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Classmark:
mmi
6- M
0106 03 2264
*
The U titrersi ty Library
Leeds
of Cookery Books
The Gift of Mrs. Leigh
!
939
Un grand gastronome
disparu :
Paul Tendret
U Académie des Gastronomes vient de
perdre l'un de ses fondateurs, qui fut
un grand « honnête homme » au sens
que le xvn* siècle donnait à ce mot, et
l’un des plus exquis gourmets de
Fronce.
Paul Tendret, censeur de la Banque
de France, ancien maire de Bclley, re-
présentait à l’Académie la patrie de
Brillat-Savarin. Il en était digne par la
sûreté parfaite de son goût, par sa char-
mante urbanité, par la grâce de son ac-
cueil.
Il était le fils de Lucien Tendret, un
des maîtres de la Gastronomie, et l’au-
teur de ce rare et parfait chef-d’œuvre
La cuisine au pays de Brillat-Savarin.
Dans son, .château de Ceyzericu, dont
l’ordonnance était une sûre merveille du
goût français le plus délicat, Paul Ten-
dret savait recevoir avec le faste sans
prétention et la politesse exquise et raf-
finée des grands seigneurs de jadis.
Il se sentait vraiment, selon la for-
nulc de LSrillal-Sauarm « responsable
du bonheur des scs hôtes » durant tout
le- temps qu'ils passaient sous son toit.
https://archive.org/details/b2152533x
Y
LUCIEN TE N DU E T
Avocat a Beli.ey
LA TABLEAU PAYS DE
BRILLAT-SAVARIN
« L'homme a créé l’art culinaire, il ne
il dîne , il soupe. »
La Bêle ,
Chbrrulibz
BELLE
LOUIS BAILLY FILS, ÉDITEUR
1892
ERRATA
Numéros.
exemplaires sur papier du Japon des manufac-
tures impériales 1 à 6
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LUCIEN TENDUE .. . V
Avocat a Beleey
LA TABLEAU PAYS DE
BB1 LLAT-SAVAB1N
« L’homme a créé l’art culinaire, il ne
il dîne , il soupe. »
La Bcte ,
CllBRIIULIEZ
BELLEY
LOUIS BAILLY FILS, ÉDITEUR
1892
PRÉFACE
tomne.
CUAPITRE I
LA SCIENCE CULINAIRE
Les vins et les mets ont une action directe sur nos
facultés, ils engendrent la gaieté ou la tristesse,
surexcitent l’intelligence et nous prédisposent aux
bons ou aux mauvais sentiments. Dans le premier
8 LA SCIENCE CULINAIRE
du ciel ;
elle met en œuvre tous les beaux-arts : la
LA SCIENCE CULINAIRE 11
l’eau chaude. »
moderne.
Les hommes d'esprit ne sont pas toujours gastro-
nomes, mais les gastronomes illustres ont tous été
de comparaisons réfléchies ;
on devient gastronome
comme on devient connaisseur des œuvres d’art;
aussi Brillat-Savarin a dit avec raison : « iN’est pas
gourmand qui veut. »
le cerveau libre.
Ces lignes ont été écrites, il
y a de longues
RICHESSES GASTRONOMIQUES DU BUGEY 21
Traité du jus.
fin du xvm e
et du commencement du xix°, les Lagui-
pierre, les Robert, les Richaud, et par le plus
célèbre de tous, Antonin Carême, le Raphaël de la
cuisine.
L’Espagnole est composée des sucs juteux extraits
l’Espagnole.
La Béchamel est du Velouté auquel on a mêlé de
la crème, et l’Allemande du à clouté auquel on a
mêlé une liaison de jaunes d’œufs.
En dernière analyse, il n’y a donc qu’une seule
sauce mère qui est le jus de viande obtenu par des
mélanges et des procédés plus ou moins savamment
combinés.
La grande Espagnole présente certaines difficul-
sur le feu.
le vinaigre et l’huile.
L’assaisonnement constitue la différence entre les
sauces; il leur communique leur goût spécial.
Les assaisonnements sont très variés ce sont ;
:
d’autres fruits ;
3° Les épices :
poivre, muscade, canelle, vanille,
sucre, clous de girofle, macis, moutarde, etc.;
4° Les aromates : thym, laurier, basilic, estragon,
jaunes ;
après avoir replacé la casserole sur les
charbons ardents, on remue le mélange en ayant soin
30 LES PRINCIPES DES SAUCES
et les yeux.
La sauce tomate.
Berchoux, La Gastronomie.
VIANDES DE BOUCHERIE
chez M. Brillat-Savarin.
venu de M lle
Savarin, sa grand’tante : elle l’avait ins-
M. Henri Roux.
Chaque année, au mois de septembre, M. Brillat-
Savarin, accompagné de sa chienne Ida, venait en
Bugey passer le temps des fériés. Elle le suivait
viande.
Tournez successivement le gigot sur toutes ses
faces, les faites glacer, répandez ensuite dans la
*
50 VIANDES DE BOUCHERIE
du Valromey.
soigneusement.
De la pulpe d’un citron, frottez chaque oreille,
VIANDES DE BOUCHERIE 00
préparée :
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charcuterie.
La viande du porc est choisie sur des tables ou des
planches, appropriées et frottées d’ail comme les
vases employés.
Dans un vieux manuscrit daté de 1798, je lis cette
rieur.
Le jambon.
surface de la viande.
Ayez une quantité d’eau suffisante pour recouvrir
complètement le cuissot placé dans un vase de terre
ou de bois ;
mettez cette eau dans une marmite, la
saumure ;
après ce temps, on le met sur deux liteaux
VOLAILLES
Dindon truffé et à la gelée.
moins bons.
VOLAILLES 73
succulent.
Dans une casserole foncée de beurre cuit, placez
huit ailerons de dindons, une côtelette de veau, deux
oignons moyens, salez et poivrez.
Faites roussir ces viandes lentement et relirez
noires ou grises.
Videz la poularde, la dégraissez et la salez à l'in-
térieur.
ou quatre heures.
Faites mijoter pendant vingt-cinq à trente
minutes, et si la sauce devient troj3 épaisse, conti-
nuez à répandre de la crème, goûtez si le ragoût est
d’un bon sel et assaisonnez d’une pincée de poivre
récemment moulu.
Retirez la casserole du feu, et une minute après
versez dans la fricassée deux jaunes d’œufs délayés
dans trois cuillerées de crème froide.
On enrichit cette délicieuse entrée d’une garniture
de queues d’écrevisses cardinalisées et ensuite
revenues dans du beurre frais, jusqu’à ce qu’elles
80 VOLAILLES
viennent de pondre.
La fricassée de poulet faite avec du beurre et de la
Prevalaye ou du Valromey ?
VOLAILLES 81
Le poulet Célestine.
dans la rue de
y a trente ans existait à Lyon,
11
LÉGUMES
Les cardons épineux de Tours aux truffes noires et
saucés de jus de dindon.
manier.
Malgré l’opinion de Grimod de la Reynière, la
recouvre.
Ayez une bassine de cuivre d’une capacité suffi-
répandre.
Les morceaux de cardon cédant sous la pression
du doigt, les retirez de la bassine et les plongez
dans une grande quantité d’eau froide ;
ainsi traités,
LKGUM liS 85
moelle.
On les apprête aussi au gratin : on forme un lit
friture.
ragoût.
11 en est des œuvres de la cuiller comme de celles
de la plume; pour les faire valoir, il faut les pré-
vrez hardiment.
Placez sur le fourneau le plat couvert, et après
dix minutes le poussez dans le four.
les hachez.
Mettez du beurre frais dans une casserole, placez-y
les raves, leur donnez une demi-heure de cuisson,
les singez de farine et remuez souvent. Un quart
d’heure étant écoulé, ajoutez une cuillerée de fromage
de Gruyère râpé et un demi-verre de jus; répandez
ensuite dans la casserole, en petite quantité à la fois,
de la crème fraîche, salez, poivrez et placez le ragoût
gourmands
O
:
consignant ici. »
salez et poivrez.
Garnissez les tomates de cette farce, mais seule-
ment jusqu’au niveau de leur bord, les tenez serrées
les unes contre les autres dans un plat d’argent
grillées.
ÉCREVISSES ET POISSONS
passé au tamis.
Celle brillante composition en piments majeurs a
été divulguée par M me de Loiseau, légataire univer-
selle des recettes de cuisine de M me de Marron.
Au moment marqué, l’amphitryon enlève le cou-
vercle de la soupière, une légère buée monte vers
les cieux ,
des arômes vineux et acidulés se
estomacs.
Le vin blanc employé doit être sec; les coteaux de
chaleur.
Videz l’appareil sur un plat, et formez les croquettes
friture.
en ligne.
Les appétits étant devenus fougueux, j’invitai chacun
à faire son devoir. Les couteaux à découper furent mis
au clair, et le cliquetis des verres et des fourchettes
commença. En moins d’une heure, les ouvrages
culinaires furent détruits, le pâté démantelé et
grand mérite.
Le soleil baissait à l’horizon, le vent frais du soir
sortant des forêts irisait le lac, nous quittâmes les
truite.
sauce hollandaise ?
Traité du court-bouillon.
court-bouillon. »
tions nécessaires.
Après dix minutes, et lorsque les sucs des divers
par la chaleur.
Le temps de la cuisson varie suivant le volume de
la pièce à cuire, mais si le poisson pèse quatre
1
tour d’audience.
« Mon frère, dit le moine, je vous présente l’abbé
LES TROIS PÂTÉS DE BELLIÎY 123
enfin Le Rêve.
128 LES TROIS PATES DE BELLEY
de truffes noires.
Tous ces divers éléments, dont la quantité doit
être en rapport avec la dimension du pâté, seront
hachés menu. A chacune des farces séparées, on
mêlera un œuf et une ou deux cuillerées de panade,
c’est-à-dire de la mie de pain cuite dans du bouillon
de bœuf et réduite en pâte lisse.
gelée.
Attaquez la pièce le lendemain du jour où elle a
été cuite.
»
)
CI1APITRF X
y A RI É T É S
La soupe au fromage.
La rissole du Bugey.
refroidir.
142 VARIETES
La fondue de Belley.
Les farcettes.
La timbale de macaronis.
l’intérieur.
Le rizotto.
Il
y en a de deux espèces, la blanche et la noire;
la blanche se cache dans les pentes des taillis ou
dans les haies des prés; la noire, plus petite, de
forme plus régulière, plus fine et de meilleur goût,
croît sous les sapins du Valromey.
152 VARIÉTÉS
tête noire.
de leurs noyaux.
Plaquez au milieu de l’appareil une sauce mayon-
naise très épaisse surmontée d’une grosse truffe
noire.
VAItlliTES 159
Le sàlé du Bugey.
de sa préparation.
Au mois de novembre, coupez les anguries en
tranches, les pelez, enlevez les graines et la partie
LE L ÈVR E
l
Le lièvre rôti.
Pascal, Pensées.
(Refrain) Protégez-nous,
Conduisez-nous,
Que comme vous,
Nous ne manquions jamais notre coup.
Protégez-nous, etc.
Lli LIKVHIi 169
Bugey.
(Les bénissant)
Les harestecks.
blancs.
Mettez du beurre frais dans une casserole, et
salez convenablement.
Mettez dans une casserole un demi-litre d’excel-
lent vin rouge, un petit verre de fine Champagne,
deux oignons moyens, trois échalotes et un bouquet
de thym, de persil et de cerfeuil; faites bouillir jus-
qu’à réduction de moitié.
Dans une autre casserole, placez un morceau de
beurre frais, quinze grammes de farine, délayez le
sa femme; il
y composa le roman de l'Astrée dont le
12
178 LE LIEVHE
garde. »
recueilli.
LE LIÉ VUE 170
l’oignon.
Mêl ez le sang à cette préparation, le passez au
tamis, et cinq minutes avant de servir l’incorporez
au civet; faites bouillir. Goûtez la sauce, si elle est
fade, l’assaisonnez d'un filet de vinaigre suivant le
précepte de Martial :
de l’eau chaude.
Je tiens de la gracieuse bienveillance d un savant
du Bugey, M. Lepaulle, le « De arte coquinaria », de
température le permet.
Faut-il les plumer immédiatement après leur mort
ou au moment de les rôtir? Les opinions sont diver-
gentes ;
de nombreux gourmands prétendent que les
plumes absorbent la graisse la plus délicate, ils les
à l’oiseau plumé. »
viers vent. »
duvet de l’épiderme ;
on essuie les gibiers avec un
linge et ils sont prêts pour la broche.
THEORIE DU ROTI DE GIR IER- PLUME 187
Le gibier-plume a la broche.
digère pas. »
gourmet.
Grimod de la Reynière, comme tant d’autres, chan-
gea d’opinion, et cinq ans après avoir publié les
lignes qu’on vient de lire, il écrivait :
fesseur et moi ;
elle se termina d’une façon qui
flatta doublement mon amour-propre. J’obtins dans
cette escarmouche d’avant-postes deux grands avan-
tages : l’estime bienveillante de l'auteur et le don
d’un exemplaire de son ouvrage enrichi d’un mot de
sa main.
« L’article xv controversé est celui qu’on voit encore,
la mort ayant surpris le professeur si promptement
qu elle ne lui laissa pas le temps de substituer à une
idée originale, bizarre, piquante, la vérité si bien
reconnue que, dans son cabinet, de son aveu et sous
ses yeux mêmes, je l’inscrivis dans l’exemplaire dont
m’avait honoré le professeur. Voici le texte primitif :
sophie !
sarments de la vigne ;
au moment de coucher la
l’abri de l’humidité.
Quelle quantité de sel faut-il répandre sur chaque
pièce de gibier? L’expérience vous l’apprendra,
mais un oiseau maigre doit recevoir moins de sel
regards ;
et à ceux qui admiraient le bon goût de scs
dispositions : 11 faut, disait-il, la même intelligence
de Rœderer glacé.
Au dessert, acceptez un morceau de fromage et
208 THÉORIE DU ROTI DE GI HIER-PLUME
Le becfigue.
s’appelait vinette.
e
Aulu-Gelle, qui écrivait au 11 siècle de notre ère,
s'exprime ainsi :
entier. »
LH GIBIER-PLUMH A CHAIR BLANCHE 211
sances dégustatives. »
becfigue. »
LH (JIIIIUH-PLUMK A CIIAIR 11LANCIIE 213
science.
Déjà les gouttelettes blanches tombent sur l’assiette
succulence ;
je l’ignore,on ne rencontre pas cet
oiseau dans le Bugey, mais l’ortolan gras est un
produit de l’industrie des hommes, et c’est Dieu lui-
même qui s’est chargé d’engraisser le becfigue.
La caille.
La Bible.
« Il
y a des circonstances, ditM. Elzéar Blaze, où
l’on peut se permettre de manger des cailles bouillies :
y a un demi-siècle, M. Charles
Il Lenormant,
l’éminent professeur au Collège de France, voulant
faire l’ascension du Colombier, vint à Culoz chez
un mets délicieux ;
son offre fut acclamée.
Pendant que nos gens plumaient les cailles et
du rizotto.
M. Lenorraant avait fixé son départ au lendemain.
En mémoire de notre ascension au Colombier, il
remit à mon père un presse-papiers fait d’une
tablette de marbre blanc supportant une louve de
bronze allaitant Romulus et Remus; au dessous, on
lit celte inscription : « Villa Adriana, IV novembre
MDCCCXII. » Cette statuette avait été trouvée par
M. de Chateaubriand dans des terrains qu’il faisait
Le roi de cailles.
leurs.
232 I.li <;il!lliH-PUJME A CHAI H BLANCHE
« Plusieurs gourmands, dit Grimod de la Rey-
nière, le trouvent plus agréable et plus délicat que la
perdrix. »
La gelinotte.
prononcées il
y a quarante ans; je n’ai jamais revu
réunies quatre gélinottes tuées dans nos montagnes
et partageant le même sort à la même broche.
Buffon n’a pas manqué d apprécier la valeur gas-
tronomique de ce gibier.
« Leur chair est blanche, dit-il, lorsqu’elle est
Les perdrix.
Mm “ DE SÉVIGNÉ,
Lettre à M. de Coulanges, 1) septembre 1694.
Henry ,
tous les perdreaux sont perdrix. »
de fer.
plus ;
la peau rouge des pieds du perdreau est tou-
jours lisse et celle de la perdrix est écailleuse.
Tels sont les signes qui distinguent les jeunes
des vieilles.
sence préparée.
LU GIBIEU-PLL'M K A Cil VIII III.ANCIIH 2W
Incorporez à celle sauce des truffes noires lavées,
pelées et coupées en rouelles de quatre millimètres
d’épaisseur, salez, poivrez et faites mijoter pendant
un quart d’heure.
Déposez les truffes sur un plat chaud ainsi que les
perdreaux, mêlez le jus tombé de la lèchefrite à la
à la crème. »
Le gibier de marais.
« La bécassine se meurt ;
la bécassine est
morte.. . »
Tousse.nel, Trislia.
broche.
Les Grecs vidaient et lavaient le gibier. Dans le
.
viande saignante ,
c’est une opinion subversive et
condamnée.
La bécassole est plus grosse, mais ne diffère de la
La grive.
les gibiers-plume. »
bécasse, ou en crépinettes.
Détachez les filets des grives, c’est-à-dire la partie
fine panure.
Faites-en frire quatre à la lois dans la poêle émail-
lée contenant du beurre cuit, les retirez lorsqu’ils
La bécasse du Bugey.
d’autre. »
« Les pays de France, dit Toussenel, qu’elles
affectionnent particulièrement sont : à l’ouest, la
d’Italie ;
comme les becfigues, elles s’engraissent en
quelques jours.
Il
y en a deux espèces, la grosse et la petite.
les canapés.
LK GlBIKIl-PLUMIi A CHAIR NOIHli 275
Préface 5
CHAPITRE I
La science culinaire 7
CHAPITRE II
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
Viandes de boucherie 39
Le blet de bœuf clouté de truffes noires à
Vieu, chez M. Brillât- Savarin 39"
noires du Valromey 50
Le riz de veau aux truffes noires 52
Les oreilles de veau farcies 54
CHAPITRE V
La charcuterie 57
Le saucisson de Belley 57
Le jambon 63
CHAPITRE YI
Volailles 69
Le dindon truffé et à la gelée 69
L’abatis de dindon aux marrons 73
La poularde de la Bresse truffée et cuite à la
vapeur 74
Le gâteau de foies blonds de poulardes de la
CHAPITRE VII
Légumes 83
Les cardons épineux de Tours aux truffes
CHAPITRE VIII
Ecrevisses et poissons 99
Les écrevisses cardinalisées de M. le Prieur. 99
Les croquettes de queues d’écrevisses 104
La timbale de queues d’écrevisses à la Nantua. 106
L’ombre chevalier du lac du Bourget 108
Traité du court-bouillon 113
Les quenelles et le gâteau de lavaret 115
CHAPITRE IX
CHAPITRE X
Variétés 139
La soupe au fromage 139
La rissole du Bugey 140
282 TABLE DES MATIÈRES
La fondue de Belley 143
Les farcettes 145
La timbale de macaronis 147
Le rizotlo 149
Les morilles noires du Valromey 151
Les truffes blanches à la crème 154
Le sauté de truffes noires 155
La salade de homard, de filets de volailles et
CHAPITRE XI
Le lièvre 163
Le lièvre rôti 1G8
Les harestecks 174
Le civet de lièvre de Diane de Châleau-
morand 176
CHAPITRE XII
CHAPITRE XIII
CHAPITRE XIV
Le gibier-plume a chair noire 251
Les épinards à la crème pour canapés de
gibier de marais 251
Le gibier de marais 254
La grive 262
La bécasse du Bugey 266
Le salmis de bécasse du Bernardin dora Cro-
chon, cellerier de l’abbaye de Saint-Sulpice
dans la vicomté de Lompnes en Valromey. 273
(
.
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RECORD OFTREATMENT, EXTRACTION, REPAIR, etc
Pressmark:
Microfilm No:
Date Particulars
Fumigation
Deacidification
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Lamination
Solvents
Leather Treatment
Adhesives
Remarks
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