PFC 1
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L'électronique de puissance est une discipline scientifique et technique – statut acquis depuis
les années 1980, discipline vaste de connaissances et de technologies .La réussite d'un
convertisseur de puissance, en tant que produit industriel, repose sur la maîtrise de nombreux
phénomènes physiques, dans plusieurs domaines. Pour autant, il serait délicat d'avancer une
définition précise des concepts, technologies et techniques que recouvre l'acronyme
«électronique de puissance ». Cette discipline soutient la réalisation de fonctions essentielles
au sein de systèmes, dont le grand public ne voit en fin de compte que la finalité. Que ce soit
dans un train ou un téléphone portable, la place de l'électronique de puissance dans ces «
produits » est rarement soulignée. L'électronique de puissance alimente en énergie les
fonctions d'un système « électronique », quel qu'il soit. L'image de la discipline « électronique
de puissance » est sans doute à l'égale de l'importance de cette discipline dans un système :
tout en discrétion. À l'heure où les matières fossiles se raréfient et que la conscience
écologique promeut des énergies propres et renouvelables, l'électronique de puissance est de
nouveau propulsée au premier plan. En effet, en aval des systèmes qui transforment les
énergies alternatives à l'énergie fossile (soleil, vent, eau, thermie, vibration, biomasse),
l'électronique de puissance est présente dès la transformation en énergie électrique et dès
l'adaptation de cette électricité aux besoins. L'industrie de l'électronique de puissance est
contrainte de produire plus de convertisseurs, avec des performances accrues et pour un coût
de plus en plus réduit. Ces performances vont dans le sens d'un meilleur rendement et d'une
puissance massique augmentée. Des applications exigent des fonctionnements des
environnements considérés comme sévères en température ambiante, vibration et agression
chimique. Mais toujours en discrétion...
Un convertisseur (ou onduleur) permet de transformer le courant continu, stocké dans une
batterie ou produit par un générateur de courant (panneaux solaires photovoltaïques, éolienne,
etc.) en courant alternatif qui peut ensuite être utilisé ou réinjecté sur le réseau de distribution
électrique .Si votre installation utilise des appareils fonctionnant en courant alternatif, il est
alors nécessaire de convertir le courant continu produit par le générateur (les panneaux
solaires, par exemple), en courant alternatif compatible et utilisable par ces appareils. Si vous
utilisez un grand nombre d’appareils, optez pour un convertisseur performant.
Chapitre 1 :
les interrupteurs dans l’électronique de puissance
Introduction à la conversion statique
LES INTERRUPTEURS
Définition
Les interrupteurs électroniques sont ou des transistors ou des thyristors fonctionnant en
commutation; ils sont rendus bidirectionnels par la mise en antiparallèle de diodes. Afin de
permettre la commutation, un circuit d'aide à la commutation est nécessaire.
Les interrupteurs électroniques les plus couramment utilisés actuellement dans les
convertisseurs Statiques sont les diodes, les thyristors, les thyristors GTO, les transistors
bipolaires, MOSFET, etIGBT.
1. La diode
C’est un interrupteur à 2 segments de signe opposés. Idéalement, elle ne peut donc commuter
que sans pertes. Ceci n’est technologiquement pas réalisé à cause de son mécanisme de
conduction par diffusion : il en résulte une charge stockée qui doit s’évacuer et peut être à
l’origine de pertes par commutation.
Fonctionnement parfait
Le fonctionnement de la diode s'opère suivant deux modes diode passante (ou ON), tension
VAK = 0 pour iAK > 0 ; > diode bloquée (ou OFF), tension iAK = 0 pour VAK < 0 . On dit
aussi que la diode a une caractéristique à deux segments.
En résumé, une diode se comporte comme un interrupteur parfait dont les commutations sont
exclusivement spontanées :
1- Il est fermé (ON) tant que le courant qui le traverse est positif (conventions de la Fig.I-1).
2- Il est ouvert (OFF) tant que la tension à ses bornes est négative
Fonctionnement réel
Le fonctionnement réel est toujours caractérisé par ses deux états :> à l'état passant : VAK H 0,
le courant direct est limité au courant direct maximal ;> à l'état bloqué : iAK H 0, la tension
inverse est limitée (phénomène de claquage par avalanche) à la tension inverse maximale [2].
2. Le thyristor
On peut remarquer que le thyristor a une caractéristique à trois segments, c'est à dire qu'une
des grandeurs est bidirectionnelle en la tension [3]. Blocage par commutation naturelle
Figure I-6
Ce blocage est imposé par la mise en conduction d'un autre composant, qui applique une
tension négative aux bornes du thyristor, provoquant donc son extinction.Les deux thyristors
sont initialement bloqués. Dès que ThP est amorcé, il conduit et assure le courant iP dans la
charge [3].
· À l'état passant VAK H0, le courant direct est limité par le courant direct maximal.
· À l'état bloqué, iAK H 0, la tension inverse est limitée (phénomène de claquage par avalanche)
par la tension inverse maximale [2].
Ø Blocage
Par rapport au thyristor classique, le thyristor GTO est en plus comman dable à l'ouverture par
un courant iG négatif.
Un autre inconvénient est la présence de pertes importantes lors de l'ouverture (le courant met
un certain temps à s'annuler) [4].
Figure I-13 : Symboles, Caractéristiques réelle et idéale d'un Thyristor GTO.
Parmi les deux types, NPN et PNP, le transistor de puissance existe essentiellement dans la
première catégorie Fig.I-14.
Fonctionnement parfait
ü le courant maximal moyen de collecteur est donc lui aussi limité (IC max) ; ü la
tension VCE n'est pas tout à fait nulle (VCE SAT 0).
2- A l'état bloqué
Le passage de l'état saturé à l'état bloqué (ou inversement) ne s'effectue pas instantanément.
À la fermeture
Un retard de croissance de IC apparaît à la saturation. Le constructeur indique le temps de
retard (Delay time) noté td et le temps de croissance (Rise time) noté tr , Fig.I-17.
La tension VCE est alors imposée par le circuit extérieur (charge, alimentation) et par l'allure
de IC.
À l'ouverture
I.6. Transistor MOS et MOSFET (Metal Oxide Semiconductor Field Effect Transistor)
Il est rendu passant grâce à une tension VGS positive (de l'ordre de quelques volts). La grille est
isolée du reste du transistor, ce qui procure une impédance grille-source très élevée. La grille
n'absorbe donc aucun courant en régime permanent. La jonction drain-source est alors
assimilable à une résistance très faible : RDS de quelques mi
De par sa technologie, le transistor MOS est entaché de moins de défauts que le bipolaire. Les
grandes différences sont :
Ø Une commande en tension plus aisée à réaliser. En régime statique, le courant de grille est
quasi nul. Il n'apparaît que durant les commutations car la capacité de la jonction Grille-
source impose des charges dans le circuit de grille ;
Ø Peu de charges stockées car la technologie n'est pas bipolaire. En conséquence, en régime
de commutations, seules les durées tr et tf sont influentes [2].
Lors de l'attaque de grille de MOSFET par les signaux de commande, la tension grille source
peut atteindre des valeurs critiques pouvant détruire ces composants, une résistance Rg est
prévue à l'entrée du transistor et réduire le courant de grille et par suite diminuer l'amplitude
des oscillations qui prennent naissance dans le circuit de grille [4].
Une diode placée en parallèle avec Rg permet d'améliorer le temps de coupure, elle conduit au
cours du blocage du transistor [4].
Le transistor bipolaire assure une chute de tension à l'état passant (VCE) plus favorable que le
MOSFET. Par contre, c'est le MOSFET qui est plus avantageux en raison de sa commande en
tension. Un transistor hybride, commande MOS en tension et circuit de puissance bipolaire,
permet de meilleures performances : c'est le transistor IGBT Transistor). Ses caractéristiques
sont reprises de celles du transistor bipolaire :
conclusion
dans tout ce chapitre sur la commutation, nous avons proposé une démarche systématique
orientée vers la synthèse des interrupteurs d'une cellule de commutation utilisée pour effectuer
un transfert d'énergie contrôlé entre deux sources d'énergie complémentaires. Nous avons
montré que les caractéristiques statiques des interrupteurs sont imposées par les réversibilités
intrinsèques de ces sources, et que leurs caractéristiques dynamiques dépendent de la manière
dont on gère les échanges d'énergie.
Définition
Le convertisseur statique est un dispositif qui transforme de l’énergie électrique disponible
L’énergie électrique est fournie soit sous forme alternative (réseau de distribution électrique
puissance, cette notion est dite de réversibilité. Lorsqu’un convertisseur est dit réversible, cela
veut dire que l’énergie électrique peut transiter de manière bidirectionnelle. Par contre
lorsqu’un convertisseur est dit non réversible celle-ci transfère et convertie l’énergie d’une
source à une charge utilisatrice. L’énergie ne peut donc pas transiter dans les deux sens.
sont les fonctions de base des convertisseurs statiques, et que nous retrouvons en pratique
sous forme de :
Redresseurs
Hacheurs,
Onduleurs,
Cyclo- convertisseurs ou gradateurs
Figure 1-1 les différentes types de convertisseurs statiques
a) -Conversion alternatif-continu
Le convertisseur transformant l’énergie électrique sous forme alternative pour alimenter une
charge en continu est le redresseur. Souvent alimentée par un réseau à fréquence industrielle
peut être ou non réglable par rapport à la grandeur d’entrée (tension ou courant).
Il existe des redresseurs monophasés, triphasés et polyphasés. Ils peuvent être constitués de
diodes ou de diodes et thyristors (dits mixtes). Ils ne sont pas réversibles en énergie, le
transfert s’effectue de la source vers la charge. Les redresseurs réversibles sont constitués
1 .Les redresseurs non commandés, essentiellement réalisés à partir de diodes, sont utilisés lorsque
la tension de sortie n'a pas besoin d'être ajustée.
2 .Les redresseurs commandés dont la tension de sortie peut-être variable comportent des thyristors
ou des ensembles de diodes et de thyristors. Du fait de leur importante puissance massique . ces
redresseurs sont toujours utilisés en forte puissance et lorsqu'il est nécessaire de réguler ou de faire
varier les grandeurs électriques en sortie. En faible et moyenne puissance, les redresseurs
Redresseurs monophasés :
En monophasé, on distingue
1. les redresseurs simple alternance : dans le sens direct, ils admettent les tensions positives et
annulent les tensions négatives. Une simple diode en série avec la charge suffit à réaliser cette
opération ;
2. les redresseurs double alternance : ils commutent de manière à transformer les tensions
négatives en tensions positives.
courbe du haut représente la tension d'entrée et celle du bas la tension en sortie du redresseur.
1. les redresseurs non commandés : constitué d'une diode en série avec la charge, avec
lesquels il est impossible de faire varier les grandeurs électriques en sortie du convertisseur
2. les redresseurs commandés : constitué d'un thyristor en série avec la charge, qui
permettent de faire varier les grandeurs électriques en sortie du convertisseur, notamment les
valeurs moyennes de la tension aux bornes de la charge et du courant la traversant
La sortie redressée de ces convertisseurs dépend fortement de la charge.
Ce type de redresseur est réalisé en mettant simplement une diode en série avec la charge
comme le montre le schéma ci-dessous.
Le principe des redresseurs simple alternance non commandés est basée sur les propriétés des
diodes. En effet, la diode se bloquant lorsque la tension à ses bornes est négative, elle supprime les
alternances négatives du signal d'entrée. Pendant les alternances positives, elle se comporte comme
un court-circuit et n'altère donc pas le signal d'entrée. La diode joue ainsi le rôle de filtre qui laisse
passer les tensions positives et coupe les tensions négatives. Il faut faire attention à la chute de
tension de la diode puisqu'elle n'est passante que lorsque sa tension de seuil est présente à ses
bornes (de l'ordre de 0,6 V ou 0,7 V).
Ce type de redresseur est qualifié de " non commandé" car il est impossible de faire varier les
grandeurs en sortie du convertisseur.
Redresseurs commandés :
Ce type de redresseur est réalisé en remplaçant la diode du redresseur simple alternance non
commandé par un thyristor comme le montre le schéma ci-dessous.
le pic WINTER est caractérisé par un courant de gâchette. Cette caractéristique est mise à profit pour
faire varier les grandeurs électriques de sortie et ainsi régler les valeurs moyennes de la tension aux
bornes de la charge et du courant la traversant. En effet, on utilise des commandes électroniques
introduisant un retard à l'amorçage du thyristor.
Cette capacité à faire varier les valeurs des grandeurs de sortie a donné le qualificatif " commandé " à
ce type de redresseur.
Les redresseurs monophasés simple alternance commandés conservent une partie de
l'alternance positive du signal d'entrée et coupent la partie négative.
Le convertisseur transformant l’énergie délivrée sous forme continue pour alimenter une
Charge en continu est le hacheur, celui-ci règle la tension ou le courant appliqué à la charge. Il
Pour faire très simple, imaginez une ampoule et un interrupteur. Vous pouvez soit allumer l'ampoule,
soit l'éteindre. Il semble difficile de faire varier sa luminosité (la graduer) et pourtant... Imaginez
maintenant qu'avec votre main (très rapide !), vous puissiez allumer et éteindre l'ampoule très
rapidement, si rapidement qu'elle n'a ni le temps de s'allumer à fond, ni le temps de s'éteindre
complètement. La luminosité de l'ampoule sera intermédiaire parce qu'il s'agit d'une moyenne dans
le temps. La tension que reçoit l'ampoule est intermittente. Elle est "hachée" par l'interrupteur. C'est
le principe du hacheur série.
Présentons le hacheur série dans sa forme la plus simple : la charge (ampoule, résistance, etc), le
transistor interrupteur et la source de tension d'entrée.
L'interrupteur peut être soit ouvert, soit fermé. Dans les explications qui suivent, la charge est une
ampoule (pour la pédagogie !).On peut appeler Vs la tension de sortie du hacheur série : Vs est la
Ce convertisseur transforme l’énergie délivrée sous forme continue pour alimenter une
charge en alternatif. Si cette charge peut aussi délivrer de la puissance et présenter des forces
l’onduleur pourra avoir une structure identique à celle d’un redresseur, c’est le
non-autonome. Si la charge est constituée par un circuit oscillant, on pourra utiliser les propriétés de
ce dernier pour adapter la structure de l’onduleur. Il prend alors le nom de l’onduleur à résonance.
Principe de fonctionnement
Les onduleurs sont des structures en pont constituées le plus souvent d'interrupteurs électroniques
tels que les IGBT, des transistors de puissance ou thyristors. Par un jeu de commutations
commandées de manière appropriée (généralement une modulation de largeur d'impulsion), on
module la source afin d'obtenir un signal alternatif de fréquence désirée.
On distingue habituellement :
L'onduleur autonome qui délivre une tension de fréquence soit fixe, soit ajustable par
l'utilisateur. Il n'a pas besoin de réseau électrique pour fonctionner. Par exemple un
convertisseur de voyage que l'on branche sur la prise allume-cigare d'une voiture pour
convertir le 12V continu en 230V alternatif 50Hz.
Le convertisseur transformant l’énergie électrique sous forme alternative pour alimenter une
charge en alternatif peut se faire avec ou sans changement de fréquence. Dans le premier cas
Le schéma d'un cyclo convertisseur triphasé-triphasé comprend 36 thyristors (il peut être
n'est quasiment utilisé que pour des puissances très importantes (> 1 MVA).
Universel (perceuse, aspirateur,...) car, pour ces applications, la fréquence des courants
d'alimentation n'a que peu d'importance. Il est aussi utilisé sur des moteurs asynchrones à cage
ventilation.
Structure d’un gradateur monophasé
Cet appareil se comporte donc comme un interrupteur commandé, il établit ou interrompt la liaison
entre la source et la charge.
Il se compose d’une partie puissance et d’une partie commande intégrées dans le même bloc.
- La partie puissance est constituée de deux thyristors montés « tête-bêche » pour les fortes
puissances ( > 10 kW ) ou d’un triac pour les puissances inférieures.
- La partie commande est constituée de divers circuits électroniques permettant d’élaborer les
signaux de commande des thyristors à partir d’un ordre de commande extérieur. Suivant les types de
gradateur, ce signal de commande sera de type Tout Ou Rien ou bien analogique.
La tension aux bornes de la charge évolue suivant la séquence de commande, ainsi on différenciera
deux types de gradateurs :
Principe de fonctionnement d’un gradateur à angle de phase monophasé débitant sur charge
résistive
Dans ce type de gradateur, le signal envoyé sur l’entrée de commande du gradateur est analogique.
Le thyristor Th1 est amorcé durant l’alternance positive avec un angle de retard a par rapport au
passage par zéro de la tension secteur. Le thyristor Th2 est amorcé durant l’alternance négative avec
le même angle de retard On obtient alors aux bornes de la charge le tension suivante :
Domaine d’utilisation de ce genre de gradateur :
- Chauffage
- éclairage
- variation de vitesse des moteurs alternatifs de faibles puissance ( perceuse, aspirateurs de
quelques centaines de Watts )
- En règle générale, ils sont utilisés sur des systèmes ne présentant pas ou peu d’inertie thermique
ou mécanique
Inconvénients :
- La tension aux bornes de la charge est alternative non sinusoïdale, donc le courant absorbé sera
aussi alternatif non sinusoïdal. La présence d’harmonique de courant absorbés sur le réseau sera donc
importante.
- La relation entre la puissance moyenne dissipée dans la charge et le signal de commande a n’est
pas linéaire.
Alimentation des appareils électroniques (TV, PC, magnétoscopes, …).- Électroménager (aspirateur,
réfrigérateur, lave-linge, lave-vaisselle, robots culinaires, …).- Éclairage. – Chauffage-Appareil
électroportatif (perceuse, …).- Actionneurs domotiques (volets roulants, stores électriques, …).
L’utilisation de l’électronique de puissance prend de plus en plus d’importance pour deux raisons
principales:
– Les coûts de fabrication diminuent (facteur primordial dans les domaines de la grande série),
Applications industrielles:
Transport:
– Génération de l’énergie électrique par des cellules photovoltaïques, les stations spatiales.
Les applications les plus puissantes des convertisseurs statiques concernent le transport courant
continu – haute tension (CC-HT).
Une conversion d’énergie doit être faite avec le meilleur rendement, pour les raisons suivantes:
Dans le cas où les semi-conducteurs de puissance peuvent être considérés comme des interrupteurs
parfaits, l’analyse du principe de fonctionnement des convertisseurs de puissance est évidemment
grandement facilitée.
conclusion
Dans ce chapitre on a étudier les types des convertisseurs leurs définitions et leurs fonctionnement
et enfin leurs applications dans le domaine de l’électronique de puissance.
La bibliographie
Les références
[1] J. LAROCHE
« Electronique de puissance »
Convertisseur cours.
www.clicours.com/cours-electronique-applications-des-convertisseurs-statiques/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Redresseur
électronique/le-hacheur-série-principe-de-fonctionnement
Résumé d'une pré-étude sur les convertisseurs statiques pour éventuel d'intégration dans les
réseaux industriel type embraqué
Date de publication : 10 févr. 2016 Électronique de puissance – Bases, perspectives, guide de lecture
: Dr. Abdelhakim DENDOUGA
Maitre de conférences à l'université de Biskra
E-
Année Universitaire: 2014/2015
[3] GASTON Bachelard in "la Formation de l'esprit scientifique" , les composants d'électronique de
puissance. Version du septembre 2004.
[3]. MOUSTAFAOUI Dris, OUAGUENI Abdelmadjid, "Étude comparative de différentes stratégies de
commande des variateurs de vitesse", Mémoire de fin d'étude cycle licence département
d'électrotechnique, université de M'sila 2009, dirigé par: Mr : KHODJA Djalal Eddine.
[4] MAARAD Samir, BELKHIRI Walid, "Maintenance des maquettes didactiques de l'électronique de
puissance". Mémoire de fin d'étude cycle ingénieur département d'électrotechnique, université de
Batna 2010, dirigé par Ms : KERCHA Mbarka.