F 2
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Ex. 3 — Soit f une application de R dans R. Nier, de la manière la plus précise possible, les é́noncés qui suivent :
1.Pour tout x ∈ R f (x) 6 1.
2.L’application f est croissante.
3.L’application f est croissante et positive.
4.Il existe x ∈ R+ tel que f (x) 6 0.
5.Il existe x ∈ R tel que quel que soit y ∈ R, si x < y alors f (x) > f (y).
1
Gymnase Jean Sturm Projet Kepler 2017
Ex. 8 — Soient f, g deux fonctions de R dans R. Traduire en termes de quantificateurs les expressions suivantes :
1.f est majorée ;
2.f est bornée ;
3.f ne s’annule jamais ;
4.f est périodique ;
5.f est croissante ;
6.f n’est pas la fonction nulle ;
7.f n’a jamais les mêmes valeurs en deux points distincts ;
8.f atteint toutes les valeurs de N ;
9.f est inférieure à g ;
10.f n’est pas inférieure à g.
Ex. 10 — Soient R, S et T des propositions. Montrer à l’aide de tables de vérité que les propositions suivantes sont
vraies :
1. R ⇒ (S ⇒ R) .
2. (R ⇒ S) ⇒ ((S ⇒ T ) ⇒ (R ⇒ T
3. (R ∨ S) ⇔ ((R ⇒ S) ⇒ S) .
Ex. 13 — Soient n un entier strictement positif, et pn , s’il existe, le n-ième nombre premier.
1. Montrer qu’il existe une infinité de nombres premiers (considérer p1 p2 · · · pn + 1)
2. Montrer que pour tout entier n strictement positif, pn 6 22
n−1
2
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Ex. 16 — Soit n ∈ N∗ . Soient x1 , . . . , xn+1 des points de l’intervalle [0, 1]. Montrer qu’il existe (i, j) ∈ J1, n + 1K2
1
tel que i 6= j et |xi − xj | 6 .
n
Ex. 17 — Soit (a, b, c) un triplet pythagoricien, c’est à dire un élément de (N∗ )3 tel que a2 + b2 = c2 . On suppose
que a, b et c n’ont pas de diviseur commun. Montrer que c est impair.
Ex. 18 — Dans un plan sont placés 66 points distincts. On trace toutes les droites déterminées par deux de ces points
et on en compte 2012 distinctes. Justifier que parmi ces 66 points, 4 au moins sont alignés.
Ex. 20 — 1. Mon code secret de téléphone portable est composé de quatre chiffres différents et tous non nuls. Quand
j’effectue la somme de tous les nombres possibles que je peux former avec deux de ces quatre chiffres (dans un sens
ou dans un autre), je retrouve mon code. Quel est mon code ?
2. Oups, je m’étais trompé, il faut encore multiplier le résultat par 7 pour trouver mon code. Quel est mon code ?
Ex. 21 — Montrer que pour tout entier n positif, n4n+1 − (n + 1)4n + 1 est divisible par 9.