joachimJessicaD IUGM DTS 09
joachimJessicaD IUGM DTS 09
joachimJessicaD IUGM DTS 09
Institut Universitaire
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE (MEN)
de Gestion et Management
UNIVERSITE DE MAHAJANGA
Promotion TARATRA
Année universitaire: 2007-2008
RESUME
L’inventaire tournant est un mode d’inventaire physique dont la pratique n’est pas
également obligatoire. Pour cette raison, peu d’entreprises l’adoptent.
Mais cette pratique est vraiment nécessaire et ne peut se dissocier de la gestion
de stock, dans le cas où la société garde une grande quantité d’éléments en stock et où
l’exploitation est dépendante de la qualité du système de gestion de ce stock.
L’AQUALMA détient une grande quantité d’éléments en stock : les biens
d’exportation et les biens approvisionnés. Mais c’est le stock des approvisionnements qui
nous intéresse. Au sein de cette société, gérer le stock des approvisionnements est très
compliqué, du fait des variétés des biens à gérer et des sites à ravitailler.
Malgré la maîtrise de la pratique de l’inventaire informatique permanent, cette
société pratique périodiquement d’inventaires tournants. Tout simplement car ce mode
d’inventaire permet de :
• détecter les défauts de gestion
The cycle counting is a physical mode of inventory whose practice is not also
obligatory. For this reason, few companies adoptee it.
But this practice is really necessary and cannot dissociate itself from the stock
management, if the company keeps a great quantity of elements in stock and where the
exploitation is dependent on the quality of the system of management of this stock.
The AQUALMA holds a great quantity of elements in stock: goods of export and
goods supplied. But it is the stock of the provisioning which interests us. Within this
company, to manage the stock of the provisioning is very complicated, because of the
varieties of the goods to be managed and the sites to be supplied.
In spite of the control of the practice of the permanent data-processing inventory,
this company practises cycle counting periodically. Quite simply because this mode of
inventory allows:
• To detect the defects of management
To through the lines of this work, we will explain and show the importance of this
mode of inventory according to our studies carried out within the central store of the
AQUALMA.
SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS, CIGLES ET ACRONYMES
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
CONCLUSION
LISTE DES TABLEAUX, SCHEMAS ET FIGURES
ANNEXES
TABLE DES MATIERES
REMERCIEMENTS
Tous les personnels du Magasin central-AQUALMA, qui nous ont aidé dans la réalisation
des tâches qui nous ont été attribuées lors du stage.
Nos professeurs de l’ IUGM, qui ne cessent de faire de leur mieux pour améliorer notre
efficacité.
Nos Parents qui nous ont toujours soutenu aussi bien financièrement que moralement.
A tous ceux qui, de près ou de loin, nous ont apporté leur soutien et leur collaboration
dans la confection du présent ouvrage.
LISTE DES ABREVIATIONS ET ACRONYMES
1- ISO 9001 : C’est une norme qui spécifie les exigences relatives à un système de
4- L’export mouvement : C’est une exportation des données sur les mouvements du
stock central vers les sites périphériques, afin que tous les sites aient une connaissance
exacte des quantités restant en stock dans le site central. Ces sites avisés effectuent donc
un « import mouvement » pour réactualiser leur stock informatique.
INTRODUCTION
1
Première partie :
CADRE D’ETUDE
2
PREMIERE PARTIE:
§ 1: L’AQUALMA
A - HISTORIQUE
AQUALMA ou AQUACULTURE DE LA MAHAJAMBA a été crée en 1992 pour
développer le premier élevage de crevettes à Madagascar.
En 1999, elle a obtenu un certificat d’usine suivant la norme ISO 90011. Sa
production a été certifiée « Label Rouge » en 2004 par le gouvernement français. En
2007, elle a obtenu un certificat IFS (International Food Standard).
La construction, puis l’extension de l’ AQUALMA ont été financées par
PROPARCO de l’Agence Française de Développement (AFD), en prêts et fonds propres,
pour un total de 7.3 Millions £ entre 1992 et 2005, aux cotés de la Banque Européenne d’
Investissement (BEI) et de la Société Financière Internationale (SFI) de la Banque
mondiale.
Actuellement, elle reste le premier exportateur de crevettes de Madagascar.
3
B- L’ ACTIVITE ET LES PRODUITS DE L’ AQUALMA
C’est une Société Anonyme (SA) agroalimentaire au statut de zone franche
industrielle et au capital de 15 200 000 000.
Elle a pour principale activité l’aquaculture de crevettes destinée à
l’exportation. Sa production annuelle est en moyenne de 4500t.
Le tableau ci-dessous montre l’évolution de la production et du chiffre d’affaire de 1994
à 2001.
4
Le site de Moramba : c’est un centre de domestication ayant pour objectif la production
de géniteurs de crevettes.
Le site de Mifoko (ou Nosy-Be/Mifoko) : c’est la première écloserie du groupe ayant pour
fonction l’élevage larvaire.
Le pôle de Mahajamba : elle possède à la fois une ferme d’élevage et une usine de
traitement. La production annuelle atteint 3000t de crevettes.
Le site de Besakoa : c’est une usine de traitement et de conditionnement. La production
est orientée vers celle de crevettes entières crues congelées, qui représentent 80% des
produits finis expédiés vers le Japon et mis sur le marché européen.
Le site de Besalampy : ce site présente une ferme de grossissement et une usine de
traitement Le site central : il se trouve dans l’enceinte du port de Mahajanga et a comme
fonction :
-la réception, le stockage et l’expédition des articles approvisionnés.
-le stockage des marchandises à exporter.
-de ravitailler les autres sites enclavés.
-de gérer les relations de la société avec les tiers.
-de coordonner les différentes fonctions au sein du système.
-de mettre les produits finis sur le marché.
5
Ainsi, pour éviter le dumping (ou vente à perte), elle a opté pour le
changement de son système de management ; la fermeture de Besalampy est comprise
dans ce changement. Besalampy a été choisi en raison de sa polyvalence (élevage, usine
de traitement).L’arrêt de production au niveau de celui-ci entraîne une diminution directe
des exportations.
En outre, l’AQUALMA remet actuellement en cause la fonction de NUTRIMA
Réunion : le coût des aliments est trop élevé, or 60% des dépenses de l’AQUALMA sont
constitués par ceux-ci.
§ 1: LE groupe UNIMA
GROUPE
UNIMA
PNB UNIMA
Espagne
VERAMA UNIMA
Portugal
KALETA
GNOSYS
UNIMA
Tana
6
La VERAMA a comme activité la culture d’anacardes.
GNOSYS assiste l’AQUALMA dans l’élaboration et la maintenance de logiciels internes.
UNIMA Tana coordonne les relations de la société avec l’ensemble du groupe.
UNIMA Europe a pour fonction la distribution des crevettes sur le marché international.
Elle vend 85% de ses produits sur le marché Européen, 15% sur ceux e d’Asie et des Etats-
Unis.
Elle siège à Monaco, en France.
NUTRIMA est l’un des principaux fournisseurs de l’AQUALMA en aliments de crevettes.
§ 2: L’ENVIRONNEMENT TECHNOLOGIQUE
Etant une société d’exportation, l’AQUALMA doit, d’une part, se plier aux
exigences du marché international, en matière de norme et de qualité. Ce qui l’amène à
poser des procédures strictes, et à essayer d’améliorer la qualité (exemple : amélioration
du goût) de ses produits, par des recherches et analyses effectuées au niveau de son
laboratoire LCA.
D’autre part, elle doit suivre l’évolution actuelle de la communication car elle
effectue une très grande partie de ses approvisionnements, et la totalité de ses ventes sur
le marché international.
7
Ses publicités s’effectuent à travers son site web et elle est en partenariat avec
des grandes surfaces de distribution (exemple: PICCARDI, CARREFOUR).
§ 3: L’ENVIRONNEMENT SOCIOLOGIQUE
AQUALMA, dont les sites de production se trouvent dans des régions enclavés,
initie et contribue à la mise en place de programmes sociaux, ainsi qu’ à la construction
d’infrastructures de base (écoles, dispensaires, accès à l’eau potable et à l’électricité,
gestion des déchets, approvisionnement en PPN). Cependant, la fermeture de l’un des
sites en 2008 (Besalampy) a engendré un énorme problème social : augmentation du
nombre des chômeurs dans la ville.
§ 4: L’ENVIRONNEMENT ECOLOGIQUE
L’AQUALMA vise à réduire au minimum l’impact de son activité sur
l’environnement écologique.
Ainsi, malgré la tentation d’intensification, elle met une limite à certaines de
ses actions :
-pas de rejet de boues organiques.
-souci de limiter l’impact des aliments sur le milieu.
-pas d’utilisation d’aliments médicamenteux.
-réduction de la pression sur les forêts naturelles
Cependant, l’environnement naturel a des impacts néfastes sur la société : le
sites sont souvent touchés par les cataclysmes naturels.
§ 5: L’ENVIRONNEMENT LEGAL
L’AQUALMA jouit du régime d’une société franche, et est par conséquent
franchisée de droit et taxes de douanes en matière d’importation et d’exportation. En
outre, elle ne peut vendre ses produits à l’intérieur du territoire malgache.
§ 6: LES FOURNISSEURS
Les contrats avec les fournisseurs sont renouvelés chaque année.
Les fournisseurs de l’AQUALMA sont au nombre de 488 (366 nationaux et 122 étrangers).
Exemples de fournisseurs nationaux : Magro, Tapory, Continental Auto.
8
Exemples de fournisseurs étrangers : Laboratoire Humeau (France), Austral Associate
(Afrique du sud).
La sélection des fournisseurs se fait en fonction de la qualité, le délai de livraison, le prix,
la garantie.
Il est à noter que les fournisseurs d’intrants critiques sont évalués annuellement.
L’évaluation repose sur 3 aspects :
-Aspect qualité : synthèse des résultats du contrôle de la qualité des intrants.
-aspect utilisateurs : synthèse de la performance des intrants lors d’utilisation par les
sites.
-Aspect achat/approvisionnement : synthèse des performances commerciales et
logistiques du fournisseur.
§ 7: LES CONCURRENTS
La certification « Label rouge »est un des avantages concurrentiels de la
société. Cependant, l’apparition de nouveaux concurrents sur le marché influence
considérablement ses ventes.
10
SECTION 1: ORGANIGRAMME
CDL
RTA CDLA CA
Approvisionneurs
Transitaires
11
Source: AQUALMA, juillet 2008, organigramme en cours de changement.
CDL: Chef de Département Logistique
CDLA: Adjoint du Chef de Département Logistique
RTA: Responsable Transit et Achat
CA: Capitaine d’Armement
§ 2: LE SERVICE « APPROVISIONNEMENT »
Ce service vise avant tout, la fluidité du cycle de réapprovisionnement
(opérations allant de l’expression du besoin au niveau des sites jusqu’à la mise à la
disposition des articles aux utilisateurs finaux).
Dans ce même but, il est attribué, à chaque site d’exploitation, un approvisionneur qui est
personnellement responsable de l’approvisionnement en tout article de celui-ci.
§ 3: LE SERVICE « TRANSIT »
Elle a pour rôle de dédouaner les marchandises expédiées par les fournisseurs
étrangers et de se charger des documents administratifs pour l’exportation des crevettes.
Ainsi elle est étroite collaboration avec le service achat (en matière d’importation) et le
service quai (en exportation).
La DHL est son principal collaborateur en cas d’achats urgents.
§ 4: LE SERVICE « ARMEMENT »
→LA DIVISION GESTION TECHNIQUE
Elles gère l’équipage sur les bateaux propres à la société, et établit la prévision de
programmes de circulation et de chargement de ceux-ci.
12
→LA DIVISION GESTION ADMINISTRATIVE
Elle s’occupe des papiers administratifs à la circulation des bateaux. Par
conséquent, elle est en étroite relation avec les services compétents, à savoir la douane, la
marine marchande, la capitainerie du port, la brigade du port, le PDS pour la vision des
formalités légales à l’embarquement et au débarquement.
§ 5: LE SERVICE « QUAI »
Il gère le transport (du débarquement jusqu’au magasin central, du magasin
central à l’embarquement); il gère les conteneurs et les camions de transports (prestation de
service par la SEMS): Cette fonction est appelée « approchage ».
En outre, il gère les conteneurs sur le quai tout en contrôlant les températures
requises pour le maintien des intrants et produits finis stockés sur quai dans un état intact.
§ 6- LE MAGASIN CENTRAL
Le magasin central est chargé de la gestion de stock de la société. Il contrôle tous
les flux entrants et sortants des articles.
Il est tenu de faire des inventaires permanents des articles pour en déduire l’état du stock à
tout moment, et gère les différents mouvements du stock.
Cette gestion se fait sur le logiciel « Mahatsinjo ».
Ce logiciel contrôle informatiquement les mouvements des articles en stock, les
codages de ceux-ci et la traçabilité2 de certains articles.
13
CHAPITRE III: LA GESTION DES STOCK AU NIVEAU DU MAGASIN CENTRAL
Afin de pouvoir mener à bien l’analyse diagnostique qui sera faite dans la
deuxième partie de l’ouvrage, il est nécessaire d’étudier en premier lieu le traitement des
différents mouvements du stock, et en deuxième lieu le mode de gestion des articles et des
aires de stockage.
La valeur du stock de la société est de 15 à 17 milliards d’Ariary, avec une
variation annuelle de 1milliard.
A- LA RECEPTION
Elle consiste à vérifier la conformité de la livraison par rapport à la commande
correspondante. On distingue la réception physique et la réception informatique.
1. La réception physique
a. Pour le cas des achats locaux
Les colis livrés sont comparés à ceux marqués sur la facture ou Bon de Livraison
(BL) et le Bon de Commande (BC) qui les accompagnent. Leur état, leurs dates de
péremption, leur quantité et leurs références sont vérifiés. La non-conformité fera l’objet
d’une réclamation auprès du fournisseur.
Il est à noter que la référence détermine la qualité de l’article, et son prix en dépend.
b. Pour le cas des achats « imports »
Les achats « imports » se font par groupage3.
Au niveau des achats « imports », le délai de livraison est d’environs 3 mois. Voici
une brève description du trajet suivi par les colis, dès leur expédition par le fournisseur,
jusqu’à la réception au niveau du magasin.
14
SCHEMA 3: TRAJET SUIVI PAR LES ACHATS « IMPORTS » EXPEDIES PAR VOIE MARITIME
Bateau origine
Bateau feeder
Arrivée à Majunga
Approchage
15
La réception des achats « imports » au niveau du magasin se procède comme
suit :
-le dépotage: elle consiste à vérifier le numéro du conteneur, celui de
plomb et à vérifier le nombre de colis livrés conformément à la liste de colisage (packing list).
-l’expertise: elle consiste à voir la conformité des colis par rapport à la
déclaration sur facture: référence, désignation, quantité, DLU (Date Limite D’utilisation) ou
date de production.
La non-conformité fera l’objet d’une Fiche d’ Action Corrective (FAC, voir annexe
2).
2- La réception informatique
C’est la saisie sur « Mahatsinjo » des articles livrés.
La figure ci-dessous explique cette étape.
B- LA VALORISATION
C’est la détermination du coût d’entrée en stock des articles. La valorisation à
chaque entrée se fait par la méthode des CMUP ou PMUP (Coût ou Prix Moyen Unitaire
Pondéré).
16
Stock dans Mahatsinjo + nouvelle entrée (en valeur)
. PMUP =
Stock dans Mahatsinjo + nouvelle entrée (en quantité)
Le coût d’entrée est composé du prix d’achat auquel s’ajoutent les différents frais
sur achats qui sont des frais d’approche. Ces frais dépendent du type de valorisation choisi
en fonction de l’origine de l’article:
-aérien
-conventionnel (sur le pont du bateau)
-aliments, produits chimiques, emballages « local »
-pièces de rechanges et consommables d’entretien « local »
-local vivres
-maritime aliments, emballages, produits chimiques, divers « imports ».
Ainsi ces frais d’approche ou « fret » sont prés estimés pour les achats locaux. Par
contre, pour les achats « imports », l’établissement du taux d’estimation du fret nécessite
une répartition des frais entre les commandes reçus en groupage.
La valorisation s’achève par une comparaison du coût d’entrée unitaire de
l’article réceptionné au PMUP des entrées précédentes (dans Mahatsinjo). Avec une
variation supérieure à 50%, l’accord du CDL s’avère indispensable pour la validation du prix.
C- L’EMMAGASINAGE
Emmagasiner, c’est contrôler et valider l’entrée des articles en stock.
C’est une action irréversible; la procédure d’annulation est trop longue.
1ère étape: contrôler en détail toutes les actions entreprises à la réception et à la
valorisation (numéro et montant de la facture,le fournisseur, la quantité, l’unité de gestion,
la devise, le type de valorisation, la répartition des frais d’approche), et valider le BE.
2ème étape: entreposer les articles dans leurs zones d’emplacement respectives et
renseigner leurs gisements.
3ème étape: emmagasiner le BE et attribuer à chaque article un statut, dont A :
investissement, I : investissement AQUALMA. Le statut par défaut est A.
4ème étape: établissement du numéro de lot (pour les articles qui nécessitent une
traçabilité), en fonction du fournisseur ou fabricant, de la DLU ou à défaut la date de
fabrication.
17
Il est à noter que les achats non stockés ne sont pas emmagasinés; ils sont traités
autrement et sont envoyés à la première occasion, après la réception, vers le site
demandeur pour consommation (par un bordereau d’envoi des achats non stockés, voir
annexe 3).
1. Préparation et expédition
A partir des DT seront établis le Bon de Transfert Inter sites (BTI envoi, voir
annexe 4) des articles à commandes sur seuil. A partir des BE seront établis ceux des
commandes à la demande. Cette phase se procède comme suit:
-Préparation des colis
-contrôle et cachet des colis par l’agent de sécurité.
-empotage devant le magasin ou envoi au quai (en cas d’expédition par
convention). Ensuite, la liste de colisage est préparée en plusieurs exemplaires; une liste,
accompagnée des BTI et BTANS sera jointe, par courrier, aux colis.
18
Enfin, les mouvements sont exportés4 sur Mahatsinjo.
Les articles retournés par les sites, pour non-conformité, sont rangés au gisement
« retour fournisseurs ». Après la validation du BTI réception, le fournisseur est avisé par
l’approvisionneur pour retirer les articles. En cas de refus par celui-ci, la direction centrale
est informée. Celle-ci décidera si l’article devrait être
-détruit
-gardé en stock
-ou utilisé sous une autre forme.
§ 3: LES SORTIES
19
-La facturation :
.non à facturer : à la charge de la société.
.facturation interne : facturé à un personnel.
.Facturation externe : facturé à une société extérieure ou autres.
-Le détail de sortie : ID et désignation, quantité et code article
Le BS ainsi établi est validé. Seuls les responsables, connaissant la consommation de leurs
services, sont autorisés à le valider.
B. LA SORTIE MAGASIN
Le BS est envoyé au magasin pour sortie physique. Les gisements sont renseignés
sur le bon. Le BS est ensuite signé par le magasinier responsable, le responsable stock,
l’utilisateur et l’agent de sécurité pour sortie effective.
Enfin, les sorties gisements sont validées sur Mahatsinjo.
§ 4: LA REINTEGRATION
La réintégration est le retour des articles non utilisés ou non consommés dans le
stock. On distingue 2 sortes de réintégrations.
A- LA REINTEGRATION SIMPLE
Elle est appliquée aux articles dont la référence du BS est identifiée.
Le prix unitaire à la réintégration est le prix unitaire de sortie à pondérer avec le PMUP des
mêmes articles en stock.
§ 5: LA REGULARISATION
C’est une opération permettant de rectifier ou de couvrir les erreurs ou
anomalies sur la gestion des stocks. Différentes anomalies se produisent dans la gestion des
stocks, entraînant par conséquent, différents types de régularisations.
Ces anomalies sont:
20
-les écarts à l’inventaire, lors des audits, à la réception inter sites.
-erreur de prix : erreur de devise, erreur d’unité de gestion.
-erreur de lots.
-avaries sur stock (pourriture, périmés, cassés, renversés, détruits).
-erreur de codification (changement d’article).
-rectification paramètre entrée : devise, coefficient, date d’acquisition.
-écart de quantité sur entrée : écart constaté à la consommation
(réception sans dénombrement des aliments réceptionnés en CTN, emballages, produits,
chimiques).
-erreur de conditionnement : manque dans les paquets d’articles
livrés.
-avarie non constaté à la réception.
Toute régularisation doit avoir l’accord du directeur du site et être expliquée pour
être validée.
21
- son origine qu’il soit « local » (Madagascar), « sur place » (Majunga) ou
« import » (de l’extérieur).
-ses contraintes de stock
-ses consignes de préservation
Ainsi, chaque article possède son code d’identification appelé « code article »
élaboré en fonction de ces éléments, et son numéro d’arrangement appelé Id article.
22
gaz … dont la consommation et
l’approvisionnement
mensuelles sont gérés en
fonction des besoins
23
Intrants critiques: Intrants en contact direct avec les crevettes, jugés indispensables à
l’obtention d’un produit conforme aux attentes en matière de qualité et de coût.
FEFO (First Expired, First Out) : c’est un mode de gestion adapté aux articles avec un DLU ou
un DLC (date limite de consommation). Les sorties sont faite en fonction de cette date.
Intrants stratégiques: intrants étant ou non en contact avec les crevettes, et dont la mise à
disposition en termes de qualité et délai d’approvisionnement, est jugée indispensable au
processus de réalisation du site utilisateur. Ils constituent la majorité des articles en stock.
24
En bref, étant le premier exportateur de crevettes de Madagascar, l’ AQUALMA
est jugée grande société du fait de l’importance de ses ressources financières, l’étendue de
ses sites d’exploitation, la qualité et la quantité de sa production, la possession d’une grande
société de distribution sur le marché international et de son organisation bien faite.
Cependant, l’instabilité de l’environnement politico-économique et concurrentiel risque
d’affaiblir la société.
25
Les stocks constituent le plus important actif détenu par la société; le magasin
central gère une partie de celui-ci (le stock des approvisionnements). L’intérêt financier
d’effectuer notre étude dans ce service est d’une part, de voir les différents facteurs qui
puissent entraîner une diminution de la valeur du stock, et d’autre part, d’étudier un
exemple de moyen de contrôle des écarts sur le stock, à savoir l’inventaire tournant.
26
Deuxieme partie :
L’IMPORTANCE
DE L’INVENTAIRE TOURNANT
DANS LA GESTION DES
STOCKS
DES APPROVISIONNEMENTS
27
DEUXIEME PARTIE : L’IMPORTANCE DE L’INVENTAIRE TOURNANT DANS LA
GESTION DES STOCKS DES APPROVISIONNEMENTS
Dans cette partie, nous allons d’abord parler de la pratique de l’inventaire
tournant sur le stock des approvisionnements. Nous allons par la suite voir l’importance de
cette pratique, et enfin, nous allons poser un diagnostic général du magasin central et
apporter quelques suggestions.
ENONCE DE LA PROBLEMATIQUE
Le magasin central gère actuellement 11000 articles dans son stock des
approvisionnements, à l’aide du logiciel de gestion « Mahatsinjo ». Tout mouvement du
stock est enregistré informatiquement.
Cependant, malgré le suivi permanent de ces mouvements, les écarts subsistent.
Or, non seulement l’expédition continue des articles vers les sites nécessite la connaissance
des quantités réellement en stock, mais aussi, les écarts coûtent à la société.
Ainsi, pour une bonne connaissance des existants dans le stock et pour éviter la
répétition des écarts, la tenue de l’inventaire informatique permanent doit être complétée
par la pratique d’inventaires physiques tournants. A partir de la confrontation des données
de ces deux types d’inventaires seront aperçus les écarts. Quel intérêt y a-t-il donc à
déterminer ces écarts ?
En fait, en décelant les écarts, l’inventaire tournant permet :
-de s’apercevoir des défauts de gestion au niveau du magasin, afin que l’on
puisse y apporter les solutions adéquates.
-de voir l’état réel du stock.
-de contrôler la gestion des articles coûteux en stock.
-d’éviter la rupture de stock.
-de simplifier l’inventaire périodique et de limiter les écarts.
En bref, connaître les irrégularités sur le stock permet l’amélioration de la gestion de celui-ci.
Pour pouvoir résoudre ce problème, nous allons, en premier lieu, parler du stock
des approvisionnements et de la pratique de l’inventaire tournant.
Nous allons par la suite, analyser les hypothèses énumérées ci-dessus, afin de pouvoir en
dégager une synthèse.
Enfin, pour clôturer cette partie, nous allons poser un diagnostic général du magasin central
et apporter quelques suggestions. De l’analyse de ces hypothèses, on s’attend à s’apercevoir
de l’importance de l’inventaire tournant dans la gestion des stocks.
28
CHAPITRE I: LA PRATIQUE DE L’INVENTAIRE TOURNANT SUR LE STOCK DES
APPROVISIONNEMENTS
B- LA POLITIQUE DE REAPPROVISIONNEMENT
Approvisionner consiste à déterminer:
29
-la matière à approvisionner
-le moment et le lieu où il faut approvisionner
-la quantité qu’il faut approvisionner
b. Le réapprovisionnement planifié
Ce mode de réapprovisionnement s’applique aux articles dont la consommation
par période est, soit précisément connue, soit prévisible avec une faible marge d’erreur.
Cette période dure 6 mois.
Les prévisions sont communiqués au service « achat » qui est responsable de la planification
de l’achat de chaque période : c’est « la méthode calendaire ».
Cette méthode simplifie la gestion des stocks ; mais, si la quantité à
réapprovisionner est mal calculée, ou si la consommation n’est pas régulière, il y a risque de
rupture ou de dépréciation du stock.
30
c. Le réapprovisionnement à la demande
Des articles sont approvisionnés au coup par coup, en fonction des besoins des
utilisateurs. Ce mode de réapprovisionnement se procède comme le montre le schéma ci-
dessous.
Département
Transmission Responsable
Logistique
Majunga magasin site
.vérification rubrique
Approvisionneur code article
du site émetteur
.proposition d’un code si
Traitement de la DA l’article est nouveau
Ces réapprovisionnements sont très coûteux s’ils sont urgents et hors contrat:
recours au fret aérien, aux expéditions express (exemple: envoi par l’intermédiaire de la
DHL), et lancement d’une commande spéciale chez le fournisseur).
→ Il est à noter que certains articles sont achetés sous forme d’investissements; la DA de
ceux-ci est traitée par le service « Achat ». L’obtention d’un investissement nécessite,
cependant, la présentation d’un dossier complet.
31
Chaque commande passée a un numéro de codification. Ce code comprend 6 éléments
expliqués dans le tableau ci-dessous.
Exemple d’un numéro de commande: L210C40373801
→ C’est une commande locale pour approvisionner le site de Moramba, à caractère
d’exploitation; le code du site destinataire est 4 ; le numéro de la DA initiatrice est 03738 ;
enfin, c’est une commande passée à un seul fournisseur.
32
SECTION 2: LA PRATIQUE DE L’INVENTAIRE TOURNANT
§ 1: L’INVENTAIRE PERMANENT
Il permet la mise à jour permanente des niveaux des stocks, fondée sur la saisie
en temps réel de tout mouvement d’articles en stock. Cette saisie se fait sur « Mahatsinjo ».
§ 2: L’INVENTAIRE TOURNANT
C’est un inventaire physique qui consiste à compter les références, à tour de rôle,
en fonction de leur situation géographique dans le magasin, de manière à ce que chaque
article soit contrôlé au moins une fois dans l’année (il est appliqué sur une partie du stock
seulement).
L’avantage de l’inventaire tournant est qu’il peut être pratiqué en cours
d’exercice et permet alors de ne pas arrêter les mouvements. Il a pour rôle de s’assurer de
l’existence du stock, et de détecter toute anomalie sur celui-ci, ainsi que son degré de
rotation.
A- LA FREQUENCE
Pour le cas du magasin central, l’inventaire tournant est effectué:
-à la clôture de chaque période mensuelle dans les magasins dont les
mouvements des articles sont réguliers et ne font pas l’objet de la tenue d’une fiche de stock
manuelle.
Exemple: magasin seuil, magasin de retour site.
-en un moment donné, sur les autres aires de stockage, ou même sur un
seul article (exemple: le sucre) sous l’ordre du chef de service pour la connaissance des biens
réels existants physiquement en stock, après la réception d’un DT.
-mensuellement au niveau des sites, sous l’ordre de la « logistique Majunga
» pour la réactualisation de leurs besoins.
B- LE PROCEDE D’INVENTAIRE
L’inventaire tournant se procède comme suit:
-faire sortir l’état de stock du magasin concerné, à la date d’inventaire (état
informatique donné par l’inventaire permanent): il constitue la feuille de comptage
33
comprenant obligatoirement le code ID, la désignation, la référence, l’unité de stockage, le
gisement, la localisation, la quantité sur Mahatsinjo, la quantité physique, l’observation.
-Une personne s’occupe du comptage: le responsable du magasin concerné
(cela évite le risque de doublon ou d’omission).
Pour mieux expliquer le mode de comptage, prenons le cas de l’inventaire réalisé
dans le magasin seuil.
Sur seuil, les articles sont rangés, selon leur code ID, sur des étagères numérotés
de bas en haut de 1 à 5, de gauche à droite de 1 à 3. Ces étagères forment des zones
classées de A à T, ayant chacune 2 faces distinctes A et B.
Lors de l’inventaire, il faut:
-repérer l’article grâce à sa localisation (zone+ étagère+ face) et son code Id.
-voir sa désignation et sa référence (le code Id ne suffit pas car les erreurs
d’emplacement sont très fréquentes).
-le dénombrer en fonction de l’unité de stockage.
-marquer la quantité dénombrée, puis marquer l’écart s’il y a lieu (positif ou
négatif).
-marquer en observation l’état de l’écart (écarts ou avariés).
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CHAPITRE II: L’IMPORTANCE DE L’INVENTAIRE TOURNANT
Dans ce chapitre, nous allons analyser une à une les différentes hypothèses, afin
de vérifier leur véracité. Cette analyse s’achèvera par une discussion des résultats et une
synthèse.
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TABLEAU IV: ILLUSTRATION DES ECARTS QUANTITATIFS
MESURES SOLUTIONS
CAUSES FREQUENCE ECART
CORRECTIVES OBSERVEES
Sortie sans PBS ou PBS
3 13.64 _ Créer un PBS et le valider
non validé
Confusion entre -Transfert d’articles par Respecter les codes
articles régularisation de type ID sur les étagères,
5 22.73 - + « erreur de à l’étalage et à la
conditionnement » préparation des
-contrôle à la réception expéditions
BTI non validé 5 22.73 - Validation du BTI
Transfert inter validation du transfert
1 4.55 -
magasin non validé
BTI validé, transfert Retour fictif du site
2 9.09 +
physique non fait demandeur
Retour des articles Réintégration (pour éviter
non consommés non 1 4.55 + la surestimation de la
enregistré quantité à approvisionner)
Erreur de quantité à Retour physique du site
l’embarquement 1 4.55 - récepteur, ou envoi fictif
du site central expéditeur
Ecart non expliqué Régularisation du type
2 9.09 - +
« écart d’inventaire »
Erreur de Régularisation du Dénombrer les
conditionnement à la 1 4.55 + type « erreur de articles à la
réception conditionnement » réception
Erreur de Régularisation du (I)
conditionnement dans 1 4.55 - type « erreur de
le magasin conditionnement »
TOTAL 22 100%
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(I) : augmenter ou diminuer la quantité à expédier, afin d’avoir une quantité égale au
contenu du paquet ou carton ; cela permet d’éliminer les quantités restant hors
conditionnement qui sont sources d’écarts.
Il est à noter que d’autres articles n’étant pas encore avariés à cette date d’inventaire,
présentent une faible rotation, ou n’ont aucun mouvement. Ces articles risquent, par
conséquent, d’être avariés.
Ainsi, on peut définir 5 causes des écarts :
1ère cause: les articles approvisionnés ne sont pas utilisés, les approvisionneurs ne
connaissent par très bien les besoins des sites.
2ème cause: sur 2 articles de même nature, mais mis en boîte de quantités différentes,
les sites ont l’habitude de consommer l’un de ces deux types seulement, et ne demandent
jamais le transfert de l’autre.
3ème cause: Les articles approvisionnés en quantité abondante en temps cyclonique
connaissent une faible consommation.
4ème cause: les articles se déprécient sur leurs étagères. Soit à cause de la température,
de l’humidité ou d’un facteur non identifié, bien avant l’atteinte de leur date de péremption.
5ème cause: destruction des articles par les rats.
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B- LES SOLUTIONS OBSERVEES
Voir l’état réel du stock ramène à la recherche de solutions, en vue de la
réduction des avaries. Ainsi, on a observé 3 solutions adoptées au niveau du magasin
central.
1ère solution: la dératisation (prestation de service par la BHL).
2ème solution: proposition aux sites des articles sans mouvements par le chef
magasinier
3ème solution: la descente des approvisionneurs au magasin pour voir physiquement les
mouvements du stock, afin que ces derniers aient une estimation juste des quantités à
réapprovisionner.
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§ 3: CONTROLE DE LA GESTION DES ARTICLES COUTEUX EN STOCK
L’inventaire tournant est un instrument d’audit. Les audits sont utilisés pour
évaluer le niveau de satisfaction des exigences relatives au système de management de la
qualité. Les constatations d’audit sont utilisées pour évaluer l’efficacité du système adopté
et d’identifier les opportunités d’amélioration.
Les articles inventoriés lors des audits sont sélectionnés en fonction de leurs
coûts dans le stock.
Ainsi, nous allons illustrer cette hypothèse par un recueil d’inventaires tiré d’un rapport
d’audit antérieur. Ici, les articles ont chacun une valeur total supérieure à Ar1000 000 dans le
gisement au moment de l’inventaire.
TABLEAU VI: CLASSEMENT DES ECARTS SUR LES ARTICLES COUTEUX EN FONCTION DE
LEUR FREQUENCE
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Après analyse de ces résultats d’audit, on peut dire que les articles coûteux
présentent des écarts non négligeables. D’après le tableau ci-dessus, le magasin central
connaît des problèmes de gestion: les écarts sont dus à un non-respect des procédures dans
le traitement des tâches, et à une maîtrise incomplète des différents mouvements du stock.
Ainsi, après analyse des données de l’inventaire qu’ils ont effectué, les auditeurs
ont défini quelques points faibles de l’organisation, et apporté des recommandations (cf.
tableau VII).
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§5: ROLE DE L’INVENTAIRE TOURNANT DANS L’INVENTAIRE
PERIODIQUE SUR STOCK ET DANS LE CONTROLE DES ECARTS
La pratique d’inventaires tournants au cours de l’exercice permet de simplifier
l’inventaire physique à la clôture de l’exercice. Elle permet, en outre, de mieux contrôler les
écarts; ceci est important, du fait que ces écarts ont des effets néfastes sur le système.
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2. Les écarts qualitatifs
La dépréciation des stocks ne peut être enregistrée directement en réduction du
coût d’entrée. Le coût d’entrée doit être maintenu et la dépréciation fait l’objet d’une
provision .
Les provisions sont débitées
-à un compte de dotation de la classe 6, par le crédit du compte de
provision concerné (provision pour dépréciation du stock).
-à un compte de provisions, le cas échéant, par le crédit d’un compte de
reprise de la classe 7.
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SECTION 2: DISCUSSION DES RESULTATS
Dans cette section se fera la comparaison des résultats attendus aux résultats
obtenus lors de l’analyse des données, afin de pouvoir dégager une synthèse.
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L’analyse de la 4ème hypothèse démontre que la rupture de stock se produit
en l’absence de l’inventaire tournant. Dans ce cas-ci, on tient seulement compte de la
quantité informatique, or celle-ci est inférieure à la quantité physique ou n’existe pas
physiquement. Ce niveau inférieur du stock physique ne se constate qu’au moment de la
demande pour consommation immédiate: c’est la rupture.
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CHAPITRE III: DIAGNOSTIC GENERAL DU MAGASIN CENTRAL ET APPORT DE
SUGGESTIONS
Le diagnostic a pour but de démontrer les forces et les faiblesses du service. Il nous donnera
accès à l’apport de suggestions.
SECTION1 : DIAGNOSTIC
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-Au niveau des approvisionnements: certains articles sont approvisionnés à un coût
élevé de l’extérieur, or que ceux-ci existent et sont offerts à un prix moins élevé sur le
marché local.
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En bref, la pratique d’inventaires tournants périodiques dans la gestion des stocks
au sein de l’AQUALMA est un très grand avantage pour la société; néanmoins, il lui faudrait
rendre cette pratique systématique pour qu’elle soit totalement efficace.
Le magasin central a encore certains points à améliorer; ainsi, nous lui proposons
de tenir compte de nos suggestions.
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. CONCLUSION
Parmi ces moyens permettant la bonne gestion des stocks figure la pratique de
l’inventaire tournant. L’analyse des résultats faite dans la deuxième partie de cet ouvrage a
pu démontrer que la pratique de celui-ci ramène toujours à une prise de décision pour
l’amélioration de la gestion des stocks, dans le but final de satisfaire les besoins de la
production tout en gardant l’ensemble des dépenses dans certaines limites.
Cette société a récemment connu certaines difficultés qui l’ont poussé à prendre
des mesures d’amélioration de son organisation fonctionnelle. Les résultats de ces mesures
sont encore à voir.
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BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages généraux:
Cours théoriques
Cours de Monsieur FAHARANO Marcel, “Commerce et distribution”, année 2008
Mémoires
SITRAKINIAINA José Stéphan, “L’importance de l’entrepôt dans le commerce”, edition
2007, IUGM, UNIVERSITE DE MAHAJANGA.
WEBOGRAPHIE
SECTION 1: ORGANIGRAMME…………………………………………………………………..11
SCHEMA 2: ORGANIGRAMME FONCTIONNEL DU
DEPARTEMENTLOGISTIQUE……………………………………………………………..12
SECTION 2: DESCRIPTION DES SERVICES……………………………………………………12
§ 1: Le service “achats”…………………………………………………………………12
§ 2: Le service “approvisionnement”…………………………………………..12
§ 3: Le service “transit”………………………………………………………………..12
§ 4: Le service “armement”………………………………………………………….12
§ 5: Le service “quai”……………………………………………………………………13
§ 6: Le magasin central…………………………………………………………………13
SECTION 1: DIAGNOSTIC……………………………………………………..........................46
§ 1: Les points forts………………………………………………………………………..46
§ 2: Les points à améliorer……………………………………………………………46
SECTION 2: LES SUGGESTIONS ET LIMITES DE LA RECHERCHE……………………47
§ 1: Les suggestions……………………………………………………………………….47
§ 2: Les limites ………………………………………………………………………………47
CONCLUSION………………………………………………………………………………………………………..49
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX ET SCHEMAS
BIBLIOGRAPHIE