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Le Leadership

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Le Leadership

Qu’est-ce que le leadership?


Le leadership se définit comme la capacité, pour le responsable de l'équipe, d'influencer
contraintes, avec toute la motivation voulue pour atteindre des objectifs communs.

La capacité à exercer un leadership s’acquiert au fil du temps, à la suite d’expériences vécues.


Le leadership peut être positif ou négatif, il peut être une très grande source de motivation pour
l’ingénieur ou encore produire l’effet contraire.

La personne responsable de l’équipe qui veut influencer positivement les membres de son
équipe et les guider vers une vision commune dans l’accomplissement des tâches doit tenir
compte des notions suivantes pour effectuer un travail de qualité, axé sur les résultats :

 un leader se doit de reconnaître son propre style de leadership et de le pratiquer à bon


escient;
 un leader efficace utilise une communication franche et directe avec ses coéquipiers afin
de développer des relations interpersonnelles basées sur la confiance et le respect
mutuels;
 le leader est capable d’influencer positivement les membres de son équipe, il sait
comment vendre ses idées de façon à motiver ses troupes;
 le leader efficace est aussi celui qui guide l’équipe vers la réussite et qui sait offrir
soutien et encouragement au besoin;
 un leader doit avoir une vision d’avenir et il est capable d’anticiper les événements afin
d’être en mesure de bien gérer les changements qui peuvent se produire;
 la personne qui exerce un leadership doit aussi être en mesure de gérer efficacement
les conflits;
 le leader doit être capable de prendre des décisions, de les communiquer adéquatement
et de savoir les faire accepter par les membres de l’équipe.

Le leadership situationnel

La théorie du leadership situationnel, développée par Paul Hersey et Kenneth Blanchard*, est
basée sur le constat qu’un leader possède en général deux visions de la façon de faire pour
superviser des activités en équipe.
L’ingénieur responsable d’une équipe doit prendre conscience qu’il a deux visions potentielles
dans sa façon d’assurer un leadership. Il va mettre ses efforts soit sur les tâches à accomplir
soit sur le contact relationnel avec ses coéquipiers :

 quand il met l’accent sur les tâches, il croit que les membres de son équipe ont besoin
d’un soutien attentif pour accomplir les tâches qui leur sont attribuées.
 quand il croit au contact relationnel, en premier lieu, c’est qu’il considère que :

o les membres de l’équipe ont les compétences et l’autonomie nécessaires pour


bien accomplir leurs tâches;
o les marques de considération ainsi que les témoignages de confiance,
d’encouragement et de reconnaissance sont prioritaires pour augmenter leur
estime de soi lorsque le travail est bien exécuté.

Une compréhension adéquate du leadership situationnel permet au responsable d’équipe de


déterminer l’attitude à adopter pour utiliser de manière optimale ses coéquipiers.

Dans la section suivante, les quatre exemples proposés précisent l’attitude à adopter selon la


composition de son équipe. Un bon leader lit bien les besoins de son équipe, et c’est
fondamentalement lui qui doit s’adapter à l’équipe, et non le contraire.

Quatre tendances innées du leader

Un bon leader doit s’adapter à différentes situations afin d’assumer un leadership de qualité,
tout en prenant conscience qu’il possède a priori une vision subjective du style de leadership
qui doit être appliqué pour son équipe de travail.

Nous proposons au lecteur quatre exemples où chaque style peut être plus efficace pour une
meilleure productivité des membres de son équipe. Selon la maturité de celle-ci, les quatre
comportements attendus du leader sont :

 Être un bon guide

 Être un bon pédagogue

 Être un bon stimulateur dans l’action

 Être un bon délégateur

Des styles de leadership


Il existe plusieurs styles de leadership et ceux-ci sont tributaires des situations dans lesquelles
les leaders se trouvent.

Le leadership directif convient aux situations où les employés ont besoin d’aide et de soutien
pour exécuter leurs tâches. Le leader oriente le groupe vers la tâche à accomplir. Il encourage
et félicite au besoin. Il précise les rôles des employés et la façon dont les tâches doivent être
faites.

Devant certaines situations conflictuelles ou de crise, le gestionnaire devra faire montre


d’un leadership basé sur l’autorité. Le gestionnaire prendra seul les décisions : les employés
n’auront rien à dire et ne seront pas consultés. Il restera, en général, loin de l’équipe et se
mêlera peu à celle-ci. Ce style ne devra être utilisé que pour une certaine période de temps; à
défaut de quoi, les employés pourront devenir démobilisés, puisqu’ils ne se sentiront pas
concernés.

Le leader démocratique mettra l’accent sur les relations entre les employés et sur ce qu’ils
pensent. Ceux-ci sont invités à s’exprimer et à donner leur avis ou même à proposer des
solutions. Le leader devient donc un collaborateur et une personne-ressource à qui l’on peut se
fier.

Il est primordial de bien connaître son propre style de leadership et de l’adapter au besoin,
selon les situations ou les événements qui se produisent.

En résumé

Être un bon leader n’est pas inné, mais on peut apprendre à le devenir. La personne capable de
bien se connaître, qui a conscience de ses forces et de ses points à améliorer, et qui est à
l'écoute des autres, se trouve déjà dans la bonne direction.

Les bons leaders se perfectionnent au moyen d’un processus continu d’éducation, de formation
et d’expérience. Face aux défis que lui-même et son équipe doivent relever, il doit être en
mesure de développer l’art de la mobilisation. Il est capable d’atteindre des résultats de
productivité efficaces en encadrant adéquatement son équipe avec des règles précises, mais
simples.

Le leader est celui qui sait demeurer maître de lui-même dans toutes les situations. Il est
capable de reconnaître les erreurs commises et les utilise comme des moyens d’amélioration.
La personne qui exerce son leadership doit faire preuve de reconnaissance des efforts
déployés et de l’obtention des bons résultats, souligner les bons coups auprès de ses
coéquipiers. S’il est capable de partager sa vision et ses valeurs, le leader pourra obtenir de la
part de son équipe des résultats au-delà de ses espérances.

 Les leaders efficaces sont passés maîtres dans l'art de poser des questions, et ils
savent bien écouter
Rôle du leader: Les sept différents
rôles dirigeants

Vous devez être bien conscient du fait que vous avez,


en tant que leader, une influence sur votre
environnement social et sur votre département. Le
poste que vous occupez n’a pas seulement une
importance hiérarchique, mais il est également lié à
un certain statut. Vos collaborateurs, vos collègues et
vos supérieurs hiérarchiques attendent de vous dans
le rôle du leader un certain comportement.

Aides de travail Gestion des collaborateurs

«Le meilleur manager est celui qui sait trouver les talents pour faire
les choses, et qui sait aussi réfréner son envie de s’en mêler pendant
qu’ils les font.» Theodore Roosevelt

Ces attentes découlent du rôle (cf. Steiger/Lippmann 1999, p. 55s.)


que l’on vous a assigné et que vous devez embrasser afi n de pouvoir
répondre aux exigences y relatives. Votre succès dans le rôle du
leader réside dans votre capacité à répondre aux attentes en adoptant
un comportement ad hoc. Vous ne pouvez évidemment pas connaître
explicitement toutes les attentes que l’on met en vous. Les attentes
résultent d’une dynamique complexe qui s’inscrit dans les tâches, la
structure et la culture de votre entreprise. Vous aussi y ajoutez vos
propres attentes avec vos valeurs, souhaits et représentations
propres.

Les attentes aux gens dans le rôles du


leader doivent être claires

Une tâche importante que vous devez assumer en tant que dirigeant
c’est d’être clair quant aux attentes que l’environnement est en droit
d’avoir à votre égard ainsi qu’à vos compétences dans votre fonction.
Cette démarche est particulièrement importante si vous assumez pour
la première fois le rôle du leader. Il reste bien sûr toujours des zones
obscures dans la pratique et il est presque impossible de formuler à
l’avance et avec précision toutes les facettes des attentes. C’est
pourquoi vous devriez clarifier rapidement vos nouvelles obligations.
Refléxion sur le rôle du leader

Réfléchissez à votre position, à votre niveau hiérarchique, à vos


tâches de gestion, à vos compétences et à vos domaines de
responsabilité. Plusieurs questions en découlent, auxquelles vous
devez répondre. Lorsque quelque chose n’est pas clair, vous devez le
clarifier avec vos supérieurs hiérarchiques. Demandez des précisions,
clarifiez les attentes des autres à votre égard. Vous gagnerez en
assurance et renforcerez votre rôle de leader.

Recommandations de produits

Dirigez avec efficacité vos collaborateurs et vos projets

Tout est prêt – comment vivre le rôle du


leader?
Lorsque les attentes concernant vos tâches et compétences sont
suffisamment clarifiées et que les conditions cadres sont créées, alors
tout est en place pour assumer efficacement votre nouveau rôle
dirigeant. C’est vous qui décidez maintenant comment vous entendez
vivre ce rôle, même face à des résistances et des conditions difficiles.
Il vous faut pour ce faire l’autorité nécessaire pour résoudre des
conflits. Vous serez en effet mis à l’épreuve pendant un certain temps.
La manière dont vous vous identifiez à votre nouveau rôle signifie ipso
facto également garder une certaine distance. Vous devez parvenir à
structurer efficacement le processus de définition du rôle du leader, de
son organisation et de son vécu. Vos collaborateurs, vos collègues,
vos supérieurs hiérarchiques et tous les autres intervenants ont des
attentes à votre égard. Mais ce que vous faites de votre rôle dépend
d’abord de vous-même.

Les différents rôles par le menu

Il n’est pas rare que des leaders définissent leur rôle de manière
spontanée en disant par exemple: «ici, je suis celui qui agit», «je suis
facteur d’intégration», «ici, je suis le décideur». Cette identification est
tout à fait judicieuse pour autant que vous ne vous confondiez pas
avec le rôle. Le mot «ici» dénote le contexte dans lequel vous situez
votre rôle. Vous n’êtes, en tant que chef de département, que
rarement aussi chef sur le terrain de foot. Les rôles peuvent vous
aider à faire face aux différentes situations de gestion.

1. Leader

Votre rôle et votre tâche de leader consistent à diriger vos


collaborateurs. Vous développez la culture d’entreprise et assumez la
responsabilité du développement de vos collaborateurs. Vous êtes
donc également le premier dans l’entreprise à jouer ce rôle spécifique.
Vous suivez l’évolution de vos collaborateurs, vous les aidez à
déployer leurs ressources personnelles, vous les encouragez, les
conseillez et leur donnez un feedback. Vous êtes également, dans
votre rôle de leader, responsable de la sélection et de l’évaluation de
vos collaborateurs. Vous organisez votre équipe comme un dirigeant.
Mais vous n’avez pas besoin de vous mettre systématiquement en
avant pour ce faire. Laissez jouer les solos par les experts de votre
équipe et dirigez l’orchestre baguette à la main. C’est donc votre
équipe que l’on applaudira. En tant que dirigeant, vous n’avez pas
besoin de maîtriser un quelconque instrument; votre instrument, c’est
l’orchestre. Vous indiquez le rythme et veillez à ce que les sons soient
harmonieux. Vous créez un tout à partir de voix et d’instruments
singuliers.

2. Manager

En tant que manager, vous devez fixer les objectifs et convenir des
moyens (tâches) pour les atteindre. Vous gérez tout ce qui peut
s’organiser: de la planifi cation au contrôle des processus, des
structures et des standards en passant par la mise en oeuvre. Vous
vous focalisez d’abord sur la dimension économique de votre action.
En tant que manager, vous possédez les connaissances techniques,
disposez de suffisamment d’expérience et inspirez à vos
collaborateurs sécurité et routine, gage d’efficience et d’efficacité dans
votre domaine de tâches.
3. Responsable de la gestion de l’information

En tant que responsable de la gestion de l’information, vous


rassembler en permanence des données sur les développements
internes et externes. Vous êtes comme un écran radar qui filtre ce qui
est pertinent, évalue son importance pour l’atteinte des objectifs et le
transmet sous forme synthétique et en temps opportun aux
collaborateurs, aux collègues et aux supérieurs hiérarchiques. Vous
devriez pour ce faire constituer un réseau d’informateurs au sein de
l’entreprise ainsi qu’en dehors de celle-ci.

4. Représentant

Dans votre rôle de représentant, vous présentez et représentez votre


entreprise et/ou votre département à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur.
Vous fonctionnez comme une figure symbolique, intervenez dans les
discussions internes et externes, êtes en quelque sorte l’enseigne de
l’entreprise et/ou de votre département puisque vous prenez position
et faites des déclarations pour ces derniers, pour votre équipe et vos
collaborateurs. Il ne s’agit pas ici de votre travail concret, mais de
votre présence qui est de première importance. Dans ce rôle, vous
donnez également à l’extérieur des informations offi cielles sur des
plans, des mesures ou des résultats de votre entreprise.
5. Modérateur

Dans votre rôle de modérateur, vous arbitrez les conflits qui peuvent
naître dans votre équipe et dans l’entreprise ainsi qu’en dehors de ces
dernières. Ces conflits portent sur des questions organisationnelles,
procédurales et communicationnelles. Vous résolvez des problèmes
inattendus qui peuvent surgir dans le processus de travail et
acquerrez une solide expérience pour résoudre les problèmes dans
l’intérêt de tous. Vous intervenez toujours de sorte à ce que les
solutions trouvées soient productives. Vous montrez comment
envisager d’autres manières de résoudre les problèmes et vous les
affinez.

6. Entrepreneur

En tant qu’entrepreneur, vous cherchez des opportunités pour votre


équipe, votre département ou votre entreprise. Vous observez
l’environnement et évaluez si les forces intrinsèques de votre
entreprise représentent des chances ou si, au contraire, vos
faiblesses pourraient présenter un risque. Vous initiez un tournant et
l’indispensable changement dans votre entreprise, tout en conservant
en permanence une vue d’ensemble de votre domaine de
responsabilité.
7. Collaborateur

Etant donné que vous toujours impliqué dans une structure de


décision formelle, vous vous retrouvez également dans le rôle d’un
collaborateur. Ce rôle dépend beaucoup de la position que vous
occupez dans la hiérarchie de votre entreprise. C’est dans le
management supérieur que votre responsabilité et votre influence
seront les plus grandes. Vous devez ici prendre en considération les
exigences des bailleurs de fonds et/ou du conseil de surveillance. Au
niveau du management moyen, vous tenez un rôle de transfert: vos
supérieurs hiérarchiques vous communiquent les objectifs que vous
devez atteindre vous et votre équipe, à vous ensuite d’informer cette
dernière.

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Le rôle du leader, en resumant

La manière dont vous remplissez ces rôles, comment vous pratiquez


l’autogestion, a un impact sur tous les rôles de leader. Si vous
parvenez à être toujours au clair quant au rôle qu’il est nécessaire
d’assumer et dans quel rôle vous vous trouvez, alors vous pourrez
empêcher de possibles conflits. Il est important pour vous de
connaître ces rôles et d’être toujours conscient que vous devez
également les exercer. Si le leader que vous êtes n’assumez pas
votre rôle de gestionnaire avec toute l’effi cacité requise, alors on
conclura que vous faites preuve d’une certaine ineffi cacité dans votre
domaine de responsabilité, ce qui peut engendrer des conflits, des
collaborateurs frustrés et une baisse des performances. C’est
pourquoi vous devez toujours être conscient de vos rôles de gestion
et les remplis au mieux de vos connaissances et de votre conscience.

«Celui qui veut être crédible doit chercher le dialogue.»  Heinz


Goldmann
Identifiez le rôle qui vous semble le plus difficile et exercez-vous à
mieux le remplir. L’auto-réflexion est la condition pour une gestion
efficace des rôles. Un feedback régulier d’un coach professionnel peut
être utile, tout comme celui de votre supérieure hiérarchique, d’un
collaborateur, voire d’un ami ou d’un proche. Etant donné qu’il est
difficile de voir les côtés obscures ou inconscients de votre
personnalité, vous avec besoin d’un miroir, d’une autre personne en
qui vous avez confi ance. L’idéal est de recevoir de différentes
personnes un feedback personnel concernant votre rôle de leader.
Demandez un feedback, car une auto-perception différenciée est la
condition pour un comportement efficace en tant que leader.

Check-list: pour bien gérer ses rôles dirigeants

 Dans quels rôles étiez-vous particulièrement efficace par le


passé? Quelles compétences vous ont aidé à réussir?

 Pour quels rôles avez-vous sciemment opté jusqu’ici?

 A quels rôles avez-vous trop peu prêté attention jusqu’ici?

 Comment situez-vous les interfaces entre ces différents rôles?

 Comment les vivez-vous?

 Y a-t-il des collaborateurs que vous ne voyez et n’acceptez que


dans un ou deux rôles?

 De quoi avez-vous besoin pour vous sentir bien dans tous les
rôles?
 Réfléchissez-vous au type et à la complexité de votre rôle
dirigeant?

 Définissez-vous des exigences spécifiques au leadership avant


de repourvoir un poste?

6 caractéristiques d’un mauvais


leader que tout le monde
déteste
Les 6 caractéristiques d’un mauvais leader que tout le monde déteste! Sont-
elles surprenantes … ou un peu trop familières?
Environnement de travail

Leadership

Christine Chartrand
VP Services-conseils
mardi, avril 07, 2015
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Ce n’est pas tout le monde qui a la chance d’être dirigé par des leaders
compétents. Il est en fait fort possible qu’en ce moment, vous ayez des
frissons à l’idée de devoir revivre vos expériences avec de mauvais
supérieurs  – ou peut-être que vos plaies ont fini par guérir et que vous êtes
désormais en compagnie d’une personne avec un style de leadership
inspirant.

Peu importe si vous étiez exposé à quelqu’un de tel, en avez embauché un ou


même que vous en étiez un vous-même à un moment ou un autre, les
caractéristiques d’un mauvais leader devraient être identifiées afin d’améliorer
ces dimensions de votre entreprise.

Voici quelques caractéristiques d’un mauvais leader qui peuvent sembler


surprenantes… ou un petit peu trop familières.

1. Les mauvais leaders évitent ou ignorent


les conflits
Que ce soit lors d’un conflit direct avec un autre employé ou lorsqu’il est
nécessaire de jouer les médiateurs entre deux partis dans une dispute, un
leader ne devrait pas prétendre que tout va bien et assumer que les choses
vont se régler d’elles-mêmes! Le fait d’éviter les différends ou les situations
déplaisantes peut causer des frustrations accumulées, de l’amertume ou de la
mauvaise communication.
Donc, même si un leader pourrait penser qu’il rend service à tout le monde en
évitant la confrontation, cela peut facilement lui exploser au visage un jour ou
l’autre. Un bon leader saura approcher la situation avec ouverture d’esprit et
une mentalité proactive.

2. Ils jouissent de leur pouvoir au lieu de


responsabiliser les autres
Être dans une position de pouvoir ne veut pas dire qu’on a carte blanche pour
abuser de ce privilège. Un véritable leader fera un effort conscient afin
d’inspirer les autres, investira du temps dans le développement de l’équipe et
aidera ses employés à devenir meilleurs.
Quand le titre ou la position dans le classement monte à la tête, le point focal
passe de la responsabilisation de l’équipe au désir d’amplifier son estime de soi.
Le leadership, ce n’est pas le fait d’exercer un contrôle sur les employés –
c’est plutôt de les guider et de leur donner une direction à suivre afin qu’ils
puissent évoluer et atteindre leur plein potentiel.
La meilleure approche est de définir clairement les attentes et les rôles de
chacun, d’inviter les commentaires et de créer des opportunités stimulantes
pour les autres afin de les aider à déployer leurs ailes. Responsabilisez les
employés afin de pouvoir évoluer ensemble!

3. Ils ne montrent jamais leur vulnérabilité


Les leaders peuvent percevoir leur rôle comme étant puissant, robuste et
invincible et toujours vouloir démontrer un masque de perfection – et cela
peut être plus intimidant qu’inspirant. Ce que plusieurs leaders ne voient pas,
c’est que cette image de puissance si peu réaliste peut être perçue comme
inabordable ou comme ayant une armure magique qui protège ces
personnes des problèmes du quotidien dont les employés souffrent au jour le
jour.
Depuis quand est-ce que la vulnérabilité est une mauvaise chose? Cela
permet à ceux que vous essayez de responsabiliser de voir que vous aussi
êtes susceptible aux erreurs, aux regrets et aux frustrations, et que la critique
et le rejet ont aussi un impact sur votre état d’esprit – bref, que vous aussi,
êtes un être humain!

Montrer sa vulnérabilité peut faire en sorte que vos subordonnés vous


comprennent mieux et donc qu’ils se sentent moins défaits par leurs propres
faiblesses. Mais comme d’habitude, la modération a bien meilleur goût!

4. Ils sont aveugles quant aux forces de


leur équipe
Je ne suis pas certaine sous quelle catégorie de défauts on pourrait classifier
ce trait – peut-être comme étant du mauvais jugement de caractère?
L’incapacité d’identifier le potentiel chez les autres? En tout cas, vous voyez
ce que je veux dire.
Des leaders qui ne savent pas comment, ou en encore ne font pas l’effort
de voir les forces de la main d’œuvre avancent à l’aveuglette. Ils peuvent alors
déléguer les tâches à ceux qui ne sont pas fait pour les accomplir, ou tout
simplement ne pas voir le talent naturel d’un employé lorsqu’il aurait pu être
fort utile pour l’exécution de certaines tâches.
Un bon leader utilise les outils qui révèlent le véritable potentiel des autres, ce qui
non seulement permet de mieux assigner les tâches, mais donne aussi
l’occasion de continuer à motiver les employés et de communiquer avec eux
de la manière la plus efficace possible. Ne pas voir ces réflexes naturels, c’est
ne voir que la pointe de l’iceberg.

5. Les mauvais leaders n’avouent jamais


être responsables
Être un leader veut toujours dire qu’on accepte une certaine part de
responsabilité pour le résultat des projets ou des tâches que l’on doit performer.
Cela veut dire qu’on doit prendre l’initiative plutôt que de placer le blâme sure
les autres ou de se sentir victime. Donc, on doit avouer que le problème est
notre responsabilité et passer à l’action afin de résoudre ou corriger la
situation.
Un bon leader ne fait pas qu’accepter les louanges pour les bonnes choses et
ignorer les mauvaises. Certes, parfois, c’est plus facile à dire qu’à faire! Il est
plus FACILE de pointer les autres du doigt et d’être passif, mais il est
nettement plus productif d’être proactif et vouloir améliorer la situation ainsi
que s’améliorer soi-même. Il faut alors se demander comment on peut
perfectionner sa performance ainsi que celles des autres. Comme un
capitaine qui coule avec son navire, le leader ne devrait pas abandonner son
équipe quand la situation tourne au vinaigre.

6. Ils n’écoutent tout simplement pas


Pour les leaders, il y a plusieurs façons d’écouter. Il ne s’agit pas seulement
d’être silencieux lorsque quelqu’un partage son point de vue; c’est aussi de
faire attention au langage non-verbal, de donner des commentaires aux
autres sur ce qu’ils viennent de partager ainsi que de paraphraser et
confirmer ce qu’ils viennent d’affirmer.
Il y a aussi tout le domaine de la connaissance de soi, la véritable
compréhension de son propre style de communication. Peut-être que vous
êtes un extraverti qui adore avoir tous les projecteurs brandis sur lui et initiez donc
plusieurs discussions par jour. Ou peut-être que vous savez que lors d’une
discussion, vous avez tendance à partir sur des tangentes après 5 minutes.
Peu importe la situation, sachez sur quoi il vous faut travailler en termes de
communication (la manière dont vous vous exprimez et comment vous
écoutez) afin de pouvoir bien entendre ce que votre équipe a à dire.
 
Il est très probable qu’une rencontre avec un mauvais leader ait été
mémorable pour vous. Peut-être que cette personne n’a pas su gérer un
conflit (ou qu’elle n’ait même pas essayé), ce qui a fait escalader les tensions.
Peut-être qu’elle était assoiffée de pouvoir et n’a pas su démontrer sa
vulnérabilité, ce qui a intimidé ses employés.
Elle n’a peut-être pas été en mesure de percevoir les véritables forces de ses
employés, n’a pas écouté de manière active ou encore placé le blâme sur les
autres quand elle aurait dû faire preuve de responsabilité. Peu importe à
laquelle de ces caractéristiques d’un mauvais leader vous ayez eu à
constater, enrôler ou participer, l’utilisation d’outils qui peuvent révéler de telles
tendances est essentielle pour votre organisation.
Est-ce que vous, ou quelqu’un que vous connaissez, a ce qu’il faut pour être
un bon leader?

25 qualités de leadership qui font de vous un


bon leader
1. Qu'est-ce que le leadership?
2. Voici la liste des 25 qualités essentielles de leadership qui aident les dirigeants à mieux réussir
1. 1. L'intégrité
2. 2. Innovateur
3. 3. L'honnêteté
4. 4. L'écoute active
5. 5. La confiance en soi
6. 6. Visionnaire
7. 7. Excellent communicateur
8. 8. La Délégation
9. 9. L'aptitude à la prise de décision
10. 10. Compétences en matière de résolution de problèmes
11. 11. Une attitude juste
12. 12. Inquiétude
13. 13. Autonome et motivée
14. 14. L'humilité
15. 15. S'occuper des autres
16. 16. L'autodiscipline
17. 17. L'intelligence émotionnelle
18. 18. La passion
19. 19. La résilience
20. 20. Responsabilité
21. 21. Soutien
22. 22. Connaissance des technologies
23. 23. L'empathie
24. 24. Apprendre l'agilité
25. 25. Autonomie
3. Note finale!

Si vos actions incitent les autres à rêver davantage, à apprendre davantage, à faire
davantage et à devenir davantage, vous êtes un leader. ~John Quincy Adams

Au fil des décennies, de nombreuses entreprises n'ont pas pu faire face à la concurrence
mondiale. Parmi celles qui ont réussi, la plupart n'ont pas pu maintenir leur position sur le
marché.

Des leaders comme Steve Jobs, Elon Musk et Warren Buffet, grâce à leur vision, leur
détermination inébranlable et leur travail acharné, ont conduit leurs entreprises
respectives vers de grands sommets. Grâce à leurs convictions et à leurs fortes qualités
de leadership, ils ont donné une nouvelle dimension au monde des affaires.

Ce blog, cependant, ne porte pas sur eux mais sur les bonnes qualités de leadership qui
aident les gens à rendre leur grande entreprise, à atteindre la grandeur et à apporter de
nouvelles transformations dans le monde.

Avant de plonger dans les qualités de leadership, comprenons le leadership en bref.

Qu'est-ce que le leadership?


Selon John Maxwell, 'Le leadership, c'est l'influence - rien de plus, rien de moins.'

Warren Bennis l'appelle la capacité à traduire une vision en réalité.

Si vous cherchez le terme "leadership" sur Google, vous trouverez une infinité de


définitions du leadership élaborées par de grands esprits et des leaders.

Après avoir travaillé avec de bons leaders et avoir moi-même occupé une position de
leader, j'ai compris que le leadership peut influencer la foule à croire, à agir et à travailler
avec persévérance pour atteindre le plus grand bien.

Être un bon leader n'est pas une sinécure. Une personne doit posséder des qualités de
leadership efficaces qui l'aident à atteindre des buts et des objectifs plus élevés. Que ce
soit la résistance et la persistance du Mahatma Gandhi ou la vision d'Elon Musk.
Voici la liste des 25 qualités essentielles de
leadership qui aident les dirigeants à mieux réussir

1. L'intégrité

L'intégrité est une qualité essentielle que tout leader doit posséder. Vous ne pouvez pas
diriger une entreprise avec succès si vous manquez d'intégrité. Brian Tracy, auteur de
livres sur le développement personnel, affirme que chaque fois qu'il organise une réunion
d'affaires stratégique, la première valeur sur laquelle tous les cadres s'accordent est
l'intégrité.

Les chefs d'entreprise savent que l'intégrité est le fondement d'un bon leadership et qu'il
faut défendre ses convictions. Quelle que soit la difficulté de la situation, un bon leader
s'inspire de ses principes sans faire de compromis ; il s'abstient de faire de fausses
promesses ou de prendre des raccourcis, préférant la réflexion et l'action d'intérêt
personnel.

Il est nécessaire de tenir lesdites promesses, fondées sur l'éthique et la morale, pour
payer les dividendes à long terme.
2. Innovateur

Un leader innovant n'est pas un génie créatif aux idées stimulantes, mais il donne aux
autres la liberté de développer leurs idées. On trouve toujours des gens qui ont de
grandes idées mais qui n'ont pas la volonté, la détermination et la peur d'agir. Mais les
leaders innovants n'en font pas partie.

Les personnes innovantes sont toujours ouvertes aux nouvelles idées et aux discussions.
Ils écoutent activement tout le monde et motivent également les autres à sortir des
sentiers battus. Cette qualité leur donne un avantage sur les autres car ils sont toujours à
la recherche de créativité et d'innovations. En tant que leader innovant, Steve Jobs lui-
même a déclaré : "Les innovations font la différence entre un leader et un suiveur".
3. L'honnêteté

L'une des qualités essentielles du leadership est la possession de l'honnêteté. On attend


des dirigeants qu'ils fassent preuve d'honnêteté afin de gagner la confiance et le respect
des gens pour leur fiabilité. En outre, nous admirons les personnes qui sont fidèles à leurs
paroles et qui sont responsables.

Ainsi, l'honnêteté est le trait le plus apprécié de tout chef d'entreprise ou de tout
dirigeant en général.

Le leadership peut être défini en un mot : " honnêteté ". Vous devez être honnête avec
les joueurs et honnête avec vous-même. ~Earl Weaver
4. L'écoute active

Les racines d'un leadership efficace résident dans les choses simples, dont l'écoute.
Écouter quelqu'un est une preuve de respect ; cela montre que vous appréciez ses idées
et que vous êtes prêt à les entendre. ~John Baldoni

L'écoute active est une excellente qualité à posséder lorsqu'il s'agit de leadership. Les
bons leaders écoutent les gens avec beaucoup d'attention et de sincérité. Cela les aide à
comprendre les gens et leurs points de vue. L'écoute active renforce la confiance et les
relations à long terme. Les bons leaders communiquent avec soin, se concentrent sur la
personne et le message ; ils n'interrompent pas et reconnaissent ce qui est dit.

Les bons leaders communiquent avec soin, se concentrent sur la personne et le


message ; ils n'interrompent pas et reconnaissent ce qui est dit. Et c'est ce dont le monde
a besoin : des dirigeants qui écoutent leur peuple.

Acquérir cette compétence n'est pas facile ; il faut avoir conscience de soi et faire preuve
d'humilité pour respecter les pensées des autres.
5. La confiance en soi

La confiance en soi est très présente chez les vrais leaders ; ils connaissent donc leurs
compétences et leurs qualités de leadership. Ils sont sûrs de leurs compétences et de
leurs aptitudes à diriger. Ils ont un sentiment d'assurance et d'estime de soi et, surtout,
ils croient qu'ils peuvent faire la différence. Comme l'a dit à juste titre Rosalynn Carter, "il
faut avoir confiance en ses capacités et être assez fort pour aller jusqu'au bout".

La confiance en soi est essentielle pour les dirigeants, car elle leur donne des ailes pour
prendre des risques, atteindre des objectifs et voler haut. Les leaders organisationnels se
prennent en charge eux-mêmes et marchent avec positivité et confiance. Il leur permet
de prendre des décisions immédiates, de résoudre des problèmes et des conflits
organisationnels.

Les bons leaders assument la responsabilité entièrement et s'agissent rapidement sans


passer à côté des problèmes, sans les ignorer ou sans remettre à plus tard.
6. Visionnaire

Un leader doit être visionnaire et avoir plus de clairvoyance qu'un employé. ~Jack Ma

Un dirigeant visionnaire est clairvoyant, motivé et inspiré par ce qu'une entreprise peut
devenir. Les leaders visionnaires travaillent dur pour le bien de tous et se tiennent au
courant du temps et des changements. Assurer une vision de l'avenir avec persévérance
et maintenir tout le monde investi dans le processus, voilà ce que fait un leader
visionnaire. Un leader visionnaire n'hésite pas à prendre des risques et des décisions non
conventionnelles.
7. Excellent communicateur

Une excellente communication est la clé d'un bon leadership. Un leader efficace sait
comment faire passer son message. Il est un bon orateur et communique pour faire son
travail. Ils ne sont pas durs ; ils choisissent les mots et les expressions qui conviennent à
la situation et permettent aux autres d'exprimer leurs pensées et leurs idées.

Ils comprennent combien il est important d'avoir de bonnes capacités de communication.


Ils sont très conscients et apprennent du comportement des autres, ce qui leur donne
une compréhension profonde des complexités humaines.
8. La Délégation

La capacité à déléguer efficacement est une bonne qualité de leadership. Un bon leader
est quelqu'un qui sait déléguer à bon escient et en tirer le meilleur parti. La délégation
est essentielle pour maximiser la productivité et les performances de l'équipe. En outre,
un dirigeant est la personne la plus occupée de toute organisation. Par conséquent,
savoir quand et comment déléguer lui donne plus de temps pour son travail du plus
importance.

De plus, un facteur essentiel à noter ici c'est que la capacité à déléguer ne se limite pas à
déléguer des tâches aux autres. Il s'agit d'également d'avoir conscience et de
comprendre qui possède les compétences et l'expertise nécessaires pour accomplir la
tâche. Une délégation réfléchie est essentielle pour gagner du temps et éviter des
désagréments au futurs.
9. L'aptitude à la prise de décision

Les bons leaders sont décisifs et savent comment aider l'organisation, les employés, les
parties prenantes et les clients.

Vous n'envisageriez jamais un dirigeant qui n'est pas clair et incertain. Les bons
dirigeants sont conscients du fait que leurs décisions peuvent faire ou défaire une
entreprise. Ils évaluent plusieurs fois une circonstance donnée avant d'arriver à une
conclusion. Ils recueillent les informations nécessaires avant de faire des annonces. De
même, ils ne croient pas aux rumeurs mais examinent les situation eux-mêmes ou un
problème avant de prendre une décision.
10. Compétences en matière de résolution de problèmes

Les rôles de leadership ne se limitent pas à la gestion ou à la délégation. Aujourd'hui,


pour tout chef d'entreprise, le spectre des responsabilités de leadership a évolué. Pour le
bon fonctionnement d'une organisation, les dirigeants doivent avoir des compétences en
matière de résolution de problèmes et un œil pour analyser la situation afin de prendre
de meilleures décisions. Lorsqu'il s'agit de leadership efficace, les compétences en
matière de résolution de problèmes sont cruciales.

Les bons leaders ont cette capacité à répondre aux problèmes. Ils sont dotés de la
capacité d'identifier et de définir les problèmes. Ils analysent, utilisent les données et
communiquent pour résoudre les problèmes.

Il est vital pour tout le leader de cultiver des compétences solides en matière de
résolution de problèmes afin d'éliminer les obstacles.
11. Une attitude juste

Nous avons tous des préjugés personnels. Celui qui peut penser et agir au-delà de cette
boucle est ce qui le rend différent de la foule. Ces préjugés sont l'un des facteurs qui
expliquent pourquoi la plupart des dirigeants ne parviennent pas à atteindre des
sommets.

Les bons leaders sont justes envers les employés et les processus de l'organisation. Ils
reconnaissent les points positifs et font toujours en sorte que tout le monde puisse
s'épanouir ensemble.

Ils comprennent que rien de significatif n'a jamais été atteint avec une attitude injuste et
partiale. Et même si c'est le cas, la durabilité du résultat est toujours douteuse.

Les bons leaders font abstraction des préjugés et de l'injustice et créent une culture qui
ne favorise ni ne reconnaît cette attitude.
12. Inquiétude

Avez-vous déjà vu de grands leaders partager leurs histoires et leurs expériences dans
des conférences Ted ? Je suppose que oui. Si ce n'est pas le cas, je vous recommande de
le faire.

Vous vous rendrez compte à quel point ces dirigeants sont bien informés et curieux. Et
qu'ils sont toujours prêts à apprendre de nouvelles choses. Leurs pensées, leurs idées et
leurs perceptions sont uniques et donnent à réfléchir.

La raison est leur curiosité et leur curiosité de la vie. Ils poursuivent des intérêts variés et
s'y investissent constamment. Ils sont ouverts à l'élargissement de leur spectre par l'art,
la technologie et la science. Et, en fait, tout le savoir-faire du monde.

Cette qualité les aide à adopter une attitude rationnelle et positive face à tout problème.
13. Autonome et motivée

Les grands dirigeants du monde des affaires, de l'industrie et de la finance, ainsi que les
grands artistes, poètes, musiciens et écrivains sont tous devenus grands parce qu'ils ont
développé le pouvoir de l'automotivation. ~Napoléon Hill

L'une des caractéristiques essentielles des bons leaders est leur capacité à motiver les
autres. Les bons leaders motivent toujours leurs employés et leur remontent le moral
lorsque cela est nécessaire. Ils mènent leur barque en douceur, même dans des situations
dangereuses. Ils restent motivés et donnent l’exemple aux autres qui suives.
14. L'humilité

Les leaders humbles font les meilleurs leaders. Dans son livre fondateur "Good to Great",
Jim Collins présente des données de recherche approfondies sur la façon dont les
dirigeants humbles et volontaires aident leurs entreprises à se développer et à maintenir
leur position sur le marché.

L'humilité n'est pas le premier trait de caractère qui vient à notre esprit lorsque nous
pensons au leadership. Pourtant, c'est l'une des qualités essentielles d'un bon leader.
C'est parce que l'humilité est souvent éclipsée par la flamboyance des célèbres qualités
de leadership.

Les leaders humbles et volontaires comprennent que le leadership consiste à travailler


pour le bien de tous. Ils dirigent pour transformer, et non pour dominer. Ils sont
conscients de leurs forces et de leurs faiblesses et aspirent toujours à apprendre et à
contribuer davantage.
15. S'occuper des autres

Les meilleurs leaders ont un facteur de considération élevé. Ils se soucient de leurs
collaborateurs. ~Brian Tracy

Les bons dirigeants comprennent la valeur de l'équilibre entre le travail et la vie privée.
Ils savent que la santé et le bien-être des personnes associées à l'organisation jouent un
rôle important dans l'atteinte du succès.

Ils inspirent les membres de leur équipe et veillent à ce que le personnel, les clients, les
bénéficiaires et les consommateurs se sentent en confiance.

Ils comprennent l'importance d'apprécier et de reconnaître les employés et de créer un


respect et une compréhension mutuels au sein de l'organisation.

Ils s'efforcent de leur offrir un environnement où chacun peut s'épanouir.


16. L'autodiscipline

Un bon leadership consiste à développer la discipline chez les autres. Les bons leaders
sont auto disciplinés et ont de bonnes compétences en matière de gestion du temps. Ils
encouragent une culture où les gens sont disciplinés. Il s'agit d'une qualité dans laquelle
les gens peuvent s'adapter avec persistance. Lorsque vous êtes autodiscipliné et que
vous montrez l'exemple, vous incitez les autres à suivre.

Les grands leaders font toujours preuve d'autodiscipline - sans exception. ~John C.
Maxwell

Dans une organisation où tout va vite et où les employés sont accaparés par une charge
de travail considérable, le fait d'être plus discipliné peut aider à mieux réussir et à
maintenir un environnement de travail serein.
17. L'intelligence émotionnelle

L'intelligence émotionnelle est la capacité à identifier, de gérer, d'évaluer et comprendre


ses propres émotions et celles des personnes qui nous entourent.

D'après le psychologue Daniel Goleman, l'IE comporte cinq composantes :

Les bons leaders ont conscience d'eux-mêmes, s'agissent en toute maîtrise, prennent des
décisions calculées sans se laisser emporter. Ils comprennent le point de vue des autres
sans être cyniques.

Ils sont motivés et possèdent de solides compétences sociales, ce qui les aide à établir
des liens et des relations saines-

 une autorégulation
 une empathie
 une motivation et
 des compétences sociales
Ceux-ci expliquent que les bons leaders ont un haut degré d'intelligence émotionnelle.
C'est pourquoi l'IE est l'un des attributs essentiels du leadership.
18. La passion

La passion est un trait de leadership commun aux leaders les plus efficaces du monde
entier. Ils sont très passionnés par leurs buts et objectifs. Ils savent ce qu'ils veulent et
travaillent sans relâche pour y parvenir. Leur passion est contagieuse et très inspirante.
qq ennii

Les dirigeants passionnés augmentent la productivité et veillent à ce que les employés


adhèrent à leur vision. La passion aide les dirigeants à insuffler de la motivation à leurs
employés et contribue à la réalisation de la vision souhaitée.
19. La résilience

Les leaders doivent être assez résistants pour se battre, assez tendres pour pleurer, assez
humains pour faire des erreurs, assez humbles pour les admettre, assez forts pour
absorber la douleur et assez résilients pour rebondir et continuer à avancer. ~Jesse
Jackson

Il faut se comprendre soi-même avant de prendre la responsabilité des autres. Les


leaders résilients sont perspicaces et savent aussi comment se comporter dans toute
situation, bonne ou mauvaise.

Les leaders résilients sont capables de conserver leur niveau d'énergie sous tension et de
réagir à des changements perturbateurs. Ils surmontent également des défis importants
sans avoir un comportement destructeur ou blesser les autres. Les leaders résilients sont
des leaders très performants qui se remettent de toute adversité de manière positive.
20. Responsabilité

Être un leader responsable n'est pas une tâche facile. Cela signifie que vous pouvez
assumer vos engagements et vos promesses. Cela signifie que vous devez répondre des
actions et des décisions prises par vous-même et par ceux que vous dirigez. Les leaders
responsables établissent des objectifs et des cibles clairs. Ils se concentrent sur l'avenir
et reconnaissent également leurs erreurs. Ils demandent de l'aide si nécessaire et
fournissent un retour d'information honnête et constructif.

La responsabilité est la colle qui lie l'engagement au résultat. ~Bob Practor


21. Soutien

Le leadership sans soutien, c'est comme essayer de faire des briques sans assez de paille.
Les vrais leaders renforcent leurs idées et leurs plans grâce à des partenariats
stratégiques, des alliances et des publics qui les soutiennent. ~Reed Markham

Les leaders solidaires donnent les conseils dont vous avez besoin. Les leaders de soutien
vous encadrent et ils vous guident jusqu'à ce que vous ayez besoin de peu ou pas de
supervision à l'avenir. Ils ne croient pas qu'il faille déléguer des tâches et attendre des
résultats immédiats. Ils vous accompagnent dans le processus et vous soutiennent avec
leurs connaissances et leurs expériences. Le leadership de soutien implique d'instaurer la
confiance entre les membres de l'équipe et d'encourager le dialogue pour maintenir
l'esprit d'équipe. Les principes fondamentaux du leadership de soutien sont donc la
promotion du travail d'équipe, l'établissement de relations, et l'engagement.
22. Connaissance des technologies

Pour la transformation numérique, le monde a besoin de leaders compétents en matière


de technologie. Le dirigeant d'aujourd'hui doit comprendre suffisamment la technologie
pour soutenir son entreprise. Les décisions technologiques de l'organisation doivent être
guidées par une stratégie et transformer son expérience analogique en expérience
numérique. La majorité des entreprises du monde entier sont aujourd'hui numériques, et
cette tendance ne fera que croître de manière exponentielle avec le temps. Il est donc
évident que les chefs d'entreprise doivent améliorer leurs compétences technologiques
pour assurer leur pérennité et prendre de meilleures décisions.

Notre réussite future est directement proportionnelle à notre capacité à comprendre, à


adapter et à intégrer les nouvelles technologies dans notre travail. ~Sukant Ratnakar
23. L'empathie

L'empathie est un trait de leadership essentiel qui vous aide à nourrir votre équipe.
L'empathie consiste à comprendre les besoins des autres et ce qui se passe dans leur
esprit. Nous vivons dans un monde où la communication est permanente et où les gens
interagissent très facilement les uns avec les autres. Mais en même temps, les gens sont
moins empathiques les uns envers les autres. Beaucoup communiquent pour s'exprimer
mais pas pour comprendre le point de vue des autres.

Les leaders empathiques sont perspicaces, et ils sont conscients des sentiments et de la
pensée des autres. Être empathique ne signifie pas toujours être d'accord avec les
opinions des autres, mais apprécier et avoir la volonté de comprendre.

Le leadership est une question d'empathie. Il s'agit d'avoir la capacité d'entrer en relation
et de se connecter avec les gens dans le, but d'inspirer et de donner du pouvoir à leur
vie. ~Oprah Winfrey
24. Apprendre l'agilité

Les dirigeants agiles sont ceux qui réagissent le mieux aux changements organisationnels
et à l'incertitude. Aujourd'hui, nous avons besoin de dirigeants qui prennent des
décisions plus rapidement et qui peuvent prendre des mesures immédiates en temps de
crise. Nous vivons dans un monde où tout va très vite, et les tendances professionnelles
évoluent en un rien de temps. Il reste donc peu de temps à tous pour prendre des
décisions calculées. En outre, les stratégies et les politiques qui fonctionnaient bien dans
le passé peuvent être obsolètes aujourd'hui. L'un des exemples les plus visibles est la
crise du Covid-19. Cette crise a modifié le paysage de la culture du travail, et les
dirigeants ont dû trouver de nouvelles stratégies pour combattre la tempête du jour au
lendemain.

L'avenir du travail sera toujours incertain et ambigu. Les événements futurs apporteront
de nouveaux défis. Les organisations actuelles ne pourront prospérer à l'avenir que sous
la supervision de dirigeants capables de donner un sens à l'incertitude.
25. Autonomie

Les grands leaders peuvent donner aux membres de leur équipe les moyens d'atteindre
une productivité maximale et une réussite organisationnelle.

L'autonomisation donne aux membres de l'équipe des possibilités égales de prise de


décision et utilise leur pouvoir de jugement et leur expertise pour élaborer des solutions.
Cela renforce le sentiment de valeur individuelle et l'engagement des employés envers
leur organisation. Chaque individu apporte ses compétences et ses talents qui trouvent
souvent une voie d'écoulement. En général, vous avez des membres d'équipe
compétents, mais le manque d'orientation et de motivation ne leur permet pas de
donner le meilleur d'eux-mêmes.

C'est donc aux dirigeants qu'il revient de favoriser ces compétences en leur donnant les
moyens d'agir. Les bons leaders savent comment libérer les traits positifs des autres. Ils
comprennent que la seule façon d'y parvenir est de les responsabiliser. C'est pourquoi les
dirigeants prennent l'habitude de donner continuellement des moyens aux gens et de
renforcer l'équipe.

À l'aube du siècle prochain, les leaders seront ceux qui donnent du pouvoir aux autres.
~Bill Gates
Note finale!
Tout leader a envie de diriger, d'inspirer et de contribuer au bien commun. Et c'est
pourquoi vous avez besoin des bonnes qualités de leadership pour vous guider. Personne
ne peut posséder toutes ces qualités de leadership.

Ce sont les efforts constants et la confiance en soi-même qui ouvrent la voie. Les leaders
doivent être donc plus attentifs et exercer ces qualités de leadership pour une croissance
durable.

Si vous êtes arrivé jusqu'ici, je présume que vous avez acquis de nouvelles perspectives
sur ces qualités essentielles de leadership.

Si vous avez d'autres idées passionnantes et informatives sur le sujet, écrivez-nous ci-
dessous.

LA BRAVOURE

Définition de  bravoure,  nom féminin


Qualité d'une personne brave.  ➙  Courage,  héroïsme,  vaillance.
 Le contraire  de bravoure: lâcheté, peur, poltronnerie. – Familier : frousse.

Pourquoi Faut-il être courageux ?


Être courageux a des avantages: d'une part, il empêche un pessimisme injustifié, car
les personnes courageuses croient en elles-mêmes et donc en leur propre efficacité.
Les personnes courageuses surmontent aussi plus facilement les difficultés et ne sont
pas découragées par l'adversité.
LE COURAGE FAIT DU BIEN! MAIS PEUT-ON
APPRENDRE À ÊTRE COURAGEUX? 
Le monde est ouvert aux courageux. Ils sont admirés, ils avancent, ils vivent
leur rêve. Il est clair que la plupart d’entre nous souhaiteraient être plus
courageux. La bonne nouvelle est que tu peux apprendre à être courageux en
entraînant ton courage comme un muscle! Pour ce faire, il faut sortir un peu
de sa zone de confort chaque jour et se fixer des tâches que l’on trouve
désagréables au départ et que l’on préférerait en fait remettre à plus tard. Si
tu surmontes ces petits obstacles dans ta vie quotidienne, tu deviendras plus
courageux: de jour en jour! Il est encore plus facile d’être courageux lorsque
ton corps est alimenté de manière optimale.
Qu’est-ce que le courage? 
Faire le parcours à une hauteur de 12 mètres dans les parcours aériens?
Demander au voisin une tasse de sucre et un œuf? Quitter un emploi sûr et
créer sa propre entreprise?
Oui, tout cela est courageux, mais….
Ce qui constitue exactement le courage est défini par chaque individu. Et les
actions que nous percevons comme courageuses sont différentes en
conséquence. Ce qu’ils ont tous en commun, c’est que les personnes
courageuses ne sont pas celles qui n’ont pas peur. Être courageux, c’est
affronter la peur et faire quand même quelque chose.
Le courage et la peur vont de pair. La peur nous avertit de ne pas prendre de
risques inconsidérés et de ne pas se faire mal. Ceux qui sont courageux
connaissent les risques, réfléchissent à ceux-ci et à leurs capacités et prennent
une décision consciente. Il agit, affronte des situations difficiles et fait ainsi
l’expérience de la réussite personnelle.

 Le courage est donc bien plus que l’insouciance ou la frivolité.


 Le courage est le contraire de la lâcheté, de la peur disproportionnée et
du pessimisme injustifié.
 Le courage exige donc la connaissance, la compréhension et une part
d’optimisme.
En principe, cela s’applique à tous les domaines de notre vie, lorsque nous
explorons de nouvelles possibilités, prenons des décisions importantes,
atteignons nos limites et prenons des risques. Si tu es courageux, tu quittes ta
zone de confort, même au risque de rencontrer des difficultés et de te sentir
mal à l’aise au début. Car ce n’est qu’en dehors de la zone de confort que l’on
peut vraiment grandir et apprendre.

Le courage: le moteur du changement


Être courageux a des avantages: d’une part, il empêche un pessimisme
injustifié, car les personnes courageuses croient en elles-mêmes et donc en
leur propre efficacité.

 Les personnes courageuses surmontent aussi plus facilement les


difficultés et ne sont pas découragées par l’adversité. Ils sont plus stables
sur le plan émotionnel.
 Ceux qui sont courageux deviennent actifs – ils n’attendent pas que
quelque chose se passe, paralysés par les difficultés passées, mais
saisissent les occasions qui se présentent.
 Les personnes courageuses sont aussi souvent plus ouvertes,
extraverties et indépendantes.
Sans courage, il n’y a pas de sincérité, pas de créativité, pas d’innovation, et
donc pas de croissance. Le courage est le moteur du changement. Voici la
meilleure nouvelle: tu peux apprendre à être courageux! Ce n’est pas inné, mais
une question de volonté. C’est pourquoi les psychologues comparent le
courage à un muscle: si tu l’entraînes, il se développe, et avec lui ta confiance
et ton assurance.
Sois courageux! Des petits pas pour atteindre de
grands objectifs 
Le premier pas vers plus de courage ne doit pas nécessairement être un saut
géant dans l’inconnu. Il suffit de faire une chose qui pourrait te mettre un peu
mal à l’aise. Ce qui est génial, c’est que tu peux le pratiquer tous les jours, tu as
une infinité de possibilités et plus tu maîtrises ces petits défis à ton rythme,
plus ton compte de courage augmente! Plus facilement tu franchis le prochain
obstacle.
À propos: l’esprit et le corps vont de pair et s’influencent mutuellement. Les
pensées tristes nous poussent à baisser un peu la tête et renforce à son tour
une humeur négative. C’est pourquoi la règle pour être courageux est: épaules
en arrière, poitrine en avant et tête en haut! Ouvre ton corps et tes yeux, il te
sera alors plus facile d’être plus ouvert et d’agir plus courageusement.
Fais encore plus de bien à ton corps: 330ML FOREVER ALOE VERA GEL™ (art.
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pour tous ceux qui ont de grands projets! Le gel d’Aloe Vera pur à 99,7%
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guarana, de l’Aloe Vera et de la formule d’un délicieux mélange d’herbes: de la
puissance pure en canette! Naturellement sans calories, sans sucre et sans
glucides.
Comment entraîner ton muscle du courage 
 Parle un peu plus fort que d’habitude et adopte une attitude plus
ouverte
 Pose une question que tu aurais autrement évité de poser.
 Termine une conversation quand tu le sens nécessaire, même si ton
interlocuteur aimerait continuer.
 Ne va pas toujours dans ton café préféré, mais essaie toujours quelque
chose de nouveau.
 Va au cinéma ou va au restaurant seul de temps en temps, même si tu te
sens plus à l’aise en compagnie.
 Regarde les personnes dans les yeux.
 Dis ce que tu penses, même si cela te met mal à l’aise et que tu préfères
te taire.
 Demande l’heure ou le chemin à un inconnu.
Pour être sûr de mettre tes bonnes intentions en pratique, tu peux te fixer des
délais. La règle des 72 heures, issue de la psychologie, indique que dans les 72
heures qui suivent, tu devrais mettre en œuvre une idée, sinon tu ne le feras
probablement plus. Par conséquent: vas-y tout de suite!
Chaque début est difficile. Avec le temps, et plus tôt que tu ne le penses, être
courageux devient amusant! Cela deviendra de plus en plus facile et,
finalement, tu atteindras des objectifs dont tu n’aurais jamais osé rêver!

Le boost de courage fait vraiment du bien! 


Avec plus de courage, nous surmontons les blocages et les inhibitions et
devenons en même temps plus indépendants des opinions et des jugements
des autres, car nous faisons ce que nous voulons. Parce que de toute façon,
nous ne pourrons pas satisfaire tout le monde. Le courage nous aide également
à mettre de côté notre perfectionnisme, qui est à nouveau une forme
d’obtention de la reconnaissance des autres. Au contraire, nous pouvons mieux
gérer les erreurs et en tirer des leçons.

Comment reconnaître une personne courageuse ?

On reconnaît une personne "courageuse" au fait qu'elle accomplit des actions que n'ont pas
l'audace de faire la majorité des gens. A noter toutefois que ce comportement ne se
retrouve pas nécessairement à travers toutes les situations. J'ai eu en thérapie un
informaticien qui venait parce qu'il était extrêmement timide et n'osait pas aller à la réunion
des parents, mais faisait du parachutisme comme hobby. Personnellement je n'ai jamais eu
peur d'aller à une réception, mais je n'oserais pas sauter en parachute...

Comment devenir brave ?


Pour devenir plus courageux, vous devez prendre des risques, parfois vous réussirez et
parfois vous échouerez. La capacité à prendre des risques et à accepter les échecs
potentiels peut vous aider de manière significative à stimuler votre assurance et votre
courage dans le futur.

Comment se manifeste le courage ?

On reconnaît généralement dans le courage une disposition à affronter ses peurs, à


faire face au danger de manière résolue et volontaire. C'est l'élan qui pousse à
s'engager dans l'action malgré le risque.

Pourquoi j'ai pas de courage ?


De la fatigue accumulée, le changement de saison, des périodes stressantes, des
changements qui demandent beaucoup d'adaptation ou de flexibilité… Les raisons
peuvent être aussi variées que nombreuses. On se sent dépassée, désintéressée et on
ressasse souvent les mêmes idées négatives ou dévalorisantes.

Comment devenir plus courageux


Identifier ses peurs 

Développer des comportements pour devenir plus courageux 

Articles en relation 

Références

Le courage est un trait de personnalité que tout le monde possède, mais qui faiblit parfois à cause
de mauvaises expériences ou de souvenirs. Il est nécessaire d'avoir du courage pour réussir dans
de nombreuses situations de la vie, par exemple lors d'un rendez-vous avec une personne du sexe
opposé ou en faisant votre travail. En identifiant la source de votre manque de courage et en
changeant de comportement, vous pouvez prendre plus d'assurance dans tous les aspects de votre
vie.

Identifier ses peurs


1.

1
Identifiez vos peurs particulières. Les gens sont souvent réticents à admettre qu'ils ont peur de quelque
chose et cela pourrait saper leur assurance et leur courage. Pour pouvoir commencer à prendre plus de
courage, vous devez déterminer votre peur exacte [1] .

 Vous pourriez même ne pas être au courant de vos peurs particulières jusqu'à ce que vous
commenciez à penser à la cause de votre manque de courage [2] .
 Écrivez une liste de vos peurs pendant que vous y réfléchissez. Cela vous aidera à mettre en
place un plan pour les surmonter et prendre plus de courage.
 Cela ne va probablement pas être un exercice facile, car vos peurs vous amènent souvent à vous
sentir embarrassé ou honteux [3] .
2.

2
Réfléchissez à la cause de vos peurs. Le manque de courage ou la timidité proviennent généralement
d'une forme de peur acquise par l'expérience ou les souvenirs [4] . En identifiant les sources de vos peurs
spécifiques, vous arriverez à devenir proactif et à changer de comportement pour prendre plus de courage
dans n'importe quelle situation.

 En réfléchissant aux expériences particulières qui auraient pu contribuer à votre manque de


confiance et en les contrant avec des expériences positives, vous arriverez à vous mettre dans le
bon état d'esprit pour commencer à prendre plus confiance et être plus courageux. Par exemple,
vous avez peut-être peur du rejet de la part du sexe opposé parce que vous vous êtes fait rejeter
une fois. Pour compenser cette peur, pensez aux situations où vous avez été mieux accueilli par
le sexe opposé [5] .
 Si vous ne pouvez pas identifier des expériences spécifiques qui sont la source de votre peur,
cela pourrait provenir d'un souvenir ou d'une peur sociale, par exemple la honte d'un échec. Par
exemple, si vous n'avez jamais touché un serpent, mais si vous en avez peur, cela pourrait
provenir d'un proche qui vous racontait que les serpents sont dangereux. Vous pouvez
compenser cette peur en réfléchissant aux moments et aux façons dont ces peurs se sont
réalisées dans le passé.
 En pensant à vos peurs et à leurs sources, vous arriverez à vous en débarrasser avec le temps. La
simple reconnaissance de ces peurs pourrait être la seule chose dont vous avez besoin pour les
surmonter [6] .
3.

3
Sachez reconnaitre votre courage. Comme il est important d'identifier vos peurs, vous devez aussi
reconnaitre que vous avez du courage dans de nombreuses situations. En prenant le temps de reconnaitre
ce courage, vous arriverez à comprendre comment appliquer cette qualité dans des situations de la vie où
vous êtes plus timide [7] .

 Tout le monde a du courage à sa façon, même s'il est caché ou s'il a l'air simple. Par exemple,
vous pourriez être ouvert à l'idée de déménager souvent dans d'autres régions de votre pays ou
du monde, ce qui demande du courage, car vous devez recommencer à zéro et vous devez
prendre le risque de l'échec.
 En prenant conscience de votre courage, vous arriverez à développer votre comportement et
vous commencerez à devenir plus courageux dans tous les aspects de votre vie.
4.

4
Développez un plan pour devenir plus courageux. Une fois que vous avez identifié vos peurs
spécifiques et que vous avez reconnu des situations où vous faites preuve de courage, développez un plan
concret pour devenir plus courageux. Une stratégie explicite que vous pouvez suivre vous aidera à rester
sur les rails si vous vous heurtez à des obstacles et à voir vos progrès avec le temps.

 Écrivez un plan et mettez-le à jour lorsque cela est nécessaire. Une liste tangible peut vous aider
à vous motiver.
 Par exemple, si vous avez peur de conduire seul sur l'autoroute, vous pouvez mettre en place un
plan qui va vous aider à vous y habituer jusqu'à ce que vous ayez le courage de le faire. Dans ce
plan, vous pouvez y inclure différents points, par exemple : « s'assoir côté passager pendant que
quelqu'un d'autre conduit sur l'autoroute », « conduire avec un ami ou un membre de votre
famille sur de grandes routes », « conduire avec un ami ou un membre de votre famille sur
l'autoroute », « conduire seul sur l'autoroute ».
Lorsque vous vous attaquez à vos peurs, commencez modestement. Selon Klare Heston,
travailleuse sociale clinique agréée :
« Vous pouvez faire preuve de courage en essayant de surmonter vos peurs progressivement.
Commencez par l'une de vos peurs les moins importantes, et évitez de remédier à votre plus
grande peur en premier ! Souvenez-vous, faites de petits pas, et reconnaissez vos efforts pour
avoir plus de courage. »

Développer des comportements pour devenir plus courageux


1.

1
Écrivez un scénario qui déclenche vos peurs. Toute personne qui essaye de vaincre ses peurs peut
perdre confiance et éviter une situation qui pourrait sinon l'aider à prendre plus confiance. La technique
comportementale d'écriture de scénarios peut vous aider à affronter une situation effrayante et à prendre
plus de courage [8] .

 Le scénario est une technique qui vous permet de conceptualiser un plan ou un « scénario » pour
une certaine situation et de le suivre. Par exemple, si vous avez peur de parler avec votre chef,
écrivez des notes et développez un plan qui vous permettra de prendre part aussi à la réunion.
Réfléchissez à ce que vous pourriez dire en réponse aux questions ou aux imprévus qui
pourraient apparaitre pendant votre interaction [9] .
2.

2
Encadrez ce qui vous fait peur en des termes simples. Si vous êtes confronté à quelque chose qui vous
fait peur ou vous fait perdre courage, encadrez-le en des termes simples. L'encadrement est une technique
comportementale qui vous aide à donner forme à ce que vous pensez et ressentez à propos de certaines
situations en les rendant plus banales ou usuelles [10] .

 Par exemple, si vous avez peur de nager dans la mer, vous pouvez le recadrer en la voyant
comme une grande piscine où vous ne resterez que dans une certaine zone [11] .
 En travaillant sur des unités plus petites et plus facilement gérables, vous arriverez à devenir
plus courageux [12] .
3.

3
Évitez de vous comparer aux autres. Chaque personne est différente, et en vous comparant aux autres,
vous ne faites que diminuer votre assurance. Il est essentiel de vous concentrer sur vous-même et d'éviter
de vous comparer aux autres pour prendre confiance et avoir plus de courage.
 N'oubliez pas que même si certaines personnes ont du courage dans certaines situations, il est
probable que vous en ayez dans des situations où ces personnes n'en ont pas [13] . Si vous vous
retrouvez dans une situation avec une personne qui a du courage alors que vous n'en avez pas,
par exemple si l'un de vos collègues a l'air de ne jamais s'inquiéter de laisser tomber les autres
alors que vous vous en souciez, réfléchissez à un domaine dans lequel vous excellez et pas cette
personne. Vous arriverez à devenir plus courageux en vous concentrant sur vos capacités.
 De nombreuses personnes pourraient sembler courageuses pour intimider les autres. Ne laissez
pas le courage ou l'assurance d'une autre personne saper le vôtre ou la vôtre.
4.

4
Acceptez les choses positives et évitez les choses négatives. Les pensées et les attitudes négatives vous
vident de votre énergie et si vous les acceptez, elles vont devenir plus fortes et saper votre courage et
votre assurance. Trouvez des choses positives dans toutes les situations pour aider votre courage
général [14] .

 Même dans les situations qui vous font le plus peur, il y a toujours quelque chose qui ressemble
à du courage. Il va peut-être vous falloir du temps pour le reconnaitre, mais en sachant
reconnaitre ce courage dans n'importe quelle situation, vous arriverez à devenir plus courageux
et plus sûr de vous [15] .
5.

5
Soyez sûr de vous et croyez en votre capacité à être courageux. Les personnes courageuses ont deux
caractéristiques : elles ont confiance en elles et elles croient en leur capacité à réussir et à surmonter leurs
peurs [16] . En cultivant et en projetant votre assurance, vous arriverez à devenir plus courageux et à le
rester [17] .
 L'assurance pourrait venir de nombreuses sources, par exemple si vous savez que vous avez reçu
une bonne éducation et une bonne formation, que vous avez de bonnes relations ou même que
vous êtes agréables à regarder. Cette assurance peut vous aider à soutenir votre courage et à
vous sentir prêt à surmonter vos peurs [18] .
 Il est important de savoir que même si vous vous sentez sûr de vous et courageux, l'échec est
une partie importante de votre combat pour lutter contre vos peurs et pour vous développer [19] .
6.

6
Prenez des risques et acceptez l'échec. Pour devenir plus courageux, vous devez prendre des risques,
parfois vous réussirez et parfois vous échouerez. La capacité à prendre des risques et à accepter les échecs
potentiels peut vous aider de manière significative à stimuler votre assurance et votre courage dans le
futur.

 En sortant simplement de votre zone de confort, vous arriverez à vous sentir plus sûr de
vous [20] .
 Prenez des risques calculés et avancez à petits pas. Par exemple, si vous avez le vertige,
commencez lentement à devenir plus courageux dans des lieux surélevés. Vous pouvez grimper
au plongeoir de trois mètres à la piscine pour regarder en bas ou vous pouvez monter les
escaliers jusqu'au dernier étage d'un petit bâtiment. Pourquoi ne pas sauter en parachute pour
vaincre votre vertige et devenir plus courageux [21]  ?
 Acceptez que l'échec fasse partie de toute entreprise. En apprenant à accepter l'échec et à passer
à autre chose, vous arriverez à ne pas saper votre courage et à vous laisser la possibilité de
continuer à prendre des risques calculés [22] .
7.

7
Utilisez les obstacles à votre avantage. Prenez les obstacles qui se présentent à vous et changez-les en
atouts. C'est une autre forme de prise de risque qui peut vous aider à stimuler votre courage et votre
assurance [23] .

 Vous avez peut-être entendu cette histoire connue qui raconte que Nelson Mandela a décidé de
changer l'Afrique de Sud après que l'un des anciens de sa tribu lui ait dit que son statut de
citoyen de deuxième rang signifiait qu'il n'était pas un homme. En utilisant le modèle de Nelson
Mandela pour surmonter les obstacles et pour les transformer en atouts, vous arriverez à devenir
plus courageux pour ne rien laisser vous arrêter dans la vie [24] .
 Par exemple, vous avez peut-être une blessure qui vous empêche de participer à certains sports.
En trouvant de nouvelles façons de jouer à ce sport, vous arriverez à gagner plus de
courage [25] .
8.

8
Prenez des sentiers moins fréquentés. Les chemins moins fréquentés vous demandent de prendre des
risques et d'avoir le courage d'agir de manière différente des autres. En défendant vos convictions, même
si elles ne sont pas populaires et en prenant des chemins peu conventionnels, vous arriverez à devenir plus
courageux.

 Par exemple, si vous voulez construire une école pour les enfants d'une vallée reculée du Népal
au lieu d'aller étudier le droit comme le font vos autres amis après le baccalauréat, faites le
nécessaire pour suivre votre rêve. Il fait beaucoup plus de courage pour voyager sur le chemin
que vous avez choisi que pour suivre celui que vos amis et votre famille s'attendent à vous voir
prendre.
9.

9
Détendez-vous et amusez-vous le plus possible. La possibilité de vous détendre et de vous amuser dans
le plus de situations possible vous aide à devenir plus courageux. En arrêtant de vous concentrer sur
l'éventualité d'un échec et en restant positif, vous arriverez à rencontrer le succès dans la plupart des
situations, ce qui vous aidera à avoir plus d'assurance et de courage.

 Une étude a montré que la positivité, y compris sous la forme de détente et de loisirs, peut
contribuer de manière significative au succès dans des situations difficiles [26] .
10.

10
Continuez d'avancer. Vous allez parfois avoir des pensées négatives, ce qui est normal et acceptable,
mais vous devez apprendre à ne pas les ressasser. En avançant toujours vers les choses positives, vous
pourrez changer votre attitude [27] .

Conseils
 Les apparences peuvent être trompeuses. De nombreuses personnes ont l'air d'avoir beaucoup de courage
et d'assurance même si elles n'en ont pas. Vous arriverez à devenir plus courageux en apprenant comment
ces personnes arrivent à projeter cette apparence.

 Chacun de nous est courageux dans certaines situations, mais il peut manquer de courages dans d'autres.
Apprenez à connaitre et à conserver vos points forts et votre courage.

Comment avoir du courage : 10


conseils puissants
Avoir du courage, c’est oser être soi-même et c’est oser vivre la vie qui nous ressemble et nous
passionne. Mais, comment trouver en soi cette confiance en soi et cette motivation ? Parce que se
confronter au regard des autres, ne pas se conformer aux attentes de certains est difficile. C’est
pourquoi j’ai à coeur de partager avec toi 10 conseils puissants qui vont t’aider à être plus
courageux, courageuse dans la vie.
 
 

1 – Avoir du courage : se connaître soi-même


 
En effet, pour avoir du courage, il est essentiel de se connaître soi-même.

 Quels sont tes qualités et tes défauts, tes points forts et tes points faibles ?
 Qu’aimes-tu ? Et, qu’est-ce que tu n’aimes pas ? Pourquoi ?
 Quels sont tes rêves, tes projets ? Que souhaites-tu vivre, accomplir dans cette vie ?

En fait, avoir du courage, c’est savoir qui on est, et peut-être même décider qui on est.
Car, trop souvent, les personnes de notre entourage voudraient que nous ayons tel ou tel rêve. 
En fait, il y a trop d’attentes te concernant et c’est à toi d’être capable d’aller voir en toi. Toi, que
veux-tu pour toi ? De quoi as-tu vraiment envie ?
Finalement, pour avoir du courage, il faut savoir dire « je » quand tout le monde veut te faire
croire que c’est égoïste, que tu n’en as pas le droit et que tu les déçois en faisant cela.
Souviens-toi, ta vie t’appartient. Aie le courage de la vivre selon tes propres envies et rêves.
 

2 – Être fier de soi


 
Pour avoir du courage, il est essentiel de ne plus attendre qu’on nous félicite, de ne plus
attendre que des personnes viennent nous dire que ce que nous faisons c’est bien.
En fait, c’est savoir se féliciter soi-même.
Parce que, trop souvent, les autres jouent avec nous. Ils font tarder leurs félicitations et nous ne
rendons pas compte que nous leur donnons tout pouvoir sur notre sentiment de bonheur et même
sur notre niveau de confiance en soi.
C’est pourquoi, pour avoir du courage, arrête d’attendre des autres ce que tu peux t’offrir à toi-
même.
En effet, tu peux et tu as le droit d’être fier.e de toi !
Peut-être même que tu en as le devoir. Oui, parce que si tu n’es pas fier.e de toi, qui le sera ?
Souviens-toi que tu es sur Terre pour vivre la meilleure des vies. À ta façon.
Autrement dit, tu es ici non pas pour te dénigrer, mais pour t’aimer.
Alors, apprends à te féliciter tous les jours. Fais-en une bonne habitude sur laquelle te construire
une bonne estime de toi et une confiance en toi solide et durable.
Pour cela, fais la liste de toutes tes réussites. Vois tous les petits progrès que tu fais, toutes les
petites graines que tu sèmes.
 

3 – Avoir du courage : savoir rester soi-même


 
Il est fort possible que tu aies tendance à t’adapter au caractère de chacun. Et, c’est normal, parce
que nous avons appris à éviter les conflits et donc à arrondir les angles, quitte à devenir une
autre personne le temps d’un repas ou d’une conversation.
Alors, savoir rester soi-même ne veut pas dire exploser de colère à la moindre chose ou essayer
de convaincre les autres à tout prix que nous avons raison et qu’ils ont tort.
En fait, pour avoir du courage, il faut apprendre à se dire, sans s’imposer et sans se
dénigrer non plus.
Autrement dit, pour avoir du courage, il faut prendre conscience que nous avons le droit d’exister
et de prendre notre place !
Tu en as même le devoir, parce que le monde évolue justement grâce aux avis différents. 
On se nourrit de la différence ! Même si beaucoup de personnes semblent l’avoir oublié.
C’est pourquoi aie le courage d’être différent.e.
 

4 – Se donner des objectifs


 
Pour avoir du courage, il est essentiel de prendre les choses en main. Autrement dit, de ne
plus attendre que les choses changent, que les choses t’arrivent par hasard.
En fait, être courageux, courageuse, c’est oser avancer dans la vie, c’est oser vivre ses rêves.
C’est pourquoi je t’invite de tout coeur à avoir des objectifs. Tout le temps !
Des objectifs qui te mettent en joie, qui te font avancer, progresser.
Pour cela, réponds à cette question : « De quoi ai-je envie en ce moment ? Qu’ai-je envie de
faire, d’apprendre ? »
Puis, lance-toi !
Autrement dit, pour avoir du courage, aie au moins toujours un objectif.
 

5 – Avoir du courage : avancer vers ses objectifs


 
Pour avoir du courage, il est essentiel d’avancer vers ses objectifs. Mais, avancer vers ses
objectifs, c’est aussi nourrir son courage.
En fait, c’est un cercle vertueux.
En effet, plus tu vas poser des actions et avoir le sentiment d’avancer vers l’objectif qui te tient à
coeur, plus tu vas ressentir du courage.
Nous ne nous rendons pas toujours compte, parce que nous nous endormons dans la routine et le
confort, mais avoir des objectifs, avoir le sentiment d’avancer, c’est le secret pour être heureux.
Ce sentiment d’avoir hâte de se lever le matin, d’avoir quelque chose d’important à faire, à vivre,
à apprendre. 
C’est pourquoi, pour avoir du courage, pose des actions pour avancer vers tes objectifs.
Elles peuvent être toutes petites comme simplement apprendre un mot d’anglais si ton objectif
est de parler couramment l’anglais. 
Commence quelque part, commence petit et avec le sourire !
Plus tu vas avoir du courage et plus tu vas devenir courageux, courageuse.
Oui, le courage se muscle !
 

6 – Se lancer des défis régulièrement


 
Pour avoir du courage, il est essentiel de se lancer des petits défis régulièrement.
Des défis pour s’amuser, mais aussi pour muscler son courage.
En effet, plus on reste longtemps dans sa zone de confort et plus il est difficile d’en sortir.

Autrement dit, lance-toi un petit défi chaque mois.


Concrètement, chaque mois, prends un petit engagement. Il peut être sportif, récréatif ou
même avoir pour but un plus grand bien-être.
Exemples : faire 20 squats par jour, méditer 10 minutes par jour, dessiner 10 minutes par jour…
 
 

7 – Avoir du courage : accepter le changement


 
Pour avoir du courage, il est essentiel de revoir sa vision du changement. Parce que, trop
souvent, le changement nous fait peur.
En fait, nous avons des difficultés à nous montrer flexibles. Nous sommes dans le contrôle
constamment , ça nous fait perdre du temps fou et ça nous épuise mentalement et
émotionnellement.
C’est pourquoi apprends à accepter le changement.
Tu peux, dans un premier temps, faire la liste de tous les changements que tu as connus ces 3
dernières années, des changements auxquels tu as résisté au départ et qui finalement, se sont
révélés positifs ou du moins pas si désastreux que tu ne le croyais.
En fait, pour avoir du courage, il est essentiel de comprendre que les choses changent tous
les jours et que c’est notre résistance qui nous épuise, car les changements en eux-mêmes ne
sont pas si terribles que ça, parfois, c’est même le contraire.
C’est pourquoi apprends à te détendre quand un changement survient. Accueille-le dans un
premier temps. Puis, vois ce que tu peux faire pour le rendre le plus positif possible.
 
8 – Savoir gérer ses émotions
 
Pour avoir du courage, il est essentiel de savoir gérer ses émotions, et notamment la
tristesse.
Parce que nous avons tendance à avoir des difficultés à nous remonter le moral. Et, notre tristesse
dure sur plusieurs jours et nous empêchant de profiter de la vie.
En fait, gérer ses émotions, c’est comprendre qu’elles sont passagères. Oui, c’est nous qui les
retenons en les mentalisant.
En effet, quand nous sommes tristes, nous avons tendance à chercher le pourquoi du comment et
quand nous l’avons trouvé, nous nous transformons en victime « Je n’ai tellement pas de
chance ».
Alors que la tristesse vient simplement te dire que tu vis telle situation comme un manque ou
comme un deuil et que tu as besoin de prendre un temps pour te réorganiser par rapport à cela.
Autrement dit, pour avoir du courage, il ne faut plus se laisser mener par le bout du nez par
nos émotions. Elles sont utiles et saines. Mais en laissant notre mental se faire des noeuds
au cerveau, nos émotions s’installent et nous perturbent. 
Accepte d’être triste et laisse la tristesse s’envoler. Accepte d’être en colère et laisse-la
disparaitre.
Les émotions nous demandent de prendre juste un temps pour les écouter, puis elles s’en vont.
 

9 – S’entourer des bonnes personnes


 
Pour avoir du courage, il est essentiel de s’entourer des bonnes personnes. En effet, si nous
côtoyons que des personnes anxieuses et peureuses, il est fort possible pour que nous le
devenions nous aussi.

Alors, je ne dis pas de laisser tomber toutes les personnes de notre entourage qui ont des difficultés à
gérer leur anxiété et leurs peurs. Je dis simplement que si tu as besoin de faire preuve de courage pour
telle ou telle situation, tu as besoin d’entendre des discours positifs et enthousiastes.

Va vers ces personnes le temps de booster ton courage ! 


 
10 – Faire le choix d’être une personne courageuse
 
C’est normal de douter de soi, c’est normal d’avoir tellement peur que l’on ne sait plus si on
est capable et même si on mérite de vivre tel ou tel rêve.
Oui, c’est normal.
Et pour avoir du courage, pour réussir à trouver une confiance en soi inébranlable, il est essentiel
de se rappeler quelle personne nous voulons être dans cette vie.
Qui veux-tu être ?
Veux-tu être une personne courageuse, qui ose être elle-même et faire les choses qui importantes
pour elle ?
Alors, sois courageux, courageuse. Surmonte tes peurs une à une. Prends le temps de te féliciter
et de t’encourager.
Avoir peur, c’est normal.
En effet, la peur ne vient pas te dire que tu n’es pas à la hauteur, elle vient te dire que tu es sur le
point d’apprendre quelque chose et que c’est important. 
La peur vient t’accompagner pour que tu donnes le meilleur de toi-même.
Alors, ne te cache plus derrière la peur, elle n’est pas une excuse. Fais preuve de courage !
Tes rêves se trouvent juste derrière tes peurs. Ils valent la peine !

Du courage à la vérité
1. [Accueil]

2. [Opinion]

3. [Idées]
Photo: iStock «Le courage implique donc une lucidité vis-à-vis de soi-même, une juste
appréciation des circonstances et une compréhension des valeurs qui doivent gouverner nos
actions», écrit l'auteur.

Dominique Lepage
L’autrice est professeure de philosophie au cégep Garneau.

9 février 2021IDÉES

 Idées



On reconnaît généralement dans le courage une disposition à affronter ses peurs, à
faire face au danger de manière résolue et volontaire. C’est l’élan qui pousse à
s’engager dans l’action malgré le risque. Mais le courage se prolonge aussi dans la
persévérance, dans la capacité à renouveler et à maintenir l’audace initiale dans le
temps et dans les épreuves, autrement dit, à ne pas se décourager. Dans un cas
comme dans l’autre, agir courageusement, c’est toujours agir malgré : malgré le
danger, malgré la peur, mais aussi malgré la fatigue, la difficulté, malgré en somme les
passions de répulsion, qui tendent à nous éloigner de l’objet dont des raisons
supérieures nous commandent de nous approcher.
Le courage ne consiste donc pas à ne ressentir aucune peur, mais à ne pas faire de
cette dernière le critère de son action. C’est dans ce triomphe sur soi que réside le
courage, qui tient tout entier dans la fermeté d’une volonté qui avance face aux vents
contraires. Cela étant dit, on n’est pas plus courageux en prenant des risques
inconsidérés qu’on ne l’est en s’abandonnant à des peurs déraisonnables. Le courage
tient dans un équilibre, qui trouve une formulation éclairante chez Aristote. Définissant
toute vertu comme un juste milieu, le philosophe définit le courage comme le fait de
craindre ce qu’il faut, comme il faut, quand il faut et pour la cause qu’il faut, de façon à
ne tomber ni dans l’excès de peur qu’est la lâcheté ni dans la prise de risques excessifs
qu’est la témérité. En ce sens, il n’y a pas de courage idiot. Non pas parce qu’il faut être
supérieurement intelligent ou réfléchir longuement pour poser un acte courageux, mais
parce que le courage requiert qu’on comprenne ce qu’on fait, que le risque soit pris
délibérément, et en vue d’une fin consciemment choisie.Chaque mardi, Le Devoir offre
un espace aux artisans d’un périodique. Cette semaine, nous vous proposons une
version abrégée d’un texte paru dans la revue Argument, automne-hiver 2020-2021,
volume 23, no 1.
Le courage implique donc une lucidité vis-à-vis de soi-même, une juste appréciation
des circonstances et une compréhension des valeurs qui doivent gouverner nos
actions. En effet, le courage prend son sens dans le fait qu’on accorde plus de valeur à
la fin poursuivie qu’à ce qu’on risque de perdre en la poursuivant. Parmi les peurs que
nous éprouvons, il convient alors de se demander lesquelles nous informent d’une
menace qu’il faut fuir et lesquelles il faut au contraire tenter de surmonter. Cette
question suppose qu’on sache non seulement reconnaître la peur vécue, mais aussi
évaluer la menace qui l’inspire.
De lucidité quant à la peur ressentie, notre société ne manque apparemment pas. La
chose est abondamment documentée : le stress et l’anxiété affectent non seulement les
adultes, mais les adolescents et même les enfants, d’une manière inquiétante. Ces
assauts de la peur et de l’angoisse font l’objet d’une nosologie scrupuleuse, dont l’autre
face est l’arsenal pharmacologique et thérapeutique auquel nous recourons sans
retenue. La multiplication des diagnostics en santé mentale et l’introduction du
vocabulaire psychiatrique dans le langage courant traduisent une pathologisation de la
souffrance même, qui implique que l’on regarde l’inquiétude, la peur et l’angoisse
principalement sous l’angle curatif. Sans minimiser les souffrances liées à la maladie
mentale ni contester les soins qui permettent de l’apaiser, on peut noter que l’ampleur
que prend ce type de rapport à la souffrance est significative.
Cela reflète la société du bien-être qui est la nôtre. En faisant son profit du commode et
de l’agréable, elle nous rend intolérants à l’inconfort. Plus encore, la mécanique du
marché s’alimente bien sûr de la création de désirs, mais aussi de la création de peurs
et d’inquiétudes, qui ne sont jamais suggérées sans le remède correspondant. Ainsi se
développe toute une gamme de dispositifs analgésiques, qui vont de la multiplication
des méthodes de bien-être à un appareillage de divertissement sans précédent. Sans
les réduire à cette fonction, il est difficile de ne pas voir, dans les Facebook, Netflix,
YouTube, jeux en ligne et autres plateformes addictives, un remarquable dispositif de
fuite de masse devant les inconforts du réel. Lorsque la culture du bien-être nous
conduit à craindre la crainte elle-même, elle devient un obstacle à l’action, par laquelle
on pourrait entreprendre d’agir sur la réalité.
À l’opposé de ce repli sur soi et de cette fuite dans le divertissement, le mouvement du
courage consiste à dépasser l’expérience subjective de la peur pour considérer la
réalité objective du risque. Voilà bien un exercice dont la société du bien-être tend à
nous détourner.
Face au stress et à l’anxiété, il importe donc d’interroger ce que ces malaises disent de
notre monde. Ainsi, au-delà de ce qui apparaît d’abord comme des difficultés
individuelles, ce phénomène trahit aussi le caractère inhospitalier d’un monde où la
pression du travail et des responsabilités personnelles pousse au stress et à
l’épuisement, où le tissu social s’effrite et les inégalités augmentent, où plane la
menace d’un orage de crises sanitaires, financières et climatiques dont nous entendons
déjà les premiers grondements. Qui plus est, dans ce monde structuré par des
organisations tentaculaires aux allures souvent kafkaïennes, nous nous voyons
régulièrement renvoyés à notre impuissance, sans compter que la quête de sens y est
aisément déroutée. Les défis qui nous attendent sont imposants. Détourner le regard
n’y change rien ; il importe au contraire de nous rappeler que nous sommes aussi les
acteurs de ce monde.

"Un brave homme" et "Un homme brave".


Catégories Attention à l'ordre des mots,  Mots, locutions et expressions du registre familier

Ces deux locutions nominales masculines possèdent des


significations radicalement différentes et ne doivent donc pas être confondues :
 "Un brave homme" désigne en effet, dans le registre familier : un individu
bon, serviable, honnête, bienveillant ; simple, mais digne de respect.
On dit par exemple : "Je ne comprends comment la police a pu persécuter ce
brave homme durant des semaines".
 tandis que "Un homme brave" désigne, dans le langage courant : un
individu courageux, vaillant, qui ne craint pas d'affronter le danger.
On dit par exemple : "Un homme brave n'hésiterait pas à risquer sa vie pour
sauver son enfant des flammes".

Les 4 caractéristiques du leader courageux


Ne t ‘ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage? Ne t’effraie point et ne
t’épouvante point, car l’Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu
entreprendras.
Joué 1:9
Le courage est la fermeté, la force de caractère qui permet d’affronter le danger, la
souffrance, les revers, les circonstances difficiles (Larousse)
Une personne courageuse est une personne audacieuse, une personne qui fait preuve de
bravoure, une personne héroïque, vaillante, une personne de valeur. L’opposé d’une
femme courageuse serait une froussarde, une peureuse, une lâche. Une femme similaire à
un enfant ayant peur de son ombre.
Dans le 1er chapitre du livre de Josué, Dieu lui demande d’être courageux à 3 reprises.
Penses-tu que Dieu ait autant insisté pour rien ? Je ne le pense pas! Dieu nous connaît, il
connaît nos pensées et je pense que face à ces nouvelles responsabilités, ces nouveaux
challenges, Josué avait peur. Les Israélites n’étaient pas un peuple docile. Les 40 années
qu’ils ont passé dans le désert et leur comportement vis-à-vis de Dieu et Moïse avait permis
à Josué de voir l’ampleur et la difficulté de la tâche. Jusque là, il avait été le n°2 de Moïse,
son assistant, et diriger le peuple était une toute autre chose. Josué avait peur et c’est pour
cette raison qu’à 3 reprises, Dieu lui dit: Sois courageux !

Le courage n’est pas la capacité à faire les choses sans éprouver la peur. Le courage, c’est
accomplir ce que Dieu nous appelle à faire en dépit de la peur. C’est braver la peur. C’est
reconnaître que par moi-même c’est probablement impossible mais l’équation Dieu + Moi =
l’impossible devient possible. Tu ne pourras pas influencer, impacter le monde qui t’entoure
si tu n’es pas courageuse !
Il existe de nombreux leaders courageux, certains sont chrétiens, d’autres non. Certains
affichent leur foi, d’autres non! Mais ce qu’il y a de commun entre Mère Thérèsa, Corrie Ten
Boom, Martin Luther King et Nelson Mandela, malgré des vies et des combats différents,
c’est qu’ils ont choisi de sortir de leur zone de confort et ont pris le risque de se battre pour
ce en quoi ils croyaient.
[bctt tweet=”C’est reconnaître que par moi-même c’est probablement impossible mais
l’équation Dieu + Moi = l’impossible devient possible.”]

Les 4 caractéristiques de la bravoure(Courage)

1- Le courage est d’abord une bataille interne


Moïse, Gédéon, Jérémie, quand Dieu les a appelés à sortir de l’ordinaire, de leur zone de
confort n’étaient pas ravis de cette idée. Ils ont opposé une certaine résistance qui s’est
manifestée par des arguments qui étaient le reflet de leur anxiété, leur peur. Ils ont expliqué
à Dieu pourquoi ils n’étaient pas qualifiés. Ne laisse pas la peur te paralyser. Le courage,
c’est de braver la peur et d’accomplir avec Dieu ta destinée.
[bctt tweet=”Le courage, c’est de braver la peur et d’accomplir avec Dieu ta destinée.”]

2- Le courage c’est de faire les choses bien


Martin Luther King a dit : « La véritable grandeur d’un homme ne se mesure pas à des
moments où il est à son aise, mais lorsqu’il traverse une période de controverse et de défis.
Tu expérimenteras des moments ou des tentations, des connaissances, tes partenaires te
proposeront de compromettre tes valeurs pour obtenir certaines choses plus rapidement.
Mais être courageuse, c’est également tenir ferme sur les fondements que Dieu a établit au
travers de sa parole et sur tes convictions. Le courage ne vacille pas face à la réalité, son
fondement est la vérité.
[bctt tweet=”Le courage ne vacille pas face à la réalité, son fondement est la vérité.”]

3- Ton courage inspirera les autres


Billy Graham a dit: quand un homme courageux se lève, la volonté des autres est
renforcée. Alors que tu manifestes, incarnes le courage malgré la peur, ceux qui t’observent
sont également fortifiés, encouragés et inspirés. Pour celle qui dirige une équipe,
ton courage solidifiera leur engagement face à ta vision.
[bctt tweet=”Billy Graham a dit: quand un homme courageux se lève, la volonté des autres
est renforcée.”]

4- Ta capacité à dépasser ta peur déterminera jusqu’où tu pourras aller


La peur limite. Chérir ta zone de confort est une barrière contre la destinée que Dieu a pour
toi. Faire face à ta peur et foncer avec Dieu t’ouvrira des portes auxquelles tu n’aurais
jamais pensé. Ce qui sépare celles qui ont accompli leur destinée et celles qui n’ont eu que
des rêves inaccomplis, ce n’est pas l’absence de peur. Car toutes les deux ont peur. Ce qui
les sépare, c’est la capacité et la volonté à prendre des risques calculés.

Un appel au courage
Thomas S. Monson
First Counselor in the First Presidency   
  
   Ayons le courage d’affronter l’opinion générale, le courage de défendre nos principes.
C’est d’avoir du courage, non de transiger, qui nous vaudra le sourire approbateur de
Dieu.
  
  
   Mes frères, c’est vraiment inspirant de vous voir. C’est extraordinaire de penser que,
dans des milliers d’églises de par le monde, en ce moment, vos compagnons
détenteurs de la prêtrise de Dieu suivent cette émission diffusée par satellite. Vous êtes
de différentes nationalités, vous parlez de nombreuses langues, mais un point nous
unit. Nous avons été chargés de détenir la prêtrise et d’agir au nom de Dieu. Nous
avons reçu un dépôt sacré. Il est beaucoup attendu de nous.
   Il y a longtemps, le célèbre écrivain Charles Dickens a abordé le sujet des possibilités
de chacun. Dans son livre Les grandes espérances, il décrit un garçon qu’il appelle
Philip Pirrip, plus connu sous le nom de « Pip ». Ce garçon est né dans des
circonstances inhabituelles. Il est orphelin. Il aurait de tout son cœur voulu être un érudit
et un gentleman. Mais toutes ses ambitions et toutes ses espérances semblent vouées
à l’échec. Vous arrive-t-il, jeunes gens, d’avoir ce sentiment ? Est-ce que les plus âgés
d’entre nous ont les mêmes pensées ?
   Puis un jour, un avocat de Londres appelé Jaggers vient dire au petit Pip qu’un
bienfaiteur anonyme lui a légué une fortune. L’avocat passe son bras autour des
épaules de Pip et lui dit : « Mon garçon, vous avez de grandes espérances. »
   Ce soir, en vous regardant, jeunes gens, et conscient de qui vous êtes et de ce que
vous pouvez devenir, je déclare : « Vous avez de grandes espérances. » Non grâce à
un bienfaiteur anonyme, mais grâce à un bienfaiteur connu, notre Père céleste ; et de
grandes choses sont attendues de vous.
   Le voyage de la vie ne se fait pas sur une autoroute dépourvue d’obstacles, de
chausse-trapes et de pièges. C’est plutôt un chemin avec des embranchements et des
virages. Nous devons constamment prendre des décisions. Pour les prendre avec
sagesse, il faut du courage : le courage de dire « Non », le courage de dire « Oui ». Ce
sont les décisions qui déterminent la destinée.
   Il est constamment fait appel au courage de chacun de nous. Il en a toujours été et il
en sera toujours ainsi.
   Un jeune fantassin, portant l’uniforme gris de la Confédération pendant la guerre de
Sécession, a rapporté le courage d’un officier. Il a décrit ainsi l’influence du général J.
E. B. Stuart : « À un moment décisif de la bataille, il a tendu la main vers l’ennemi et a
crié : ‘En avant. En avant ! Suivez-moi !’…
   « Avec courage et détermination, ils [l’ont suivi], semblables à un torrent rugissant, et
l’objectif a été pris et tenu. »
   À une époque plus ancienne, dans un pays éloigné, un autre dirigeant a fait la même
supplique : « Suivez-moi. » Il n’était pas général d’armée. Mais c’était le Prince de la
paix, le Fils de Dieu. Les disciples de son époque, et ceux de maintenant, remportent
une victoire beaucoup plus importante, aux conséquences éternelles. Il faut
constamment du courage.
   Les saintes Écritures donnent la preuve de cette vérité. Joseph, fils de Jacob, qui a
été vendu en Égypte, a montré tout son courage et sa détermination quand il a déclaré
à la femme de Potiphar, qui tentait de le séduire : « Comment ferais-je un aussi grand
mal et pécherais-je contre Dieu ?… Il refusa… et s’enfuit au dehors. »
   Un jour, un père a appliqué cet exemple de courage à la vie de ses enfants en
déclarant : « Si vous vous trouvez un jour à un endroit où vous ne devriez pas être,
partez ! »
   Qui pourrait ne pas être inspiré par la vie des deux mille guerriers d’Hélaman qui ont
enseigné et démontré le besoin de courage pour suivre les enseignements des parents,
le courage d’être chastes et purs?
   Chacun de ces récits est couronné par l’exemple de Moroni qui a eu le courage de
persévérer dans la droiture jusqu’à la fin.
   Tous ont été fortifiés par les paroles de Moïse : « Fortifiez-vous et ayez du courage !
Ne craignez point et ne soyez point effrayés… l’Éternel, ton Dieu, marchera lui-même
avec toi, il ne te délaissera point, il ne t’abandonnera point. » Il ne les a pas délaissés. Il
ne nous délaissera pas. Il ne les a pas abandonnés. Il ne nous abandonnera pas.
   C’est cette douce assurance qui peut nous guider, vous et moi, à notre époque,
aujourd’hui, dans notre vie. Bien sûr nous rencontrerons la peur, les moqueries et
l’opposition. Ayons le courage d’affronter l’opinion générale, le courage de défendre nos
principes. C’est d’avoir du courage, non de transiger, qui nous vaudra le sourire
approbateur de Dieu. Le courage devient une vertu active et attirante quand il est
considéré non seulement comme le fait d’être prêt à mourir en homme, mais aussi
comme la détermination de mener une vie digne. La lâcheté morale est la peur de faire
ce qu’on pense être bien par crainte de désapprobation ou de moqueries. Souvenez-
vous que tous les hommes ont leurs craintes, mais ceux qui les affrontent avec dignité
ont aussi du courage.
   Parmi les exemples de courage que j’ai rencontrés, en voici un qui m’a été donné à
l’armée.
   Entrer dans la marine américaine dans les derniers mois de la Deuxième Guerre
mondiale a été une expérience difficile pour moi. J’ai entendu parler d’actes de
bravoure, de vaillance, et d’exemples de courage. Un exemple dont je me souviens
bien est celui du courage tranquille d’un marin de 18 ans, d’une autre religion que la
nôtre, qui n’était pas trop orgueilleux pour prier. Des 250 hommes de la compagnie, il
était le seul à s’agenouiller chaque soir près de sa couchette, parfois au milieu des
moqueries des curieux, des plaisanteries des incroyants, et, la tête inclinée, il priait
Dieu. Il n’a jamais hésité. Il n’a jamais faibli. Il avait du courage.
   J’aime les mots de la poétesse Ella Wheeler Wilcox :
  
    
     Il est très facile d’être joyeux
     Quand la vie s’écoule comme une chanson,
     Mais l’homme qui sourit quand tout va mal
     Celui-là est digne du nom d’homme.
    
  
   Paul Tingey est un homme de ce genre. Il y a juste un mois, j’ai assisté à son service
funèbre ici, à Salt Lake City. Paul est issu d’une bonne famille de saints des derniers
jours et il a fait une mission honorable pour le Seigneur en Allemagne. L’un de ses
compagnons missionnaires était Bruce D. Porter, maintenant membre du premier
collège des soixante-dix. Frère Porter a décrit frère Tingey comme l’un des
missionnaires les plus dévoués et ayant le plus de réussite qu’il ait connus.
   À la fin de sa mission, frère Tingey est rentré chez lui, a terminé ses études à
l’université, a épousé sa fiancée, et ensemble ils ont élevé leurs enfants. Il a été évêque
et il a réussi dans son métier.
   Puis, subitement, les symptômes d’une terrible maladie, la sclérose en plaque, ont
attaqué son système nerveux. Immobilisé par cette maladie, Paul Tingey a essayé
vaillamment de faire face, mais il a dû être hospitalisé pour le reste de sa vie. Là, il
rendait joyeux les gens qui étaient malheureux. Chaque fois que j’y ai assisté à des
réunions de l’Église, Paul m’a édifié, comme il le faisait pour tous les autres.
   Pour les Jeux Olympiques de 2002 à Salt Lake City, il a été sélectionné pour porter la
flamme olympique sur une certaine distance. Quand cela a été annoncé dans son unité
de soins, les patients qui étaient assemblés l’ont acclamé, et des applaudissements
chaleureux ont résonné dans les couloirs. Quand je l’ai félicité, il m’a dit, en prononçant
les mots avec peine : « J’espère que je ne vais pas laisser tomber la flamme ! »
   Mes frères, Paul Tingey n’a pas laissé tomber la flamme olympique. Qui plus est, il a
porté vaillamment la flamme qu’il avait reçue dans la vie, et il l’a fait jusqu’au jour de sa
mort.
   La spiritualité, la foi, la détermination, le courage, Paul Tingey les avait tous.
   Quelqu’un a dit que le courage n’est pas l’absence de peur, mais sa maîtrise. Parfois
il faut du courage pour se relever après l’échec et recommencer.
   Pendant mon adolescence, j’ai participé à un match de basket-ball de l’Église. L’issue
étant incertaine, l’entraîneur m’a fait entrer en jeu juste après le début de la seconde mi-
temps. J’ai intercepté une balle, j’ai dribblé vers la raquette et j’ai tiré. Juste au moment
où la balle quittait mes doigts, je me suis aperçu que la défense adverse ne faisait rien
pour bloquer mon attaque : j’étais en train de tirer dans le mauvais panier ! J’ai prié en
moi-même : « S’il te plaît, Père, empêche la balle de rentrer. » La balle a roulé sur le
cercle du panier et est retombée à l’extérieur.
   Une clameur est montée des gradins : « On veut Monson, on veut Monson, on veut
Monson… sur la touche ! » L’entraîneur a obtempéré.
   De nombreuses années plus tard, en tant que membre du Collège des Douze, j’ai
visité, avec d’autres Autorités générales, une église qui venait d’être construite et où on
expérimentait une moquette tissée très serrée pour le sol de la salle de sports.
   Tandis que nous examinions le sol, J. Richard Clarke, qui était alors dans l’Épiscopat
président, m’a soudain lancé le ballon de basket en me lançant le défi : « Je ne crois
pas que vous puissiez atteindre le panier, d’où vous êtes ! »
   J’étais derrière la ligne des trois points. Je n’avais jamais réussi un tel panier de toute
ma vie. Mark E. Petersen, des Douze, a crié aux autres : « Je pense qu’il peut y arriver !
»
   J’ai repensé à l’embarras que j’avais ressenti, des années auparavant, après avoir tiré
dans le mauvais pa-nier. Mais j’ai visé et j’ai tiré. Et j’ai réussi le panier !
   M’envoyant la balle, frère Clarke m’a relancé le défi : « Je sais que vous ne pouvez
pas recommencer ! »
   Frère Petersen a crié : « Bien sûr qu’il le peut ! »
   Les paroles du poète me sont revenues à l’esprit : « Guide-nous, Oh guide-nous,
grand Créateur des hommes ; aide-nous à sortir de l’ombre. » J’ai lancé la balle. Elle
s’est élevée vers le panier et est rentrée directement dedans.
   Ainsi s’est terminée la visite d’inspection.
   Au moment du repas, frère Petersen m’a dit : « Vous savez que vous auriez pu être
un grand joueur. »
   Nous oublions nos victoires et nos défaites au basket-ball quand nous réfléchissons à
notre devoir de détenteur de la prêtrise de Dieu, de la Prêtrise d’Aaron et de
Melchisédek. Nous avons le devoir solennel de nous préparer en respectant les
commandements du Seigneur et en acceptant ses appels à le servir.
   Nous, qui avons été ordonnés à la prêtrise de Dieu, pouvons faire changer les
choses. Lorsque nous sommes dignes d’avoir l’aide du Seigneur, nous pouvons édifier
des garçons, guérir des hommes, accomplir des miracles à son service sacré. Nos
possibilités sont illimitées.
   Même si la tâche semble énorme, nous sommes fortifiés par cette vérité : « La plus
grande force dans le monde actuel est le pouvoir de Dieu qui opère par l’intermédiaire
de l’homme. » Si nous sommes au service du Seigneur, nous avons droit à son aide.
Cette aide divine dépend cependant de notre dignité. Pour naviguer en sécurité sur
l’océan de la condition mortelle, pour accomplir une mission de sauvetage, nous devons
être guidés par le marin éternel, le grand Jéhovah. Nous levons la tête et tendons la
main pour recevoir l’aide divine.
   Notre main tendue est-elle pure ? Notre cœur ardent est-il pur ? En relisant les pages
de l’histoire ancienne, nous trouvons une leçon de dignité sur les lèvres du roi Darius
mourant. Suivant les rites officiels, Darius avait été reconnu comme roi légitime de
l’Égypte. Son rival, Alexandre le Grand, avait été déclaré fils légitime d’Ammon. Lui
aussi était pharaon. Trouvant Darius vaincu sur le point de mourir, Alexandre le Grand
lui a posé les mains sur la tête pour le guérir, lui commandant de se lever et de
reprendre son pouvoir royal, en lui disant : « Par tous les dieux, je te jure, Darius, que je
fais cela sincèrement et sans tromperie. » Darius a répondu par une douce
réprimande : « Alexandre, mon garçon… crois-tu pouvoir toucher les cieux avec des
mains comme les tiennes? »
   Mes frères, si nous apprenons notre devoir et magnifions les appels que nous avons
reçus, le Seigneur guidera nos efforts et touchera le cœur des personnes que nous
servons.
   Il y a de nombreuses années, quand je rendais visite à Mattie, veuve âgée que je
connaissais depuis de nombreuses années et dont j’avais été l’évêque, j’avais le cœur
serré de voir sa solitude extrême. Son cher fils habitait loin, et cela faisait des années
qu’il n’avait pas rendu visite à sa mère. Mattie passait de longues heures, seule, à
attendre à sa fenêtre. Derrière un rideau effiloché et souvent écarté, la mère déçue se
disait : « Dick va venir ; Dick va venir. »
   Mais Dick ne venait pas. Les années passaient, l’une après l’autre. Puis, comme un
rayon de soleil, la pratique religieuse est entrée dans la vie de Dick, qui avait été un de
mes garçons de la Prêtrise d’Aaron, et qui vivait alors à Houston, au Texas, loin de sa
mère. Il est venu à Salt Lake City pour me parler. Il m’a téléphoné à son arrivée et m’a
expliqué avec enthousiasme le changement qui se produisait dans sa vie. Il m’a
demandé si j’aurais le temps de le recevoir s’il venait directement à mon bureau. J’en
étais très heureux, mais je lui ai dit : « Dick, va d’abord voir ta mère, et après tu
viendras me voir. » Il a fait avec joie ce que je lui avais demandé.
   Avant qu’il arrive à mon bureau, j’ai reçu un coup de téléphone de Mattie, sa mère. Le
cœur débordant de joie, elle m’a dit, la voix entrecoupée de sanglots : « Je savais que
Dick viendrait. Je vous l’avais bien dit. Je l’ai vu arriver par la fenêtre. »
   Quelques années plus tard, aux funérailles de Mattie, Dick et moi avons parlé avec
émotion de cette expérience. Nous avions eu un aperçu du pouvoir guérisseur de Dieu
par l’intermédiaire de la foi d’une mère en son fils.
   Le temps avance. Le devoir en suit la cadence. Le devoir ne disparaît pas, ni ne
diminue. Des conflits catastrophiques viennent et passent, mais la guerre pour les âmes
des hommes continue sans trêve. Comme une trompette, la voix du Seigneur nous
appelle, vous, moi et les détenteurs de la prêtrise de partout : « C’est pourquoi, que
chaque homme s’instruise de son devoir et apprenne à remplir l’office auquel il est
désigné, et ce, en toute diligence. »
   Je prie pour que nous ayons le courage de le faire. Au nom de Jésus-Christ. Amen.

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