Labo 2 Correction
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Labo 2 Correction
RT :rappel théorique
SR :schéma de montage et rôle des éléments : calculs prévisionels.
MG :mesures et graphiques Cote : sur 20
CO :conclusion
avec
total
MG
CO
SR
RT
4,5 1,5 4 3 13
RAPPORT
Laboratoire d'électronique
Groupe Titre de l’expérience
C5 La diode à l’oscilloscope
Noms Prénoms
Cahier des charges : Prélever la caractéristique en sens passant de trois diodes différentes.
Pensez à bien identifier l’échelle des axes.
2. Rappel théorique
Copier-coller ici le rappel sur la diode du rapport 1 et corriger les manquements.
Rappel : Relation Vmax et Veff, chute dans les diodes, loi d’ohm, ….
3. Schéma de montage
R1 est en R8.
D1 est en D5.
Calculer le courant max pour la valeur de R choisie à partir de la tension efficace (12Veff).
Calculer le courant dit continu avec la valeur moyenne de la tension redressée, ainsi que la puissance
dissipée dans les diodes au départ de la tension et du courant moyen.
R3 est là pour la tension inverse : Pourquoi ? Testez lors du labo sans cette résistance ? C’est le petit plus
du labo.
Grâce aux données ou suite aux calculs, noter les calibres et les réglages de tous les appareils utilisés
(dans certains cas, ne pas oublier de préciser la position des zéros).
4. Mesures et graphiques
-Relever les mesures.
-Tracer les graphiques demandés en indiquant clairement les grandeurs, les unités et les échelles utilisées,
placer les axes du graphique, repérer le zéro, … (utiliser les documents d’aide au graphiques)
- Bien effectuer la conversion tension vers courant (indiquer les calculs)
5. Conclusions
Ce qu'il faut retenir de l'expérience et les difficultés rencontrées au cours de la manipulation (montage et
mesures). Comparer avec la datasheet sur internet de la diode. …. Comparer avec le labo précédent.
(Copier-coller les courbes du labo d’avant, et comparer). ……
Cahier des charges : Prélever la caractéristique en sens passant de trois diodes différentes.
Pensez à bien identifier l’échelle des axes.
2. Rappel théorique
La diode :
La diode est le semi-conducteur de base. Son fonctionnement est assimilable à celui d'un
interrupteur commandé qui ne laisse passer le courant que dans un seul sens.
Une diode ne laisse donc passer le courant électrique que si la tension à ses bornes dépasse la
tension de seuil propre à celle-ci. La tension de seuil est la tension minimale
dont une diode a besoin pour que la jonction dans celle-ci réduise son écart et
puisse ainsi laisser passer du courant. (Schéma 2). Pour une diode dite
« classique », la tension de seuil est généralement égale à 0.7V
L’oscilloscope :
Pour observer un courant à l’aide d’un oscilloscope, il nous faut placer une résistance de 1Ω en
série avec l’objet traversé par le courant dont on souhaite connaitre l’intensité et mesurer aux bornes de la
résistance.
U[V] =R[Ω] x I[A] donc U[V] =1[Ω] x I[A] => I[A]=U[V] / 1[Ω]
Par cette manipulation et la loi d’Ohm, ont aura donc un courant dans la diode qui sera observable
car il sera égal à la tension aux bornes de la résistance en série avec cette même diode
= oscilloscope
-Le générateur permet de fournir un certain courant et de ce fait une tension de 12V alternatifs
- Diode 1 (de redressement de courant) : Celle-ci sert à redresser le courant dans le but d’obtenir un
courant mono-redressé.
- Résistance 2 (120 Ω) : Cette résistance sert de résistance de sécurité pour éviter un courant trop
élevé.
- Résistance 3 (1 kΩ) : Cette diode nous permet d’effectuer des relevés corrects même quand les
diodes sont bloquantes.
- Résistance 1 (1 Ω) : Cette résistance nous sert de résistance de mesure, elle permet de mesurer le
courant le courant en utilisant la formule liée à la loi d’Ohm. On doit donc diviser la tension par la résistance
pour obtenir l’intensité du courant traversant la résistance (et donc la diode). Etant donné que la résistance
est de 1Ω, le courant sera égal à la tension la traversant.
- Diode ? : C’est la diode dont les caractéristiques sont recherchées et ces caractéristiques
apparaissent à l’aide de l’oscilloscope.
Veff : 12V
Rc :
Vmax= Veff*√ 2=12*√ 2=16,97V
Vpic=Vmax-0,7V-0.7V=15.57VCar 2 Diode quand le courant est en direct donc passant
Vmoy=Vpic/π =15,57/π=4.95V
Imoy=Vmoy/R=4.95/121Ohm=0.0409A=40.9mA
Imax=Vpic/R=15,57/121Ohms=0.1286A=128.6mA
Imax :
Imax=Vpic/R=16,27/1=16,27A
Pdissipée :
0.0409A*4.95V=0.202W
Veff : 12V
Vmax= Veff*√ 2=12*√ 2= 16,97V
Vpic=Vmax-0,26V-0.7= 16,01V
Vmoy=Vpic/π=16,01/π= 5,09V
Imoy=Vmoy/R=5,09/1=0.042A= 42mA
Imax = Vpic/R=16.01/121=0.1323A= 132.3mA
Pdissipée :
5.09V*132.3mA= 0.6734W
Oscilloscope :
- Marque : Protek
- Modèle : 20mHz Oscilloscope (6502A)
- Calibres : 50mV/divisions pour l’échelle verticale, 5ms/divisions, les zéros ont été positionné tout en bas
de l’afficheur de l’oscilloscope car nous savions au préalable que nous n’aurions pas de valeurs négative.
Ainsi, la lecture de l’affichage nous a été plus aisée.
1. Mesures et graphiques
Diode 1 (N5408)
––––
U(V)
XY
0.7V
Calculs : f = 1 / 20ms = 50Hz
160mA I(mA)
U (V)
MESURE SUR …………la diode
Echelle verticale :CH1 : ..50 mV/ div
U (V)
XY
I (mA)
250mA
Il nous a également permis de vérifier les caractéristiques des diodes que nous avions observée au 1 er
labo car les relevés des tensions de coude pour les différentes diodes (0.7V pour la ‘’classique’’ et 0.2V pour
la Schottky) correspondent bien aux courbes théoriques vues aux cours ainsi que celles observées dans ce
même premier labo.
1.5
On peut voir sur les relevés du labo
Tension (V)
Les mesures et calculs des puissances dissipées nous ont fait remarquer que la différence entre les
diodes et leur puissance dissipée n’était pas énorme et ne variaient que peu entre celle-ci (0.202W pour la
diode 1N5408 contre 0.673W pour la diode Schottky 1N5822)
Pour la diode 1N5408, nous pouvons remarquer que la mesure de la tension de seuil trouvée en labo 0,76V est
très proche de celle du constructeur.
Pour la Schottky, nous observons que la mesure de la tension de seuil trouvé au labo (0,26V) est, elle aussi,
très proche de celle du constructeur.
Nous pouvons aussi remarquer à quel point un oscilloscope est précis lors des mesures grâce au différentes
échelle disponibles.
On peut alors en déduire que la première diode est une diode « basique » tandis que la deuxième est bien une diode
Schottky.
À l'aide de la caractéristique on peut modéliser une diode passante par l'association d'une force électromotrice
(la tension de seuil) qui s'oppose au passage du courant en série avec une résistance (la résistance dynamique).
On peut remarquer que si la tension mono redressée augmente le courant diminue car la diode subit plus de
tension et donc la résistance moins.