Rapport Exemplaire
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VERECHAGUINE A. K.
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Encadreur Superviseur
13eme Promotion
I
REHABILITATION ET AMENAGEMENT DES VOIRIES URBAINES, PROJET ASPHALTAGE Lot
3A A COTONOU : Suivi et Réalisation des travaux d’assainissement et de terrassement
Les Auteurs
Date :
Signatures
Le Superviseur
Date :
Signature
ALASSANE Rouchdane
DEDICACE 2
Cette formation de qualité exige à son tour, la mise en place d’un lieu de
savoir. C’est dans cette optique d’assurer une formation de qualité aux futurs
cadres de la nation et de la sous-région que l’Ecole Supérieure de Génie Civil
VERECHAGUINE A. K a vu le jour et a pris sur elle l’initiative de relever les
nombreux défis ci-dessus évoqués et de former des Ingénieurs de conception et
des Techniciens Supérieurs dans le domaine du génie civil, de la Topographie et
du génie de l’eau.
Hommages respectueux
SOMMAIRE
INTRODUCTION GENERALE
I- PRESENTATION DU PROJET
II- PRESENTATION DES TRAVAUX SUIVIS
III-SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE
At the end of the three years of higher studies confirming the eligibility
for the professional degree as required by the texts in force, a three-month
internship sanctioned by the defense of an internship report before a jury is
required to confirm the admission of exam candidates. To meet this requirement,
we did an internship on the asphalting yard in Cotonou. This internship began on
February 20 and ended on May 20, 2019, which allowed us to write an
internship report. The present internship report of our various activities during
the three months of internship essentially concerns the follow - up of the
rehabilitation works and development of primary, secondary and tertiary roads
in the city of Cotonou for the Asphalting - lot3A project. This is a report of the
stages of construction of a gutter and earthworks. It is structured as follows:
La société Sinohydro Ltd est la principale filiale du groupe. Elle est une
filiale majeure constituée des unités de la société mère du groupe et de Sinohydro
Consulting et maintenant détenue par le biais d'une société de portefeuille
Sinohydro Group Limited.
2. ORGANIGRAMME DE SINOHYDRO
Recherche documentaire
Les objectifs visés au cours de ce stage sont assez variés. Nous pouvons citer entre
autres :
maitriser les différentes méthodologies de travail et d’exécution des travaux
d’assainissement et de pavage ;
prévoir et organiser les travaux journaliers sur le chantier ;
pouvoir contrôler les activités menées au niveau de chaque atelier ;
diriger les différentes équipes de travail.
CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STA
I- PRESENTATION DU PROJET
C’est une étude qui permet d’estimer de façon sommaire le coût de l’ouvrage. Elle
comprend :
Elle comprend :
Il comporte :
-l’altimétrie : elle est toute opération permettant la détermination des altitudes d’un
point à partir d’une surface de référence qu’est le géoïde.
C’est une opération qui consiste à fixer un repère à l’aide d’un piquet de 20cm
Le croquis
La polygonation
Le nivellement
Le levé de détails
Le levé de détails est une opération qui consiste à relever tous les aspects se
trouvant sur la trajectoire de la route. Il permet de relever les particularités de
chaque point se trouvant sur la trajectoire de la route en étude.
Après tous ces travaux suit le traitement numérique des données et l’étude
géométrique du tracé. Ils constituent les dernières étapes après les activités menées
sur le terrain.
1- SECTION ‘’TOPOGRAPHIE’’
Le rôle du topographe pour les travaux d’aménagement d’une route est
primordial ; il est en amont, au centre et en aval de tout projet d’aménagement
routier.
Le niveau étant en station, nous avons posé la mire sur le point à réceptionner.
Après détermination de l’APN nous avons fait la différence entre cette dernière et
la lecture sur la mire posée sur le point à réceptionner pour avoir la cote pratique.
L’écart entre cote (différence de cote) est obtenu en soustrayant de la cote pratique
celle théorique par l’opération suivante :
2- SECTION ASSAINISSEMENT
A-GENERALITES SUR LES TRAVAUX D’ASSAINISSEMENT
L’assainissement est ‹‹ l’ensemble des stratégies utilisées pour répondre aux
problèmes posés par la circulation urbaine de l’eau en excluant la production et la
distribution d’eau potable › ›.
Dans le cadre de notre stage nous avons assisté à la réalisation des dalots et
caniveaux qui constituent les ouvrages du réseau d’assainissement sur ce projet.
Ces divers ouvrages en béton armés précités, sont réalisés suivant les
prescriptions techniques du projet, les vues en plan, les plans de détail et
les profils en long (voir annexe).
IMPLANTATION DE L’AXE DU CANIVEAU, REALISATION DE
LA FOUILLE MISE EN ŒUVRE DU BETON DE PROPRETE
L’implantation est une opération qui consiste à matérialiser sur le terrain,
l’ensemble des tracés géométriques tels que :
Le terrassement ;
La délimitation de l’axe de la chaussée ;
La délimitation des rigoles ;
L’implantation de l’axe des caniveaux ;
La zone de passage des caniveaux.
REALISATION DE LA FOUILLE
Une fouille est une opération d’excavation pratiquée dans la terre
généralement après décapage de la terre végétale. Elle peut être exécutée par une
pelle mécanique ou manuellement avec des pioches et pelles par les ouvriers et
manœuvres. Dans le cadre de notre stage elle a consisté à creuser le sol afin
d’obtenir une cavité devant recevoir le caniveau conformément à ses
caractéristiques.
Après la réalisation de la fouille les cotes de cette dernière ont été
réceptionnées par l’équipe de topographes de la mission de contrôle après leurs
vérifications à celles théoriques.
Photo N°2 : Excavation de la fouille Photo N°3 : Dégagement de l’emprise du caniveau
Source : A. Wakil Source : A. Rouchdane
Photo N°9 : Décoffrage des voiles Photo N°10 : Décoffrage des voiles
Source : A. Rouchdane et A. Wakil
REALISATION DES FEUILLURES, TABLIERS OU DALLES
Les feuillures et les dalles sont des éléments plans dosés à 350kg/m 3 qui
reçoivent généralement les charges routières et dont leur emplacement et leur
réalisation respectent les cahiers de charges. La réalisation des dalles et des
feuillures passe par les tâches suivantes :
-Le coffrage : il se réalise après le coulage des voiles de sorte que les
panneaux externes, de largeur égale à celle du caniveau fini, servent de
coffrage pour les dalles et les feuillures. Le coffrage des caniveaux de rues
est mixte car il est constitué de branches et bois de coffrage à la différence
des caniveaux sous- trottoirs. Ensuite, vient la pose des feuillures d’un mètre
(1m) de longueur et de 7cm d’épaisseur ;
-Pose des distanciers et coulage : les distanciers ainsi posés sous le ferraillage
assurent l’enrobage défini. Le coulage des dalles et feuillures peut être réalisé
suite à ces étapes à l’aide d’un béton dosé à 350kg/m3.
3- SECTION TERRASSEMENT
Le terrassement est l’ensemble des travaux de fouille, de transport,
d’entassement de terres pratiqué pour modifier et renforcer le relief d’un terrain
destiné à recevoir un ouvrage.
Les engins utilisés pour les travaux de terrassement sur le chantier sont les
suivants : la niveleuse, la décapeuse, le compacteur de type BOMAG.
A-EXECUTION DE LA COUCHE DE FORME OU DE LA PLATE-FORME
La plate-forme constitue le sol support des assises. Elle correspond le plus
souvent au sol décapé et compacté, éventuellement surmonté d’une couche de
forme ou d’un géotextile en cas de portance insuffisante ou de risque de remontées
de fines argileuses. La portance du sol en place peut aussi être améliorée par le
traitement au ciment. Le sol naturel doit être :
-Décapé totalement de la terre végétale puis compacté dans tous les cas ;
-Terrassé, s’il y a lieu, l’amener à la cote et aux pentes souhaitées (la cote
finale de la plate-forme doit tenir compte de l’épaisseur des assises et de la
couche de surface après compactage). La pente de la plate-forme doit être la
même que celle du revêtement final ;
-Amélioré si nécessaire pour qu’après compactage, la portance du sol soit au
moins égale à la valeur prise en compte dans le dimensionnement.
Photo N°12 : Apport du sable silteux Photo N°13 : Epandage du sable silteux
Source : A. Rouchdane et A. Wakil
Photo N°14 : Epandage du sable silteux
Source : A. Rouchdane et A. Wakil
-L’épandage : c’est une étape qui consiste à répandre du sable silteux sur la
plate-forme préalablement arrosée sans déchets. Une fois répandu, il s’agira de
compacter les matériaux jusqu’à un degré de compactage en concordance avec les
exigences des cahiers de charges. L’épandage a été fait manuellement par les
ouvriers à l’aide de leurs pelles et râteaux.
-Le reprofilage : cette étape commence par l’implantation de l’axe de la
chaussée et des piquets matérialisant le niveau fini des pavés. Ensuite
commence le reprofilage proprement dit qui n’est rien d’autre que l’épandage
du sable silteux suivant une pente transversale de 2,5%. Le reprofilage se fait
par ajout ou diminution de silteux. Une fois le reprofilage achevé, un
nouveau compactage mécanique a été réalisé avec le compacteur BOMAG.
Le travail étant exécuté, le laboratoire peut ainsi réceptionner la plate-forme
en vérifiant si le compactage respecte les normes à l’aide de l’essai de
densité en place.
Le lit de pose
Après réglage de la couche de base, le contrôleur grâce à l’essai de densité
en place vérifie la conformité des résultats à ceux attendus. Parmi tant d’autres,
l’essai de densité en place est un essai qui se réalise sur le chantier au niveau des
différentes couches de la chaussée permettant de déterminer la compacité
supérieure ou égale à 95% d’après les cahiers de charges. A la fin de cette étape, il
est exécuté un lit de pose d’épaisseur 3 cm (couche de sable bien propre et bien
fin) qui reposera sur la couche de base servant de couche d’assise entre les pavés et
la couche de base et facilitant le drainage de l’eau (réalisation d’un profil en toits
pour permettre à toute goutte d’eau de s’écouler de l’intérieur vers les bords). De
façon pratique, la mise en place du lit de pose doit suivre les étapes suivantes :
Bordure T2
Principe de l’essai
Le principe de cet essai consiste à faire passer le matériau à étudier sur une
série de tamis et à secouer l’ensemble afin de connaitre le poids de refus et de
tamisât au niveau de chaque tamis.
Dans le cadre de notre stage nous avons assisté à l’analyse granulométrique
par tamisage de plusieurs échantillons de sol notamment du sable silteux et de la
terre de barre.
Appareillage
L’appareillage de cet essai comprend une balance électronique ; une série de
tamis normalisés; une étuve ; des gamelles ; une brosse à fibres métalliques et une
brosse à fibres en plastique.
Mode opératoire
Le mode opératoire pour la réalisation de l’essai de l’analyse granulométrique
par tamisage peut être résumé en trois grandes étapes à savoir :
Echantillonnage
C’est la première étape de tout essai sur matériau au laboratoire-géotechnique.
Après séchage au soleil du lot de matériau rapporté du terrain, l’ensemble est
mélangé et subit un quartage successif duquel est extraite une quantité
représentative du matériau devant servir aux différents essais. La quantité
représentative ainsi déduite subit un autre quartage. Ce nouveau quartage servira à
réaliser l’analyse granulométrique.
Les résultats des différentes pesées sont reportés sur la feuille d’essai. Ils
permettront de tracer la courbe granulométrique et de calculer les coefficients de
courbure et d’uniformité du matériau.
Avec :
Mc= Masse cumulée de refus en g
Mts= Masse totale sèche de l’échantillon en g
A partir de la courbe granulométrique on déduit la granularité du matériau,
son coefficient d’uniformité et son coefficient de courbure.
La classe granulaire désignée par le terme «granulat d/D » signifie granulat dont
les dimensions s’étalent de « d » pour les petits éléments à « D » pour les grands
éléments. Cette plage « d/D » est applicable dans les conditions suivantes
refus sur tamis de maille « D » et tamisât sous maille « d » inférieurs à
15%
refus sur tamis de maille « 1,56D » égal à 0 ou inférieur à 3% si D >
5mm
tamisât sous tamis de maille « 0,63d » inférieur ou égal à 5% si D ≤
5mm Les coefficients de courbure et d’uniformité renseignent respectivement sur
l’allure de la courbe et sur les tamis. Leurs déterminations se font de la manière
suivante :
D30
2 D60
CC = et CU =
D ×D D
10 60 10
CC = Coefficient de courbure
CU = Coefficient d’uniformité
D10=Diamètre du tamis correspondant à 10% de passant
D30= Diamètre du tamis correspondant à 30% de passant
D60= Diamètre du tamis correspondant à 60% de passant
En somme, il est à remarquer que :
Si CU< 2 la granulométrie est serrée
Si CU>2 la granulométrie est étalée
Un sol est bien gradué si son coefficient de courbure CC est compris entre 1 et 3.
Le module de finesse renseigne sur l’importance des éléments fins dans un
granulat.
Mf = [Somme des refus cumulés en % des tamis (0,16 ; 0,315 ; 0,63 ; 1,25 ; 2,50 ;
5)]/100
Si Mf < 2,2 on dira que le sable est fin ;
Si Mf > 2,8 on dira que le sable est grossier ;
Pour un bon sable à béton, 2,2 < Mf < 2,8.
B- Essai Proctor
L’essai Proctor est un essai qui s’effectue sur les sols de remblai afin de
déterminer la teneur en eau pour laquelle on obtient avec une énergie de
compactage donnée un serrage maximal. On distingue l’essai Proctor Normal et
l’essai Proctor Modifié. L’essai Proctor Normal est réalisé sur les remblais en terre
(bâtiments, digues, barrages) alors que l’essai Proctor Modifié est réalisé pour
déterminer les caractéristiques de compactage des matériaux destinés à constituer
la couche de fondation ou le corps de chaussée des routes. Ces deux essais sont
identiques dans leur principe. Leur différence réside dans les valeurs des
paramètres qui définissent l’énergie de compactage appliquée.
Principe de l’essai
Le principe de cet essai consiste à humidifier un matériau à plusieurs teneurs
en eau et à le compacter pour chacune des teneurs en eau selon un procédé et une
énergie conventionnelle. Pour chacune des valeurs de teneur en eau considérée on
détermine la masse volumique sèche du matériau et on trace la courbe de variation
de cette masse volumique en fonction de la teneur en eau.
D’une manière très générale cette courbe appelée courbe Proctor présente
une valeur maximale de la masse volumique du sol sec qui est obtenue pour une
valeur particulière de la teneur en eau considérée. Ce sont ces deux valeurs qui sont
appelées caractéristiques de compactage Proctor normal ou modifié suivant l’essai
réalisé.
Notons qu’au cours de notre stage nous n’avons exécuté que l’essai Proctor
modifié.
Appareillage
-bacs d’homogénéisation pour préparation du matériau;
-règle métallique pour araser;
-éprouvette graduée;
-truelle;
-pinceau;
-tamis normalisé de 20 mm et tamis de 5mm;
-tare pour la mesure des teneurs en eau;
-moule Proctor Modifié;
-dame Proctor Modifié;
- une étuve ou un réchaud à gaz;
-une balance électronique;
-des récipients hermétiques.
Mode opératoire
-prélever un échantillon représentatif du matériau à étudier ;
-prendre la teneur en eau naturelle de l’échantillon ;
-étuver l’échantillon après s’être rassuré qu’il ne contient pas de micro-organisme ;
-prélever 5 lots de six (06) kg du matériau ;
-humidifier chaque lot à la teneur en eau voulue ;
-monter la base du moule CBR sur son socle et peser l’ensemble ;
-monter la hausse sur le moule CBR et lubrifier les parois intérieures du moule ;
-effectuer l’essai suivant la norme NF P 94-093 (5 couches sensiblement égales, 56
coups répartis en 7coups*8 par couche) ;
-retirer la hausse et araser ;
-peser l’ensemble (moule-socle-contenu), en déduire la masse de sol contenue dans
le moule ;
-démonter le socle, et démouler le matériau.
Principe de l’essai
Les éprouvettes sont chargées jusqu’à rupture dans une machine pour essai de
compression. La charge maximale atteinte est enregistrée et la résistance à la
compression calculée.
Appareillage
-machine d’essai de compression;
-éprouvette de forme cylindrique;
-réchaud à gaz et équipement de protection respiratoire.
Mode opératoire
Au cours de cet essai on attend une résistance à 28 jours au moins égale à la
résistance exigée dans le cahier de charges. Mais souvent l’on conserve les
éprouvettes dans de l’eau jusqu’au jour j de l’essai (Age des éprouvettes au
moment de l’essai : (3, 7, 14, 21, 28, 90 j). La procédure d’écrasement du béton
passe par les étapes suivantes :
-sortir les éprouvettes de l’eau, les sécher et les peser;
-surfacer les éprouvettes avec du soufre;
-positionner les éprouvettes à proximité de la machine d’essai;
-nettoyer les plateaux de la machine d’essai;
-positionner l’éprouvette cylindrique de façon à ce que le chargement s’effectue
perpendiculairement au sens de coulage;
-centrer l’éprouvette sur le plateau inférieur;
-sélectionner une vitesse constante de chargement dans la plage (0,6 ± 0,2) MPa/s
(N/mm2.s) et appliquer la charge;
-suivre l’évolution de l’aiguille et arrêter la charge dès qu’elle redescend vers des
valeurs plus faibles et marquer la valeur maximale en kN;
-Ac est l’aire de la section de l’éprouvette sur laquelle la force de compression est
appliquée.
Mode opératoire
Trois grandes étapes sont à observer pour la réalisation de cet essai. Il s’agit de :
Mesure du volume V1
Après nivellement de la surface sur laquelle s’effectuera l’essai, la plaque de
référence est posée et fixée au sol à l’aide de quatre chevalets. Le densitomètre à
membrane y est ensuite fixé puis le volume V1 entre le densitomètre et la surface
d’essai est mesuré en enfonçant le piston avec une pression bien définie. Cette
mesure est faite grâce au déplacement du vernier le long du piston lorsque ce
dernier est abaissé avec la pression définie. Le densitomètre à membrane est
démonté de la plaque de référence après mesure du volume V1.
Mesure du volume V2
Après que le densitomètre ait été démonté à la suite de la mesure du V 1, un trou
de 12 à 15 cm de profondeur est creusé à travers la cavité de la plaque de référence
puis la totalité du matériau extrait est recueillie et pesée. Le densitomètre à
membrane est à nouveau fixé sur la plaque de référence puis le volume V 2 du vide
entre le densitomètre et le fond du trou est mesuré par le même procédé que
précédemment.
Le volume du trou correspondant au volume de matériau extrait est déterminé
en faisant la différence entre le volume V 2 nouvellement mesuré et V1
précédemment mesuré.
Détermination de la teneur en eau
Pour la détermination de la teneur en eau, le matériau de masse (M) 500 g extrait
est prélevé et chauffé jusqu’à disparition de l’eau qu’il contient puis pesé afin
d’avoir la masse sèche (Ms).
- la teneur en eau :
M − Ms
𝜔 = x 100 Avec
Ms
𝛾ℎ×100
γS = 100+𝜔 Avec
- la compacité :
𝛾𝑑 𝑐𝑎𝑙𝑐𝑢𝑙é
𝐶= 𝛾𝑑 𝑑𝑒 𝑂𝑃𝑀 Avec 𝐶 : La compacité
3-2- SECTION ‘’TOPOGRAPHIE’’
Tableau 2 : Cotes caniveaux (60x60) du PK0 +018 au PK0+067 C/D
Cotes Cote
Bornes/PK Distance LAR LAV Différences Observations
exécutées projet
K 24 0.973 (+) (-)
L’écart entre les cotes théoriques et pratiques pour cette réception étant aussi dans
l’intervalle [-5 ; 5] la réception est acceptée.
3-3- DIFFICULTES RENCONTREES
Ce stage s’est déroulé en parfaite collaboration entre nos encadreurs et nous
ainsi qu’avec les ouvriers. Néanmoins nous avons eu à faire face à certaines
difficultés durant notre stage parmi lesquelles nous pouvons citer :
les problèmes liés aux intempéries (la pluie qui ralentit l’exécution des
travaux) ;
absence d’un contrôleur permanant sur le chantier, ce qui retardait
l’avancement des travaux ;
l’inexistence d’un planning d’exécution des travaux;
l’endommagement de certains tuyaux de la SONEB lors des travaux de
fouilles ;
la destruction de certains poteaux électriques et des câbles électriques par
certains engins.
3-4- SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
Au terme de notre stage très riche en connaissances pratiques et aux nombres
des remarques faites et des difficultés ci-dessus citées, nous souhaiterions qu’à
l’avenir :