ORL - Questions
ORL - Questions
ORL - Questions
a. Otorrhée
b. Otalgie
c. Surdité
d. Altération de l’état général
e. Paralysie
a. Pyocyanique
b. Pneumocoque
c. Escherichia Coli
d. Mycoplasma pneumoniae
e. Streptocoque A
4. Un nourrisson de 18 mois a, depuis l’âge de 10 mois, des otites aiguës récidivantes survenant en
moyenne dans les 2 mois et traitées, à chaque fois, soit par antibiotique, soit par paracentèse
suivie d’une antibiothérapie. Dans l’intervalle des otites, les tympans sont rétractés : l’audiométrie
est normale. Quel traitement proposer ?
a. Streptocoque hémolytique
b. Haemophilus influenza
c. Proteus
d. Bacille pyocyanique
e. Staphylococcus aureus
a. L’otorrhée
b. L’otalgie
c. La surdité
d. L’altération de l’état général
e. La paralysie facial
a. Un retard du langage
b. Une courbe plate à l’impédancemétrie
c. Une surinfection de l’oreille moyenne
d. Une rhinorrhée aqueuse
e. Une hypoacousie de transmission
a. Rhinopharyngites compliquées
b. Otites aiguës à répétition
c. Angines à répétition
d. Insuffisance vélaire
e. Imperforation choanale
9- Le traitement antibiotique de choix d’une otite moyenne aiguë de l’enfant repose sur :
a. Ampicilline
b. Tétracyline
c. Macrolide
d. Aminoside
e. Chloramphénicol
a. Hypacousie
b. Mastoïdite à Haemophilus influenzae
c. Méningite à pneumocoque
d. Paralysie faciale
e. Paralysie récurrentielle
11. L’otite aiguë de l’enfant de plus de 3 ans est ,le plus fréquemment, due à :
a. Streptocoque hémolytique A
b. Pneumocoque
c. Bacille pycocyanique
d. Proteus mirabilis
e. Haemophilus
12- Un enfant de 3 ans se plaint d’une otalgie dans un contexte de rhinopharyngite. L’otoscopie
retrouve un tympan très inflammatoire et bombant. Le traitement consiste en :
a. Antibiothérapie par voie générale
b. Association quelconque d’un antibiotique et d’un corticoïde et d’un corticoïde en installations
auriculaires
c. Paracentèse
d. Anti-inflammatoires sans autres médicaments
e. Aérateur transtympanique
13. Une otite purulente aiguë à tympan fermé, non compliquée, se manifeste par :
a. Tympan bombant
b. Effacement des reliefs du tympan
c. Chute de la paroi postéro-supérieure du conduit auditif externe
d. Tympan rétracté
e. Phlyctènes sur le tympan
16. En l’absence d’examen bactériologique, le traitement anti-infectieux d’une otite purulente chez
un nourrisson ne doit pas comporter :
a. Colistine (Colimycine*)
b. Ampicilline (Totapen* par exemple)
c. Josamycine (josacine*)
d. Chloramphénicol
e. Cotrimoxazole (Bactrim*)
a. Poly microbienne
b. Volontiers bilatérale chez le nourrisson
c. D’origine rhinopharyngée
d. Peu fréquente chez l’enfant
e. Toujours saisonniére
a. Ampicilline
b. Tétracycline
c. Macrolide
d. Aminoside
e. Chloramphénicol
20. Cas clinique : le 25 février, vous diagnostiquez une rhinopharyngite compliquée d’otite
moyenne aiguë suppurée chez un enfant de 1 an. Il avait déjà eu une otite semblable au mois de
novembre, dont vous aviez contrôlé la guérison. Il n’a pas été malade entre temps.
a. Paracentèse
b. Antibiothérapie
c. Gouttes antiseptiques intra-auriculaires
d. Amygdalectomie au décours de l’épisode aigu
e. Adénoïdectomie au décours de l’épisode aigu
20.2. Quinze jours plus tard, vous examinez ses tympans : ils sont mats, discrètement bombants en
périphérie, parcourus par de fins vaisseaux disposés en rayon de roue. On distingue une bulle d’air
à travers la para tensa du tympan. Il s’agit de :
20.3. Un mois après, au décours d’une rhinopharyngite à deux heures du matin, vous êtes appelé
au domicile de l’enfant qui présente une dyspnée laryngée. Il s’agit de :
a. Polypnée
b. Bradypnée
c. Dyspnée à prédominance expiratoire
d. Dyspnée à prédominance inspiratoire
e. Dyspnée avec tirage sus claviculaire
20.4. Le cri est normal, la toux est rauque, la température est à 38° C, l’enfant avale normalement.
Il s’agit de:
a. Laryngite sous-glottique
b. Epiglottite
c. Corps étranger bronchique
d. Bronchiolite
e. Angiome sous-glottique
21. Cas clinique : Un enfant de 2 ans souffre de l’oreille gauche depuis 24 heures. C’est le premier
épisode de ce type. La semaine précédente. L’enfant était enrhumé. L’otoscopie découvre du côté
douloureux une membrane tympanique congestive et bombée avec disparition des reliefs et du
triangle lumineux. Le reste de l’examen clinique est normal en dehors d’une petite bifidité de la
luette. La température est à 38.3°C.
21.3. Les otites moyennes aiguës suppurées de l’enfant de 6 mois à 2 ans sont dues
essentiellement à :
a. streptocoque
b. Pneumocoque
c. Staphylocoque
d. Au colibacille
e. Haemophilus
21.4. Une otite purulente aiguë à tympan fermé, non compliquée se manifeste par :
a. Tympan bombant
b. Tympan rétracté
c. Chute de la paroi postéro-supérieure du conduit auditif externe
d. Effacement des reliefs du tympan
e. Phlyctènes sur le tympan
a. Hypoacousie
b. Mastoïdite à Haemophilus influenzae
c. Paralysie récurrentielle
d. Paralysie faciale
e. Méningite à pneumocoque
22. Parmi les entités cliniques suivantes, l’une est considérée comme précurseur des autres :
a. Otite adhésive
b. Otite atélectasique
c. Otite muqueuse ouverte
d. Otite séro. muqueuse
e. Otite tympanosclérotique
a. dépression intratympanique
b. perforation tympanique non marginale
c. lyse ossiculaire
d. otorrhée muco. purulente
e. infiltration muqueuse lympho. plasmocytaire
a. Labyrinthisation fréquente
b. Membrane tympanique fixée
c. Fragilisation tympanique
d. Hypertrophie du tissu conjonctif
e. Caisse du tympan virtuelle
a. Ostéite postérieure
b. Dysfonction tubaire constante
c. Fréquence de l’otorrhée séro. muqueuse
d. Fréquence proportionnelle à celle du cholestéatome
e. Persistance d’air dans la caisse
a. Labyrinthisation brusque
b. Lyse compléte de la chaine ossiculaire
c. Signe de la fistule
d. Paralysie faciale
e. Mastoïdite extériorisée
a. Cholestéatome
b. Méningite
c. fracture labyrinthique
d. fractures ethmoïdales
e. fracture du toit de caisse du tympan
a. hypoacousie de transmission
b. otorrhée purulente et fétide
c. adénopathies cervicales bilatérales
d. perforation de la pars flaccida du tympan
e. lyse de la chaîne ossiculaire
35. Cas clinique : Un sujet de 35 ans est hospitalisé pour méningite purulente à pneumocoque.
L’évolution est favorable sous traitement antibiotique .La fièvre et le syndrome méningé ont
disparu et la ponction lombaire à J3 montre l’absence de germes et la diminution de la
protéinorachie. L’examen ORL motivé par la présence d’une otorrhée purulente et fétide gauche,
permet de noter après aspiration sous microscope une poche de rétraction de la membrane de
Shrapnell, non contrôlée et bordée d’un polype. On note dans les antécédents de ce malade une
tuberculose pulmonaire traitée il y a 5 ans, un ulcère de l’estomac traité médicalement il a 2 ans,
une otorrhée gauche intermittente depuis 2 ans et quelque otite dans l’enfance.
35.2. Quels examens par cliniques doit on demander en urgence pour compléter le bilan ORL ?
a. IRM cérébral
b. Scanner de la mastoïde
c. artériographie
d. ECB du pus et antibiogramme
e. audiogramme
35.3. Dans les otites chroniques cholestéatomateuses, quelles sont les propositions exactes ?
35.4. Certaines des complications suivantes sont très évocatrices du cholestéatome. Deux sont
exactes Lesquelles ?
a. Labyrinthisation brusque
b. Lyse compléte de la chaine ossiculaire
c. Signe de la fistule
d. Paralysie faciale.
e. Mastoïdite aigue
35.5. Certains des éléments suivants caractérisent l’otite cholestéatomateuse . Trois sont exactes :
lesquelles ?
37. Les épistaxis récidivantes chez l’adolescent, sont, le plus fréquemment, dues à :
a. Angiofibrome nasopharyngien
b. Fibrome saignant de la cloison
c. Tumeur nerveuse des fosses nasales
d. Epithélioma glandulaire de l’ethmoïde
e. Sarcome des fosses nasales
38. Un adulte de 50 ans présente une obstruction nasale progressive accompagnée d’épistaxis
récidivantes. Quel(s) diagnostic(s) doit.on envisager ?
a. Végétations adénoïdes
b. Ectasie de la tache vasculaire
c. Polypose nasale
d. Fibrome nasopharyngien
e. Tumeur de l’ethmoïde
a. Larynx
b. Sinus maxillaire
c. Ethmoïde
d. Cavum
e. Amygdale
41. Un adolescent présente de fréquentes épistaxis associées à une obstruction nasale unilatérale.
Que suspectez.vous ?
a. Angiofibrome nasopharyngien
b. Polypose nasale
c. Sinusite chronique
d. Anomalie de crase sanguine
e. Angiomatose de rendu.osler
42. Lors d’une épistaxis antérieure, l’hémorragie siège le plus souvent au niveau de :
a. Méat moyen
b. Tache jaune
c. Cornet moyen
d. Tache vasculaire
e. Face interne de la narine
43. Devant une épistaxis recidivante chez un adolescent, quelle est la cause qui doit être
immédiatement évoquée et recherchée ?
44. L’épistaxis grave et récidivante, chez un adolescent, est volontiers due à :
a. Polype allergique
b. Fibrome nasopharyngien
c. Fracture de l’étage antérieur
d. Maladie de Hand.Schûller.Christian
e. Maladie de Rendu.Osler
48. Des épistaxis peuvent apparaître dans la (les) circonsatance(s) traumatique(s) suivante(s) :
49. Une épistaxis peut apparaître dans la (les) circonstance(s) traumatique (s) suivante(s) :
51. La notion d’exposition prolongée à la sciure de bois doit faire rechercher un cancer de :
a. cavum
b. sinus piriforme
c. l’ethmoïde
d. corde vocal e
e. l’amygdale
52. Une obstruction nasale, associée à une épistaxis, peut être due à :
a. un cancer de l’ethmoïde
b. une polypose nososinusienne d’origine allergique
c. un traitement anticoagulant mal contrôlé
d. une angiomatose de Rendu.Osler
e. une sinusite frontale
54. Cas clinique : Mme, M 72 ans, est hospitaliseé d’urgence pour une épistaxis grave. Son
hématocrite est à 0.24. Son hémoglobine est à 6g/100 ml. Sa tension artérielle, Habituellement à
15, est descendue à 10. Elle saigne régulièrement depuis plusieurs années. Ces épistaxis se
rapprochent au fur et à mesure qu’elle avance en âge. L’interrogatoire apprend que son père
présentait les mêmes symptômes.
a. hémophilie
b. hémogénie
c. cirrhose
d. maladie de Rendu.Osler
e. hypertension artérielle
a. Dosage biologiques
b. Biopsie de la muqueuse nasale
c. Examen de la peau du visage et des oreilles
d. Examen des doigts
e. Examen de la langue et des lèvres
a. Tamponnement nasal
b. Pommade nasale hémostatique
c. Cautérisation chimique
d. Cautérisation au bistouri électrique
e. Aucun traitement
54.5. Le traitement ultérieur à envisager repose sur :
55. Cas clinique : Un garçon de 13 ans est adressé par un médecin au service des urgences pour une
épistaxis antérieure unilatérale gauche. Il s’agit du troisième épisode du même type. Il n’y a pas de
notion de traumatisme. L’enfant présente une obstruction nasale gauche associée. L’examen ORL
retrouve au niveau de la fosse nasale gauche une masse grisâtre , plurilobée, parcourue de
vaisseaux.
a. Cancer de l’ethmoïde
b. Polypose nasale
c. Angiofibrome
d. Hypertrophie des végétations adénoïdes
e. Malade de Rendu.Osler
a. Tamponnement antérieur
b. Tamponnement postérieur
c. Ligature vasculaire
d. Embolisation
e. Compression digitale
a. Abstention thérapeutique
b. Chirurgie d’exérèse
c. Laser et embolisation
d. Radiographie
e. Chirurgie d’exérèse et radiothérapie
56. Caractéristique(s) histopathologique(s) essentielle(s) de la maladie de Ménière :
58. Au cours d’une crise de maladie de Ménière , on observe les symptômes suivants , sauf :
a. Acouphène unilatéral augmentant d’intensité dans les heurs qui précédent le vertige
b. Vomissement intenses suivis d’une fatigue intense simulant une crise de foie
c. Sensation d’oreille bouchée ou pleine
d. Sensation de vide conduisant parfois à une perte de connaissance
e. Surdité du ductus réuniens
59. Au cours d’une crise de vertige de maladie de Ménière droite,on rencontre les signes suivants ,
Sauf
60. Au cours d’une crise de Ménière ,les propositions suivantes sont correctes , sauf :
a. Nausées et vomissement dominent parfois la scène clinique et peuvent faire évoquer une crise
de foie
b. Le malaise neurovégétatif est très intense mais s’aboutie jamais à la perte de connaissance brève
c. L’épreuve de la marche aveugle apporte des renseignements intéressants
d. Les recherche de signes neurologique est négative
e. Les acouphènes augmentent de façon souvent majeure
61. Au décours d’une première crise de maladie de Ménière, les propositions suivantes sont
correctes, sauf :
63. Dans l’évolution de la maladie de la Méniére ,les propositions suivantes sont correctes , sauf :
a. névrite vestibulaire
b. maladie de Ménière
c. vertige paroxystique bénin
d. fistule périlymphatique
e. labyrinthite toxique
65. Dans la maladie de Ménière récente, les propositions suivantes sont correctes, sauf :
66. Concernant la surdité de la maladie de Ménière, les propositions suivantes sont correctes ,
sauf :
a. IL existe environ 30 000 CCE pour 15 000 CCI (cellules ciliées externes/internes)
b. La membrane tectoriale est en contact permanent avec les stéréocils des CCE et des CCI
c. C’est la déflexion des stéréocils vers la rangée la plus haute qui est excitatrice
d. Il existe 1 canal de transduction par stéréocils
e. Les tip. links jouent un rôle essentiel dans la dépolarisation des cellules ciliées
a. acouphènes
b. surdité
c. acouphène et surdité
d. hypoacousie
e. Aucun de ces signes
70 Au décours d’une première crise de maladie de Ménière, les propositions suivantes sont
correctes, sauf :
72. Cas clinique : Un malade de 60 ans, hypertendu, est hospitalisé pour une crise vertigineuse
rotatoire franche avec nausées, diplopie et troubles de la déglutition.
72.1. Quel(s) signe(s) faut-il rechercher pour orienter le diagnostic ?
72.2. Parmi les signes énumérés ci. dessous, quel(s) est (sont) celui(ceux) évoquant la souffrance du
labyrinthe ?
a. Les acouphènes
b. L’hypoacousie de perception
c. L’hypoacousie de transmission
d. Les vertiges
e. La sensation de plénitude de l’oreille
72. 5. Dans l’évolution de la maladie de la Méniére , les propositions suivantes sont correctes,
sauf :
73. Un homme de 17 ans consulte pour une surdité unilatérale droite. On découvre une otite
séreuse droite et des adénopathies cervicales bilatérales. Quel diagnostic doit être évoqué ?
74- Un patient de 30 ans consulte pour une baisse de l’audition unilatérale récente. A l’examen
ORL : surdité de type transmission, adénopathie jugolo-carotidienne haute de 2 cm de diamètre,
paralysie du moteur oculaire externe du même côté. Quel diagnostic évoquez-vous ?
a. Otospongiose
b. Tumeur du glomus jugulaire
c. Tumeur du cavum (ou rhinopharynx)
d. Otite muqueuse à tympan fermé
e. Méningiome de la petite aile du sphénoïde
a. L’ethmoïde
b. Nasopharynx
c. Sinus maxillaire
d. L’hypopharynx
e. L’endolarynx
76. L’apparition récente chez un adulte d’une surdité de transmission et d’une obstruction nasale
unilatérale doit faire évoquer en premier lieu :
77. Un homme de 55 ans, éthylo-tabagique a une otalgie droite. L’interrogatoire ne révèle aucun
autre trouble. L’examen clinique révèle une otite séreuse droite. La palpation des aires
ganglionnaires est normale. L’examen au miroir laryngé ne montre pas d’anomalie. Il faut alors :
a. L’ethmoïde
b. La fosse nasale
c. Cavum
d. L’oreille
e. Voile du palais
79. Parmi ces signes cliniques, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui inaugure(nt) volontiers la maladie
dans le cancer du cavum ?
a. Dysphonie
b. Dysphagie
c. Adénopathie cervicale
d. Otalgie
e. Epistaxis
a. Surdité de perception
b. surdité de transmission unilatérale
c. Obstruction nasale
d. Epistaxis
e. Adénopathie cervicale haute
83. Une étiologie virale ( virus Epstein-Barr), est très probablement à l’origine de :
a. Adénocarcinome parotidien
b. Carcinome épidermoïde lingual
c. Carcinome indifférencié du nasopharynx
d. Adénocarcinome de l’ethmoïde
e. Carcinome muco-épidermoïde vélo-palatin
84- Le type histologique de cancer du nasopharynx le plus fréquemment rencontré chez le petit
enfant est le :
a. Carcinome spino-cellulaire
b. Cylindrome
c. Lymphome
d. Rhabdomyosarcome
e. Cancer nasopharyngé indifférencié
85. Concernant les carcinomes du nasopharynx,les propositions suivantes sont correctes , sauf :
a. Dans les zones à haut risque ils représentent la 3 e cause de cancer chez l’homme.
b. Le rôle de l’alcool et du tabac est déterminant dans la genèse de ces tumeurs.
c. En Algérie les NASOPHARYNX CANCER représentent 10 % des tumeurs des voies aerodigestives
supérieures.
d. L’homme est plus fréquemment atteint que la femme.
e. Le NASOPHARYNX CANCER touche plus fréquemment l’homme après 70 ans.
87. Concernant les carcinomes du nasopharyns (Nasopharynx Carcinoma) les propositions suivantes
sont correctes, sauf :
a. En zone à haut risque la recherche de cancer latent dans la fratrie est justifiée.
b. Aucun facteur environnemental n’est retrouvé dans les enquêtes épidémiologiques.
c. L’élévation des anticorps dirigés contre L’EBV différencie les malades atteints du cancer
nasopharyngé indifférencié des sujets sains.
d. Les patients atteints du cancer nasopharyngé indifférencié présentent une élévation précoce des
taux d’IgA et d’lgG dirigés contre les Ag VCA.EA.EBNA de l’EBV.
e. Les taux d’anticorps lgG EA et lgA VCA aurait une valeur pronostique.
88. Au cours du cancer du naso-pharynx, le dosage des anticorps lgG et lgA dirigés contre les
antigénes VCA. EA, EBNA de l’Epstein Barr Virus, ne permet pas:
89. Le cancer du naso-pharynx est suspecté devant les signes suivants , sauf :
a. radiographie de thorax.
b. œsophagoscopie.
c. échographie hépatique.
d. scintigraphie osseuse.
e. IRM ou un scanner de la base du crâne.
92. Cas clinique : MA. 45 ans, consulte pour l'apparition récente d'une tuméfaction bilatérale
cervicale haute apparue depuis quelques semaines. Son état général est excellent. Depuis 10 jours,
il présente une plénitude auriculaire droite avec une sensation d'hypoacousie droite. la
rhinoscopie antérieure montre des fosses nasales libres.
a. Otite séromuqueuse
b. Toxoplasmose
c. Cancer de l'ethmoide
d. Tumeur du cavum
e. Lymphome malin non hodgkinien
a. Examen audio-vestibulaire
b. Scanner
c. Rhinoscopie postérieure
d. Echographie cervicale
e. Impédancemétrie
a. Chirurgie
b. Hormonothérapie
c. Chimiothérapie
d. Corticothérapie
e. Radiothérapie externe
93. Chez les hommes, les cancers liés à des consommations excessives de tabac et d’alcool
représentent environ :
a. 5 % des cancers
b. 15 % des cancers
c. 30 % des cancers
d. 50 % des cancers
e. 70 % des cancers
94. Dans les cancers du larynx, on retrouve le plus fréquemment sur le plan histologique :
a. Adénocarcinome
b. Sarcome
c. Hématosarcome
d. Carcinome épidermoïde
e. Cylindrome
95. Les cancers localisés des cordes vocales s’accompagnent habituellement des signes cliniques
suivants, sauf :
97. L’action conjointe d’alcool et du tabac est déterminante pour la survenue de(s) cancer(s)
suivants(s) :
a. Cavité buccale
b. Larynx
c. Hypopharynx
d. Vessie
e. Bronche
98. Parmi les proposition suivantes concernant la répartition des cancers laquelle(lesquelles) est
(sont) exacte(s) ?
a. Les cancers des voies aérodigestives et des bronches représentent prés de la moitié des cancers
chez l’homme
b. Les cancers de la prostate et du testicule représentent prés de la moitié des cancers chez la
femme
c. Les cancers du sein et de l’appareil génital représentent prés de la moitié des cancer chez la
femme
d. Les cancers de l’appareille digestif, incluant le côlon et le rectum, représentent 1 cancer su 5 chez
l’homme et la femme
e. Les cancers de la peau représentent moins d’un cancer sur 10 chez l’homme et la femme
a. Toux rebelle
b. Dysphagie
c. Odynophagie
d. Otalgie unilatérale
e. Dysphonie
100. L’intoxication alcoolo tabagique est un facteur prédisposant dans les cancers des voies aéro-
digestives supérieures dont la localisation est:
a. Le sinus de la face
b. Le rhinopharynx
c. L’amygdale
d. L’hypopharynx
e. Le larynx
101. Un cancer limité d’une corde vocale :
a. Dyspnée
b. Adénopathie
c. Dysphagie
d. Dysphonie
e. Toux
a. Laryngectomie totale
b. Laryngectomie fronto.latérale
c. Cordectomie
d. Radiothérapie
e. Chimiothérapie
104. Un homme de 60 ans, fumeur, présente une dysphonie depuis 1 mois. L'examen clinique
laryngé montre une lésion bourgeonnante de la corde vocale droite. Il n'y a pas d'adénopathie
cervicale. Vous affirmez le diagnostic par :
105. Examen(s) à pratiquer en premier lieu chez un patient présentant une dysphonie depuis 3
mois :
106. Une jeune fille de 20 ans présente une aphonie brutale. Elle parle la voix chuchotée. La toux
est sonore. Vous pensez à :
107. Devant un malade qui présente une dysphonie d'installation brutale, sans antécédent
traumatique ni infectieux récent, vous pensez à :
109. Lors de l’examen d’un malade atteint de dysphonie chronique, un processus malin sera
évoqué, laryngoscopiquement , devant :
110. Un carcinome épidermoïde bourgeonnant siégeant sur le 1/3 moyen d’une corde vocale
a. Cordectomie
b. Radiothérapie externe
c. Biopsie exérèse sous microscope opératoire
d. Laryngectomie totale
e. Association chimio et immunothérapie
111. Chez un patient fumeur, éthylique chronique, dont l’examen clinique met en évidence une
adénopathie sous digastrique, quel est le premier examen complémentaire à faire pour orienter le
diagnostic sachant que les examens biologiques, sérologiques, IDR à la tuberculine et NFS sont
normaux ?
a. Biopsie ganglionnaire
b. Cervicotomie avec examens extemporané de l’adénopathie
c. Panendoscopie des voies aérodigestives supérieures
d. Tomodensitométrie cervicale
e. Adénectomie sous-digastrique
112. Une dysphonie représente le symptôme révélateur caractéristique d’un cancer de :
a. La sous.glotte
b. L’épilarynx
c. La glotte
d. Le vestibule laryngé
e. Le ventricule
113. La chaîne récurrentielle peut être le siège de métastases dans les localisations néoplastiques
suivantes. Lesquelles ?
a. Vestibule laryngé
b. Sinus piriforme
c. Margelle laryngée
d. Sous.glotte
e. Commissure antérieureNON VALIDEE
115. Dans le bilan d’un cancer laryngé des 3 étages avec adénopathies jugulo carotidiennes
unilatérales, sont indiqués les examens suivants, sauf :
116.1. Parmi les lésions laryngées suivantes laquelle (lesquelles) peut (peuvent) être considérée(s)
comme précancéreuse(s) ?
a. Polype angiomateux
b. Micro nodule bilatéral (kissing nodule)
c. Leucoplasie
d. Pseudomyxome
e. Erythroplasie
116.2. Parmi les structures anatomiques suivantes, quelles sont les extensions de contiguïté d'un
cancer de la corde vocale ?
a. Vallécule
b. Bouche de l'œsophage
c. Ventricule de Morgani
d. Aryténoïde
e. Sous glotte
116.3. Parmi les modes de visualisation des cordes vocales suivants, lesquels sont ,actuellement ,
de pratique courante :
a. Fibroscopie
b. Scanner
c. IRM
d. Endoscopie sous anesthésie générale
e. Tomographies laryngées
116.4. Quelles sont la (les) thérapeutique(s) adaptée(s) au traitement d'un cancer isolé du tiers
moyen de la corde vocale sans adénopathie satellite ni métastase ?
a. Microchirurgie laryngée
b. Radiothérapie externe (Cobalt)
c. Curiethérapie
d. Laryngectomie totale
e. Laryngectomie partielle
117. Quel est le premier diagnostic à évoquer en présence d'une bradypnée inspiratoire avec
tirage et cornage sans dysphagie, d'installation rapide et nocturne chez un enfant fébrile ?
a. Asthme
b. Laryngite aiguë
c. Corps étranger des voies respiratoires
d. Malformation laryngée
e. Epiglottite
118. Parmi les signes suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui fait (font) suspecter une épiglottite
en présence d'une dyspnée :
a. La voie étouffée
b. La sialorrhée
c. Une hyperthermie supérieure à 39 degrés
d. Le refus de l'enfant de se coucher
e. Début brutal
119. Quel(s) geste(s) est (sont) dangereux devant une suspicion d'épiglottite ?
a. Allonger l'enfant
b. Examiner l'enfant à l'aide d'un abaisse-langue
c. Auscultation pulmonaire
d. Otoscopie
e. Toutes les réponses sont fausses
120. Quel diagnostic vous évoque une dyspnée inspiratoire d'installation rapide survenant
quelques semaines après traitement par ventilation assistée pour volet thoracique ?
a. Bronchomalacie
b. Laryngite chronique
c. Thryroïdite
d. Sténose trachéale
e. Fibrose pulmonaire
121. Parmi les causes de dyspnée non obstructive aiguë de l'enfant, on relève :
a. Acidocétose diabétique
b. Bronchiolite aiguë
c. Intoxication salicylée
d. Crise d'asthme
e. Laryngite sous-glottique
a. Vomissement
b. Troubles de l’équilibre
c. Perte de connaissance
d. Nystagmus
e. Diplopie
124. Laquelle (lesquelles) des propositions suivantes concernant les vertiges est (sont) exacte(s) ?