑ Au
niveau
du
district,
les
collectivités
bénéficieront
de
diverses
manières
:
l’emploi
local,
de
projets
de
développement
communautaire
à
long
terme
;
-‐‑ Amélioration
des
compétences
du
personnel,
la
connaissance
des
nouvelles
technologies
d’exploration
et
d’exploitation
;
-‐‑ Les
différents
impôts
versés
;
-‐‑ Achat
local
divers
et
augmentation
du
taux
d’emploi.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Phase
1
:
géochimie
régionale
des
sols
et
le
suivi
de
la
phase
2
de
travail
sur
la
reconnaissance
des
permis
en
vu
d’être
accordées
en
fonction
de
notre
liste
de
priorités
actuelles
;
-‐‑ Géochimie
sol
et
de
suivi
géophysique
au
sol
(PI)
et
de
forage
sur
les
cibles
du
permis
de
recherche
accordé
;
-‐‑ Recherche
d’avantage
des
permis
promoteurs
dans
le
long
terme
tandis
que
phase
1
&
2
sont
implémentées.
346/465
13. Maître
d’œuvre
:
Directeur
de
la
société
(Dean
A.
Bertram).
14. Partenaires
:
L’administration
minière
en
Côte
d’Ivoire
;
Les
autorités
administratives
locales
et
traditionnelles.
Gouméré 3 950 000 36 945 625 77 842 700 118 738 325
Toumodi 128 356 070 96 562 500 98 471 867 323 390 437
Kpouebo* 8 277 000 20 800 173 75 367 474 104 444 647
Kassiolo 18 100 000 8 300 790 74 660 491 101 061 281
Nassian 119 435 534 196 597 011 78 912 727 394 945 272
Satama-‐est 188 530 725 47 990 227 75 795 000 312 315 952
Didiévi 4 800 000 52 741 214 88 279 025 145 820 239
Tié N’Diékro 4 800 000 108 814 085 90 754 025 204 368 110
Bocanda-‐ouest 110 695 454 141 489 475 171 727 839 423 912 768
Koun Fao 4 800 000 112 362 833 93 079 025 210 241 858
Dimbokro 4 800 000 52 741 214 86 645 691 144 186 905
Cumuls 596 544 783 875 345 147 1 011 535 864 2 483 425 794
347/465
*l’allocation
budgétaire
Kpouébo
a
été
révisée
en
Juin
2011.
16. Contributions
souhaitées
:
à
déterminer
2. Objectif
:
Contribuer
à
la
diversification
des
produits
miniers
et
à
l’économie
nationale
à
travers
l’approvisionnement
des
industries
chimiques,
aéronautiques,
énergétiques
et
militaires
mondiales
et
locales
par
la
production
d’oxyde
de
titane
à
partir
de
concentrés
d’ilménite
rencontré
dans
les
sables
du
littoral.
L’ilménite
est
utilisée
dans
l’alimentation
des
usines
en
blanc
de
titane
destiné
à
la
peinture
(49%),
papier
(13%),
plastique
(9,8%),
caoutchouc
(14%),
mais
aussi
dans
les
hauts
foruneaux
pour
renforcer
les
réfractaires.
Ce
minerai,
quand
il
est
broyé,
peut
servir
de
boue
de
forage.
Par
ailleurs,
une
très
faible
partie
de
l’ilménite
peut
être
utilisée
pour
produire
du
titane
métal,
matériau
stratégique
pour
les
secteurs
aéronautique,
énergétique
et
militaire.
6. Bénéficiaires
:
Global
Industries
Sarl,
Etat
ivoirien,
populations
riveraines,
Industrie
chimique,
électronique,
aéronautique,
énergétiques
et
militaires.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
La
définition
des
ressources
calculées
sur
la
base
du
code
standard
de
JORC
(Australie)
;
La
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Préparer
et
installer
un
camp/base
avec
toutes
les
commodités
;
-‐‑ Acheminer
la
logistique
vers
la
base
sur
des
camions
à
chenille
;
-‐‑ Faire
des
sondages
selon
la
maille
de
40
mètres
d’espacement
de
trous
sur
des
lignes
séparées
de
200
mètres.
Si
la
continuité
de
la
teneur
n’est
pas
prouvée,
des
sondages
additionnels
de
20
m
d’intervalles
‘entre
trous
d’une
même
ligne)
peuvent
être
nécessaires.
Dans
ce
cas,
un
intervalle
de
200
mètres
entre
les
lignes
pourrait
permettre
d’obtenir
les
mêmes
résultats
;
-‐‑ Produire
un
rapport
de
faisabilité.
12. Maître
d’ouvrage
:
La
compagnie
MADHURI
SHELTERS
PVT
LTD
basée
en
Inde,
société
mère
de
Global
Industries
SARL.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
Global
Industries
Sarl
dont
le
siège
social
est
à
Abidjan.
14. Partenaires
§ Sociétés
de
prestation
de
services
dans
le
domaine
minier
;
§ Partenaires
financiers
;
§ Sociétés
sœurs
de
Global
Industries
localisées
dans
les
autres
pays.
350/465
15. Coût
prévisionnel
:
112.5
millions
F
CFA
(12.225.000
US
$,
dont
225
000
US
$
pour
la
préparation
et
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Les
charges
de
fonctionnement
liées
au
projet
sont
évaluées
à
2
millions
US
$
par
an
et
comprennent
les
salaires
et
autres
charges
administratives.
351/465
2. Objectif
:
Assurer
la
pérennité
de
la
SMI
à
moyen
et
long
terme,
en
certifiant
les
réserves
du
permis
d’exploitation
venant
en
relève
des
réserves
en
cours
d’exploitation
du
mont
Ity.
15. Coût
prévisionnel
:
400
millions
F
CFA
en
2011
(Ne
concerne
que
la
SMI).
6. Bénéficiaires
:
La
Société
des
Mines
d’Ity,
l’Etat
via
les
multiples
contributions
financières
de
la
SMI
(impôts,
redevance,
patentes,
dividendes),
les
populations
locales
via
l’emploi
et
l’aide
à
la
région
grâce
à
l’activité
minière
dans
la
région
d’Ity.
9. Activités
à
réaliser
La
séquence
des
travaux
prévus
est
la
suivante
:
-‐‑ une
étude
géotechnique
en
parallèle
pour
déterminer
les
angles
de
fosse
;
-‐‑ la
réalisation
d’un
modèle
géologique
incluant
les
sondages
à
ce
jour
(anciens
+
nouvelle
campagne
en
carotté
faite
en
2010)
-‐‑ la
réalisation
d’un
modèle
de
blocs
et
optimisation
de
fosse
à
teneur
de
coupure
économique
;
-‐‑ nouveau
plan
minier
à
l’horizon
2012
voire
2017
;
-‐‑ mise
sur
pied
d’un
système
à
Ity
sur
Surpac
permettant
la
programmation
mensuelle
-‐‑ formation
de
notre
Ingénieur
des
Mines
et
notre
Géologue
minier
à
la
planification
minière.
14. Partenaires
:
La
Mancha,
Arethuse
Geology,
AREVA
BG
Mines,
éventuellement
SGS
Canada.
15. Coût
prévisionnel
:
39.357
millions
F
CFA
(2011)
;
ne
concerne
que
la
SMI.
Les
impacts
sur
l’environnement
sont
contrôlés
de
par
la
loi
(Code
minier
et
Code
l’environnement),
et
les
sites
sont
destinés
à
être
réhabilités
en
fin
d’exploitation
(réhabilitation
du
site
de
Mt
Flotouo
en
cours
d’achèvement).
19. Charges
récurrentes
:
Budget
de
la
SMI.
356/465
6. Bénéficiaires
:
La
Société
des
Mines
d’Ity,
l’Etat
via
les
multiples
contributions
financières
de
la
SMI
(impôts,
redevance,
patentes,
dividendes),
les
populations
locales
via
l’emploi
et
l’aide
à
la
région
grâce
à
l’activité
minière
dans
la
région
d’Ity.
15. Coût
prévisionnel
:
400
Millions
de
francs
CFA
en
2011
;
ne
concerne
que
la
SMI
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Difficultés
d’obtention
du
permis
de
recherches
alors
que
la
Comine
a
émis
depuis
le
25
juin
2010
un
avis
favorable
pour
la
présentation
du
dossier
de
demande
de
permis
au
Conseil
de
Ministres.
Il
est
évident
qu’aucune
activité
d’envergure
ne
peut
être
entreprise
sur
le
terrain
sans
le
décret
d’attribution
du
permis.
6. Bénéficiaires
:
TRANSLAND,
ETAT
DE
COTE
D’IVOIRE,
populations
riveraines
du
permis,
Sociétés
minières
juniors,
sociétés
de
négoce
de
produits
miniers.
• Exploitation
par
la
SODEMI
d’environ
20
tonnes
de
colombo
tantalite
de
1996
à
2002
• Synthèse
des
travaux
antérieurs
• Préparation
d’une
campagne
de
géophysique
à
réaliser
par
la
société
SNG
sur
l’ensemble
du
permis.
9. Activités
à
réaliser
- Réalisation
d’un
layonnage
du
permis
en
vue
de
la
campagne
géophysique
au
sol
;
- Réalisation
d’une
campagne
de
géophysique
au
sol
par
la
méthode
de
radiométrie
et
de
polarisation
provoquée
;
- Certification
des
réserves
du
permis
;
- Réalisation
d’une
étude
de
faisabilité
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
de
la
date
d’attribution
du
permis
au
31
décembre
2013.
15. Coût
prévisionnel
:
490
millions
F
CFA
pour
les
trois
(03)
années
du
permis
- Layonnage
et
chaînage
:
9
millions
F
CFA
- Fonçage
de
puis,
prélèvements
d’échantillons
et
analyses
:
51
millions
F
CFA
- Levés
géophysiques
:
30
millions
F
CFA
- Sondages
sur
les
anomalies
géophysiques
:
60
millions
F
CFA
- Etudes
environnementales
:
25
millions
F
CFA
- Etudes
de
préfaisabilité
:
40
millions
F
CFA
- Tests
de
productions
:
177
millions
F
CFA
- Administrations
et
imprévus
:
98
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
Exonérations
fiscales
souhaitées
de
la
part
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
en
phase
d’exploitation.
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
:
Des
mesures
de
protection
et
de
préservation
de
l’environnement
seront
prises
par
Transland
depuis
la
phase
d’exploitation
jusqu’à
la
phase
de
production.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Difficultés
d’obtention
du
permis
de
recherches
alors
que
la
Comine
a
émis
depuis
le
04
août
2010
un
avis
favorable
pour
la
présentation
du
dossier
de
demande
de
permis
au
Conseil
de
Ministres.
Il
est
évident
qu’aucune
activité
d’envergure
ne
peut
être
entreprise
sur
le
terrain
sans
le
décret
d’attribution
du
permis.
6. Bénéficiaires
:
TRANSLAND,
ETAT
DE
COTE
D’IVOIRE,
populations
riveraines
du
permis,
Sociétés
minières
juniors,
sociétés
de
négoce
de
produits
miniers.
9. Activités
à
réaliser
- Bornage
du
permis
;
- Réalisation
d’un
layonnage
du
permis
en
vue
d’une
campagne
géochimique
et
géophysique
au
sol
:
IP
(PP)
/
Résistivité
et
MAG,
- Réalisation
de
levés
géochimiques
à
mailles
de
500
x
100m
et
100
x
50m,
- Réalisation
de
tranchées
et
de
sondage
en
vue
de
la
certification
des
réserves,
- Réalisation
d’une
étude
de
faisabilité
-
10. Marqueurs
de
progrès
• Le
bornage
est
réalisé
un
(01)
mois
après
l’obtention
du
permis
de
recherches,
• La
carte
du
layonnage
de
l’ensemble
du
permis
est
obtenue
trois
(03)
mois
l’obtention
du
permis
de
recherches,
• Les
résultats
de
la
campagne
de
fonçage
des
puits
et
de
sondages
sont
disponibles
un
(01)
an
après
la
fin
de
la
campagne
géophysique,
• La
certification
des
réserves
est
réalisée
un
(01)
an
après
l’obtention
des
résultats
de
la
campagne
de
fonçage
de
puits
et
de
sondage
;
• Etude
de
faisabilité
réalisée
six
(06)
mois
après
la
certification
des
réserves.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
de
la
date
d’attribution
du
permis
au
31
décembre
2014.
15. Coût
prévisionnel
:
1
100
millions
F
CFA
pour
les
trois
(03)
années
du
permis
- Première
année
:
350
millions
F
CFA
;
- Deuxième
année
:
500
millions
F
CFA
;
- Troisième
année
:
250
millions
F
CFA.
363/465
16. Contributions
souhaitées
:
Exonérations
fiscales
souhaitées
de
la
part
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
en
phase
d’exploitation.
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
:
Des
mesures
de
protection
et
de
préservation
de
l’environnement
seront
prises
par
Transland
depuis
la
phase
d’exploitation
jusqu’à
la
phase
de
production.
2. Objectif
:
Mettre
en
exploitation
le
gisement
d’ilménite
de
Bliéron
à
compter
de
l’année
2014,
en
particulier,
certification
(géophysique,
puits
et
tranchées,
sondages)
des
réserves
du
gisement
d’ilménite
de
Bliéron
en
vue
de
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Difficultés
d’obtention
du
permis
de
recherches
alors
que
la
Comine
a
émis
depuis
le
10
septembre
2009
un
avis
favorable
pour
la
présentation
du
dossier
de
demande
de
permis
au
Conseil
de
Ministres
;
aucune
activité
d’envergure
ne
peut
être
entreprise
sur
le
terrain
sans
le
décret
d’attribution
du
permis.
6. Bénéficiaires
:
TRANSLAND,
ETAT
DE
COTE
D’IVOIRE,
populations
riveraines
du
permis,
Sociétés
minières
juniors,
sociétés
de
négoce
de
produits
miniers.
9. Activités
à
réaliser
- Analyse
par
la
Sodemi
et
AREVA
des
échantillons
prélevés
au
cours
des
campagnes
antérieures,
- Réalisation
d’un
layonnage
du
permis
en
vue
d’une
seconde
campagne
géophysique
au
sol
à
mailles
resserrées,
- Réalisation
d’une
campagne
de
géophysique
au
sol
par
la
méthode
de
radiométrie,
- Campagne
de
géophysique
en
vue
de
la
certification
des
réserves,
- Certification
des
réserves
du
permis
sur
la
base
des
résultats
des
analyses
au
laboratoire,
- Réalisation
d’une
étude
de
faisabilité
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
de
la
date
d’attribution
du
permis
au
31
décembre
2014.
14. Partenaires
:
SODEMI,
AREVA,
Etat
de
Côte
d’Ivoire,
populations
riveraines
du
permis.
15. Coût
prévisionnel
:
750
millions
F
CFA
pour
les
trois
(3)
année
du
permis.
16. Contributions
souhaitées
:
Exonérations
fiscales
souhaitées
de
la
part
de
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire
en
phase
d’exploitation.
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
:
Des
mesures
de
protection
et
de
préservation
de
l’environnement
seront
prises
par
Transland
depuis
la
phase
d’exploitation
jusqu’à
la
phase
de
production.
Projet
:
EVALUATION
DU
POTENTIEL
AURIFERE
DU
PERMIS
DE
RECHERCHE
N°
222
Code
d’action
:
M&G_ERN/CT_35
1. Orientation
:
Le
projet
résume
les
stratégies
et
les
actions
à
mettre
en
œuvre
pour
tester
le
potentiel
aurifère
du
permis
de
recherche
N°
222
situé
dans
le
département
de
Guiglo.
2. Objectif
:
Mettre
en
évidence
et
exploiter
plusieurs
gisements
d’or
sur
l’ensemble
du
territoire
ivoirien
afin
de
contribuer
à
l’accroissement
de
la
production
aurifère
nationale,
par
l’évaluation
du
potentiel
minier
du
permis
de
recherche
N°
222.
La
première
phase
des
travaux
géologiques,
géochimiques
et
géophysiques
que
nous
avons
entrepris
sur
le
permis
N°
222
ont
donné
des
résultats
satisfaisants
confirmant
la
shear
zone
exploitée
par
des
orpailleurs.
Sur
la
base
de
ces
premiers
résultats,
nous
pouvons
dire
que
le
permis
N°
222
renferme
un
bon
potentiel
aurifère
qu’il
faille
tester
à
travers
un
programme
d’exploration
conséquent.
6. Bénéficiaires
:
GOLDEN
ORIOLE,
Etat
et
populations
locales,
Professionnels
du
secteur
minier
et
populations
riveraines.
368/465
7. Action
antérieures
ou
en
cours
:
2
500
échantillons
géochimiques
ont
été
prélevés
et
analysés
;
40
000
mètres
de
layons
ont
fait
l’objet
de
levés
géophysiques
(méthode
de
magnétisme
au
sol)
;
deuxième
campagne
de
géochimie
et
géophysique
en
préparation.
9. Activités
à
réaliser
Dans
le
cas
favorable
des
résultats
pour
chaque
stade
des
travaux
d’exploration,
les
actions
ci-‐
dessous
seront
menées
:
12. Maître
d’ouvrage
:
Les
compagnies
SHANTA
GOLD
et
PLANET
MINERALS
basées
en
Tanzanie,
en
Australie
et
en
Afrique
du
Sud,
société
mère
de
Golden
Oriole
SARL.
13. Maître
d’œuvre
:
Société
Golden
Oriole
SARL
dont
lé
siège
est
à
Abidjan-‐Cocody.
14. Partenaires
:
PLANET
MINERALS
;
Sociétés
de
prestation
de
services
dans
le
domaine
minier
;
Terrain
capital
(cotation
en
bourse).
369/465
16. Coût
prévisionnel
:
5
500
millions
F
CFA
(10
millions
de
US
$)
pour
les
travaux
de
recherche
et
de
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
-‐‑ Les
voies
d’accès
seront
conçues
de
manière
à
éviter
les
zones
abritant
plus
de
végétation
;
-‐‑ Le
nettoyage
de
tous
les
déchets
provenant
du
sondage
sera
fait
à
la
fin
de
la
campagne
d’exploration
;
-‐‑ Une
éventuelle
indemnisation
sera
envisagée
pour
les
propriétaires
des
terrains
affectés
et
endommagés.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
GOLDEN
ORIOLE
–
CI
et
partenaires.
370/465
Projet
:
RECHERCHE
ET
MISE
EN
EVIDENCE
DE
GISEMENTS
D’OR
DANS
LES
REGIONS
D’ABENGOUROU
ET
D’AGBOVILLE
Code
d’action
:
M&G_ERN/CT_37
1. Orientation
:
Après
la
crise
politique
qui
a
secoué
la
Côte
d’Ivoire
et
qui
a
provoqué
la
suspension
des
activités
d’exploration,
le
projet
de
Golden
Star
Exploration
Côte
d’Ivoire
vise
la
mise
en
œuvre
des
programmes
de
sondage
sur
l’ensemble
de
ses
permis.
2. Objectif
:
Découvrir
des
gisements
d’or
sur
les
permis
PR
189,
PR
209
et
PR
211.
Les
épais
profils
d’altération
empêchant
une
bonne
cartographie,
les
programmes
de
sondages
permettront
de
compléter
la
cartographie
des
zones
explorées.
La
situation
politique
étant
de
plus
en
plus
rassurant,
Golden
Star
Exploration,
à
travers
ce
projet
se
propose
d’exécuter
ses
programmes
de
sondages
en
vue
d’achever
son
programme
initial
d’exploration
qui
pourrait
nous
conduire
à
la
mise
en
évidence
de
gisements
d’or.
371/465
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Sensibiliser
les
populations
concernées
(Abengourou
et
Agboville)
et
obtenir
leur
adhésion
pour
le
processus
de
compensation
des
champs
qui
seront
détruits
par
les
travaux
de
sondages
programmés.
6. Bénéficiaires
:
Populations
locales
;
Jeunes
diplômés
dans
le
domaine
des
mines
;
Etat
;
collectivités
locales
et
territoriales
;
Opérateurs
du
secteur
minier
spécialisés
dans
l’exploration
et
l’exploitation
;
sociétés
prestataires
du
secteur
minier.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Sondages
RAB
;
-‐‑ Sondages
RC
;
-‐‑ Sondages
carottés
;
-‐‑ Estimation
des
ressources.
14. Partenaires
- Administration
minière
- Autorités
administratives
et
coutumières
locales
;
- Sociétés
prestataires
dans
le
secteur
minier.
15.Coût
prévisionnel
:
500
millions
F
CFA
par
permis
de
recherche,
dont
-‐‑ Compensation
des
cultures
:
50
millions
F
CFA
-‐‑ Travaux
de
terrassement
:
40
millions
F
CFA
-‐‑ Sondages
RAB/RC
:
110
millions
F
CFA
-‐‑ Sondages
carottés
:
300
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
Golden
Star
reste
ouvert
pour
d’éventuelles
discussions
qui
pourront
déboucher
sur
un
partenariat.
18. Impacts
sur
les
ODM/Environnement
:
La
réalisation
des
travaux
de
sondage
vont
nécessiter
un
besoin
important
de
main
d’œuvre
locale,
ce
qui
va
permettre
de
freiner
l’exode
rural
et
donc
favoriser
l’insertion
des
jeunes
dans
le
tissu
économique.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Golden
Star
Resources
Limited,
compagnie
mère
de
Golden
Star
Exploration
Côte
d’Ivoire
Limited.
373/465
2. Objectif
:
Découvrir
un
gisement
d’or
économiquement
viable
dans
les
délais
prescrits
par
le
code
minier.
3. Description
de
la
situation
Au
cours
des
années
60
à
70,
la
SODEMI
a
entrepris
un
programme
national
d’exploration.
La
plupart
des
données
collectées
étaient
enregistrées
et
débattus
dans
plusieurs
rapports.
De
janvier
1994,
après
la
dévaluation
de
la
monnaie
nationale
le
CFA
(qui
est
la
monnaie
commune
à
huit
pays
d’Afrique
de
l’Ouest),
l’activité
minière
s’est
énormément
intensifiée
en
Côte
d’Ivoire
avec
la
présence
de
plusieurs
compagnies
internationales
en
Afrique
de
l’Ouest.
Durant
cette
période,
toute
la
région
d’Odienné
(d’Odienné
jusqu’à
la
frontière
du
Mali
dans
le
Nord)
était
bien
couverte
par
des
concessions
d’exploration
appartenant
à
Trillion
Ressources,
Cluff
Mining,
SODINAF,
RandGold,
BHP
et
les
autres.
La
région
de
Konela
dans
la
partie
Nord
Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire,
située
dans
les
districts
de
Minignan
à
l’Ouest
et
de
Tienko
à
l’Est,
était
explorée
par
Normandy
LaSource
avec
des
travaux
géochimiques
qui
comprenaient
des
échantillons
de
streams
sediments,
des
travaux
géochimiques
sols,
et
des
échantillonnages
de
termitières.
3200
échantillons
avaient
été
collectés
et
analysés
à
SGS
Ghana
pour
l’Or.
La
campagne
de
stream
sédiment
avait
couvert
l’entièreté
du
Permis.
La
compilation
des
données
que
nous
avons
effectuées
sur
l’historique
des
activités
d’exploration
effectuée
en
2004,
a
mise
en
évidence
une
anomalie
géochimique
de
plus
de
10
km
de
long
et
de
400
Km
de
large
qui
nécessite
un
programme
de
tranchées
et
de
sondage
pour
une
meilleure
définition
de
l’étendue
de
l’anomalie.
Ce
potentiel
aurifère
a
conforté
JOFEMA
Mineral
Resources
dans
l’idée
de
faire
la
demande
d’un
permis
de
recherche
sur
ce
site
et
l’a
obtenu
le
15
Septembre
2005.
Le
Permis
a
une
période
de
validité
de
trois
(3)
ans.
Le
Permis,
d’une
superficie
de
680km²
est
dénommé
«
Konela
»
et
est
immatriculé
sous
le
N°
179.
Une
demande
d’extension
du
permis
au
Sud
a
été
accordée
le
24
juin
2009.
La
surface
du
Permis
a
été
augmentée
de
144km².
La
superficie
totale
du
Permis
passe
alors
à
812.4
km²
à
l’exclusion
de
la
Forêt
Classée
du
Mont
Manda.
Suite
au
conflit
armé
dans
le
pays
et
à
la
partition
du
pays
en
deux
blocs,
l’exploration
n’a
pu
commencer
qu’au
début
du
2ème
trimestre
2007,
après
que
les
Forces
Nouvelles
aient
procédé
à
la
délivrance
des
autorisations
requises.
Une
demande
de
prorogation
de
la
date
de
validité
du
Permis
a
été
soumise
le
29
février
2008
au
Ministère
des
Mines
et
de
l’Energie
qui
nous
a
accordé
une
extension
de
18
mois
et
10
jours
additionnels,
reportant
ainsi
à
plus
tard
la
demande
du
premier
renouvellement
de
Permis
(décret
N°028).
La
date
initiale
d’expiration
étant
le
15
septembre
2008.
JOFEMA
est
entrée
en
Joint
Venture
avec
MinEx
Projects
(Pty)
Ltd,
société
d’origine
Sud
Africaine,
pour
explorer
l’or
et
les
métaux
associés
sur
le
Permis
Konela.
Un
minimum
d’investissement
d’un
montant
de
FCFA
275,
000,000
devra
être
réalisé
sur
le
Permis
durant
cette
période
de
trois
ans.
375/465
4. Coût
des
risques
Les
risques
sur
le
développement
de
ce
projet
sont
essentiellement
liés
aux
problèmes
généraux
de
la
sécurité
qui
trouveront
sans
aucun
doute
une
solution
dans
la
réunification
effective
du
pays.
L’impact
financier
de
ce
risque
s’apprécie
plus
en
matière
de
coûts
d’opportunités.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Idem
qu’au
point
(4)
6. Bénéficiaires
a) Les
associés
de
JOFEMA
Mineral
Resources
b) Les
partenaires
de
la
Joint
Venture
376/465
c) L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
en
cas
de
découverte
d’une
mine
et
conformément
aux
dispositions
du
Code
Minier
et
de
part
les
taxes
payées
d) Les
populations
et
les
communautés
des
localités
où
se
développe
cette
activité
e) Le
personnel
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
Au
31
décembre
2010,
un
total
de
410.9
millions
F
CFA
a
été
dépensé
sur
le
permis
pour
les
travaux
suivants
réalisés
:
- Echantillonnage
géochimique
Géochimie
sol
régionale
1000m
x1000m
:
2084
échantillons
incluant
les
duplicata
Géochimie
sol
de
détail
:
4
908
échantillons
incluant
les
duplicata
Echantillonnage
sol
de
vérification
:
192
échantillons
Géochimie
sol
10m
:
218
échantillons
incluant
les
duplicata
Echantillons
de
roche
:
12
échantillons
Echantillons
de
veines
de
quartz
:
24
échantillons
- Tranchée
5
tranchées
de
3
mètres
de
profondeur
:
400
Echantillons
de
tranchée
:
200
échantillons
Standards
et
blancs
:
20
échantillons
- Sondage
Sondage
carotté
:
379.34
m
KDD-‐01:
90.41
m
KDD-‐03:
188.16
m
KDD-‐03a:
49.26
m
KDD-‐05:
51.51
m
Echantillons
de
sondage
analysés
:
368
échantillons
Standards
et
Blancs
:
39
échantillons
- Magnétométrie
au
sol
Grille
F1
:
2.2
km2
(23
lignes)
Grille
F2
:
6.0km2
(61
lignes)
Grille
F3
:
6.25km2
(63.5
lignes)
- Autres
Cartographie
des
sols
Cartographie
des
latérites
Construction
de
route
:
environ
8
km
Pétrographie
377/465
Travaux
à
venir
:
- Echantillonnage
géochimique
de
détail
sur
l’anomalie
Sud
Un
programme
d’échantillonnage
géochimique
de
détail
doit
couvrir
la
grande
anomalie
régionale
située
au
sud
du
fleuve
Baoulé.
Deux
zones
prioritaires
se
dégagent:
une
un
peu
petite
au
SE
appelée
Nabagala
et
l’autre
plus
large
au
NW
qu’on
appellera
Madina.
Les
échantillons
seront
prélevés
sur
des
lignes
orientées
NE-‐SW
(40°-‐220°)
qui
permettront
de
recouper
l’anomalie
de
façon
perpendiculaire.
Au
total
5500
échantillons
de
sol
seront
prélevés
en
2011.
Madina
Nabagala
Programme
d'échantillonnage
à
réaliser
pour
couvrir
l'anomalie
régionale
au
sud
du
fleuve
Baoulé
- Géophysique
aéromagnétique
La
magnétométrie
au
sol
s’est
révélée
comme
un
bon
outil
pour
l’identification
des
zones
de
contact
lithologique,
la
détermination
des
structures
de
shear
zone
qui
pourrait
abriter
de
potentielles
minéralisations
aurifères.
La
carte
mag
régionale
indique
des
linéaments
magnétiques
de
direction
générale
NW-‐SE
qui
coïncident
avec
la
géochimie.
La
minéralisation
en
or
se
situe
le
long
de
cette
structure
qui
a
été
interprétée
comme
étant
un
système
de
shear
intrudé
par
un
granitoïde
felsique.
378/465
Cette
carte
régionale
mag
ne
donne
aucune
indication
au
Sud
du
fleuve
Baoulé.
Une
géophysique
mag
de
grande
résolution
serait
donc
nécessaire
pour
nous
permettre
de
mettre
en
évidence
des
linéaments
mag
semblables
à
ceux
de
l’anomalie
Nord.
Si
nous
n’avons
pas
d’aéromag,
c’est
le
mag
au
sol
qui
sera
utilisé
sur
des
zones
sélectionnées
pour
des
sondages.
- Analyse
multi-‐éléments
Jusqu’à
ce
jour,
tous
nos
échantillons
ont
été
analyses
seulement
pour
l’or.
Dans
plusieurs
mines
la
minéralisation
aurifère
est
souvent
associée
avec
d’autres
éléments
tels
que
l’Arsénique,
l’argent,
le
cuivre,
etc.
Ici
nous
n’avons
aucune
information
de
ce
genre.
C’est
pourquoi
nous
prévoyons
de
sélectionner
trois
lignes
sur
lesquelles
l’échantillonnage
est
espacé
de
10m
pour
faire
des
analyses
multi-‐éléments.
On
choisira
une
ligne
à
F1,
une
seconde
à
F2
et
la
troisième
sur
l’anomalie
de
Kehi
- Sondage
RAB
Campagne
RAB
de
20,000m
sur
les
anomalies
F1,
F2,
F3
et
Kehi
qui
permettra
de
mieux
localiser
les
zones
minéralisées
- Sondage
carotté
Les
anomalies
qui
seront
identifiées
par
la
campagne
RAB
seront
testées
par
sondage
carotté.
Le
trou
de
sondage
KDD-‐02
programmé
à
F2
pour
tester
la
zone
minéralisée
délimitée
dans
la
tranchée
F2T1
reste
valable.
A
Kehi
également
KDD-‐04
reste
au
programme
pour
tester
la
zone
minéralisée
de
la
tranchée
KT1.
Pour
avoir
une
meilleure
définition
de
la
direction
du
pendage
et
la
puissance
de
la
zone
minéralisée
de
F1,
des
sondages
carottés
qui
seront
inclinés
vers
le
SW
et
vers
le
NE
sont
nécessaires.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
dressées
au
point
ci-‐dessus.
9.
Activités
à
réaliser
:
dressées
au
point
ci-‐dessus.
10. Marqueurs
de
progrès
a) Les
résultats
de
la
campagne
de
géophysique
sont
disponibles
et
permette
de
les
inclure
dans
un
contexte
géo-‐structural
qui
permettra
un
meilleur
positionnement
des
sites
à
forer,
et
des
zones
à
échantillonner.
Enfin
cela
permettra
une
optimisation
des
ressources
financières
disponibles.
b) La
campagne
de
forage
RAB
est
achevée,
la
compilation
des
données
permet
de
cibler
les
zones
à
forer
par
carottage.
c) Les
analyses
multi-‐éléments
sont
terminées
:
le
site
regorge
d’autres
types
de
minerais.
11. Période
d’exécution
:
Deux
ans
à
partir
de
la
date
du
premier
renouvellement
du
Permis
;
en
attente
du
renouvellement
par
le
Ministère
des
Mines.
12. Maître
d’ouvrage
:
JOFEMA
Mineral
Resources
et
son
Partenaire
MINEX
379/465
13. Maitre
d’œuvre
:
JOFEMA
Mineral
Resources
et
son
Partenaire
MINEX
14. Partenaires
:
MINEX
Project
(Pty)
South
Africa
15. Coûts
prévisionnels
:
275
Millions
FCFA
16. Contributions
souhaitées
a) Obtention
rapide
des
renouvellements
de
permis
b) Obtention
rapide
des
demandes
de
permis
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
:
L’activité
minière
en
Côte
d’Ivoire
est
régie
par
le
Code
Minier.
La
réglementation
est
prévue
pour
que
cette
activité
soit
menée
conformément
aux
dispositions
sur
l’environnement.
L’activité
minière
est
un
puissant
facteur
de
développement
du
fait
qu’elle
suscite
bien
souvent
la
création
d’une
ville
au
tour
de
la
mine
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Privé
380/465
2. Objectif
:
Découvrir
un
gisement
d’or
économiquement
viable
dans
les
délais
prescrits
par
le
Code
Minier.
3. Description
de
la
situation
Le
Permis
La
Debo
est
situé
au
Sud
Ouest
de
la
Côte
d’Ivoire,
approximativement
à
280km
à
l’Ouest
d’Abidjan
et
140km
au
Sud
Ouest
de
la
capitale
Yamoussoukro.
Le
Permis
couvre
trois
districts,
Soubré,
Gagnoa
et
Guibéroua.
Les
villes
les
plus
proches
du
Permis
sont
Soubré,
et
Gagnoa,
joignables
par
voies
bitumées.
SODEMI,
BHP
Minerals
et
Normandy
La
Source,
respectivement
ont
entrepris
des
activités
d’exploration
minière
sur
le
permis,
consistant
en
l’échantillonnage
de
stream,
sol
et
de
roches.
Les
informations
recueillies
mettent
en
évidence
l’existence
d’une
anomalie
stream
sediment
longue
de
plus
de
8
km
et
large
de
5km
qui
nécessite
un
programme
d’analyses
d’échantillons
de
sols.
Suite
à
la
situation
politique
instable,
aucun
autre
travail
n’a
été
entrepris
sur
le
terrain
jusqu’à
ce
que
JOFEMA
n’entre
en
activité
en
2005.
Le
Permis
appelé
La
Debo,
s’étend
sur
une
superficie
de
950
km²
et
est
immatriculé
sous
le
N°
178.
JOFEMA
est
entrée
en
Joint
Venture
avec
MinEx
Projects
(Pty)
Ltd,
société
d’origine
Sud
Africaine,
pour
explorer
le
Permis
La
Debo
Une
demande
de
renouvellement
du
Permis
a
été
soumise
depuis
le
24
Juin
2008
à
l’Administration
à
cet
effet
et
conformément
au
Code
Minier,
le
Permis
a
été
réduit
à
549
km².
Le
Permis
a
été
renouvelé
le
3
février
2009
pour
une
période
de
2
ans
finissant
le
15
septembre
2010.
382/465
Situation
géographique
du
Permis
de
Recherche
La
Debo
PR
N°
178
(en
rouge)
sur
la
carte.
Les
villes
de
Soubré
et
Gagnoa
sont
représentées
dans
le
spot
jaune.
4. Coût
des
risques
Le
Permis
La
Debo
se
situant
dans
une
zone
sous
contrôle
gouvernemental,
est
néanmoins
exposé
aux
risques
de
développement
liés
aux
problèmes
généraux
de
la
sécurité
qui
trouveront
sans
aucun
doute
une
solution
dans
la
réunification
effective
du
pays.
Aussi
la
région
de
Gagnoa
et
de
Soubré
est
une
région
de
forêt
recouverte
de
plantations.
La
cohabitation
avec
les
planteurs
constitue
un
risque
potentiel
de
conflits
dont
les
plantations
pourraient
subir
des
destructions
nécessaires
à
la
création
des
voies
d’accès
pour
l’exploration.
En
ce
qui
concerne
la
sécurité,
l’impacte
financier
de
ce
risque
s’apprécie
plus
en
matière
de
couts
d’opportunités,
en
d’autres
termes,
ce
sont
les
dépenses
d’exploration
que
nous
ne
pouvons
pas
faire
du
fait
de
la
situation
qui
prévaut.
Concernant
la
destruction
des
plantations
l’évaluation
des
indemnités
pour
dédommagement
s’opère
par
cas,
en
concertation
avec
les
populations,
le
Directeur
Régional
des
Mines,
le
Représentant
du
Ministère
de
l’Agriculture,
les
autorités
préfectorales
et
sous
préfectorales,
les
autorités
locales
et
toute
personne
concernée
par
le
sujet.
383/465
Cartographie
géologique
Voies
d’accès
:
Approximativement
8km
Construction
de
ponts
:
4
Echantillons
de
roches
:
40
échantillons
Travaux
de
Pétrographie
Travaux
à
venir
:
Intensification
des
forages
carottés.
Dépendant
des
résultats
du
programme
de
sondage,
un
programme
additionnel
est
prévu.
Cela
sera
exécuté
en
le
couplant
à
du
forage
de
RC
pour
les
in-‐fill.
Le
forage
se
concentrerait
pour
confirmer
l’étendue
de
l’inclinaison
de
la
zone
minéralisée
ou
la
profondeur
des
zones.
Il
est
envisagé
de
calculer
une
ressource
préliminaire
au
cours
de
cette
année
et
des
ressources
classifiées
dans
les
18
mois.
a. Suivi
de
l’échantillonnage
géochimique
L’échantillonnage
régional
découvrit
une
tendance
géochimique
anomale
9000m
NNE-‐SSW
qui
coïncide
avec
la
tendance
des
linéaments
magnétiques
NNE-‐SSW.
En
premier
lieu,
la
zone
anomale
sera
échantillonnée
sur
une
étude
de
500m
x500m
pour
obtenir
une
meilleure
définition
de
l’anomalie.
Cette
étude
sera
suivie
d’un
échantillonnage
sol
détaillé
dans
une
grille
de
200x50m.
Ici
les
échantillons
seront
prélevés
tous
les
25m
et
composites
à
chaque
50m.
Il
est
prévu
collecter
3600
environ
échantillons
b. Echantillonnage
de
vérification
à
10m
L’échantillonnage
sol
de
control
à
10m
passe
pour
être
très
bénéfique
pour
localiser
de
façon
précise
la
zone
minéralisée.
Il
est
prévu
de
faire
des
lignes
de
vérification
additionnelles
sur
chaque
site
de
forage.
Le
nombre
total
d’échantillons
sol
à
collecter
n’est
pas
encore
connu
à
ce
stade,
cependant,
ce
sera
de
l’ordre
de
2000
échantillons
sols
c. Auger
Drill
Les
tranchées
ont
aidé
à
obtenir
les
informations
supplémentaires
sur
la
lithologie,
la
direction
inclinée
des
foliations
et
la
direction
inclinée
des
veines
et
donc
de
la
minéralisation.
En
plus,
les
zones
de
minéralisation
pourraient
être
localisées
très
précisément
et
les
puits
pourraient
être
indiqués
très
rapidement.
Ensemble
les
résultats
des
forages
et
les
résultats
des
analyses
des
tranchées,
pourront
aider
à
mieux
comprendre
la
situation..
Les
résultats
or
des
tranchées
seront
aussi
bien
utiles
pour
la
modélisation
des
ressources.
Pour
des
raisons
de
sécurité
et
pour
éviter
les
nuisances
en
minimisant
les
impacts
négatifs
sur
les
productions,
Il
est
prévu
de
faire
des
Auger
drill
en
lieu
et
place
des
tranchées
si
les
résultats
de
la
première
phase
de
forage
se
révèlent
négatifs.
d. Travaux
de
Géophysique
L’étude
aéro-‐magnétique
régionale
dévoila
des
linéaments
magnétiques
intéressants,
parallèles
aux
anomalies
géochimiques.
L’étude
géophysique
régionale
est
cependant
très
pauvre
en
résolution.
Pour
obtenir
une
meilleure
résolution
et
avoir
une
meilleure
385/465
compréhension
des
linéaments
magnétiques,
il
a
été
décidé
de
conduire
une
étude
aéro-‐
magnétique
plus
fraîche
sur
tout
le
permis
avant
fin
décembre
2011.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
dressées
au
point
ci-‐dessus
9. Activités
à
réaliser
:
dressées
au
point
ci-‐dessus
10. Marqueurs
de
progrès
- Les
résultats
de
la
campagne
de
géophysique
sont
disponibles
et
permette
de
les
inclure
dans
un
contexte
géo-‐structural
qui
permettra
un
meilleur
positionnement
des
sites
à
forer,
et
des
zones
à
échantillonner.
Enfin
cela
permettra
une
optimisation
des
ressources
financières
disponibles.
- La
campagne
de
forage
carotté
est
en
cours,
la
compilation
des
données
permet
de
cibler
les
zones
in-‐fill
à
forer
par
RC.
Objectif,
avoir
des
données
sur
les
ressources
préliminaires
et
des
ressources
classifiées
dans
les
18
mois.
- L’échantillonnage
géochimique
est
achevée
les
analyses
des
échantillons
sont
effectuées.
De
nouvelles
cibles
à
tester
par
forage
carotté
?
11. Période
d’exécution
:
Deux
ans
à
partir
de
la
date
du
deuxième
renouvèlement
du
Permis
;
en
attente
signature
du
renouvellement
par
le
Ministère
des
Mines.
12. Maitre
d’ouvrage
:
JOFEMA
Mineral
Resources
et
son
Partenaire
MINEX
13. Maitre
d’œuvre
:
JOFEMA
Mineral
Resources
et
son
Partenaire
MINEX
14. Partenaires
:
MINEX
Project
(Pty)
South
Africa
15. Couts
prévisionnels
:
640
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
- Obtention
rapide
des
renouvellements
de
permis
- Obtention
rapide
des
demandes
de
permis
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/environnement
:
L’activité
minière
en
Côte
d’Ivoire
est
régie
par
le
Code
Minier.
Toute
une
réglementation
est
prévue
pour
que
cette
activité
soit
menée
conformément
aux
dispositions
sur
l’environnement.
L’activité
minière
est
un
puissant
facteur
de
développement
du
fait
qu’elle
suscite
bien
souvent
la
création
d’une
ville
au
tour
de
la
mine
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
Privé
386/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Mettre
en
valeur
le
gisement
de
Fer
de
Monogaga-‐Victory
et
créer
une
mini-‐aciérie.
3. Description
de
la
situation
-‐‑ Ressources
de
plus
de
140
millions
de
tonnes
de
minerai
à
42,70%
Fe
identifiés
par
la
SODEMI
;
-‐‑ Evolution
favorable
du
marché
mondial
de
fer
;
-‐‑ Existence
des
infrastructures
de
base
nécessaire
à
la
réalisation
du
projet.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
-‐‑ Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
-‐‑ Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
-‐‑ Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
d’exploration.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
150
000
000
FCFA.
5. Contraintes
-‐‑ Manque
de
financement
;
-‐‑ Baisse
du
cours
du
fer
;
-‐‑ Ressources
minérales
insuffisantes
pour
une
exploitation
économique
6. Bénéficiaires
-‐‑ Les
promoteurs
du
projet
;
-‐‑ Le
secteur
minier
ivoirien
;
-‐‑ Les
populations
riveraines
de
la
zone
du
projet
par
la
création
d’emplois
;
-‐‑ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts.
7. Cible
-‐‑ Industries
sidérurgiques
en
Côte
d’Ivoire
;
-‐‑ Marché
mondial
de
fer.
387/465
M A L I
TINGRELA
Nielle
BURKINA FASO
Ouangolodougou
ODIENNE FERKESSEDOUGOU
BOUNDIALI
KORHOGO
BOUNA
G U I N E E
Tafire
Tortiya
Feredougouba
TOUBA DABAKALA
KATIOLA BONDOUKOU
Mankono
SEGUELA
Sassand
BIANKOUMA BOUAKE
ra
G H A N A
Guessabo
Nz
o
DUEKOUE ABENGOUROU
SINFRA BONGOUANOU
Guiglo ISSIA TOUMODI
TOULEPLEU
Buyo
Sass
an ADZOPE
dr
a GAGNOA
Tai
SOUBRE DIVO
LIBERIA
ABOISSO
Dabou
ABIDJAN
GRAND-LAHOU BINGERVILLE
Ebrie
Lagune
Jacqueville GRAND-BASSAM
SASSANDRA
SAN-PEDRO
Berebi ATLANTIQUE
N
TABOU
OCEA
10 0 50 100 Km
Scénario 1 474 km
Scénario 2 479 km
PROJET DE CONSTRUCTION DU CHEMIN DE FER
660 km
Scénario 3 SAN PEDRO - MONT NIMBA
Scénario 4 737 km Tracé de voie des 4 scénarios à l'étude
393/465
6. Bénéficiaires
:
Les
premiers
bénéficiaires
directs
de
ce
projet
sont
le
Port
Autonome
de
San
Pedro
et
les
sociétés
minières
qui
devront
importer
des
intrants
de
grands
volumes
et
exporter
les
produits
issus
de
leurs
exploitations.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Le
projet
du
wharf
minéralier
s’inscrit
dans
le
schéma
directeur
du
Port
Autonome
de
San
Pedro.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Le
projet
de
construction
du
wharf
et
d’un
terminal
minéraliers
consiste
en
la
construction
d’un
appontement
avancé
dans
la
mer
pour
permettre
le
chargement
de
navires
minéraliers
de
grande
capacité
et
le
déchargement
de
navires
pétroliers,
au
dimensionnement
d’ouvrages
de
protection,
et
en
l’aménagement
et
équipement
d’une
nouvelle
zone
portuaire
pour
le
stockage
et
la
manutention
des
produits
miniers
et
pétroliers.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Collecter
les
données
et
paramètres
nécessaires
à
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Mobiliser
le
financement
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Réaliser
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Mobiliser
des
fonds
pour
la
construction
du
wharf
;
-‐‑ Construire
le
wharf
minéralier.
10. Marqueurs
de
progrès
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Rapport
d’étude
de
faisabilité
disponible
;
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
la
réalisation
du
wharf
;
-‐‑ Wharf
minier
construit
et
livré.
11. Période
d’exécution
:
La
réalisation
de
ce
wharf
se
fera
sur
une
période
de
5
ans,
à
compter
de
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
13. Maître
d’œuvre
:
Port
Autonome
de
San
Pedro
(PASP),
Bureau
National
d’Etudes
Techniques
et
de
Développement
(BNETD),
Société
pour
le
Développement
Minier
de
Côte
d’Ivoire
(SODEMI).
14. Partenaires
:
Consortium
d’opérateurs
miniers
et
financiers.
L’on
pourrait
citer
la
SODEMI
et
ses
partenaires
miniers
disposant
de
gisements
dans
l’ouest
de
la
côte
d’Ivoire.
Aussi,
la
BAD
et
l’UE
qui
financent
les
études
de
développement
du
port
pourraient
financer
la
phase
de
réalisation
de
ce
projet.
15. Coût
prévisionnel
:
150
000
millions
F
CFA
395/465
1. Orientation
:
Développement
du
secteur
minier
pour
une
amélioration
de
sa
quote-‐part
au
PIB
national.
2. Objectif
:
Mettre
en
valeur
les
gisements
de
fer
des
monts
Gao
et
Totro-‐Segaye.
3. Description
de
la
situation
-‐‑ Ressources
d’environ
715
millions
de
tonnes
de
minerai
à
40%Fe
mises
en
évidence
dans
les
chaines
de
collines
de
quartzites
à
magnétite
à
l’ouest
de
Bangolo
par
les
travaux
antérieurs
;
-‐‑ Evolution
favorable
du
marché
mondial
de
fer.
§ 2014-‐2015:
175
000
millions
F
CFA
(350
millions
$US)
pour
la
construction
de
la
mine
;
§ 2014-‐2015:
250
000
millions
F
CFA
(500
millions
$US)
pour
la
construction
des
infrastructures
de
transport.
16. Contributions
souhaitées
§ Phase
d’exploration
jusqu’à
l’étude
de
faisabilité
:
-‐‑ TATA
STEEL
LIMITED
:
75
000
000
$US
soit
100%
du
financement.
§ Phase
d’exploitation
:
Les
coûts
réels
d’exploitation
seront
déterminés
par
l’étude
de
faisabilité.
Ainsi,
sur
la
base
de
l’existant,
le
financement
est
réparti
comme
suit
:
-‐‑ SODEMI
:
8.33
%,
soit
305
402.5
millions
F
CFA
(70
805
000
$US);
-‐‑ TATA
STEEL
LIMITED
:
91,67
%,
soit
389
597.5
millions
F
CFA
(779
195
000
$US),
pour
construire
la
mine
et
les
infrastructures
de
transport.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD
/Environnement
La
mise
en
exploitation
d’un
gisement
minier
constitue
un
accélérateur
de
développement
régional.
Toute
la
région
des
Dix
huit
montagnes
bénéficiera
des
retombées
de
la
mine
par
la
création
de
milliers
d’emplois.
Le
projet
contribuera
à
la
création
d’une
industrie
sidérurgique
en
Côte
d’Ivoire,
à
la
réduction
de
la
pauvreté
et
améliorera
les
ressources
financières
de
l’Etat.
Phase
d’exploration
:
légère
perturbation
de
l’écosystème.
Phase
d’exploitation
:
Le
projet
présente
des
risques
de
dégradation
des
sols
et
de
la
végétation,
de
contamination
des
eaux
souterraines,
des
nuisances
sonores
et
d’altération
de
la
qualité
de
l’air
due
aux
poussières.
Toutefois,
ces
risques
sont
fortement
atténués
du
fait
de
l’éloignement
du
projet
des
sites
d’habitations
et
de
la
mise
en
application
des
recommandations
de
l’étude
d’impact
environnemental
et
social.
19. Financement
des
charges
récurrentes
§ En
phase
d’exploration
TATA
STEEL
CI
assure
les
charges
de
fonctionnement.
§ En
phase
d’exploitation
TATA
STEEL
CI
assure
les
charges
de
fonctionnement
jusqu’à
l’autonomie
financière
du
projet.
399/465
2. Objectif
:
Augmenter
les
réserves
aurifères
dans
le
Yaouré
afin
de
changer
de
procédé
d’exploitation
en
migrant
vers
la
lixiviation
en
cuve.
Augmenter
la
durée
de
vie
de
la
mine
d’Angovia
demeure
notre
principale
priorité.
3. Description
de
la
situation
actuelle
:
La
crise
post
électorale
a
fortement
perturbé
la
production
de
la
mine
car
le
ravitaillement
n’était
plus
régulièrement
assuré.
400/465
9. Activités
à
réaliser
:
Parfaite
harmonie
entre
les
populations
riveraines
et
Cluff
Gold
afin
de
permettre
la
progression
des
travaux
dans
un
environnement
sain
et
sécurisé.
10. Marqueurs
de
progrès
:
La
mise
à
disposition
des
rapports
mensuels,
trimestriels
et
annuels
des
travaux
d’exploration.
Ces
rapports
doivent
être
soutenus
par
des
visites
périodiques
de
l’administration
sur
le
terrain
pour
conforter
les
résultats
escomptés.
11. Période
d’exécution
:
Cinq
(05)
années
effectives
pour
la
mise
en
exécution
des
travaux
de
terrain
et
de
finalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
12. Maître
d’ouvrage
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
13. Maître
d’œuvre
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
14. Partenaires
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl
et
Etat
de
Côte
d’Ivoire.
15. Coût
prévisionnel
:
Soixante
dix
(70)
milliards
F
CFA
minimum.
16. Contributions
souhaitées
:
100%
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
Les
résultats
de
l’exploration,
s’ils
sont
concluants,
permettront
d’augmenter
la
production
d’or
à
Angovia,
créer
la
main
d’œuvre
additionnelle
en
sécurisant
l’emploi
des
travailleurs
Ivoiriens
et
augmenter
les
taxes
dues
à
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire.
L’Etude
d’Impact
Environnemental
et
Social
sera
réactualisée
pour
tenir
compte
du
dimensionnement
de
l’usine.
Il
existe
déjà
une
équipe
Hygiène,
Sécurité
et
Environnement
mise
en
place
par
la
CNPS
qui
veille
à
la
protection
de
l’environnement
à
travers
des
mesures
précises
et
des
prélèvements
périodiques
des
eaux
souterraines
et
de
surface.
19. Charges
récurrentes
:
entièrement
et
exclusivement
supportées
par
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire.
402/465
2. Objectif
:
Augmenter
les
réserves
aurifères
dans
le
Yaouré
afin
de
changer
de
procédé
d’exploitation
en
migrant
vers
la
lixiviation
en
cuve.
Augmenter
la
durée
de
vie
de
la
mine
d’Angovia
demeure
notre
principale
priorité.
403/465
9. Activités
à
réaliser
:
Le
renouvellement
dans
les
meilleurs
délais
du
permis
d’exploration
en
vue
de
permettre
à
Cluff
Gold
de
continuer
et
intensifier
ses
investissements
sur
le
terrain.
10. Marqueurs
de
progrès
:
La
mise
à
disposition
des
rapports
mensuels,
trimestriels
et
annuels
des
travaux
d’exploration.
Ces
rapports
doivent
être
soutenus
par
des
visites
périodiques
de
l’administration
sur
le
terrain
pour
conforter
les
résultats
exposés.
11. Période
d’exécution
:
Cinq
(05)
années
effectives
pour
la
mise
en
exécution
des
travaux
de
terrain
et
de
finalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
12. Maître
d’ouvrage
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
13. Maître
d’œuvre
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
14. Partenaires
:
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl
et
Etat
de
Côte
d’Ivoire.
15. Coût
prévisionnel
:
soixante
dix
(70)
milliards
de
francs
CFA
minimum.
16. Contributions
souhaitées
:
100%
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire
Sarl.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
Du
point
de
vue
environnemental,
l’Etude
d’Impact
Environnemental
et
Social
sera
réactualisée
pour
tenir
compte
du
dimensionnement
de
l’usine.
Il
existe
déjà
une
équipe
Hygiène,
Sécurité
et
Environnement
mise
en
place
par
la
CNPS
qui
veille
à
la
protection
de
l’environnement
à
travers
des
mesures
précises
et
des
prélèvements
périodiques
des
eaux
souterraines
et
de
surface.
19. Charges
récurrentes
:
entièrement
et
exclusivement
supportées
par
Cluff
Gold
West
Africa
Côte
d’Ivoire.
405/465
2. Objectif
:
Démarrer
la
production
d’or
sur
le
permis
de
recherche
de
Hiré
à
l’horizon
2016
;
Obtenir
par
ailleurs
toutes
les
autorisations
administratives
requises
pour
l’exploitation
des
gisements
d’or
de
Hiré.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Obtenir
l’adhésion
des
populations
urbaines
de
Hiré,
des
propriétaires
terriens
ainsi
que
de
leurs
administrations.
6. Bénéficiaires
:
Newcrest
Côte
d’Ivoire,
Etat
de
Côte
d’Ivoire,
populations
de
la
circonscription
de
Hiré
9. Activités
à
réaliser
-‐ Finalisation
des
études
d’impact
environnemental
et
de
faisabilité
-‐ Demande
du
permis
environnemental
-‐ Demande
du
permis
d’exploitation
-‐ Négociation
et
signature
d’une
convention
minière
-‐ Démarrage
des
travaux
d’extension
de
l’usine
-‐ Demande
de
l’autorisation
de
l’extension
des
capacités
de
l’usine
de
Bonikro
-‐ Exécution
du
programme
social
de
relocalisation
des
personnes
affectées
par
le
projet
407/465
-‐ Cours
de
l’or
impactant
le
niveau
de
revenu
généré
par
les
ventes
-‐ Evolution
du
cours
de
change
des
devises
6. Bénéficiaires
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
(10%)
;
SODEMI
(5%)
;
Opérateur
:
Etruscan
Resources
Côte
d’Ivoire
/
Endeavour
Mining
Corporation
(85%)
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
§ 2004
à
2008
=
travaux
d’exploration
et
études
technique
en
vue
de
l’élaboration
de
l’étude
de
faisabilité
§ 2007
-‐
2008
=
étude
d’impact
environnementale
et
sociale
§ 2009
=
mise
à
jour
des
paramètres
économiques
de
l’étude
de
faisabilité
et
demande
de
permis
d’exploitation
§ Fin
2009
=
validation
de
l’EISE
et
obtention
du
permis
environnemental
d’exploiter
§ Fin
2010
=
lancement
d’un
programme
de
sondages
secondaires
§ Fin
2010
=
étude
sur
l’alimentation
électrique
du
site
de
Agbaou
confiée
à
SOPIE
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
- Assurer
la
direction
et
le
contrôle
du
développement
des
diverses
infrastructures
à
réaliser.
- Installer
la
direction
d’exploitation
de
la
mine
- Réduire
les
délais
de
transfert
des
installations
de
l’équipe
projet
à
l’exploitant.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Terminer
les
travaux
de
sondages
secondaires
-‐‑ Constituer
l’équipe
projet,
valider
les
conceptions
proposées
dans
l’ingénierie
de
base
(EF)
ainsi
que
le
modèle
de
financement
du
projet,
préparer
et
ouvrir
le
chantier
-‐‑ Choisir
l’ingénierie
en
charge
des
études
de
détails,
de
la
gestion
du
chantier
et
produire
les
plans
de
détail
de
fabrication
et
de
montage
-‐‑ Réaliser
les
travaux
(génie-‐civil
–
montages
structure
métalliques
/
chaudronnerie
/mécanique
/
tuyauterie
–
montage
électrique)
-‐‑ Mettre
en
service
l’unité
de
traitement
-‐‑ Créer
la
société
d’exploitation
et
mettre
en
place
son
conseil
d’administration
-‐‑ Signer
la
convention
minière
avec
l’état
-‐‑ Constituer
l’équipe
de
direction
de
l’exploitation
et
procéder
à
l’embauche
des
employés
et
à
leur
formation
-‐‑ Intégrer
l’équipe
d’exploitation
à
l’équipe
projet
pour
les
phases
de
mise
en
service
et
de
première
coulée
-‐‑ Dossiers
d’exécutions
(plans,
etc…)
terminés
=
PE
+
9
mois
(septembre
2012)
-‐‑ Construction
des
installations
terminée
=
PE
+
18
mois
(juin
2013)
-‐‑ Début
de
la
production
commerciale
=
PE
+
24
mois
(Décembre
2013)
Projet
:
EXPLOITATION
OR
SUR
LES
PERMIS
D’ODIENNE,
DANANE
ET
KATIOLA
Code
d’action
:
M&G_ERN/CT_34
1. Orientation
:
Le
projet
met
en
relief
les
méthodes
et
les
moyens
à
mettre
en
œuvre
pour
l’exploitation
de
l’or
sur
nos
sites
de
Katiola,
Odienné
et
Danané.
2. Objectif
:
Obtenir
la
documentation
administrative
pour
l’exploration
et
l’exploitation
de
l’or
dans
les
zones
d’Odienné,
Danané
et
Katiola.
3. Description
de
la
situation
Sur
nos
sites
aurifères
situés
dans
les
localités
de
Katiola,
Odienné
et
Danané,
ANGET
a
déjà
effectué
les
premiers
travaux
de
géochimie
sol
sur
le
terrain.
Cependant,
le
frein
à
l’avancée
dans
nos
activités
est
l’obtention
de
notre
permis
de
recherche
bien
que
la
demande
soit
passée
à
la
COMINE
depuis
2009.
Aujourd’hui,
avec
la
stabilité
qui
se
dessine
à
l’horizon
dans
notre
pays
nous
osons
espérer
obtenir
au
plus
tôt
le
décret
d’attribution
du
permis
de
recherche
dans
le
but
de
continuer
nos
investissements.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
:
Le
coût
des
investissements
pour
cette
année
2011
sur
les
trois
permis
s’élèvent
à
327
250
000
F
CFA.
5. Contraintes
liées
au
projet
-‐ Difficultés
liées
à
l’obtention
des
papiers
administratifs
;
-‐ Insécurité
sur
le
site
;
-‐ Conflits
communautaires
;
-‐ Insuffisances
des
réserves.
6. Bénéficiaires
-‐ Populations
des
localités
citées
-‐ Exploitant
minier
-‐ Etat,
collectivités
locales
etc.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
-‐ Géochimie
sol
déjà
réalisée
sur
les
trois
permis
suscités
;
-‐ Réalisation
d’une
campagne
de
géologie
structurale
sur
le
permis
d’Odienné.
8. Stratégie
de
mise
en
œuvre
:
Collaborer
avec
l’administration
en
vue
d’obtenir
le
décret
d’attribution
du
permis
de
recherche
d’Odienné
passé
à
la
COMINE
de
septembre
2009.
9. Activités
à
réaliser
-‐ Géochimie
sol
-‐ Stream
sediment
-‐ Sondages
RC
-‐ Sondages
carottés
-‐ Analyse
des
échantillons
10. Marqueurs
de
progrès
-‐ les
travaux
préliminaires
d’échantillonnage
sont
déjà
réalisés.
412/465
-‐ Les
bureaux
sont
déjà
équipés
et
les
équipements
en
véhicules
4
x
4
sont
déjà
disponibles.
-‐ Les
premiers
résultats
des
recherches
sont
prometteurs
11. Période
d’exécution
:
moyen
terme
(9
ans
de
2011
à
2020).
12. Maître
d’ouvrage
:
ANGET
CI
13. Maître
d’œuvre
:
ANGET
CI.
14. Partenaires
:
ANGET
CI
et
Colombus
Resources
(Australie).
15. Coûts
prévisionnels
:
11
665.259
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
-‐ Anget-‐CI
:
20%
-‐ Columbus
Resources
:
80%
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impacts
sur
les
ODM/Environnement
:
Il
est
établi
un
plan
de
réhabilitation
de
toutes
nos
exploitations
en
vue
de
protéger
au
mieux
l’environnement
et
prévenir
l’hygiène
et
la
sécurité
dans
nos
différentes
zones
aurifères.
19. Financement
des
charges
récurrentes
:
ANGET
CI
et
COLOMBUS
RESOURCE.
413/465
1. Orientation
Il
s’est
tenu
du
9
au
10
juin
un
séminaire
national
des
Mines
et
Energie.
Dans
sa
séance
d’ouverture,
le
Ministre
des
Mines
et
de
l’Energie
a
mis
l’accent
sur
la
valorisation
des
ressources
minières.
Il
a
invité
les
opérateurs
économiques
nationaux
et
internationaux
à
faire
de
la
Côte
d’Ivoire
la
plate
forme
minière
de
l’Afrique.
Car
les
intragéosynclinaux
qui
écharpent
tout
le
pays
présentent
un
contexte
métallogénique
favorable.
Les
roches
vertes
birrimiennes
ont
un
fort
potentiel
pour
l’or.
Les
opérateurs
doivent
œuvrer
à
ce
que
les
Mines
prennent
la
place
qui
leur
revient
dans
l’économie
nationale
comme
dans
les
pays
limitrophes.
2. Objectif
:
Selon
les
recommandations
du
Ministre,
les
opérateurs
doivent
découvrir
des
Mines
dans
les
trois
prochaines
années
pour
faire
du
secteur
un
pilier
important
pour
la
relance
économique
nationale.
Cela
doit
passer
par
l’intensification
de
l’activité
minière
sur
tout
le
territoire
ivoirien.
Notre
pays
a
perdu
plusieurs
millions
de
FCFA
par
ces
activités
illicites.
Pour
arrêter
cette
exploitation
sur
nos
permis,
il
faut
renforcer
les
travaux
et
aboutir
rapidement
à
une
exploitation
minière.
Cela
ne
saurait
se
faire
sans
l’obtention
de
décrets
d’attribution.
Il
faut
sensibiliser
la
population
riveraine
et
porter
à
leur
connaissance
l’intérêt
économique
que
représente
le
projet
pour
la
région.
La
facilité
du
projet
en
dépend.
L’administration
minière
soit
délivrer
les
autorisations
dans
un
temps
raisonnable
pour
permettre
aux
sociétés
minières
de
pouvoir
mettre
en
exécution
leurs
programmes
de
travail.
Evitez
pour
cela
la
lourdeur
administrative.
La
sensibilisation
de
la
population
riveraine
par
l’administration
minière.
Il
y
a
entre
autres
les
questions
de
TVA,
d’exonération
de
certains
droits
d’équipements
miniers,
de
sondeuses
et
autres
équipements
des
compagnies
de
forage,
etc.
L’actualisation
du
Code
Minier,
la
création
d’une
zone
franche.
Toutes
ces
données
serviront
d’appui
et
rendront
fluides
les
activités
que
les
opérateurs
économiques
entreprendront
en
Côte
d’Ivoire.
11. Période
d’exécution
:
Dès
la
signature
du
Décret
portant
attribution
des
permis
de
Korhogo
et
Bondoukou.
12. Maître
d’ouvrage
:
BIPTFOP
13. Maître
d’œuvre
:
BIPTFOP
415/465
Ainsi
l’exploitation
minière
à
petite
échelle
pourrait
de
façon
significative
réduire
la
pauvreté
et
freiner
l’exode
rural,
participer
à
la
préservation
et
à
la
protection
de
l’environnement
et
in
fine
accroître
sa
contribution
au
budget
de
l’Etat
Le
projet
permettra
de
recenser
et
de
fixer
les
populations
sur
les
zones
de
production,
de
lutter
contre
l’exode
rurale,
de
renforcer
les
capacités
des
artisans
à
la
préservation
et
à
la
réhabilitation
de
l’environnement
post
exploitation
d’accroître
la
contribution
du
secteur
à
l’économie
nationale.
4. Coûts
des
faiblesses
:
L’organisation
des
Nations
Unies
évalue
le
manque
à
gagner
de
la
filière
de
production
clandestine
du
diamant
à
plus
de
25
millions
de
dollars
par
an
5. Contraintes
liées
au
projet
:
-‐ Exigences
multiformes
des
populations
riveraines
des
zones
des
projets
-‐ Manque
de
fonds
dédié
au
financement
de
l’activité
;
-‐ Absence
de
points
d’eau
pour
le
traitement
du
minerai
;
-‐ Absence
d’infrastructure
de
base
(piste
d’accès,
électricité,
etc…).
6. Bénéficiaires
:
- Détenteurs
d’autorisation
;
- Population
rurale
des
régions
(Sud
Bandama,
Savanes,
Vallée
du
Bandama,
Lacs
et
N’ZI
Comoé).
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Des
autorisations
d’exploitations
artisanales
et
semi
industrielles
d’or
ou
des
autorisations
d’extraction
de
matériaux
de
carrière
sont
octroyées
annuellement
par
l’administration
minière
aux
nationaux
qui
en
font
la
demande.
Ces
exploitants
devraient
bénéficier
d’encadrement
de
l’Administration
minière.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Phase
1
ST1:
Encadrement
des
exploitants
du
secteur
minier
artisanal
Phase
2
ST2
Développement
la
petite
mine
9. Activités
à
réaliser
:
Phase
1
-‐ Acquérir
les
matériels
logistiques
et
techniques
-‐ Identifier
les
sites
d’exploitations
artisanales
-‐
Recenser
les
exploitants
-‐ Former
des
GVC
d’exploitation
et
de
production
-‐ Créer
un
fonds
de
soutien
d’un
demi-‐milliard
de
Francs
-‐ Améliorer
les
capacités
techniques
d’exploitation
par
un
équipement
semi
mécanisé
-‐ Améliorer
les
capacités
techniques
de
récupération
des
substances
minérales
-‐ Commercialiser
les
productions
minérales
et
rembourser
les
prêts
de
soutien
-‐ Sensibiliser
à
la
protection
et
à
la
préservation
de
l’environnement
418/465
Phase
2
-‐
Acquérir
les
matériels
logistiques
et
techniques
-‐
Créer
des
PME/PMI
d’exploitation
minière
avec
les
anciens
professionnels
-‐
Créer
un
fonds
de
soutien
à
l’activité
d’exploitation
de
la
petite
mine
d’un
montant
de
un
milliard
de
FCFA;
-‐
Mettre
à
disposition
des
prêts
par
le
fonds
de
soutien
-‐
Améliorer
les
capacités
techniques
d’évaluation
des
sites
à
exploiter
-‐
Renforcer
les
équipements
et
améliorer
les
capacités
techniques
d’exploitation
-‐
Renforcer
les
équipements
et
améliorer
les
capacités
techniques
de
traitement
-‐
Commercialiser
les
productions
de
la
petite
mine
et
rembourser
les
prêts
de
soutien
-‐
Sensibiliser
aux
techniques
de
réhabilitation
post
exploitation
-‐
Equiper
les
sites
de
projet
de
commodités
visant
l’amélioration
du
cadre
de
vie.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
Phase
1
-‐ Coût
d’équipements
logistiques
et
techniques
acquis
;
-‐
Nombres
de
sites
identifiés
connus
;
-‐ Nombres
d’exploitants
par
site
connus
-‐ Nombres
de
GVC
déclarés
;
-‐ Décrets
de
création
du
fonds
publié
au
JORCI
-‐ Liste
d’équipements
disponibles
;
-‐ Liste
d’équipements
de
traitement
disponibles
;
-‐ Statistiques
de
produits
commercialisés
et
montant
de
prêts
remboursé
disponibles
-‐ Programme
de
sensibilisation
aux
techniques
de
préservation
et
de
protection
de
l’environnement
élaboré
et
mis
en
œuvre
Phase
2
-‐ Coût
d’équipements
logistiques
et
techniques
acquis
-‐ Statuts
des
PME/PMI
crées
;
-‐ Décrets
de
création
du
fonds
publié
au
JORCI
-‐ Mécanisme
de
prêts
disponible
et
diffusé
-‐ Programme
de
renforcement
de
capacités
d’évaluation
élaboré
et
mis
en
œuvre
disponible
;
-‐ Liste
des
équipements
d’extraction
disponibles
-‐ Liste
des
équipements
de
traitement
disponibles
-‐ Statistiques
de
production
et
montant
de
prêt
remboursé
disponible
-‐ Programme
de
sensibilisation
aux
techniques
de
réhabilitation
post
exploitation
élaboré
et
mis
en
œuvre
;
-‐ Nombre
d’équipements
sociaux
réalisés.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(2011-‐2012)
419/465
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie.
14. Partenaires
:
-‐ Administration
minière
-‐ Détenteurs
d’autorisation
d’exploitation,
ou
d’extraction
de
matériaux
de
carrière
-‐ GVC
d’exploitation
à
petite
échelle
-‐ population
rurale
riveraine
de
sites
-‐ propriétaires
terriens
-‐ autorités
administratives
et
coutumières
locales
15. Coût
prévisionnel
:
3
151
millions
de
F
CFA
(voir
tableau)
16. Contributions
souhaitées
:
Tous
les
investissements
sont
à
la
charge
de
l’Etat.
Cependant
les
exploitants
doivent
s’organiser
pour
avoir
avec
les
propriétaires
terriens
et
les
autorités
coutumières
et
administratives
locales,
le
libre
accès
aux
zones
d’exploitation
artisanale.
La
fourniture
de
main
d’œuvre
par
les
populations
riveraines
des
sites
est
également
souhaitée.
Les
exploitants
doivent
également
remboursés
les
fonds
mis
à
leur
disposition.
17. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
:
Le
projet
améliore
le
taux
de
récupération
des
productions
minérales,
augmente
les
revenus,
emplois
de
milliers
de
jeunes,
réduit
la
pauvreté
en
milieu
rurale
et
améliore
le
cadre
de
vie
des
populations,
sensibilise
et
contribue
à
la
protection
de
l’environnement.
18. Financement
des
Charges
récurrentes
Ces
Charges
sont
constituées
d’une
part
par
les
coûts
de
l’aménagement
de
site
d’exploitation,
la
fourniture
d’eau,
d’électricité,
le
transport
des
exploitants,
le
transport
du
minerai
de
la
production
au
point
d’eau
de
traitement,
les
coûts
relatifs
aux
soins
de
santé
et
à
la
scolarisation
des
enfants
du
site
et
les
émoluments
du
personnel
administratif
et
d’autre
part
par
les
coûts
d’entretien
du
matériel
technique,
du
carburant
et
lubrifiant.
420/465
Développer
la
Travaux
de
reconnaissance
50
Cartes
des
zones
test
Réduction
Meilleure
petite
mine
et
formation
de
GVC
Cartes
du
potentiel
des
coûts
orientation
minier
Appareillage
d’explorati des
travaux
Echantillonnage
Echantillons
de
sol
on,
maîtrise
d’explorati
Analyse
préliminaire
test
75
Résultats
d’analyse
des
cibles
on
Réserves
minérales
test
Expertise
Exploration
des
sites
315
connues
Travail
des
Exécution
d’échantillonnage
40
Meilleure
technique
mieux
Populations
Acquisition
de
labo
&
d’exploitation
Quantité
organisé
et
s’est
accrue
de
minerais
exploitée
moins
Sécurité
Analyse
in
situ
des
275
pénible,
dans
les
échantillons
Quantification
Réduction
exploitatio
de
ressources
du
nombre
ns
s’est
d’accidents
accrue,
Encadrement
de
40
production
l’exploitation
minérale
Quantification
des
115
connue
ressources
exploitées
Création
de
fonds
de
soutien
1
500
Fonds
de
soutien
à
l’exploitation
minière
à
petite
échelle
TOTAL
3
151
421/465
1. Orientation
:
Mise
en
valeur
des
matériaux
industriels
pour
le
soutien
au
secteur
privé
et
à
la
réalisation
des
infrastructures
économiques.
2.
Objectif
:
Le
projet
porte
sur
l’exploitation
de
la
carrière
de
granite
d’Azaguié,
pour
la
fourniture
de
matériaux
de
construction
(sables
et
graviers)
destinés
au
marché
du
génie
civil,
du
bâtiment
et
des
œuvres
d’arts.
3. Description
de
la
situation
La
production
de
granites
concassés
pour
l’année
2010
est
estimée
à
1
100
000
tonnes
et
est
réalisée
par
13
opérateurs
répartis
sur
l’ensemble
du
territoire
national.
90
%
de
cette
production
est
assurée
par
2
principaux
producteurs.
La
normalisation
de
la
situation
socio-‐économique
entraîne
la
mise
en
œuvre
de
nombreux
projets
de
développement
et
d’infrastructures
économiques,
présageant
une
forte
demande
en
matériaux
de
construction
à
cours
terme.
Le
projet
consistera
à
extraire
des
blocs
de
granites
par
foration,
dynamitage
suivi
de
concassage,
broyage
et
du
transport
des
matériaux
vers
les
sites
d’utilisation.
Il
vise
une
production
annuelle
de
500
000
tonnes,
avec
un
chiffre
d’affaire
de
5
000
000
000
F.
CFA
pour
un
prix
de
vente
de
10
000
FCFA
la
tonne
hors
taxe
carreau
mine.
Le
massif
granitique
d’Azaguié
est
une
intrusion
postsynématique
à
faible
foliation
régionale
de
couleur
gris
à
gris
sombre
et
à
granulométrie
fine
à
moyenne
(0,5
à
3
mm).
Il
s’agit
d’un
granite
à
biotite
constitué
de
85-‐
90
%
de
quartz
–
feldspaths.
La
muscovite,
l’épidote,
le
sphène
et
le
zircon
sont
les
minéraux
accessoires.
4.
Coûts
des
risques
(faiblesses)
-‐‑ Externes
:
Mouvements
sociopolitiques
;
-‐‑ Internes
:
Perte
et/ou
destruction
des
équipements
;
-‐‑ Métier
:
Hausse
des
coûts
des
facteurs,
mise
à
jour
des
techniques
de
prospection.
L’ensemble
de
ces
risques
liés
au
projet
est
estimé
à
600
000
000
FCFA.
5. Contraintes
liées
au
projet
-‐‑ Manque
de
financement
;
-‐‑ Baisse
des
activités
économiques.
6. Bénéficiaires
-‐‑ Les
promoteurs
du
projet
;
-‐‑ Les
populations
riveraines
par
la
création
d’emplois
directs
et
indirects
;
-‐‑ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts
;
-‐‑ Instituts
académiques
par
la
mise
en
place
d’un
cadre
de
formation
pratique.
422/465
-‐‑ Opérateurs
des
Secteurs
de
la
construction
et
du
génie
civil
;
-‐‑ Marché
de
réalisation
des
œuvres
d’arts.
7. Actions
antérieures
Le
granit
d’Azaguié
à
fait
l’objet
d’exploitation
antérieures
jusqu’en
2002.
Le
front
de
taille
présente
un
profil
de
2-‐3
m
de
mort
terrain
et
de
3
m
de
substratum
altéré.
Outre
la
qualité
de
la
roche
et
les
travaux
antérieurs,
la
proximité
du
site
à
la
ville
d’Abidjan
offre
un
cadre
idéal
pour
la
réalisation
de
ce
projet.
8. Stratégie
de
mise
en
œuvre
-‐‑ Identification
du
site
du
projet
(réalisée)
;
-‐‑ Acquisition
des
autorisations
auprès
des
Administrations
des
Mines
et
de
l’Environnement
(en
cours)
;
-‐‑ Recherche
de
financement
(en
cours).
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Etude
de
l’impact
environnemental
et
social.
-‐‑ Achat
et
installation
des
unités
de
traitements
;
-‐‑ Décapage
du
site
jusqu’à
la
roche
mère
;
-‐‑ Foration
et
dynamitage
de
la
roche
;
-‐‑ Concassage,
broyage,
et
criblage
pour
obtenir
des
granulats
de
dimensions
de
-‐‑ (0-‐5
mm;
5-‐15
mm
;
5-‐20
mm
et
15-‐25
mm)
;
-‐‑ Transport
des
matériaux
vers
les
sites
d’utilisation
;
-‐‑ Remise
en
état
du
site
après
exploitation.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
-‐‑ Autorisations
des
administrations
des
mines
et
de
l’Environnement
;
-‐‑ PV
de
réception
des
équipements
;
-‐‑ PV
de
réception
des
travaux
d’aménagement
;
-‐‑ Registre
de
cubage
des
matériaux
extraits.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
:
2011
–
2015
(5
ans)
12.
Maître
d’ouvrage
:
SODEMI
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenaires
:
La
SODEMI
envisage
une
collaboration
active
avec
un
partenaire
à
capacité
technique
et
financière
avérée
pour
répondre
à
la
demande
du
marché.
15. Coûts
prévisionnels
:
4
000
millions
F
CFA
incluant
une
unité
de
concassage
mobile.
16. Contributions
souhaitées
- SODEMI
:
1
500
millions
F
CFA
soit
37,5
%
pour
les
autorisations,
l’aménagement
du
site
et
l’acquisition
partielle
des
équipements.
- Recherche
de
financement
:
2
500
millions
F
CFA,
soit
62,5
%
pour
l’achat
et
l’installation
des
423/465
Fiche
N°
43
Projet
:
PROJET
D’EXPLOITATION
DE
CARRIERES
D’ARGILES
Code
d’action
:
M&G_ERN/CT_30
1. Orientation
:
Exploitation
de
carrières
qui
contribuera
à
l’amélioration
du
PIB
de
l’économie
nationale.
2. Objectif
:
Exploiter
des
carrières
d’argiles
pour
la
fabrication
de
revêtements
sous
forme
de
dalles
en
céramique
pour
l’habitat,
de
tuiles
(matériaux
argileux
plus
rejets
des
fines
de
manganèse),
puis
des
produits
réfractaires
de
même
que
des
briques
afin
de
générer
des
ressources
financières
pour
SODEMI
et
aussi
pour
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
Etude
de
faisabilité
en
2011
;
recherche
de
partenaire
et
exploitation
en
2012.
12. Maître
d’ouvrage
:
Société
pour
le
Développement
Minier
de
Côte
d’Ivoire
(SODEMI)
13. Maître
d’œuvre
:
SODEMI
14. Partenaires
-‐‑ Sociétés
de
prestation
de
services
dans
le
domaine
minier
(Transport)
-‐‑ Partenaires
financiers.
15. Coût
prévisionnel
:
50
millions
F
CFA
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
et
environ
4
milliards
de
francs
CFA
pour
la
construction
de
la
carrière.
16. Contributions
souhaitées
:
La
SODEMI
financera
la
totalité
des
études
et
construction
des
carrières
de
granite.
-‐‑ Travaux
d’identification
de
gîtes
de
pierres
ornementales
conduits
par
SODEMI
ayant
permis
de
répertorier
80
gites
dont
37
sélectionnés
sur
la
base
de
la
couleur
;
-‐‑ Exploitation
des
carrières
de
Séguéla,
Yakala
(granite
rose
et
rouge)
et
de
Soubré
(Syénite
d’Okrouyo)
de
1970-‐1980
par
des
opérateurs
italiens
pour
la
production
de
matériaux
de
revêtement
(plaques
épaisses,
dalles,
carreaux,
etc.)
-‐‑ Signature
d’un
accord
de
partenariat
entre
SODEMI
et
MIS
SHILOH
Minerals
Ltd.
Actions
en
cours
:
9. Activités
à
réaliser
-‐ Réévaluation
du
potentiel
des
gîtes
identifiés
;
-‐ Etude
de
marché
;
-‐ Etude
de
faisabilité
;
-‐ Mobilisation
des
ressources
financières
et
recherche
de
partenaires
;
-‐ Construction
de
la
carrière
;
-‐ Construction
de
l’unité
de
production
de
verrerie.
434/465
1. Orientation
:
Création
et
développement
d’une
activité
de
transformation
de
matières
premières
minérales.
2. Objectif
:
Demande
de
financement
des
études
de
faisabilité
bancables
pour
la
création
d’une
usine
de
production
de
ferromanganèse.
3. Description
de
la
situation
actuelle
Cette
activité
de
production
de
ferromanganèse
qui
n’existe
pas
en
Côte
d’Ivoire
s’inscrit
dans
le
cadre
de
la
mise
en
place
progressive
d’une
industrie
sidérurgique
au
plan
local.
Et
pour
initier
ce
projet,
la
SODEMI
a
effectué
des
missions
en
Inde
(2008)
pour
négocier
un
partenariat
pour
la
construction
d’une
usine
de
ferromanganèse
avec
un
groupe
indien
spécialisé
dans
le
domaine.
Une
étude
de
préfaisabilité
a
été
faite
par
la
suite
par
ledit
groupe
(2009).
Le
groupe
propose
de
construire
une
usine
qui
aura
une
capacité
de
production
de
55
500
tonnes
par
an
de
ferromanganèse
avec
un
seul
fourneau
de
27,6
MVA.
Par
la
suite,
en
pleine
capacité
de
production,
deux
autres
fourneaux
seront
construits
pour
porter
la
production
annuelle
de
ferromanganèse
à
166
500
tonnes.
En
sidérurgie,
en
dehors
de
son
rôle
de
désoxydant
et
de
désulfurant
des
aciers,
le
manganèse
est
essentiellement
un
élément
d'alliage
qui
permet
d'augmenter
la
limite
d'élasticité
des
aciers.
Ainsi,
le
ferromanganèse
est
un
ferroalliage
à
forte
teneur
de
manganèse,
avec
une
teneur
en
poids
de
65
à
90
%.
L’ensemble de ces risques est estimé à 12 % du coût total du projet.
La
contrainte
principale
liée
à
ce
projet
est
la
disponibilité
suffisante
de
concentré
de
manganèse
en
Côte
d’Ivoire,
voire
dans
la
sous-‐région.
Pour
l’heure,
la
Côte
d’Ivoire
bien
que
disposant
de
gisements
de
manganèse,
ne
compte
pas
de
mines
de
manganèse
en
activité.
Cependant,
les
différents
projets
visant
à
ouvrir
lesdites
mines
sont
à
divers
stades
d’avancement,
qui
permettraient
à
cette
usine
de
ferromanganèse
de
pouvoir
transformer
une
partie
des
produits
issus
de
ces
mines.
435/465
6. Bénéficiaires
-‐‑ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts
;
-‐‑ SODEMI
et
partenaires
;
-‐‑ Les
populations
riveraines
pour
les
emplois
directs
comme
indirects
liés
à
l’activité
de
cette
usine
de
ferromanganèse.
-‐‑ Industries
métallurgiques
et
sidérurgiques.
La mise en place de cette usine de production de ferromanganèse aura les incidences suivantes :
-‐‑ Création
d’emplois
de
cadres,
d’agents
de
maîtrises
et
d’ouvriers
qualifiés
;
-‐‑ Création
d’activités
annexes
à
l’usine
;
-‐‑Création
de
la
richesse
pour
l’Etat
à
travers
les
taxes
et
impôts
divers.
19. Charges
récurrentes
:
à
déterminer
436/465
1. Orientation
:
Création
et
développement
d’une
activité
de
transformation
de
matières
premières
minérales.
2. Objectif
:
Réaliser
les
études
de
portée
et
de
faisabilité
bancables
pour
la
création
d’une
usine
de
production
de
boulettes,
de
briquettes
et
d’éponges
de
fer.
3. Description
de
la
situation
actuelle
:
Aucune
activité
de
production
de
boulettes,
de
briquettes
et
d’éponges
de
fer
n’existe
en
Côte
d’Ivoire.
Cette
activité
est
nécessaire
à
la
création
à
terme
d’une
industrie
sidérurgique
permettant
aux
entreprises
ivoiriennes
de
s’approvisionner
localement
en
produits
sidérurgiques
tels
que
l’acier,
etc.
4. Coût
des
risques
(faiblesses)
L’ensemble de ces risques est estimé à 12 % du coût total du projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
:La
contrainte
principale
liée
à
ce
projet
est
la
disponibilité
suffisante
de
minerai
de
fer
extrait
en
Côte
d’Ivoire,
voire
dans
la
sous-‐région.
Pour
l’heure,
la
Côte
d’Ivoire
bien
que
disposant
de
gisements
de
fer,
ne
compte
pas
de
mines
de
fer
en
activité.
6. Bénéficiaires
-‐‑ L’Etat
ivoirien,
à
travers
les
taxes
diverses
et
les
impôts
;
-‐‑ SODEMI
et
partenaires
;
-‐‑ Les
populations
riveraines
qui
bénéficieront
d’emplois
directs
et
indirects
liés
à
l’activité
de
l’usine.
-‐‑ Industries
sidérurgiques.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Aucune
étude
de
faisabilité
de
ce
projet
n’a
encore
été
réalisée.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Il
s’agira
pour
ce
projet,
de
trouver
un
partenaire
technique
et
de
mettre
en
place
des
mécanismes
pour
la
levée
de
fonds,
nécessaire
à
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
bancable.
9.
Activités
à
réaliser
-‐‑ Collecter
les
données
et
paramètres
nécessaires
à
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Trouver
un
partenaire
technique
;
-‐‑ Mobiliser
le
financement
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Réaliser
l’étude
de
faisabilité
;
437/465
-‐‑ Mobiliser
les
fonds
pour
la
construction
de
l’usine
de
production
de
boulettes,
briquettes
et
éponges
de
fer
;
-‐‑
Construire
l’usine.
10. Marqueurs
de
progrès
-‐‑ Partenaire
technique
choisi
;
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Rapport
d’étude
de
faisabilité
disponible
;
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
la
réalisation
de
l’usine
;
-‐‑Usine
construite
et
livrée.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(L’étude
de
faisabilité
sera
exécutée
en
2012
et
la
construction
de
l’usine
se
fera
sur
une
période
de
2
ans,
à
compter
de
2013).
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
13. Maître
d’œuvre
:
Société
pour
le
Développement
Minier
de
Côte
d’Ivoire
(SODEMI)
et
partenaires
techniques.
14. Partenaires
:
Consortium
d’opérateurs
miniers
et
financiers.
15. Coût
prévisionnel
:
250
millions
F
CFA
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité.
16. Contributions
souhaitées
:
Selon
l’actionnariat
du
consortium
qui
sera
mis
en
place.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
La
mise
en
place
de
cette
usine
de
production
de
boulettes,
de
briquettes
et
d’éponges
de
fer
aura
les
incidences
suivantes
:
438/465
1. Orientation
:
Création
et
développement
d’une
activité
de
transformation
de
matières
premières
minérales.
2. Objectif
:
Demande
de
financement
pour
la
création
d’une
usine
d’affinage
d’or.
3. Description
de
la
situation
actuelle
Aucune
activité
de
raffinage
de
métaux
précieux
n’existe
au
plan
national.
Et
pourtant,
la
Côte
d’Ivoire
regorge
de
plusieurs
atouts
naturels
et
économiques
qui
militent
en
faveur
d’une
usine
d’affinage
d’or.
Ce
sont
entre
autres
:
-‐‑ La
situation
géographique,
position
presque
centrale
de
la
Côte
d’Ivoire
parmi
les
pays
producteurs
d’or
de
l’Afrique
de
l’Ouest
;
-‐‑ L’existence de transports maritimes très fréquents entre Anvers et le Port d’Abidjan ;
-‐‑ Un
réseau
bancaire
actif
et
réputé,
ayant
des
liens
avec
les
places
financières
majeures
mondiales.
Ainsi,
une
étude
de
portée
préliminaire
pour
la
mise
en
place
d’une
usine
d’affinage
d’or
et
de
métaux
précieux
et
d’une
bourse
de
diamant
a
été
menée
par
le
passé
par
la
SODEMI
(Projets-‐
SODEMI,
Juin
2004).
Ce
projet
a
trait
à
la
création
de
la
Société
Ivoirienne
d’Affinage
d’Or
(SIAO)
qui
sera
spécialisée
dans
le
commerce
et
l’affinage
de
métaux
précieux
(or,
argent,
platine,
palladium,
rhodium)
et
de
pierres
précieuses.
6. Bénéficiaires
:
§ actionnaires
de
la
Société
Ivoirienne
d’Affinage
d’Or
(SIAO)
qui
sera
créée.
439/465
§ L’usine
dimensionnée
pour
produire
20
tonnes
d’or
fin
par
an
permettra
l’affinage
d’une
partie
de
la
production
d’or
de
la
Côte
d’Ivoire
et
de
la
sous-‐région,
contribuant
ainsi
au
développement
industriel
et
à
la
création
d’emplois.
Dans
le
cadre
de
ce
projet,
il
serait
nécessaire
de
réactualiser
les
études
qui
ont
été
menées
par
le
passé
et
qui
ont
conduit
à
des
estimations
du
coût
de
ce
projet,
pour
dégager
sa
faisabilité
technique
et
économique,
mobiliser
des
fonds
par
des
accords
de
partenariat
et
construire
l’usine.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Collecter
les
données
et
paramètres
nécessaires
à
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Mobiliser
le
financement
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Réaliser
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Mobiliser
des
fonds
pour
la
construction
de
l’usine
d’affinage
d’or
et
signer
des
accords
de
partenariat
;
-‐‑ Construire
l’usine.
10. Marqueurs
de
progrès
-‐‑ Partenaire
technique
choisi
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Rapport
d’étude
de
faisabilité
disponible
;
-‐‑ Fonds
obtenus
pour
la
réalisation
de
l’usine
;
-‐‑ Usine
construite
et
livrée.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
;
2
ans,
à
partir
de
2013.
12. Maître
d’ouvrage
:
Etat
de
Côte
d’Ivoire
13. Maître
d’œuvre
:
Société
pour
le
Développement
Minier
de
Côte
d’Ivoire
(SODEMI)
et
partenaires
techniques.
14. Partenaires
:
Consortium
d’opérateurs
miniers
et
financiers.
15. Coût
prévisionnel
:
5
000
millions
F
CFA
16. Contributions
souhaitées
:
Selon
l’actionnariat
de
la
Société
Ivoirienne
d’Affinage
d’Or
(SIAO).
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD/
sur
l’environnement
La mise en place de cette usine d’affinage d’or à Abidjan les incidences suivantes :
-‐‑ Création
d’emplois
de
cadres,
d’agents
de
maîtrises
et
d’ouvriers
qualifiés
;
-‐‑ Création
d’activités
annexes
à
l’usine
d’affinage
d’or
;
-‐‑ Création
de
la
richesse
pour
l’Etat
à
travers
les
taxes
et
impôts
divers.
19. Charges
récurrentes
:
à
déterminer
440/465
FICHES
PROJET
RELATIVES
AU
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
no
4
:
NEGOCE
MINIER
441/465
POUR LA LEVEE DE L’EMBARGO SUR L’EXPORTATION DU DIAMANTS BRUTS
1. Orientation
:
Le
projet
résume
les
stratégies
et
toutes
les
actions
à
mener
en
urgence
durant
le
deuxième
semestre
2011
pour
obtenir
la
levée
de
l’embargo
sur
l’exportation
du
diamant
brut
ivoirien
décrété
par
l’Organisation
des
Nations
Unies
suite
à
la
crise
sociopolitique
de
2002.
2. Objectif
:
Obtenir
en
Avril
2012
la
levée
de
l’embargo
sur
le
diamant
ivoirien
;
objectif
spécifique
:
Mettre
en
œuvre
un
système
de
traçabilité
des
diamants
ivoiriens.
3. Description
de
la
situation
Les
zones
diamantifères
connues
se
situent
dans
les
localités
de
Séguéla,
Tortiya,
Mankono,
Korhogo
et
Kounahari
et
Zouenoula
au
nord
du
pays.
Au
lendemain
de
la
crise
sociopolitique,
l’administration
Minière
ivoirienne
est
devenue
inopérante
dans
ces
zones.
Le
Ministère
chargé
des
Mines
prit
alors
un
arrêté
(n°
0070
du
23
novembre
2002)
interdisant
sur
l’ensemble
du
territoire
national,
toutes
expertises
de
diamants
bruts
destinées
à
l’exportation.
Le
décret
n°
2003-‐143
du
30
mai
2003
portant
additif
au
décret
n°
96-‐634
du
9
aout
1996
déterminant
les
modalités
d’application
de
la
loi
n°95
–
553
du
18
juillet
1995
portant
code
minier,
relative
à
l’importation
et
à
l’exportation
des
diamants
bruts
en
vue
de
la
mise
en
œuvre
du
Processus
de
Kimberley,
a
permis
de
rendre
cette
décision
conforme
à
la
loi
minière.
Le
31
juillet
2003,
la
Côte
d’ivoire
est
admise
au
Processus
de
Kimberley
en
qualité
de
membre
participant,
après
avoir
élaboré
son
certificat
d’origine.
Malgré
les
textes
successifs,
l’exploitation
illégale
du
diamant
et
son
commerce
illicite
se
sont
poursuivis
dans
les
localités
citées
ci-‐dessus.
Par
ailleurs,
en
raison
de
la
persistance
de
l’état
de
belligérance,
le
Conseil
de
Sécurité
des
Nations
Unies,
suite
à
la
plénière
du
Processus
de
Kimberley
tenue
en
novembre
2005
à
Moscou,
a
adopté,
à
l’unanimité,
la
résolution
1643
du
15
décembre
2005
décrétant
l’embargo
sur
l’exportation
des
diamants
bruts
ivoiriens.
Cet
embargo
vient
d’être
prorogé
jusqu’en
avril
2012
par
un
communiqué
en
date
du
28
avril
2011
du
Conseil
de
Sécurité
des
Nations
Unies.
Mais
la
paix
étant
revenue
dans
notre
pays
après
la
crise
post
électorale,
le
redéploiement
effectif
de
l’administration
minière
sur
l’ensemble
du
territoire
va
permettre
de
reprendre
l’encadrement
de
l’exploitation
du
diamant
dans
les
localités
de
Séguéla,
Tortiya,
Mankono,
Korhogo
et
Kounahari
et
Zouenoula
conformément
aux
normes
en
vigueur.
Le
coût
minimum
la
relance
de
l’activité
diamantifère
est
évalué
plus
de
cent
millions
de
FCFA
442/465
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Il
s’agit
de
sensibiliser
et
d’obtenir
l’adhésion
des
acteurs
qui
ont
opéré
durant
la
période
de
l’embargo
dans
les
localités
de
Séguéla,
Tortiya,
Mankono,
Korhogo
et
Kounahari
et
Zouenoula
pour
qu’ils
se
conforment
à
la
règlementation
en
vigueur.
6. Bénéficiaires
§ Populations
des
localités
citées,
§ Exploitants
miniers
§ Etat,
Collectivités
locales,
Mairies
et
Conseils
généraux
§ Opérateurs
miniers
de
la
filière
de
production
et
du
commerce
du
diamant
ivoirien.
7. Actions
antérieures
-‐
la
fin
de
l’état
de
belligérance
;
-‐
l’organisation
d’élections
libres
et
transparentes
;
-‐
Participation
de
l’Administration
minière
aux
différentes
assises
du
Processus
de
Kimberley
Actions
en
cours
La
mise
en
œuvre
d’un
système
de
traçabilité
des
diamants
ivoiriens.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
§ Stratégie
1
:
Abrogation
de
l’arrêté
n°
0070
du
23
novembre
2002
interdisant
sur
l’ensemble
du
territoire
national,
toutes
expertises
de
diamants
bruts
destinés
à
l’exportation.
§ Stratégie
2
:
Renforcement
des
capacités
de
l’Administration
minière
à
de
Séguéla,
Tortiya,
Mankono
et
Korhogo
§ Stratégie 4 : Maitriser la filière de commercialisation du diamant brut ivoirien
9. Activités
à
réaliser
:
-‐‑ Action
1
:
Proposer
un
projet
d’arrêté
autorisant
sur
l’ensemble
du
territoire
national,
toutes
expertises
de
diamants
bruts
destinées
à
l’exportation
;
-‐‑ Action
2
:
Réhabiliter
les
locaux
de
l’Administration
Minière
à
Séguéla,
Tortiya,
Mankono
et
Korhogo
-‐‑ Action
3
:
Equiper
les
locaux
des
services
décentralisés
(Séguéla,
Tortiya,
Mankono
et
Korhogo)
en
mobilier,
matériels
techniques
et
informatiques
-‐‑ Action
4
:
Equiper
de
véhicules
et
engins
à
deux
roues
les
services
décentralisés
(Séguéla,
Tortiya,
Mankono
et
Korhogo)
-‐‑ Action
5
:
Encadrer
la
filière
d’exploitation
dans
ces
localités
-‐‑ Action
6
:
Maitriser
la
production
du
diamant
dans
ces
localités
-‐‑ Action
7
:
Autoriser
et
réactiver
le
circuit
des
collecteurs
de
diamants
-‐‑ Action
8
:
Expertiser
les
diamants
produits
dans
ces
localités
-‐‑ Action
9
:
Autoriser
la
création
de
comptoirs
d’achat
du
diamant
brut
-‐‑ Action
10
:
Présenter
aux
assises
du
Processus
de
Kimberley
en
novembre
2011,
un
rapport
sur
la
nouvelle
situation
de
la
filière
ivoirienne
de
diamant.
443/465
-‐‑Action
11
:
Demander
l’appui
technique
et
politique
des
états
membres
pour
obtenir
la
levée
de
l’embargo
onusien
sur
le
diamant
ivoirien
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateur)
:
-‐‑ Texte
rapportant
l’arrêté
n°070
du
23/11/2003
signé
et
disponible
-‐‑ Les
bâtiments
de
l’administration
minière
dans
les
localités
citées
sont
réhabilités
et
fonctionnels
-‐‑ Les
locaux
de
l’administration
minière
à
Séguéla
et
Tortiya
sont
équipés
et
opérationnels
-‐‑ L’Administration
minière
à
Séguéla
et
Tortiya
est
équipée
en
véhicules
tout
terrain
et
engins
à
deux
roues
-‐‑ Les
statistiques
de
production
diamants
bruts
à
Séguéla
et
Tortiya
sont
disponibles
-‐‑ Les
collecteurs
sont
identifiés
et
connus
dans
les
fichiers
de
l’administration
minière
-‐‑ Les
statistiques
des
diamants
bruts
expertisés
sont
disponibles
-‐‑ Les
comptoirs
d’achat
autorisés
sont
localisés
et
fonctionnels
-‐‑ Le
rapport
de
mission
de
participation
aux
assises
du
Kimberley
est
disponible
et
diffusé
-‐‑ L’Embargo
des
Nations
Unies
sur
le
dimant
ivoirien
est
levé.
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(Juillet
2011
à
Décembre
2011)
12. Maître
d’ouvrage
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
géologie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
de
l’Exploitation
Artisanale,
des
Petites
Mines
et
Carrières
14. Partenaires
:
-‐‑ Administration
Minière
-‐‑ Autorités
Administratives
et
coutumières
locales
-‐‑ Détenteurs
d’autorisation
d’exploitation
artisanale
et
semi
industrielle
de
diamant
brut
-‐‑ Collecteurs
de
diamant
-‐‑ ONGs
du
secteur
du
diamant
15. Coûts
prévisionnels
:
230
millions
F
CFA
-‐‑ Equipement
:
200
millions
F
CFA
(Réhabilitation
des
bâtiments
et
équipement
en
matériels
techniques,
informatiques,
véhicules
et
motos
dans
les
localités
de
Séguéla
et
de
Tortiya)
-‐‑ Fonctionnement
:
20
millions
F
CFA/an
(carburant
lubrifiant
et
entretien
dans
les
quatre
localités)
-‐‑Frais
de
Mission
hors
Côte
d’Ivoire
pour
deux
personnes
(participation
aux
Assises
du
Kimberley
:
10
millions
F
CFA)
16. Contributions
souhaitées
:
Etat
CI
:
230
millions
F
CFA,
soit
100
%
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
ODM/Environnement
L’encadrement
et
le
contrôle
de
l’exploitation
minière
du
diamant
par
l’Administration
minière
va
permettre
de
mettre
en
œuvre
le
processus
de
Kimberley,
de
contribuer
à
la
réduction
de
la
pauvreté,
à
freiner
l’exode
rural,
et
à
prendre
en
compte
les
mesures
de
protection
et
de
préservation
de
l’environnement
et
à
prévenir
l’hygiène
et
la
sécurité
dans
les
zones
diamantifères.
444/465
A
ce
jour,
il
n’existe
pas
de
place
boursière
pour
les
transactions
d’achat
et
de
vente
de
métaux
précieux
en
Côte
d’Ivoire.
Ce
projet
fut
initialement
prévu
dans
le
cadre
de
la
mise
en
place
d’une
usine
locale
d’affinage
d’or
et
de
métaux
précieux.
En
effet,
la
Bourse
de
Substances
Précieuses
devait
être
associée
à
cette
usine,
et
s’inscrivait
dans
le
cadre
du
processus
de
Kimberley
relatif
à
l’importation
et
à
l’exportation
du
diamant
brut.
Cette
bourse
permettra
à
l’Etat
de
mieux
réguler
les
circuits
de
commercialisation
des
métaux
précieux
afin
d’optimiser
ses
revenus
tirés
de
la
filière.
§ Externes
:
Approvisionnement
en
métaux
précieux
(diamants
bruts,
or,
argent,
etc.),
cours
du
dollar,
maîtrise
des
mécanismes
de
vente
des
métaux
précieux,
et
mouvements
sociopolitiques.
L’ensemble de ces risques est estimé à 12 % du coût total du projet.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Disponibilité
et
traçabilité
des
diamants
bruts.
6. Bénéficiaires
-‐‑ L’Etat
de
Côte
d’Ivoire
-‐‑ Les
sociétés
de
négoce
minier
-‐‑
La
commercialisation
d’une
partie
de
la
production
de
diamants
bruts
de
la
Côte
d’Ivoire,
voire
de
la
sous-‐région
(environ
300
000
carats
par
an),
et
d’autres
métaux
précieux.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Aucune
étude
de
faisabilité
n’a
encore
été
réalisée.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
Mettre
des
mécanismes
en
place
pour
la
levée
de
fonds
nécessaire
à
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
bancable.
9.
Activités
à
réaliser
-‐‑ Collecter
les
données
et
paramètres
nécessaires
à
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
-‐‑ Mobiliser
le
financement
pour
la
réalisation
de
l’étude
de
faisabilité
;
445/465
• Création
d’emplois
;
• Création
de
richesse
pour
l’Etat
à
travers
les
taxes
et
impôts
divers.
19. Charges
récurrentes
:
à
déterminer
DOMAINE
D’ACTIVITE
STRATEGIQUE
no
5
:
446/465
CADRE
INSTITUTIONNEL
ET
GESTION
DU
DOMAINE
MINIER
447/465
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Un
premier
projet
était
en
examen
à
la
DGMG
;
sa
rédaction
est
reprise
pour
prendre
en
compte
les
conclusions
du
séminaire
de
Yamoussoukro
tenu
les
09,
10
et
11
juin
2011.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
-‐
adoption
interne
du
projet
à
la
DGMG
;
-‐
approbation
du
projet
par
le
Cabinet
et
examen
par
un
Cabinet
juridique
;
-‐
organisation
d’un
atelier
de
validation
du
projet
;
-‐
vote
du
texte
de
Loi
par
le
Parlement.
9. Activités
à
réaliser
:
-‐
Finaliser
le
projet
de
Code
minier
-‐
Adopter
le
projet
à
la
DGMG
-‐
Soumettre
le
projet
à
l’approbation
du
Cabinet
-‐
Faire
examiner
le
projet
par
un
Cabinet
Juridique
-‐
Organiser
un
atelier
de
validation
au
niveau
de
tous
les
acteurs
du
secteur
-‐
Soumettre
le
projet
au
Gouvernement
-‐
Soumettre
le
projet
au
Parlement
-‐
Faire
voter
la
Loi
par
le
Parlement
-‐
Faire
promulguer
la
Loi
par
le
Président
de
la
République.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
-‐
en
3
mois
le
projet
de
Code
minier
est
finalisé
-‐
en
2
mois
le
projet
est
adopté
à
la
DGMG
-‐
en
3
mois
le
projet
est
approuvé
par
le
Cabinet
et
examiné
par
un
Cabinet
juridique
-‐
en
2
mois
est
organisé
un
atelier
de
validation
-‐
en
3
mois
le
texte
de
Loi
est
examiné
par
le
Gouvernement
-‐
en
3
mois
la
Loi
est
votée
par
le
Parlement
-‐
en
2
mois
la
Loi
est
promulguée
par
le
Président
de
la
République.
Durée
totale
:
18
mois
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(Août
2011
à
février
2013)
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
(MMPE)
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
(DGMG)
14. Partenaires
:
Opérateurs
et
Spécialistes
du
secteur
des
Mines,
Administrateurs
territoriaux,
populations
riveraines,
ONG.
15. Coût
prévisionnel
:
141.8
millions
F
CFA
-‐
Etude
:
§ Experts
(1,2
million
CFA/mois
x
18)
21,6
millions
§ Cabinet
Juridique
10
millions
au
plus
Total
étude
31,6
millions
FCFA
soit
22,29
%
-‐
Equipements
:
§ 3
véhicules
utilitaires
de
10
millions
=
30
millions
§ Matériel
informatique
3
millions
Total
équipement
:
33
millions
FCFA
soit
23,27
%
-‐
Fonctionnement
:
§ Carburant
et
lubrifiant
:
3
x
150
000
F/mois
x
18
=
8,1
millions
§ Prime
pour
2
agents
participant
100
000
x
2
x18
=
3,6
millions
§ Frais
de
10
séances
d’adoption
à
la
DGMG
:
50
000
FCFA
x
10
=
0,5
million
449/465
Atelier
de
validation
(Cabinet,
DGMG
DR,
DD,
Stés
minières,
structures
membres
de
§
la
Comine,
experts
étrangers)
:
100
pers.
X
150
000
F/j
x
4
=
60
millions
Consommables
informatiques
:
2
millions
§ Frais
d’impression
et
autres
:
3
millions
Total
fonctionnement
:
77,2
millions
FCFA
soit
54,44
%
16. Contributions
souhaitées
:
-‐‑ Etat
de
Côte
d’Ivoire
60,2
millions
F
CFA,
soit
42.5
%
(sources
de
financement
:
taxes
minières)
-‐‑ Secteur
minier
ivoirien
81,6
millions
F
CFA,
soit
57.6
%
(frais
d’expertise
et
d’atelier)
contribution
directe.
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD/environnement
:
-‐‑ Nouvel
élan
de
l’activité
minière,
accroissement
du
nombre
d’emploi
et
par
conséquent
réduction
de
la
pauvreté
;
-‐‑ Meilleur
suivi
de
la
réhabilitation
de
l’environnement.
19. Charges
récurrentes
:
à
déterminer
450/465
Projet
:
EQUIPEMENT
ET
FINANCEMENT
DES
STRUCTURES
DE
CONTROLE
ET
DU
SUIVI
DE
L’ACTIVITE
MINIERE
Code
action
:
M&G_CI
&
GDMINIER/CT_2
1. Orientation
Définir
les
stratégies
et
les
actions
à
mener
en
urgence
pour
doter
l’Administration
minière
des
moyens
matériels
et
financiers
conséquents
afin
de
lui
permettre
d’accomplir
ses
missions
de
contrôles
et
de
suivi
de
toute
l’activité
minière
(exploration
et
exploitation)
sur
l’ensemble
du
territoire
national.
L’Administration
minière
est
peu
performante
parce
que
ses
structures
de
contrôle
et
de
suivi
sont
peu
actives
sur
le
terrain
faute
de
moyens
logistiques
:
avant
la
crise
post
électoral
les
3
Directions
Centrales
ne
disposaient
chacune
que
d’un
véhicule
utilitaire,
seulement
4
Directions
Régionales
sur
10
et
5
Directions
Départementales
sur
15
disposaient
de
bâchés
4
x2.
453/465
1. Orientation
:
Définir
des
stratégies
et
des
actions
en
vue
de
contrôler
et
suivre
régulièrement
l’ensemble
des
activités
minières
se
déroulant
sur
l’ensemble
du
territoire
national.
2. Objectif
:
Avoir
une
parfaite
maîtrise
des
opérations
minières
sur
l’ensemble
du
territoire
national.
3. Description
de
la
situation
:
Le
contrôle
et
le
suivi
des
activités
minières
sur
le
terrain
ne
sont
pas
effectués.
Cette
situation
ne
permet
pas
à
l’Administration
de
porter
un
jugement
de
valeur
sur
le
contenu
des
rapports
produits
par
les
opérateurs.
4. Coûts
des
risques
(faiblesses)
:
RISQUES
HYPOTHESES
DE
CALCUL
COUT
DES
FAIBLESSES
DEFINITIONS
(FCFA)
Risques
Internes
Oisiveté
des
agents
Possibilité
d’écart
important
entre
le
volume
Les
taxes
provenant
de
120
à
210
millions
par
de
substances
extraites
et
l’exploitation
artisanale
sont
très
an
les
déclarations
faites
et
faibles
;
elles
sont
de
l’ordre
de
30
prolifération
de
millions
par
an.
Dans
le
cas
d’un
l’exploitation
artisanale
contrôle
régulier
ce
chiffre
peut
clandestine,
donc
perte
de
être
multiplié
par
5
à
8.
taxes.
Risques
externes
non
anticipation
sur
les
Pca
=
CA
x
Nja/Njt
;
CA
=
Prmor
x
75
millions
à
100
Pca
:
Perte
de
CA
mouvements
sociaux
Por
millions
de
Chiffre
CA
:
Chiffre
d’Affaires
pouvant
occasionner
arrêt
Pour
Por
=
1,5
à
2
tonnes
et
d’Affaires
par
jour
Nja
:
Nbre
de
jours
arrêt
de
travail
de
travail.
Prmor
=
15
000
FCFA,
Njt
=
300,
si
Njt
:
Nbre
jours
travail
année
Nja
=1
;
Pca
=
Prmor
x
Por
x
1/300
Por
:
Production
d’Or/an
Métier
Prmor
:
Prix
Moyen
Gramme
Or
Encouragement
à
Coût
de
réhabilitation
de
exploitation
artisanale
l’environnement
environ
1
million
1
milliard
informelle
conduisant
à
par
hectare.
des
problèmes
La
superficie
de
l’exploitation
environnementaux.
informelle
non
réhabilitée
peut
être
estimée
à
1
000
hectares.
5. Contraintes
liées
au
projet
:
-‐
Indisponibilité
de
moyens
logistiques
et
insuffisance
de
dotation
budgétaire
;
-‐
Absence
d’une
définition
claire
du
contenu
des
différents
contrôles
à
effectuer
;
454/465
6. Bénéficiaires
:
§ Administration
minière
§ Etat
de
Côte
d’Ivoire
§ Opérateurs
miniers
§ Populations
riveraines
§ Sociétés
minières
§ Exploitants
artisanaux.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
Des
visites
systématiques
des
permis
avaient
initié
mais
elles
ont
été
abandonné
par
manque
de
moyens.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
-‐
acquisition
de
dotation
en
moyens
logistiques
et
financiers
adéquats
;
-‐
organisation
de
visites
périodiques
obligatoires
;
-‐
publication
de
rapports
de
suivi
des
l’activité
minière.
9. Activités
à
réaliser
:
§ instituer
par
ordonnance
un
fonds
de
soutien
du
contrôle
et
du
suivi
de
l’activité
minière
approvisionné
par
les
sociétés
minières
§ établir
une
feuille
de
route
pour
les
visites
et
le
suivi
de
l’activité
minière
§ instituer
des
visites
mensuelles,
trimestrielles
et
semestrielles
obligatoires
des
sites
§ d’activités
minières
à
effectuer
respectivement
par
les
Directeurs
Départementaux,
§ Régionaux
et
Centraux
sur
leur
territoire
de
compétence-‐
§ Faire
la
compilation
des
rapports
de
visites
mensuelles
ainsi
qu’une
synthèse
§ annuelle
et
les
publier.
10. Marqueurs
de
progrès
(indicateurs)
:
§ en
4
mois
acquisition
de
moyens
logistiques
sont
acquis
et
un
fonds
de
soutien
est
Institué
§ es
visites
mensuelles,
trimestrielles
et
semestrielles
sont
effectuées
et
sanctionnées
par
des
rapports
§ chaque
mois
les
rapports
de
visites
mensuels
sont
compilés
et
publiés
§ chaque
année
la
synthèse
annuelle
des
rapports
de
visites
est
publiée
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(début
novembre
2011)
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
(MMPE)
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
(DGMG)
14. Partenaires
:
Opérateurs
du
secteur
minier
15. Coût
prévisionnel
:
831
millions
F
CFA
- Etude
:
- Equipements
:
(pour
mémoire)
§ 2
véhicules
4
x
4
(DGMG)
et
25
véhicules
4
x
4
(DD
et
DR)
Coût
:
25
millions
FCFA
x
27
=
675
millions
FCFA
§ 2
GPS
GARMIN
(GPS
MAP)
pour
DGMG
:
0,5
millions
x
2
=
1
million
FCFA
§ 25
GPS
ordinaires
pour
DR
et
DD
:
0,2
millions
x
25
=
5
millions
FCFA
§ 27
boussoles
:
0,1
million
x
27
=
2,7
millions
FCFA
§ 27
appareils
photo
numérique
:
0,15
millions
x
27
=
4,05
millions
FCFA
§ 27
planimètres
:
0,1
millions
x
27
=
2,7
millions
FCFA
§ 1
traceuse
:
10
millions
FCFA
§ 1
logiciel
de
SIG
:
0,5
millions
FCFA
Total
équipement
:
700,95
millions
FCFA
soit
84,35
%
455/465
- Fonctionnement
:
Hypothèse
:
100
permis
et
parcelles
à
visiter
à
raison
de
3
par
jour
pour
5
jours
ouvrables
par
semaine.
3
personnes
par
mission.
Frais
de
mission
50
000
F/j
pour
Direction
Centrale
;
40
000
F/j
pour
Direction
Régionale
;
30
000
F/j
pour
Direction
Départementale.
Direction
Centrale
:
nombre
de
jours
de
mission
:
(100
:
3
:
5)
x
7
=
45,
66
soit
46
jours
par
semestre
§ Frais
de
2
missions/an
:
50
000
F
x
3
x
46
x
2
=
13,8
millions
§ Carburant
et
lubrifiant
:
1
millions/semestre
=
2
millions/an
Total
Direction
Centrale
:
15,8
millions
FCFA
10
Directions
Régionales
:
nombre
de
permis
et
parcelles
à
visiter
par
direction
:
10
;
Nombre
de
jours
de
missions
:
(10
:
3
:
5)
x
7
=
4,6
soit
5
j/trimestre.
§ Frais
de
4
missions/an
:
10(40
000
F
x
3
x
5
x
4)
=
24
millions
FCFA
§ Carburant
et
lubrifiant
:
10(300
000
F
x
4)
=
12
millions
FCFA
Total
Directions
Régionales
:
36
millions
FCFA
15
Directions
Départementales
:
nombre
de
permis
et
parcelles
à
visiter
par
direction
:
7
Nombre
de
jours
de
missions
:
(7
:
3
:
5)
x
7
=
3,26
soit
4j/mois
§ Frais
de
12
missions/an
:
15(30
000
F
x
3
x
4
x
12)
=
64,8
millions
FCFA
§ Carburant
et
lubrifiant
:
15(75
000
F
x
12)
=
13,5
millions
FCFA
Total
Directions
Départementales
:
78,3
millions
FCFA
Total
fonctionnement
:
130,1
millions
FCFA
soit
15,65
%
16. Contributions
souhaitées
:
Secteur
minier
100
%
(source
de
financement
:
fonds
de
soutien
à
instituer)
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impact
sur
les
OMD/environnement
:
meilleur
suivi
de
l’activité
minière,
meilleure
anticipation
sur
les
problèmes
d’ordre
technique
ou
social.
19. Charges
récurrentes
:
Secteur
minier
à
travers
fonds
de
soutien.
456/465
5. Contraintes
liées
au
projet
:
Inexistence
d’un
site
web,
difficultés
de
rassembler
et
informer
une
masse
importante
de
la
population
et
des
intervenants
dans
le
secteur.
6. Bénéficiaires
:
Administrateurs
Territoriaux,
Elus
locaux,
populations
et
cadres
proches
des
sites
miniers,
exploitants
artisanaux,
opérateurs
miniers,
investisseurs
nationaux
et
étrangers,
tout
intervenant
dans
le
secteur
minier.
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
:
code
minier
ivoirien
sur
internet,
création
en
cours
d’un
site
web
pour
le
Ministère,
information
des
populations
des
sites
d’exploitation
sur
les
dispositions
du
Code
minier
lors
des
mouvements
de
revendications
socio-‐économiques.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
:
- organisation
de
campagnes
d’information
au
plan
national
;
- finalisation
de
la
création
d’un
site
web
;
- publication
des
textes
sur
le
site
web
;
9. Actions
à
mener
:
- imprimer
et
distribuer
le
Code
minier
;
- organiser
un
atelier
interne
pour
les
agents
du
Ministère,
notamment
les
responsables
et
chefs
de
services
exerçant
à
l’intérieur
du
pays
;
- organiser
des
ateliers
dans
les
vingt
chefs-‐lieux
de
régions
pour
les
Administrateurs
territoriaux,
les
élus
et
les
populations
en
insistant
sur
les
aspects
les
concernant
;
- publier
les
textes
sur
Internet
- organiser
des
films
documentaires,
des
courts
métrages
et
des
débats
à
la
télévision
et
à
la
radio.
10. Marqueurs
de
Progrès
(Indicateurs)
:
- en
2
mois
le
Code
minier
est
imprimé
par
l’imprimerie
nationale
- en
3
mois
le
Code
minier
est
distribué
aux
différents
intervenants
et
publié
sur
internet
- en
2
mois
l’atelier
interne
est
organisé
- en
3
mois
les
ateliers
sont
organisés
dans
les
20
chefs
lieux
de
régions
- en
8
mois
les
films
documentaires,
les
courts
métrages
et
les
débats
à
la
télévision
et
à
la
radio
sont
réalisés.
Durée
totale
:
18
mois
11. Période
d’exécution
:
court
terme
(Août
2013
à
janvier
2015)
12. Maître
d’ouvrage
:
Ministère
des
Mines
du
Pétrole
et
de
l’Energie
13. Maître
d’œuvre
:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
14. Partenaires
:
Opérateurs
Miniers,
Administrateurs
territoriaux
15. Coût
prévisionnel
:
145
millions
F
CFA
- étude
:
Impression
:
500
exemplaires
x
50
000
FCFA
=
25
millions
FCFA
(17.2
%)
- équipements
:
1
véhicule
4
x
4
de
30
millions
FCFA
(20.7
%)
- fonctionnement
:
§ Diffusion
dans
les
régions
:
Directeurs
Régionaux
Carburant
:
150
000
FCFA
x
10
=
1,5
millions
FCFA
§ Atelier
de
4
jours
pour
100
Agents
du
ministère
:
Frais
d’organisation
:
100
x
4
x
75
000
FCFA
=
30
millions
FCFA
§ Atelier
dans
les
Chef-‐lieu
de
Régions
:
(4
régions
en
3
semaines
avec
12
jours
de
mission
en
2
semaines
et
une
semaine
de
repos
soit
5
missions
pour
les
20
régions
à
raison
de
4
personnes
par
mission)
458/465
Frais
de
mission
:
50
000
FCFA/jour
x
4
x
12
x
5
=
12
millions
FCFA
Carburant
:
500
000
FCFA/mission
x
5
=
2,5
millions
FCFA
Frais
organisation
atelier
:
700
000
FCFA
x
20
=
14
millions
FCFA
§ Films
documentaires,
courts
métrages
et
autres
débats
30
millions
FCFA
Total
fonctionnement
:
90
millions
FCFA
soit
62,07
%
16. Contributions
souhaitées
:
- Etat
de
Côte
d’Ivoire
:
55
millions
(étude
et
équipement)
soit
37,93
%
;
- Source
de
financement
:
taxes
minières
- Opérateur
minier
:
90
millions
soit
62,07
%
17. Gains
attendus
:
à
déterminer
18. Impacts
sur
les
OMD/Environnement
:
Meilleures
informations
sur
tous
les
aspects
de
l’activité
minière,
sur
les
droits
et
devoirs
des
uns
et
des
autres,
assurance
d’un
environnemental
social
apaisé
propice
à
l’activité
minière.
19. Charges
récurrentes
:
à
déterminer
459/465
Cet objectif global se décline en deux objectifs spécifiques qui sont de :
-‐‑ disposer
d’un
bâtiment
(R
+
4)
pour
abriter
les
différentes
directions
;
-‐‑ regrouper
les
Services
de
la
DGMG,
sur
le
même
site
géographique.
3. Description
de
la
situation
- Les
services
de
la
DGMG
ne
sont
pas
regroupés
sur
le
même
site
;
- Les
directions
et
services
de
la
DGMG
ne
disposent
pas
de
locaux
en
nombre
suffisant
;
- La
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique
(DCPG),
une
des
directions
de
la
DGMG
est
logée
sur
un
site
qui
dispose
encore
d’espace
libre
pour
la
construction
d’un
bâtiment
R+4.
Les
bâtiments
abritant
la
DCPG
datent
des
années
70.
Les
installations
électriques
sont
obsolètes
;
ce
qui
a
occasionné
plusieurs
incendies.
Les
évènements
post
électoraux
y
ont
accentué
la
dégradation
des
installations
et
des
bâtiments.
4. Coût
des
risques
(faiblesse)
:
La
réussite
de
ce
projet
sera
assurée
par
un
contexte
sociopolitique
favorable,
une
volonté
politique
des
autorités
ivoiriennes,
un
financement
adéquat.
5. Contraintes
liées
au
projet
Les
éléments
susceptibles
de
compromettre
la
réussite
du
projet
sont
:
-‐‑ l’instabilité
de
la
situation
sociopolitique
;
-‐‑ le
manque
de
volonté
politique
des
autorités
;
-‐‑ l’insuffisance
de
financement.
6. Bénéficiaires
-‐‑ Ministère
des
Mines
du
Pétrole
et
de
l’Energie
;
-‐‑ opérateurs
privés
et
le
monde
académique
;
-‐‑ communauté
scientifique.
-‐‑ secteur
minier
7. Actions
antérieures
ou
en
cours
- Un
projet
de
construction
d’un
immeuble
pour
abriter
tous
les
services
du
Ministère
chargé
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie
a
été
initié
depuis
2009,
mais
ce
projet
n’a
pas
pu
aboutir
;
460/465
- En
2010,
le
cabinet
ministériel
a
initié
et
entamé
un
projet
de
réhabilitation
des
locaux
de
l’ex
Sitram,
pour
y
loger
quelques
Directions
techniques
et
services
du
Ministère.
Ce
projet
non
plus
n’est
pas
arrivé
à
son
terme.
8. Stratégies
de
mise
en
œuvre
La
stratégie
de
mise
en
œuvre
de
ce
projet
consistera
en
:
461/465
1. Orientation
En
Côte
d’Ivoire,
l’édification
de
l’infrastructure
géoscientifique
connaît
des
difficultés
malgré
les
efforts
consentis
par
l’Etat
depuis
l’indépendance.
Par
rapport
à
ses
voisins
de
la
sous-‐région,
le
pays
dispose
d’une
infrastructure
géoscientifique
qui
souffre
d’insuffisances
majeures,
lesquelles
handicapent
de
façon
notable
la
mise
en
valeur
du
potentiel
géologique
et
le
développement
de
l’activité
minière.
Cette
mission
ne
peut
cependant
être
accomplie
que
par
le
renforcement
des
capacités
institutionnelles
notamment
humaines,
par
l’amélioration
de
la
formation
de
base,
la
professionnalisation
et
la
spécialisation
des
acteurs.
2. Objectifs
L’objectif
global
de
ce
projet
est
de
renforcer
les
capacités
humaines
de
la
structure
en
charge
de
l’élaboration
de
l’infrastructure
géoscientifique,
pour
une
meilleure
promotion
du
potentiel
géologique.
Cet objectif se décline en différents objectifs spécifiques qui sont les suivants :
-‐‑ recruter du personnel et procéder à la spécialisation des agents techniques ;
-‐‑ adapter la formation de base aux exigences du secteur ;
-‐‑ assurer
la
participation
des
agents
techniques
aux
conférences
et
séminaires
nationaux
et
internationaux.
3. Description
de
la
situation
Localement en Côte d’Ivoire, il existe des écoles et instituts de formation dans le domaine des
géosciences. Cependant, il n’y a pas de coordination entre les programmes de formation
initiale et les besoins des structures qui emploieront les diplômés. En général, on note de
nombreuses insuffisances au niveau des ressources humaines dans le domaine des
géosciences, liées à :
-‐‑ de
1971
à
aujourd’hui
§ la
formation
d’Ingénieurs
et
Docteurs
dans
les
Universités
et
Grandes
écoles
américaines
et
européennes
par
l’octroi
de
bourses
d’étude
;
§ la
formation
de
Techniciens
Supérieurs
et
d’Ingénieurs
des
Mines
à
l’ENSTP
et
de
Géologues
à
l’Université
d’Abidjan
;
§ la
professionnalisation
des
Ingénieurs
à
travers
différents
camps
d’été
au
Canada
et
la
formation
sur
le
tas
par
le
projet
Ivoiro-‐Allemand
de
cartographie
géologique
de
détail
;
§ la
formation
des
Ingénieurs
à
l’interprétation
des
données
aérogéophysiques
et
géochimiques
;
463/465
Les
stratégies
de
mise
en
œuvre
de
ce
projet
consisteront
en
:
-‐‑ la
prise
de
textes
réglementaires
pour
harmoniser
les
programmes
de
formation
de
base
;
-‐‑ la
signature
d’accords
et/ou
de
conventions
entre
les
partenaires
Formateurs/Employeurs
;
-‐‑ l’actualisation
de
l’évaluation
du
projet
;
-‐‑ la
finalisation
du
financement
du
projet
par
des
ressources
internes
et
externes.
9. Activités
à
réaliser
-‐‑ Mettre
en
place
un
comité
interministériel
d'harmonisation
de
la
formation
initiale
et
de
recrutement
des
cadres
techniques
;
-‐‑ Organiser
des
séminaires
de
revalorisation
de
la
formation
initiale
;
-‐‑ Etablir
des
programmes
thématiques
de
formation
au
profit
des
agents
;
-‐‑ Mettre
en
place
des
cellules
d'exécution
et
des
comités
de
suivi
sectoriels
;
-‐‑ Organiser
des
séminaires
thématiques
de
formation
au
profit
du
personnel
en
Côte
d’Ivoire
;
-‐‑ Assurer
la
participation
du
personnel
à
des
séminaires
de
formation
et
conférences
hors
Côte
d’Ivoire,
dans
le
domaine
des
géosciences
;
-‐‑ Mettre
en
place
des
programmes
sectoriels
annuels
de
formation
de
personnels
;
-‐‑ Définir
des
profils
de
carrière
;
-‐‑ Prendre
des
mesures
de
motivation
du
personnel
;
-‐‑ Assurer
l'encadrement
sur
le
tas
des
agents
nouvellement
recrutés
;
-‐‑ Mettre
en
place
des
programmes
sectoriels
annuels
de
recrutement
de
personnels
;
-‐‑ Exécuter
les
programmes
sectoriels
annuels
de
recrutement
de
personnels.
10. Marqueurs
de
progrès
§ 2011:
les
textes
réglementaires
existent,
les
conventions
et/ou
accords
sont
signés,
§ A
partir
de
2012
:
le
projet
de
renforcement
des
capacités
institutionnelles
est
fonctionnel.
11. Période
d’exécution
:
les
rapports
et
supports
de
cours
sont
disponibles,
le
projet
débutera
à
partir
de
2011
pour
rester
un
programme
continuel
dans
le
temps
après
révision
sur
une
base
quinquennale.
12. Maître
d’ouvrage:
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
13. Maître
d’œuvre:
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique
14. Partenaires
-‐‑ Expertise
interne
:
§ agents
de
la
Direction
de
la
Cartographie
et
de
la
Prospection
Géologique.
§ les
Universités,
Instituts
et
Grandes
Ecoles
de
formation
du
domaine
des
Mines
et
Géologie.
§ les
Compagnies
Minières
en
activité
en
Côte
d’Ivoire.
464/465
Les
contributions
nécessaires
pour
le
renforcement
des
capacités
humaines
de
l’Agence
en
charge
de
l’élaboration
de
l’infrastructure
géoscientifique
nationale
devront
être
réparties
entre
l’Etat
ivoirien,
une
institution
de
financement
telle
que
la
Banque
Mondiale
et
les
opérateurs
miniers
en
activité
en
Côte
d’Ivoire.
Les parts respectives seront à préciser lors de la révision des coûts requis.
Ø Privés locaux : A définir lors de la révision du Code Minier.
L’impact du projet sur l’environnement est négligeable puisqu’il s’agit de formation des hommes.
465/465
PROJETS
D’URGENCE
SOMMAIRE
PAGES
Chapitre
1
:
Secteur
des
Mines
et
de
la
Géologie
1. Exploitation
du
gisement
de
manganèse
de
Lauzoua
4
2. Audit
des
titres
miniers
7
3. Révision
de
la
procédure
d’octroi
des
titres
miniers
8
4. Règlement
des
conflits
en
zones
d’exploration
et
d’exploitation
minières
10
Chapitre
2
:
Secteur
des
Hydrocarbures
1. Mesures
urgentes
à
prendre
pour
assurer
la
demande
en
gaz
naturel
12
Chapitre
3
:
Secteur
de
l’Electricité
1. Contexte
14
2. Motivations
et
choix
des
projets
15
Tableaux
- Résumé
des
projets
24
o Projets
d’urgence
des
Mines
et
de
la
Géologie
o Projets
d’urgence
des
Hydrocarbures
o Tableau
4
:
Projets
d’urgence
de
l’Electricité
- Chronogrammes
30
Figures
- Figure
1
:
Localisation
du
site
minier
de
Lauzoua
4
Graphiques
- Graphique
1
:
Offre
vs
demande
du
gaz
naturel
14
1
En
attendant
la
mise
en
œuvre
à
plus
ou
moins
longue
échéance
des
projets
du
plan
stratégique,
la
Côte
d’Ivoire
va
être
confrontée
à
une
situation
alarmante
de
2011
à
2013.
Pour
passer
cette
période
de
fortes
tensions,
la
Côte
d’Ivoire
doit
trouver
des
solutions
immédiates
internes.
2
CHAPITRE
1
:
SECTEUR
DES
MINES
ET
DE
LA
GEOLOGIE
3
Les
mesures
urgentes
proposées
sont
les
suivantes
:
• Exploitation
du
gisement
de
manganèse
de
Lauzoua.
• Audit
des
titres
miniers.
• Révision
des
procédures
d’octroi
des
titres
miniers.
• Règlement
des
conflits
en
zones
d’exploration
ou
d’exploitation
minières.
Le
coût
de
leur
financement
est
estimé
à
8.1
milliards
F
CFA,
dont
contribution
de
l’Etat
:
4.6
milliards
F
CFA,
soit
57.3
%
et
autres
contributions
:
3.5
milliards
F
CFA,
soit
42.7%.
1. EXPLOITATION
DU
GISEMENT
DE
MANGANESE
DE
LAUZOUA
1.1. PRESENTATION
DE
LA
MINE
Mine de
Manganèse de
Lauzoua
manga
nèse
de
Lauzo
ua
4
Le
gisement
de
manganèse
de
Lauzoua
se
trouve
dans
la
circonscription
de
la
sous-‐préfecture
de
Lauzoua,
Département
de
Guitry.
Il
est
situé
à
190
km
à
l’ouest
d’Abidjan
et
à
7
km
au
nord
de
la
voie
dénommée
la
Côtière.
Il
s’étend
sur
une
ligne
de
crête
de
14
km
de
long,
est
couvert
par
le
permis
de
recherche
n°
62
d’une
superficie
de
100
km2.
On
distingue
trois
(3)
types
de
minéralisation
:
i. le
minerai
de
lentille
au
sommet
des
collines
(8%),
ii. le
minerai
de
démantèlement
coiffant
le
minerai
de
lentille
(77%),
iii. le
minerai
de
cuirasse
sur
les
flancs
des
collines
(15%).
1.2. ACTIVITES
ANTERIEURES
De
1955
à
1970
ce
gisement
a
fait
l’objet
d’exploration
et
d’exploitation
par
la
compagnie
française
MOKTA
EL
HADID.
A
partir
de
1994,
la
SODEMI
a
entrepris
un
programme
de
valorisation
du
gisement
comprenant
des
travaux
de
certification
des
réserves
superficielles,
des
essais
de
commercialisation,
une
étude
de
faisabilité
suivie
d’une
phase
d’exploitation
pilote.
Ce
programme
a
permis
d’une
part
de
confirmer
les
caractéristiques
chimiques
du
manganèse
de
Lauzoua
propres
au
circuit
métallurgique
et
d’autre
part
à
la
SODEMI
de
s’enrichir
de
fortes
expériences
pratiques
pour
mieux
comprendre
le
gisement
et
maîtriser
les
paramètres
techniques
nécessaires
à
une
exploitation
de
plus
grande
envergure.
En
outre
3
000
m
de
sondage
RC
avec
des
résultats
encourageants
ont
été
effectués
pour
vérifier
l’extension
en
profondeur
du
gisement.
Fort
de
cette
expérience,
la
SODEMI
a
signé
en
août
2009,
un
Accord
de
partenariat
avec
la
compagnie
chinoise
CGM
pour
créer
une
Société
d’exploitation
dénommée
Compagnie
Minière
du
Littoral
(CML)
dont
l’objet
est
de
développer
et
valoriser
le
gisement.
La
répartition
du
capital
de
CML
est
la
suivante
:
§ SODEMI
:
51
%
§ CGM
:
39
%
§ Etat
:
10
%
Une
demande
de
permis
d’exploitation
a
été
introduite
en
2010
sur
l’ensemble
du
permis
de
recherche.
Le
23
septembre
2010
le
permis
d’exploitation
n°
36
a
été
attribué
à
SODEMI
puis
transféré
à
CML
le
05
novembre
2010.
Les
réserves
superficielles
certifiées
à
date
sur
ce
permis
s’élèvent
à
environ
1
400
000
tonnes
de
produits
marchands
à
40
%
Mn.
Cependant
conformément
à
l’Accord
de
partenariat,
CGM
devra
conduire
des
travaux
d’exploration
et
de
sondages
miniers
carottés
pour
accroître
les
réserves.
A
cet
effet,
un
nouveau
permis
de
recherche
(n°248)
a
été
demandé
dans
le
prolongement
du
premier.
CGM
devra
aussi
réaliser
des
travaux
préliminaires
d’exploration
pour
évaluer
le
potentiel
de
ce
permis
de
recherche.
5
1.3. OBJECTIF
La
réouverture
de
la
mine
de
manganèse
de
Lauzoua
vise
à
générer
des
ressources
financières
pour
la
SODEMI
et
aussi
pour
l’Etat
de
Côte
d’Ivoire.
1.4. PRESENTATION
1.4.1. Description
de
la
situation
actuelle
Ce
projet
d’exploitation
qui
est
en
phase
de
réalisation,
porte
sur
des
réserves
superficielles
exploitables
(certifiées)
estimées
à
environ
1
400
000
tonnes
de
produits
marchands
grossiers
pour
une
cadence
de
production
de
300
000
tonnes
par
an.
Toutefois,
un
programme
d’exploration
intensif
visant
à
mettre
en
exergue
l’enracinement
en
profondeur
de
la
minéralisation
est
prévu.
Dans
le
même
ordre,
un
permis
a
été
sollicité
sur
la
zone
d’extension
du
permis
d’exploitation
actuel
afin
d’accroitre
les
réserves
et
garantir
de
ce
fait,
une
durée
de
vie
suffisante
à
ce
projet.
1.4.2. Stratégie
La
SODEMI
envisage
la
création
d’une
société
de
logistique
après
la
mise
en
évidence
de
réserves
suffisantes
pour
réduire
ainsi
la
sous-‐traitance
d’exploitation
et
de
transport.
Cette
société
de
logistique
sera
aussi
mise
à
contribution
dans
le
projet
d’exploitation
du
gisement
de
fer
de
Monogaga
prévue
pour
2015.
1.4.3. Activités
à
réaliser
§ Finalisation
de
l’avenant
N°4
relatif
aux
modalités
de
remboursement
à
CGM
du
crédit
fournisseur
sur
les
équipements,
et
aux
travaux
d’exploration
à
mener
par
CGM
sur
le
permis
d’exploitation
n°
36,
et
le
permis
de
recherche
n°
248.
§ Paiement
du
droit
d’entrée
de
CGM
§ Nomination
des
représentants
de
la
Côte
d’Ivoire
au
Conseil
d’Administration
§ Mobilisation
et
installation
du
prestataire
§
Réunion
du
Conseil
d’Administration
§ Début
de
l’extraction
du
minerai
§ Finalisation
de
la
construction
de
la
mine
§ Début
de
la
production
1.4.4. Période
d’exécution
La
durée
de
vie
initiale
de
la
mine
est
de
5
ans
sur
la
base
des
réserves
superficielles
déjà
certifiées.
Toutefois,
les
résultats
des
futurs
programmes
d’exploration
en
profondeur
et
l’obtention
future
du
permis
d’extension
permettront
un
prolongement
significatif
de
la
vie
de
cette
mine.
La
réouverture
devarit
se
faire
dans
un
délai
de
quatre
(4)
mois.
6
1.4.5. Coût
prévisionnel
et
Contributions
souhaitées
Il
s’élève
à
8
milliards
de
francs
CFA
et
permettra
la
création
d’environ
cent
(100)
emplois
directs,
réparti
comme
ci-‐dessous
:
§ 57
%
pour
SODEMI,
soit
4.6
milliards
de
francs
CFA,
§ 43
%
pour
CGM
soit
3.4
milliards
de
francs
CFA.
2. AUDIT
DES
TITRES
MINIERS
L’audit
des
titres
miniers
permettra
dans
de
brefs
délais
d’avoir
une
bonne
lisibilité
et
une
meilleure
compréhension
du
cadastre
minier
actuel.
L’audit
des
titres
miniers
se
fera
en
trois
(3)
étapes
:
i. Collecte
des
données
Cette
étape
vise
à
collecter
les
informations
ci-‐dessous
énumérées
auprès
des
sociétés
détentrices
de
titres
miniers
:
§ Copies
des
actes
administratifs
et
réglementaires
(décrets,
arrêtés,
statuts
modifiés,
accords
ou
conventions
avec
les
partenaires
et
sous-‐traitants);
§ Mode
de
financement
des
travaux
(fonds
collectés
en
bourse,
fonds
propres
…)
;
§ Copies
des
taxes,
droits
fixes
et
redevances
superficiaires
payés
;
§ Liste
du
personnel
technique
et
administratif
par
catégorie
d’emploi
et
par
nationalité
;
§ Grille
salariale
pratiquée
par
catégorie
d’emploi
et
par
nationalité
(nationaux
et
expatriés)
;
§ Rapports
année
par
année
et
le
rapport
général
par
période
de
validité
;
§ Détail
des
dépenses
effectuées
suivant
le
modèle
ci-‐joint.
i. Confrontation
des
données
Les
informations
collectées
vont
être
confrontées
avec
celles
disponibles
à
la
DGMG
en
vue
de
vérifier
la
conformité
des
actes
réglementaires
et
des
engagements
pris.
Par
ailleurs,
les
opérateurs
seront
auditionnés
pour
complément
et
justification
d’informations,
et
une
visite
de
terrain
sera
effectuée
en
vue
de
vérifier
l’effectivité
des
travaux
de
terrain
et
si
ceux-‐ci
ont
été
exécutés
à
l’intérieur
du
titre
minier.
ii. Rapport
d’audit
Au
terme
des
confrontations,
un
rapport
d’audit
sera
élaboré
pour
chaque
titre
minier.
L’audit
doit
être
réalisé
dans
un
délai
de
deux
(2)
mois.
Le
coût
est
estimé
à
75.5
millions
F
CFA
7
3. REVISION
DE
LA
PROCEDURE
D’OCTROI
DES
TITRES
MINIERS
3.1. CONTEXTE
La
lourdeur
et
la
lenteur
constatées
dans
la
procédure
actuelle
d’attribution
des
titres
miniers
sont
de
nature
à
décourager
les
investisseurs
potentiels
du
secteur
minier.
Aussi,
conviendrait-‐t-‐il
de
prendre
des
mesures
urgentes
pour
corriger
les
faiblesses
et
renforcer
les
points
forts.
L’un
des
objectifs
que
s’est
fixé
le
Ministère
en
charge
des
Mines
est
d’accroître
l’investissement
dans
l’exploration
afin
de
mettre
en
exploitation
de
nouveaux
gisements
et
d’augmenter
sensiblement
la
production.
La
révision
de
la
procédure
d’octroi
des
titres
miniers,
actuellement
en
vigueur
et
assez
complexe,
aidera
à
y
parvenir.
3.2. JUSTIFICATION
La
Loi
minière
de
1995
a
permis
d’attirer
l’investissement
étranger
et
de
donner
une
impulsion
à
l’activité
minière.
Mais
la
procédure
d’octroi
des
titres
miniers
par
décret,
avec
ses
multiples
étapes
énumérées
ci
après,
apparaît
comme
un
frein
:
- Enregistrement,
vérification
et
étude
des
demandes
à
la
Direct
ion
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
(DGMG)
;
- Convocation
de
la
Commission
Minière
Interministérielle
composée
de
14
membres
pour
examiner
les
demandes
;
- Préparation
des
projets
de
décrets
et
des
rapports
de
présentation
;
- Transmission
aux
Ministres
en
charge
des
Mines,
en
charge
de
l’Environnement,
et
en
charge
de
l’Economie
et
des
Finances,
co-‐signataires
des
rapports
de
présentation
;
- Transmission
au
Secrétariat
Général
du
Gouvernement
pour
présentation
en
Conseil
des
Ministres
;
- Signature
du
décret
par
le
Président
de
la
République
;
- Enregistrement
au
Secrétariat
Général
du
Gouvernement
et
transmission
au
Cabinet
du
Ministre
en
charge
des
Mines.
Cette
procédure,
avec
le
nombre
élevé
de
décisionnaires,
est
longue
et
retarde
la
délivrance
des
actes,
pénalisant
ainsi
les
investisseurs.
Ce
qui
les
amène
certains
investisseurs
à
s’orienter
vers
d’autres
horizons.
3.3. OBJECTIF
Le
projet
a
pour
objectif
de
réduire
les
délais
de
traitement
des
demandes
d’une
part
et
l’octroi
des
titres
miniers
d’autre
part
en
vue
d’accroître
le
niveau
des
investissements
dans
le
secteur
minier.
3.4. PRESENTATION
DU
PROJET
Le
projet
consistera
à
élaborer
et
à
faire
adopter
une
nouvelle
procédure
d’attribution
des
titres
miniers.
Cette
procédure
nouvelle
s’appuiera,
entre
autres,
sur
les
éléments
ci-‐dessous
:
− fixation
d’un
délai
raisonnable
pour
chacune
des
étapes
de
la
procédure;
8
− réduction
du
nombre
des
membres
de
la
COMINE
;
− octroi
du
permis
de
recherches
minières
par
arrêté
du
Ministre
en
charge
des
Mines
;
− octroi
du
permis
d’exploitation
par
décret
suite
à
un
rapport
de
présentation
en
Conseil
des
Ministres
signé
du
Ministre
en
charge
des
Mines.
3.5. UTILITE
SOCIO-‐ECONOMIQUE
DU
PROJET
La
nouvelle
procédure,
si
elle
est
adoptée,
insufflera
un
nouvel
élan
à
l’activité
minière
;
ce
qui
permettra
d’accroître
le
nombre
de
permis
de
recherches
minières
et
d’augmenter
la
probabilité
de
trouver
des
gisements,
sources
d’emplois
et
de
richesses.
3.6. RESULTATS
ATTENDUS
Les
résultats
attendus
au
terme
des
deux
(2)
mois
d’exécution
du
projet
sont
les
suivants
:
− La
procédure
proposée
est
adoptée
par
le
Gouvernement
;
− Les
textes
modificatifs
sont
signés
par
le
Président
de
la
République.
3.7. COÛT
DU
PROJET
A
déterminer.
3.8. STRUCTURES
ENGAGEES
Les
structures
engagées
dans
la
révision
de
la
procédure
d’attribution
des
titres
miniers
sont
la
Direction
Générale
des
Mines
et
de
la
Géologie
(DGMG/DDM
et
DSRM)
et
le
Cabinet
du
Ministre
des
Mines,
du
Pétrole
et
de
l’Energie.
9
4. REGLEMENT
DES
CONFLITS
EN
ZONES
D’EXPLORATION
ET
D’EXPLOITATION
MINIERES
4.1. CONTEXTE
Les
zones
d’intérêt
minier
ont
toujours
connu
des
soubresauts
entre
les
structures
qui
exploitent
les
ressources
naturelles
et
les
populations
riveraines.
En
Côte
d’Ivoire,
certaines
régions
apparaissent
de
plus
en
plus
comme
des
foyers
de
tensions
entre
les
opérateurs
miniers
et
les
villageois.
Afin
d’atténuer
ces
conflits
parfois
meurtriers,
il
est
urgent
d’élaborer
une
plate
forme
de
collaboration
adaptée,
consensuelle
et
durable
entre
les
sociétés
minières
et
les
communautés
concernées
par
l’activité
minière.
4.2. ORGANISATION
DU
PROJET
§ Identifier
les
zones
de
conflit.
§ Identifier
la
nature
des
conflits
:
conflits
liés
au
foncier,
à
la
politique,
au
déficit
d’informations
et
de
communication
à
des
revendications
d’ordre
social,
…
§ Mettre
sur
pieds
les
différentes
délégations.
§ Adresser
des
courriers
aux
opérateurs,
aux
structures
déconcentrées
(DR,
DR)
et
aux
autorités
administratives.
§ Envoyer
des
missions
sur
le
terrain
pour
informer,
sensibiliser
et
collecter
des
informations
objet
de
litiges
ou
de
conflits.
§ Rédiger
les
rapports
de
missions.
§ Effectuer
la
synthèse
des
rapports
pour
cerner
tous
les
facteurs
internes
et
exogènes
liés
aux
conflits.
§ Proposer
des
solutions
au
niveau
national
et
au
niveau
local.
§ Soumettre
les
projets
de
propositions
au
cabinet.
§ Envoyer
des
missions
d’échanges
avec
les
populations
sur
les
ébauches
de
solutions.
§ Effectuer
les
rapports
de
missions
au
cabinet.
§ Elaborer
un
projet
de
texte
relatif
à
la
prévention
et
au
règlement
des
conflits
des
sites
miniers
soumis
au
cabinet.
§ Vulgariser
les
textes
à
travers
une
visite
Ministérielle
4.3. DELAI
DE
REALISATION
ET
COUT
DU
PROJET
La
durée
de
lancement
du
projet
est
estimée
à
trois
(3)
mois.
Le
coût
est
estimé
à
39.4
MF
CFA
et
couvrira
surtout
les
frais
de
missions.
10
CHAPITRE
2
:
SECTEUR
DES
HYDROCARBURES
11
1. MESURES
URGENTES
A
PRENDRE
POUR
ASSURER
LA
DEMANDE
EN
GAZ
NATUREL
L’augmentation
de
la
fourniture
du
gaz
naturel
pour
alimenter
les
unités
de
production
thermiques
a
trois
sources
:
i. collecte
de
la
production
nationale
du
Sud-‐est,
via
le
gazoduc
terrestre
Abidjan-‐
Assinie
ou
Gazoduc
Est
:
le
programme
de
développement
des
blocs
gaziers
n’a
pas
encore
été
approuvé
;
le
gazoduc
n’est
pas
encore
construit.
ii. collecte
de
la
production
sous
régionale
(Ghana
et
Nigeria),
via
l’interconnexion
au
Gazoduc
Ouest
Africa
(Projet
WAPCO)
;
le
projet
n’est
pas
encore
engagé.
iii. importation
de
gaz
liquéfié
qui
nécessite
une
logistique
spécialisée
en
termes
de
navires,
d’unités
de
reconditionnement
;
c’est
un
projet
onéreux
(plus
de
225
milliards
F
CFA)
avec
un
délai
long
de
réalisation
(plus
de
2
ans).
Elles
doivent
permettre
de
prendre
un
positionnement
avantageux
par
rapport
à
la
concurrence
et
à
équilibrer
les
comptes
du
secteur.
Le
coût
du
financement
est
estimé
à
105
milliards
F
CFA.
12
CHAPITRE
3
:
SECTEUR
DE
L’ELECTRICITE
13
«
Prendre
les
mesures
nécessaires
pour
augmenter
les
capacités
nationales
de
production
d’énergie
afin
d’éviter
tout
risque
de
délestage
».
Extrait
des
conclusions
et
recommandations
du
séminaire
gouvernemental
des
5
et
6
juillet
2011.
1. CONTEXTE
1.1. EQUIPEMENTS
DE
PRODUCTION
Le
secteur
électrique
ivoirien
est
caractérisé
sur
le
plan
de
la
production,
du
transport
et
de
la
distribution
par
une
absence
d’investissement
depuis
plus
d’une
décennie,
tant
au
niveau
de
la
maintenance
que
du
renouvellement.
La
majorité
des
équipements
se
trouvent
ainsi
en
situation
de
vétusté
avancée
et
en
limite
de
capacité.
Ce
dépassement
de
capacité
des
ouvrages
de
distribution
nécessite
l’interruption
de
la
fourniture
d’électricité
afin
de
ramener
les
transits
et
les
tensions
d’exploitation
dans
les
plages
de
valeurs
admissibles
et
protéger
ainsi
les
ouvrages
et
les
populations.
Il
n’existe
pas
de
réserve
de
production
pour
satisfaire
les
besoins
des
périodes
de
pointe
et
de
sécurité
N-‐1
en
cas
d’arrêt
d’un
élément
de
la
production,
exposant
le
système
électrique
à
des
risques
de
délestage
massif
et
profond
en
cas
d’avarie
d’un
groupe
de
production
de
forte
capacité.
1.2. FOURNITURE
DE
GAZ
NATUREL
Le
gaz
naturel
est
le
combustible
des
turbines
thermiques.
L’offre
locale
actuellement
ne
satisfait
que
87%
des
besoins
locaux.
Elle
est
déclinante
du
fait
de
l’absence
de
mise
en
production
de
champs
additionnels.
Ce
déficit
va
s’accroître
dès
2012
et
déboucher
à
partir
de
2013
sur
l’incapacité
de
satisfaire
les
besoins
du
marché
local
et
en
particulier
empêcher
le
plan
de
relance
du
secteur
minier.
Graphique
1
:
Offre
vs
demande
du
gaz
naturel
14
1.3. SITUATION
FINANCIERE
Le
secteur
de
l’électricité
connaît
un
important
déficit
financier
qui
a
atteint
120
milliards
F
CFA
en
2010.
Il
est
imputable
d’une
part
à
une
administration
tarifaire
inadaptée
et
d’autre
part
au
renchérissement
du
prix
du
combustible.
Cette
situation
devrait
continuer
de
se
détériorer,
aggravant
les
tensions
de
trésorerie
des
producteurs
indépendants
(CIPREL,
AZITO,
AGGREKO)
et
des
opérateurs
gaziers
(FOXTROT,
CNR,
AFREN),
avec
pour
conséquences
les
risques
d’arrêt
de
la
fourniture
de
combustible
gazeux
et
de
l’électricité.
2. MOTIVATIONS
ET
CHOIX
DES
PROJETS
Les
projets
on
été
choisis
pour
répondre
aux
objectifs
immédiats
suivants:
ü Améliorer
l’efficacité
énergétique
de
l’existant
- Acquisition
de
cinq
(5)
transformateurs
- Programme
BOAD
de
réhabilitation
- Programme
PURE
de
réhabilitation
ü Baisser
les
Consommations
- Pose
de
cinq
(5)
millions
de
Lampes
à
Basse
Consommation
(LBC)
- Economie
d’énergie
dans
les
Bâtiments
Administratifs
- Lutte
contre
les
pertes
non
techniques
(fraude,
vols,
actes
de
vandalisme)
ü Développer
des
ouvrages
de
production
- Centrale
à
cycle
combiné
d’Azito
- Signature
de
la
Convention
SOUBRE
(en
attendant
PPTE)
- Mettre
en
œuvre
des
mesures
d’accompagnement
Apurement
des
dettes
du
Secteur
de
l’Electricité
- Baisse
du
prix
du
gaz
naturel
(baisse
de
8
à
6
$US/million
pied
cube
jour)
2.1. AMELIORATION
DE
L’EFFICACITE
ENERGETIQUE
DE
L’EXISTANT
2.1.1. Acquisition
de
5
transformateurs
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
du
renforcement
du
réseau
électrique
de
Transport
–
Distribution
d’électricité.
Il
consiste
à
approvisionner
cinq
(5)
transformateurs
pour
faire
face
aux
contraintes
d’exploitation
c’est-‐à-‐dire
permettre
au
réseau
électrique
ivoirien
de
supporter
les
différentes
charges
de
transit,
réduire
les
pertes
techniques
et
assurer
une
meilleure
desserte
des
populations
et
la
continuité
du
service.
Il
consiste
en
la
fourniture
et
de
la
mise
en
œuvre
de
trois
(3)
transformateurs
90/33/16,5
kV
de
36
MVA
et
de
deux
(2)
transformateurs
90/33/16,5
de
24
MVA.
La
durée
du
projet
est
de
dix
(10)
mois.
Le
coût
du
projet
est
de
4.0
milliards
F
CFA
et
est
entièrement
financé
par
le
privé.
15
2.1.2. Programme
de
réhabilitation
BOAD
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
de
l’exploitation
du
réseau
électrique
ivoirien
et
la
sécurisation
de
l’alimentation
de
la
clientèle
nationale.
Les
objectifs
spécifiques
du
projet
sont
:
- Réduire
le
Temps
Moyen
de
Coupure
TMC
de
15h,
soit
un
gain
de
9
GWh
en
END,
valorisé
à
4,5
milliards
de
F
CFA
par
an
;
- Réduire
l’Energie
Non
Distribuée
de
10
GWh,
soit
5
milliards
F
CFA
par
an
;
- Produire
par
an
140
GWh
à
partir
du
groupe
n°3
de
Vridi
et
de
35
GWh
à
partir
du
groupe
n°1
de
Taabo,
soit
au
total
175
GWh
valorisé
à
7,8
milliards
F
CFA
par
an.
Les
activités
sont
les
suivantes
:
- Réhabilitation
d’équipements
électromécaniques
des
centrales
de
Vridi,
Taabo,
Fayé,
Anyamé
1
et
Anyame
2
;
- Construction
du
poste
de
transformation
225/90/30
kV
de
la
Djibi
;
- Renforcement
du
réseau
interconnecté
par
l’acquisition
et
l’installation
de
quatorze
(14)
transformateurs
;
- Renforcement
du
réseau
de
distribution
de
la
ville
d’Abidjan
par
la
création
de
quatre
(04)
départs
MT
et
le
renouvellement
des
rames
HTA
du
poste
de
Vridi.
La
durée
du
projet
est
de
36
mois.
Le
coût
du
projet
est
de
29
milliards
F
CFA
et
est
financé
entièrement
par
la
BOAD
à
travers
le
prêt
sur
le
Fonds
de
Développement
Energie.
2.1.3. Projet
PURE
L’objectif
de
ce
projet
est
d’améliorer
la
qualité
l’offre
d’électricité
et
la
rentabilité
financière
en
secteur
de
l’électricité
à
travers
les
actions
suivantes
:
- Le
remplacement
des
équipements
de
distribution
obsolètes
et
/ou
surchargés
par
un
matériel
de
pointe
plus
efficace
;
- L’extension
et
reconfiguration
du
réseau
de
distribution
;
- La
promotion
des
activités
de
gestion
de
la
demande.
2.1.4. Composantes
Extension
et
réhabilitation
du
réseau
de
distribution
a)
Extension
du
réseau
de
distribution
dans
l’agglomération
d’Abidjan
dans
le
but
de
raccorder
au
réseau
environ
60
000
nouveaux
clients,
en
particulier
dans
les
zones
d’habitation
spontanée
où
les
raccordements
sont
non
officiels
et
dans
les
quartiers
ayant
une
forte
densité
de
population
comme
Abobo,
Anyama,
Bingerville,
et
Yopougon.
b)
Modernisation
et
restructuration
du
réseau
de
distribution
basse-‐tension
dans
l’agglomération
d’Abidjan,
à
Gueyo,
Soubré,
et
Yamoussoukro,
notamment
grâce
à
16
l’installation
de
nouveaux
départs
et
postes
et
au
remplacement
des
matériels
en
mauvais
état,
vétustes
et
en
surcharge.
c)
Modernisation
et
restructuration
des
postes
moyenne
et
haute
tension
dans
l’agglomération
d’Abidjan,
notamment
en
remplaçant
les
matériels
en
surcharge,
tels
que
les
transformateurs
et
les
disjoncteurs,
et
en
installant
des
condensateurs
dans
d’autres
parties
du
pays.
d)
i)
Fourniture
de
la
logistique
permettant
de
promouvoir
la
gestion
de
la
demande,
notamment
par
la
fourniture
et
l’installation
de
lampes
fluorescentes
compactes
;
ii)
Fourniture
et
installation
de
compteurs
et
création
de
centres
de
services
aux
clients
;
iii)
Renforcement
des
capacités
de
supervision
des
travaux
dans
le
secteur,
notamment
par
la
fourniture
de
véhicules
à
la
SOPIE.
Préparation
de
futurs
investissements
dans
le
réseau
de
transport
a)
Réalisation
d’études
de
faisabilité
et
de
conception
ainsi
que
d’études
environnementales
et
préparation
des
dossiers
d’appel
d’offres
pour
la
restructuration
et
la
modernisation
du
réseau
de
transport
dans
l’agglomération
d’Abidjan,
notamment
pour
l’extension
du
poste
de
Riviera,
la
construction
de
postes
à
Anoumabo,
la
Djibi
et
Anani
et
l’interconnexion
des
postes
de
la
Djibi
et
de
la
Riviera.
b)
Réalisation
d’études
de
faisabilité
et
de
conception
ainsi
que
d’études
environnementales
et
préparation
des
dossiers
d’appel
d’offres
pour
la
restructuration
et
la
modernisation
du
réseau
de
transport
dans
les
régions
de
l’est,
du
nord
et
de
l’ouest,
notamment
pour
la
construction
d’un
poste
à
Bondoukou,
la
connexion
des
régions
de
Tabou,
Tai,
et
Zagné
au
réseau
de
90kV
du
Bénéficiaire,
et
l’interconnexion
des
postes
de
Ferkessédougou
et
de
Laboa.
Appui
institutionnel
et
supervision
du
Projet
a) Appui
institutionnel,
notamment
:
i) fourniture
des
services
de
conseil
relatifs
à
la
tarification
et
à
l’approvisionnement
en
gaz
;
ii) réalisation
d’une
évaluation
des
capacités
des
ressources
humaines
dans
le
secteur,
et
conception
et
exécution
d’un
programme
de
renforcement
des
capacités
sur
cette
base
;
iii) conception
et
mise
en
place
d’un
cadre
institutionnel
pour
une
utilisation
rationnelle
de
l’énergie
et
la
gestion
au
niveau
de
la
demande
ainsi
que
de
programmes
pour
les
particuliers,
l’éclairage
public
et
les
bâtiments
publics,
notamment
dans
le
cadre
d’opérations
pilotes
;
17
iv) réalisation
de
branchements
à
des
tarifs
subventionnés
aux
clients
à
faible
revenu
grâce
à
la
constitution
d’un
fonds
de
roulement
pour
le
financement
desdits
branchements
;
v) mise
à
jour
du
fichier
des
actifs
du
secteur,
et
notamment
réalisation
d’un
inventaire
physique,
d’une
évaluation
des
coûts
et
passation
des
écritures
comptables
nécessaires
à
l’inclusion
desdits
actifs
dans
le
bilan
de
l’Entité
d’Exécution
du
Projet
;
vi) A)
réalisation
d’une
étude
tarifaire
;
B)
pour
mettre
en
place
de
nouvelles
procédures
de
régulation
des
tarifs
;
et
C)
réalisation
d’une
évaluation
de
l’impact
de
la
tarification
de
l’électricité
sur
la
pauvreté
et
au
plan
social
;
et
vii) examen
et
mise
à
jour
des
textes
juridiques
en
vue
de
la
réforme
institutionnelle
du
secteur.
b) Coordination
et
supervision
du
Projet
et,
notamment,
application,
suivi
et
évaluation
des
mesures
de
sauvegarde
environnementale
et
sociale,
réalisation
d’audits
et
activités
d’information,
d’éducation
et
de
communication.
Le
coût
du
projet
est
d’environ
24,2
milliards
de
F
CFA
et
est
financé
par
la
Banque
mondiale
à
travers
un
accord
de
don.
La
durée
du
projet
est
de
36
mois
après
la
signature
de
l’accord
de
don.
2.2. BAISSE
DES
CONSOMMATIONS
2.2.1. Installation
de
cinq
(5)
millions
de
lampes
basse
consommation
en
milieu
résidentiel
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
la
maîtrise
de
la
demande
nationale
d’énergie
électrique.
Ses
objectifs
sont
les
suivants
:
- Réduire
la
consommation
nationale
d’énergie
électrique;
- Réduire
la
facture
énergétique
nationale
;
- Réduire
les
pertes
techniques
dues
à
la
saturation
de
certains
ouvrages
de
transport
et
de
distribution
d’énergie
électrique
;
- Réduire
les
émissions
de
gaz
à
effet
de
serre.
La
réalisation
du
projet
nécessitera
l’exécution
des
activités
suivantes
:
- étude
de
définition
;
- acquisition
de
cinq
(5)
millions
de
lampes
basse
consommation
;
- campagne
de
communication
intense
pour
garantir
l’adhésion
des
cibles
au
projet
- distribution
de
quatre
(4)
lampes
par
ménage
à
raison
de
300
FCFA/
lampe
par
des
entreprises
privées
agrées
par
le
projet
- collecte
et
la
destruction
des
lampes
à
incandescence
;
18
La
durée
d’exécution
du
projet
est
de
12
mois.
Le
cout
du
projet
est
de
11
milliards
financés
par
l’Etat
de
Cote
d’Ivoire.
Les
gains
d’énergie
à
terme
sont
estimés
à
100
MW.
2.2.2. Réduction
de
la
consommation
des
bâtiments
publics
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
de
l’utilisation
finale
de
l’électricité
Il
vise
à
:
- Elaboration
du
Dossier
d’Appel
d’Offres
(DAO)
pour
la
réalisation
du
projet
- Lancement
et
attribution
du
marché
- Mise
en
place
de
la
gestion
technique
et
autonome
des
bâtiments
concernés
Le
coût
du
projet
est
de
un
(1)
milliard
F
CFA.
Sa
durée
de
réalisation
est
de
6
mois.
Ce
projet
qui
a
donné
des
résultants
encourageants
en
2010
tarde
à
prendre
de
l’ampleur
à
cause
du
retard
dans
la
mise
en
œuvre
du
cadre
institutionnel.
2.2.3. Eclairage
Public
Efficace
Le
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
de
l’efficacité
énergétique
dans
l’éclairage
public.
Ses
objectifs
sont
:
19
Les
activités
à
réaliser
dans
le
cadre
de
la
mise
en
œuvre
de
ce
projet
sont
:
Le
coût
du
projet
est
de
10,8
milliards
FCFA
financé
par
l’Etat
de
Cote
d’Ivoire
à
hauteur
de
1,
65
Milliard
F
CFA,
soit
15,28
%
et
par
des
privés
extérieurs
à
9,
15
milliards
F
CFA,
soit
84,72%.La
durée
d’exécution
de
ce
projet
est
de
24
mois.
2.2.4. Lutte
contre
la
fraude,
les
vols
et
actes
de
vandalisme
et
les
occupations
anarchiques
Le
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
des
performances
techniques,
financières
et
économiques
du
secteur
électrique.
Ses
objectifs
sont
:
- Diffuser
les
règles
de
fonctionnement
du
secteur
électrique
- enrayer
le
phénomène
de
fraude
dans
le
secteur
électrique
- favoriser
l’accès
à
l’électricité
des
couches
sociales
démunies
- améliorer
le
taux
de
recouvrement
des
recettes
du
secteur
électricité
- baisser
considérablement
les
pertes
non
techniques
- améliorer
les
performances
techniques
du
réseau
Les
activités
à
réaliser
dans
le
cadre
de
ce
projet
sont
:
- adoption
du
code
de
l’énergie,
- mise
en
place
de
la
brigade
de
lutte
contre
la
fraude
et
début
des
opérations
de
terrain
anti
fraude
- annulation
des
permis
et
arrêtés
municipaux
sur
des
espaces
réservés,
libération
des
couloirs
électriques,
balisage
des
ouvrages
électriques,
réduction
des
cas
de
fraudes
de
70%
La
Côte
d’Ivoire
doit
rapidement
adopter
la
loi
en
cours
d’analyse
depuis
2010
et
réaliser
le
programme
d’actions
prévu.
La
durée
d’exécution
du
projet
est
de
5
ans.
Les
gains
d’énergie
sont
estimés
à
450
GWh.
Le
coût
global
est
de
14
milliards
F
CFA
financés
à
hauteur
de
12
milliards
F
CFA
par
l’Etat
et
2
milliards
F
CFA
par
le
secteur.
Le
gain
financier
induit
est
estimé
à
14
milliards
F
CFA
par
an.
2.3. DEVELOPPEMENT
DES
OUVRAGES
DE
PRODUCTION
2.3.1. Conversion
de
la
Centrale
d’Azito
en
cycle
combiné
(Phase
3)
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
du
renforcement
de
la
capacité
de
production
d’électricité.
Il
consiste
à
installer
des
chaudières
de
récupération
les
turbines
à
gaz
de
la
centrale
existante
20
afin
de
réaliser
un
cycle
combiné
dont
le
coût
de
production
est
inférieur
à
celui
de
l’actuelle
centrale
à
cycle
ouvert.
L’objectif
est
de
réduire
la
consommation
en
gaz
naturel
et
de
réaliser
des
économies
sur
le
coût
du
combustible.
Le
projet
serait
réalisé
en
BOOT
par
l’actuel
Producteur
Privé
Indépendant
(IPP).
21
2.4.1. Apurement
des
dettes
des
opérateurs
privés
Le
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
de
la
situation
financière
du
secteur.
L’objectif
est
d’assurer
la
continuité
de
la
fourniture
de
l’électricité
et
du
combustible
gazeux
au
secteur
de
l’électricité.
Les
activités
à
réaliser
sont
les
suivantes:
- Négociations
avec
les
opérateurs
privés
pour
la
réduction
des
charges
du
secteur,
notamment
les
opérateurs
gazier
pour
la
réduction
coût
du
gaz
naturel
(plafonnement
du
prix
du
gaz)
;
- Prévision
de
hausse
de
hausse
tarifaire
(pour
améliorer
les
ressources
du
secteur)
non
réalisée
du
fait
de
la
crise
que
le
pays
a
traversée
;
- Réalisation
d’une
étude
tarifaire
- Solliciter
l’Etat
pour
la
mise
en
place
d’un
mécanisme
de
fonds
revolving
chaque
trimestre
pour
le
financement
d’une
partie
du
déficit
du
secteur,
notamment
les
factures
des
IPPs
et
des
producteurs
gaziers
;
- Poursuivre
les
négociations
par
l’Etat
pour
le
plafonnement
de
prix
du
gaz
et
la
réduction
des
autres
charges
du
secteur
;
- Prévoir
un
ajustement
tarifaire
pour
améliorer
les
ressources
du
secteur.
La
période
nécessaire
pour
la
réalisation
du
projet
est
d’environ
douze
mois
maximum
à
compter
du
1er
juillet
2011
Le
coût
prévisionnel
du
projet
est
équivalent
à
la
dette
prévisionnelle
des
IPPs
et
des
opérateurs
gaziers
par
l’application
du
Pari
Passu.
Cette
dette
est
estimée
à
environ
60
milliards
de
francs
CFA
pour
la
fin
de
l’année
2011.
2.4.2. Baisse
du
prix
du
gaz
naturel
Ce
projet
s’inscrit
dans
le
cadre
de
l’amélioration
de
la
situation
financière
du
secteur.
Il
vise
à
assurer
la
continuité
de
la
fourniture
de
l’électricité
et
du
combustible
gazeux
au
secteur
de
l’électricité.
Il
s’agit
de
lancer
des
discussions
entre
l’Etat
et
les
opérateurs
gaziers
afin
de
renégocier
le
prix
du
gaz
naturel
à
la
baisse
pour
contribuer
à
un
retour
rapide
à
l’équilibre
financier
du
secteur
de
l’électricité.
Les
propositions
de
l’Etat
sont
les
suivantes:
ü Foxtrot
(Bloc
CI-‐27)
:
plafonner
à
6
$/MMTU
;
ü AFREN
(Bloc
CI-‐11)
:
fixer
le
prix
du
gaz
à
1,75
$/MMBTU
;
ü CNR
(Blocs
CI-‐26
et
CI-‐40)
:
fixer
le
prix
du
gaz
à
1,30
$/MMBTU.
Les
discussions
devront
durer
4
mois
et
aboutir
à
la
signature
avec
les
opérateurs
de
nouveaux
contrats
dont
l’application
sera
effective
dès
janvier
2012.
22
2.4.3. Autres
mesures
d’accompagnement
Ces
projets
doivent
être
suivis
de
mesures
d’accompagnement
concernant
la
mise
en
œuvre
immédiate
du
plan
de
formation
des
ressources
humaines.
23
24
Tableau
1
:
Projets
d’urgence
des
Mines
et
de
la
Géologie
NO
AXES
ACTIONS
JUSTIFICATION
DUREE
COUTS
(MILLIONS
F
CFA)
(MOIS)
CUMUL
ETAT
CI
AUTRES
1
Augmenter
la
Relancer
mise
en
exploitation
mine
Contribuer
à
l’amélioration
des
ressources
4
8
000.0
4
500.0
3
500.0
production
manganèse
Lauzoua
financières
de
la
SODEMI
et
de
la
CI
2
Mesures
Terminer
audits
de
30
permis
Améliorer
la
gouvernance
2
75.5
75.5
-‐
d’accompagnement
délivrés
Réviser
procédures
d’attribution
des
Assurer
une
gestion
transparente
et
optimale
2
A/D
A/D
A/D
permis
des
ressources
minières
:
amener
les
opérateurs
à
être
en
adéquation
avec
leurs
programmes
prédéfinis
;
éviter
le
gel
des
permis
;
accroître
le
volume
des
travaux
d’exploration
Régler
problèmes
entre
opérateurs
Créer
un
environnement
propice
au
3
39.4
39.4
-‐
et
certaines
populations
locales
développement
de
l’activité
minière
et
pérenniser
ainsi
l’investissement
Cumul
mesures
d’accompagnement
114.9
114.9
Cumul
projets
d’urgence
8
190.4
4
690.4
3
500.0
%
57.3
42.7
A/D
:
A
Déterminer
25
Tableau
2
:
Projets
d’urgence
des
Hydrocarbures
DUREE
COUTS
(MILLIONS
F
CFA)
(MOIS)
N°
AXES
ACTIONS
JUSTIFICATION
26
Tableau
3
:
Projets
d’urgence
de
l’Electricité
classique
COUTS
(MILLIONS
F
CFA)
DUREE
N°
AXES
ACTIONS
JUSTIFICATION
(MOIS)
AUTRES
CUMUL
ETATCI
1
Améliorer
l’efficacité
Acquérir
5
transformateurs
Renforcer
le
réseau
électrique
de
transport
et
de
distribution
pour
non
10
4
000
-‐
4
000
énergétique
de
90
/
33
/
16,5
kV
(3x36
MVA
et
2x24
MVA)
seulement
réduire
les
pertes
techniques
mais
également
permettre
au
réseau
l’existant
Effectuer
la
réhabilitation
de
l’existant
(Projets
BOAD
électrique
ivoirien
de
supporter
les
différentes
charges
de
transit.
12-‐36
53
200
4
100
49
100
+
PURE)
2
Baisser
les
Remplacer
cinq
(5)
lampes
à
incandescence
par
leur
Réduire
la
consommation
nationale
d’au
moins
100
MW
et
éviter
ainsi
des
24
11
000
10
500
500
Consommations
équivalent
en
Lampes
Basse
Consommation
chez
un
délestages.
(1)
million
d’abonnés
domestiques,
soit
cinq
(5)
millions
de
LBC
Réduire
la
consommation
dans
les
bâtiments
publics
Améliorer
la
maîtrise
de
la
consommation
6-‐60
2
300
1
380
920
%
16.5
83.5
A/D : A Déterminer
27
Tableaux
4
:
Evaluation
des
composantes
du
projet
BOAD
Coûts
Sous-‐composantes
Millions
Millions
F
CFA
dollars
Sous-‐composante
1.1
Extension
du
réseau
de
distribution
dans
les
zones
actuellement
raccordées
(Abobo,
Anyama,
Yopougon,
Bingerville)
2
520
5,0
Extension
du
réseau
de
distribution
dans
les
nouvelles
zones
de
peuplement
où
existe
un
service
non
officiel
1
980
4,0
Total
1.1
4
500
9,0
Sous-‐composante
1.2
Reconfiguration
du
réseau
MT
d’Abidjan,
Yamoussoukro,
Soubré
et
Gueyo
4
950
9,0
Renforcement
du
réseau
MT/BT
d’Abidjan
4
500
9,9
Total
1.2
9
450
18,9
Sous-‐composante
1.3
Remplacement
de
six
transformateurs
HT/MT
dans
les
stations
secondaires
d’Abobo,
Bia-‐Sud
et
Yopougon
2
160
4,3
Fourniture
et
installation
de
condensateurs
dans
les
stations
secondaires
HT
d’Attakro,
Agnibilekro
et
Abengourou
900
1,8
Remplacement
de
15
coupe-‐circuits
de
départ
dans
les
stations
secondaires
d’Abidjan
540
1,1
Total
1.3
3
600
7,2
Sous-‐composante
1.4
Compteurs
et
centre
d’assistance
à
la
clientèle
11
25
2,25
Véhicule
pour
la
supervision
du
projet
120
0,24
Fourniture
et
installation
d’ampoules
compactes
et
fluorescentes
(ACF)
500
1,0
Total
1.4
1
745
3,5
Total
Composante
1
(divers
et
imprévus
non
compris)
19
295
38,6
Composante
2
:
Activités
préparant
aux
investissements
dans
le
futur
réseau
de
transport
Coûts
Sous-‐composantes
Millions
Millions
F
CFA
dollars
Sous-‐composante
2.1
Études
préparatoires
pour
l’extension
et
le
renforcement
du
réseau
HT
de
la
région
du
Grand
Abidjan
450
0,9
Total
2.1
450
0,9
Sous-‐composante
2.2
Études
préparatoires
pour
une
ligne
de
90
kV
Agnibilekrou-‐Bondoukou-‐Serebou
270
0,5
Études
préparatoires
pour
le
raccordement
de
Zagna-‐Tai-‐Tabou
au
réseau
national
d’électricité
de
90
kV
122
0,24
Études
préparatoires
pour
une
ligne
de
225
kV
Laboa-‐Ferkessedougou
1
000
2,0
Total
2.2
1
392
2,8
Total
Composante
2
(divers
et
imprévus
non
compris)
1
842
3,7
28
Composante
3
:
Supervision
du
projet
et
appui
institutionnel
Sous-‐composantes
Coûts
Millions
Millions
F
CFA
dollars
Sous-‐composante
3.1
Services
d’experts-‐conseils
pour
l’évaluation
précoce
de
l’exécution
et
les
cadres
de
la
politique
de
rétablissement
9
0,02
Services
consultatifs
pour
la
passation
des
marchés
30
0,06
Services
d’experts-‐conseils
pour
l’adaptation
du
Manuel
d’exécution
des
projets
7,5
0,02
Logiciel
de
gestion
du
projet
pour
la
SOGEPE
15
0,03
Services
en
matière
de
supervision
technique
pour
la
SOPIE
120
0,24
Supervision
et
mise
en
service
par
la
CIE
180
0,36
Vérificateur
externe
des
comptes
25
0,05
Total
3.1
386,5
0,77
Sous-‐composante
3.2
Services
d’experts-‐conseils
en
matière
de
fixation
du
prix
du
gaz
et
de
passation
de
marché
40
0,08
Programme
pour
l’évaluation
et
le
renforcement
des
capacités
des
RH
350
0,70
Programme
pour
l’efficacité
énergétique
et
la
gestion
de
la
demande
100
0,20
Fonds
renouvelable
pour
le
raccordement
des
clients
1
500
3,00
Assistance
à
la
SOGEPE
pour
l’évaluation
des
actifs
et
l’élaboration
du
bilan
270
0,54
Étude
tarifaire
et
Étude
d’impact
sur
les
conditions
de
vie
et
la
pauvreté
350
0,70
Conseiller
juridique
pour
les
réformes
institutionnelles
50
0,10
Total
3.2
2
660
5,32
Total
Composante
3
(divers
et
imprévus
non
compris)
3
047
6,1
Coûts
hors
taxes
et
droits
;
1
dollar
=
500
F
CFA
29
ANNEXES
2
:
PLANNINGS
D’EXECUTION
30
Tableaux
5
:
Secteur
:
Mines
et
Géologie
Audit
des
titres
miniers
CHRONOGRAMME
D’EXECUTION
COÛTS
OBJECTIFS
ACTIONS
Délai
d’exécution
:
4
quinzaines,
soit
2
mois
(Millions
F
CFA)
ème
1
ère
2ème
3
4ème
Quinzaine
Quinzaine
Quinzaine
Quinzaine
Amener
les
opérateurs
à
exécuter
les
Collecter
les
données
sur
le
terrain
programmes
soumis
à
l’administration
Confronter
les
données
de
terrain
et
celles
des
afin
d’accroître
le
volume
des
travaux
compagnies
75.5
d’exploration
et
éviter
le
gel
des
permis
Rédiger
un
rapport
d’audit
Révision
de
la
procédure
d’octroi
des
titres
miniers
CHRONOGRAMME
D’EXECUTION
COÛTS
Délai
d’exécution
:
8
semaines,
soit
2
mois
OBJECTIFS
ACTIONS
(Millions
F
CFA)
S1
S2
S3
S4
S5
S6
S7
S8
Réduire
les
délais
de
traitement
des
Elaborer
la
nouvelle
procédure
de
traitement
des
demandes,
d’octroi
des
titres
miniers
demandes
de
titres
d’une
part
et
d’autre
part
d’accroître
le
A/D
niveau
des
investissements
dans
le
Adopter
la
nouvelle
procédure
à
la
DGMG
secteur
minier
Soumettre
la
nouvelle
procédure
à
l’approbation
du
Cabinet
et
du
Gouvernement
Soumettre
le
projet
à
la
signature
du
Président
de
la
République
Rendre
disponible
l’acte
final
modifiant
la
procédure
A/D
:
à
déterminer
31
Règlement
des
conflits
en
zone
d’exploration
et
d’exploitation
minières
CHRONOGRAMME
D’EXECUTION
COÛTS
OBJECTIFS
ACTIONS
Délai
d’exécution
:
12
semaines,
soit
3
mois
(Millions
F
S
1
S
2
S
3
S
4
S
5
S
6
S
7
S
8
S
9
S
10
S
11
S
12
CFA)
Créer
un
environnement
propice
au
Nommer
les
membres
de
la
délégation
développement
de
l’activité
minière
et
Organiser
les
missions
d’information
et
pérenniser
ainsi
l’investissement
de
sensibilisation
39.4
Conduire
une
étude
d’identification
des
sources
de
conflits
Définir
une
clé
de
dédommagement,
rationnaliser
et
harmoniser
l’aide
aux
communautés
Porter
l’information
aux
populations
Exploitation
du
gisement
de
manganèse
de
Lauzoua
CHRONOGRAMME
D’EXECUTION
Délai
d’exécution
:
5
mois
COÛTS
OBJECTIFS
ACTIONS
(Millions
F
CFA)
M
1
M
2
M
3
M
4
M
5
Rouvrir
la
mine
de
manganèse
de
Finaliser
l’avenant
n°4
relatif
aux
modalités
de
remboursement
Lauzoua
afin
de
générer
des
aux
travaux
d’exploration
sur
les
permis
n°36
et
248
ressources
financières
pour
la
SODEMI
et
pour
l’Etat
de
Côte
§ Percevoir
les
droits
d’entrée
de
CGM
d’Ivoire
§ Nommer
l es
r eprésentants
a u
C onseil
d ’administration
8
000
Mobiliser
et
installer
le
prestataire
Réunir
le
Conseil
d’Administration
Commencer
l’extraction
du
minerai
Finaliser
la
construction
de
la
mine
Débuter
la
production
32
TABLEAUX
6
:
SECTEUR
:
ELECTRICITE
TYPE
DE
PROJET
:
REHABILITATION
Approvisionnement
de
5
transformateurs
Chronogramme
d’exécution
:
10
mois
après
l’attribution
du
marché
Objectifs
Actions
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
Mois
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Améliorer
Fourniture
et
installation
des
5
transformateurs
10
l’efficacité
- Bon
de
commande
de
la
CIE
10
j
énergétique
de
- Process
de
fabrication
des
5
transformateurs
10j
l’existant
5j
- Confirmation
et
évaluation
des
garanties
- Fabrication
et
réception
en
usine
6
- Transport
sur
Abidjan
- Montage
et
réception
sur
site
Projet
PURE
Chronogramme
d’exécution
:
36
mois
après
la
mise
en
vigueur
du
don
Objectif
Composantes
MOIS
1
5
6
7
8
9
19
20
21
22
23
24
36
Améliorer
l’efficacité
Appuis
institutionnels
(C1)
19
énergétique
de
Etudes
pour
futurs
travaux
(C2)
16
l’existant
Extension
et
réhabilitation
de
réseau
(C3)
28
33
Projet
BOAD
Actions
Chronogramme
d’exécution
:
31
mois
après
la
mise
en
vigueur
du
prêt
Mois
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
20
21
22
30
31
Signature
de
l’accord
de
prêt
Réhabilitation
de
la
TAG
3
de
Vrdi
20
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
12
Révision
Alternateur
gpe
1
Taabo
12
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
4
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
6
Réparation
système
dénoyage
de
Taabo
14
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
6
Réparation
parement
amont
Fayé
14
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
4
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
8
Renouvellement
systèmes
de
supervision
Ayamé
1
&
2
16
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
8
Construction
du
poste
de
la
Djibi
30
§ Etude
4
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
20
Renforcement
des
postes
HTB/HTA
22
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
14
Renforcement
des
postes
HTA
20
§ Etude
2
§ Processus
d’appel
d’offres
6
§ Fournit.,
trvx
et
M.
en
service
12
Mesures
environnementales
et
sociales
31
§ Ingénieurs
Conseils
30
§ Processus
d’appel
d’offres
4
§ Prestations
26
Audits
technique
et
financier
1
34
TYPE
DE
PROJET
:
BAISSE
DE
LA
CONSOMMATION
Projet
:
Distribution
de
5
millions
Lampes
Basse
Consommation
(LBC)
Coûts
Année
1
Année
1
ACTIVITES
Durée
(Millions
F
(mois)
CFA)
Trim.
1
Trim.
2
Trim.
3
Trim.
4
Trim.
1
Trim.
2
Trim.
3
Trim.
4
Préliminaires
Etude
préliminaire
(enquete
de
référence)
3
25
Etude
de
définition
3
25
Total
50
Aspects
administratifs
Bouclage
financier
du
projet
2
Communication
24
500
Total
500
Aspects
techniques
Acquisition
des
lampes
basse
consommation
5
7
000
Processus
MDP
12
250
Distribution
6
2
000
Traitement
des
LBC
en
fin
de
vie
3
400
Collecte
et
destruction
des
lampes
usagées
6
200
Total
9
850
Contrôles
Suivi-‐évaluation
18
100
Gestion
du
projet
24
250
Total
350
Coûts
(MF
CFA)
Base
10
750
Divers
&
Imprévus
250
Coût
total
Projet
11
000
35
Economie
d’énergie
dans
les
bâtiments
publics
S1
S3
S4
S5
S6
S9
S14
S15
S16
S18
S
19
S28
Actions
Activités
Préparation
du
projet
Définition
du
champ
de
l’étude
Collecte
d’informations
et
de
données
Rapport
et
analyse
des
données
Contractualisation
et
Elaboration
et
signature
du
contrat
déploiement
du
Prise
en
charge
des
installations
et/ou
déploiement
de
la
technologie
GTB
système
Acquisition
des
équipements
Ingénierie
Installation
des
équipements
Suivi
et
garantie
de
la
Mise
en
œuvre
des
procédures
de
mesure
performance
dans
la
Mise
en
place
et
suivi
du
plan
de
maintenance
et/ou
d’exploitation
prévu
durée
Supervision
et
analyse
des
résultats
36
Lutte
contre
la
fraude,
vols
et
actes
de
vandalisme
et
occupations
anarchiques
Coûts
Actions
Activités
S1
S4
S5
S6
S7
S8
S9
S12
S13
S16
S7
S20
Millions
F
CFA
Renforcement
du
programme
Atelier
d’information
et
d’intégration
des
contenus
d'éducation
civique
et
morale
relatifs
à
l’énergie
dans
les
curricula
de
l’Education
aux
Droits
de
l’Homme
et
de
la
Citoyenneté
(EDHC)
40
Atelier
d’écriture
des
modules
de
formation,
des
protocoles
d’expérimentation
et
finalisation
des
supports
pédagogiques
Information
et
sensibilisation
des
Elaboration
du
plan
de
communication
populations
Recherche
de
financement
35
Exécution
du
plan
de
communication
Adoption
d'un
code
de
l'électricité
Elaboration
du
code
de
l'électricité
75
Atelier
d'adoption
du
code
de
l'électricité
Création
d'une
brigade
de
lutte
Elaboration
du
texte
règlementaire
régissant
le
contre
la
fraude,
les
vols,
actes
de
fonctionnement
de
la
brigade
et
sa
composition
vandalisme
et
occupations
Adoption
du
texte
règlementaire
régissant
le
40
anarchiques
fonctionnement
de
la
brigade
Alimentation
électrique
des
Mission
de
Benchmarking
et
adoption
de
la
solution
94
quartiers
précaires
et
péri
urbains
Etude
de
faisabilité
du
projet
Etude
d'impact
environnemental
et
social
Participation
a
l'approbation
des
Démarches
administratives
pour
l’intégration
dans
la
20
plans
de
lotissement
commission
mixte
chargée
de
l’approbation
des
plans
de
lotissement
Contrôle
des
décisions
de
la
Commission
sur
le
terrain
37
TYPE
DE
PROJET
:
AUGMENTATION
DE
LA
PRODUCTION
Objectif
:
Développer
des
ouvrages
de
production
Conversion de la Centrale d’Azito en cycle combiné (Phase 3)
Chronogramme
d’exécution
:
26
mois
après
la
mise
en
vigueur
du
prêt
Actions
Mois
1
2
3
4
5
6
13
14
15
22
23
24
25
26
Contrats
2
Génie
civil
5
Turbine
à
gaz
13
Turbine
à
vapeur
22
Chaudières
22
Electricité
Mise
en
service
2
Construction
de
l’aménagement
hydroélectrique
de
Soubré
Chronogramme
d’exécution
:
2
mois
Actions
Mois
1
Mois
2
S1
S2
S3
S4
S5
S6
Elaboration
du
projet
de
requête
par
la
DGE
(MMPE)
Transmission
du
Projet
de
requête
par
la
DGE
au
MMPE
Transmission
du
Projet
de
requête
par
le
MMPE
au
MEF
Signature
de
la
requête
par
le
MEF
Transmission
de
la
requête
signée
à
Exim-‐Bank
Chine
38
TYPE
DE
PROJET
:
MESURES
D’ACCOMPAGNEMENT
Apurement
des
dettes
des
opérateurs
privés
et
Baisse
du
prix
du
gaz
naturel
39