Fersan, Henri de - L'Eglise Catholique Et Le Nazisme
Fersan, Henri de - L'Eglise Catholique Et Le Nazisme
Fersan, Henri de - L'Eglise Catholique Et Le Nazisme
6,5
PUBLICATIONS H d F
de l'auteur :
livres : Le Racisme anti-franais, ncre, 1997 (22,5 ) Le Racisme anti-franais et anti-chrtien. Rapport 1998, Publications HdF, 1998 (23 ) La Maldiction du Titanic (3me dition), Dualpha, 2003 (15 ) Leur avant-guerre (Le Printemps de Strasbourg - I), Publications HdF, 1999 (23 ) Stratgies, 5 ans darticles pour comprendre lactualit, Publications HdF, 1999 (2 tomes, 30 ) Les Partisans Blancs (Le Printemps de Strasbourg - II), Publications HdF, 1999 (23 ) L comme Lajoye, autopsie dun complot dtat, Publications HdF, 2000 (15 ) Le Racisme antifranais, addenda 1985-1996, Publications HdF, 2000 (12,5 ) Stratgies, 1999-2000, Publications HdF, 2000 (9 ) Kennedy : une saga rouge sang, Editions Didro, 2000 (6,5 ) Justice est faite ! (nouvelle parue dans Contes dEurope - IV), Dualpha, 2000 (19 ) LImposture antiraciste, Publications HdF, 2001 (31 ) Stratgies, 2000-2001, Publications HdF, 2001 (9 ) Stratgies 2001-2002, Publications HdF, 2002 (9 ) Le Mensonge antiraciste, Publications HdF, 2003 (31 ) Le Soleil se lve lEst (Le Printemps de Strasbourg - III), Publications HdF, 2003 (23 )
Jeux de socit : Monopoles, Publications HdF, 1998 (40 ) PUBLICATIONS HENRI DE FERSAN 4, route de Bournazet BELLEVUE 63870 ORCINES
Larbre sera jug ses fruits , dclare lEvangile. Quand on compare la situation de lEglise en 1939 et en lan 2000, on saperoit que finalement, la victoire des Allis na pas t une chance pour lEurope chrtienne. Un abb avec qui je mentretenais de ce sujet dlicat mavouait : La Seconde Guerre Mondiale ne fut pas le combat de la dmocratie contre la dictature, ni celui du communisme contre lanticommunisme : ce fut celui de la synagogue contre lEglise Hitler aurait-il dfendu la chrtient sans le savoir ? Ou mme, en le sachant pertinemment ? Pour les protestants, la rponse est oui, sans aucun doute. En ce qui concerne le catholicisme, je ne partage pas lopinion de mes confrres. Je le dis sans ambages, Hitler a t infiniment moins nuisible la Sainte Eglise que Staline et beaucoup moins que les dmocraties . Et, au risque de paratre provocateur, je dirais que les douze ans dhitlrisme ont fait moins de mal au catholicisme en Allemagne que les quinze ans de pontificat de (F ?) Paul VI ! Mon confrre Franois-Marie Algoud ayant t le procureur du
nazisme dans La Peste et le Cholra, japporterai dans cet article les arguments de la dfense
Malgr la rpression, lhistoire officielle scroule par pans entiers. Il y a deux moyens dchapper larme de ladversaire : esquiver les coups ou dcharger son arme. Il va de soi que cest la dernire mthode qui est la meilleure. Le meilleur moyen de dtruire larsenal de lextrme gauche, ce nest pas la dngation ou la repentance. Cest de rtablir la vrit sur le national-socialisme, de montrer ce quil fut rellement, sans sombrer dans le pangyrique de ce dernier. Les crimes hitlriens doivent tre replacs dans leur contexte et mis en parallles avec les crimes des Allis. Si les nazis ont commis des crimes, ils nont pas t pires que les Amricains, les Britanniques et, bien videmment, les Sovitiques. Seule la vrit rend libre En montrant, preuve lappui, le vrai visage des uns et des autres, les gens cesseront davoir peur des fantmes et nos ennemis se verront privs de leur arme principale.
Le rle du Zentrum
Ce parti catholique, cr contre Bismarck, tait dirig par Mgr Ludwig Kaas. Il avait obtenu son meilleur score en 1890 avec 106 siges. Aux lections lgislatives du 5 mars 1933, le score du Parti Nazi tait inversement proportionnel linfluence catholique dans le pays. Les rgions o les catholiques reprsentaient plus de 85 % de la population taient les suivantes : centre de la Prusse Orientale, Haute Silsie, Bavire, Bade, Rhnanie, rgion frontalire de la Hollande, Franconie. Or, dans toutes ces rgions, sans exceptions, le score du parti nazi aux lections lgislatives du 3 juillet 1932 fut infrieur 35 % (pour une moyenne nationale de 37,4%). Par contre, les fiefs nazis (plus de 50 % des voix) sont ceux o les catholiques reprsentaient moins de 40 % de la population : Pomranie, Silsie, Schlewsig-Holstein, Basse-Saxe et Thuringe. Le Zentrum marginalisera les vques allemands hostiles au nazisme et aidera Hitler obtenir la majorit au Reichtag aprs accord du nonce Berlin, le futur Pie XII. En effet, lors des lgislatives de novembre 1932, les nazis avaient perdu 2 millions de voix et 46 siges par rapport celle de juillet. Si avec 196 siges sur 584 le NSDAP est le premier parti dAllemagne, il est loin des 293 siges de la majorit absolue. Certes, il peut compter sur les 52 siges des nationaux allemands, mais il manque encore 45 siges. Avec 70 siges, le Zentrum rejoindra la coalition gouvernementale et permettra Hitler de constituer un gouvernement dunion nationale le 30 janvier 1933. Dans Mein Kampf, Hitler faisait lloge de Karl Lueger, du parti populaire chrtien qui savait comment faire usage des structures du pouvoir et de lautorit, se servant de ces institutions et lments anciens au profit de son propre mouvement. Le Parti catholique, qualifi par le protestant Goering de taupes noires. (quoique David Irving ne le mentionne pas dans sa biographie de Goering), sera dissous comme toutes les autres formations politiques le 5 juillet 1933
Selon Franz von Papen, ministre du Reich puis ambassadeur Ankara (qui sera graci lors de procs de Nuremberg) : Le IIIe Reich tait la rponse chrtienne 1789. (1) Cette vision des choses est partage par lhistorien amricain John Lukacs : Llment le plus important - et le plus frappant - de la politique hitlrienne tait son anticommunisme ; mais il y avait en outre des prsentations plus quoccasionnelles de luimme et du national-socialisme comme tant contre-rvolutionnaires, et mme bien des dclarations positivement favorables au christianisme. Cette vision des choses est confirme lorsquon prend soin de consulter les Cahiers de la SS. Ces opuscules taient destins la formation des officiers des troupes dlites du Reich, sa colonne vertbrale idologique. Le chef de la SS, Heinrich Himmler, na pas prcisment la rputation dtre un clrical Pourtant, dans ces cahiers confidentiels, on note que les SS avaient des prises de positions qui, si elles taient parfois hrtiques (dues linfluence de la religion protestante dans ce pays), ntaient en rien blasphmatoire. Ainsi, lorsquon consulte le numro doctobre 1937 du Cahier de la SS, on peut lire une condamnation sans ambigut de la Rvolution Franaise que naurait pas renie Charles Maurras, pourtant viscralement hostile lAllemagne, nazie ou non. Dans cet article, intitul Faits importants sur la franc-maonnerie, les SS accusent les loges maonniques dtre lorigine de la Rvolution Franaise. Toutes les accusations sont tayes de citations dment rfrences, montrant que le rgime avait tudi les dossiers saisis dans les L allemandes.
Celles-ci ne sont pas pargnes non plus. Preuves lappui, il est dmontr : quelles pratiquent la dissimulation, encouragent le mtissage, prtent serment sur le sang, quelles ont jou un trs grand rle dans la rvolution avorte de 1918 et quelles manipulaient les rois de Prusse qui ne savaient pas toutes les ralits de cette secte. Les SS dfendaient dailleurs, citations lappui, la thse du complot judo-maonnique. On trouve galement une critique de lAmrique qui tait assez pertinente et toujours dactualit. Dans les numros de janvier et fvrier 1943 du Cahier de la SS, les accusations contre les pres puritains fondateurs de lAmrique sont exactement les mmes que celles que lon peut lire chez les contrervolutionnaires catholiques : On doit dire la vrit que laffaiblissement de la foi entrana une diminution de limportance du livre de prires. La bourse salourdit sans cesse et le livre de prires samincit, devenant plus superficiel - en langage luthrien - un couvercle de poubelle servant cacher une multitude dinfamies. La dnonciation de la musique jazz, du relchement des moeurs, de llection des Miss, du cinma dHollywood, bref, du relchement des moeurs en vogue aux Etats-Unis sont mot pour mot les mmes que ceux de la droite contre-rvolutionnaire franaise. Les nazis reprochaient lAmrique son hypocrisie, son pharisianisme, sa dcadence Plutt que le jazz, les nazis exaltrent la musique de Bach, Brahms et Mozart, trois musiciens dont luvre est marque par la religion et mme pour les deux premiers pousse lintrospection et la mditation. Il est dommage quaveugle par son antigermanisme primaire, une forte partie de lintelligentsia franaise ait, par son immobilisme, fait le choix de la dcadence contre la civilisation. Ils ont les mains pures, mais ils nont pas de mains disait en son temps Charles Pguy.
Hitler et lEglise
Hitler tait chrtien, baptis et lev dans la religion catholique par sa mre. Il dclarait dans Mein Kampf : Cest pourquoi je crois agir dans le sens voulu par le Crateur tout puissant ; en luttant contre le Juif, je dfends luvre du Seigneur. On retrouve cette dimension de la lutte entre lEglise et la Synagogue, cette haine bimillnaire qui marqua de son empreinte toute lhistoire de lhumanit, de la mort du Christ la cration de lIslam, de la bataille de Lpante la Rvolution Franaise, du marxisme Vatican II A la diffrence de Himmler et des intgristes paens de son entourage, Hitler avait compris le rle de la vritable Eglise dans la socit. Il savait l o tait le vritable combat : chrtiens contre juifs ; partisans de la dignit gale pour tous les hommes et chantre du peuple lu , corollaire de la race suprieure ; dfenseurs du Christ contre dfenseurs de Barrabas Le Talmud est formel : le catholique est le pire ennemi du Juif. Pire que le paen que le Juif compte bien manipuler, comme il manipule les athes et les libres penseurs par le biais de la F M et du
communisme. Les zlotes de la Synagogue taient Moscou, dans lentourage de Staline : en 1938, sur les 1 700 000 survivants du PCUS ayant chapp aux purges, 700 000 taient juifs, dont les trois-quarts des juges dinstruction et des responsables du contre-espionnage intrieur(2) ; Kaganovitch, le bourreau de lUkraine ; Vychinski, le procureur des procs de Moscou ; trois vice-prsidents du Conseil des Commissaires, deux commissaires du peuple et dix vice-commissaires. Les zlotes de la Synagogue taient Washington, dans lentourage de Roosevelt, amricanisation de Rosenfeld : la communaut juive internationale navait-elle pas dclar une guerre conomique lAllemagne ds le 23 mars 1933 ? Les zlotes de la Synagogue taient Londres, derrire Churchill, ruin par le juif amricain Baruch et opportunment renflou par le juif sud-africain Strakosh. Il est intressant de noter quen 1939 l'ambassadeur de l'URSS aux Etats-Unis lors de la seconde guerre mondiale tait Maxim Litvinov (n Wallach Finkelstein) et celui en Grande-Bretagne tait Yvan Masky (n Kahan Stermann). Hitler a multipli les dclaration favorables lEglise catholique dans ses discours : lors de sa prise de fonction le 1er fvrier 1933, il dclara sur la radio allemande que le gouvernement prendra sous sa ferme protection le christianisme, qui est la base de toute notre morale, et la famille, qui est la cellule constitutive tant de ltre de notre peuple que de lEtat. Le 23 mars 1933 dans son premier discours de Chancelier, il ajouta : Les avantages quun particulier pourrait retirer en politique de compromis avec les organisations athistes ne sont pas, et de loin, compenss par la destruction qui en rsulte des fondements de la morale publique. Le gouvernement national voit dans les deux confessions chrtiennes les facteurs les plus importants pour le maintien de notre peuple. Il respectera les traits conclus entre elles et les diffrents Lndern. Il ne sera pas touch leurs droits. Lors de la Fte-Dieu 1933, eut lieu Berlin la premire procession de cette fte catholique de toute lhistoire de la Prusse. Hitler y imposa la prsence dun rgiment de la Wehrmacht. Le plerinage dAnnaberg, en Silsie, attira 120.000 personnes dans cette province catholique o la purification ethnique polonaise npargna pas, loin sen faut, le clerg Hitler avait promis le 27 juin 1934 Mgr Grber (Fribourg), Mgr Berning (Osnabrck) et Mgr Bares (Berlin) : Jamais de ma vie je ne mnerai un Kulturkampf . En 1937, il entendit que beaucoup de ses adhrents avaient renonc leur appartenance religieuse, sous la pression des dirigeants du parti ou de la SS. Il interdit ses proches collaborateurs, y compris Goering et Goebbels, de faire de mme. En 1942, il insistait sur labsolue ncessit de maintenir les Eglises. Il condamnait avec rigueur la lutte contre les Eglises.
Pour lui, il sagissait dun crime contre lavenir du peuple : substituer une idologie de parti est une impossibilit(3). On est loin de la Russie lniniso-trotskiste ou stalinienne !
tout comme le Secrtaire dEtat au Trsor Henry Morgenthau. Ce dernier avait prvu de planifier une famine qui aurait tu au moins 20 millions dAllemands, ainsi quune politique de dportation des Allemands en Afrique. Il nest pas inutile de rappeler quen 1935, le F Morgenthau a impos le symbole satanique des Illuminati sur les Henry
billets amricains. Le plan Morgenthau fut ajourn grce laction du secrtaire dEtat la Guerre, le F
L. Stimson, qui le qualifia de smitisme que la soif de vengeance a rendu fou. . Theodore Kaufman, conseiller de Roosevelt et prsident de la Fdration amricaine pour la paix, avait expos ds mars 1941 ses projets dextermination des Allemands (strilisation de toutes les Allemandes) dans son ouvrage Germany must perish, vendu massivement au prix de 25 cents (soit 19 francs actuels), et dont le Time fit une grande publicit. LAutriche devait subir le mme sort : population extermine par strilisation, famine et travaux forcs et territoire dpec : la Suisse devait annexer le Tyrol et le Vorarlberg, le reste tant annex par un tat nouveau appel Bohme (Czechia) et regroupant lactuelle Rpublique Tchque, la Saxe et la moiti sud de la Silsie. Quant lAllemagne, elle tait partage entre la Pologne, le Danemark, la France, la Belgique et les Pays-Bas La Seconde Guerre Mondiale fut une guerre impitoyable. On ne fit pas de quartier dun ct comme de lautre. Pourtant, Hitler donna le bton de marchal deux Juifs. Deux Juifs qui se sentaient de sang germanique, se battant jusquau bout pour leur patrie :le feld-marchal Erwin Lewinski von Manstein et le marchal Ehrard Milch, qui sera en plus ministre du Reich charg de laronautique. Dautre part, lun des concepteurs de la Blitzkrieg fut un juif : le gnral daviation Helmut Wilberg.
les 21e et 22e divisions de montagne (et les 6 rgiments les composants), les 4 e et 20e rgiments dinfanterie, le 21e rgiment dartillerie de campagne et le 1er rgiment dartillerie motorise, La Hongrie fut allie lAllemagne. Elle reut des territoires arrachs la Tchcoslovaquie protestante (Kocise, Ruthnie subcarpathique), la Yougoslavie orthodoxe (Banat) et la Roumanie galement orthodoxe (Transsylvanie). La Honved aligna, en sus des quatre divisions de volontaires dans la SS(4), deux divisions blindes, une division lgre, une division de cavalerie, douze divisions dinfanterie, huit divisions mixtes et 8 divisions de rserve. Elle fut le dernier (et le seul) pays alli Hitler lui restant fidle. LAutriche, pays natal de Hitler, fut rattache lAllemagne par un Anschluss que le Vatican fut le premier reconnatre Le Liechtenstein recueillit le rgiment des volontaires russes anti-staliniens du gnral Smyslowosky et refusa de les livrer Moscou. La Belgique fut envahie pour des raisons stratgiques, mais elle fournit deux divisions de Waffen SS au Reich , soit 20.000 Flamands et 10.000 Wallons. Le Luxembourg fut annex au Reich et fournit lquivalent dune division (12.000 hommes), la plupart des malgr nous . La France dclara la guerre lAllemagne et la perdit. LAllemagne lui reprit lAlsace et la Moselle, mais refusa de cder lItalie la Corse, Nice et la Savoie. Ptain fit de son mieux pour protger la France et y parvint avec abngation, comme le fit Lopold III en Belgique et Christian X au Danemark. Quant Monaco, le prince Louis II composa (1943), puis allemand (1944). LEspagne catholique fut sauve par lenvoi temps de 20 Junkers-52 de transport de troupes qui permit au Tercio de prendre pied en mtropole et entamer la grande croisade contre le bolchevisme. En remerciement, lEspagne fournira lAllemagne 500 SS et la 250e division Azul. Le Portugal, gnralement anglophile, ne fut en rien menac par lAllemagne, de mme que Andorre. LIrlande resta neutre durant la guerre. LItalie fut le fidle alli du Reich, de 1936 1943 sous la forme dune monarchie, de 1943 1945 sous la forme dune rpublique. Au total, larme italienne fournit lAxe 5 divisions blindes, 3 divisions mobiles, 2 divisions motorises, 69 divisions dinfanterie, 25 divisions de rserve, 2 divisions de parachutistes, 6 divisions de montagne, 6 divisions de chemises noires et 8 divisions coloniales. LItalie fournit galement une division de 10.000 hommes la SS(6). Aprs la trahison du marchal Badoglio en 1943, les fidles du Duce se replirent dans le nord du pays, avec une arme forte de 8 divisions dinfanterie. Les peuples catholiques de la Tchcoslovaquie, de la Yougoslavie et de lUnion Sovitique appuyrent des degrs variables leffort de guerre allemand. La Slovaquie de Monseigneur Josef Tiso eut une participation symbolique : six divisions. La Croatie fournit une vritable arme : quatre corps, 6 divisions dinfanterie, 4 brigades de chasseurs, 16 divisions dOustachi, 1 division dassaut, 18.000 SS (la part de catholiques nest pas connue), les 369e, 373e et 392e divisions de la Wehrmacht et mme une lgion navale de 900 hommes. LArmnie et la Gorgie fournirent galement de nombreuses troupes par rapport leur population, car ces pays ne furent jamais atteints par la Wehrmacht, les units tant exclusivement recrutes parmi les prisonniers de guerre sovitiques. 9.000 Armniens servirent dans la SS, au sein du 1 er rgiment armnien de grenadiers de la Waffen SS et du Kaukasischer Waffen-Verband der SS, o servirent galement les 8.000 Gorgiens ayant port avec loccupant italien
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La 22e division de cavalerie Maria Thrsa, la 25e division de grenadiers Hunyadi, la 26e division de grenadiers Hungaria et la 33e division de cavalerie SS. 5 La 27e division de grenadiers Langemark et la 28e division de grenadiers Wallonien. 6 La 29e division de grenadier Italiana.
luniforme double runes. La Wehrmacht recruta 9 bataillons dOsttruppen armniens (808 816) et 8 bataillons gorgiens (795 799 et 822 824) ; plus 3 bataillons armniens et 5 bataillons gorgiens qui ne furent pas des units combattantes. Les contingents trangers de la Waffen SS peuvent tre ainsi rpartis : pays catholiques : 133.500 hommes; pays orthodoxes : 108.000 hommes ; pays protestants : 101.890 hommes ; pays musulmans : 56.000 hommes ; pays religions orientales : 4.300 hommes.
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tendent confirmer les dclarations de hautes personnalits de lEtat faites des reprsentants de lEglise. Le gouvernement na pas encore jusquici mis lui-mme cette possibilit profit. Il dclara que tant que lAllemagne respectait le concordat, il ny avait aucun problme ce que les catholiques soutiennent le rgime : Tant que ce principe [non-lacit de lEtat Allemand] sera reconnu et mis en pratique par le gouvernement allemand, les conflits de conscience entre les devoirs du chrtien et ses devoirs de fidlit de citoyen resteront exclus. On ne peut parler de lEncyclique sans voquer le Hndbuch der religisen Gegenwartsfragen (Manuel des questions religieuses actuelles, sous-titr : Avec la recommandation de lensemble de lEpiscopat allemand.) Dans ce livre paru en 1937, Mgr Conrad Grber dclarait : La consquence de cet envahissement de la race par ltranger se manifesterait principalement par une atteinte lessence originelle de notre civilisation. Lafflux de races trangres (limmigration excessive) dforme sa nature propre. () Du fait que chaque peuple assume la responsabilit de son heureux maintien, et que lapport de sang totalement tranger reprsente toujours une menace pour le caractre historiquement prserv dun peuple, il sensuit quon ne saurait contester aucun peuple le droit de maintenir lacquis intgral de sa race ni celui de prendre les mesures qui doivent le lui assurer. La religion chrtienne exige seulement que les moyens appliqus ne contreviennent pas la loi morale ni la justice naturelle. On est loin de la collaboration de lpiscopat actuel avec limmigrationcolonisation.
Dont le nom exact du parti tait Christus Rex, le Christ Roi. Il incarnait un courant catholique fasciste linstar dAntonio Primo La Riviera en Espagne, Corneliu Codreanu en Roumanie ou Adrien Arcand au Canada.
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lui rpondit : Les splendides professions de foi que vous avez faites en diverses occasions, et prcisment celle de votre discours de clture lors de la journe du Parti, Nuremberg et au Bckerberg, nont certainement pas manqu de faire impression dans le monde Cest en vain que lon en chercherait de pareilles de la bouche dun Lon Blum, par exemple, dans sa lamentable rponse au discours de Nuremberg ; mais on nen trouverait pas davantage chez les autres hommes dEtat (8) Lpiscopat allemand, si il fit les critiques qui simposaient lorsque le rgime dviait de la loi divine, na pas mnag son soutien au rgime dmocratiquement lu. Le 1er janvier 1938, le cardinal Faulhaber louait en chaire lexemple donn par Hitler dun style de vie simple et frugal. Le 18 mars 1938, le cardinal Theodor Innitzer envoyait une dclaration de ralliement de lpiscopat autrichien au Reich. En 1945, le cardinal Bertram, prince-vque de Breslau, clbre une messe la mmoire de Hitler et juge sa mort courageuse . Hitler savait couter les conseils de lEglise catholique et faire marche arrire quand celle-ci lui reprochait dtre all trop loin. En aot 1941, Mgr von Galen reprocha la politique deuthanasie de Hitler en vigueur depuis le 3 septembre 1939(9), tout en louant la croisade antibolchvique. Aucune sanction ne sera prise. Mieux la loi sera abolie suite aux pressions catholiques. Par contre, aux Etats-Unis, une loi similaire a t vote dans lOhio en 1907 et est toujours en vigueur. Elle lest dans une trentaine dEtats de lUnion. La Vatican tenta galement plusieurs mdiations de paix lors de la Seconde Guerre Mondiale, sans plus de succs que lors de la premire, d la prsence dintgristes lacs anticatholiques dans le camp alli. Le 31 aot 1939, le Pape fait ainsi pression sur la Pologne. Hitler avait accept les conditions de paix suivantes : retour de Danzig au Reich, facilits commerciales accordes la Pologne Danzig, respect des minorits. Le 28 juin 1940, il tenta de faire signer un armistice entre les belligrants. Le 24 dcembre 1943, le Pape sopposa la conception de capitulation sans condition . Le Vatican fit ce quil put lors de la guerre pour lamlioration des conditions de dtention des prisonniers des deux camps. Mais autant il tait facile au Vatican dagir dans les camps nazis qui lui taient ouverts, autant il lui fut impossible dagir dans les camps sovitiques et mme dans certains camps polonais et amricains, d aux refus des autorits de Varsovie et de Washington.
Archives piscopales de Munich, fond Faulhaber n 8203. Cette loi avait t conue pour donner la mort aux soldats affreusement mutils et qui souffraient trop alors que leur mort tait de toutes faons inluctables. Hitler lavait souhaite, traumatis par la boucherie de 14-18 et par lagonie affreuse de plusieurs de ses camarades de combat.
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Hitler, qui noubliait pas son enfance autrichienne, fit souvent cran entre lEglise catholique et le courant intgriste lac qui tait minoritaire mais influent au sein du NSDAP. En 1937, le gnral de brigade SS Karl Maria Wiligut voulut confisquer tous les biens de lEglise. Hitler sy opposa fortement. Une seconde tentative similaire sera tente par Arthur Greiser en 1940, sans plus de succs En 1941, Martin Bormann (numro deux du parti et agent sovitique) voulait faire passer dans une directive du parti une phrase disant que : Le christianisme et le national-socialisme taient inconciliables. Cette directive fut annule par Hitler. En aot 1941, Hitler menace de relever de ses fonctions le Gauleiter du Gau 2 (district de Bayreuth), le SSObergruppenfhrer (gnral darme) Fritz Wchtler qui voulait enlever les crucifix des coles. Membre tardif du parti et de la SS (il neut que la carte n 35313 du NSDAP et limmatriculation n 209058 la SS), il sera fusill le 19 avril 1945 pour dfaitisme. Les crucifix resteront dans les coles bavaroises, une nouvelle tentative sera dailleurs ralise par les intgristes lacs dans le cadre de la trs dmocratique Rpublique Fdrale Allemande, qui ne cache pas sa haine du national-socialisme Plusieurs prtres de gauche sopposant au rgime furent arrts et dports. 2.800 prtres seront dtenus Dachau, dont 1.800 Polonais rsistants. 1.106 prtres succomberont. Les Jsuites seront particulirement rprims. Au total, les nazis dporteront 5.000 prtres, dont 2.000 mourront. Cependant, contrairement la lgende, le Rvrend Pre, Rupert Mayer ne mourut pas martyr des nazis mais dune crise cardiaque en chaire le 1er novembre 1945. Il avait pass quelques semaines Dachau en 1939 puis assign rsidence au monastre dEttal (Bavire). En Autriche, 724 prtres seront emprisonns, 110 seront dports, 90 mourront et 1.500 seront interdits de sjour. Pour la Pologne, 4 vques, 1.996 prtres, 113 clercs et 238 religieuses seront tus. 3.642 prtres, 389 clercs, 341 frres et 1.117 religieuses seront envoys en camp. En 1945, 72 prtres silsiens seront abattus par les Polonais. Au total, les Polonais tueront 1 vque (Mgr Joseph Martin Nathan), 275 prtres allemands et 81 religieux. Lattitude du clerg polonais et sa lourde contribution aux victimes de la guerre montrent quil avait rempli son devoir : organiser la rsistance polonaise face lenvahisseur. Cependant, les ecclsiastiques qui eurent subir le nazisme ne furent pas arrts pour ce quils taient (comme on le fit en URSS, en Espagne ou mme en France), mais pour ce quils faisaient. A titre de comparaison, voici ce que fut le bilan du communisme dans la seule Russie : coles religieuses fermes ds dcembre 1917, pillages des biens ecclsiastiques, profanation des reliques, processions disperses la mitrailleuse(10)... En 1922, le bilan tait dj de 20 000 chrtiens militants, 2 700 prtres, 2 000 moines, 3 500 moniales et 40 vques assassins ! Pour les orthodoxes, 150 vques et 42 800 prtres payrent de leur vie leur foi et 722 couvents furent rass. Essentiellement dirige par des commissaires politiques juifs (dont plusieurs fils de rabbins), la perscution religieuse contre les catholiques et les orthodoxes fut dune rare barbarie : Larchevque Androny (Perm) a eu les yeux crevs, les joues arraches et fut jet dans le fleuve. A Sviasjk, lvque Ambroise fut attach la queue dun cheval. A Saratov, lvque Isidore fut empal. A Belgorod, lvque Nicodme fut bastonn mort. A Ral, lvque Platon fut congel vivant. A Khrakov, 70 prtres furent mis mort et plusieurs centaines de religieuses furent violes puis enterres vivantes aprs avoir d creuser leur tombe et avoir eu les seins taillads. Par contre le 25 fvrier 1930, cinq rabbins de Minsk dclaraient : Nous navons jamais t lobjet de perscutions pour nos convictions religieuses sous le rgne des Soviets. Nous considrons quil est de notre devoir de dclarer que pas un seul rabbin nest et na jamais t menac de
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Dont en 1920, Choudja (260 km au NE de Moscou) : le 146e dinfanterie ouvre le feu sur une procession.
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la peine de mort en URSS, pas plus dailleurs quaucune autre peine svre. Depuis linstauration du rgime sovitique, aucun rabbin na t fusill. Comparer nazisme et communisme laune de la perscution religieuse montre que le nazisme a beaucoup plus respect lEglise que les communistes et mme que la Rpublique franaise. Et pourtant, il se trouve certains catholiques qui multiplient les propos haineux contre lAllemagne nazie, tout en se faisant ministre de la Rpublique franaise et dfenseur de la dite rpublique, ce qui est un comble pour des vendens ! (Nest-ce pas MM. de Villiers et de Charrette ?)
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1936, Brandt met en exergue les perscutions anticatholiques commises par les Juifs. Il cita le martyr de Simon Gerber (Trente, 28 mars 1475), dAndrej Juchtchinskij (Kiev, 1911), du pre Thomas (Damas, 5 fvrier 1840), de Thophan Scherstobitov (Saratov, 1850) et Michael Maslov (Saratov, 1853). Devoir de mmoire que se sont empresss de supprimer les modernistes du Vatican Brandt dclare que lEglise catholique est totalement diffrente du judasme car le Christ a pay le prix du sang pour purifier les hommes. Or, pour les Juifs, le prix du sang pour la purification existe toujours. Et le sang qui doit couler, cest le sang goy, comme le dit le Talmud (Joma 5a) et le Lvithique (XVII, 11). Il y avait mme une association officielle du parti dont la devise tait tir de la 1re Eptre de Saint Paul aux Corinthiens (XIII, 13) : Foi, Espoir, Charit. Il sagissait de la Deutscher Frauenorden Rotes Hakenkreuz (Ordre fminin allemand de la Croix gamme rouge, quivalent nazi de la Croix Rouge). Dans le cahier de la SS de mars 1938, Schuster loue larchitecture des cathdrales. Il est vrai que larchitecture religieuse europenne est tout fait en phase avec lesprit des indo-europens. La cathdrale est une osmose entre la religion catholique et les peuples des forts que sont les Germains, les Gaulois et les Slaves, car lobscurit et lclairage des vitraux est un rappel de la lumire filtrant travers les arbres, crant une atmosphre propice au recueillement et la mditation. 2.500 glises ont dailleurs t construites en Allemagne de 1933 1945. Les SS se rclament de Giordano Bruno, dominicain rhabilit cette anne par lEglise dont ils font leur cette phrase cite dans le cahier de la SS daot 1938 : Nous cherchons Dieu dans la loi inaltrable et inflexible de la nature, dans lharmonie respectueuse dune me se soumettant cette loi. Nous Le cherchons dans un rayon de Soleil, dans la beaut des choses issues du sein de notre mre la terre, dans le reflet de Sa cration, dans la contemplation des innombrables toiles scintillant dans le ciel immense Et lauteur de larticle, le docteur Schinke, SS-Hauptscharfhrer (adjudant-chef), de rajouter : Respecter [les lois naturelles] ctait affirmer Dieu. Les transgresser, ctait sloigner du divin. Nous nhonorons Dieu quen respectant les lois ternelles qui, manant de Sa volont, rgissent le monde. . Ils ne croient pas au pch originel, ce qui est une hrsie, certes, mais qui est cent lieues des enseignements blasphmatoires qui avaient cours au sein du NKVD, lquivalent sovitique de la SS.
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dintrinsquement pervers. Le 28 juillet 1938, Pie XI se dclare spirituellement smite , ce qui est considr comme une provocation par Berlin. Les paens iront jusqu' parler daveu Selon le jsuite allemand Peter Gumpel, le Pape Pie XII a soutenu le complot des officiers contre Hitler ds le 11 janvier 1940. Il transmit leur projet aux Anglais qui refusrent, voulant dtruire lAllemagne. Cependant, le pape voulut envoyer le lendemain de lattentat du 20 juillet 1944 un message Hitler o il condamnait toute violence. Le message narriva jamais (Rome tait sous occupation amricaine). Le Nonce, Mgr Orsengigo, flicita Hitler davoir survcu. Il ne faut pas oublier dailleurs que Pie XII tait un ami personnel de Franklin Roosevelt, dont lentourage tait totalement infiltr par les communistes, et quil a peuttre t manipul par les Allis, cest--dire par la synagogue. A noter que le responsable de la deuxime section des Affaires ecclsiastiques ordinaires, bras droit de Pie XII et charg de la rception des ambassadeurs, tait Mgr Montini, autrement dit le futur Paul VI Pape fortement suspect dtre franc-maon et jug par certains prtres traditionalistes comme hrtique.
Wiligut), titulaire de lenseignement de la Prhistoire au sein des coles SS. Il clbrait le Dieu germanique Krist vol et dfigur par les Chrtiens. Il consacra son nergie la recherche du Graal, quil pensait tre dtenu par les Cathares. Selon le gnral SS Karl Otto Wolff, Martin Bormann (agent du NKVD) aurait projet en automne 1943 denlever le Pape pour lassigner rsidence au Liechtenstein, afin quil ne soit pas entre les mains des Allis. Le nom de code de lopration tait Aktion Papst . Il nexiste aucune preuve crite de cette opration Dans le Cahier de la SS de juin 1942, est dnonce la drive cathare de lEglise. Nous savons que ces deux aspects, me et corps, nous ont t accords par le Crateur. Tous deux sont pour nous la manifestation de la divine nature toujours cratrice, ternelle et merveilleusement active. () Nous sommes pleinement conscients que notre mission est de poursuivre luvre du Crateur et de la valoriser au cours du temps. Certaines critiques sont encore mises de nos jours : dans le Cahier de la SS davril 1938, ils accusaient lEglise de prfrer quune jeune allemande pouse un ngre chrtien plutt quun allemand protestant. Dautre part, le ministre allemand des Affaires Etrangres, von Neurath, dclarait dans une note au Vatican date du 16 octobre 1937 : Il me fallait bien constater que le Vatican passait le plus clair de son temps me faire prendre pour de graves attaques contre lEglise et la religion chacun des articles de journaux 16
paraissant en Allemagne et chacun des propos irrflchis mis par ces gens mal informs. Pendant ce temps-l, [en Espagne] il avait fait preuve dabord dune passivit complte et navait adopt que fort longtemps plus tard une position dailleurs trs molle. Dans le manuel dinstruction des services politiques de la SS et de la police, la tartuferie du monde anglo-saxon est dnonce : Mais si on pouvait encore douter de la vraie nature de lattitude religieuse amricano-britannique, on acquiert une certitude lorsquon constate quelle fraternise avec le bolchevisme, le troisime ennemi qui reprsente la vritable personnification de lAntchrist constamment prophtis dans lhistoire de lOccident europen. Cependant, si la SS na jamais mnag ses critiques lEglise catholique, elle ne lavait tout de mme pas dfinie comme adversaire dans ses manuels. Ceux-ci furent dsigns dans plusieurs numros : les Juifs (mars 1936), la franc-maonnerie (octobre 1937, janvier 1943,), le communisme (octobre 1938) et les sectes protestantes (service politique de la SS) contrairement au communisme, la F M et au judasme, pour qui
le catholicisme est lennemi. Il est symptomatique de constater que ceux qui sont les plus zls reprocher Pie XII une tentative de dialogue avec Hitler sont les mmes qui accueillirent au Vatican les pires perscuteurs de lEglise au nom de loecumnisme
En conclusion
Si lassimilation entre la svatiska et ltoile rouge est confortable sur le plan intellectuel, elle nest hlas pas conforme la vrit historique. Bien videmment, ceux qui osent prouver que la ralit du nazisme est quelque peu diffrente de lhistoire obligatoire connaissent le sort que le Christ avait prvu : On vous livrera aux synagogues et lon vous jettera en prison, on vous tranera devant les rois et devant gouverneurs. (Evangile selon Saint Luc, XXI, 9-19). Lattitude de Hitler vis--vis de lEglise nest pas comparable celle de Staline. Si on doit faire un parallle historique, Hitler serait plutt comparable Napolon, mme sil a mieux mnag la Sainte Eglise que lempereur corse qui jusqu' nouvel ordre a t promu au rang de gloire nationale franaise par le rgime de Vichy, le plus attach lEglise depuis 1789. Le Corse signa un Concordat avec Pie VII le 16 juillet 1801. Il sera excommuni le 10 juin 1809 (alors que Hitler ne le sera jamais), il fera arrter le Pape. Un second Concordat sera sign le 25 janvier 1813. A noter que Napolon fut responsable de la destruction de plusieurs glises mdivales sous couvert de modernisation de certaines villes. Sous Hitler, lAllemagne ouvrit 2.500 glises et temples. Un concordat a t sign avec le Vatican en juillet 1933. Le point 24 du programme du NSDAP est le plus intressant : il demande que lglise doit se cantonner au spirituel (conformment la parole du Christ face aux pharisiens(11) : Rendez Csar ce qui est Csar et Dieu ce qui est Dieu ) et se dbarrasser du judo-matrialisme. Or, le triomphe de celui-ci allait arriver avec Vatican II o le Pape Paul VI, lun des plus acharns adversaires du rgime national-socialiste au Vatican, allait collaborer avec le Bna Brith (hritiers des pharisiens) et avec les idologies judomatrialistes : le communisme et le capitalisme apatride La drive de Rome avait t prvue Berlin ds 1926, lanne de la condamnation de lAction Franaise
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Les Pharisiens taient des intgristes juifs, qui ont totalement trahi la parole de Dieu en prfrant le Talmud qui les confortaient dans leur fantasme de supriorit raciale.
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POURQUOI LE DEBAT EST FAUSSE ? LE ROLE DU ZENTRUM LE NAZISME, UNE CONTRE-REVOLUTION ? HITLER ET LEGLISE LE TALMUD ET LES ALLEMANDS LA POLITIQUE ETRANGERE DE LALLEMAGNE ET LES ETATS CATHOLIQUES MIT BRENNENDER SORGE CONCORDAT DE 1933, GESTES EN FAVEUR DE LALLEMAGNE PERSECUTIONS RELIGIEUSES EN ALLEMAGNE LES CHRETIENS ALLEMANDS REPROCHES DE PIE XI ET PIE XII A HITLER REPROCHES DE LA SS A LEGLISE CATHOLIQUE EN CONCLUSION
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