Rapport Mouad
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Rapport Mouad
Rapport de stage
Direction d’accueil : MAROC PHOSPHORE 1
SOMMAIR
E
La couverture…... ……………………………………………………………….
Sommaire…………………………………………………………………………..
Liste des Abréviations………………………………………………………..
Remerciements…………………………………………………………………...
Atelier dépannage
Atelier préventif
Atelier entretien électrique
Bureau d’étude
Télécommunication + P.D.R
HT : Haute Tension.
MT : Moyenne Tension.
BT : Basse Tension.
Remerciement
Partie 1
PRESENTATION DE L’ORGANISME
D’ACCUEIL
I. Introduction :
I.1. DEFINITION DU PHOSPHATE :
Le phosphate est extrait sous forme minérale pour être commercialiser pour différant
usage:
* L’Agriculture:
L'activité agricole use et abuse du phosphate élément nécessaire à la vie il est utilisé
pour pousser le rendement des récoltes (logique puisque le phosphate est un des carburant de
la vie végétale) .
* L'industrie et l'usage domestique:
Matière première peu coûteuse le phosphate à plusieurs usages dans le monde. Il est
utilisé le plus couratant sous la forme de lessive et autre produit détergeant (lessive pour lave-
vaisselle ...). Cette utilisation est l'une des plus grandes sources de dérèglement du cycle dans
le monde. Le phosphate a des propriétés détachantes et très intéressantes pour l'industrie des
lessives (il permet aussi de faire briller la vaisselle...) .
leur richesse exceptionnelle en phosphore et par leur proximité relative par rapport aux
ports d’embarquement.
La production des phosphates s’élève à peu près à 21 million de tonnes (Mt) de
phosphate marchand dont près de la moitié de la production est destinée à la transformation
chimique locale pour la fabrication d’acide phosphorique et d’engrais phosphatés.
- Les 4 principaux bassins phosphatés marocains sont :
Oulad Abdoun
Maskala
Gantour, dans la méséta marocaine
Oued eddabah dans le sud
Parmi ces bassins, trois (Oulad Abdoun, Gantour et Oued Eddabah) sont en cours
d’exploitation.
- Fondé le 7 aout 1920 au Maroc, et transformé en une société anonyme en 2008, l’OCP
devient l’un des principaux exportateurs de phosphate brut, d’acide phosphorique et
d’engrains dans le monde entier.
- Principales Dates :
1921 :Extraction souterraine au pôle mine Khouribga.
1931 :Ouverture du centre minier de Youssoufia.
1952 :Mise en œuvre de l’extraction à découvert à Khouribga.
1965 :Démarrage de Maroc chimie I qui fut la première unité de valorisation pour la
fabrication d’acide phosphorique et d’engrais à Safi.
1975 :Création du groupe OCP intégrant les filiales.
1976 :Intégration d’un nouveau centre minier Phosboukrâa.
1976 :Démarrage de Maroc chimie II et Maroc Phosphore I.
1980 :Ouverture de la mine de Benguerir.
1981 :Démarrage de Maroc Phosphore II à Safi.
1986 :Démarrage du site de valorisation de phosphate à Jorf Lasfar (El Jadida).
1998 :Réalisation de l’usine EMAPHOS pour l’acide phosphorique purifié en
partenariat avec la Belgique et l’Allemagne.
1999 :Réalisation de l’usine IMACID de fabrication d’acide phosphorique en
partenariat avec l’Inde.
2003 : L’OCP est devenu le seul actionnaire de Phosboucraâ.
extérieures. De plus, il joue un rôle capital sur le plan socio-économique puisqu’il emploie
environ 20000 personnes dans ses différents centres au Maroc.
- Les phosphates et ses dérivés représentent en 2010, en valeur, près d’un quart des
exportations du pays et approximativement 3,5 % du PIB .
- Depuis 2007, le groupe OCP vise à doubler sa capacité de production annuelle de
phosphates d’ici à 2017 et à tripler sa production d’engrais d’ici à 2020.
D’acide sulfurique a partir du soufre, des ateliers phosphoriques dont la mission est la
Dispose d’un atelier fusion du soufre solide, atelier sulfurique, atelier phosphorique et
une
Administration de Safi :Cette entité comprend tous les services fonctionnels et joue-le
-Atelier DCP.
- Atelier TED :A pour but le traitement des eaux et la production de la vapeur (HP, MP,
BP), l’énergie électrique, et l’air comprimé qui sont utilisés partout dans le complexe.
- Décantation et Filtration
- Déminéralisation
Partie 2
Présentation du service maintenance électrique du
MPI :
1- Atelier de dépannage :
Comme son l’indique, il s’agit d’un entretien qui aurait avant que le
degré d’usure d’un appareil ou d’une de ses parties n’atteigne un point
où les dégâts seraient amplifiés.
Un exemple simple peut illustrer l’intérêt de l’entretien préventif :
Imaginons une pompe pour laquelle un roulement de l’arbre n’a pas été
changé à temps. Le jeu de l’arbre va grandir et peut provoquer
rapidement la détérioration de la turbine, du corps de la
pompe, de l’arbre, de l’autre roulement etc.…
3- Bureau d’études :
Cette section s’occupe des taches primordiales pour la bonne marche des
services. Elle assure la centralisation de la documentation, d’exploitation
et le classement historique des fichiers imprimés qui circulent dans les
services.
Exemple des fonctions assurées par le bureau d’études:
Suivi des matériels immobilisables.
Le classement de tous les documents et plans électriques.
Etude et suivi des installations neuves.
Traitement des dossiers, pièces de rechanges et matériels
électriques.
4- Télécommunication + P.D.R :
Les sections de télécommunication s’occupent des travaux suivants :
Contrôle systématique des appareils téléphoniques.
Dépannage des appareils téléphoniques.
Nouvelles installation des lignes téléphoniques
Armoire d’incendie en cas de défaillance.
Assurer la bonne marche de la centrale téléphonique.
Partie 3
Description du réseau HT de Maroc phosphore I :
b) Fonction à assurer :
La protection doit :
- Agir automatiquement
- Intervenir dans les conditions rendues difficiles par l’accident
- Localiser rapidement et exactement le défaut
- Etre sensible pour pouvoir distinguer l’état d’exploitation normal
d’un état perturbé.
- Avoir un degré de fiabilité élevé.
c) périphérique d’un dispositif de protection :
Un dispositif de protection ne comprend pas seulement des relais de
protection mais également les éléments suivants :
Les capteurs de mesure (TI, TP) qui alimente les circuits d’entrée
des relais de protection, les transformateurs de potentiel (TP) alimentant
les circuits tension des appareils de protection.
Les transformateurs d’intensité (TI) alimentant les circuits intensité
des appareils.
La batterie qui fournit une tension continue auxiliaire et permet
d’alimenter le relais de protection pour faire sa mesure, d’actionner le
relais de déclenchement de l’excitatrice de l’alternateur et le relais
d’alarme.
- protection différentielle.
- Protection contre la charge asymétrique.
- Protection contre le sous excitation.
- Protection contre la surcharge.
- Protection contre le retour de puissance.
- Protection contre les surintensités.
- Protection contre le minimum de tension et de fréquence.
- Défaut a la terre du stator.
- Défaut a la terre du rotor.
pour résoudre des problèmes de tarif. L’effet du relais peut être retarder
avec un relais auxiliaire ou un relais temporisé pour éviter le
déclenchement par le relais dans le cas de brèves pointes de charge. Le
même arrangement est également utilisé pour des alternateurs lorsqu’un
réglage inférieur à 0.7% de la puissance nominale est nécessaire. Ce type
des relais de puissance comprend généralement un disjoncteur1, des
transformateurs de courant 3, un transformateur de tension 2 et un court
circuiteur E (voir schéma).
Protection contre les surintensités: R3AS7k
a) Utilisation :
La protection est utilisée pour détecter les surintensités et les courts-
circuits entre phases c’est une protection supplémentaire du fait de la
présence de la protection différentielle.
b) Fonctionnement : (voir schéma de principe)
Les relais de mesure sont en série et traversés par les courants de
chaque phase, le déclenchement du disjoncteur de l’alternateur et celui
de l’excitation est conditionné par les deux cas suivants :
1er cas :
En cas de surintensité prolongée, les relais surcharge s’excitent et
alimentent le relais temporisé à cet effet, si la surintensité persiste
pendant le temps préréglé le relais provoque le déclenchement du
disjoncteur de l’alternateur et celui de l’excitation.
2eme cas :
En cas de court-circuit les relais à maxi de courant s’excitent et
provoquent instantanément le déclenchement du disjoncteur de
l’alternateur et celui de l’excitation.
a) Constitution :
Le relais se présente sous forme d’un relais de tension .le circuit de
mesure est raccordé de manière qu’il se trouve en résonance à la
fréquence nominale et maintient ainsi le contact en position d’ouverture.
b) Fonctionnement : (voir schéma de principe)
Le relais est réglé à 70v, tension qui détermine son seuil de réponse. a
la résonance, le courant est maximum la tension UR aux bornes du
relais est supérieure à la valeur réglée. Soit 70v, le relais fonctionne à
minimum de tension, il maintient le contact en position d’ouverture .En
cas de baisse de tension, le relais retombe et ferme le contact, celui-ci met
sous tension le relais auxiliaire (K 202) qui provoque le déclenchement
.S’il se produit une baisse de fréquence,l’expression LCW2 = 1 n’est plus
vérifiée, le courant I diminue,ainsi la tension UR diminue donc le relais
retombe et met sous tension le relais (K 202) qui assure le déclenchement
du disjoncteur.
b) Constitution :
Le relais est constitué principalement d’un transformateur
T1 100v/50v incorporé, d’un transformateur intermédiaire T2, d’un pont
redresseur et d’un relais magnétoélectrique (D)
c) Principe de Fonctionnement : (voir schéma de principe)
Pour la détection du défaut à la terre du rotor, on injecte une tension
de 30v à 50v -50hz entre le point neutre de l’excitatrice principale,
l’ensemble du circuit d’excitation et la terre.
Cette tension est injectée dans le circuit en série constitué par la terre,
le relais magnétoélectrique (D) précédé d’un redresseur et du
transformateur (T2), le condensateur(C) pour le blocage du courant
continu, la bobine de couplage (L), les balais de mesure, le relais
ampérmétrique de mesure (e) et le circuit rotorique.
A cette effet, on établit une liaison conductrice entre le circuit
d’excitation tournant et le relais de défaut (RG60) par le dispositif de
descente des balais actionné par l’électro-aimant (A), le contact balais-
bague est effectué en appuyant sur le bouton poussoir PB le relais
ampérmétrique sert à contrôler si la résistance balais bague est faible. Si
c’est le cas, un courant circule à la terre par l’intermédiaire de la
capacité du circuit rotorique. Ce courant est supérieur au seuil de
réponse du relais (e) et provoque son excitation.
Celui-ci attire son contact (e1) qui actionne la signalisation « balais
appliqués » ainsi le personnel assurant le contrôle est informé que le
circuit de mesure est fermé.
En cas de défaut dans le circuit rotorique, le courant provoqué par la
tension alternative du circuit rotorique et la tension injectée dans le
Système de protection croit en fonction de la valeur de la résistance
d’isolement Ri, ainsi il provoque l’excitation du relais (D) par
l’intermédiaire du redresseur et TR2, le relais ferme le contact (d) qui
met sous tension le relais auxiliaire (K 260), celui-ci actionne la
signalisation « défaut à la terre du rotor ». Le courant de défaut est
faible, par conséquent la mise à l’arrêt de l’alternateur n’est pas
nécessaire.
Les relais sont prévus pour la protection des moteurs commandés par
disjoncteurs aussi bien que par contacteur fusible , un commutateur
permettant de mettre hors service la fonction (50) court- circuits et
d’augmenter la temporisation de l’unité homopolaire.
Assure les protections suivantes :
Surcharge thermique
Démarrages trop longs
Blocage rotor
Court – circuits
Déséquilibre, perte de phase
Homopolaire
Autorisation de démarrage ( O° )
Limitation du nombre de démarrages
Alarme, état thermique.
b) Lexique des symboles utilises sur la face avant et réglage: (voir
annexe)
In courant nominal secondaire des TC
Io courant homopolaire
I courant direct
I courant inverse
I seuil de l’unité « inverse »
I >> seuil haut de (court-circuit)
Id courant de démarrage
I LR> seuil de l’unité “ blocage rotor “
I th courant nominal assigné au relais
Io> seuil de l’unité “ homopolaire “
K Réglage „gros“ du courant assigné
K1 Réglage « fin » du courant assigné
Ko Réglage du seuil homopolaire
T Temps de référence pour la fonction (60)
T Temps d’interdiction (démarrage interdit)
Td Temps de démarrage
t (I LR>) Temps de fonctionnement de l’unité « blocage
rotor »
N Nombre de démarrages autorisés pendant t
V aux tension auxiliaire
R ext. Résistance extérieure
S Seconde
Min Minute
A Ampère
Constante de temps assignée au relais
a Constante conseillée.
% Etat thermique
d % Etat thermique au-dessus duquel les démarrages sont
interdits
c) schéma de fonctionnement (voir annexe)
d) Réglage :
Partie 4
Ce chapitre est consacré à la présentation des moteurs asynchrones
triphasés, moteurs les plus utilisés pour l'entraînement des machines.Ces
moteurs s’imposent en effet dans un grand nombre d'applications en raison
des avantages qu'ils présentent : normalisés, ils sont robustes, simples
d’entretien, faciles à mettre en oeuvre et de faible coût.
I.CONSTRUCTION :
Le moteur asynchrone
est constitué de deux
parties :
1-Le stator :
2-Le rotor :
2. Rotor à cage :
proportionnelle aux réactances des cages, qui sont alors grandes devant les
résistances. Dans ces conditions, c’est la cage externe qui est parcourue par
le maximum de courant ; sa relativement forte résistance réduit l’appel de
courant et accroît le couple.
Figure 5 – Rotor à double cage : schéma figure 6 : coupe d'un rotor à cage
à
encoches profondes
en fonction de sa vitesse
IV.CHAMP TOURNANT :
V.GLISSEMENT :
Ce couple est déterminé par le courant qui circule dans la spire et qui ne
peut être que s’il existe une variation de flux dans cette spire. Il faut donc
VI.VITESSE DE SYNCHRONISME :
f : fréquence en Hz,
courant
CONCLUSION :
Pendant cette période de stage ; on a pu avoir une vue détaillée sur le service
de maintenance électrique de MP1- tout en effectuant des visites aux
différents chantiers et postes électriques dans le but d’approfondir nos
connaissances et de les mettre en pratique.
Ce stage ma donné aussi une idée claire sur la méthode à suivre pour la
résolution des problèmes rencontrés au quotidien basée sur l’analyse et
l’éxperience