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SEFITA Sahim

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ENSAM-Meknès SEFITA-Meknès

Remerciement

Avant d’entamer ce modeste rapport, je tiens à remercier Mr, NAIMI qui m’a
donné le coût de main à passer mon stage au sein de la société SEFITA de
meknès.

Je présente également mes remerciements à mon encadrant Mr, MOHATI


moha pour son aide par les explications, les documentations et son service
personnel, ainsi qu’à Mr le directeur Omar qui ma permet de passer mon stage
dans les conditions les plus favorables.

Finalement, j’exprime mes salutations les plus respectueuses à tout le


personnel à SEFITA : le corps administratif, l’équipe des techniciens et les
ouvriers . ainsi à mes professeurs et mes amis à l’ENSAM.

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Historique

SEFITA est une société anonyme de capitale 40.000.000 DH , fondée en 1943


par un groupe français qui alimentait en tissus et couvertures les armés
françaises se trouvant en France et en algérie.

SEFITA n’est devenue marocaine qu’en 1963, à cette époque sa tache


principale était la fabrication de tissu en laine cardée.

En 1980 et après plusieurs extensions de son outil de fabrication elle se


diversifie de la filature de laine peignée par rapport à son principal concurrent
« SAFT », ainsi elle est devenue le premier filateur de laine marocain exportant
70% de son chiffre d’affaires, et remportant la médaille d’or de quatrième
SATEC ‘Salon International du Textile et de Cuir’.

En 1981, SEFITA s’est lancée dans nouvel investissement dans les métiers à
tisser sans navettes. Ainsi, en 1982,elle a remporté pour la deuxième fois la
médaille d’or du cinquième SATECc.

En 1985, le groupe a remporté le trophée international de la qualité à Madrid


et le trophée international de l’exportation à vienne.
La même année, le nouveau directeur général de la société, M.KARIM TAZI, a
procédé à l’information des services.

Ainsi, SEFITA est devenue l’une des firmes marocaines les plus importantes
dans le secteur textile et cela grâce à son équipement moderne, ses énormes
filiales, sa grande capacité de production.

Si SEFITA a réussi à envahir et à satisfaire les besoins du marché national,


elle connaît aussi un succès en ayant des liens étroits avec de grands groupes
européens, sachant que le tiers du chiffre d’affaires est réalisé avec l’extérieur.

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Introduction

L’automatisation est devenue une nécessité pour le monde industriel où la


compétitivité est l’objectif essentiel. Pour cela, cette automatisation doit être :

? Insérée dans un contexte humain. Du concepteur à l’exploitant, chacun


doit voir sa tache facilitée pour concourir à l’œuvre collective que
constitue toujours un système automatisé efficace.

? Insérée dans un contexte économique. Les étapes non productives de la


vie d’un système automatisé comme sa conception, sa mise au point, sa
maintenance, doivent être raccourcies, rendues plus rationnelles et moins
coûteuses. Son exploitation doit être souple, flexible.

Dans cette étude on a donné quelques notions concernant les automates


programmables, puis on a décris la démarche à suivre dans une telle
automatisation à savoir le choix des constituants, le schéma de fonctionnement,
le choix du langage de programmation. Enfin on a traité l’exemple de la
machine SACM, sauf qu’on n’a pas pu aborder la dernière partie qui concerne la
programmation à cause du souci de matériels.

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ORGANIGRAMME
SEFITA
PRESIDENT
DIRECTEUR GENERAL

DIRECTIOPN GENERALE

SERVICE SERVICE SERVICE SERVICE


FINANCIER TECHNIQUE COMMERCIAL ADMINISTRATIF

PREPARATION
COMPTABILITE
APPROVISION-
NEMENT
CARDERIE
SECRETARIAT SERVICE
GENERAL PERSONNEL
FILATURE TRANSIT

TISSAGE MAGASIN

TEINTURE

APPRETS
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A – Etude générale des systèmes automatisés :

I - : définition :
Un système automatisé est constitué par une partie opérative et une partie de
commande, avec des chaînes fonctionnelles et un dialogue utilisateur.
L’étude d’un système automatisé nécessite les éléments suivants :

? Les matières d’œuvre : matériau, énergie, information.


? La valeur ajoutée (modification apportée à la matière d’œuvre)
? La description ordonnée des différentes types de taches : taches opératives
et taches d’acquisition et de traitement des données.

II : Les objectifs de l’automatisation :

Les productions industrielles sont de plus en plus automatisées .Ces progrès


concernent :
? L’automatisation d’opérations autrefois entièrement manuelles, par
exemple, les assemblages, les contrôles …
? L’automatisation plus poussée d’opérations déjà partiellement
automatisées, par exemple, le remplacement des machines rigides par des
machines flexibles susceptibles d’opérer sur plusieurs variantes de
produits.
? La recherche de coût plus bas pour le produit, par réduction des frais de
main-d’œuvre, d’économie de matière, d’économie d’énergie …
? La suppression des travaux dangereux ou pénibles et l’amélioration des
conditions de travail par l’ennoblissement des taches …
? La recherche d’une meilleure qualité du produit, en limitant le facteur
humain, et en multipliant les contrôles automatisés…
? La réalisation d’opérations impossibles à contrôler manuellement ou
intellectuellement.

Dans une économie de marché, toute automatisation à pour objectif d’aider à


la compétitive globale du produit, soit directement (coût, qualité..)Soit
indirectement (amélioration des condition de travail..)

Comme le montre la figure d’après, la compétitivité résulte essentiellement


des résultats obtenus sur les facteurs suivants : coût, qualité, innovation,
disponibilité.

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Coût Innovation
? Main-d’œuvre ? Performances
? Matières ? Esthétique
? énergies ? optimisation

Compétitivité du produit

Qualité Disponibilité
? Réseaux de vente
? Fiabilité ? stocks
? Endurance ? service après vente

Remarque :
Il est important de vérifier que le produit sur lequel s’applique cette
automatisation soit optimisé au mieux à fin de répondre aux besoins du
marché.

III : La rentabilité d’une automatisation :

Comme pour tout investissement, un projet d’automatisation est jugé sur sa


rentabilité. Celle-ci peut s’exprimer clairement sous forme du temps de retour
des investissements.

Investissement
= nombre d’années pour le retour d’investissement.
Gains annuels

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Investissement pour automatisation Gains directs sur le produit


? Etudes ? Economie de main-d’œuvre,
? Réalisation matières, énergies,..
? Mise au point ? Suppression rebuts et
? Frais financiers retours.

Si ce temps de retour est de moins de trois ans ,le projet est en géneral jugé
intéressent,si toutefois la durée de vie du produit fabriqué est estimée d’une
durée supérieure.

IV : Stucture des systèmes automatisés:

1 – décomposition en partie opérative et en partie commande :


chaque système automatisé comporte deux parties :
? Une partie opérative PO dont les actionneurs agissent sur le processus
automatisé.
? Une partie commande PC qui coordonne les actions de la partie opérative.

Partie opérative Ordre de commande


Partie commande
PO PC
Information en retour

a – partie opérative :
C’est elle qui opère sur la matière d’œuvre et le produit .elle comporte en
générale :

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? Des outillages et moyens divers mettant en œuvre le processus


d’élaboration, par exemple, moules, poinçons, outils de coupe, pompes,
têtes de soudure, de marquage…
? Des actionneurs destinés à mouvoir ou mettre en œuvre ces moyens, par
exemple :
- moteur électrique pour actionner une pompe.
- Vérin hydraulique pour fermer un moule.
- Vérin pneumatique pour mouvoir une tête de marquage.

b – partie commande :
C’est celle qui émet des ordres vers la parie opérative et en reçoit les signaux
en retour, afin de coordonner ses actions.
Au centre de la partie commande, le ‘ traitement ‘ est la convergence de trois
dialogues qu’il coordonne :

b.1 : le dialogue avec la machine :


? Commande des actionneurs (moteurs, vérins) via les pré-actionneurs
(contacteurs, distributeurs, variateurs…)
? Acquisition des signaux en retour pour les capteurs qui rendent compte de
l’évolution de la machine.

b.2 : le dialogue homme-machine :


Pour exploiter ,régler, dépanner la machine, le personnel émet des consignes
et reçoit des informations en retour.

b.3 : le dialogue avec d’autres machines :


Plusieurs machines peuvent coopérer dans une même production .leur
coordination est assurée par le dialogue entre leurs parties commandes.
Due à l’ADEPA ( Agence Nationale Pour le Développement de la
Production Automatisée)l’illustration ci-dessous schématise l’organisation de
la partie commande par rapport à la P.O.

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Partie Opérative Partie Commande

Actionneurs Pré-actionneurs Dialogue


Traitement
Capteurs
Processus
Communication

Autre parties commandes

2 – Organes équipant partie opérative et partie commande :


Dans la partie commande, la ‘traitement’ reçoit les informations des capteurs
et émet des ordres vers les pré actionneurs .ces organes répartis sur la
machine sont indispensable pour réaliser l’automatisme qui doit les
commander.

2.1 : Actionneur et pré- actionneurs :


Il existe trois technologies d’actionneur se complète pou répondre aux
besoins variés des machines.

? les actionneurs électriques :


Ils utilisent directement l’énergie distribuée sur les machines et prennent
des formes variées : moteur à vitesse constante ou variable, électrovannes de
débit, tête des soudure de résistance.
Les pré-actionneurs associés à ces actionneurs électriques sont principalement
les contacteur et variateur de vitesse.

? les actionneurs pneumatiques :


Ils utilisent directement l’air comprimé distribuée sur les machines par
exemple les machines pneumatiques qui ont des mouvement de transfères,
serrage , marquage, maintient, assemblage , formage, éjection…
les distributeurs sont les prés actionneurs qui leurs sont associés ils reçoivent
soit un signal pneumatique soit un signal électrique lorsque ils sont équipés
d’une électrovanne.

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? les actionneurs hydrauliques :


Vérins ou moteurs, ils ne sont utilisés que lorsque les actionneurs électrique
et pneumatiques ne peuvent donner satisfaction, ils sont utiles lorsque les
efforts à développer sont très importants (presse…) ou lorsque des vitesse
lente doivent être contrôlée avec précision. (avance d’outil de coup…)

2.2 : capteurs :
Captant les déplacement des actionneurs ou le résultats de leur actions sur
le processus, les capteur fournissent les informations en retour nécessaire
pour la conduite du processus.
Ils peuvent détecter des positions,des pressions, des températures, des forces
des vitesses, des accélérations…
Remarque : en automatisation courante les capteurs de position sont les plus
utilisés il prennent des formes très variées :
- interrupteur de position avec contact
- détecteur de proximité sans contact ? Signal tout ou rien
- capteur de déplacement : signal analogique ou numérique.

2.3 : constituants de dialogue homme – machine :


Ils permettent les interventions du personnel d’exploitation de réglage et
de maintenance.
- Certains sont implantées sur le pupitre d’exploitation de conduite de la
machine : boutons, voyants, pupitre programmable et configurable, boite à
messages,…
- D’autres sont connectables en cas de besoins par un diagnostic ou un
réglage et de dépannage.

2.4 : constituants de traitement :


Les technologie de traitement de l’information en automatisation
industrielle sont plus progressées de rigide elle sont devenues programmables
et peuvent ainsi répondre aux nouveaux besoin de flexibilité et d’évolutivité
sans par autant exiger une mise en oeuvre complexe.

V : Outils de description du comportement d’un automatisme :

Pour concevoir réaliser et exploiter un automatisme il est indispensable


d’en décrire le comportement les outils ou langage qui permettent cette
description, au choix, être littéraux symbolique ou graphique.

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V – 1 : description littérale du comportement d’un automatisme :


En utilisant le langage courant en énumère ce que l’automatisme doit faire
en décrivant chaque étape et en précisant les conditions à satisfaire à chaque
instant.
L’exemple ci-dessous montre clairement les possibilités et les limites de ce
type de description :

L’opérateur appuie sur les commandes manuelles c et B- B+


d et le cycle démarre :
- serrage de la pièce par le vérin A a1 capteur b1
- vérification de ce serrage par la pression de
constatée par le manostat a1 pression
- descente de a tête de perçage B et rotation R R
du foret
- fin de perçage constaté par la buté b1 A
A -
- remontée de B et arrêt de R
- lorsque b0 et actionnée desserrage de la pièce

a0

c d

Exemple de description littérale du comportement


d’un automatisme

V – 2 : description symbolique du comportement d’un automatisme :

? variables « tout ou rien »


Les automatismes tout ou rien sont satisfaisante par de nombreuse
applications, leur comportement est facilement décrit à l’aide de variables
booliennes qui ne prennent que deux valeurs : 0 ou 1.
Un capteur par exemple peut prendre deux états : état repos et état
actionné, à chacun de ces états correspond un signal de sortie (électrique,
pneumatique…) de niveau déterminer soit 1 soit 0 par convention.

Remarque : si la grandeur mesuré et analogique c'est-à-dire qu’elle


peur prendre une succession continue de valeur ( par exemple la pression
de serrage du vérin) le capteur traduit cette valeur en signal « tout ou
rien » en fonction des seuils atteints.

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? fonctions logiques :
L’algèbre de Boole permet de traduire et de manipuler les
combinaisons « tout ou rien » les fonctions de bases sont les fonctions ET
OU et NON.
Pour l’automatisme décrit à la page si contre, par exemple, la condition
de départ s’exprime par : c et d = 1 ou c.d =1
L’algèbre de Boole permet ainsi d’exprimer de manière concise des
combinaison complexe de conditions par exemple l’équation logique s=
a. b .e (c+d)

ET a s = a.b
b &
a
OU b =1 s=a+b

NON a s= a

? fonctions combinatoires et fonctions séquentielles :


Nous avons vu précédemment que la partie commande d’un système
automatisé :
- reçoit des signaux divers (depuis les capteurs, le pupitre…) se sont des
variables d’entrée.
- Emet des signaux divers (vers la machine, vers l’opérateur) se sont des
variables de sortie.
Lorsque à chaque combinaison des variables d’entrées ne correspondent
qu’un seul état d’une variable de sortie, la relation est dite combinatoire, et
peut simplement s’exprimer sous forme logique : exemple s = a b e (c+d)
Lorsque au contraire l’état de la variable de sortie dépend aussi des
événement précédents , le problème set dit séquentiel , dans l’expression
d’un problème séquentiel et puis dans sa réalisation le concept de mémoire
doit être introduit.

? variables numériques :
Lorsque le traitement nécessite d’identifier plusieurs valeurs d’une
grandeur analogique ( pression température déplacement …) deux technique
sont possibles :
- soit traiter les signaux sous leur forme analogique avec des constituants
adaptés ( dit analogique ).
- Soit convertir les grandeurs analogiques en signaux numériques, avec
une certaine résolution (figure ci-dessus ) puis les traiter comme des
variables numériques. Les variables numériques sont codés au moyen

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d’un ensemble de variables binaires ou bits par exemple une variable sur
8 bits peut coder 28=256 valeurs différentes.

Remarque :
Plus la résolution doit être fine plus le nombre de bit doit être élevé.

Grandeur analogique
Signal
analogique

Signal

Résolution

temps

V – 3 : description graphique du comportement d’un automatisme :

En complément des expressions symboliques les outils de description


graphique sont appréciés :
- soit par ce qu’ils se rapprochent de certaines technologies de réalisation :
contacts électromécaniques, module logique…
- soit, au contraire, ne présumant pas de la technologie qui sera mise en
œuvre, ils permettent une description fonctionnelle des problèmes
séquentiels.

? schéma à contact- diagramme en échelle :


Ce langage graphique de description : des automatismes est né à l’époque
ou seul la technologie à contact était disponible pour résoudre les problème
de commande. Les illustrations ci-dessous montrent comment en plaçant en
série ou en dérivant des contacts qui sont soit à la fermeture soit à
l’ouverture on peut reproduire chacune des fonctions logique de bases : ET
OU NON et MEMOIRE par auto alimentation.

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a a
b
bobin M
m
Auto-alimentation
Contacts en série
Fonction mémoire
Fonction ET

Voyant
b
Contacts en parallèle
Fonction OU

? Logigramme :
C’est la présentation graphique des relations logiques :

b S
=1
c &
d

? Le GRAFCET au cours de la vie de l’automatisme :


Le chronogramme, le diagramme des phases , les réseaux de PETRI,
l’organiphase… ont été des langages graphiques utilisés en automatisme,
chacun d’eux à aider à bâtir l’expérience dont le GRFCET est la synthèse,
maintenant le GRFCET est reconnu comme le langage graphique le mieux

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adapté à l’expression de la partie séquentielle des automatismes de


production.
Le GRFCET représente la succession des étapes dans le cycle. L’évolution
du cycle étape par étape est contrôlé par une transition disposée entre chaque
étape. Chacune des étape peut correspondre une ou plusieurs actions , à
chaque transition correspond une réceptivité : condition qui doit être
satisfaite pour que la transition puisse être franchie permettant l’évolution
d’une étape à la suivante.
Le cycle se déroule étape par étape : l’étape initiale ( étape 0 sur la figure ci-
dessous ) qui est active au début du fonctionnement , valide la transition qui
la suit elle est franchie si la réceptivité x est satisfaite l’étape 1 est alors
activée et l’étape 0 désactivée. Les actions associées à l’étapes 1 se déroulent
alors jusqu’à ce que la réceptivité y de la transition soit satisfaite .

X
1

? Le GRAFCET ,synthèse de l’expérience acquise :


L’exemple précèdent est décrit par GRAFCET, à différents stades de sa
conception :
1 – Au niveau cahier des charges , le GRAFCET ne présume pas des
choix à faire pour P.O. (partie opérative) et P.C. (partie commande).
2 – Après le choix des actionneurs et des capteurs ,le GRAFCET précise
des actions et transitions .
3 – Enfin, avec le choix des pré-actionneurs, le GRAFCET de commande
exprime les signaux échangés par PO et PC.

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Appui sur

1 Serrage

Pièce
GRAFCET
2 rotation Approche
cahier des charges
Perçage

3 Retour foret

Retour

4 desserrage

Desserrage effectué

Remarque :
Nous utilisant ci-après une notation couramment employée pour les
machines à vérins : les majuscules pour exprimer les mouvements, et les
minuscules pour designer les signaux de commande provoquant ces
mouvements.

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0 0

c.d c.d

1 A+ 1 a+

a1 a1

2 R 2 r

b1 b1

3 B- 3 b-

b0 b0

4 A- 4 a-

a0 a0

GRAFCET
GRAFCET
Des mouvements
De commande

Analogie avec l’être humain :

Toutes les taches effectuées dans un système automatisé sont également


effectuées par l’être humain. De par son expérience acquise (savoir faire), il
dirige le processus (partie commande). Avec ses muscles et à l’aide d’outils
plus ou moins rudimentaires,il opère directement sur la matière d’œuvre
( partie opérative ).
Si l’homme est seul à effectuer les taches, ses sens captent l’état
d’avancement de son travail, son cerveau traite les informations suivant son
expérience et son savoir faire puis sec muscles fournissent l’énergie
mécanique nécessaire au maniement des outils.
S’il s’agit d’une équipe, des intermédiaires entre la partie commande et la
partie opérative sont chargés de rendre compte de l’état d’avancement des
travaux à réaliser et d’ordonner les modifications ou les suites à prévoir.

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VI : Technologie de commande câblée et programmée :

Après les outils de description du fonctionnement des automatismes,il est


important de connaître les différents outils de réalisation et d’en distinguer les
deux grandes familles :

? Technologies câblées.
? Technologies programmées.

VI - 1 – Principes comparés :

Avec une technologie câblée, l’automatisme est réalisé par des modules
raccordés entre eux. Le fonctionnement obtenu résulte du choix de ces
modules et du câblage qui les relie.
Dans tous les cas, l’automatisme est entièrement personnalisé par sa
réalisation matérielle.

Au contraire avec une technologie programmée, l’automatisme est réalisé


par la programmation de constituants prévus à cet effet. Le fonctionnement
obtenu résulte de la programmation effectuée.
L’automatisme est personnalisé par les choix matériels, mais aussi par la
programmation.
L’illustration ci-après compare dans leurs principes la réalisation en ‘câblé’
et en ‘programmé’ des trois moyens de description exposés aux pages
précédentes :

? Les schémas à contacts, issus de la technologie câblée à contact et


transposés en diagramme en échelle pour leur représentation sur
terminal de programmation.
? Les expression logiques (logigrammes , expressions booléennes …).
? Le GRAFCET, concrétisé en câblé par des lignes de modules et
pouvant être visualisé, sur terminal en programmé.

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CABLE PROGRAMME

M
b M b ( )
Expression
m m
‘Schémas’

Schéma de câblage avec relais diagramme en échelle


.à contacts programmé et visualisé sur
. terminal

a a : A ( AND )
b b : AN ( AND NOT )

Expression c >1 & s c : L ( Load )


‘logique ’ d d : O ( OR )
e e : A ( AND )

logigramme avec modules symboles de programmation


pneumatiques ou électroniques.

4 a+ 4
a1

étape
5 b+ a - 5
Expression
‘GRAFCET’ transition
b1.a0
6 c+ 6

c1
GRAFCET par séquenceur GRAFCET programmé

VII : Langages de programmation :

Pour pouvoir fonctionner l’ensemble réalisé, il doit être programmé .cette


programmation pose le problème du choix du logiciel convenable.
Le synoptique ci-dessous classe les différents langages de programmation par
niveau.

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Langages
Langage Langages Langages Langages Conçus pour
Binaire assembleurs universels Adaptés à un une catégorie
domaine précise
D’exécution Programmable PASCAL
par l’utilisateur d’application d’application
FORTRAN
BASIC…

composants Application
Niveau et
spécialisation des
Cartes électroniques langages

Micro et mini-ordinateurs

Automates programmables

? Près des composants, on trouve le langage binaire (de bas niveau)


d’exécution composé de bits en signaux ‘Tout Ou Rien’ élémentaires.
? A l’opposé, près des applications les langages spécialisés (de haut niveau)
par exemple le GRAFCET pour le domaine des automatismes.

Plus le langage utilisé est proche de l’application, plus la programmation est


facile et rapide. On peut alors classer dans un ordre croissant de facilité à
programmer : les cartes électroniques, les micro et mini-ordinateurs puis les
automates programmables.

VIII : Les choix en automatisation :

Les formes d’automatisation industrielle prennent des formes très variées,


pour une réalisation rationnelle compétitive ,les choix doivent étudiés tant pour
la partie opérative que pour la partie commande.
De ce fait, on trouve deux technologies :
? Technologie câblée : relais électromagnétiques, commande pneumatique.
? Technologie programmée : cartes électroniques standards et spécifiques,
micro et mini-ordinateurs, automates programmables.

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VIII – 1 : choix à effectuer :

? la partie opérative :
Les principales technologies d’actionneurs sont évoquées par la figure ci-
dessous.
? La partie commande :
Elle fait le plus souvent appel à une technologie d’automatisatisme
effectuée par un bon choix des éléments cités dans la figure ci-dessous.

Partie Partie
Opérative Commande

Moteurs électriques Commande électrique à contact


Vérins pneumatiques Commande pneumatique
Vérins hydrauliques Automate programmable
Résistances de chauffage Micro et mini-ordinateurs
Vannes Cartes électriques standards
Cartes électroniques spécifiques

VIII – 2 : Critères de choix :

Pour la partie commande, on distingue deux types de critères de choix :

? Les critères de faisabilité :


Il élimine les technologies qui ne peuvent conduire à la satisfaction du
cahier des charges, leurs possibilités ne permettent pas de faire face aux
exigences fonctionnelles ou opérationnelles.

? Les critères d’optimisation :


Ils permettent d’optimiser le choix parmi les technologies non éliminées
par les critères de faisabilité, avec un objectif de minimisation du coût
globale de l’installation.

IX : L’automate programmable au cœur du système automatisé :

IX - 1 : fonctions du systeme automatisé en liaison avec l’automate


programmable :
L’illustration de la page ci-après classifie les fonctions autour de
l’automate programmable .

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1 – DETECTIONS : capteurs

- capteurs numériques
- capteurs de mesure
- détection de proximité
- interrupteurs de position

5 – DIALOGUE
de
PROGRAMMA- 2 – ACTIONS
TION
Pour première actionneurs et
mise en œuvre pré-actionneurs
- terminaux de - contacteurs
programmation - électro-
distributeurs
d - variateurs de
L’AUTOMATE vitesse
4 – DIALOGUE PROGRAMMABLE - positionneurs
de
SUPERVISION

- claviers encodés
- afficheurs
- pupitres d’exploitation
- boutons
- voyants
3 – DIALOGUE D’EXPLOITATION

IX - 2 : dialogue d’exploitation :

Le dialogue d’exploitation comporte :


- Le dialogue de conduite de la machine.
- Le dialogue de réglage de la machine.
- La dialogue de dépannage de la machine.

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? dialogue de conduite :
C’est le dialogue nécessaire pour conduire la machine normale
de production. les outils de dialogue comportent :
o Des boutons, voyants, commutateurs, claviers…
o Des constituants programmables tels que boites à messages,
terminaux d’exploitation fixes…

? dialogue de réglage :
Les réglages de la machine sont réalisés :
o Soit par des interventions sur la machine : butées réglables,
réglages de vitesse…
o Soit par des interventions au niveau du pupitre : sélection des
différentes options, temporisations …par des commutateurs,
des terminaux d’exploitation fixes…
o Soit par des interventions à l’aide de terminaux amovibles.

? dialogue de dépannage :
Pour aider aussi au diagnostic de dépannage, les micro-terminaux
amovibles peuvent afficher les étapes d’arrêts de la machine, faciliter
différents accès…

IX – 3 : moyens de dialogue en liaison avec l’automate programmable :


Le dialogue avec l’automate programmable se fait par les boutons, les
voyons, des claviers encodés et un dialogue programmable .Ce
dialogue s’obtient soit par une programmation de l’automate
programmable seule soit par une programmation conjuguée de
l’automate programmable et du périphérique du dialogue.
Les différents types de périphériques de dialogue sont : boite à
messages, terminal d’exploitation fixe et terminal d’exploitation
amovible.

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B – Etude du sujet :

La tache à réaliser et de proposer un automate programmable pour la


machine SACM . Cette machine et déjà automatisée à base des cartes
électroniques. alors la première étude qui concerne le choix des composants
utilisés et le nombre d’entrées et sorties est déjà faite. L’étape qui suit est
d’établir le GRAFCET de la machine.

I : GRAFCET (Graphe Fonctionnel de commande Etape-Transition) :

D’après le schéma de fonctionnement de la machine on établit le grafcet


du premier et du second niveau.

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I – 1 : GRAFCET niveau 1 :

Fermeture des contacs S0,S1,S2,S3,S4 + alimentation

1 Mise sous tension lampe blanche

Présence de tension
2 Marche moteur d’aspiration
Moteur d’aspiration
démarré
3 Marche moteur principal

Marche machine
4 Marche machine
Machine en marche

5 Marche sous renvidage


Sous renvidage activé

6 Fin de cycle
Cycle terminé

7 Débrayage
Débrayage effectué

8 Arrêt machine

Machine arrêtée

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I - 1 : GRAFCET niveau 2 :

S0.S1.S2.S3.S4.KAAT.

1 H1 KA0
S5.F88

2 KM8
KA5.KA18.KA1.KA4.RAB.S6.S7.S8.S9.S10.S11.S12.S13

3 KA11
KA1.S14.S15.KA107.K
A105
4 KA01
KA13.(KA01+KA8).KA
10
5 KA9

S16
6 KA10
KA05.KA15

7 KM15 S : contact
KA : bobine de relais
KA21.KA6.KA32 KM : bobine de
contacteur
8 KA6 KAAT : arrêt d’urgence
RAB : résistance

KA6

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I – 3 : désignation des entrées et sorties :

? Les entrées :
Après avoir définir les transitions et les étapes, on donne maintenant à chaque
entée et sortie une désignation.

Transition Entée Désignation


S0 I1,01
S1 I1,02
Fermeture des contacts.
S2 I1,03
Alimentation.
S3 I1,04
S4 I1,05
S5 I1,06
Présence de tension.
F88 I1,07
KA5 I1,08
KA18 I2,01
KA1 I2,02
KA4 I2,03
RAB I2,04
S6 I2,05
Démarrage du moteur
S7 I2,06
d’aspiration.
S8 I2,07
S9 I2,08
S10 I3,01
S11 I3,02
S12 I3,03
S13 I3,04
S14 I3,05
S15 I3,06
Moteur principal en marche.
KA107 I3,07
KA105 I3,08
KA13 I4,01
KA01 I4,02
Machine en marche.
KA8 I4,03
KA10 I4,04
Sous renvidage activé. S16 I4,05
KA05 I4,06
Cycle terminé.
KA15 I4,07
KA21 I4,08
Débrayage effectué. KA6 I5,01
KA32 I5,02

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? Les sorties :

Etape Sortie Désignation


Mise sous tension KA0 O1,01
Lampe blanche
H1 O1,02
Marche moteur d’aspiration KM8 O1,03
Marche moteur principal KA11 O1,04
Marche machine KA01 O1,05
Marche sous renvidage KA9 O1,06
Fin de cycle KA10 O1,07
débrayage KM15 O1,08
Arrêt machine KA6 O2,01

Dans la suite on vas schématiser le GRAFCET, en affectant à chaque entrée et


sortie leur désignations.

28
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0
I1.01.I1.02.I1.03.I1.04.I1.05

1 O1.01 O1.02

I1.06.I1.07

2 O1.03

I1.08.I2.01.I2.02.I2.03.I2.04.I2.05.I2.06.I2.07.I2.08.I3.01.I3.02.I3.03.I3.03

3 O1.04

I3.04.I3.05.I3.06.I3.07.I3.08

4 O1.05

I4.01.I4.02.I4.03.I4.04

5 O1.06

I4.05

6 O1.07

I4.06.I4.07

7 O1.08

I4.08.I5.01.I5.02

8 O2.01

I5.01

29
ENSAM-Meknès SEFITA-Meknès

C - Réalisation :

La partie théorique concernant cette étude d’automatisation à savoir : le


choix des constituants, le GRAFCET, désignation des entrées/sorties est
atteinte. Maintenant pour la mise en marche de l’automate, il nous faut un
logiciel de programmation pour en prendre le programme et de le faire
injecter par la suite dans la partie de commande.

30
ENSAM-Meknès SEFITA-Meknès

Conclusion
L’automatisation est devenue maintenant la tendance de plusieurs projets
industriels. Pour ce faire, la grande difficulté réside dans le choix des
constituants des deux parties : PO et PC et des méthodes à suivre dans la
programmation qui doivent répondre aux exigences du cahier de charge.

Ce travail ma permet d’avoir l’idée sur les démarches à suivre dans une étude
d’automatisation et de prendre en compte les problèmes qu’on peut rencontrer.
Ainsi que le déroulement des différentes taches au sein de la société à savoir : la
gestion du personnel, la gestion du stock, quelques techniques de réparation …

Je tiens à remercier encore une fois tout le personnel à SEFITA et tout mes
amis à l’ENSAM.

31
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Bibliographie

o LES AUTOMATISMES PROGRAMMABLE .Daniel BOUTEILLE

o TECHNIQUE DES SYSTEMES AUTOMATISES. F.Benielli

o GUIDE ELECTRONIQUE .C.CIMILLI

o SCHEMAS D’ELECTRICITE et d’AUTOMATIQUE


INDUSTRIELLE.Jean BARRY

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ENSAM-Meknès SEFITA-Meknès

ANNEXES

Choix des constituants d’automatisme pour minimiser le coût


globale :

o Composantes du COUT GLOBAL d’un système automatisé :

La figure ci-après rappelle les différentes étapes d’une automatisation et met en


évidence :
? La période d’investissement qui permet d’obtenir la machine en ordre de
marche.
? La période de retours d’investissements qui correspond à l’exploitation de
la machine.
Le coût globale est difficile à calculer à priori, mais il est essentiel que tous les
choix visent à le minimiser.
Lors de bilans sur les automatisations déjà en exploitation, on constate :
? Que les coûts de mise au point et d’exploitation représentent une part
importante du coût global.
? Que dans les coûts d’étude et de réalisation, la part de PC reste toujours
faible par rapport à celle de PO.

o Incidence des choix relatifs à PC sur le coût globale :

Une partie commande bien optimisée devra :


? Faciliter les interventions pour la mise au point de PO (opération
généralement longue et délicate) et donc minimiser les coûts de mise au
point.
? Faciliter les interventions pour diminuer les temps de réglage et de
dépannage et donc minimiser les coûts d’immobilisation de la machine.
? Inclure les préoccupations d’économie de matière, d’énergie,…dont
l’incidence est importante sur le bilan d’exploitation.
Une PC ainsi complètement au service de la machine sera un peu plus coûteuse
mais conduira à des économies bien plus importantes sur le coût global du
système automatisé.

33
ENSAM-Meknès SEFITA-Meknès

Réflexion productique
préalable

Avant projet du système à automatiser

Pré-étude de PO Pré-étude de PC

Choix des
Choix des actionneurs
technologies de
commande

Etude de PC
Etude de PO
Investissements

Réalisation de PO Réalisation de PC

Intégration de PC dans PO et mises au point machine et


processus

EXPLOITATION

Réglages
Adaptations PRODUCTION Retours
Evolutions D’investissements
- Approvisionnements
Maintenance matières
Dépannage - Evacuation produits
- Gestion production

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Bien distinguer :

Objectif
Moyens

Coût Qualité Disponibilité Innovation

- main-d’oeuvre - fiabilité - réseau - performance - automatiser


- matières - durée de vie - stocks - avantage - informatiser
- énergie - satisfaction - après-vente - esthétique - robotiser
- amortissement de l’utilisateur - etc. - etc. - équiper
- en cours - etc. - rationaliser
- etc. - organiser
- etc.

Compétitivité des produits

Coûts Qualité Disponibilité Innovation

Zéro délai
Zéro stock
= flux tendu Zéro défaut
= qualité totale Zéro panne

GESTION AUTOMATISATION EVOLUTION

de des
production Flexible et évolutive produits

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AUTOMATE PROGRAMMABLE INDUSTRIEL

Bus interne

Unité
centrale
Module Module
d’entrées de sorties

Module
d’alimentation Carte
mémoire

Alimentation
externe (220 Vca)

36

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