Cour Droit Et Transport
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Partie 1:
Contrat de transport
Intervenant
Convention : renter dam, Bruxelles, Hambourg
Document de transport .Bill of loading, air way bil feuille de route, lettre de transport
Contrat :
Regroupe au moins trois partie : expéditeur, transporteur, destinataire. L’objet ou contrat est la
marchandise.
Transitaire : intervient sur une partie du transport, comme le post acheminement ou pre
acheminement.
Formation du contrat
Début : consentement
Fin : livraison
Au chargement : établir la lettre de resserve
Exonération : force majeur
Le contrat de déménagements
C et un contrat dans lequel le déménageur va offrir plusieurs prestations de service,
consistant essentiellement à démonter les matériels à les faire emballes, les faire
embarques dans un véhicule, les déplacées du l’ancien site vers le nouveau site, les
faire débarquées, les désemballées et les installées. Cela veut dire que dans le
déménagement et le déplacement n’est autre qui une prestation seulement promise
par le déménageur. C’est la raison pour laquelle en principe on considère que le
déménagement ce n’est pas les catégories des contrats de transport.
Le contrat de manutention
Dans celui-ci le manutentionnaire ou l’entreprise de manutention effectue comme dans
le déménagement plusieurs prestations :
Prise en charge de la marchandise
Le déplacement jusqu’ au niveau de l’engin (navire, avion)
Embarquement jusqu’ à bord
Procède à sa fixation dans l’appareil
Arrimage
A l’inverse il procède le désarrimage
Au débarquement de la marchandise
Le déplacé jusqu’ au lieu de livraison. (transport= expéditeur,
transporteur, destinataire.)
Le transport baigne dans un environnement tel que le contrat de transport s’insère dans un
ensemble contractuel, dans un groupe de contrat surtout en ce qui concerne le transport
international. Ces contrat connexes sont essentiellement me contrat d’assurance, le contrat de
vente mais aussi des contrats de paiement qui se fait souvent par crédit bancaire.
Le droit du transport suppose des infrastructures d’appui au transport, c’est le cas des
aéroports pour l’avion, des ports pour le maritime et des gares routières et ferroviaire pour le
terrestre. Ces infrastructures sont indispensable pour le transport, bien qu’on puisse les en
déchachés, non seulement du produit de vue institutionnel (notamment en fonction des
ministères en charge des infrastructures respective) mais aussi du point de vue juridique et
règlementaire.
Il existe également les auxiliaires de transport qui entrent dans l’objet du droit de transport. Il
s’agit des intermédiaires dont l’intervention est nécessaire voir indispensable à la réalisation du
transport. Ils interviennent à tous les niveaux :
Ils interviennent en général en qualité de mandataire de l’une des parties. C’est le cas du
courtier, du manutentionnaire, transitaire, consignation de transport, commissionnaire en
douane…..
C. L’importance du transport
Le niveau du développement d’un pays se mesure également dans la qualité des infrastructures
mais aussi dans la fluidité du système de transport. Toutes les cargaisons de marchandise aussi
bien à l’importation qu’a l’exportation utilisent des moyens de transport pour arriver à
destination. Les déplacements des opérateurs se font également par le moyen de transport
même si aujourd’hui l’informatique permet d’économiser et de réduire les déplacements des
personnes.
Chapitre 1 Convention Internationale Et Texte De Base En Droit De
Transport
L’objectif prédominant des conventions international est l’unification des règles relative à
l’exécution du contrat de transport (établissement de documents de transport), responsabilité
de transporteurs, indemnisation des ayants droit.
Les conventions constituent ainsi un droit uniforme applicable dans tous les états signataire, qui
s’impose et se substitue au droit nationaux et présente par là le caractère du droit
international. Toutefois, les rédacteurs des conventions n’ont pas eu pour ambition de régler
du contrat de transport mais seulement le point essentiel pour lesquels des règles unique et
clair devraient être fixes. À titre d’exemple, la convention de Bruxelles de 25 aout 1924, pour le
transport des marchandises par voie maritime sous connaissement a été rédigée pour les
objectives suivantes :
Par ailleurs, les conventions international peut aussi servir de rande de lancement un véritable
droit commun de transport des lors que certain pays non seulement mais adapte a un usage
interne pour le transport nationaux.
L’initiative peut venir d’un pays, relayer ensuite par une constitution international exemple :
ministre de transport transmettant les problématiques à un représentant d’une organisation
international mais l’initiative peut également venir des professionnels pour le création ou la
modification d’un texte de loi a travers les fédérations, les associations.
La seconde étape est la création d’une commission en cour de laquelle les états (signataire)
sont amener à participer, en donnera ensuite la problématique à des experts chercheurs, des
spécialistes qui réalisent le travail de préparation du texte. La particularité des conventions
internationales est que la création du texte subit diverse influence en fonction des différents
lors des pays concerné et donc subit diverses modification. Le texte est ensuite propose et
signes par les pays acceptant les termes de la convention.
C. Les conventions en fonction de transport
Convention CMR : convention sur le transport routier de marchandise (1956 à guerre), elle
règle les droits et obligation du transporteur mais aussi de l’expéditeur et du destinateur.
Elle édicte également les documents indispensable qui doivent être utilisé par le
transporteur (lettre de voiture international faisant apparaitre le nom de l’expéditeur,
destinateur, transporteur les date de départ et d’arriver, type de marchandise, les
assurances, port payes et port dû).
Convention TIR : transportement routier, utiliser pour le passage en douane à l’entrée ou la
sortie d’une marchandise dans un pays donne. Elle a été mise en place à l’initiative de la
commission des E.U en 1949, puis en 1959 pour l’établissement de la première convention
qui sera modifié a plusieurs reprise pour arrive qu’ système actuel.
-transport ferroviaire :
Convention CIM : convention international des marchandises précisément signe 1890, c’est
la plus ancienne convention et la version actuelle date de 1999. Elle n’est pas si différente
de la CMR, puisque l’on s’en et inspire pour la modification. A la différence du transport
routier celui-ci est assure dont son nombre de pays par des entreprise national. Il y a donc
toujours plus ou moins un lien avec le service public et l’état. En France par exemple : le
SNCF a une concession d’exploitation (contrat public entre la SNCF et l’état), c’est à dire
monopole d’exploitation à la fois pour le transport de marchandises et des voyageurs.
-transport aérien :
Convention de Varsovie (1929) applique largement sur les plupart des états sur le monde.
Elle met en place des barèmes d’indemnisation en cas de dommage cause à la marchandise
et au voyageur. Cette convention courte de manière commune les marchandises et
voyageurs et réglés les questions de bagages.
Convention de Montréal(1999) : elle est mise en place par l’organisme d’une aviation civil
international(OACI). Cette organisme fixe les conditions a remplir pour être pilote d’avion,
pour que la compagnie aérienne garde sa licence de transport aérien ; etc… cette
convention est entré en vigueur en 2003 par les états qui l’on ratifier et qui permet entre
autre de fixer une meilleur indemnisation des victimes en de dommage.
Convention de Chicago(1944), elle fixe les règles de l’aviation civile internationale (rapport
d’aéroport à aéroport, ligne aérienne, consigne de sécurité….)
-transport maritime
Convention de Bruxelles(1924). Elle est mise en place à l’initiative des compagnies maritime
(professionnel amateur) et qui leur est donc très favorable (moindre cout et moindre
responsabilité.
Convention de Hambourg(1978) : elle est modifiée en 1992, elle a été adopte par
l’intermédiaire de la soumission des nations unies pour le droit commerciale international.
Elle est peut appliquer car plus intéressantes par le client que pour les armateurs.
La notion de transport est circonscrite, d’une part pour son objet consistant le déplacement
d’une chose ou d’une personne, et d’autre part par le moyen utilisé pour réaliser ce
déplacement notamment grâce à un appui mobil. En générale un contrat est signé et désigne
les obligations juridiques des partis. Les obligations sont fondamental plus qu’en matière de
transport ce sont elle qui permettront de retenir la qualification du contrat de transport.
Le transport est le contrat par lequel une personne dénommé transporteur s’engage à assurer
un déplacement contre une rémunération. Autrement dit « le contrat de transport est une
convention par laquelle un transporteur professionnel (voiturier) s’engage à déplacer une
certaine quantité de marchandise(envoie) d’un point à un autre, contre rémunération selon un
mode de transport déterminé, dans un délai fixée par un texte légale ou règlementaire par la
convention des parties ou par l’usage». L’obligation principale est-elle de déplacer une
personne ou une chose d’un lien à un autre. Le juge est tenu de vérifier cette obligation (cour
de cassation 15janvier 1988).
Cette définition a été proposé par la doctrine mais n’existe pas dans le texte de commerce crée
un statut original au contrat de transport. Mais ne donne aucune définition, car ils permettent
seulement de distinguer ce contrat des autres contrats voisin. L’itinéraire est à adopter à peu
d’importance, et c’est toute les lois essentiel le confirme, le trajet est commander par les
moyens de transport utilisé : ce qui compte est le produit de départ et les produits d’arrivée.
Peu importe le chemin emprunter.
Ainsi en matière de transport, la vitesse pour être considérer comme un élément importer du
déplacement.
1. le déplacement.
C’est l’objet de tout contrat de transport. Les différents éléments de déplacement permettront
de distinguer le contrat de transport des autres conventions voisines. Les éléments sont
important et précise la prestation promise par le transporteur et attendue par le contractant.
Cette détermination suppose la stipulation, d’un lieu de départ et d’un de destination. Le lieu le
plus important et le lieu de prise en charge (formation exécution prise en charge fin de contrat),
il doit être fixé avec précision car il déclenchera le transport. D’ailleurs en droit international, à
défaut de choix, on appliquera les lois de remise au premier transporteur le lien de prise en
charge. Les actes matériels vont faciliter la distribution du transport et du mondât. En effet, le
mondât suppose des actes juridiques et n’admet l’exécution d’acte matériels à titre accessoire.
En matière de transport les actes matériels sont fondamentaux il peut y avoir un cumul de
contrat : ainsi l’expéditeur peut demander à un voiturier de transporter une marchandise qui
lui a son tour va donner mondât à un autre transporteur et par la suite d’obtenir le paiement
contre le remboursement l’expéditeur peut aussi demander au transporteur de procéder au
dédouanement de la marchandise. L’organisation du déplacement permet de distinguer le
transport des commissions de transport. Dans les 2 contrats, le débiteur est libre son parcours à
suivre il organise le transport à sa guise, mais le voiturier va intervenir simple alors que le
commissionnaire va recourir a d’autre personnes pour réaliser l’acheminement.
2. la maitrise de l’opération.
Le contrat de transport n’est du seul accord des volontés de l’expéditeur et son transporteur.
Ainsi la rencontre d’une offre et d’une acceptation suffi à former le contrat de transport.
L’acceptation peut être verbal ou encore déduise de l’exécution du contrat de transport
propose.
Bien que le transport est conscientiel, il va néanmoins dans le plus part de temps donner lieu à
la délivrance d’un titrer de transport, dont le rôle est à la fois administratif et probatoire
(moyen de preuve).
A. Nature du contrat.
La conclusion du contrat de transport suit les règles du droit commun. Le contrat conscientiel, il
se forme de l’échange du consentement. Cette pratique se retrouve dans le domaine du
transport routier : conclusion par entretient téléphonique ce n’est pas un contrat réel, ce qui
supposerait que le contrat ne se forme que pour le remise de la chose qui est le premier acte
d’exécution du contrat. Le contrat se forme avant le chargement. Le transporteur commet une
faute s’il ne se présente pas chez l’expéditeur le jour convenu pour charger les marchandises.
Le contrat de transport n’est pas non plus solennel (remise d’un écris) mais exception :
Dans le domaine de transport fluviale le code de voie navigable exige que le contrat de
transport fluviaux s’il a un contrat solennel. Tout contrat doit être rédigé par écris sous
peine de nullité absolu.
Transport ferroviaire internationaux : il résulte de la règle uniforme des conventions
internationales sur les marchandises en matière ferroviaire. Le contrat de transport
ferroviaire est un contrat solennel et en réel. On requiert l’exigence d’un écris : la lettre
de voiture international est l’exigence de la remise de leur
marchandise pour que le contrat soit formé.
C. L’objet du contrat.
Le contenu de la prestation : le donneur d’ordre doit fournir au transporteur, l’ensemble des
informations préalable, nécessaire à la bonne exécution du contrat de transport.
E. La matérialisation du contrat.
Pour que la responsabilité du transporteur puisse être engagée, il faut prouver l’existence d’un
contrat de transport, et en déterminer les règles particulières. Dans le cas du transport routier
de marchandise la preuve est facilitée par l’existence de trois documents :
Les documents de suivi qui vérifie l’exécution de condition prévue dans le document de
cadrage accepté par le client.
La lettre de voiture (c’est un document de transport routier) est si besoin un état
récapitulatif qui définit les conditions d’accompagnement de la marchandise.
L’ordre de mission qui définit la réalisation de la mission donnée au conducteur de
transporter une marchandise.
Chapitre 4 : l’exécution du contrat de transport.
Le moment de cette prise en charge : moment qui marque le début de la période pendant
laquelle le transporteur devra répondre de la marchandise. Cette opération de prise en charge
implique des obligations pour le transporteur et pour l’expéditeur.
1. Obligation du l’expéditeur.
Il appartient à l’expéditeur de choisir un mode de transport approprié. Cela signifie qu’en cas de
transport défectueux lié au choix du mode de transport, le destinataire n’aura pas à agir contre
le transporteur mais contre l’expéditeur.
L’expéditeur doit assurer le conditionnement pour que la marchandise sorte de placer dans des
conditions favorable quel que soit la mode de transport.
La prise en charge se traduit par la délivrance d’un récépissé. Avant de délivrer ce récépissé le
transporteur dispose de certaine prérogative :
3. Le chargement du véhicule.
Dans le transport ferroviaire : le délai de chargement sont impérativement fixé dans le tarif et
commence à partir du moment de la mise à disposition du wagon.
Dans le transport aérien, les compagnies aérienne ne présente d’engagement dans le délai. Un
retard anormal peut être mis à la responsabilité du transporteur. Les contrats type doit prévoir
a fixé une heure de mise à disposition du véhicule pour l’expéditeur.
Dans le transport fluvial : le chargement est une pratique ancienne. Il sert dans le délai le plus
bref possible : une place à quai coûte cher.
B. La livraison de la marchandise.
1. La notion de livraison
En pratique ces deux types de livraison coïncide au lieu où se trouve le destinateur. Notamment
le destinateur a trois jour pour contester en cas d’avarie et donc le délai pour agir ne sera pas le
même selon que l’on se réfère à la livraison matérielle ou à la livraison juridique. Les deux
conceptions ont été mélangées en jurisprudence pendant longtemps. D’après la cour de
cassation, la livraison en matière de transport est l’OPS par laquelle, le transporteur ait remis la
marchandise à l’ayant droit. Pour qu’il ait de livraison il faut trois conditions :
Ainsi en matière de transport la livraison implique le déchargement totale du véhicule pour que
le destinateur précise prendre possession de la marchandise après en avoir vérifié son état.
2. La réalisation de la livraison
CHAP 5
Les règles applicables en termes de transport maritime et les responsabilités
Le transport maritime est le fait de déplacer des personnes ou des marchandises sur la mer. Les
assurances maritimes vont concerner les entreprises en leur qualité de propriétaire de navire
ou bien en tant que responsable du transport. Les assurances maritimes dépendent de la
règlementation de transport maritime auquel s’applique ce qui va donc faire référence aux
événements en mer ainsi que sur les responsabilités du propriétaire du navire.
Il y a l’armateur propriétaire et l’armateur au sens strict. Ce dernier est celui qui arme le navire
er qu’on appelle (armateur) exploitant technique. Le transporteur quant à lui est celui émet le
contrat de transport et qui en assure la responsabilité (exploitant commerciale).
En cour de transport maritime, les risques et péril que rencontre les navires ou l’équipage sont
perçu comme un danger dont il faudra au mieux barré la survenance. Et au pire atténuer les
conséquences dommageables. C’est ainsi en cas d’accident maritime que la théorie des
événements en mer organise le mécanisme de responsabilité et de réparation fondé sur la
solidarité des acteurs de l’expédition du fait de leur exposition conjointe au même risque.
(Avarie commune)
1. L’abordage maritime
C’est la collision entre deux bâtiments de mer dont l’un est moins un navire. Il existe différent
type d’abordage :
Elle est caractérisée par le secours qu’un navire porte à un navire en danger de se perdre.
L’assistance est réagie par les articles L5132-1 du code de transport. Qu’elles sont obligatoire,
sollicité ou spontané, l’assistance donne lieu à une rémunération (si bien sur elle porte ses
fautes).
Elle est fixée contractuellement entre les parties, s’il n y a pas eu fixation ou litige, c’est au juge
de statuer. Celui qui doit payer c’est l’armateur et généralement ce sont ses assureurs qui
payent.
Perte ou dommage subit par le navire ou sa cargaison, ainsi que les dépenses fait pour
sauvegarder ces biens, lors de la survenance d’un évènement en mer. Il faut distinguer les
avaries commune des particulières :
- Elles sont communes quand elle concerne, les sacrifices faites, et les dépenses exposés
pour le salut commun et pressant des intérêts engagés dans une expédition maritime.
- Les avaries particulières : ils sont supportés par le propriétaire de la chose qui a souffert
des avaries et qui va se faire rembourser par son assureur.
Si l’accident s’est produit en cour de voyage, le transporteur n’est responsable que si une faute
est prouvé à son encontre ou à l’égard de ses préposés. Si l’accident corporel est causé par un
sinistre majeur (naufrage, abordage, échouement, explosion, etc…..). C’est une faute présumé
et dans ce cas-là la faut nautique n’exonère pas le transporteur.
2. Le retard.
C’est une responsabilité pour faute prouvé c’est-à-dire que le réclamant doit prouver que le
retard est dû soit à l’innavigabilité du navire, soit à un manquement du transporteur à son
obligation de sécurité de ses passagers, soit à une faute commerciale de ses préposés. Le
transporteur en revanche est présumé au cas où le départ du navire ne s’est pas fait dans les
bonnes conditions ou en cas d’interruption prolongé d’un voyage. En cas de dommage sur les
bagages, le régime de responsabilité est le même que celui du transporteur de marchandise. En
revanche, le régime de responsabilité pour faute prouvé s’applique aux effets personnels ainsi
qu’au bagage de cabine.