Sommaire 32
Sommaire 32
Sommaire 32
Remerciements.
Dédicaces.
Liste des abréviations.
Introduction générale ............................................................................................................01
Chapitre I : Cadre théorique de la comptabilité et travaux d’inventaire.
Section 1: Généralités sur la comptabilité...............................................................................
Section 2 : L’harmonisation comptable en Algérie et principes généraux.............................
Section 3 : Généralités sur travaux d’inventaire……………………………………………
Conclusion .............................................................................................................
Chapitre III: Les travaux de fin d’exercice : Application au sein de l’INSIMI et HIMI
Section 1 : Présentation de l’entreprise « INSIMI et HIMI » ................……………………………
Section 2 : déroulement de l’inventaire physique au sein de l’INSIMI ET HIMI………………….
Conclusion générale .............................................................................................................
Bibliographie .......................................................................................................................
Liste des tableaux, figures et schémas ...............................................................................
Annexes ................................................................................................................................
Remerciements.
Tout d’abord, nous tenons à remercier Dieu tout - puissant, de nous avoir donné la force à travers
nos choix de réaliser ce modeste travail.
Dédicaces.
Liste des abréviations.
BA : Base Amortissable.
CNC : Conseil National des Comptable.
CNAN : Compagnie Nationale Algérienne de Navigation.
CIDTA : Code des Impôts Directs et Taxes Assimilées.
CNRC : Centre National du Registre de Commerce.
DA : Dinars Algérien.
DC : Direction Capitainerie.
DL : Direction Logistique.
DR : Direction Remorquage.
DFC : Direction Finance et Comptabilité.
DMA : Direction Manutention et Acconage.
DDD : Direction Domaine et Développement.
DMI : Direction du Management Intègre.
DRH : Direction Ressources Humaines.
EPE: Entreprise Publique Economique.
FIFO : First In First Out.
HT : Hors Taxes.
IFRS : International Financial Reporting Standards.
IAS : International Accounting Standards.
IASC : International Accounting Standards Committee.
IASB : International Accounting Standards Board.
IBS : Impôt sur Bénéfice des Sociétés.
INSIM : Institut International de Management
LCF : Loi de Finances Complémentaire.
ONP : l’Office National des ports.
PCN : Plan Comptable National.
PV : Procès Verbal.
PEPS : Premier Entrer Premier Sorti.
PGC : Plan Comptable Générale.
QHSE : Qualité, Hygiène, Sécurité Environnement.
QTE : Quantité.
RRR : Rabais, Remises, Ristournes.
SCF : Système Comptable Financier.
SO.NA.MA : Société Nationale de Manutention.
SPA : Société Par Actions.
TIAP : Titres Immobilisés de l’Activité de Portefeuille.
TVA : Taxe sur la Valeur Ajoutée.
TTC : Toutes Taxes Comprise.
UGT : Unité Génératrice de Trésorerie.
VMP : Valeurs Mobilières de Placement.
VNC : Valeur Net Comptable.
VO : Valeur d’Origine.
VR : Valeur Résiduelle.
Chapitre I : Cadre théorique de la comptabilité et travaux d’inventaire.
Introduction
Les entreprises progressent dans un environnement de plus en plus délicat et turbulent, les
décisions qui étaient dans le passé plus ou moins faciles à prendre, présentent aujourd’hui plus de
difficultés.
Toute décision, qu’elle soit interne ou externe, nécessite la prise en compte des différents aspects
de cet environnement. L’information prend ainsi une importance accrue pour une bonne prise de
décision, mais la qualité de cette décision dépend de la qualité de l’information sur laquelle on se
base pour la prendre.
La comptabilité constitue un véritable système d’informations qui s’est accaparé une place
essentielle dans le système d’informations générales des entreprises.
Dans cette section, il y a lieu de présenter d’abord la définition de la comptabilité, son rôle, ses
finalités puis son organisation.
A : Définition de la comptabilité.
La comptabilité peut être définie comme : « Une technique de mesure qui constate, enregistre et
mémorise l’activité d’un agent économique, privé ou public, ou de la nation. Elle est destinée à
servir d’instrument d’information à l’agent lui-même ou au public, en vue soit de répondre à
l’obligation légale et fiscale, soit de l’analyse de la gestion et de la prévision. La comptabilité
désigne aussi l’ensemble de livres, de documents comptables d’une entreprise ou d’un particulier
»
La comptabilité constitue l’organe d’une vision pour l’entreprise. Elle doit permettre à tout moment
de donner les renseignements exacts sur sa situation économique.
Pour cela, elle est considérée comme une technique d’enregistrement de toutes les opérations
financières effectuées par l’entreprise au cours de son activité. Ces enregistrements reposent sur
la mise en œuvre des règles, des principes et des éléments de doctrine qui s’appuient sur le plan
comptable, sur la loi et les règlementations comptables nationales et internationales.
B : Le rôle de la comptabilité.
La comptabilité est un système d’information qui enregistre les flux économiques après leur
réalisation, conformément à des principes généralement admis. Le procédé d’enregistrement
retenu permet l’élaboration d’états financiers destinés à présenter une image fidèle du
patrimoine, de la situation financière et du résultat de l’entreprise, à l’usage de différents
utilisateurs.
Elle permet également de procéder à un diagnostic de l’entreprise, d’orienter ses choix de gestion
et d’établir des prévisions sur ses activités ou sur ses besoins.
La comptabilité est à la fois :
La comptabilité générale est une comptabilité financière définie comme un système d’organisation
de l’information financière permettant :
- De saisir, classer, enregistrer des données de base chiffrées ;
- De fournir après un traitement approprié, un ensemble d’informations conformes aux besoins des
divers utilisateurs.
Comptabilité Financière
Inventaire
TraductionComptable
des opérations
courantes
Source : schéma synthétisé par nos soins à partir des données de « cours de comptabilité financière »,
janvier, 2006, p.2.
L’information externe de l’entreprise auprès des clients, des fournisseurs, des banques, de l’État,
des salariés, des actionnaires… etc., avec un souci d’informer et de respecter les obligations
réglementaires.
Comme instrument de mesure de la richesse créée par l’entreprise, la comptabilité fournit les
bases nécessaires à la détermination de divers droits pécuniaires tels que les dividendes des
actionnaires, la participation financière des salariés et les impôts exigés par l’État.
La comptabilité apporte également des éléments quantitatifs permettant de vérifier le respect des
contrats explicites.
D : Un moyen de preuve.
Lors du contrôle des contrats à l’origine de toute transaction, la comptabilité constitue un moyen
de preuve. Le caractère formel et strict des règles permet le respect des trois exigences suivantes :
La gestion comptable peut être envisagée sous trois angles différents selon l’utilisation des
informations que l’on mobilise.
Tableau n° 01 : les trois approches de la comptabilité.
Source : Eric. DUMALANDE, « comptabilité générale conforme au SCF et aux normes IAS/IFRS »,
éditions BERTI, Alger, 2009, p.9.
Source : Eric. DUMALANDE, « comptabilité générale conforme au SCF et aux normes IAS/IFRS »,
éditions BERTI, Alger, 2009, p.10
La comptabilité peut ainsi être perçue comme un ensemble de processus décrivant l’organisation
transversale de l’entreprise.
Investissements Financeme
Immobilisations nt Fond
Corporelles, propres
incorporelles, Endetteme
Financières nt
Trésorerie
Créanc Dettes
es Exploitation
Stocks Produits
Achats
Source : Eric. DUMALANDE, « comptabilité générale conforme au SCF et aux normes IAS/IFRS »,
Éditions BERTI, Alger, 2009, p.11
Les opérations d’exploitation à l’origine des achats, des ventes, et dans le cadre des opérations à
crédit, des créances et dettes, traduisent l’activité courante de l’entreprise.
La trésorerie traduit les encaissements et les décaissements qui accompagnent les opérations
d’exploitation, d’investissement et de financement.
Le cadre conceptuel
« Il peut être considérer comme étant un cadre général qui s’applique à l’ensemble des
entreprises, sans exception, produisant des comptes selon le référentiel International Financial
Reporting Standards « IFRS » et leur permet de se référer aux concepts de base des éléments
traités dans les états financiers ».
Dans ce cadre, les états financiers doivent permettre d’apprécier la situation financière et la
performance de l’entreprise pour que les investisseurs puissent prendre la décision d’investir ou
de désinvestir.
Les principes fondamentaux de l’International Accounting Standards Board «IASB» sont contenus
dans le cadre conceptuel. La norme IAS1 permet de le compléter, en particulier en ce qui concerne
la notion d’image fidèle. La notion de continuité d’exploitation, la comptabilité d’engagement, la
pertinence et l’importance relative.
Le cadre conceptuel classe les principes comptables dans deux catégories, les hypothèses de base
et caractéristiques qualitatives des états financiers.
Selon cette hypothèse, les transactions et les événements sont comptabilisés quand ils se
produisent et ils sont enregistrés dans les livres comptables et présentés dans les états financiers
des exercices auxquels se rattachent.
Les états financiers sont préparés en faisant l’hypothèse que l’entreprise poursuivra ses activités
dans un avenir prévisible. Elle est donc supposée n’avoir ni l’intention ni l’obligation de mettre fin
à ses activités ou de réduire de façon importante la taille de son exploitation.
Les caractéristiques qualitatives sont les attributs que doit revêtir l’information financière qui
rendent, l’information fournie dans les états financiers, utile.
l’intelligibilité.
L’information doit être immédiatement compréhensible par les utilisateurs. Ces derniers sont
supposés avoir une connaissance raisonnable des activités économiques et de la comptabilité et
vouloir étudier l’information d’une façon "raisonnablement diligente".L’IASB précise
« qu’une information ne peut être exclue des états financiers au seul motif qu’elle serait trop
difficile à comprendre par certains utilisateurs ». Pour une meilleure compréhension, les états
financiers doivent être clairement identifiés.
la pertinence.
L’information doit être pertinente, c'est-à-dire de nature à influencer les décisions économiques
des utilisateurs en aidant ceux-ci à évaluer les événements passés , présents et futurs ou en
confirmant ou corrigeant leurs évaluations antérieures.
la fiabilité.
Une information est fiable quand « elle exempte d’erreur et de biais significatifs et que les
utilisateurs peuvent lui faire confiance pour présenter une image fidèle de ce qu’elle est censée
présenter ou de ce qu’on pourrait s’attendre raisonnablement à la voir présenter ».
l’image fidèle.
L’information doit présenter une image fidèle des transactions et autres événements qu’elle vise
à représenter. L’image fidèle implique notamment le respect des règles et des principes
comptables.
l'exhaustivité
Pour être fiable, l'information contenue dans les états financiers doit être exhaustive. Une
omission peut rendre l'information fausse ou trompeuse et, en conséquence, non fiable et
insuffisamment pertinente.
la prudence
La prudence est la prise en compte d'un certain degré de précaution dans l'exercice des jugements
nécessaires pour préparer les estimations dans des conditions d'incertitude, pour faire en sorte que
les actifs ou les produits ne soient pas surévalués et que les passifs ou les charges ne soient pas sous
évalués. Les pertes latentes sont comptabilisées et les gains latents ne sont pas comptabilisés.
Si une information doit présenter une image fidèle des transactions et autres événements qu'elle
vise à présenter, il est nécessaire que ceux-ci soient comptabilisés et présentés conformément à leur
substance et à leur réalité économique et non pas seulement selon leur forme juridique ;
la neutralité
Pour être fiable, l’information contenue dans les états financiers doit être neutre, c’est-à-dire sans
parti pris. Les états financiers ne sont pas neutres si, par la sélection ou la présentation de
l’information, ils influencent les prises de décisions ou le jugement afin d’obtenir un résultat ou une
issue prédéterminé. La neutralité n’a pas pour objet d’orienter la décision des utilisateurs dans un
sens prédéterminé.
la comparabilité
Les différents utilisateurs doivent avoir la possibilité de comparer les états financiers d’une même
entreprise dans le temps. Ceci doit leur permettre « d’identifier les tendances des situation
financière et de sa performance ». Ces même utilisateurs doivent pouvoir comparer des états
financiers des plusieurs entreprises afin d’étudier les variations de leur situation financière.
A : L’organisation comptable
L’objet principal de cette optique est de présenter l’organisation comptable, les outils comptables
ainsi que l’enchainement des travaux comptable
A : Généralité
Au 31/12/N
Du 01/01/N
Compte de résultat
Pour établir ces documents, deux types d’opérations comptables sont effectuées :
Constater dans le compte de résultat un bénéfice ou une perte dégagée par l’activité au cours
de l’exercice écoulé.
Le plan comptable
Le journal est un document obligatoire imposé par le code de commerce. Les opérations y sont
enregistrées chronologiquement, selon le principe de la partie double.
Un formalisme particulier est imposé par le droit comptable pour la tenue du journal car celui- ci
peut être utilisé comme moyen de preuve:
A- Le grand-livre
it
Déb
dit
Cré
« Tout commerçant doit obligatoirement tenir un livre-journal, un grand livre et un livre d'inventaire»
.Le grand livre est un document obligatoire rassemblant les comptes schématiques dits « en T ».
N° du compte et intitulé du compte
Tout enregistrement dans ces comptes se fait à partir d’un document (exemple : bulletins de paye,
factures, chèques…). Et selon le « principe de la partie double » qui doit satisfaire la relation suivante :
La balance est un document facultatif. Il est un moyen de contrôle des enregistrements dans le
grand livre et dans le journal. Toutes les classes y sont inscrites selon l’ordonnancement décimal
du plan comptable.
Cette section est consacré à présenter la normalisation en Algérie et les principes généraux
d’évaluation.
A : La normalisation comptable en :
Le modèle Algérien de normalisation
L’Algérie a adopté un nouveau plan comptable dit Système Comptable et Financier "S.C.F",
cohérent avec les normes comptables internationales" IFRS" qui se substitut au Plan Comptable
National "PCN".
Le SCF concerne toutes les entreprises soumises au Code de Commerce, les entreprises
publiques ou parapubliques, ou d’économie mixte, les coopératives et plus généralement les
entités produisant des biens ou des services marchands ou non marchands, dans la mesure où
elles exercent des activités économiques qui se fondent sur des actes répétitifs. Les très petites
entreprises peuvent être autorisées à ne tenir qu’une comptabilité simplifiée.
La première innovation : porte sur le choix de la solution internationale qui rapproche notre
pratique comptable de la pratique universelle, ce qui permettra à la comptabilité de
fonctionner avec un socle conceptuel et des principes plus adaptés à l’économie moderne et
de produire une information détaillé, reflétant une image fidèle de la situation financière des
entreprises.
La deuxième innovation : elle a trait à une énonciation de manière plus explicite des
principes et des règles devant guider l’enregistrement comptable des transactions, leur
évaluation et l’établissement des états financiers, ce qui limite les risques de manipulation
volontaire ou involontaire des règles et facilite la vérification des comptes.
La troisième innovation : réside dans la possibilité pour les très petites entités d’appliquer
un système d’information basé sur une comptabilité simplifiée.
Le 25 novembre 2007, un exposé sur le projet de loi portant système comptable financier
a été communiqué par le ministre des finances devant la commission des affaires économiques et
des finances, il a précisé que ce texte de loi vient définir le système comptable, les conditions et
les modalités de sa mise en œuvre et corriger les dysfonctionnements relevés dans l'ordonnance
75-35 d'avril 1975 portant Plan Comptable National. Il permet, également, la réforme du système
comptable appliqué depuis 1975, qui n'est plus adapté aux mutations que connaît le pays dans
plusieurs domaines.
L'entrée en vigueur du nouveau système comptable national, prévue initialement en janvier 2009,
a été reportée jusqu'au 1er janvier 2010, dans le cadre de la loi de finances complémentaire de
2008 (LFC), après avoir constaté que l'ensemble des opérateurs économiques ne pourraient pas
être au rendez-vous sur le volet technique
La loi 7-11 DU 15 DHOU EL KAADA 1428 (25 Novembre 2007) portant système comptable
financier fixe le système comptable ainsi que les modalités et les conditions de son application.
Aussi, cette loi est complétée par deux décrets exécutifs et un arrêté : un premier décret porte sur
le "cadre conceptuel" du nouveau SCF, des" conventions comptables de base" et des "principes
comptables fondamentaux". Un second décret vient pour réglementer les systèmes informatiques.
Tandis qu'un arrêté dresse "la nomenclature et les règles de fonctionnement de ces comptes" ainsi
que des "modèles d'états financiers".
La distinction faite entre actifs courants/non courants et entre passifs courants/non courants.
La classification des dettes et des créances par nature, facilite l'analyse financière ;
La définition des classes 2, 3 et 4 reposant sur une optique économique de l'entreprise permet
de présenter l'outil de production, distinguer entre actifs d'exploitation et hors exploitation et
de présenter les biens utilisés en exploitation qui ne sont pas la propriété de l'entreprise ;
Les valeurs mobilières sont incluses parmi les éléments du compte immobilisations
financières. Ce dernier regroupe les titres de participation et les titres de placement ;
La forme du bilan fait référence aux données de l'exercice précédent. Pour permettre de
faire la comparaison, pour la faire il ne faut pas avoir recours aux tableaux explicatifs. L'actif
fait apparaître les masses comme les actifs immobilisés, les actifs circulants, les passifs non
courants et passifs courants. Au niveau du bilan, la situation économique est privilégiée à la
situation patrimoniale ;
La forme retenue pour le compte de résultat présente les données de l'exercice précédent.
Le compte de résultat fait distinction entre le résultat opérationnel et le résultat financier et
fait référence à certains soldes intermédiaires reconnus au niveau international. De plus, le
résultat qui apparaît au compte de résultat est un indicateur de la performance de gestion de
l'entreprise, malgré il inclut des opérations ayant un caractère social et les charges
exceptionnelles ;
Le tableau des flux de trésorerie est permet de faire la distinction entre flux d'exploitation,
flux d'investissement et flux de financement. Par contre, il permet de faire la comparaison
avec l'exercice précédent et nécessaire pour l'analyse financière ;
État de variation des capitaux propres donne une analyse la variation de l'actif net ;
Le SCF traite aussi l'évaluation de certains éléments, comme les actifs et passif en monnaies
étrangers, les événements postérieurs, les prestations et services en cours en fin d'exercice ;
Le nouveau système comptable et financier permet l’évaluation de certains actifs financiers à
la valeur du marché. Cette notion de "juste valeur" s’opposait jusqu'à présent aux principes
fondamentaux de "coût historique " et de "prudence" ;
Le SCF prévoit la prise en compte de la dépréciation ou de la réestimation de la valeur d’un
bien qui modifie sa base imposable. Ces provisions devront être utilisées avec prudence afin
de ne pas fausser le résultat.
Les règles générales d'évaluation et de comptabilisation peuvent être traitées selon les cas.
A : la méthode d’évaluation
Les éléments inscrits en comptabilité est fondée en règle générale sur la convention des coûts
historiques. Cependant il est procédé dans certaines conditions fixées par le présent principe et
pour certains éléments à une révision de cette évaluation sur la base :
A : Le coût historique
Les biens inscrits à l’actif du bilan lors de leur comptabilisation sont constitué, après déduction
des taxes récupérables et des remises commerciales, rabais et autres éléments similaires :
A : Le coût d’acquisition
Un actif est égal au prix d’achat résultant de l’accord des parties à la date de l’opération
déduction faite des rabais et remises commerciaux, majoré des droits de douanes et autres taxes
fiscales non récupérables par l’entité auprès de l’administration fiscale ainsi que des frais
directement attribuables pour obtenir le contrôle de l’actif et sa mise en état d’utilisation.
Les frais de livraison et de manutention initiaux, les frais d’installation, les honoraires de
professionnels tels qu’architectes et ingénieurs constituent des frais directement attribuables.
Sont exclus du coût d’acquisition les frais généraux administratifs et les frais engagés à
l’occasion de la mise en exploitation d’un bien immobilisé pendant la période intérimaire entre la
fin de son installation ( date d’arrêt du cumul des coûts d’entrée ) et son utilisation à capacité
normale.
A : Le coût de production
Un bien ou un service est égal au coût d’acquisition des matières consommées et services utilisés
pour cette production augmenté des autres coûts engagés au cours des opérations de production.
Un actif biologique est évalué lors de sa comptabilisation initiale et à chaque date de clôture à sa
juste valeur diminuée des frais estimés du point de vente, sauf lorsque sa juste valeur ne peut pas
être évaluée de manière fiable. Dans un tel cas, cet actif biologique doit être évalué à son coût
diminué du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur.
Une perte ou un profit provenant d’une variation de la juste valeur diminuée des frais
estimatifs des points de vente est constaté dans le résultat net de l’exercice au cours duquel il se
produit.
A : Stocks et en cours
Ces coûts sont calculés soit sur la base des coûts réels, soit sur la base de coûts prédéterminés
(coûts standards) régulièrement révisés en fonction des coûts réels.
C) Cas particulier des produits agricoles : Les produits agricoles sont évalués lors de
leur comptabilisation initiale et à chaque date de clôture à leur juste valeur diminuée des
coûts estimés du point de vente.
Toutes les entreprises sont tenues de faire l’inventaire annuel des éléments actifs et
passifs composant leur patrimoine.
Cet inventaire consiste à un dénombrement par écrit et par article des biens, créances et dettes
dont le but notamment de donner une image réelle, fidèle et sincère des comptes concernant
l’exercice qui s’achève.
Au point de vue comptable, l’inventaire entraine une série de travaux importants qualifiés
d’inventaire comptable et ayant pour objet l’établissement du bilan et corrélativement la
détermination du résultat de l’exercice.
Diverses sources légales rendent l’inventaire obligatoire.
a- Code de commerce, article 8 et 9: « Elle (la personne physique ou morale ayant la
qualité de commerçant) doit contrôler par inventaire, au moins une fois tous les douze
mois, l'existence et la valeur des éléments actifs et passifs du patrimoine de l'entreprise ».
b- Décret du 29/11/1983, article 6: « L'inventaire est un relevé de tous les éléments d'actif
et de passif au regard desquels sont mentionnées la quantité et la valeur de chacun d'eux à
la date d'inventaire ».
L’importance des travaux de fin d’exercice est évidente, car un bilan déposé engage la
responsabilité des gestionnaires de l’entreprise, vis-à-vis de l’État et des tiers. De ce fait, les
gestionnaires doivent y apporter toute leur attention pour que ces travaux dûment réalisés
traduisent avec sincérité et fidélité la réalité vécue par l’entreprise pendant l’exercice et sa
situation à la date de clôture.
Les travaux ainsi réalisés doivent permettre aux gestionnaires d’apprécier les résultats obtenus et
de procéder à l’analyse et au diagnostic en vue de déterminer les décisions à prendre pour
améliorer la situation de l’entreprise.
Source : Schéma synthétisé par nos soins à partir de « cour introduction à la comptabilité», édition,
DUNOD, Paris, 2007, p 240.
Inventaire physique
Écriture d’inventaire
Comptes annuels
Source : Schéma synthétisé par nos soins à partir de « cour introduction à la comptabilité», édition, DUNOD,
Paris, 2007, p 241.
La balance permet, avant de réaliser les opérations d’inventaire proprement dites, de contrôler
de manière arithmétique la régularité des comptes et la justesse des opérations enregistrées durant
l’exercice comptable.
La balance avant inventaire répondra ainsi tous les comptes avec leur mouvement « débit et crédit »
et fera ressortir pour chacun de ces comptes un solde débiteur et créditeur.
C’est ainsi que la valeur comptable qui apparaît dans cette balance devra être confrontée à deux
types de recherche :
- La réalité physique : C’est l’objet de l’inventaire physique de recensement ;
- La réalité financière : Des écritures d’inventaire devront alors être enregistrées dans le
respect des principes comptables.
En effet, la balance établie en fin d’exercice comptable (Balance avant inventaire présente un certain
nombre d’insuffisances :
- Les soldes des comptes de stocks représentent les existants en début de l’exercice, dans le cas
où l’entreprise adopte la méthode de l’inventaire intermittent.
- Certaines charges et certains produits, se rapportent à l’exercice à venir, d’autres au contraire
n’ont pas été enregistrés faute de pièces justificatives.
- Certains éléments d’actif se sont dépréciés depuis le dernier inventaire ; d’autres ont été
cédés et la régularisation n’a pas été faite.
- Des charges ou des risques dont l’origine est dans l’exercice, ne peuvent être évalués pour
leur montant exact.
Il faut donc compléter les écritures passées au cours de l’exercice, ces écritures venant modifier la
valeur de certains éléments déjà enregistrés. Il sera nécessaire à la fin des opérations d’inventaire de
dresser une nouvelle balance après inventaire, destinée de nouveau à un contrôle des comptes, afin
de déterminer un résultat reflétant la situation exacte.
Source : Réalisé par nos soins à partir de cour « comptabilité financière : préparation des états
financiers et travaux de fin d’exercice », édition CNAM, Novembre, 2011, p.4.
L’entreprise est obligée de faire l’inventaire pour des besoins légaux et peut choisir le type
d'inventaire selon la stratégie qu’elle suit.
L’élaboration du comptage lors de l’inventaire s’effectue suivant des règles de gestion d’écart et de
validation des données et il y a deux moyens possibles pour le faire.
En utilisant des tableaux et ce en s’appuyant sur l’Excel. Tout d’abord il faut diviser le tableau en
différentes colonnes puis ensuite les identifier : une colonne pour la référence du produit, une
deuxième pour sa désignation, une troisième pour le lieu ou le type de stockage, une autre pour les
quantités et enfin une colonne de cumul des stocks. Bien évidement il s’agit là d’un exemple
général, l’entreprise peut par la suite choisir un classement différent qui correspondrait plus à es
activités.
En utilisant des logiciels comptables tels que Ciel ou Sage qui proposent des fonctions variées pour
les marchandises et des extractions Excel ce qui facilite l’élaboration de la feuille de l’inventaire.
Les progiciels de gestion intégrée ou ERP, en revanche, permettent une totale gestion des stocks.
Cependant, l’investissement dans un ERP est relayivement coûteux, raison pour laquelle leur
utilisation est destinée uniquement aux grandes entreprises dont la quantité de stocks est très
importante.
L'inventaire des stocks comprend les matières premières, les marchandises, les produits finis et les
produits en cours de fabrication. Il s'agit de tous les produits non vendus. Il doit être réalisé
obligatoirement au moins une fois par an.
Le but étant de n'avoir aucun écart : 0 produits en trop et 0 produits en moins. Si le résultat montre
des écarts, il faudra alors chercher pourquoi
Inventorier : faire l'inventaire, description détaillée des objets, des biens appartenant à une
personne, à une collectivité
A : Balance après inventaire
Cette balance après inventaire servira également à partir des soldes de différents comptes
adressées les documents de synthèse obligatoire(les états financiers).
Dernière étape, les opérations d’inventaire étant terminées, il conviendra de clôturer
l’exercice et de solder les différents comptes utilisés au cours de cette période comptable.
A : Les documents utilisés
Les documents à utiliser dans les travaux d’inventaire sont en nombre de trois (03) :
A : La carte d’inventaire
La carte d’inventaire se présente en trois volets détachable de différentes couleurs,
pré numérotés, appelés A, B, C, chacun comprend : un numéro, le code de produit, la
dénomination du produit, la quantité comme unité de mesure-nombre, ainsi que le numéro
de l’équipe chargée du comptage et la date de prise d’inventaire.
Conclusion
Pour conclure, la comptabilité est une discipline ancienne qui est considérée comme une
technique d’enregistrement de toutes les opérations financières effectuées par l’entreprise au
cours de son activité. Ces enregistrements reposent toujours sur la mise en œuvre des règles et
principes comptables. Ainsi le plan adopté est basé sur des normes internationales plus
compatibles avec les spécificités économiques du pays.
L’Algérie comme tous les pays, s’est engagée dans une réforme comptable visant à concilier
les traditions existantes et les IFRS, mais cette tentative de conciliation d’une philosophie
comptable basée sur les formalités légales et dominance fiscale de la comptabilité avec un
caractère pragmatique des IFRS crée des conflits.
Les travaux comptables de fin d’année consistent à régulariser la comptabilité des entreprises
: Régularisations des actifs non courants « immobilisations »:
La valorisation ultérieure des actifs a pour objectif la cohérence entre leur valeur
comptable et leur juste valeur, afin que le bilan reflète l’image fidèle de la situation des
immobilisations des entreprises . On doit en particulier tenir compte des dépréciations subies
au fil du temps suite à l’usage, le temps et du changement technique et éviter de surévaluer les
biens, conformément au principe de prudence.
: Les amortissements
A. Notion de l’amortissement
« L’amortissement correspond à la consommation des avantages économiques liés à
un actif corporel ou incorporel est comptabilisé en charge à moins qu’il ne soit incorporé dans
la valeur comptable d’un actif produit par l’entité pour elle-même ».
Le montant amortissable est réparti de façon systématique sur la durée d’utilité de l’actif, en
tenant compte de la valeur résiduelle probable de cet actif à l’issue de sa période d’utilité pour
l’entité et dans la mesure où cette valeur résiduelle peut être déterminée de façon fiable.
Tableau : Quelques éléments amortissables et non amortissables
- Droit au bail
- Marques
Immobilisations corporelles Immobilisations corporelles
- Constructions (20 à 50 ans) - Terrains
- Installations techniques (5 à 10 ans) - Œuvres
- Agencements, aménagements (10 à 20 ans)
- Matériel de transport
- Matériel de bureau, mobilier
- Micro-ordinateurs
Source : réalisé par nos soins à partir de « séminaire : les travaux comptables de fin d’exercice »,
journées de 12au 14octobre 2013à l’Hôtel Lynatel Ouargla, P.12.
Source : réalisé par nos soins à partir des donnés interne à l’entreprise.
C. Généralités
Quelques termes sont d’usage courant en matière d’amortissement : Valeur amortissable (base
amortissable) : ou la base de calcul de l’amortissement d’un actif, est sa valeur brute d’entrée
sous déduction de sa valeur résiduelle. Dans le cas le plus fréquent où la valeur résiduelle est
Valeur résiduelle : est la valeur vénale de l’actif à la fin de son utilisation diminuée des
coûts de sortie (directement attribuables, à l’exception des charges financière et des charges
d’impôt sur le résultat). Le plus souvent, la valeur résiduelle est égale à zéro.
Annuité d’amortissement : ou « dotation aux amortissement »
Chaque année, une immobilisation amortissable perd de la valeur. Cette perte annuelle de
valeur dite « annuité » constitue la dotation aux amortissements.
Elle est calculée ainsi : Annuité = base amortissable*taux d’amortissement.
constante pour tous les actifs de même nature ayant des conditions d’utilisation identiques. Le
mode linéaire est appliqué à défaut de modes mieux adaptés.
Le SCF en conformité à la norme IAS 16, préconise les modes d’amortissements suivants :
- Le mode linéaire.
- Le mode dégressif.
- Le mode des unités d’œuvres ou de production.
- Et une méthode de gestion des immobilisations (la méthode par composants)
A : Le mode d’amortissement linéaire « constant »
Le montant amortissable de l’immobilisation est réparti par fractions égales sur toute sa durée
d’utilisation. L’amortissement est calculé à partir de la date de mise en service, lorsque
l’immobilisation a été acquise en cours d’exercice, l’annuité d’amortissement doit être
calculée au prorata du temps réel d’utilisation pendant cet exercice.
A: Le mode d’amortissement dégressif « système fiscal »
L’amortissement dégressif est la prise en charge d’une immobilisation étalée sur une période
donnée de façon à prendre plus de charges au début qu’à la fin. L’amortissement annuel est
calculé de manière dégressive ou décroissante en appliquant un taux fixe à la valeur restant à
amortir ou valeur résiduelle.
A : Comparaison des deux modes d’amortissements
Le mode linéaire est le mode économiquement justifié. Il dépend de l’utilisation des
avantages acquis au fur et à mesure de sa durée ou de son rythme de consommation. Mais si
un bien ouvre droit à un amortissement dégressif, celui-ci sera traité comme un avantage
fiscal et assimilé à un amortissement fiscal.
Le tableau ci- dessous présente les divergences existantes entre les deux modes.
Tableau : Comparaison des deux modes d’amortissement
Amortissement linéaire Amortissement dégressif *
Cadre Système de droit commun Système réglementé articles 174-2 du
juridiq applicable à toutes code des impôts directs applicable
ue les uniquement aux biens neufs.
immobilisations - Biens d’équipement industriel :
amortissables. machines outils…
- Biens mobiliers et immobiliers
dans l’hôtellerie.
- Immeubles industriels
de
construction légère.
Taux Taux linéaire annuel : Taux dégressif fiscal :
100% 𝑡d: taux linéaire × coefficient fiscal*
𝑡
=
Durée d
′utilisation
Calcul 𝐴 = 𝐵𝐴 × 𝑡 × 𝑛/360 A = VNC × td × m/12
BA : base amortissable. VNC : valeur nette comptable.
de l’annuité Au prorata temporisé, en Au prorata temporisé en mois entier « m
fonction du nombre de ». L’amortissement est calculé à partir du
jours d’utilisation « n » 1er jour du mois d’acquisition et non du
(moins de mois de mise en service.
30 j, années de 360 j).
L’amortissement est calculé
à partir de la date de
mise en
service.
Calcul La dernière annuité doit Pour obtenir une VNC = 0, pratique de
être le complément de la l’amortissement linéaire à la place du
des première annuité pour dégressif, à partir de l’année où le taux
dernières obtenir une VNC = 0. linéaire, calculé sur le nombre d’années
annuités En conséquence, un restant, devient supérieur au taux
amortissement de 5 ans dégressif.
peut concerner 6 années
civiles.
Source : DUMALANEDE. Eric, « Comptabilité générale conforme au SCF et aux normes IAS/IFRS
», éditions Berti, Alger, 2009, p.164-165.
*
: Le coefficient fiscal sont de :
1,5 pour les biens de durée d’utilisation 3 à 4 ans, 2 pour 5 à 6 ans et 2,5 pour Plus de 6 ans.
Ce mode donne lieu à une charge basée sur l’utilisation ou la production prévue de l’actif.
Cet amortissement se base sur les deux éléments suivants :
- La capacité de production prévue par l'immobilisation ;
- La durée du service en production de l'immobilisation.
Le taux d'amortissement annuel correspond à la quantité prévisionnelle d'unités d'œuvre
produites dans l'année sur le nombre prévisionnel total d'unités d'œuvre produites sur la durée
de service du bien.
En plus de ces trois modes d’amortissement, le nouveau référentiel retient une méthode de
gestion des immobilisations (la méthode par composants).
D.4.La méthode des composants :
Lorsqu’une immobilisation est constituée d’éléments dissociables en termes d’utilisation
(notamment leur durée), les différentes composantes doivent être comptabilisées
distinctement et faire l’objet de plans d’amortissements destinés (dés l’origine et lors des
remplacements).Ce cas nécessitant l’utilisation de taux ou de modes d’amortissement propres,
alors la décomposition de l’immobilisation est obligatoire.
B. Constations des amortissements
Source : Réalisé par nos soins à partir de MAESO.M, comptabilité financière « opérations d’inventaire en 28
fiches », DUNOD, 7emeédition, Paris, 2007, P. 31.
Dépréciation
Appauvrissement de Amoindrissement de la
l’entreprise valeur d’un élément d’actif
Chaque entreprise peut opter pour le suivi comptable des stocks, relève d’une décision de
gestion, à savoir l’inventaire intermittent(les stocks sont valorisés une fois par an suite à
l’inventaire physique), au « 31/12 » on doit annuler le stock initial, constatés le stock final et
solder le compte « 38 : achat stockés» ou permanant
L’entreprise utilise l’inventaire permanant qui permet un suivi comptable des stocks et
favorise l’arrêté rapide des situations comptables périodiques. Il s’agit de l’enregistrement des
éléments de stocks au fur et à mesure de leur entrée et de leur sortie de stocks.
A : Dépréciation des stocks
Conformément au principe de prudence, les stocks sont évalués au plus faible de leur
coût et de leur valeur nette de réalisation
31/12/N
6 Dotations aux amortissements provision xxx
85 et perte de valeur-actif courant
Pertes de valeur sur stocks et en cours
xxx
39
Provision de l’exercice précédent supérieur ou égale à la provision actuelle, donc il
y a lieu de diminuer ou annulation de la provision, (la perte de valeur devenue en
tout ou en partie sans objet).
31/12/N
39 Pertes de valeur sur stocks et en cours xxx
785
Reprises d’exploitation sur pertes de xxx
valeur et provisions - actifs courants
L’entreprise n’a pas constaté une reprise d’exploitation sur pertes de valeur et provisions des
stocks.
31/12/2013
685200 Dotation aux amortissements,
provision 9 866 305,70
31/12/2013
Ce sont des charges qui concernent l’exercice comptable, et qui auraient donc dû être
constatées dans l’exercice, mais qui ne l’ont pas été pour des raisons techniques (absence de
document justificatif). Exemple : facture d’électricité et de Gaz, quittance téléphone, Sont
enregistrées dans le compte (468x) « divers- charges à payer ».
Les charges à payer sont inscrites au passif. Chaque Factures Non Parvenues est un passif
certain dont le montant et/ou l’échéance est facilement évaluable. Il faut donc rattacher à
l’exercice en cours les charges non encore facturées mais qui concerne cet exercice.
En chaque fin d’exercice, l’EPB doit enregistrer les charges à payer. En fonction des charges,
un compte de régularisation sera crédité.
Tableau :Comptes concernés par les charges à payer
64 Impôts, taxes et versement assimilés 448 État de charges à payer (hors impôts)
65 Autre charges opérationnelles 468 Divers-Charges à payer
44586 État, TVA sur facture non parvenues
66 Charges financières 16 Emprunts et dettes assimilés
4458 État, TVA sur facture à établir (intérêts courus)
4088 Fournisseurs (intérêts courus)
518 Intérêts courus
519 Concours bancaires courants
709 RRR accordés 419lient créditeurs-RRR à accorder
44587 État, TVA sur facture à établir
Source : réalisé par nos soins à partir de DUMALANEDE. Eric, « comptabilité générale conforme au SCF et aux
normes comptables internationales IAS/IFRES », édition BERTI, Alger, 2009, p.210.
Ce sont des charges qui ont été enregistrées, alors qu’elles concernent en partie ou en
totalité l’exercice suivant. Exemple : la prime d’assurance (616), qui est en général
comptabilisée (et payée) d’avance pour une période de plusieurs mois et souvent d’un an.
Les charges constatées d’avance s’inscrivent à l’actif du bilan. Elles correspondent à
l’enregistrement d’une facture d’achat de marchandises, fournitures ou prestations de service
qui a été reçue avant la livraison ou l’intervention du prestataire, il s’agit des factures reçues,
par un fournisseur à destination de l’EPB, concernant l’année suivante mais qui ont été reçues
et enregistrées dans l’année en cour.
Pour les charges constatées d’avance : il faut donc exclure de l’exercice en cours de clôture,
les charges déjà enregistrées (car la facture est reçue et enregistrées), mais qui concernent
l’exercice suivant
A chaque fin d’exercice, l’entreprise doit enregistrer les charges constatées d’avance sans
TVA. Mais pour cette année n’a pas constaté. Et l’enregistrement est comme suit :
486 Charges constatées d’avance xxx
6x Compte de charge concernés xxx
Régularisation de la charge
Le compte 486 : « charges constatés d’avance » est utilisé pour enregistrer le montant des
charges qui concernent l’exercice N+1.
A l’ouverture de l’exercice suivant, il faut contrepasser l’écriture de régularisation.
I.3.2 : Régularisation des comptes de produits
L’application du principe d’indépendance des exercices amène l’EPB à régulariser
leurs comptes tels que les comptes de produit. Cela permet de connaitre pour chaque exercice
les produits uniquement concernés par un exercice donné et de donner une image la plus
fidèle possible de l’entreprise.
Un produit constitue un accroissement d’avantages économiques, intervenue au cours de
l’exercice, ayant pour conséquence la diminution des capitaux propres.15
A: Les produits à recevoir
Un produit à recevoir est un produit connu avec certitude à la clôture de l’exercice N
mais dont la pièce comptable correspondante n’a pas encore été émise ou reçue.
Les produits à recevoir sont notamment :
- Avoir à recevoir, c'est-à-dire des déductions obtenues par un fournisseur à la suite
d’un retour de marchandise…
- Facture non émise par l’entreprise pour un de ses clients alors que celui-ci a été
livré…
Il faut donc rattacher à l’exercice en cours les produits non encore facturé mais qui concerne
cet exercice.
(intérêt courus)
4188 Client (intérêt courus)
508 Autres valeurs mobilière de placement
et créances assimilés
518 Intérêt courus
409 Fournisseurs débiteurs-RRR à obtenir, 609 RRR obtenus sur achats
autres créances. 619 RRR obtenus sur services extérieurs
629 RRR obtenus sur autres
services extérieurs
44586 État, TVA sur factures non
parvenues
Source : réalisé par nos soins à partir de DUMALANEDE. Eric, « comptabilité générale
conforme au SCF et aux normes comptables internationales IAS/IFRES », édition BERTI,
Alger, 2009, p.212.
31/12/N
7 Le produit concerné xxx
487 Produit constaté d’avance xxx
Régularisation du produit perçus
On conclut alors que les écritures de régularisation des éléments des comptes de gestion
ne prennent en compte que les charges et les produits de l’exercice et eux seuls.
Section 2 : Technique d’établissements des états financiers
Cette partie vise à présenter les états financiers retenus dans la comptabilité dans le cadre du
référentiel comptable. Pour ce faire, il y a lieu de revenir sur les concepts et les principes
généraux sur lesquels est basée la préparation des états financiers. Puis, nous allons donner un
impact des écritures de régularisation aperçu sur chacune de ces états financiers.
Les états financiers s'adressent à des utilisateurs qui en ont besoin comme source
d'informations, et doivent donc être préparés et présentés en vue de satisfaire à leurs besoins.
Les utilisateurs comprennent :19
Les investisseurs qui fournissent les capitaux et ont besoin d'informations sur le risque
et la rentabilité;
Les membres du personnel qui s'intéressent à des informations sur la stabilité et la
rentabilité de l'entreprise, facteurs de garantie de leur emploi;
Les prêteurs qui ont besoin d'informations sur la capacité de remboursement des prêts
et de paiement des intérêts aux échéances prévues;
Les fournisseurs et les autres créanciers qui, comme les prêteurs, sont intéressés par
des informations sur la capacité de l'entreprise de les payer à l'échéance;
Les clients qui sont en relation avec l'entreprise et qui ont un besoin d'informations sur
la continuité de l'entreprise;
Les Etats et les organismes publics dans le cadre réglementaire et politique qui ont
besoin de connaître la contribution des entreprises à l'économie nationale;
Le public qui bénéficie des emplois créés par les entreprises.
C : Les composants des états financiers
Les états financiers doivent être présentés au moins une fois par an. Ils comprennent
en principe un bilan, un compte de résultat, un tableau de variations des capitaux propres, un
tableau de flux de trésorerie (présenté sous la forme d’un tableau de flux de trésorerie ou d’un
tableau d’emplois/ressources), des notes annexes et d’autres états et textes explicatifs qui font
partie intégrantes des états financiers.
Ils s’adressent à des utilisateurs qui en ont besoin comme source d’information, et
doivent donc être préparés et présentés en vue de satisfaire à leurs besoins.
A: Le bilan
Les actifs qui sont destinés à être utilisés d’une manière continue pour les besoins des
activités de l’entreprise tels que les immobilisations corporelles ou incorporelles ;
Ou les actifs détenus à des fins de placement à long terme ou qui ne sont pas destinés à
être réalisés dans les douze mois à compter de la date de clôture.
B :Un passif
Un passif « est une obligation actuelle de l’entreprise résultant d’événements passés et
dont l’extinction devrait se traduire pour l’entreprise par une sortie de ressources
représentatives d’avantages économiques »23. Une obligation est définie dans le cadre
conceptuel comme un devoir ou une responsabilité d’agir ou de faire quelque chose d’une
certaine façon.
L’extinction d’une obligation actuelle implique que l’entreprise abandonne des
ressources représentatives d’avantages économiques afin satisfaire à la demande de l’autre
partie. Le règlement de l’obligation peut s’effectuer de plusieurs façons :
- Un paiement en monnaie ;
- Un transfert d’autres actifs ;
- Une fourniture de services ;
- Le remplacement de cette obligation par une autre obligation ;
- Ou une conversion de l’obligation en part de capital.
Un passif doit être classé en tant que passif courant lorsqu'il satisfait à l'un des critères
suivants:
L'entité s'attend à régler le passif au cours de son cycle d'exploitation normal;
Il est détenu essentiellement aux fins d'être négocié;
Il doit être réglé dans les douze mois après la date de clôture;
L'entité ne dispose pas d'un droit inconditionnel de différer le règlement du passif pour
au moins douze mois à compter de la date de clôture.
Tous les autres passifs doivent être classés en tant que passifs non courants.
B :Les capitaux propres
Les capitaux propres sont définis comme étant l’intérêt résiduel dans les actifs de
l’entreprise, après déduction de tous ses passifs. Donc c’est la différence entre l’actif et le
passif de l’entreprise.
Le bilan se décompose en deux grandes parties : actif et passif.
Tableau : L’actif du bilan.
ACTIF No N N Amort.- N N-1
te Brut Prov. Net Net
ACTIF NON COURANT
Écart d’acquisition (ou
goodwill) Immobilisations
incorporelles Immobilisations
corporelles
-Terrains
-Bâtiments
-Autres immobilisations corporelles
-immobilisations en
concession Immobilisations
en cours Immobilisations
financières
-Titres mis en équivalence
-Autres participations et créances
rattachées -Autres titres
immobilisés
-Prêts et autres actifs financiers
non courants
-Impôts différés actif
Total Actif Non Courant
ACTIF COURANT
Stocks et en cours
Créances et emplois
assimilés Clients
Autres débiteurs
Impôts différés
Autres actifs
courants
Disponibilités et assimilées
Placement et autres actifs
financiers courants
Trésorerie
Total Actif Courant
TOTAL GENERAL ACTIF
Source : Réalisé par nous à partir de : DUMALANEDE E ; BOUBKEUR A ; «
Comptabilité générale » ; 2ème édition Berti ; Alger ; 2009 ; P 225.
A : Le compte de résultat
Le compte de résultat récapitule les produits et les charges qui font apparaître,
par différence, le bénéfice net ou la perte nette de l'exercice. Le compte de résultat fait
apparaître les produits et les charges, distingués selon qu'ils concernent les opérations
d'exploitation attachées aux activités ordinaires, les opérations financières, les opérations
hors activités ordinaires. L’entreprise a le choix entre une présentation par nature des
charges ou bien par fonction.
La présentation du compte de résultat par nature consiste à regrouper les charges et les
produits du compte de résultat selon leur nature (par exemple, dotations aux amortissements,
achats de matières premières, frais de transport, salaires et rémunérations, dépenses de
publicité) et à ne pas les réaffecter aux différents fonctions de l’entreprise.
La présentation par fonction consiste à classer les charges et les produits selon leur
fonction dans les activités commerciales ou administratives (par exemple, le coût des ventes
correspondant aux coût de production des produits vendus ou au coût d’acquisition des
marchandises vendues, frais d’administration et de distribution, les frais de recherche et de
développement. Les informations minima à présenter au compte de résultat sont :
Ces produits des activités ordinaires, c’est -à -dire les ventes et tous les autres produits
que l’entité réalise dans le cadre de son activité ;
Les charges financières;
La quote-part dans le résultat net des entreprises associées et des coentreprises
comptabilisées selon la méthode de la mise en équivalence;
Les charges d'impôt sur le résultat;
Le montant comprenant le résultat après impôt des activités abandonnées et le
résultat de la cession des actifs constituant l'activité abandonnée;
Le résultat attribuable aux intérêts minoritaires;
Le résultat attribuable aux porteurs de capitaux propres de la société mère.
Tableau : Le compte de résultat par nature.
DESIGNATION N N-1
Chiffre d’affaires
Variation stocks produits finis et en
cours Production immobilisée
Subventions d’exploitation
I - Production de l’exercice
Achats consommés
Services extérieurs et autres consommations
II - Consommation de l’exercice
III-VALEUR AJOUTÉE D’EXPLOITATION (I -
II)
Charges de personnel
Impôts, taxes et versements assimilés
IV- EXCÉDENT BRUT D’EXPLOITATION
Autres produits
opérationnels Autres
charges opérationnelles
Dotations aux amortissements et aux
provisions Reprise sur pertes de valeur et
provisions
V- RÉSULTAT OPÉRATIONNEL
Produits
financiers
Charges
financières
VI- RÉSULTAT FINANCIER
VII- RÉSULTAT ORDINAIRE AVANT
IMPÔTS (V + VI)
Impôts exigibles sur résultats ordinaires
Impôts différés (Variations) sur résultats ordinaires
TOTAL DES PRODUITS DES ACTIVITÉS
ORDINAIRES
TOTAL DES CHARGES DES
ACTIVITÉS ORDINAIRES
VIII- RÉSULTAT NET DES
ACTIVITÉS ORDINAIRES
Éléments extraordinaires (produits) (à
préciser) Éléments extraordinaires (charges))
(à préciser) IX- RÉSULTAT
EXTRAORDINAIRE
X- RÉSULTAT NET DE L’EXERCICE
Part dans les résultats nets des sociétés mises
en équivalence(1)
XI- RÉSULTAT NET DE
L’ENSEMBLE CONSOLIDE (1)
Dont part des minoritaires (1)
Part du groupe (1)
Source : Réalisé par nous à partir de : DUMALANEDE E ; BOUBKEUR A ; «
Comptabilité générale » ; 2ème édition Berti ; Alger ; 2009 ; P 227
(1) à utiliser uniquement pour la présentation d’états financiers consolidés
Chiffres
d’affaires Coût
des ventes
MARGE
BRUTE
Autres produits
opérationnels Coûts
commerciaux
Charges administratives
Autres charges
opérationnelles
RÉSULTAT OPÉRATIONNEL
Charges
extraordinaires
Produits
extraordinaires
RÉSULTAT NET DE L'EXERCICE
Part dans les résultats nets des sociétés mises en équivalence
(1) RÉSULTAT NET DE L’ENSEMBLE CONSOLIDE (1)
Dont part des minoritaires
(1) Part du groupe (1)
Source : Réalisé par nous à partir de : DUMALANEDE E ; BOUBKEUR A ; «
Comptabilité générale » ; 2ème édition Berti ; Alger ; 2009 ; P 228.
(1) A utiliser uniquement pour la présentation d’états financiers consolidés.
La norme IAS 7 impose l’élaboration d’un tableau des flux des trésoreries aux
entreprises préparant leurs états financiers conformément aux IFRS. Les flux de trésorerie
résultent des entrées et des sorties de trésorerie et des équivalents de trésorerie. Ils ne
comprennent pas les mouvements entre postes de trésorerie ou d’équivalents de trésorerie.24
La trésorerie comprend les fonds en caisse et les dépôts à vue. Les fonds en caisse
correspondent au poste "disponibilités". La trésorerie comprend également les concours
bancaires courants et les soldes créditeurs de banque.
Les équivalents de trésorerie sont détenus dans le but de faire face aux engagements de
trésorerie à court terme plutôt que pour un placement ou d'autres finalités. Un placement ne
sera normalement qualifié d'équivalent de trésorerie que s'il a une échéance rapprochée, par
exemple inférieure ou égale à trois mois à partir de la date d'acquisition.25
L’état des flux de trésorerie retrace l’évolution de la situation financière au cours d’un
exercice comptable. Il fournit des informations sur les activités d’exploitation, de financement
et d’investissement de l’entreprise, ainsi que sur les effets de ces activités sur sa trésorerie.
Dans le tableau de flux de trésorerie, les flux sont classés en trois catégories :26
B :Les flux liés à l’activité opérationnelle : Il s'agit des flux issus des opérations
d'exploitation. Les opérations d'exploitation recouvrent les principales opérations de l'entité
produisant des revenus ainsi que les autres opérations qu'on ne peut qualifier d'opérations
d'investissement ou de financement.
B :Les flux d’investissement : ce sont les flux de trésorerie en lien avec un mouvement dans
l’actif non courant. Ce sont surtout les dépenses effectuées dans le cadre d’investissements
(incorporels, corporels ou financiers), notamment en terrains, constructions, équipements
mobiliers et financiers. Ces flux prennent également en compte toutes les opérations de
cessions d’actifs non courants.
B :Les flux de financement : ce sont tous les flux liés au mouvement dans les apports de
capitaux propres par les propriétaires ou dans les dettes financières. Il s’agit principalement
des augmentations ou des réductions de capital, du paiement de dividendes aux actionnaires et
de l’obtention, ou du remboursement d’emprunts financiers.
Variation de trésorerie
Source : Réalisé par nous à partir de : DUMALANEDE E ; BOUBKEUR A ; «Comptabilité générale »
; 2ème édition Berti ; Alger ; 2009 ; P 233.
Le tableau de variation des capitaux propres représente l’ensemble des transactions qui
affectent le total des fonds propres de l’entreprise au cours d’un exercice.
La variation globale des capitaux propres au cours d’une période représente le montant total
des produits et des charges, y compris les profits et les pertes, générés par les activités de
l’entité pendant cette période.
Les informations minimales à présenter dans cet état concernent les mouvements liés :
Au résultat net de l’exercice ;
Aux changements de méthode comptables et aux corrections d’erreurs dont l’impact est
directement enregistré en capitaux propres ;
Aux autres produits et charges enregistrés directement dans les capitaux propres dans le
cadre de correction d’erreurs significatives ;
Aux opérations en capital (augmentation, diminution, remboursement…) ;
Aux distributions de résultat et affectations décidées au cours de l’exercice.
Tableau : Tableau d’état de variation des capitaux propres
Désignation Not Capi Prime Écart Écart de Réserves
e tal d’émissi d’évaluati réévaluati et
socia on on on résultat
l
La clôture des travaux de fin d’exercice se fait par la détermination du résultat ainsi que
l’établissement des états financiers qui représente l’objectif finale de l’entreprise , c’est la
phase primordiale qui permet de dégager sa situation patrimoniale et financière nette. Cette
dernière ayant pour objet d’informer l’ensemble des utilisateurs et particuliers de l’entreprise
sur son image fidèle d’une part, et de préparer une situation de base pour l’exercice qui se
suivre, et cela afin de mettre en œuvre tous les moyens matériels et financiers pour la
continuité son activité.
L'inventaire (latin inventus) est une liste exhaustive d'entités considérées comme un patrimoine ou
une somme de biens, matériels ou immatériels, afin d'en faciliter l'évaluation ou la gestion.
Le terme est souvent utilisé dans l'expression « faire l’inventaire » consistant à dénombrer le contenu
d'un stock et effectué régulièrement (au moins annuellement) pour vérifier si la valeur du contenu des
stocks est conforme à ce qui est comptabilisé lors du bilan. Il est généralement effectué à des moments
particuliers : fin d'année ; début de bail (état des lieux) ; fin de vie (inventaire après décès), saisie
immobilière, etc.
Fondé en 1994 à Hydra - Alger (Algérie), l'Institut International de Management (INSIM) est
un établissement spécialisé dans l’enseignement des métiers de la gestion et des nouvelles
technologies de l’information et de la communication (NTIC), agréé par le ministère de la
formation et de l'enseignement professionnels.
INSIM BOUMERDES a été créé en 2010 .C’est une filiale du groupe INSIM, institut
International de Management l’un des tous premiers établissements de formation privé en
Algérie qui a été fondé en 1994 à Hydra-Alger. Agrée par le ministère de la formation et de
l'enseignement professionnels, Il est dirigé par une équipe d’universitaires compétents,
expérimentés et actifs, dont l’ambition est à la mesure de son développement aussi bien
pédagogique avec ses nombreux partenariats locaux et étrangers, qu’au plan géographique par
l’implantation de plusieurs filiales à l’intérieur du pays.il compte ainsi treize filiales
implantées dans les quatre régions .
Adresse :
Lotissement Ain ABDELLAH, Résidence Djurdjra Boumerdes centre (35) Boumerdes /35000
Tél/Fax:024 94 35 08 Email : Pedagogieinsim@gmail.com
APERçU SUR LES ACTIVITES D’ INSIM
INSIM est un établissement spécialisé dans l'enseignement des sciences de la gestion , Il
propose des programmes d’enseignement dans diverses spécialités de différents niveaux
sanctionnés par des diplômes de:
Brevet de Technicien Supérieur (BTS) en partenariats local et international.
Certificat de la maitrise professionnelle (Diplôme d’Etat).
Ses services sont offerts sous différents types de produits :
Formations diplômantes.
Formations qualifiantes.
Formations à la carte et conseil aux entreprises.
Séminaires
Conférences et débats sur des thèmes d’actualité.
Assistance et accompagnement dans la création de projet.
-Formations Diplômantes INSIM :
FORMATION SPECIALITE
2-Formation Qualifiantes :
Formation qualifiantes à la carte (PLD, PMD, PCD)
Conseil et accompagnement des entreprises,
Séminaires sur divers thèmes d’actualité,
Conférences et débats sur des sujets d’actualité.
1-Formations Diplômantes :
FORMATION SPECIALITE
Marketing Management
MASTER OF BUSINESS
Management de Projet
ADMINISTRATION
(MBA) Management Financier
Management de la Santé
Administration des Ressources Humaines
Informatique
2-Formation qualifiantes
FORMATION SPECIALITE
Français
Langues Anglais
Groupes et à la carte Autres….
Certification CISCO
Informatique Bureautique
ICDL
L’ORGANIGRME
ORGANIGRAMMEINSIM/ HIMI
Directeur Technique Directrice des é tudes Directrice des é tudes Directeur Technico- Responsable
INSIM-HIMI HIMI INSIM Commercial INSIM Comptabilité et Finances
BELKHIR Ali BARR Wahiba BOUFENAR Fatima ZAMOUNE Mohammed FARID Yahia
Agents d’entretient
BELLOUCIF Nacera Chargée de Langues
HIDA Naima TALAMALI Angham
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FARID YAHIA