Projet de Memoire
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Dédicace
Remerciements
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INTRODUCTION GÉNÉRALE
Dans ce chapitre il sera question pour nous de justifier le choix de notre sujet, de clarifier des
concepts utilises et de faire ressortir le problème qui fonde notre étude. il s’agira aussi de faire
la recension des écrits en rapport en rapport avec le sujet étudié ,de définir les hypothèses et
les objectifs à atteindre. Le cadre de référence théorique dans lequel s’inscrit la présente étude
sera également précisé
1) Intérêt personnel
Cette étude nous permettra de développer nos connaissances, les mettre en pratique et
valider notre diplôme
2) Intérêt scientifique
Ce mémoire pourrait servir de repère a tous ceux qui traiteront de la gestion de la relation
client dans la rédaction de leur mémoire de fin de cycle
3) Intérêt social
Notre travail pourrait aide les sociétés évoluant dans le même secteur d’activité à anticiper
sur d’éventuelle difficulté auxquelles elles seraient confrontées. Il sera aussi bénéfique aux
personnes morales et physique à comprendre les attitudes des clients face à la qualité des
services offertes par l’entreprise
Dans cette partie, nous avons recense l’ensemble des articles et récits que nous avons
consultés en vue d’élaborer notre recherche
Dans un article intitulé, La Revue des Sciences de Gestion, publié en 2011 Marie-Antoinette
Simonet soutient que :<< La microfinance connaît aujourd’hui dans le monde un
développement sans précédent. L’Afrique n’est pas en reste face à cette dynamique financière
internationale. Ici, on observe une émergence rapide d’un ensemble d’institutions dont la
vocation essentielle est de fournir des services financiers (épargne et crédit). Ces institutions
de microfinance, de par leur foisonnement rapide, sont désormais confrontées à une
concurrence accrue, elles voient leur part de marché menacée ; les moins aguerries de ce fait
quittent le marché. Par ailleurs, les clients potentiels quant à eux sont méfiants et peu
confiants. >> ainsi selon l’auteur Didier Noyé dans, pour fidéliser le client publie en 2000,
affirme :<< Il ne suffit pas de satisfaire les clients, il faut être préféré par les clients. L
'entreprise doit s'attacher de façon durable aux clients qui sont rentables pour elle>> car d
après Lars Meyer-Waarden :<< La fidélisation et la gestion de la relation client, sont
aujourd'hui pour de nombreuses entreprises des priorités pour contrer la concurrence>>.
Au regard de ces faits sans équivoques, la banque devrait donc plus s’investir dans la gestion
de sa clientèle pour une pérennité financière.
Notre thème d étude intitulé :<< LA GESTION DE LA RELATION CLIENT D’UNE BANQUE >>
comprend deux mots clés que nous allons définir ce sont :
- La gestion de la relation client (CMR)
- La banque
L’objectif principal d’une CRM est d’améliorer la relation et la connaissance des clients
et prospects de l’entreprise en jouant sur plusieurs leviers :
-Augmenter les revenus : les entreprises réduisant de plus en plus leurs dépenses afin
d’augmenter leurs profils et pour cela elles investissent dans le capital.
-Maximiser le service aux clients : il est plus couteux de gagner de nouveaux clients que de
les conserver. Donc de préférence d’analyser les besoins des clients pour les réserver que de
chercher d’autres clients.
-Exploiter d’avantage les échanges entre les clients et les vendeurs : les clients n’ont pas tous
les mêmes besoins et les mêmes valeurs. Une CRM permet d’offrir un niveau de service
personnalisé aux clients.
-Augmenter la qualité de service après ventes : à travers un suivi de la clientèle de
l’entreprise.
-Fidéliser les clients : par une attention particulière en rendant le cout de transfert vers un
concurrent plus élevé.
-Réduire les couts : commerciaux et marketing.
-Gains de productivité : les tableaux de bord proposés par une CRM permettent aux
gestionnaires de suivre en temps réel l’évolution de l’entreprise et de réagir à temps.
La gestion de la relation client comporte plusieurs enjeux ; aussi bien pour l’entreprise que
pour les clients. À ce titre, on peut retenir entre autres :
-L’augmentation de rétention
C'est-à-dire conserver les clients le plus longtemps possible. Maïs si le client n’est pas
rentable à l’entreprise c'est-à-dire les gains attachés à ce client sont faibles par rapport aux
couts engagés, l’entreprise doit rompre la relation.
Pour l’entreprise
Réduire les coûts : l’affectation des investissements marketing sur des segments plus
petits, entraine une diminution des coûts du marketing direct. L’analyse de l’efficacité des
ventes par canaux permet de mieux allouer les dépenses par canal, segment ou client. La mise
à disposition de bases données documentaires en ligne réduit les frais d’édition des documents
commerciaux et facilite le travail de mise à jour des tarifs. La limitation des volumes de
papier est premier gain, mai la réduction des erreurs de facturations et aussi un gain
appréciable.
La possibilité offerte aux clients de contrôler certaines opérations et de trouver par eux-
mêmes la réponse à leur problème baisse les coûts.
Ainsi certaines fonctions typiquement (centre de coûts) comme le service client sont
partiellement transformées en (centre de profit) grâce aux outils de CRM.
-Augmenter le résultat : l’orchestration efficace des différents canaux de recrutement et leur
optimisation permanente de génèrent plus de prospects et moins de perte de client. Les clients,
qui présentent certains signes prédictifs d’attrition, se voient allouer des efforts spécifiques
(offre spéciales, prise de contact, entretien découverte, etc.), afin d’essayer de modifier leurs
comportements. Les techniques de segmentation offrent la possibilité de construire des offres
plus adaptées avec un meilleur mix des offres et des canaux. Elles améliorent la part de
marché par client (Share of Customer) et elles diminuent l’attrition.
-Améliorer la qualité de l’information : le partage des informations entre nombre important
D’utilisateurs, bien encadré par procédures organisationnelles, assure une meilleure intégrité
de données. Pour déminée l’obsolescence du fichier client qui est de 5% par année au
minimum. L’objectif même du CRM et le partage de l’information entre les canaux
d’interaction : le mailing, le télémarketing, les centres de réception d’appels, la force de vente,
les services administratifs, le service après-vente, le minitel, le serveur vocal interactif ou
internet.
-Augmenter la valeur de l’entreprise : la GRC a un impact important sur l’augmentation de la
valeur à vie des clients (life time value ou LTV) en améliorant les taux de transformation lors
d’acquisition, les ventes croisées et la rétention des clients fidèles. Le CRM contribue à crée
de la valeur sur chaque client de l’entreprise et par conséquent sur l’entreprise elle-même
(note du capital client).
Pour le client
-Améliorer la qualité des contacts : grâce aux outils de la GRC. Le client est globalement
mieux accueilli, orienté est conseillé lorsqu’il entre en relation avec l’entreprise. Peuvent être
mises à profit pour orienter et personnalisé le dialogue.
En cas d’orientation entre différents départements, le client n’a pas à raconter son histoire à
chaque nouvel interlocuteur.
-Améliorer la fidélisation : grâce aux fonctions de conseil et d’aide à la vente qu’offrent les
outils du CRM, les clients se voient proposer des offres sur-mesure en fonction de son profil
ou de son comportement lors de l’entretien.
Cette personnalisation, se traduit naturellement par une intensification de relation avec les
clients.
-Faire du client un ambassadeur : la confiance développée doit se traduire par un bouche à
oreille positif. Le client se transforme en ambassadeur de l’entreprise (recommandation des
produits et services de l’entreprise auprès de prospect).
1-2) La banque
Le terme de banque renvoie à deux conceptions. Soit il s'agit d'un secteur d'activité
économique, celui traitant les opérations de banque — le secteur bancaire —, qui comprend
les fournisseurs et les distributeurs des contrats relatifs à ces opérations. Soit le terme vise
l'un des types d'entreprises actifs dans ce secteur, essentiellement des établissements de
crédit ou des établissements de paiement, s'agissant des fournisseurs de services, ou des
entreprises d'intermédiation bancaire, pour ce qui concerne les distributeurs de ces mêmes
services.
Le dictionnaire Larousse définit la banque comme un « Établissement financier qui, recevant
des fonds du public, les emploie pour effectuer des opérations de crédit et des opérations
financières ». Au sens du droit positif français, essentiellement d'origine européenne, une
banque est l'une des catégories légales d'établissement de crédit (article L. 511-1 du Code
monétaire et financier).
Ces établissements de crédit exercent sous la condition de disposer d'une autorisation
administrative, telle que l'agrément, en France ; ils pratiquent l'octroi des opérations de
banque (article L.311-1 de ce même Code monétaire et financier). L'activité étant
subordonnée à cette autorisation conduit parfois à la qualifier de "monopole", terme
juridiquement inadéquat. De plus, ces établissements bancaires ne disposent pas davantage
du monopole de la distribution bancaire, qui représente la fonction de commercialisation. Ils
partagent cette fonction de distribution bancaire avec d'autres acteurs bancaires, les
intermédiaires qui ne sont pas des banques.
La taille d'un établissement de crédit se mesure soit en fonction de son chiffre d'affaires (ou
Produit Net Bancaire, cf infra), soit en fonction de celle de son bilan comptable (total des
actifs), soit encore de ses parts de marché ou du nombre de ses employés. En 2014, la plus
grande banque au monde, par le total des actifs, est la banque chinoise Industrial &
Commercial Bank of China, devant la britannique HSBC.
Une banque est donc, à la fois, une entreprise qui :
Produit des services bancaires : crédits, réception des dépôts du public, paiements ;
En fait le commerce ou la distribution, soit directement, soit par des relations avec des
intermédiaires bancaires ;
fait commerce d'autres services accessoires ou connexes, tels que des services
d'investissement, de l'assurance, ou tout autre prestation de service.
Elle est ainsi au cœur du commerce de l'argent et en responsabilité directe dans la gestion
des risques financiers présents dans un système économique.
Cette activité peut être exercée pour le compte de clients de différentes manières : recevoir
et garder des fonds, proposer divers placements (épargne), fournir des moyens de paiement
(chèques, cartes bancaires) et de change, prêter de l'argent (crédit), et plus généralement se
charger de tous services financiers. Une banque commerciale peut également intervenir
pour réaliser des opérations et des interventions sur les marchés financiers pour son compte
ou celui de sa clientèle.
Les activités de banque de dépôt (ou « banque commerciale ») peuvent se distinguer de
celles des banques d'investissement ou d'affaires, encore que beaucoup d'établissements
bancaires se livrent conjointement à ces deux types d'activité, ce qui donne régulièrement
lieu à débat (voir celui inauguré au début du xxe siècle par la Doctrine Germain).
En raison de l'importance des activités bancaires dans l'économie d'un pays, les banques
sont soumises à une législation précise encadrant l'exercice et le contrôle de leurs actions.
Collecter des dépôts, gérer et distribuer des crédits, délivrer des outils ou des services de
paiements
« bancaires » (chèques, cartes de paiement, virements, prélèvements, principalement) sont
donc des activités réservées à des établissements agréés et soumis à autorisation préalable.
Les deux fonctions des banques commerciales, gérer les risques et vendre les produits
bancaires, doivent être clairement dissociées. En effet, des entreprises sans agrément, mais
immatriculées, peuvent distribuer des produits bancaires, dont les risques restent gérés par
les établissements bancaires.
Les banques commerciales assurent la bonne tenue d'un registre des comptes et la gestion
des transferts entre ces comptes. À ce titre elles facilitent les échanges économiques et
contribuent à la traçabilité des flux financiers. L'État leur confère souvent la responsabilité
d'assurer la traçabilité des opérations financières et ainsi de contribuer à la lutte contre les
trafics illicites, le blanchiment d'argent ou plus récemment contre la fraude fiscale (voir en
particulier la lutte contre les paradis fiscaux).
Dans le système bancaire, les établissements bénéficient d'un pouvoir important étant des
agents économiques de la création de la monnaie. Les banques ont en effet la faculté de
créer et de gérer des dettes. Toute dette ainsi créée équivaut à une création de monnaie,
toute dette éteinte par son remboursement équivaut à une destruction de monnaie.
L'impact économique de cette monnaie dite
« scripturale » selon les mécanismes décrits par la théorie économique est fort :
d'une part la création de monnaie produit une injection de liquidité dans le circuit
économique qui se trouve être amplifié par l'effet multiplicateur du crédit d'autre part
quand le crédit offert sert à financer un investissement, celui-ci peut provoquer une série
d'investissements induits (effet accélérateur).
En sens contraire, les restrictions de liquidité ou de financement qui seraient pratiquées par
les établissements bancaires provoquent des restrictions immédiates sur l'économie.
La dynamique qui permet aux banques de fournir du crédit aux agents économiques est
techniquement permise :
par le système des fonds propres réglementaires : une banque est en mesure de prêter
davantage que le montant des capitaux propres qu'elle détient ; par le principe de la
transformation, selon lequel, toujours dans le respect des règles prudentielles, elles peuvent
- dans une certaine proportion - financer des crédits à plus long terme avec une base de
ressources disponibles à plus court terme.
Toutes ces décisions constituent une prise de risque qui doit être convenablement appréciée
et maîtrisée, même si en contrepartie, elles créent le soutien nécessaire aux activités
économiques jugées saines et opportunes.
En sus des billets de banque et des pièces de monnaie, la monnaie scripturale - qui
matérialise le résultat de ces décisions - figure dans les comptes des banques et représente
maintenant des montants considérables (plus de 90 % de la masse monétaire définie comme
la quantité de monnaie en circulation). Ceci explique qu'elle soit encadrée :
du point de vue de leur existence par l'obtention d'une autorisation d'exercer la profession
bancaire ; sur le plan de leur activité par la réglementation (loi nationale mais aussi des
règlements internationaux) ; sur le plan des contrôles d'activité par la supervision dans
chaque pays opéré par une Banque centrale, mais aussi par d'autres organismes ou agences
professionnels.
Définition juridique
Le cadre bancaire et financier, en France, est donné par le Code monétaire et financier.
Ce recueil normatif ne procure pas de définition juridique de la « Banque ».
En revanche, il propose et connaît six natures juridiques d'établissements :
établissement de crédit, article L. 511- 1 du code monétaire et financier, prestataire de
services d'investissement, article L. 531-1 du même code, établissement financier,
établissement de paiement, établissement de monnaie électronique, la société de
financement, créée en 2013, ainsi que leurs différents intermédiaires, dont les
intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP), ou encore, les
Intermédiaire en financement participatif, depuis le 1er octobre 2014.
Les banques appartiennent donc à la catégorie juridique et économique des établissements
de crédit, lesquels réalisent des opérations de banque telles que définies par la loi dans le
respect des dispositions législatives et réglementaires correspondantes.
En France, l'article L.311-1 du code monétaire et financier donne la définition suivante : « Les
opérations de banque comprennent la réception de fonds du public, les opérations de crédit,
ainsi que les services bancaires de paiement ».
Dans chaque zone monétaire, l'activité bancaire se trouve être supervisée par
une banque -la banque centrale- disposant d'un statut particulier lui assurant une relative
indépendance pour assurer des missions spécifiques :
l'émission des billets et définition de la politique monétaire. la surveillance et le contrôle -
éventuellement disciplinaire- de l'activité bancaire. Il existe plusieurs types de « banques »
en fonction :
des activités qu'elles entreprennent (banque de dépôt, banque d'affaire, banque spécialisée
dans un type de prêt, banque généraliste, banque universelle, etc.),
des relations qu'elles entretiennent avec leur clientèle : relations impersonnelles au coup
par coup : spot banking ou Relations plus personnalisées et/ou entretenues sur le long
terme).
de leurs modes ou canaux de distribution : banques en ligne, banques avec agences,
banques avec intermédiaires indépendants (Intermédiaire en opérations de banque et en
services de paiement).
Comme rappelé en introduction, le terme « banque » peut renvoyer, soit à un type
d'établissement, soit à un secteur d'activité. En ce cas, il convient de noter que « la banque »
regroupe des entreprises qui peuvent avoir différents statuts juridiques : « les banques » ne
sont pas les seules à composer « la banque ».
1) Problématique
En Afrique, le marché bancaire est dominé par les opérateurs mobiles. Les banques
n’occupent que 20 % du marché. Cela s’explique par le fait que les Africains préfèrent gérer
eux-mêmes leurs avoirs pour diverses raisons. D’autre part, la présence des télécoms et la
popularité du « mobile money » poussent les établissements bancaires à trouver des
stratégies pour s’imposer auprès de la population. Les établissements financiers doivent
appliquer différentes stratégies pour conquérir le marché.
D’après Moody’s, l’agence de notation américaine, 80 % des Africains n’ont pas recours aux
services bancaires pour gérer leurs finances. Le marketing relationnel connaît un
engouement certain dans les entreprises de services, la banque prend aujourd’hui
conscience de l’importance de fidéliser de ses clients.
En effet, certaines entreprises ont réussi à dominer leurs concurrents et à prouver leur
efficacité dans ce domaine grâce à l'implantation des principes du marketing relationnel en
utilisant les applications de la Gestion de La Relation Client (Customer Relationship
Management) basées sur la stratégie et la technologie.
Question de recherche
Nous avons trois questions de recherche dont une question de recherche principale et deux
questions secondaires
1-1 Question de recherche principale
COMMENT LA GESTION DE LA RELATION CLIENTELE PERMET A LA BANQUE DE FIDELISER SA
CLIENTELE ET DE FAIRE FACE A LA CONCURRENCE ?
1-2 Question de recherche secondaire
En quoi consiste la gestion de la clientèle d’une banque ?
Quels sont les impacts (avantages et inconvénients) de la gestion de la clientèle sur la
banque ?
2) Hypothèses de recherche
Dans cette partie il nous suffira d’élargir l’approche en considérant l’hypothèse comme la
réponse anticipée a la question de recherche posée. Elle demande à être confirmée, infirmée
ou nuancée dans la vérification
Hypothèse 1 : face aux mutations profondes que connaissent les banques ivoiriennes. La
gestion de la Relation Client est devenue une composante indispensable à la stratégie
bancaire.
Hypothèse 2 : Afin d'établir une relation pérenne avec les meilleurs clients, la banque
ivoirienne doit être muni d'un certain nombre d'outil, indispensables à sa démarche.
Dans le but de vérifier nos hypothèses et de répondre à notre question principale, nous
avons choisi de mener notre étude de terrain auprès de la banque ivoirienne SGBCI.
3) Objectif de recherche
Face à des concurrents de plus en plus ardus, et à une clientèle mieux informée et plus
exigeante, les entreprises n'ont désormais qu'un seul objectif en tête : conserver leurs parts
de marché, et surtout leurs parts de clients. Pour réaliser leur but, les banques doivent
implanter une stratégie de gestion de relation client.
3-1 Objectif général
Cette étude vise à étudier les actions qui permettent de satisfaire et de fidéliser durablement
les clients des banques par le biais de la gestion clientèle
-Montrer que les attentes des clients de la SGCI sont prises en compte
-Identifier les opérations de fidélisation qui sont bien perçues par les clients de la SGCI
Chapitre 2 : cadre méthodologique
I) Etude documentaire
Elle consiste à recenser et analyser toutes les informations utiles en rapport avec notre
étude via des ressources déjà existante et disponible. Elle sert de point d’entrée a une étude
de terrain locale plus approfondie
1) Objectif
L’objectif assigné est de collecter des informations contenues dans les articles publies
concernant le secteur bancaire.
2) La recherche documentaire
Elle consiste à synthétiser les informations obtenues de divers documents
Sources interne
Fichiers client
Fichier de la direction de la SGCI
Sources externes
1) L’enquête
Le but d’une étude quantitative est de mesurer ou de quantifier des opinions des faits des
comportements des perceptions des attentes des préférences des possessions de notoriété
des lieux d’achats…
Elle consiste à mesurer des variables explicatives de la perception des clients vis-à-vis de la
SGCI. A cet effet notre enquête a été administrée à l’aide d’un sondage. A partir d’un
échantillon nous allons induire des résultats généralisables a l’ensemble de la population de
notre étude.
Dans le cadre de cette étude un sondage sera réalisé sur 50 clients de la SGCI a l’aide d’un
questionnaire qui servira à la collecte de données. L’objectif principale que nous nous
sommes fixé sera de quantifier le phénomène étudié
2) Cible
Leude a concernera uniquement les clients particuliers dont le revenu mensuel est compris
entre 100 et 450000fcfa. La population mère découle de la cible de l’étude, c’est à dire
l’ensemble des clients. En effet, ne disposant pas de données sur le nombre effectif de client
fréquentant la SGCI nous avons déciderons de nous limiter au nombre d’acteur sur la
période du 01 03 2019 au 29 01 2020
3) L’échantillon
Pour déterminer l’échantillon nous avons opté pour le fichier client particulier. L’intérêt est
de pouvoir généraliser les résultats observes dans l’échantillon a l’ensemble de la population
cible. Ainsi nous avons opté pour une taille de 50 clients
4) Mode d’administration
Pour mettre en place une étude quantitative il est important de réaliser un questionnaire
pour mieux répondre aux attentes des acteurs. La collecte des informations se fera à l’aide
d’une enquête par sondage. Le questionnaire sera composé de question fermé et de
question ouverte.
1) Résultats attendus
2) Difficultés rencontrées
Lors de notre étude nous avons noté un certain nombre de problème tels que :
-Le refus de certains clients de répondre aux questionnaire à cause de le crise sanitaire
(covid 19)
-Clients donnant des informations peu fiables
Section 1. Historique
I-Les origines de la création
1- La période de 1864-1893
À sa création, la banque est le premier poids lourd de la banque française. Elle est
fondée par un groupe d'industriels (dont Paulin Talabot qui en fut le premier directeur) et
la famille Rothschild sous le Second Empire, le 4 mai 1864, « pour favoriser le
développement du commerce et de l'industrie en France ». Le premier président de la banque
est l’influent Eugène Schneider (1805-1875), maître de forges au Creusot, suivi
par Guillaume Deninger, dit Denière, puis par l’Écossais Edouard Blount. La banque
développe alors son réseau de manière importante en France, pour posséder un total de 32
postes en province en 1870 dont 15 à Paris. L’année suivante, Société Générale ouvre un
bureau à Londres.
Par la loi du 2 décembre 1945, le ministre des Finances René Pleven réorganise les
règles bancaires et nationalise les quatre principaux établissements de crédit, le CNEP,
la BNCI, le Crédit lyonnais et Société générale. La banque profite de la forte croissance de
l’après-guerre pour se développer en France. Dans le même temps le groupe continue son
expansion internationale, en Afrique, en Italie ou encore au Mexique. À partir de 1966, les
groupes bancaires n’ont plus besoin d’autorisation préalable pour ouvrir des agences, ce qui
favorise le développement du groupe en France.
Le 29 juillet 1987, Société Générale fait partie des trois grandes banques privatisées grâce à
ses bonnes performances. En 1988, une tentative d'OPA du groupe de Georges
Pébereau menée à l'initiative du gouvernement socialiste de l'époque conduit à l'affaire de
Société Générale.
En 1999, une bataille a lieu pour la prise de contrôle de Paribas, qui finalement sera
acquise par la Banque nationale de Paris. La même année, des acquisitions sont réalisées à
l’international, en Roumanie (Banque Roumaine pour le Développement, actuellement BRD),
en Bulgarie (Expres Bank) et à Madagascar.
Le secteur bancaire Ivoirien connait une embellie depuis l’année 2012, tirant profit de
l’essor économique amorcé au lendemain de la crise politique et militaire ayant rongé le pays
dans les années 2000.
Avec un taux de bancarisation ne dépassant pas les 20%, le secteur bancaire Ivoirien
a encore de beaux jours devant lui surtout avec les efforts en matière d’inclusion financière et
la nouvelle orientation vers le financement des PME. Selon une étude élaborée par Tunisie
Valeurs sur le secteur bancaire ivoirien, celui-ci affrontera des challenges se rapportant à la
mise en conformité des bilans des banques ivoiriennes avec les exigences du dispositif de
Bâle II et Bâle III adopté par la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO)
depuis 2018.
Le secteur bancaire ivoirien est très fragmenté. Néanmoins, il est dominé par les
grandes banques, dont la majorité est composée de filiales de groupes bancaires
internationaux et régionaux. Les analystes de Tunisie Valeurs focaliseront leur analyse sur les
10 premières banques, détenant ensemble une part de marché de 90% en termes de dépôts.
1 Les Missions
De manière succincte, nous décrirons les missions de chacune des directions dans
l’optique d’avoir une vue globale sur ces différents organes. Ainsi, nous avons :
2 Fonctionnement
La SGCI est une société anonyme (SA) et nous indiquons comme exemple
l’organigramme fonctionnel de l’agence du siège du plateau.
Visas chèques
Cette section comprend plusieurs caissières qui s’occupent de toutes les opérations
ayant rapport avec l’espèce, la section VISAS CHEQUE se caractérise par son effectif
exclusivement féminin. Elle est dirigée par Mme ABY APATA MARIE NICOLE qui est
secondée par Mme BEDA MONNEY LARISSA
La section administrative
Dirigée par MR KOUAME CELESTIN, cette section à sa charge le volet ressources
humaines de l’agence et la gestion de 3 (trois) guichets principaux
- Le guichet de remise chèque
- Le guichet de remise carte et de chéquier. Responsable Mme DANON VIVIANE
- Le guichet de remise de code et de relevés. Responsable Mme AHOUA BETCHO
5 - Les caissières,
L’agence plateau siège contre au total 10 caissières dont l’une est spécialement réservée
au personnel. Avant tout paiement elles doivent faire toute les vérifications possibles afin de
s’assurer qu’elles peuvent décaisser, dans le cas contraire elles se réfèrent aux conseillers
clientèles.
Présentation au de la direction générale
1. La Direction Générale (DG)
L’Administration et la Direction Générale est assurée par M. AYMERIC
VILLEBRUN. Il définit, organise et supervise la mise en œuvre de la stratégie et du plan de
la SGBCI adopté par le Conseil d’Administration. Il représente la banque dans les instances
professionnelles et auprès des autorités politiques et juridiques du pays. Il est assisté par Mlle
CHANTAL KOFFI.
2. La Direction du Contrôle Périodique
Cette Direction qui est dirigée par M. Nabil Tahari, elle a pour rôle de veiller au
respect des objectifs de l’entreprise.
1. Les services
La banque est une institution de prestation de services. Les services offerts à la clientèle
par la SGCI sont multiples.
2. Les virements
Le virement est une opération de transfert ou de réception de fonds d’un compte à un
autre. Nous en distinguons trois types :
Le virement simple (ponctuel) : c’est un virement qui se fait une seule fois
d’un compte à un autre. Exemple : SGCI vers SGCI ou SGCI vers BNI.
Le chèque de banque : c’est un chèque qu’établit la SGCI pour le règlement
d’un crédit ou prêt contracté par un client hors de la banque (SGCI).
Virement permanant : c’est un virement répétitif (automatique) à une date
précise (mensuelle, semestrielle, annuelle) d’un montant précis pour le compte
du donneur d’ordre (client) afin de verser ce montant sur son compte ou sur le
compte d’une autre personne (bénéficiaire). Il peut se faire entre compte de
même banque (SGCI vers SGCI) ou entre des comptes appartenant à des
banques différentes (SGCI vers BACI).
Le virement international : c’est un virement qui se fait entre deux banques
de pays différent, pour un règlement à l’étranger (SGCI vers SGBS). Il peut
être ponctuel ou permanant.
3. Les prélèvements
Le prélèvement bancaire est un transfert régulier de fond effectué par la banque sur
l’autorisation du client (d’un compte vers un autre) dans l’optique de régler des prestations de
service extérieur. Il peut être assimilé au virement bancaire permanant à une seule différence
que celui-ci, la somme virée est fixée par le bénéficiaire.
Ce bénéficiaire peut être par exemple une compagnie d’assurance, la CIE, SODECI,
Côte d’Ivoire Telecom à qui le client donne l’autorisation de prélever sur son compte le
montant correspondant au règlement des factures ou encore des primes d’assurance …c’est
cette autorisation qui transmet à la banque du client concerné pour exécution.
7. Le service de caisse
Le déplacement des clients est beaucoup motivé par les opérations de caisse.
Le retrait
C’est l’opération qui permet au client de rentrer en possession des fonds
disponibles sur son compte. Le retrait peut être effectué soit par le titulaire ou son Co
titulaire, soit par le mandataire ou un bénéficiaire désigné ; à l’aide d’un chèque
personnalisé ou d’un chèque de guichet.
Le versement
Le versement est une opération de caisse qui consiste à déposer de l’argent sur un
compte (son propre compte ou le compte d’une autre personne).
Le déposant remplit à cet effet un bordereau de versement et supporte lors de la saisie,
des frais de timbre de 100 FCFA.
La carte éclair est réservée aux clients qui ont des comptes : épargne, éco et Starter. Cette
carte donne droit à des retraits dans tous les DAB SGBCI d’un montant maximum de 250 000
FCFA/jour. Elle est de couleur bleue (numéro commençant par 6033…)
Frais annuel : 9 900 FCFA (sauf celle du compte Starter qui est gratuite).
Cette carte est destinée aux clients bonne gamme : salaire compris entre 450 001 et
2 000 000 FCFA.
- Frais annuel 25 000 FCFA.
- Retrait maximum de 300 000 FCFA/jour en Côte d’Ivoire et 1 000 000 FCFA à
l’étranger, elle est de couleur violette
- Découvert associé 200 000 FCFA
Elle est couverte par des assurances telles que : décès accidentel, accident de voyage,
perte ou vol de bagages, retard avion/bagages.
La carte VISA Premier
C’est une carte qui est réservée aux clients Patrimoniaux : salaire supérieur à 2 000 000
FCFA.
- Frais annuel : 70 000 FCFA
- Retrait maximum de 1 000 000 FCFA/jour en Côte d’Ivoire et 2 000 000 FCFA à
l’étranger, elle est de couleur jaune or.
- Découvert lié 200 000 FCFA
Elle bénéficie des assurances telles que : décès accidentel, accident de voyage, perte ou
vol de bagages, retard avion/bagages, véhicule de location, assistance médicale,
annulation/interruption de voyages, responsabilité civile à l’étranger, livraison internet
et assistance voyage.
Contexte
En 1993, la SGCI répond au souci de sécurisation de retraite de sa clientèle en lançant
le Plan Retraite Zénith (PRZ).
En 2006, ce produit de bancassurance devient PRZ performance offrant ainsi
davantage de garanties.
Définition
Le PRZ performance est un produit de bancassurance qui permet aux adhérents par
une cotisation régulière (mensuelle, trimestrielle ou annuelle) de se constituer une épargne
retraite complémentaire versée sous forme de capital (en une seule fois), de rente annuelle
certaine (chaque année durant une certaine période) ou de rente viagère (tant que l’adhérent
est vivant). C’est l’assurance d’une retraite tranquille garantie par Allianz-vie.
Conditions
Seul le client détenteur d’un compte chèque et âgé de 18 à 60 ans peut souscrire. Frais
d’adhésion : 6 000 FCFA.
Rentabilité
Le client bénéficie d’une rémunération de 3.5% par an, auquel s’ajoutera chaque année
une participation aux bénéfices. En cas de décès du client les ayants- droit reçoivent en plus
du montant épargné majoré des intérêts, un capital décès identique à la valeur du compte avec
un minimum de 150 000 FCFA et un maximum de 2 000 000 FCFA.
Avantages
Possibilité de rachat partiel ou total après 24 cotisations mensuelles ou 2ans de
cotisation
À la retraite l’adhérent peut faire le choix entre le versement d’ :
Un capital unique
Une rente annuelle certaine
Une rente viagère (revenu périodique à vie)
10.2 Yaconfort
Dans l’optique d’offrir à sa clientèle une prévoyance invalidité/décès, la SGBCI a lancé le
produit d’assurance « sagesse » en 1995.
Devenu en 2008 « sagesse plus », il évolue en 2010 « yaconfort » avec l’enrichissement
d’une garantie complémentaire permettant de faire face aux frais liés aux obsèques.
Définition
Yaconfort est une assurance prévoyance. Elle permet par une cotisation annuelle
minimum de 7000 FCFA de garantir les risques invalidité/décès et couvre les frais funéraires
en cas de décès.
Garanti par Allianz-vie, yaconfort est le meilleur produit d’assurance de prévoyance du
marché bancaire ivoirien parce qu’elle est la seule offre qui combine décès/invalidité et
indemnité funéraire.
Conditions
Cette assurance est destinée aux clients titulaires d’un compte chèque, éco, épargne et âgé
de 18 à 74 ans.
Garanties
Un quadruple garanti :
En cas de décès, le montant du capital souscrit est versé aux bénéficiaires.
En cas de décès accidentel, les bénéficiaires perçoivent en plus du capital souscrit
une indemnité forfaitaire supplémentaire.
En cas d’invalidité absolue et définitive, le client perçoit le montant du capital
souscrit.
Dans tous les cas de décès, un capital est versé au choix du client pour couvrir les
frais funèbres : 100% en nature ou 50% en nature et 50% en espèces.
Les avantages
La réponse à des attentes fortes et diverses regroupées en un seul contrat
Un rapport qualité des prestations /prix de commercialisation très compétitif
Une meilleure attractivité des produits par la baisse du prix
La tranquillité d’esprit (prise en charge des frais d’obsèques)
Yaconfort : propose deux formules et quatre options
Tableau 1 : des options
10.3 Certicompte
C’est une assurance prévoyance.
Contexte
Dans le souci de transmission d’un capital décès/invalidité et de couverture des débits en
compte des particuliers, la SGBCI met à la disposition de sa clientèle le produit d’assurance
CERTICOMPTE.
Certicompte vient étoffer le portefeuille de produit bancassurance de type Prévoyance
décès/invalidité.
Définition
Certicompte est un produit d’assurance consistant en un parrainage de compte. Il
permet par une cotisation annuelle de garantir en cas de décès du client toute cause ainsi que
l’invalidité absolue et définitive (IAD) du titulaire du compte.
Garanti par UA VIE, certicompte est le produit d’assurance qui permet, en cas de
disparition ou d’invalidité du client, de sécuriser son compte et de protéger financièrement ses
proches.
Conditions
Certicompte ne peut être souscrit que par les clients SGBCI titulaires d’un compte
chèque dont l’âge est compris entre 18 et 64 ans.
Tarification
Le montant annuel des primes est fixe à 6000/12000/18000p pour une couverture de
1000000/2000000/3000000.
Garanties
Le client bénéficie d’une double assurance couvrant à la fois les risques de décès et
d’invalidité absolue et définitive. En cas de sinistre le client perçoit pour lui et ses proches un
capital correspondant l’option de cotisation choisi à la souscription. Certicompte est valable
pour 1 an et se renouvelle par tacite reconduction à chaque échéance.
Contexte
Le 1 er juin 2008 la SGCI propose à ses clients une solution de couverture des risques liés
aux vols ou à la perte des moyens de paiement en lançant Quiétis.
Ce produit de bancassurance est optimisé en 2010 pour devenir « Quiétis plus » en
offrant davantage de garanties.
Définition
Quiétis plus est un produit de bancassurance qui permet de faire face aux dommages liés
à l’utilisation frauduleuse des moyens de paiement (carte magnétique et ou chéquier), de
même que les pièces administratives perdues ou volées simultanément.
Il est développé en partenariat avec ALLIANZ-VIE (assureur) et GRAS SAVOYE
(courtier gestionnaire)
Conditions
Être titulaire d’un compte à la SGCI et détenteur d’un moyen de paiement (chéquier et ou
une carte magnétique)
Tarification annuelle 15 000 FCFA pour le titulaire et 7 500 FCFA pour le Co-titulaire.
Garanties
Une triple garantie :
Exonération des frais de mise en opposition et de recréation de la carte.
Sécurité financière : jusqu'à 150 000 FCFA de remboursement pour toute perte
pécuniaire subie en cas d’opérations frauduleuses effectuées par un tiers à l’aide de
vos moyens de paiement.
Sécurité papiers jusqu’à 50 000 FCFA des frais de remplacement de papiers perdus ou
volés en même temps qu’un moyen de paiement.
Contexte
La SGCI consolide son offre sur le marché concurrentiel de la bancassurance en
proposant en 2010 à sa clientèle de particuliers une assurance Multirisque Habitation « MRH
Assurance ».
Définition
MRH assurance est un contrat d’assurance TIARD (Transport-Incendie-Accident-Risque
Divers) qui permet au client d’être indemnisé en cas de dommages subis par son habitation,
protège les biens contenus dans l’habitation et assure également la couverture de la
responsabilité civile en tant que chef de famille ou en tant que propriétaire.
Conditions
Être titulaire d’un compte chèque, éco ou épargne. Être propriétaire occupant ou non d’un
logement, ou être locataire.
Garanties
Cette assurance garantie :
Les dommages causés à votre habitation (incendie, vol, dégât des eaux, dommages aux
appareils électrique).
Sinistre de vos biens personnels (mobilier, appareils électroménager, effets personnels,
bijoux…).
Dommages causés à des tiers par les personnes, animaux ou objets dont vous êtes
responsable (responsabilité civile).
10.6 Sogétude
C’est l’assurance des études de vos enfants.
Contexte
Le 12 août 2012 la SGCI lance son premier produit d’assurance « Etude » pour
accompagner sa clientèle de particulier dans la couverture des frais d’études de leurs enfants.
Définition
Sogétude est un produit d’assurance Vie qui permet à l’assuré, moyennant le paiement de
cotisations périodiques (mensuelles ou annuelles), de se faire verser au terme de la période de
cotisations, un capital unique (en une seule fois) ou une rente annuelle (qu’il percevra 6 fois
pendant 5 ans) en vue d’assurer l’éducation de ses enfants. Sogétude est assuré par Colina
Vie.
Conditions
Être titulaire d’un compte chèque, être âgé entre 21 à 60 ans. Frais d’adhésion 5 000 FCFA.
Garanties
En cas de vie de l’assuré au terme de la période de paiement des cotisations, le client
a le choix entre le versement d’un capital unique ou d’une rente annuelle pendant 6
ans.
En cas de décès ou d’invalidité totale et permanente de l’assuré avant le terme de la
période de paiement des cotisations, les cotisations sont immédiatement arrêtées. Il
est versé au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) le capital unique ou une rente annuelle
pendant 6 ans.
11. Les crédits (prêts)
Un prêt ou crédit est un contrat par lequel une chose, une somme est octroyée sous
certaines conditions (prélèvement d’intérêt). L’objectif de toutes banques est de vendre de
l’argent aux clients qui en ont besoin en vue de tirer profit.
Conditions
Pour pouvoir solliciter ce prêt, il faut avoir un compte chèque et souscrire à une
assurance décès/invalidité.
Avantages
C’est un crédit dont, comme son nom le dit, l’obtention se fait en un temps record (48
heures) après avoir rempli les formalités.
Souplesse dans le remboursement (remboursement par mensualité constante).
Anticipation sans frais
Remboursement pouvant aller de 18 à 24 mois.
Bénéficier d’un crédit allant de 100 000 FCFA à 2 000 000 FCFA.
Conditions
Ce prêt est réservé aux clients qui ont un compte chèque. Ils doivent par ailleurs souscrire
à un produit d’assurance décès / invalidité et un produit d’épargne bloqué.
Avantages
Profiter de taux modulables en fonction de la durée de remboursement de l’emprunt.
Bénéficier d’une durée de remboursement pouvant aller de 12 à 60 mois.
Avoir la liberté de choisir le montant escompté.
Avoir la possibilité de bénéficier d’un prêt minimum de 500 000 FCFA.
Conditions
Être titulaire d’un compte chèque et souscrire à une assurance décès/invalidité.
Avantages
Conditions avantageuses négociées par la SGBCI, auprès d’une compagnie d’assurance
agréée.
Condition
Il faut être titulaire d’un compte chèque.
Avantages
Le client peut bénéficier de remises exceptionnelles.
Diversité de partenaires commerciaux.
Taux préférentiel de financement.
Condition
Être titulaire d’un compte chèque.
Avantages
Disposer de fond tout en ayant un compte débiteur.
12 IZI PC (prêt réservé au compte Package Starter)
IZI PC est un prêt à la consommation réservée aux élèves et Étudiants pour l’acquisition de
leur ordinateur, auprès des partenaires de la SGBCI.
Conditions
Être titulaire d’un compte PACKAGE STARTER.
Avoir la caution d’un parent ou tuteur, détenteur d’un compte chèque à la SGBCI.
Avantages
La flexibilité des remboursements.
Prêt accessible à partir de 11 000 FCFA par mois.
Possibilité de bénéficier de tarifs préférentiels chez les partenaires fournisseurs
d’équipements informatiques.
Montant compris entre 250 000 et 650 000 FCFA.
Durée de remboursement : 12, 18, ou 24 mois.
Conditions
Être titulaire d’un compte chèque.
Avantages
Bénéficier d’une somme allant de 250 000 à 5 000 000 FCFA.
Taux d’intérêt exceptionnel (7%).
Condition
Disposé des documents qui prouvent que vous êtes nouveau fonctionnaire, le ministère
dans lequel vous travaillez.
Avantages
Ouverture d’un compte cheque sans apport initial,
Exonération des frais de tenue de compte pendant 12 mois,
Carte bancaire VISA électron gratuite la 1ere année
Taux d’intérêt préférentiel fixe à 9,80% HT,
En cas de décès et d’invalidité absolue et définitive du client ; il est exonéré
des intérêts calculés sur l’avance et remboursement du capital par le fond de
garantie
12. Les épargnes bloquées
Une épargne bloquée est une somme d’argent que le client décide de se faire prélever
pendant une certaine période.
13.1 Messalia
Messalia est le service de banque à distance permettant à l’abonné de recevoir par SMS
les informations relatives à son compte bancaire (chèque, éco, Package Starter et épargne).
Messalia existe sous deux formes :
a. Hebdomadaire : coût 1 000 FCFA / mois, 2 SMS par semaine qui vous donne le
solde veille, les détails des 5 dernières opérations et vous donne des informations
quant à la disponibilité de vos moyens de paiements (chéquier et carte magnétique) en
agence.
b. Hebdomadaire évènementiel : coût 1 500 FCFA / mois qui donne droit à 2 SMS par
semaine, vous donnant votre solde, les détails des 5 dernières opérations plus 1 SMS à
chaque opération effectuée (alerte en cas d’opération effectuée à votre insu) et vous
informe quant à la disponibilité de
Vos moyens de paiement à agence.
3. Quels sont les instruments que nous utilisons pour gérer notre clientèle ?
Comment ? Nos instruments
Nous définissons les instruments avec lesquels nous voulons nous adresser aux groupes
cibles choisis et créons un paquet de mesures. Les instruments se rapportent : au produit au
prix à la communication à la distribution