Lelivredelacra 04 Maqduoft
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LE
LIVRE DE LA CHÉAÏION
ET DE LHISTOIRE
TOME QUATRIÈME
564G53
CHALON-SUR-SAONE
IMPRIMERIE FRANÇAISE BT ORIENTALE BERTRAND
PUBLICATIONS
DE
LE
LIVRE DE LA CHÉAÏIOI^
ET
DE L'HISTOIRE
DE MOTAHHAR BEN TÂHIR EL-MAQDISÎ
ATTRIBLÉ A
PUBLIE ET TRADUIT
d'après le Manuscrit de Cons ta nti no p 1«
M. Cl. HUART
CONSUL DE FRANCE
PREMIER SECRÉTAIRE-INTERPRÈTE DU GOUVERNEMENT
PROFESSEUR A LÉCOLE SPÉCIALE DES LANGUES ORIENTALES VIVANTES
TOME QUATRIÈME
PARIS
ERNEST LEROUX, ÉDITEUR
28, HUE BONAPAUTli:, 28
1907
PRÉFACE
DE LtilSTOIRE
CIIAPITR1<: XII
1
—2—
Nciiis niions |);iss(>r inuintcMianl à <•(>
(lue nous avons ;ippris
(durlinnl les diverses religions (1rs liahitants de la terre,
LES ATHÉES
sa croyance?
Quel sens aurait renq)l(n de la raison cl la patience à W'-
gard des amertumes dr l'àmc- sans mérite ni denié'rile?
Peut-on s'imaginer la durée de la création et le nraintien de
la vie avec une semblable croyance? Il te suffit de la couvrir
d'injures et d'opprobre.
(,»iuind cette secte a-t-elle eu, sui- lu terie, un lieu de reu-
- 4 —
ninii cf (l';issemblée ? A-l-dii jainiiis entendu dire (m'elle
;iii loiuu' une icligioii du un lite ? Les liubituiits de lu
votre maître ? » S'il prétend (pie c'est sa raison qui est son
maille, il avoue l'existence d'un impératif catégorique et se
sage seml)lable à celui (pii est réservé aux liétos hrutes. S'il
n'admet pas la spéculation, il se classe parmi les sophistes,
et de quelque côté qu'il se tourne, la démonstration con-
faite : « C'est ainsi que j^armi les méchants nous donnons les
uns comme chefs aux autres, pour prix de leurs ceuvres !
' »
Sachez ((|ue Dieu ait pitié de vous !) que ces gens permet-
tent ce ([ue les religions interdisent, et interprètent les tex-
tes précis des lois d'une manière qui permette et autorise
ce qu'ils désirent et recherchent. Ils admettent tous les pé-
chés, l'adultère, la sodomie, la spoliation, le vol, le meur-
tre, les blessures, le mensonge, la médisance, lu délation, la
rois sont des maîtres absolus, les orgueilleux sont des dé-
mons, les fail)les et les afiligés sont les damnés; leurs maîtres
sont les génies, et le reste des liommes dos bêtes brutes. Ils
n'ont pas pitié de celui qui les implore, ils n'aident pas
celui f|ui leur demande sccoiu's, ils n'interdis(^nl pas d(^
vérité !
1. Lo nom d'action ^..l.f n'i-st pas ilonn(; dans les dictioiui.-iii'os, mais
ilpeut avoir été formé par analogie; le sens n'est pas douteux, à cause
du rapprochement avec le mot qui précède.
2. Le Khtt-luk-daç, rejeté par lesParsis, mais dont l'oxister.ce à l'épo-
que sassanide, en tant que doctrine, ne peut faire de doute. Voir sur
cette question West, Paihuvi lexis, t. II, pp. 380-4.'i0 Dinkart, t. II, ;
langue I)riili', huidis (jue celte ojx'ralion iic lui fait aurnu
mal s'il esl N(M'idi(|ue et jnsle. Certains d'euti'e eux fimi
bouillir de l'huile ilans un chaudron de fer, y jettent un
morceau de fer et ordonnent à celui qui nie d'y introduire
sa. mairi et d'en tirer le fer; s'il est menteur, disent-ils, sa
main est brûlée, tandis qu'elle reste indemne s'il est véri-
vaches est pareil à celui (jui ont pour leurs mères; celui
<|ui égorge une vache est puni de mort, sans rémission.
L'adultère est permis aux célibataires, pour éviter la dimi-
nution de la population ; les gens mariés sont au contraire
poursuivis en pareil cas. On ne met point à mort l'apostat,
(luand les Musulmans l'ont enlevé, mais on le purilie [de la
manière suivante] on rase tous les poils de son corps et les
:
une arme ronde et aiguë, qui, lorsqu'elle est lancée, coupe tout ce qu'elle
atteint.
sont les penseurs qui anéantissent leurs sens par leurs lon-
gues réflexions et prétendent qu'une fois maîtres de leurs
âmes par suite de l'affranchissement et de la délivrance des
taille jusqu'au dos avec une ceinture de fer pour que, disent-
ils, l'abondance de la pensée et la niasse de la science ne
sang; ses deux oreilles sont trouées, et elle a sur la tète une
couronne de crânes; on fait des pèlerinages à son sanctuaire,
on va lui demander d'accorder l'objet des prières, et l'on
prétend qu'elle exauce ces souhaits.
11 y a encore les Tah/dniyya' ; c'est un peuple iiui a
une idole représentant une femme avec, dit-on, mille mains,
dont chacune tient une espèce dilîérente d'armes; ils ont
une fête (pii les rassemble auprès de cette idole (juand le
2. Si va destructeur.
3. Dahl.iniijija Chahrastâni, p. 454; Haarbrucker, t. II, j). 370.
indiquée par Haarbrucker, II, p. 371, note, est meilleure que celle de
Chahrastàuî, ahniwcUrù/i/a.
6. Si ce mot, séparé singulièrement en deux tronçons, n'est pas une
erreur de copiste, on pourrait, ainsi quo \eut bien me l'iudiijuer
- u-
l'Irnionls. et diins l;i crainte de le souiller, ils ne l)rnleii( |ias
tandis ([ue s'il meurt dans l'eau ou dans le feu, ils sont svu's
rente de celle qui est donnée par Freytag d'après Méïdàui, voir le LisOn-
d-'Arab, t. IX, p. 480.
- 16 -
11 \ a une aiitic montagne au bas de laquelle est un arbre
lout en 1er. axce des hianelies i|ui ressemblent :i des bi'o-
avec ses dents, puis il s(,' laisse tomber sur cet arbre pour
vivre sans lin et demeurer clernellement dans le paradis,
car les bouris aux grands yeux le saisissent avant qu'il ait
son
corps supérieurs et inférieurs pour nous guider vers
adoration et nous rapprocher de lui. C'est exactement ce
Arabes pa'iens « Nous ne les adorons (ces
(jue disaient les :
1. Qu/-.,lIi. XXXIX, V. 1.
— 17 —
religieux désire servir et connaître, même si celui-ci s'égare
[des chinois -J
dit-on, dans son palais, des gongs que l'on bat une seule
fois au coucher du soleil, de .sorte que tout le monde peut
les entendre dans la ville; alors ils se retirent chacun dans
sa maison et .^a demeure, et on en ferme les portes sur eux ;
et on lui écrit sur le dos, avec son propre sang, les mots
suivants : « Telle est la punition de celui ([ui transgresse les
ordres de l'empereur. »
ont des jeûnes, des fêtes, et des sacrifices par lesquels ils
différents, car les uns disent que ces deux principes sont
vivants et discernants, tandis que d'autres affirment que la
lumière seule est vivante et savante, tandis que les ténèbres
sont ignorantes et aveugles ; cette dernière opinion est celle
DES IDOLATRES
3. La femme et la fille.
.
— 28 —
restent en suspens jusqu'à ce que la femme se marie ; (|uaii(l
Ceux que nous avons vus dans leur pays, c'est-à-dire les
cantons de Alâsébédhàn' et de Mihradjân-Qadhaq ", nous
lesavons trouvés extrêmement préoccupés des questions
de propreté et de purification, pénétrés du désir de se
rapprocher des autres hommes par leur douceur et l'olTrc de
la bienfaisance. Nous en avons trouvé qui admettaient la
Le khalife el-Mançoùr.
1.
Un autre a dit :
Hanîfa a dévoré son Dieu, poussé par une faim déjà ancienne et
par la dure nécessité.
Porte ton père sur un elianicau sain; que le reste reste! certes
il sera plus proche.
qui eut des démêlés avec les partisans du (jaon Saadiah sous le klialifat
d'El-Mocjtadir; cf. Mas'oûdi Lirrr de lAecrtissemcnt, p. KIO Gold- ;
p. 3:i6.
4. C'est parfaitement vrai, d'ailleurs. Les Samaritains n'admettent
que la Tôra.
5. S. de Sacy, op. hnid., p. .358, note 84 Jeuis/i
EncijcL. ^"lll. .")0l.
;
Sacy l'a fait observer, op. laud., p. 359, note 86. Sur cette secte, voyez
encore Al-Bêrûnî, Chronolo;)!/, p. 278.
2. Charichtân dans Maqrizî
3. Araraéen xpiDS, comme l'a remarqué S. de Sacy, ubi.mprà, p. 359,
ration ».
35 —
LEURS USAGES
rituelle, parce qu'il [n'] est [pas] permis de laver son visage
après ses parties inférieures.
Ils ne se servent pas, pour les ablutions, d'une eau dont
la couleur, le goût ou l'odeur est changée. Ils n'admettent
pas la purification avec l'eau d'un étang qui n'aurait pas au
moins dix coudées de largeur sur dix de profondeur. Dor-
mir assis ne diminue pas la valeur rituelle de l'ablution, tant
qu'on n'incline pas le côté. Celui à qui il arrive un accident
pendant sa prière, comme un vomissement, un saignement
de nez ou un vent, s'en va se laver et continue sa prière.
L'homme ne peut que revêtu d'au moins
faire sa prière
nettoient leurs maisons de tout pain levé, car ce sont les jours
pendant lesquels Dieu a délivré les Israélites des mains de
Pharaon, qu'il a noyé dans la mer, tandis qu'ils en sor-
taient et .se mettaient à manger de la viande '
et de la pâte
non levée; 2" la fête des semaines ', qui a lieu sept semaines
après la fête de la rupture du jeune; c'est celle pendant la-
premier de l'an ;
4" la fête de Çôma-Rabbâ ', c'est-à-dire
du !:>rand jeùn(> ; ils prétendent que Dieu leur pardonne ce
jour-la tous leurs péchés et leurs fautes, à l'exception de
1. I.e mot Inhnt « viande », que S. de Sacy conjecturait i"tre une faute
« agneau », est déjà, comme on le voit,
dans le
de copiste pour hamal
cf. Chrrst., m:, t. I, p. 292 et 319, note
33.
Lin-ode la Création;
2. La Pentecôte.
« tète de l'année «; cette expression se trouve déjà
dans
3. Proprement
E/échiel.Xl„l.Parinadvertanee, noti'eauteurditamoisnaulieud'aan»,
4. E.vpression araniéenne pour désigner le
Kippour.
depuis le coucher du soleil jusqu'au coucher du jour suivant :
ses époques sont très dures, car ils doivent s'écarter d'elle ;
celle-ci doit être brûlée par le feu ; celui qui l'a touciiéc,
le i^ain qu'elle a cuit, les mets qu'elle a préparés, le linge
qu'elle a lavé, deviennent impurs et interdits aux purs,
mais les autres femmes dans le même état peuvent v
toucher.
Celui qui a lavé un mort doit se rendre au Ijain sept
jours consécutifs sans faire sa prière ; ils lavent en cIlVl
leurs morts, mais ne prononcent pas de prières sur eux.
En ce qui concerne la dime aumônière, ils sont tenus de
mettre à part le dixième de leurs biens quels qu'ils soient,
t. I, p. 368.
— 38 —
pnitc une coupe de vin et un bou<]uet de basilic; le célé-
hraiil prend la coupe, la bénit et prononce le prône du ma-
riage; puis il la passe au marié en disant : « Tu as épousé
une telle par cet argent, ou cet or (c'est l'anneau qu'il tient
à lu uKiin), par cette coupe de vin et par le douaire de tant
de (liarinnes ; n ensuite il boit une gorgée de la coupe. Après
cela, on se rend à la demeure de la jeune fille, et on lui or-
que ce mot voudrait diie : « qui se répand à la façon d'un fleuve qui
déborde. »
cède de lui,
l'Esprit-Saint.
Les Nestoriens tirent leur dénomination de Nestor, un
homme d'entre eux ils prétendent que Dieu est un nom
'
;
pour les Musulmans non plus ce n'est pas \m devoir obligatoire. Cola
s'en rapproche. »
— 45 —
leur qibla est l'Orient ; leur pèlerinage est vers Jérusalem ;
mer Verte. Le plus long des jours n'y est que de treize
heures.
Le second climat commence à l'Orient, traverse la Chine,
l'Inde et le Sind, passe par le confluent de la mer Verte et
voyait dans l'ancien nom (j5^ tombeau) un mauvais présage. Cf. Yà-
qoùt, ap. Barbier de Meynard, op. laud., p. 174 et 429.
6. C'est ainsi que lisent les géographes persans, tandis que les Arabes
préfèrent Mehronbdn (B.deM. Dict., p. 553).
7. Sur ces deux localités, voir mes Documents persans sur l'Afrique,
p. 45, n. 4 et 5.
8. Le Vieux-Caire ; le Caire n'a été bâti qu'en 358-359 hég. (969-970)
par l'eunuque grec Djauhar, général du khalife fatimide el-Mo'îzz, trois
à quatre ans après la composition du présent livre. Cf. Maqrîzi, Kiiitat,
t. I, p. .361.
.
— 19 —
Afrîqiya', Qairawàn. Le plus long jour, dans celte région,
est de quatorze heures.
Le quatrième climat, commençant également à l'Orient,
5. Torârbend, dans Moq., Gl, et Yâq., III, 524; c'est la même ville
qu'Otrar.
- 5(1 —
kluu'a; dans rAdluMhauljàn, les caillons (rArni(''nio,, de Bcr-
dha'a, de Nakliteliévan, de Sisadjàu', d'Erzen, d'Akhlât; en
pays grec, Kharchana', Qourrè ', la grande Rome; puis les
mer d'Occident.
Le sixième climat, à parlirdo l'Uricnt, traverse les pays
de Gog et de ]Magog, ceux des Klia/.ars, puis le milieu de
la mer Caspienne pays des Grecs; il traverse le
jusciu'au
Djourzàn', Hcraclée, Constantinople, le pays de Bourdjàn
(la Bulgarie) jusqu'à la mer d'Occident.
Les géographes disent qu'en ce qui concerne les contrées
situées au-delà de ces six climats, jusqu'à l'extrémité de la
terre habitée, le climat (iu'olles forment commence à l'Orient
Yémen ;
mat de Babylone ».
FLEUVES CONNUS
3. La mer Morte; cf. Mehi-cn, id. op., p. 133. Sur son rùlo dans les
— 51 —
[et (|ui rcroit les deux ZAli] '
dont le plus grand (onilje dans
mêle au Tigre.
Le Kliâboùr sort de Ràs-el-'Ain, reçoit le Hirmâs et se
que ce roi conduisit les eaux de ces fleuves sur les terrains
Ils n'ont pas une aussi grande abondance de fruits ciue les
gens du Qachmir. La plupart sont bruns et jaunes; leur re-
ligion est le brahmanisme et le bouddhisme; leur principal
roi s'appelle Balharâ, c'est-à-dire roi des rois'. Il y a, dans
les iles, des rois qui sont indépendants les uns des autres.
Chinois, ils ont le nez écrasé des Turcs et le teint brun des
Indiens. Ils connaissent l'écriture, l'arithmétique, l'astro-
nomie leur pays est froid. A
;
l'orient se trouve la Chine,
au nord les Turcs, à l'occident Wakhàn et Ràeht, qui sont
« Alors le mot que j'ai laissé en blanc serait nultali, mot qui, suivant
crits.
dit que les Toqouz-Oghouz ont un roi qui possède une tente
1. Cf. Qazwinî, II, 391, cité par le comte Gcza Kuun, Gnvdè:i a
tôrôkùkrol, dans le Kclcti S:i'inlr, II, 1901, 270.
2. Kirghizes.
3. Cf. Al-Béi-Cmû Chrorwlo<jij, p. lO.j.
— 62^—
plupart des Khazars sont juifs; ils habitent dans les villes
pendant l'hiver et sous la tente pendant l'été.
leur dit : « Prenez vos sabres pour juges » ; celui qui est
1. Sur le Volga.
2. DerbenJ, sur la mer Caspienne.
3. Ce passage a été inséré par Yàqoût dans son dictionnaire géogra-
phique, II, 834, en le faisant précéder de la formule : ^^j2i.\ Jl».
— 63 —
n'avait jamais perpétrés auparavant aucun peuple poly-
théiste; mais Dieu les a tous détruits par la peste et le
sabre '
4. Antioche avait été reprise par les Grecs en 353 hég., deu.\ ans avant
Chronologij, p. 285; c'est le grec byzantin To-jp[iif,xa'. îiins» Qu^ l'a fait
villes.
6 et 9, 4-J-
— 6S —
depuis Bai'ca jusqu'à Alla. C'est un des pays que les
mane, mais la Corse, quoique fréquemment razziée par les Arabes, était
de fait indépendante sous la suzeraineté du Pape; en Sardaigne, les
Arabes avaient des établissements sur les côtes; la Sicile appartenait
au.\ Fatimites, à la veille de conquérir l'Egypte.
5. Point d'eau au commencement du désert de Syrie (par rapport à,
Hep plus t;ird le gouvernement de Médine par 'AU qui l'avait privé de
celui du Fars. Cf. Mas'oiidi, Prairies d'Or, t. IV, p. 283, 308. et t. V,
p. 22. C'était un Ançârien pauvre, l'un des deux seuls qui eurent part
au butin fait sur les Banou'n-Nadîr et distribué par le prophète aux
ino/iàdjirs, Bélâdhorî, p. 20; Ibn-el-Athîr, t. II, p. 133.
1. Cf. Yâqoùt, t. II, p. 553; Max. Strock, Allr I.andschaft Bnhi/lo-
nicn, I, p. 41. Comparer ce passage avec IbnRostéh, p. 94 95.
forme l'Arménie.
Le Sawâd est, en réalité, double; il y a le Sawâd de
Koùfa et celui de Baçra; on l'appelle aussi Assyrie (Soùris-
tàn). Sa longueur, depuis la limite de Mossoul jusqu'à l'ex-
p. 240, 253. Sur les canaux qui portent, son nom, voir Béladhuri,
p. 304 et 369.
Erreur du copiste pour R;is-el-'Aïn, car le seul endroit du nom
1.
vre, parce que c'est là une chose merveilleuse ']. Plus loin le
la Perse, p. 187.
3. 'Abdallah ben Tâhir a été investi du gouvernement du Khorâsân
1. Qor.,ch. XLI, v. 9.
tendre '
? »
— 80 —
Qdloîs (le Çim'a; l()rs(|uc el-l.Iudjdjâdj l'eut, mis à mort,
celui-ci lit démolir les cuiistructions qu'il uvait élevées et
6
— 82 —
jÉiiusALEM. Wiihb a prétendu que le prophète Jacob
traversait ces environs pour certaine affaire lorsqu'il tomba
de sommeil sur l'emplacement de la mosquée actuelle, et
il vit en songe comme une échelle dressée vers le
ciel, sur
geance.
11 n'y a point, à Jérusalem, d'eau courante; on y boit
l'eau de pluie recueillie dans des citernes. On y trouve toute-
fois une petite source, la fontaine de Siloé, dont l'eau est
1. Dans Moqaddési, p. 108, cette mine est placée, mais à tort, avant
es-Salila et el-'Omaq ; l'ordre des stations est le suivant : es-Salila, la
spécialité.
Yàqoùt, t. II, p. 486 (do son temps, c'était le nom d'une ville du Sidjis-
tan cf. Barbier de Meynard, DicL de la Perse, p. 213;
:
Mehren, Ma-
iiiirl, |i. 230). Klifirlil, (pour KInvàcht) paraît une l'orme ancienne de
Khw .-leh.
— 87 —
leur place frontière est Tiz'.Les habitants de Zarendj et
de Bost ont pour adversaires les gens du Glioùr. L'ennemi
tend être fort les démolisse, car il est plus facile de les dé-
truire que de les bâtir. »
des statues, des plateaux larges comme des bassins, des chau-
drons solidement étayés'. »
ceci. »
Quand Tàriq ben Ziyàd conquit l'Espagne sous le règne de
Wélîd ben 'Abd-el-Alélik, il y trouva mie table avec trois
1. Qor., XVI, 8.
— 93 —
son saine en effet, ils n'ont ni la rousseur des Grecs, ni la cru-
;
folie des Zendjes; c'est pour cela que le pays a été appelé
Iràn-Chebr, c'est-à-dire le cœur des régions; Iran signifie
cœur dans la langue des anciens Babyloniens. C'est la terre
par Setli, fds d'Adam. Les livres des Perses prétendent que
Ctésiphon fut construite par Hôchèng, qui la nomma
Kavda-Boundâdh, c'est-à-dire « faite, elle a été trouvée'»;
mais elle peut être appelée du nom que portait son territoire
avant sa construction, ou d'après le nom d'une rivière, d'un
— 96 —
bise depuis, dhouiiuh'm poilc \c nom du mi du Yémeu
Ghounidàu, qui la construisit' ;
Çanïi lut ainsi appelée à
cause de rexcellence de sa construction ; 'Aden à cause de
sa situation [qui rappelait l'Eden]. La Mecque porte ce nom
à raison do la foule d'hommes qui s'y pressent; Médine,
parce que les hommes s'y réunissent ; elle s'appelait autre-
fois Yatiu'ib, et le prophète lui donna le nom de Taïba.
Djohl'a fui ainsi appelée à propos d'un torrent qui se préci-
pita sur elle et balaya {dja/iaj'aj tous ceux qui s'y trouvaient'.
de Khould '
d'après le sens de /.end en turc; mais il faut tenir compte de cette éty-
mologie populaire et traduire comme dans le passage présent.
1. Cf. t. III, p. 178.
2. Djoljfa, ville d'Arabie, entre Médine et la Mecque, à quatre jour-
nées de celte dernière, à six milles de la côte, s'appelait, avant cet
événement, Mahya'a. Cf. Mcràçld, t. I, p. 242, et III, p. 181.
3. Cf. Moqaddésî, p. 118, lignes 2 et suiv.
op., p. 94, note 2; et sur le palais de Khould, id. op., p. 62 63, 91.
1. Bélàdhori, p. 383; Yàipnt, dans B. do Meynard. Diction, de la
Perse, p. 402.
2. Qoi:, ch. XVII, v. 60.
7
— 9S —
par rinnn(];ili(in, Koùl':! p;ii' lu main des Turcs; la Syrie
sei'ii déli'uilc dans 1rs inallu'iiis qui at'Cdiiipagneront la
p. 142.
— 101 —
cendent de Qahtàn, fils de Ilamaisa', fils de Nàbit, lilsd'Is-
maël. Les généalogistes prétendent que Qahtàn est fils
maël .
poète a dit :
Vous êtes les fils de Zéïd, votre père, par qui El-Liaii.ià a accu-
mulé gloire sur gloire'.
Qoçayy épousa la lille de Ihileil ben I.loul)L'h el-Khozà'i,
dont il eut quatre enfants, 'Aljd-Abuiàf, 'Abd-ed-Dàr, 'Abd-
el-'Ozza, et 'Abd. Les descendants de ce dernier dispa-
rurent totalement ; ceux d"Abd-ed-Dàr furent tués à la
bataille d'Ohod, à l'exception d"Othmàn ben Talhaquise
convertit à l'islamisme et à (|ui le prophète remit la clef de
la Ka'ba W jour de hi prise de la Mi_'C(|ue, clef qu'il remit
1. Cf. Mas'oùdî, Prairies d'or, t. 111, p. 111), et t. IV, p. 122.
2. Le premier vers seul dans Ibii-Hichàin, p. 80.
— 101 —
ensuite à Chéïba; clic se trouve encore aujourd'hui entre
les mains de sa postérité. Les descendants d"Abd-el-'Ozza
se perpétuèrent; parmi eux se trouvait Kliadidja, fille de
Kliowéïlid, fils d'Asad, fils d"Al)d-el-'Ozza. Quanta 'Abd-
Manàf, il eut dix enfants, ]iarmi lesquels Ilàchem, el-Hàiitli,
'Abbàd, Makhraina, 'Abd-Cliems, cl-Mottalil), et Naufal ;
ment 'Anu' llàehem est un surnom (pii lui fut donné par-
:
ce qu'il brisait le [jain ; l'on dit en elïet (|uc le jjain était de-
venu al)nndanl ])ar les deux voyages (|u'il faisait, l'un en été
jusqu'en Syrie, et l'autre en hiver jus(|u"au Yémen. C'est à
'Amr est celui (jui a lirisé, |)our sa tribu, le [jain en miettes sur
lequel on verse le bouillon, alors que les Mecquois étaient amai-
gris parla disette'.
1. T. III, p. 62.
— 107 —
creux où niche le corbeau dont l'aile a le bout blanc. » 'Abd-
el-Mottalib, accompagné de son fils El-Hâritli (car il n'a-
nombre de dix fut atteint, il réunit ses fils et leur fit con-
naître son vœu : « C'est votre alïaire, répondirent-ils. » Il
plus jeune des frères. Son père le prit par la main, aiguisa
le couteau et entraîna 'Abdallah sur le lieu du sacritice.
1. Ibn-HiL-hàm, p. 99.
2. 'Abd-el-Mo«alib et ses (ils.
— 109 —
floche désignait celui-ci, iu8(ju'au moineiil un le nombre des
chameaux atteignit cent: alors la flèche sortit sur ceux-ci
qui, par l'ordre d"Abd-el-Mottalib, furent égorgés à El-
Batl.iâ, dans les ravins et les passages qui sillonnent les mon-
tagnes de la Mecque, ainsi que sur les sommets, de sorte
que les hommes et les oiseaux en dévorèrent la chair. C'est
à cela qu'a fait allusion Abou-Tàlib dans ce vers :
el-'Ozza ben Qoçayy ben Kilàb; c'est elle qui fut mère du
prophète. 'Abdallah mourut à Médine alors (|ue Mohammed
n'était pas encore né; Amina le pleura, à ce qu'on rapporte,
par une élégie dont voici deux vers, entre autres :
je gémis de sa perte.
Je suis privée d'un homme noble qui n'était pas d'une origine
louche, d'une générosité sans bornes, brave devant les braves.
Il avait une ferme résolution, et ne craignait pas les malheurs ;
il était d'une belle origine, de ces gens de Qoréïch qui sont loin
d'être faibles.
l'auras aussi.
Ibn-Hichâm, p. 49.
I
— 111 —
Et il a dit encore :
O deux fils do Nizâr, aidez votre frère, car mon père est
selon moi le même que le vôtre; un frère qui vous a défendus
ne sera pas vaincu aujourd'hui.
Qasri.
'Amila, lils de Saba, enfanta des tribus que les généalo-
gistes de Modar rattachent au contraire à Qàsit. El-A'châ
a dit :
d' Himyar.
qu'ils ont fait halte, et elle a frappé parmi eux. Qu'en résulte-t il?
Màlik ben Zcïd bon Kelilàn bon Sabâ eut pour lils Youl.iâ-
bir', Qarr, Marba' ; Ynuhàbir l'ut pore de Madhl.iidj et celui-ci ,
I
— 113 —
làn, cl-Azd (et ses lils Màzin, Méïda'àn, El-Hin\v), Ri-
mâd bon Sclàmàn on y fait rentrer également la famille
;
Azd ben Ghauth ben Nabt ben Màlik ben Zéïd ben Kehlàn
ben Saba ben Yachdjob ben Ya'rob ben Qahtàn) leur mère ;
Qaïla.
Khazradj, lils de Hàritha, eut cinq enfants, Djocham et
'Auf (que l'on appelle les deux h'hoi'toûni ; on dit, à propos
du premier Si l'honneur te cau.se de la joie,
: fais le pèleri-
Quant à Rabi'a ben Nizàr ben Ma'add, il fut le père d' Asad,
d'Aklob, et de Dobéï'a, qui se sont divisés et ramifiés en
— 116 —
l'r;u-tii)iis uomhrL'u.si's, [);irini Icscjucllcs Djadihi, iJo'iui,
1 Nom donné aux si.x (ils do Bclcr bon Hob.Jïl) ^^Vûstenfeld, Gcnralo;/.
Talwllcn, tab. C. 1. 17).
2. Sur ce nom, qu'il faut peut-ùtre l'approeliei- du latin fcrox, voir
Joiirn. As., 1H04., X'scr,, t. IV, p. 3:^2, note.
- 117 —
fut Mii;là(.l h(?n 'Amr cl-Djçrliomi, oncle inuternel des enfanl.s
d'Ismaël, pendant une durée que Dieu fixa. Ensuite Djor-
hom et Qatoùrâ se disputèrent le pouvoir; la première de
ces trilxis, sous les ordres de Mi(Jà(l, se rendit à Qo'aïqi'ân,
qui est la partie haute de la Mecque; Qatoùrâ occupa Adj-
j-âd, la partie basse; ils étaient commandés par es-Soméïda'.
Les deux parties se rencontrèrent à Fàdil.i et se livrèrent un
violent comI>at au cours duquel es-Soméïda'' fut tué. Cette
localité fut appelée Fàdih parce que la tribu de Qatoùrâ y
fut couverte de honte, celle d'Adjvùd reçut ce nom à cause
des beaux chevaux que possédaient ceux (|ui l'occupaient,
et celle de Qo'aïqiïin à cause du fracas des armes. Puis
ils s'invitèrent réciproquement à faire la paix, se réu-
nirent dans le sentier creux {chi'b), et y firent cuire
leurs marmites, d'où le nom de Matàbikh donné à cet
endroit.
On dit ((ue Dieu dispersa ensuite les enfants d'Ismaël,
qui se multiplièrent et pullulèrent pour' se répandre dans
les diverses contrées. Ils ne foulaient pas de territoire sans
en vaincre les habitants ,
grâce à leur religion. Plus tard, la
évident.
Le roi suprême nous en a fait sortir par sa puissance; c'est
ainsi que courent les destins pour les survivants.
joie; c'est ainsi que le.s- années passagères suivent de près celles
<]ui les ont précédées.
et nulle part ailleurs. Cet édifice fut appelé ainsi parce qu'on
s'y assemblait, pour le bien comme pour le mal.
La famille de Qoréïch remettait à Qocayy \erifoda ; on
appelait ainsi une dépense à laquelle ils contribuaient sur
leurs biens et par le moyen duquel ils s'entr'aidaient ;
galette dans le potage servi aux pèlerins. C'est lui qui pro-
nonça le discours suivant : « famille de Qoréïch ! Vous
êtes les voisins de Dieu et les gens de sa maison. Les pèle-
rins de Dieu vous arrivent à la fête, les cheveux épars, cou-
verts de poussière, venant de tout chemin encaissé et
profond sur des chamoUos clilanquées; aussi maigres que
des flèches, ils ont mis de l'eau dans leur vin, ils sont exténués,
tombent de fatigue et se sont appauvris. Donc soyez généreux
} our les hôtes de Dieu. » Alors les Qoréïchites donnèrent par
cotisation chaque année des sommes considérables, tellement
que ceux d'entre eux qui étaient à l'aise dépensaient cent
dinars d'Héraclius. Il ordonnait que les bassins fussent
installés et alimentés jxir les puits, et il fournissait aux
gens de la. viande, du potage et des dattes jus((u'a leur
dc'part. C'osl do lui que le poète a dit :
() liomnie qui [torfe los pieds d'un lieu à un autre. u';is tu [mint
interroge au sujet de la famille d''AbdMan;i[?
2. T. III, p. 182.
CHAPITRE XV
NAISSANCE DU PROPHÈTE
1. Ci dessus, p. 101.
— 134 —
luii'iTin, raniii''(' 8S3 d(^ l'ère d'Alcxaiidri'', 31G do l'oro des
Arabes, commcnrani à raiiiK'c do la trahison", 44 du règne
d'Anôchè-Rcwàn', liLs de (viobâdli, roi de Perse, d'après ce
(jiio ion rapporte. La naissancce de Mohammed eut lieu le
temps el-Barrâçl ben Qaïs, cjui était khalt (on appelle ainsi
celui qui est renié par ses confédérés quand on le tue, ;
ben Harb pour garantir cette paix c'est alors que le poète ;
a dit :
me
» — «
MARIAGE DK KIIADÎDJA
répondit-elle.
Mohammed entretint ses oncles de cette communication;
l'un d'eux, Hamza, fils d"Abd el-Mo(talib, l'accompagna et
alla demander en mariage Khadidja à son père Khowéilid
ben Asad, qui était eu état d'ivresse. Celui-ci, en revenant
à lui au matin, s'écria : «Qu'est-ce que ce parfum couleur
de safran et ces vêtements de fête ? » — « C'est Mohammed,
le fils d"Abdallah, lui répondit-on, qui t'en a oint et revêtu,
car tu lui as donné Khadidja en mariage, et celui-ci vient
d'être consommé. » Alors, il chassa les assistants par ses
cris'. L'auteur ajoute que Mohammed avait constitué en
douaire à sa femme vingt jeunes chamelles.
El-Wàqidî rapporte encore que ce fut son oncle paternel
'Amrben Asad, qui la donna en mariage à Mohammed, qui
avait alors vingt-cinq ans, tandis que .sa femme en avait
9
— 180 —
quanmlc, et ([ui n'cul jcis d'aiitrc (''poiisti ([u'ellf jus(|ii'a ce
(|u'ell(' inoui'ul. l'IlU' avait ('((' mariée auparavant ;ï 'Ati(|
Ilàla Hind ben Zoràra', dont elle eut Hind ben Hind; elle
fut la mère de tous les enfants du prophète, à l'exception
mieux la véiité !
RECONSTRUCTION DE LA Ka'bA
!. Hind ben en-Nabbicli ben Zoràra est dans Um-Sa'd, \TI1, S, 1. 12.
1. Sur rinttuence de Tart copte aux débuts de Tart arabe, voir Al. Gayet,
l'Art aralji', préf. p. 9 et 18.
2. Qor., ch. XXI, v. 107.
— i:<2 —
trait à lui ot lui adicssail la paicilo. inai.s le QorVin ne fut pas
révélé par sa langue. Puis Gabriel prit sa place, et le Qor'àn
péta cet acte une ou deux fois, puis ajouta « Au nom de ton :
sang ;
— Lis ! par ton Seigneur auguste, — Qui a enseigné
par le moyen de la plume, — Qui a enseigné à l'homme ce
Ihn-Ishaq :
riiit à Dieu, quand cela arrivera pour vous, que j'en sois témoin
pour entrer le premier au nombre des lidèles !
Pour entrer dans ce que déteste Qoréïch, (piand même ils pous-
seraient des rris tumultueux dans leur Mecque !
INTERRUPTION DE LA RÉVÉLATION
traient les plus nobles d'entre eus, tels que 'Otba ben
Rabî'a 'Abd-Chems ben 'Abd-Manâf), son Irère
(ben
Chéïba, et sonfils El-Walîd ben 'Otba, Abou-Sofyàn ben
1. Ch. LUI.
2. Allusion ii Qnr.. XXII, M.
3. Cf. Tabarî, daprès Ibn-Isbaq; Ibn-Sa'd, I, 137; Béïdâwi, I, 637.
I, 1192,
4.Sobriquet donné à Mohammed par ses ennemis. Cf. Sprenger, Das
Lcbon der MaiKunmad. III, 179.
— 141 —
semblèrent en Abyssinie au nombre de quatre-vingt-trois
hommes. 'Abdallah ben el-Hùrith ben Qaïs, en leur rap-
pelant la sécurité et le repos qu'ils avaient trouvés dans ce
pays, a dit :
MENTION DU BLOCUS
Les Qoréïchites s'unirent contre les fils de Hàchim et
ceux d"Abd-el-Mottalib, et conclurent un pacte pour ne
pas avoir de relations commerciales avec eux, ne pas les
fréquenter, et ne pas contracter d'alliance avec eux jusqu'à
ce qu'ils renoncent à leur compagnon et le leur livrent pour
être mis à mort. Ils écrivirent cet engagement sur une
feuille de parchemin dont les caractères furent tracés par
encore endormi'.
10
- 146 —
Gir il ne voulait pas (jue sa tentative parvînt aux oreilles de
sa tribu, et la fâchât contre lui; mais ils n'en lirent rien
et excitèrent contre lui les sots, les enfants et les esclaves,
qui l'injurièrent, murmurèrent derrière lui, et lui jetèrent
Qor'ân.
Plus tard encore eut lieu la défaite des Romains [par les
Per-ses], comme le dit le Qor'ân : « Les Romains ont été
[sacré] mais voyez ces Mazdéens qui l'ont emporté sur les
;
ils avaient apporté avec eux un bassin d'or qui sert à laver
les ventres des prophètes. Gabriel allait et venait pour
cœur ferme est celui qui a deux yeux qui voient et deux
oreilles qui entendent; vous êtes l'écorce de celui qui rend
négligent et qui ressuscite. Le prophète continua son récit :
1. Qor., LUI, 9.
2. Celui de .Jérusalem.
— 152 —
lijiut dans lequel se trouvent un exem|)le, une direction et
une miséricorde enfin comme il le voulut, afin de lui faire
;
lui et son peuple ; s'il choisit le lait, il sera bien dirigé, lui
et telle cliose. » — « S'il l'a dit, c'est que c'est vrai, répon-
1. Qor., XVII, 1.
— 154 —
Dieu a dit encore : « Le songe (|iie nous t'nvons fait voir
vait.
1. Qor., XXIX, 9.
diable :
Il y a deux avis, l'un que ne connaît pas cehii qui est dans
l'erreur, l'autre connu comme le tranchant du sabre.
Le premier est à bon droit une bonne nouvelle pour le dernier,
et le dernier est une gloire et un honneur.
suis parti pour Thaur Athal (qui est une caverne en aval de
la Mecque) et ordonne-lui d'aller m'y rejoindre. »
Le prophète de Dieu sortit de sa demeure; il avait pris une
poignée de terre qu'il éparpilla sur la tète de ceux qui
l'épiaient, en récitant ce passage du Qor'ân: «Y. S. Par le
inSTOlRK DE LA CAVERNE
la trace des fuyards, qui les voyaient tandis que les pour-
suivants ne pouvaient les apercevoir.
El-Wâqidi rapporte que Dieu le très Haut envoya l'arai-
robustes.
Sachez que tous les miracles cités dans cette histoire sont
vrais et admis comme tels par tout le monde, quand la tra-
dition nous a été transmise par une voie sûre ou que le texte
du Qor'ân en rend un témoignage formel, ainsi que les
1. Sur cette légende, rapportée aussi par elAVâqitlî, voir Muir, Life of
- 169 —
qu'il ne les attaquerait pas et ne manifesterait pas d'hosti-
lité contre eux, et à leur charge qu'ils l'aideraient contre
ceux qui pourraient le surprendre et qu'ils n'aideraient pas
ses ennemis. Quand les Juifs virent le succès de sa mission
et le concours de peuple qui venait luidemander des
réponses, ils rompirent le pacte, manquèrent à la foi jurée
et dressèrent contre lui l'insolence et l'envie; ils se mirent
à aller le voir et l'interroger sur les erreurs qu'il leur
imputait; parmi eux étaient Hoyayy, Abou-Yâsir et Djo-
dayy, tous les trois fils d'Akhtab ; Zéïd ben Tàboût,
'Abdallah ben Çoûrî, er-Rébi' ben Mohâd ben 'Âboûr,
Abi'l-Haqiq, Ka'b ben el-Achraf, Chàs ben 'Amr, Ferdem
ben Kerdem, et autres nobles' ; un certain nombre d'habi-
tants de Médine passèrent au parti des hypocrites et
aidèrent les Juifs dans leur entreprise, et au milieu d'eux
étaient Khidhâm ben Khàlid, le même qui vit sortir de sa
maison mosquée de l'opposition'; Djàriya ben 'Amir,
la
Bahzadj ben 'Amr, 'Abdallah ben el-Az'ar, qui sont ceux qui
construisirent cette mosquée
Modjammi' ben Djâriya, qui ;
sec et des peaux elle comptait des hommes tels que 'Amr
;
nous les avons d'abord tués, ensuite nous avons réfléchi que
c'était le mois de redjeb 1 » C'est alors que fut révélé ce
verset du Qor'ân : « Ils t'interrogeront sur le mois sacré ; ils
contre l'islamisme,
Nous avons abreuvé nos lances du sang d"Amr ben el-Hadramî
appel ; puis il prit sur ses épaules un rocher qu'il jeta et qui
s'avança en tombant; au pied de la montagne, il se brisa
en mille morceaux, et il ne resta pas une seule maison de
3. Qor., V, 27.
— 177 —
nous conduisais à Berk el-Ghoniàd, nous combattrions
avec toi jusqu'à ce que tu l'atteignes. » — « C'est
bien », répondit le prophète, et il lit des vcoux pour
lui; ensuite il dit: « Donnez-moi votre avis », voulant
parler des auxiliaires, qui lui avaient prêté serment à
El-'Aqaba à la condition qu'ils seraient affranchis de l'obli-
voici Gabriel qui dirige son cheval, ses dents sont couvertes
de poussière. » Puis il se dirigea vers l'armée rangée en
ligne, l'anima et l'excita, prit une poignée de gravier et
s'avança vers l'ennemi en disant : « Ces visages sont bien
1. Es-Sâïb ben 'Abtd ben 'Abd-Yézid dans Ibn Michàm, p 51!!, ainsi
qu'El-MoUalib au lieu d' 'Abd-el-Mottalib.
2. Ibn el-Ath!r, II, 97.
1. Ihii-Hichâm, p. 455.
— 181 —
El-'Abbàs seul fut contraint d'acquitter une rançon double;
on lui donna pour raison qu'il devait payer celle de son
1. Sur le sens de j«*, voir Lisdii el-'Arab, VI, 420, et sur les faits auxquels
il est fait allusion ici, Ibn-Hichàm, p. 4110, qui a El-'Âç au lieu d'Abou'l-'Aç.
2. Cf. Tabarî,I, 1340 Ibn-Hichàm. p. 461.
;
— 183 —
personne conduisant mieux leurs expéditions, pire que ce
scélérat expulsé par ses parents et les fils de son père. »
bouillie.
têtes; s'ils restent où ils sont, ce sera pour eux une mauvaise
séance. » Alors des hommes que Dieu avait réservés pour
l'honneur du martyre, et qui l'avaient manqué à Bedr, dési-
rant obtenir la récompense et la vie éternelle promises par
Dieu aux martyrs, lui dirent « Envoie-nous contre les :
'
1. Ibn-Hichàm, p. 572.
2. Ibn-Hichâra, p. 566.
Ils étaient trois mille, tandis que nous n'en étions qu'une por-
tion, tout au plus trois ou quatre cents '.
Plût à Dieu que mes ancêtres aient été témoins à Bedr de la peur
qu'avaient les Khazradjites des coups de lance !
plus.
1. Ibn-llicliàm, p. CI6, sauf le second vers, qui est fabriqué avec les vers
2 et 3 de la poésie suivante.
— 195 —
Il n'est pas à propos que ces événements soient rangés
par ordre de mois et d'années, parce que le classement en
est dificile et échappe à la vérité, à cause des divergences
et des différences de dates qui s'y manifestent ;
j'ai
suivants :
à lui.
qui servait d'asile aux pauvres. Cf. Bokhàrl, les Traditions idamlqiw^, Irad.
Iloudas et .Marrais, t. I, p. 10?, note.
— 198 —
envoyé, olo.' » Le meurtre de ses compagnons et la trahison
1. Qor. ,\L1X, 1.
bénisse !).
1. Ibn-IIicliàin, p. G:;C.
— 201 —
qui la lit monter sur sa monture et l'emmena ; mais il
se rendirent à la Mecque
y conclurent un traité avec les
et
1. Ibn-Hicluïm, p. 740.
— 203 —
Sal', ayant le fossé entre eux et les confédérés. Les Qoréî-
chites vinrent camper au nombre de dix mille hommes
placés sous le commandement d'Abou-Sofyàn ben Harb la ;
1. Qor.^ XXXIII, 9.
2. Qor.. cil. XXXIII.
3. U)n-Hichàm, p. 700.
— 2()G —
C'est uno longue ode, à liiqiielle Ka'l) ben Mnlik cl-ADeûrî
ri''|Hin(lif |i;ir une od(> également longue :
Si vous tuez Sa'd par sottise, sachez que Dieu est le meilleur
des puissants.
Il le fera entrer dans de beaux jardins qui sont le séjour des
vertueux.
- 20.^ —
sur les clKnnollcs à hiit du pi^oplirh' ; celui-ci partit :ï sa
mission que Dieu m'a confiée, jusqu'à ce qu'il ait rendu sa reli-
gion victorieuse et qu'ait disparu cette avant-garde qui nous
dispute le chemin. » Ils prirent alors un sentier escarpé; le
prophète descendit à el-Hodéibiya et envoya 'Othmàn ben
'Afïàn annoncer aux Qoré'ichites qu'il ne venait pas leur faire
la guerre ni pour leur manifester une inimitié ouverte, mais
1. Il)n-Hicliâm, p. 724.
- 209 —
appelle du eontentemont, et qui eut lieu sous rarl)re; on ])réta
serment de combattre jusqu'à la mort. Ce ne fut qu'ensuite
qne le prophète apprit que la nouvelle de la mort d"Otlunàn
était fausse.
Les Qoréïchites envo\-érent Soliéïl ben 'Amr pour con-
clure la paix avec le prophète, à la condition (|u'il les
2. Dans la légende, le loup qui vient trouver Mahomet est k_;Li jjl jjlj-
Cf. Qastallànî, A-Mawàhib d-La'Ioniijija, t. I, p. 181.
u'
— 210 —
la ville et la conquit forteresse par forteresse (car elle est
com])os(>e de forteresses et de hautes maisons) jusqu'à ce
qu'il arriva à El-Watil.i et Es-Solàlim'. Le siège durait
depuis dix-sept nuits, lorsque Marhab, revêtu de toutes ses
armures, s'avança en prononçant ces mots :
1. Allusion aune légende qui représente 'Alise servant dune porte comme
WàqidI, p. S;i.
2. Qui était empoisonnée.
.S. Qor., XLVIII, 27.
4. Ibn-Hichàm, p. 973 ; El-Wàqidi, p. 297.
5. Ibn-Hichàm, p. 934.
0]0
2. T. III, p. 108.
— 214 —
Plus t;ii(l Moliaïunicd onvoyii re.\|)r'(lili(iii de C1i(k1j;V 1)cii
Z. El-\Vàqidl, p. ;109.
— 215 —
prit le drapeau de la main gauche, qui fut coupée aussi; il
2. El-\Va>iiai, p. 318.
— 217 —
monté sur lu mule du prophète, à la recherche de quelqu'un
qu'il pourrait envoyer vers les Qoréichites pour leur porter
la nouvelle de leur venue, car ceux-ci, qui ignoraient ce qui
se passait à Médine, en auraient été inquiets. De leur côté,
Abou-Sofyàn ben Harb et Bodéïl ben Warqà sortirent de la
Mecque pour aller à la découverte; quand ils aperçurent l'ar-
mée ennemie et les feux de bivouac, ils en furent effrayés, et
El-' Abbâs entendit Abou-Sofyân dire à Bodéïl « Je n'ai jamais :
« Louange à Dieu qui t'a mis en notre pouvoir sans cundi 1 ii >n !
»
El-'Abbâs au matin, ;
il alla trouver le prophète qui lui dit :
Ka'ba. »
CAMPAGNE DE HONÉÎN
âpre, ni une plaine molle sous les pieds! » Et il récita ces vers:
1. Arbre sous lequel ils avaient juré à Molianmied de lui élre filiales
jusqu'à la mort, à Hodaibiya. C(. Wellhausen, traduction d'El-Wàqidi
p. 3:i9. n. 1.
Bouclier fait de peau et de poutres pour protéger les mineurs contre les
2.
sujet :
CAMPAGNE DE TABOUK
1. El-\Vàqidi, p. 383.
2. Ch. IX.
— 223 —
1. ll)n-HielKUii, p. 'J71.
Osaiiiii l)en Zéid d'envoj'cr des expéditions en Syrie; puis
il tomba malade de la maladie au cours de laquelle Dieu
lui ravit son àme. 11 annonça sa propre mort à ses compa-
gnons un mois avant l'événement; puis commença à être
il
15
TABLE ALPI1AT3ETI0UE
54. 192.
104.
de Mahomet, p. 168, 179.
p.
103, 119, 120. — (Les fils d), p. Abou-Ai.imed, frère d'Abdallah ben
188. Djahch, p. 137.
barl. fondateur d'une secte juive, Abvs.^ixie, p. 47, 52, 66, 69,113,168,
p. 33. 211. — (Première et seconde émi-
gration en), p. 140.
ABor-'OBAÏDA. tradilionniste, p.
126. .\uvssiNs, p. 65, 222. — (Peau noire
Abou-'Odaïda lien el-Djerràl_i, p.
des), p. 93. — Ils détruiront la
Mectpie, p. 9/ ; le Yénien, p. 98.
137, 207, 215.
p. 32.
Abou-Sa'Id el-Fayyoùnil (le riaon
Saadiah), p. 33. '."\i,iM bon Thàbit ben Abi l-.Vqlal.i,
98. — Afrique propre, p. 48. — 157, 159, 163, 172, 176, 178,184,
Agau, p. 106.
222 et suiv. —
'Vers cités, p. 203.
— Sa prédiction au sujet de
AONIHÔTRIYYA, secte de l'Inde, p. 13.
—
Barra, p. 99. Il rend la justice
Ahàbîch, ilotes des Qoréïchites,
dans la mosquée de Baçra, p. 84.
p. 193, 202.
'.Vlqama ben Modjazzaz el-Mod-
Ahlàf, branche des Thaqif, p. 116.
lidjî, p. 221.
el-AHQAB, nom d'un djinn, p. 146. 'Àmina liint Wahb, poétesse anté-
islamique, mère du prophète,
Ahriman, p. 24.
p. 109, 123.
el-AHSÂ, contrée de l'Arabie, p. 67.
apparte-
'Àmik, trilju à laquelle
el-AHWÂz (ville et province d'),
nait Lébld ben Rabl'a el-'.\mirl,
p. 48, :2, 74.
— (Rivière d'), p. 54.
p. 116.
'.\ïcHA, fille d'Abou-Dekr, épouse
•Âmir ben el-Adbat, p. 212.
de Mahomet, p. 79, 101, 132, 137,
.\MIR ben Fohé'ira, esclave d'A-
168, 171, 200 et suiv.
bou-Bekr, p. 137, 160.
AïLA, port de la mer Rouge, p. 66.
".\miii ben l.limyar, p. 111.
G8.
'.\MiR bon et-Tofail, p. 197, 198.
Aimant (Montagnes d'), p. 8'J.
— 231
'Ammar hen Yâsir, p. 137. "Ançârs (Aus et Khazradj), p. 100,
Ammoril'm, p. 49. 113, 155, 156, 184, 189.
'Amr ben Aniir Mozaïtjivâ, p. 114, cI-Aqra' ben Hâbis, p. 110, 221.
d'Alioii
AsId. père d"Allàli ot fils
BÀB el-Abwàb, p. 62. — (Mer de),
'l-'îç, p. 104.
Caspienne, p. 52.
AsiD.iN, p. 49.
BÀB-Çahva. —Voyez Çalwa (Porte
AsiR-MiNEURii, p. 49. — (Grecs d'),
de).
p 72. — (Montagnes d"), p. 55,67.
(Climat —
Babylone, p. 0-1. de),
'AsKEB-MoKRAM, canip de Mokram autrement dit IrànChehr, p 51,
ben Molarrif el-Lakhnit, p. 72, 97. 92.
'AuF ben 'Afrâ, p. 155, 178. BaghdAdh, p. 48, 70, 97. — Ety-
mologie de son nom, p. 96.
Aus et Khazradj, p. 121, 122, 151,
156. — (Généalogie des), p. 113. Bahâboûdh, prophète de l'Inde,
p. 12.
Aus-ALi.ÂH, surnom des Dja'adira,
fraction des Aus, p. 114. Bahâboûdhivva, .secte de l'Inde,
p. 11.
Al's ben Qaïzh!, un des hypocrites
de Médine, p. 169. Bàhila, p. 115.
A'yâç (Les), surnom des lroi.s fils Bai.izaw ben Amr, un des hypo-
du grand Oméyya, p. 104. crites de Médine, p. 169.
.
— 233
Banou 'Abd-Manâf, clan de Qo- Banou- Sâlem ben "Auf, p. 80, 167.
réïehites, p. 105, 119, 120, 158. B\Nou-SiNBis, fraction des Taï,
Banou 'l-Achhal, fraction des p. 112.
Aus, p. 114. Banou-Soléïm, p. 184,186. — (Mine
Banou-Açma', fraction des Qaïs, des) sur la route de la Mecque,
p. 115. p. 85.
— 234 -
Batn en-Nakhl, station sur la BoDÉ'i'L ben 'Warqa, p. 217.
route de Médiiie, p. 85.
Bœufs (Porte des) à la mosquée
BÉCHlR ben Sa'd, p. 212. d "Omar, h Jérusalem, p. 82.
Bédjâ, peuplade d'Egypte, p. 65. BoKHAUA, p. .19, 50, 75, 98.
Bédouins, p. 66.
BoNAYYÂT, localité d'.\rabie, p 105.
Bedr, bourgade d'Arabie, p. fiG, BoRÀQ (le), p. 152.
165, 170, 174 et suiv., 190, 191,
BosT, du
194. 196, 199. 201. - (Première 8r.
\ille .Sidjistan. p. 48, 73,
Berbéra, p. 52.
Ta'b, Hls de Sa'd el-'AchIra, p. 112.
Berdha'a, p. 50, 72. — (Fleuve de),
p. 55. — (Prise de) par les Russes, Çabiens, comptés parmi les dua-
listes, p. 22.
p. 62.
— 236
p. 83. p. 04.
Ctésiphon, p. 70. — Bi'itio par Ilù- Dhakwàn (Tribu de), p. 107, 1^8.
chèng, et nommée Karda-Houii-
- Dhakwân ben '.\bd-el Qa'is, p. 155.
dcàdh, p. 93. Voyez Mctliim.
Dhât-Atlâii, p. 214.
94.
Djabal ('Iràq-Adjémi), p. 74.
142, 19?, 211, 214, 215. Djodhâm (Tribu de), p. 110, 214.
Djâloûtiyya, secte de Juifs, par- Djoruom (Tribu de), p. 79, 100, 107,
ÉUESSÉNIENS, p. 40.
DjOBÉ'iR ben Mout'im ben 'Adi, p.
.Sinaï, p. 84. —
(Coupole d') sur FÂTiMA bint el-Khattâb, femme de
l'emplacement du temple de Jé- Sa'îd ben Zé'id ben 'Amr, p. 137.
rusalem, par confusion avec le Fayvoûm (Le), p. 48.
nom d'.Elia Capitolina, p. 82.
FAYVoiJMiYYA, secte de Juifs, par-
Empeueur romain (Pages de l'I,
tisans du Gaon Saadiah, p. 32, 33.
p. 64.
Féïu, forteresse à mi-chemin de la
Enfants (Église des) ou des Inno- Mecque, p. 85.
cents il Bethléem, p. 83.
el-FÉR.\HiD, tribu arabe, p. 113.
ÈiiE d'Alexandre, p. 1?4. — Des
Feruem ben Kerdem, juif de Mé-
Arabes, ihid.
dine, p. 169.
EllZEN, p. 50.
Ferghàna, p. 49, 75, 98. — (Rivière
EsDRAS, p. 34. de), p. 56.
Esp.tGNE, p. 50, .i2, Gl, 63, 69. — Sa Ferverdagân, jours épagomônes
destruction future, p. 98. de l'année perse, p. 25.
EsplDj.\B, ville de Transoxiane, p. FÊTES des Juifs, p. 36. — Des
49, 75. — Voyez Isbidjùb. Chrétiens, p. 45.
Etourneau (Arbre de 1'), merveille FiD.F.\R (Guerre de), p. 126, 127.
du monde, p. 87.
FiHR, fils de Màlik. p. 102, 103.
Etrangleuk.s (Doctrine des), p. 8.
FiHR (Tribu de), p. 107.
Euphiîate, p. 51, 54, 71, 92. — Firichtégân, prophètes des Khor-
Fleuve du paradis terrestre, p. 56.
rémites, p. 29.
el-FoR", bourgade d'Arabie, p. 66.
Fadak, bourgade d'Arabie, p. 66,
el-FoKÀFiçA el-Kelbî, p. 110.
207, 212.
Fossé (Bataille du), p. 169, 202.
Fadaukas, fraction de tribu à la-
quelle appartenait el-AkIital, p.
Fostât (le Vieux-Caire), p. 48, 55,
68.
116.
— 239 —
Gels, peuple du Gilân, p. 74. Grèce, p. 95.
el-GHÂBA (Razzia d), p. 207. Grecs, p. 50, 62, 63, 86, 209, 214. -
el-GHADAQ, descendant de Rabî'a, (Pays, territoire des), p. 50, 54, 75,
p. 116. 88, 95. —
(Mer des), p. 51, 52, 61.
Ghoûta de Damas,
95, 115. — Sa destruction future,
p. 55.
p. 98.
Ghouzz, p. 86.
Hamna, fille de Djabch, p. 201, 202.
GlLÂN, province de Perse, p. 74, Sr.
Hamr.\ el-.Asad, p. 192.
GocHTÂsp, fils de Lohràsp, envoie
Hamza. flis d"Abd-el-Mottalib et
Isfendiyàr en expédition, p. 88.
oncle de Mahomet, p. 129, 139,
GoG ET Magog, p. 49, 50, 57, 60, 91 143, 170, 177, 178, 186, 188, 190,
et suiv. — Courte taille de ces 191.
peuples, p. 93. HANiFA (Tribu d), p. 116. — Voyez
Golfe persique, p. 51. — Voyez Banou-Haiiifa.
Fârs (mer du). Hanzhala ben Abi-'Âmir, p. 191.
Golgotha (Église du), p. 83. Haram (Le), à la Mecque, p. 77.
Goliath, p. 65. Hàràn, frère d'Abraham, p. 95.
Gondè-Chàpoûr, ville de Susiane, l.lARB, fils du grand Omévva, p.
p. 94. 104, 127.
— 210
el-HÂiUTH ben "Alxl-el-'O/za. mari IIiNij ben Hind, fils du second lit
p. 214.
136, 146.
el-HÀRiTH ben 'Omaïr,
HiRM.\s, affluent du Khàboûr, p. 54.
HÂRITHA ben Tha'laba, père d'Ans
et de Khazradj, p. 113, 115. Hîr, sur l'Euphrate, p. 48, 71.
Hassâ, nom d'un djinn, p. 146. HoDHÉ'iFA ben Ghânem, poète anté-
islamique, p. 107.
HAss.iN ben Thàbit, p. 193, 201, !.02.
'
— Vers cités, p. 114, 146, 180, 1»1, HoDHÉ'iL, fils de Modrika, p. 102.
Hébron, p. 83.
HoL\v.\N, ville de Perse, p. 49, 69,
'
Ibn ed-Doghonna, seigneur de Qâ- 'Iraq ['arabil. p. 66, 69, 70, 74, 149,
ra, p. 141.
209. — (Route de à la Mecque,
1")
16
JJ42
JÉRUSALEM, p. 45, 48, 6?, 121, 151 Kerk (île de), Koùl, p. 47.
de Médine, p. 16S, 10'.), 1S3. — .Sur 104, 128. 129, 133, 134, 136, 145.
-
le territoire de l'empire romain, .Sa mort, p. 144.
Ka'b ben el-Achruf, juif de Mé- Kn.iLiD l)eu 'Abdallah (ben Khâlid
dine, p. 169, 185. ben Asid), gouverneur de Bai;ra,
Ka'b, fils de Khazradj, p. 113. p. 70.
p. 156, 193, 206, 210. KhâlId ben Sa'îd ben el-'Aç, p. 136.
243 —
Khindif (Tribu de), p. 102. épou.se 'Otlimàn, fils d".\ffàn,
de Chine, p. 24.
la p. 57.
KHOZ.i'A (Tribu de), p. 100, 103, 117 Lakhm (Tribu de), p. 110, 214.
Ma'add, fils d'"Adnân, p. 101, 10g. Mâlik ben Sinân el-Kliodr!, père
Maghreb, p. 48, 49, G4, G8, 69. — Ma'ûûna (Puits de), p. 197.
Firoùz, descendant de
MÂRiD, château de Doûmat el-
Mahdî ben
Djandal, p. 60.
Fâtima, llUe d'Abou-Moslini, p.
29.' Marie, mère de Jésus, p. 41 et
Mazdéens, p. 22, 29, 78, 143. — 58, 72, 7.!, 86, 92.
56, 75.
Mecque (La), p. 48, 61, 66, 77. 78,
100, 103, 129, 132, 137, 140, 145,
Merwa, localité d'.\rabie, p. 66.
146, 152, 157, 161, 162, 167, 168, MÉ.SOPOTAMIE, p. 49, 54, 71, 72.
—
171, 174 et suiv., 196, 19!), 202, (Places frontières de la), p. 86.
206, 208, 209, 212, 217 et suiv. — Messie (Le), p. 40. 42 et suiv.,
Origine de son nom, p. 96. — 83.
(Chefs de la), p. 116. (Temple — Michel, archange, p. 150.
de la), p. 30. —
(Prise de la), p.
170. — (Charpentier copte à la),
MiDÂD ben "Amr el-DjorhomI, chef
MÉDINE,
MiHRÂN (Fleuve de), p. 54, 56.
p. 66, 105, 132, 155, 161,
102, 167, 169, 170, 175, 177, 18 ),
el-MiHRÂs, source près d'Ohod, p.
198, 201, 202, 205, ;'07 et suiv.. 217, MiLK-ÂN, fils de Kinùna. p. 1U2.
221, 222, 224. — Origine de son el-MiQD,\D ben 'Amr (au lieu de
nom, p. 96. — (Chefs de), p. 121. ben el-.^swad du texte), p. 176.
— (Mosquée de), p. 80. — (Route el-MiQDÂD ben el-Aswad el-Kindi,
de), p. 85. — Périra par la famine, le seul cavalier musulman à
p. 97.
Bedr, p. 176.
MÉDITERRANÉE, p. 52.
MiQYAS ben Dobâlia, p. 217.
Medjdî ben '.Xmr el-Djohanî, p.
.MiBD.Âs ben Nahîk, p. 211.
171.
MiRBAD (Le), à Médine, p. 80.
Medjenné (Foire de), p. 154.
el-MisLAi.i, station sur la route de
Medjnoûn, poète, p. 116.
la Mecque, p. 85.
Mehdî (Le), p. 68.
MisTAH ben Othàtha, p. 156, 201,
Mehdiyya, p. 68. 202.
el-MEHDl. khalife ahbasside, p. 80, Mo'ÂDH ben 'Afrâ, p. 80, 155.
81.
Mo'ÂDH ben 'Amr ben el-Djamoùh,
MehroC'yàn (Mehroùbàn), ville du p. 179.
Fàrs, p. 48.
Mo'attib ben Qocha'ir, un des hy-
Méïda'àn, fils d'el-.Vzd, p. 113. pocrites de Médine, p. 169.
el-MÉïFA'A, p. 211. Mo'ÂwiYA, fils d'Abou-Sofyàn, p.
— 247 —
el-MouNDHiR ben en-No'màn, roi Nativité (Églisede la) àBethlécm,
de Hira, p. 118. p. 83.
116.
p. 23.
en-No'.\i.\N ben Béchîr, p. 171.
en-N.\ssA, surnom de la Mecque,
p. 117. en-No'MÀN ben el-Moundliir, gou-
2A8
vcrncur t\c l.Iîra pour Kliosrau 'Okâzh (Foire d'), p. 126, 154. —
Parwi/, II. 126, 1:.'7. (Combat d'), p. 127.
Nouveau Dimanche (Quasimodo), 'Okbariens, secte juive, p. 32, 33.
p. 155, 156.
'Omar ben 'Abd-cl-'Azîz, nommé
'Obâda ben eç-Çâmit,
gouverneur de Médine, p. 81.
184.
'Obaïd ben "Omaïr el-Léïthî, tra- 'Omar ben el-Khattâb, p. 69, 71, 79,
249 —
Omm-Salama, fille d'Abou-Omay- Palestiniens, secte de Juifs, p. 32.
'Othmàn ben Mazh'oùn, p. 137, Qaïs ben 'Aîlân, est le même qu'el-
156. Yàs, p. 102. — (Tribu de) p. 115,
'Oyaïna ben Hii;n el-Fazàri, chef Qaïtoûrâ ben Kerker (Fils de),
p.' 98.
des Ghatafàn, p. t'02, ï07, 208, 221.
Qal.\'a, fabrique de sabres, p. 107.
QÀLiQ.\L.i, p. 49, 72, 86.
Palestine, p. 64, 67, 68, 224. - fJuifs
del, p. 34. Qama'a, fils d'el-Yàs, p. 102.
— 250
116, 117.
QoTBA ben "Âmir ben Hadlda, p.
155, 221.
QAWÂQiL,surnomd'el-I.l;irilh,Ka'l>
de Khazradj,
QouMÉs, p. 49, 74.
et 'Amr, fils p. 113.
Qou.MM, p. 49.
Qawâtîl, canaux dérivés du Tigre,
p. 54.
QouRRÈ, p. 50.
194. —
Ses habitants sont une Rabbinites, secte juive, p. 32, 34.
QoçAYY, fils de Kilâb, chef qoréï- sur le haut Oxus, p. 56, 59, 75, 87.
— 251
90, 92.
Rânèdj (Zâbèdj, p. 59.
Russes, p. G2, 63.
Raqqa, sur l'Euphrate, p. 49, 54,
63, 71.
Samaritain.*, secte de Juifs, p. 32, SiND, p. 47, 48, 53, 56, 59, 73, 74. 99.
p. 83.
86. —Reconstruite par Hàroùn
er-Rachid, p. 97.
Syrie, p. 48, 49, 51, 53, 63, 64, 66,
ot-TAYYiB, fils de Mahomet, p. 130.
67, 7i, 104, 107, 152, 162, 170, 171,
174, 186. — (Mer de), p. 50, 55. — Téïm, ancêtre des Banou 'l-Adram,
(Places frontières de), p. 86. — p. 102.
Taïf, ville d'Arabie, p. 48, 66, 145, Thaur Athal, caverne en aval de
146, 218 et suiv. — (Siège et prise la Mecque, p. 159.
mare, p. 59. Tibet, p. 49, 50, 57, 58, 60, 74, 75,
borgne, p. 70.
Toustèr, de Susiane, p. 94
ville ;
Mecque, p. 85.
Tribus (Porte des douze) à la mos- 128 et suiv., 136, 144, 149, 151, 153,
Yathrib, p. 48, 78, 96, 113, 114, 121, Zéïneb, fille de Khozéïma, surnom-
122, 175, 176. mée la mère des pauvres, épouse
Yaxartes, p. 56.
du prophète, p. 194.
Yémàma, province d'.Vrabie, p. 48. Zemzem (Puits de), p. 79, 121, 150.
Tome III
1, p. 4; Usàn
vers est cité par Béklàwi, 1. el-Arab, t. XVII,
p. 362 et 436, et signifie : « Comme le serment d'Abou-
adorait. » (Ibid.)
p. 48).
liouth). •
(Margoliouth).
cidé. »
pour ce t'ait. »
Tome IV
p. 152 :
croire et comme je l'ai traduit (p. 17, 1. 7), mais une forme,
^ \ au 4'-, ^gjUI ;
an .)". l^^^j-'-
— 262 —
P. 125, 1. 18. Au lieu de : « Elle le fit remettre à 0mm-
Aïman, etc. » lisez : « Omm-Aïman^qui l'éleva l'em-
mena à la Mecque. ))
^y> fv^;^-
J^ ^.^j^-^^ >^'
Je l'ai restitué d'après Ibn-IIichâm, p, 249 (comparer les
remarques à la p. 81).
Pages
Les Athées, p. 2. —
Religions des Brahmanes, p. 9. —
Descrip-
tion de leurs sectes et des produits de leur imagination, p. 11.
—
De la manière dont ils lirùlent leurs corps et les jettent dans le feu,
p. 14.— Des Chinois, p. 17.— Ce qu'on raconte des lois des Turcs,
p. 19.— Lois des Harrâniens, p. 20. — Religions des dualistes, p. 22.
— idolâtres, p. 23. — Sectes et lois des Mazdéens, p. 24.
Des —
Doctrines des Khorrémites, p. s8. — Coutumes des Arabes païens,
p. 29. — Lois des Juifs, p. 32. — Leurs usages, p. 35. — Lois des
Chrétiens, p. 40. — Coutumes des Chrétiens, p. 4L
Ch.\pitre XVI. —
Arrivée du prophète de Dieu, ses campagnes
médiates et immédiates jusqu'au moment de sa mort
Histoire de la bataille de Bedr, p. 174. — Campagne contre les
Juifs Banou-Qa'inoqà', en chawvvàl, p. ISiî. — Campagne de la
bouillie,en dhou 'Ihidjdjé. p. 181. — Mort de Ka'b ben el-Achraf,
p. 185. —
Histoire de la bataille d'Ohod, p. 186. Histoire d'er- —
RadjîS sur le territoire des Hodhéïlites, p. 195. Histoire du —
puits de Ma'oùna, p. 197. —
Razzia des Banou 'n-Nad!r, p. 198. —
Razzia de Dhât er-Riqà', p. 199. —
Razzia de Bedr du rendez- vous,
p. 199. —
Razzia des Banou '1-Moçtaliq, p. 200. La bataille du —
Fossé, en dhou '1-qa'da, p. 20;'. —
Histoire de la campagne de
Mou'ta, p. 214. —
Prise de la Mecque dans le mois de ramadan,
p. 216. —
Campagne de Honéïn, p. 218. Campagne de Taboùk, —
p. 2;'2. —
Campagne de Khâlid ben el-Waltd contre Okaidir, prince
de Doiiniat el-Djandal, en partant de Taboùk, p. 223.
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En marge : IJo •
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Ms. ajoute ;lÀ5ol, mais c'est une addition interlinéaire mo-
derne.
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Addition moderne :
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Note marginale :
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Ms. ,»^ olio; corrigé d'après Ibn-Hichâm, p. 445.
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Ms. _J:Uj-
'
Ms. ajlilj.
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'
MS. Oj3'
'
Ms. i^^U-j.
3 Ms. ijillj-
Â^"* Cj"^ ^3 ^>1^^ Jl
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4-'— ^12J1 Jl Â_9/Jl
^y
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Ms. \^Ao •
^ Ms. il.ji-l-
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Ms. v,:^^\-
j>M J[ çp ^3 ÂJ^C J ^j^ Ji ^^* ^. J^jl
C^î
Ji o^'^j^ "^-K {^J Sî-'^ ti >^b Jr^ J l*-J^^i o^;J^
G^ L^ j_^ ùl;5r^
^ jj.il ^i Jl ^
'
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j:^., ^.^
'
Ms. SJ^.
'
Ms. eL.LîJ|.
'Ms. f^l.
AY
~'U (j^JûIl O--; (J—'3 A_iMJi^ ô^iijl A_j_J ôUL- c?^ c/^
'
En margo :
J^V li liS^-
'
s^y Ij jUSu >^LJ s/Sîl ^ ^J1 J.lcV I^y^jJl
'
Ms. Sjà-iJlj; corrigé d'après Samhoùdi, p. 107-
A©
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(T*^ "^-'^ J.>-J 'U^ji
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Ms. àbjJ-l •
= Ms.
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'
Addition marginale moderne.
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Ms. dUij.
'
Ms. >i;lij-
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Ms. -ClS^-
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^-i JfcJ CJ_;ii -U^J J'^U -^- ^/^ ^-j'j J~^ J'^
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j^li j. \>^ jji ^*, jLli ^i
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J\^ A?-b jfei _^i. J _,^i:. S^_^ _;.-i* Ji" Ji« Af Ji^j
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Corr. marg. ; ms. ijib •
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Corr. mai-g. ; ms. 'Ijl^-
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Ms. ^\J.
^Ms. ^.
' Ms. i j-JI •
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Ms. ïst"!.
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Ms. rj*}=>, et plus loin i^yja-
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Ms. ^)|.
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Ms. j.^]\
-
Ms. jji^.
'
En marge : Ià5'
'
M-. o.-
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AjTlyJl «^ijSi
^^ ^^lîTLiJ 'J^\ J.»
4_.jU Â_li-1 O'U
'
Ms. Ijjilaî'
« Ms. >ji^l-
^
Ms. j^j^-
6/
M
uij^-Ul ^1::^= Jj -y^-^ l^_ (Ui (tUI UJ^ J^ Jt^
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'
Ms. j^^ V-
^ Ms. »JI-
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Ou~^^ -^J (j'* <s-W j^.i ^li^^M ôOpC j^*^ jill (v^^jS^
Ms. ^Mi.
Ms.
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Jcil Ulj Jltl 4.Ulj O-J^ O^J ^_^i.Jl (t^Jij^J r-L)A!lj
dllll :'lj\ lil^ ûjAt3 ù^-^-^^ l^^^-C ijl ^gJc <J^^y3 ^lîU
J<).âJI
J-._^'.)
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^f ^r-Ul J j^fl* j^j }j^\i
^
Ms. 4jI« o><. • '
Ms. Oiji".
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uL-.l JL.>. ^> o--: jV^ ^«:jÎj i-Ji ^^^-; 0-' c>^-^'*
^jU"*
'
Ms. ^Ij.
'
Ms. Sjilp.
» Ms. c\^y^_'
-T^
OA
'
MS. t5j-^L;.
« Ms. J->..
Ms.
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J--.«
ÂJU ^i- ^ji^J ^j\\ /: jo ^ji ^IJI rz--}i-\
't-iU ^j;^^ ^^' lIj , i~* A_iL« (Ju: »^l_jll ^Jojii tj 4^^j
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Ms. iJi>Ol.
Ms. ^ <uLuL.
Ms. ^ .
s
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y^Ajl j ^0^. ^jSli ^;1^ ol''>Lnj
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J:^ ir^^ L^^^ i^*-' V'-r*--' t/'J^'
Ms. j:k.
Ms. O-i •
or
'
Ms. ^j-j-
Ms. -jT-
'
Ms.
/J^\
^ Ms. o^^ •
^j-i *ly^J ij*i '^5}\ 3y3 y 3 '^.3 bU'!^ ^^^j^3
^^-.'
J^ ô^^* ù* ^-^-^ cr-*^* r-'^?'-> ^^O ^-^^-
'
Ms. ^yj-
'^
Ms. 4^.
" Ms. ^>x-
'
Ms. ^<rybj.
» Ms. sl;lf;^lj.
• Ms. J-UaHj-
o\
'
Ms. jnij-
* Ms. Jy^j}-
'
Corr. marg. ; ms, ÂXtJ^j'
« Ms. ^l._^l-
e* St)
• Ms. U.I-
'
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jU-'l Ik^i ^ç'^— *^ ^-^^3
V^-''^
'^^ l/'J^^ "^^ ti
'
Ms. JI-5VIJ-
•r- ,^ C^ÀM CjJi j^J rt^M JUc /*\_)1 Âjojl oA«i^ ..'^^^^
'
^Jl Jl^j ^^s-j^ ^-l'ii ^~« Jt ^i ^\ ^'^ ^^ ^'^\i
'
Note marginale : j*Li ^j^y; ,_^-! p^L-Vl -Utj j:Jj'
40
'
M s. c5';^_-
li
'
Ms. t_j; corrigé d'après Ma(|rîzi.
'
Ms. iiJI •
*
Ms. bl^l.
ir
-*-?•>* Jî*^ -^-^^-' "-^^ 1^'^-'*-'^ *"^ •^-^^-' '-'^^ ^*>-r V'*
Ms. J-
Ms. ^1-
ir
'
Ms. ÂJWijJlj-
'
Ms. ëaUJI •
; corrigé d'après Maqrizi ut le contexte.
i\
^-'"
^_^\\ ii^u j^!i j^ :^^i ^5f jUi M_i.i ^ii
^y ^j^JI
'
Corr. marg. ; ms. ^ •
'
Ms. ^J»; corrigé d'après Maqrîzi.
'
Corr. marg. : i>5JuJI, au duel, comme dans Maqrizi.
'
Ms. jj^; corrigé d'après Maqrizi et le parallélisme du second
membre de phrase.
' Ms. J-
i^O
jj-i
(^>^'^-) j:>-''j (^JIj J::i!lj 4=^jl <-i-
^ ^s,x.s.
^.
J, J:J\j
Ma ï«~_ •
Ms. U.
r\
^C «_jljl ^_^ A-)\ 4,)jl /»_^^ ^^Jlfc 1—'^ ^J^^ ^^-î ^'^'*
^») *Ltjj^^ jj^ j^' o*^ '^— j j~^ c^Àj' ^_^n ^Àifc ù^
_^_J jiaâJl Juc :>l-cl Â^;?- j^^li l^_jLa) lj»l^ U j^^-cv O^^l^
Z»! »1 «U — (j^^^
c U^-* -i^-C-J A_Lil A_o_j)J .>A5eJ>-_J «U-^
Ms. 11*.
iJ-ll ùi-^^ U^^^^J 4_U^l_j Jj^\ ^j}j ÙJ-J^L.
'
Corr. marg. : ^^\ •
Aj ^^Ls »U'i J i'-^l^ c5b <^'b aJj 1,ji ^J \}\
Ia,^==6\
V J^ ^UI [>! I^;c ùi u^«fi (vjl-i Cn^Li
'
Ms. Alzi—,•
^H'
i_JL.'L'l
^ tilu^^ |V*> ^_^-JI ^\jt' j^=>':> [F"117v"1
JxJlj -L>.y!l
'
'
Ms. Jji) (s/e).
tr
^ -'- j
^ i^-*^-^^
'
Ms. ly^\ bif.-
cJ'^) 4_;l^' j4l ôijij ûl_^ ji^L j>.Ji oLL 1.J
'
Ms. ^-^ J^.-^i J\JC~X*\ uolc inaigiiiale : O-^j l-AJ •
2)0
'j\3_)
^V-J ^3j^" ù^ Je ^J^\ Jl jLll ^j-> jh^i JyJi
â^ <ii
J-<> llv_.l ^a*i^^ V j^jîl ù^j J^b ^j J-^
'
Ms. Êie-
5
Zi
YA
J^ «Xw^
«_;ï=^'
(_rT^ rij^ 4ijli4 JCi. ô_Pisi^ ijLla-^^
«Jl
<J"
<-}ù\ ^jJ- ji^J JjAt <Ji% 4_Jiw Aj^J ijj^ ^j*i A^j
ù* "^t l
*^-^-? U—^ ù' u-.^
'^ ù'^ ^^ ù* ô^H
UUllj >1 J_!l;. jy}\ ;_;^l:ll J_^5.j JLjijlII
^^1
U-r^
lui <; rtU) C*I^ -Ç^I» o'j OLê':^'! «îi_J J>.;J| Jljrl
o^ -'-?-'
^ J-f j^^ J-?*-' ^'-^^ ^^r^ k-^ ^-«'^
J-'^-* <^^
[{"116roj jÇj[^\ ^^\j IIaj ^-*.u4 4ifcU <»L]in_j lie
J_^._j
'
Ms. J^l; corrigé d'ai)rés le Fihrist, 1, HIO, 1. 22.
Z2.
'
Ms. 'j-J^'''\
COÏT- maig. 'f-J^'
'
Ms. j^js- ; note marginale : J-tfV ci \J5-
tN
^'^^
r"^^ cyi k-* o*^-'
"-^^y <-^-'^ ^\ J^' ^*-^^ ^
'
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'
zo
L_.«
J^jj
jUlj 'Lllj ._.é=>lj5olj j-oÂJi^ jj-^\S ùj-^'t—
j I_^aJj(. ijJj^
J^j
la=^ 4J \3j^
%J^ ^ \y..J^\
^^J O-i. ^11! 'Iji -de T-jiaJJ Ai jjj ^jjl _;^-l)lj ^Ul Jl
A_^U (»f«
^li J^ Jsxl ^:,-i.5 J^j J^ J=.J J^ lil
Ms.
^1^ (vAJl^* U ^j-Ji jJLi IJiSj aja) â_._/j 4_J:>U JI^
A_bU A_jIc
'J^ ^> ^ ùW~^ ^J3 -^-^^ (il ^Jî^
'
Ms. lia^-l-
» Ms. 'ji\
^ Ms. j;^.
'
Le ms. a dans l'iulerliane a! •
\A
n
'
L'oujecture pour ,_j-S du m^i.
*^-* ->y''*'' ôliîJ^i
'^i^ J*^ (^ <^^y~ '^
e>*'^. ù" i^f^-'
l^âj
4;J^ 1^1 j,. p..^l._J ûjLil
^^ ^ IJi^ O^ Sjii'^'
4_Ul Ç.J5.
\_^i \^ oU ùl-*
'^—à; jitojj [o\\ Ji 'Ui J^
4_Jj ^],\ 4_.Jl_) c^A=-L. jlil _v_s ^:^ A.UI ti f^^ J-r
J>-j
«ç-îU (J[3 ô^ It tij>-'^^ *J^ A^JJ A»-^ j;^ ^
'
Ms. JU^-
jU£
Ms.
^ C:^nj]jj;:"j ù* (»*^^-9 a"^'^ tr-î'J ^^* t^»^
"^^^
^ bilii^l^
(n'^*^.-'
^^=^'^^' (U w'?^ j^^l^ !îS:~'^
" Ms.
Nr
'
;iu ô'u j^ aj;/1 aJ ju, ^"^c
'
<iiw\ Jj ^jaJ\
[ji]
Ji 3^.?^Vj *Ju. j^ a;:.j1'j aU ^ ^^ a^\ ù^j
'
Ms. Uo_y.l^l, mais i_^\^; sur la lurme ligue.
l_.- ùj~s Vj (t-/^—ç V jj-f^ j^Aj._:& o^»'~-^'j ^^A\
^^\a\
BX Mi.
•
'
Manque dans BN.
=
BN o\_L-
'•
BN 0^7-
' BN ^}.
' BN ^•
BN liTj^-
"
Manque dans BN. >
BN -^^^ \:is-
'"
BN' ; BN' (iUl; ms. ^o';i j^-)-
"^
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•
k_j'_^l ôjj^ <^'^i ÂJL-JI ^j_^k.j_j fc_jli*n_j cjlyJij
^t^lj p^jljaîl
'
OjUo V':»^ pLiV <à1;s2* p.^«l_;^
' BX =
: iiis. ^':)C^\i , de même BX '.
^
BX L^^/j \..^-:-j-
'
Ms. j*ll o".-^' ci; corrigé d'après BN.
'
BN; ras. Jd:^;.
'
BN l^.
»
BN ajIjl«.
' BN ^j:-
^
BN l^^Wj-
'
BN >•
"jli ^xjs^ (T^^U^ii jUJi Ja> oA^.i'j LJi^Li
J^^^j
'
Ms. ^SCjIj •
'^- ù^ r^^ à* J^> J-^^ -^^'^ '
^^^' -^-^^ J^^ ^
ô^^: 'Jy ^/\
4_U1 jC^j '_^Jc1 ^.<Ji 'li j,..^ ^yi
^15^ "^i ^j> ^>\jli\ <> O'V ^ ÙJ^J^'J ul>^"^^* Aj'Ji^ u
'
Ms. ajoute à tort <l!l •
= Ms. j^lj-
'
Ms. ëj_jlà^'j'
'
Add. marg. js--
(^
ë^l 4_U^
ùl^ dÂ_!i le 4_:Il_j J.»i-I aj\y. 4:c ^i-tSCj
—
A_)*^ ^^J ù\3 '^y ^^^ J^ <-^jyJ\i <J[ jj-l> 0^ -J^-'
*^
cr-
'
Ms. ajoute ^ •
'
Ms. L« ^•
'
Ms. -.lill.
r
lÀ* ^> «_:.ç ,jI_M L.«^ ôL^^ Ijyj JJlj Ojl^ -V*- Vj
(•jV-^I
O^ J'L.^'^b J-^"-'* --r^^ »"^W^' ^J-»-j J-Î^Ul
/'^ (J
Jb^i (»«-*^J^j
^^3 cP'j^'l J*^ ùl^^
'
Ms. -i^U
i-j-L'
IJi ^^u
d^
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'J)\ ''^:i)1
D £l-Maqdiei, Mui^hhar ibn TaMr
17 Le livre de la création et
M26 Qe l'histoire d'Abou-Zéïd Ahmed
1B99 Ben Sahl el-Balkhx