Chapitre 3

Livre du professeur - Mathématiques 1re
Chapitre 2 : Fonctions de référence

Table des matières
Exercices d’entraînement partie 2.................................................................................................... 1
Exercices d’entraînement partie 3.................................................................................................. 10
Exercices de synthèse.................................................................................................................... 27
Exercices d’entraînement partie 2

Corrigé exercice 51 :
1. Voici l’algorithme complété :
Définir Solution :
Si :
Retourner « L’équation n’admet pas de solution réelle »
Sinon :
Si :
Retourner
Sinon :
Retourner et
Fin Si
Fin Si
2.
a. Voici la traduction pour les calculatrices Casio et Texas sans Python :
Casio :
« K = »? K
If
Then « L’EQUATION N’ADMET PAS DE SOLUTION »
Else If
Then « L’EQUATION ADMET UNE SOLUTION »
Else
« L’EQUATION ADMET DEUX SOLUTIONS » : ◢

« ET » :
IfEnd
IfEnd
Texas :
Prompt K
If
Then
Disp « L’EQUATION N’ADMET PAS DE SOLUTION »
Else
If
Then
Disp « L’EQUATION ADMET UNE SOLUTION
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1
Livre du professeur - Maths 1re - Chapitre 2 : Fonctions de référence
Else
Disp « L’EQUATION ADMET DEUX SOLUTIONS »,

Pause
Disp « ET »,
Pause
End
End
Python :
b. Pour , on obtient en sortie et .

Pour , on obtient en sortie .
Pour , on obtient en sortie qu’il n’y a pas de solution.
1.
a. On a : .
Puis, on calcule : . Ainsi, la variable vaut .
Enfin, on calcule : .
La variable contient donc à la fin de l’exécution de l’algorithme.
b. On a : .
Enfin, on calcule : .
c. On a : .
Enfin, on calcule :
.
2. L’expression de la fonction qui à tout nombre réel associe le nombre affiché en sortie
est .
2
3. est une fonction polynôme du second degré.
4. Voici la traduction de cet algorithme en langage Python :
1. On a :
2. On doit donc résoudre l’équation :

D’après la question précédente, on obtient :
Donc : ou
ou
ou
Les antécédents du nombre réel par la fonction carré sont donc et

.
1.
a. Voici les courbes représentatives des fonctions et , obtenues à l’aide d’une
calculatrice :
b. D’après ce graphique, on conjecture que les points d’intersection des courbes et

sont les points et .
2. Pour déterminer les coordonnées des points d’intersection entre et , on doit résoudre :
.
D’où :
3
ou
ou
De plus : et .
On vient donc de démontrer que les points et sont bien les deux seuls points
d’intersection des courbes et .
1. Dans la cellule , il faut saisir : .
Dans la cellule , il faut saisir : ^ .
Dans la cellule , il faut saisir : .
2.
a. L’expression de est .
Donc :
b. est donc une fonction polynôme du second degré avec , et .
Fonction :
● On résout l’équation :
Cette équation n’admet pas de solution dans .

En effet, un carré est toujours positif dans .
n’admet donc pas d’antécédent par .
ou
ou
ou
ou
Les antécédents de par sont et .
ou
ou
4
Fonction :
ou
ou
ou
ou
ou
ou
ou
ou
L’antécédent de par est .
1.
a. Voici l’écran de la calculatrice obtenu :
b. D’après ce graphique, on conjecture que les courbes et ont un seul point
5
commun, le point de coordonnées .
.
D’où :
De plus : .
On vient donc de démontrer que le point est bien le seul point d’intersection des
courbes et .
1.
1. D’après ce graphique, on conjecture que les courbes et ont deux points

communs, les points de coordonnées approximatives et .
.
D’où :
6
ou
ou
ou
De plus : et .
On vient donc de démontrer que les points et sont les deux seuls points
d’intersection des courbes et .
On peut remarquer que : et .
Donc, les points d’intersection de la parabole avec l’axe des abscisses ont pour abscisse
et .
Donc, on peut écrire la forme factorisée de avec et .

On obtient donc : .
De plus, l’image de par est , soit .

D’où :
On conclut que l’expression de est .
1.
a. Voici le graphique obtenu :
7
b. Un encadrement d’amplitude de est donc : .
2.
a. Voici le tableau de valeurs demandé :
b. Un encadrement d’amplitude de est donc : .

c. On dresse le tableau de valeurs de sur avec un pas de :
Donc : .
On dresse le tableau de valeurs de sur avec un pas de :
8
L’encadrement d’amplitude cherché est : .
3. En utilisant la même démarche, on obtient : .
On utilise la méthode de l’exercice .
On trace à l’aide d’une calculatrice la représentation graphique de :
Il existe donc deux solutions et à l’équation telles que et .

Pour obtenir une valeur approchée à , il est nécessaire d’aller à un encadrement d’amplitude
.
Voici les encadrements successifs obtenus à l’aide de tableaux de valeurs d’une calculatrice :
et
et
et
et
On conclut que et .
D’après le tableau de valeurs, on observe que : .
9
La courbe représentative de est donc symétrique par rapport à la droite d’équation , puisque
la valeur se situant au milieu de et est .
Pour compléter le tableau, on utilise cette symétrie par rapport à .

Ainsi :
1.
a. La parabole est « tournée vers le bas ». Donc, est négatif.
b. Le point d’intersection de la parabole avec l’axe des ordonnées a pour ordonnées .
Donc : .
Les points d’intersection de la parabole avec l’axe des abscisses ont pour abscisse
et .
Donc : et .
Le sommet de la parabole a pour coordonnées .
Donc : et .
2. D’après les informations précédentes, on peut écrire que :
, soit .
Or, on sait que : .

D’où :
Ainsi : .
Exercices d’entraînement partie 3

1. La fonction carré n’étant pas monotone sur , on dresse le tableau de variations :
10
D’après le tableau de variations précédent, on conclut que : .
2. On considère un réel tel que .

La fonction carré est strictement croissante sur .
Donc :

La fonction carré est strictement décroissante sur .
Donc :

Donc :
Enfin : .
On ajoute 5 :
11
La fonction carré est strictement croissante sur .

Donc :
On soustrait :

On soustrait 4 :

Donc :
On multiplie par le nombre négatif :
On ajoute :
1. On résout :
Donc :
Donc : .
2. On résout :
D’où :
Donc :
Donc : .
3. On résout :
D’où :
12
Donc : ou
ou
Donc : .
4. On résout :
D’où :
Un carré est positif sur .

Cette inéquation n’admet pas de solution.
Donc : .
est d’abord croissante puis décroissante. On en déduit que : .
L’expression développée de est : .
Le point de d'abscisse a pour ordonnée . On peut donc en déduire que , soit

.
Les antécédents de par sont et , soit .
On peut donc écrire :
Toutes les fonctions avec et telles que répondent aux conditions de

l’exercice.
Par exemple, on prend et .

peut donc avoir comme expression :
● car
● car
1. On considère deux réels et tels que :
13
Alors : car la fonction carré est décroissante sur

d’où donc .
Donc, la fonction est décroissante sur .
2. Voici le tableau de variations de :
1. On démontre que est croissante sur .
On considère deux réels et tels que :
Alors : car la fonction carré est strictement décroissante sur
Donc, la fonction est croissante sur .
2. Voici son tableau de variations :
Alors :
car la fonction carré est décroissante sur

14
1.
a. On considère deux réels et tels que :
Alors :
car la fonction carré est strictement décroissante
sur
Donc, la fonction est croissante sur .

b. Voici le tableau de variations de :
2. La fonction est donnée par sa forme canonique. On remarque que : et .

Une équation de l’axe de symétrie de est donc . Le sommet de a donc pour
coordonnées .
Pour tout réel , on a :
donc d’où donc .
De plus : .
Donc, la fonction admet pour maximum sur . Il est atteint pour .
De plus : .
Donc, la fonction admet pour minimum sur . Il est atteint pour .
donc d’où soit
De plus : .
Donc, la fonction admet pour maximum sur . Il est atteint pour .
Alors :
donc car la fonction carré est strictement décroissante sur .
15
d’où soit donc

3. Pour tout réel , on a :

soit soit .
De plus : donc, la fonction admet pour minimum sur . Il est atteint pour
.
1. Affirmation fausse :
2. Affirmation vraie : .
En effet : , soit . Donc :
3. Affirmation fausse : , donc . Par contre : .
4. Affirmation fausse : puisque est d’abord positive puis négative.
5. Affirmation vraie : L’ensemble des solutions de l’équation est ,
puisque .
6. Affirmation fausse : L’ensemble des solutions de l’inéquation est .
La forme développée de est donc .
Autre possibilité :
2.
a. En utilisant la forme canonique de , , on conclut que la
droite d’équation est l’axe de symétrie .
Son sommet a pour coordonnées .
b. En utilisant la forme factorisée de , , on connaît les
solutions de , soit et .
De plus : . est donc d’abord positive, puis négative et de nouveau positive.
On peut dresser le tableau de signes suivant :
16
1. Voici le tableau de signes de :
2. D’après ce tableau de signes, on peut écrire la forme factorisée de .

Ainsi : .
Par lecture graphique, on a : .
Donc : soit donc soit
En conclusion, on a : .
D’après le premier point, on dresse le tableau de signes de :
On peut donc écrire que, pour tout : .
Le deuxième point permet d’écrire : .
Donc : soit d’où donc .
L’expression de est donc , pour tout .
D’après l’énoncé, on a des informations sur la forme factorisée de .
17
Donc, pour tout : .
De plus, est d’abord négative, puis positive. On peut donc en conclure que : .
On peut donc prendre comme exemple : .

Ainsi une expression possible de est : , pour tout .
Dans la suite, on considère que les fonctions affines sont de la forme avec et
réels.
1. Cette expression est le produit de deux fonctions affines.

On résout donc : si et seulement si ( ).
On résout : si et seulement si ( ).
On obtient le tableau de signes suivant :
2. Par lecture du tableau de signes précédent, on obtient :

a.
b.
c.
Pour résoudre de telles inéquations, on doit établir les tableaux de signes des fonctions.
Dans la suite, on considère que les fonctions affines sont de la forme avec et
réels.

18
Donc : .

Donc : .
1. Pour déterminer les antécédents de par , on résout l’équation .
Donc : si et seulement si ou
si et seulement si ou
19
2. Pour déterminer l’ensemble des abscisses des points de situés au-dessus de l’axe des
abscisses, on doit résoudre : .
si et seulement si
On va donc étudier le signe de .
Dans la suite, on considère que les fonctions affines sont de la forme avec
et réels. L’expression est le produit de deux fonctions affines.

Les solutions de l’inéquation sont donc : .
Donc, l’ensemble des abscisses des points de situés au-dessus de l’axe des abscisses est
.
Remarque : L’ensemble des abscisses des points de situés strictement au-dessus de

l’axe des abscisses est .
1.
20
b. D’après ce graphique, on peut conjecturer qu’il existe un seul point d’intersection

entre et de coordonnées .
c. D’après ce graphique, on peut conjecturer que la courbe est au-dessus de sur

. Les courbes et sont sécantes au point d’abscisse .

.
Pour démontrer les conjectures précédentes, on étudie le signe de .
On résout : si et seulement si si et seulement si .

De plus, pour tout réel ,
On peut donc en conclure que la courbe est au-dessus de sur et que les courbes
et sont sécantes uniquement au point d’abscisse .
1.
b. D’après ce graphique, on peut conjecturer qu’il existe deux points d’intersection entre
et de coordonnées approximatives et .
c. D’après ce graphique, on peut conjecturer que la courbe est au-dessus de sur
et sur .
est en-dessous de sur .
21
.
De plus : .
Donc, pour tout réel , on a bien : .
3. Pour démontrer les conjectures précédentes, on étudie le signe de .
L’expression est le produit de deux fonctions affines.
On résout donc :
si et seulement si si et seulement si .
On résout : si et seulement si .
On dresse donc le tableau de signes suivant :
On peut donc en conclure que la courbe est au-dessus de sur et sur
. est en-dessous de sur .
On calcule : et .
Les deux points d’intersection entre et sont et .
1.
a. Pour tout réel , on a :
Donc, pour tout réel , on a : .
b. Pour tout réel ,
22
Pour tout réel , on a : .
2.
a. La forme la plus adaptée est la forme factorisée.
Pour résoudre l’inéquation , on étudie le signe de .
Dans la suite, on considère que les fonctions affines sont de la forme

avec et réels.
si et seulement si et si et seulement si
Donc : .
b. La forme la plus adaptée est la forme développée.

soit équivaut à équivaut à
.
si et seulement si et équivaut à
23
Donc : .
c. La forme la plus adaptée est la forme canonique.
soit équivaut à équivaut à
soit équivaut à
soit soit d’où
soit
Donc : .
1. La forme la plus adaptée est la forme développée.
On a :
Donc :
2. La forme la plus adaptée est la forme canonique.
soit est équivalent à équivaut à
soit d’où . Donc : .
3. La forme la plus adaptée est la forme factorisée.
24
si et seulement si et si et seulement si .

Pour résoudre cette inéquation, on utilise le tableau de signes précédent.
On peut donc conclure que : .

Pour déterminer l'ensemble des abscisses des points de se situant en dessous de l’axe
des abscisses, on résout l’inéquation : . D’après le tableau de signes précédent, on
conclut que l’ensemble cherché est .
1.
.
Donc, pour tout réel , on a : (forme développée).
b. Pour tout réel , on a :
Donc, pour tout réel , on a : (forme factorisée).
2.
a. La forme la plus adaptée est la forme factorisée.
Pour déterminer les antécédents de par , on résout :
si et seulement si
ou
ou
25
Les antécédents de par sont donc et .
b. La forme la plus adaptée est la forme canonique.

On a :
Donc : .
c. La forme la plus adaptée est la forme canonique.

soit soit d’où
De plus : .
admet pour maximum sur . Il est atteint pour .
d. La forme la plus adaptée est la forme développée.

Donc : si et seulement si
si et seulement si
si et seulement si
D’où : .
e. La forme la plus adaptée est la forme développée.

Pour déterminer les coordonnées du point d’intersection de avec l’axe des
ordonnées, on calcule : .
Les coordonnées du point d’intersection de avec l’axe des ordonnées sont

donc .
On écrit : .
D’après le premier point, nous savons que la distance entre et est .
De plus : .
La symétrie de la parabole nous indique que le sommet a pour abscisse la valeur centrale entre et
. a pour abscisse . L’écart entre et doit donc être de .

On a donc : et .
On obtient alors : .
Or : d’après les coordonnées du sommet.
D’où : soit d’où .
L’expression de est donc, pour tout réel , .
Le sommet de la parabole est le point . On peut donc en déduire la forme canonique
26
de : Pour tout , , avec puisque la fonction est d’abord

positive puis négative.
De plus, la courbe coupe l’axe des ordonnées au point de coordonnées . Donc : .
On obtient : soit d’où
soit .
Pour tout réel , on a : .
On peut maintenant résoudre l’équation .
si et seulement si
si et seulement si
si et seulement si
si et seulement si
Donc .
Exercices de synthèse
Partie A
1. On a :
Dans chacun des trois cas, on obtient bien le maximum entre et
2. On suppose que .
Alors donc .
27
On a alors
On a montré que si , alors .

En échangeant les rôles de et , on montre que, si , on a .
Donc, est bien le maximum entre et .
3. On choisit . On trace alors la courbe représentative de .
On observe que pour et pour .
Ce résultat était prévisible car lorsque , le maximum entre et est , et lorsque ,

le maximum entre et est .
Ainsi, est définie par .
Partie B
1. On a :
Cette fois, on peut conjecturer que donne le minimum entre et .
2. On suppose .
Alors , donc et on a :
28
Par symétrie, on a de même, si , alors .

Donc donne bien le minimum entre et .
Partie C
On conjecture que donne le signe de , c’est-à-dire lorsque et lorsque

.
Si , alors , donc .
Si , alors , donc . La conjecture est démontrée.
1. D’après la formule de l’énoncé, on a :

On définit donc la fonction sur par
.
La fusée touche le sol quand , c’est-à-dire lorsque .
On résout :
si et seulement si
si et seulement si
Les consignes de sécurité obligent un atterrissage à m maximum.

Les consignes sont donc respectées.
29
2. est une fonction polynôme du second degré avec .

Ainsi, admet un maximum sur .
Par symétrie de la courbe représentative de la fonction , on sait que le maximum de est
atteint pour la valeur moyenne des solutions de l’équation .
D’après ce qui précède, nous devons calculer la valeur moyenne entre et
.
Ainsi :
La hauteur maximale est donc atteinte à environ m d’Édouard.

Cette hauteur maximale est égale à m.
1. Pour résoudre le problème, il est nécessaire que lorsque .
On doit donc résoudre l’équation :
soit
On pose : .
L’équation devient : soit
d’où .
2. On trace à la calculatrice la représentation de la fonction .
D’après la calculatrice, on a deux solutions à cette équation : et .
3. On doit donc résoudre : et .

À la calculatrice, on obtient donc : et .
30
L’angle que doit utiliser Carine est donc , puisque .
Partie A : Distance de réaction
1. Pour compléter le tableau, on doit effectuer un produit en croix.

Une voiture qui effectue km en h, effectue donc m en s.
On calcule donc : .
Voici le tableau complété :
Vitesse en
km.h-1
Vitesse en
m.s-1
2. La distance de réaction pour un véhicule roulant à 80 km.h -1 est donc d’environ m (soit
l’équivalent de bus).
La distance de réaction pour un véhicule roulant à 90 km.h -1 est donc d’environ m (soit
Partie B : Distance de freinage

1. Pour calculer la distance lorsque la vitesse est de 50 km.h -1 , on effectue le calcul : .
Voici le tableau complété :
Vitesse en
km.h-1
Distance de
freinage en
m
2. La distance de freinage pour un véhicule roulant à 80 km.h -1 est donc d’environ m (soit
l’équivalent de plus de bus).
La distance de freinage pour un véhicule roulant à 90 km.h -1 est donc d’environ m (soit
l’équivalent de plus de bus).
Partie C : Distance d’arrêt

1. Pour calculer la distance d’arrêt, il faut additionner la distance de réaction et la distance de
freinage. Voici le tableau complété :
Vitesse en
km.h-1
Distance
d’arrêt en m
31
2. La distance d’arrêt pour un véhicule roulant à 80 km.h -1 est donc d’environ m (soit
La distance d’arrêt pour un véhicule roulant à 90 km.h -1 est donc d’environ m (soit
Remarque : On peut remarquer que nous trouvons m d’écart entre les deux vitesses et faire le lien
avec les spots de la prévention routière, suite au changement de vitesse du juillet .
Partie D : Distance d’arrêt avec d’autres conditions

1. Lorsque la route est mouillée, la distance de freinage est doublée mais la distance de
réaction reste la même. Voici le tableau complété :
Vitesse en
km.h-1
Distance de
réaction en
m
Distance de
freinage en
m
Distance
d’arrêt en m
2. Lorsque le conducteur est en état d’ébriété, la distance de réaction est triplée mais la
distance de freinage reste la même. Voici le tableau complété :
Vitesse en
km.h-1
Distance de
réaction en m
Distance de
freinage en m
Distance
d’arrêt en m
Partie A : Conjecture à l’aide de Geogebra
1. a., b. et c. Voici la construction :
32
2.
a. Voici la construction :
b. Pour respecter la consigne, on doit avoir : .

doit donc appartenir à la médiatrice du segment , soit .
c. Voir la figure précédente. appartient aux deux droites et .

est donc le point d’intersection entre les droites et .
3. On obtient la figure suivante :
Lia se déplace donc sur une parabole.
33
Partie B : Démonstration
1. L'abscisse de est celle de , donc .

2. On a :
De même :
3. On a : , soit .
Donc :
4. On définit la fonction .
Cette fonction est une fonction polynôme du second degré. Sa représentation graphique est
donc une parabole, ce qui correspond à la partie A.
5.
b. On a : soit ou encore soit
d’où équivaut à
.
équivaut à équivaut à
soit d’où .
varie entre et . Il y a donc un écart de .
La longueur de la portion de mer que Lia peut surveiller est donc de m.
1. Voici l’affichage obtenu à l’écran d’une calculatrice :
34
2.
a. La fonction définie sur est une fonction affine de coefficient directeur
. Elle s’annule en .
On obtient donc le tableau de signes suivant :
b. Lorsque , .
Lorsque , .
Donc :
si et seulement si
si et seulement si
si et seulement si
si et seulement si
c. En résumé : .
3. De la même manière, on obtient : .
4. Pour tout réel tel que , on a donc :
Pour tout réel tel que , on a :
Pour tout réel tel que , on a donc :
35
5. Sur , coïncide avec la fonction affine qui est strictement

décroissante. Donc est strictement décroissante sur cet intervalle.
De la même manière, est strictement croissante sur et sur et donc
sur .
Partie A : est la fonction polynôme du second degré définie sur par .
1.
a.
et sont donc bien les antécédents de par .
b. D’après la forme développée, on sait que , et d’après la question précédente,

on écrit la forme factorisée de : .
c. Pour tout réel , on a :
36
On a donc démontré que, pour tout réel , .
d. D’après la forme canonique de , on dresse le tableau de variations de :
2. On a :
Donc : .
On a : . Or, d’après la question 1.a. d’où .
On obtient donc : donc .
Partie B : Voici une figure résumant la situation :
On a : .
1.
a. On a : et .
Or : d’après la partie A.
On a donc démontré que : .
b. On a : et .
37
Or : .
D’après la partie A question 2. , on sait que :
Donc :
On a donc démontré que : .
2. est un carré de côté . est le milieu du segment . Le cercle de centre et

passant par coupe la demi-droite au point . est le point tel que soit un
rectangle.
a. Voici la figure :
b. Pour démontrer que est un rectangle d’or, on doit justifier que :
avec , soit que avec .
Le triangle est rectangle en .

On applique le théorème de Pythagore :
(puisque est le milieu de )
D’où : . Par construction, on a : .
Donc : d’où .
38
On calcule : .
est donc un rectangle d’or.
Remarque : On vient donc d’obtenir la construction d’un rectangle d’or à partir d’un carré.
1.
a. Pour tous les réels , on a :
.
b. Pour déterminer les antécédents de par , on utilise la forme canonique
précédente.
On résout par équivalence :
ou
ou
Les antécédents de par sont donc et .
2.
a. Pour tous les réels , on a :
En utilisant une identité remarquable, on obtient :
b. Pour étudier la position relative des courbes et , on étudie le signe de

.
D’après la question précédente, on a :

On peut donc dresser un tableau de signes en utilisant cette expression factorisée.
si et seulement si et si et seulement si
On peut dresser le tableau de signes suivant :
39
On conclut que :
● est en-dessous de sur et sur .
● est au-dessus de sur .
● et sont sécantes aux points d’abscisse et .
3. Application : Un jardinier doit faire le parterre suivant qui correspond aux fonctions et .
D’après l’ensemble des questions précédentes, on sait que et sont les points
d’intersection des deux courbes.
Donc : et .
D’où : m.
est le sommet de . D’après la forme canonique obtenue à la question , on conclut que

a pour coordonnées .
De plus : . Donc a pour coordonnées .
D’où : m.
1. On se place dans un repère orthonormé (en prenant le centimètre comme unité) tels que les
points et aient pour coordonnées et . est le milieu du segment ,
soit .
40
Le sommet de la parabole a pour ordonnée donc a pour coordonnées .
On note la fonction associée à cette parabole.

Sa forme canonique est donc : , avec .
De plus, on a : .
Donc : soit d’où
Une expression de est, pour tout réel , .
Remarque : Selon le repère choisi, l’équation de la parabole sera différente.
2. Le haut du pied est plus grand de cm. L’embout de chaussures doit donc être plus haut de
cm.
41
On doit calculer la longueur .

On détermine donc les coordonnées de et , appartenant à la parabole, d’ordonnée .
On résout donc l’équation : .
ou
ou
La largeur est donc égale à :
La largeur de ce nouvel embout est environ cm.

Pour tout entier naturel , on a :
42
Donc : .
Pour , on a :
Pour , on a :
Pour , on a :
…
Pour , on a :
Pour , on a :
On ajoute toutes les lignes précédentes :
car .
Donc : .
Remarque : Pour démontrer , on note

.
43
On a :
et .
On ajoute les deux égalités :
Donc : .

Voici la représentation d’un téléviseur :
1. Pour ce nouvel écran, on a les informations suivantes :

puisqu’on enlève fois la largeur du cadre de cm.
D’après le théorème de Pythagore dans le triangle rectangle en , on a :
Donc :
La dalle de l’écran du nouveau téléviseur est donc bien d’environ cm.
2. On note la largeur du cadre qui entourait l’ancien téléviseur de Jean-Pierre.

On sait que la diagonale est : .
Or : .
De même : .
D’après le théorème de Pythagore dans le triangle rectangle en , on a :
On doit donc déterminer les antécédents de par la fonction polynôme du second degré
44
On trace la représentation graphique de sur une calculatrice :
On obtient deux solutions possibles : et .
La deuxième solution ne convient pas puisque la dalle de l’écran aurait une longueur :
, ce qui est impossible.
Donc, la largeur de l’ancien cadre était d’environ cm.
Remarque : si la résolution des équations du 2nd degré a été abordée, on pourra proposer la
résolution algébrique.

On observe que le viaduc de Garabit repose sur deux arches de forme parabolique. On peut donc
utiliser les fonctions polynômes du second degré.
On considère le repère orthonormé tel que le pied de l’arche de gauche soit l’origine du repère.
On note la fonction polynôme du second degré dont la représentation graphique dans ce repère est
l’arche supérieur du viaduc de Garabit.
D’après les informations de la figure, on peut écrire que : , et

.
Pour déterminer la longueur nécessaire de l’élastique, on a besoin de déterminer le sommet de la

parabole.
On utilise donc la forme canonique de : .
et ont la même image par . Donc, est la valeur se situant au milieu de et .
Donc : .
De plus, et sont les antécédents de par . Ainsi, la forme factorisée de est :

.
On utilise désormais : .
D’où :
45
Ainsi : .
Calculons maintenant : pour déterminer , hauteur maximale du viaduc.

On a : .
Flavie saute au-dessus de l’arche donc, il faut rajouter m, et il reste une hauteur de 43 m pour
atteindre la surface de l’eau.
Ainsi, la longueur de l’élastique est de :
.
En arrondissant, Flavie doit donc acheter un élastique de 33 m maximum.
46

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Livre du professeur - Mathématiques 1re

Chapitre 2 : Fonctions de référence

Exercices d’entraînement partie 2

« L’EQUATION ADMET DEUX SOLUTIONS » : ◢

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Disp « L’EQUATION ADMET DEUX SOLUTIONS »,

b. Pour , on obtient en sortie et .

Puis, on calcule : . Ainsi, la variable vaut .

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3. est une fonction polynôme du second degré.

4. Voici la traduction de cet algorithme en langage Python :

2. On doit donc résoudre l’équation :

Les antécédents du nombre réel par la fonction carré sont donc et

b. D’après ce graphique, on conjecture que les points d’intersection des courbes et

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b. est donc une fonction polynôme du second degré avec , et .

Cette équation n’admet pas de solution dans .

Les antécédents de par sont et .

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L’antécédent de par est .

b. D’après ce graphique, on conjecture que les courbes et ont un seul point

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commun, le point de coordonnées .

1. D’après ce graphique, on conjecture que les courbes et ont deux points

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On peut remarquer que : et .

Donc, on peut écrire la forme factorisée de avec et .

De plus, l’image de par est , soit .

On conclut que l’expression de est .

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b. Un encadrement d’amplitude de est donc : .

b. Un encadrement d’amplitude de est donc : .

On dresse le tableau de valeurs de sur avec un pas de :

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L’encadrement d’amplitude cherché est : .

3. En utilisant la même démarche, on obtient : .

On trace à l’aide d’une calculatrice la représentation graphique de :

Il existe donc deux solutions et à l’équation telles que et .

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Pour compléter le tableau, on utilise cette symétrie par rapport à .

Or, on sait que : .

Exercices d’entraînement partie 3

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D’après le tableau de variations précédent, on conclut que : .

2. On considère un réel tel que .

3. La fonction carré n’étant pas monotone sur , on dresse le tableau de variations :

D’après le tableau de variations précédent, on conclut que : .

4. On considère un réel tel que .

5. La fonction carré n’étant pas monotone sur , on dresse le tableau de variations :

D’après le tableau de variations précédent, on conclut que : .

6. On considère un réel tel que .

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La fonction carré est strictement croissante sur .

2. On considère un réel tel que .

La fonction carré est strictement décroissante sur .

On multiplie par le nombre négatif :

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Un carré est positif sur .

L’expression développée de est : .