Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Delf B2 de 2

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 12

Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Compréhension de l’oral 30 minutes 25 points

Vous allez écouter plusieurs documents.


Avant chaque écoute, vous entendez le son suivant.
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

Exercice 1 9 points
Vous allez écouter 2 fois un document.
Vous écoutez une émission à la radio.
Lisez les questions, écoutez le document puis répondez.

1. Laura Riga juge les mesures prises pour faciliter l’accès au logement… 1 point
A. inefficaces.
B. irréalisables.
C. insuffisantes.

2. Selon Laura Riga, l’habitat partagé permet de rassembler des gens… 1,5 point
A. qui ont une vision commune.
B. qui viennent de différents milieux.
C. qui veulent réaliser des économies.

3. Théo était réticent au début de l’aventure par manque… 1 point


A. d’assurance.
B. d’intérêt pour le projet.
C. d’expérience de la vie en collectivité.

4. En quoi les locataires ont-ils surpris Théo ? 1 point


A. Par leur solidarité.
B. Par leur créativité.
C. Par leur disponibilité.

5. Qu’est ce qui a séduit Célia dans ce projet ? 1,5 point


A. Concevoir son habitat elle-même.
B. Créer du lien social avec ses voisins.
C. Habiter dans une maison écologique.

6. Quelle difficulté soulève Célia ? 1,5 point


A. Les inégalités entre les locataires.
B. L’absence de moment de solitude.
C. Les prises de décisions collectives.

7. Que conclut Laura Riga sur les logements partagés ? 1,5 point
A. Ils encouragent la mixité.
B. Ils permettent de recréer du lien.
C. Ils s’adaptent aux nouveaux modes de vie.

12
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Exercice 2 9 points
Vous allez écouter 2 fois un document.
Vous écoutez une émission à la radio.
Lisez les questions, écoutez le document puis répondez.

1. Quelle critique font les parents des jeux vidéo ? 1 point


A. Ils éloignent de la réalité.
B. Ils encouragent la violence.
C. Ils diminuent la concentration.

2. Selon Jean-Charles Roi, il est important… 1,5 point


A. de rester près des ados qui jouent.
B. de bien sélectionner les jeux.
C. de surveiller le temps passé à jouer.

3. Pour Jean-Charles Roi, qu’a permis l’expérience menée à Bordeaux


pour les jeunes ? 1,5 point
A. Les rapprocher de l’école.
B. Diminuer le temps face aux écrans.
C. Changer radicalement leur comportement.

4. Quelle est la cause du décrochage scolaire pour Jean-Charles Roi ? 1,5 point
A. Les difficultés familiales.
B. L’absence de perspectives.
C. Le manque d’encadrement.

5. Comment réagit Marine au début de l’expérience ? 1 point


A. Elle est étonnée.
B. Elle est indifférente.
C. Elle est enthousiaste.

6. Marine remarque que les jeux proposés en classe favorisent… 1,5 point
A. les rencontres.
B. la compétition.
C. la coopération.

7. D’après Jean-Charles Roi, quel obstacle rencontre l’utilisation des jeux


vidéo en classe ? 1 point
A. La méfiance des parents.
B. La difficulté à trouver des jeux adaptés.
C. Le manque de formation des enseignants.

13
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2
ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Exercice 3 7 points
Vous allez écouter 1 fois 3 documents.

DOCUMENT 1
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

1. Que permet la carte présentée dans le document ? 1 point


A. Offrir des objets fabriqués localement.
B. Obtenir des réductions sur des produits bio.
C. Orienter les achats vers des boutiques durables.

2. Les personnes qui achètent cette carte… 1,5 point


A. manquent d’idées de cadeaux.
B. souhaitent s’assurer que leur cadeau plaira.
C. ont peu de temps à consacrer à la recherche d’un cadeau.

DOCUMENT 2
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

3. L’utilisation d’émojis dans le milieu professionnel entraîne… 1,5 point


A. moins de crédibilité.
B. peu de changements.
C. davantage de proximité.

4. Les émojis ajoutent aux courriels un aspect plus… 1 point


A. créatif.
B. divertissant.
C. authentique.

DOCUMENT 3
Lisez les questions. Écoutez le document puis répondez.

5. Quel est le thème de l’émission ? 1 point


A. Les effets de l’alimentation sur la santé.
B. La tendance des Français à consommer local.
C. L’essor des produits frais dans les supermarchés.

6. Selon Maéva Dal, quelle est la priorité des Français ? 1 point


A. Manger de façon plus équilibrée.
B. Interroger ses habitudes alimentaires.
C. Diminuer son effet sur l’environnement.

14
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Compréhension des écrits 1 heure 25 points

Exercice 1 9 points Comprendre un texte informatif ou argumentatif


Vous lisez cet article.

La colivraison, le phénomène qui monte


Faire appel à un voisin pour se faire livrer ? C’est la nouvelle offre solidaire
proposée par des plateformes et des applications dédiées.
À Montrouge (Hauts-de-Seine), Benjamin Jarpert se dirige vers une station de métro,
une paire de skis de fond sous le bras. « Pas de sports d’hiver pour moi cette année, je
pars à Bordeaux en déplacement professionnel », assure cet ingénieur commercial de
41 ans. Et les skis ? « Je les transporte pour une voisine qui les a vendus sur Internet.
Elle a ensuite demandé sur un groupe Facebook si quelqu’un partait dans le Sud-
Ouest, et me voilà. » Au cours de ses nombreux déplacements, il a ainsi acheminé « un
passeport oublié à Bordeaux, un panier garni d’une maman bayonnaise pour son fils
étudiant en région parisienne, des cadeaux de Noël [...] ».
Benjamin est inscrit sur une dizaine de groupes locaux d’entraide, mais aussi des
plateformes de livraison collaboratives. « Ça permet de rencontrer ses voisins pour
autre chose que le tapage nocturne, plaisante-t-il. La première fois, c’était dans l’idée
de gagner un peu d’argent, mais mutualiser ainsi mes déplacements permet de réduire
leur impact environnemental. Et ça renforce la vie de quartier  : j’ai rencontré des
habitants avec qui j’ai sympathisé. » [...]
Depuis un an, la livraison de colis et de courses entre particuliers se développe, les uns
profitant d’un trajet personnel ou professionnel des autres. Shopopop a ainsi enregistré
plus de 600 000 échanges en 2020, soit une hausse de 388 % par rapport à 2019. Une
solution intéressante alors qu’on estime à environ 500  millions le nombre de colis
expédiés depuis et à destination de la France l’an dernier. Un chiffre en constante
augmentation, à mesure que l’e-commerce s’installe dans nos habitudes. Or « la ville
ne peut pas supporter l’explosion des livraisons. Il y a là de vraies problématiques sur
la qualité de l’air, la congestion des transports, les nuisances sonores », met en garde
Kayana Manivong, président de l’entreprise lyonnaise Colivreur.
[...] Selon une enquête réalisée en  2020 pour le site d’entraide collaboratif Smiile,
67  % des riverains connectés donnent un coup de main plusieurs fois par mois.
« Contrairement aux géants d’Internet, les réseaux sociaux de voisinage redéfinissent
les contours d’un territoire de proximité pour les utilisateurs qui souhaitent échanger,
donner des biens, des services... La Toile, dans ce cas, est une médiatrice qui provoque
la rencontre et renforce le sentiment d’appartenance à une communauté sociale et
solidaire », explique Jean-François Lucas, sociologue spécialiste des liens entre ville
et numérique. L’occasion de voir d’un autre œil celui ou celle qui habite à côté.
Caroline Lumet, L’Express, 25 février 2021

15
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2
ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. Benjamin Jarpert profite de son déplacement professionnel à Bordeaux pour… 1 point


A. vendre sa paire de skis de fond.
B. aller skier dans une station de ski de fond.
C. déposer les skis de fond d’une connaissance.

2. Quand il s’est lancé dans la colivraison, Benjamin Jarpert avait pour intention
initiale… 1 point
A. de recevoir un revenu complémentaire.
B. d’améliorer ses relations avec ses voisins.
C. de faire un geste pour la planète.

3. Concernant la livraison collaborative, quel est l’avantage que Benjamin Jarpert


n’évoque pas ? 1 point
A. Elle aide à créer du lien social.
B. Elle contribue à limiter l’empreinte écologique.
C. Elle permet de se faire des amis loin de chez soi.

4. En 2020, les transactions de colivraison chez Shopopop… 1,5 point


A. représentent environ 10 % des colis livrés en France.
B. ont presque quadruplé en un an.
C. sont passées de 500 000 à 600 000 en un an.

5. D’après l’article, le succès de la colivraison est lié au fait que les Français… 1,5 point
A. effectuent davantage d’achats en ligne.
B. ont tendance à profiter de la disponibilité des autres.
C. ont depuis longtemps cette habitude d’envoyer des colis.

6. D’après Kayana Manivong, que remarque-t-on aujourd’hui dans les villes ? 1,5 point
A. Les gens n’acceptent pas la circulation des véhicules de livraison.
B. Les embouteillages diminuent en même temps que les livraisons augmentent.
C. Les villes subissent les désagréments des services accrus de livraison.

7. Contrairement aux réseaux sociaux les plus connus, les sites d’entraide incitent… 1,5 point
A. à échanger et coopérer dans une communauté locale.
B. à améliorer ses connaissances numériques.
C. à mieux observer ce qui se passe autour de chez soi.

16
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Exercice 2 9 points Comprendre un texte informatif ou argumentatif
Vous lisez cet article.

Élever les enfants à la capacité de choisir


Le pédopsychiatre Daniel Marcelli explique les besoins physiologiques et
psychiques des jeunes dans leur propre construction et dans leurs rapports
aux autres.
[...] L’enfant doit toujours être reconnu dans son état d’enfant. Si l’enfant a des
compétences évidentes, il a aussi des immaturités évidentes. Éduquer un enfant,
c’est prendre en compte ses zones d’incompétences et ses incapacités ou ses zones
d’immaturité. Choisir, ce n’est pas dans les chromosomes. Il faut apprendre à
choisir. Et l’on ne peut l’apprendre que si l’on dispose d’un minimum de culture, de
connaissances, de comparaisons.
[...] Il faut se mettre dans la situation de l’enfant et tenir compte de son âge. Quand on
demande à un enfant de deux ans, par exemple, de choisir le parfum de son yaourt, on
a l’impression de lui poser une question simple car, nous adultes, nous connaissons
nos différents goûts, nos préférences et nous savons que nous pourrons choisir
différemment une autre fois. L’enfant n’a pas ces outils. Il faut être un grand enfant
déjà pour comprendre cela. Le rôle des parents est d’élever leurs enfants à la capacité
de choisir. Un enfant confronté à des choix sans avoir les moyens de choisir est dans
un état de perplexité qui entraîne une forme d’excitation, puis d’inquiétude. C’est
souvent douloureux pour lui. [...]
À l’adolescence, l’enfant élevé comme un sujet sous une dynamique d’autorité,
devient libre d’accepter ou de refuser cette autorité et de la contester pour accéder à
l’individualité. Je ne suis pas seulement la fille ou le fils de, je suis moi et en tant que
moi je fais des choix. C’est le moment d’une conquête d’autonomie et de liberté. [...]
Les adolescents d’aujourd’hui ne vont pas psychiatriquement plus mal. En revanche,
ils ont tellement été idéalisés et sacralisés dans l’enfance qu’à l’adolescence, tout
d’un coup, ils doivent tomber de ce piédestal pour entrer dans la société. Le statut
d’individu est pour l’être humain difficile à porter. Cela demande du temps, mais c’est
aussi une richesse d’avoir cette capacité de changer tout au long de notre vie.
[...] Le rôle des parents est de faire en sorte que l’enfant s’épanouisse dans un contexte
social. Le plus tôt possible, l’enfant doit se confronter ou vivre avec les autres dans des
activités communes, comme un sport collectif, une troupe de théâtre, une chorale,
etc. Ces activités permettent à l’enfant de comprendre qu’ensemble on peut faire des
choses plus sympathiques et meilleures que tout seul. Et qu’on a besoin des autres.
Or, certains parents répugnent à imposer une activité commune, voire refusent. Cet
équilibre est pourtant important, sinon l’enfant risque de ne pas trouver sa place et de
ne pas comprendre le collectif. [...]
Claire Alméras et Sylvie Bocquet, Famille & éducation, mars-avril 2021

17
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2
ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. Dans cet article, il est principalement question… 1,5 point


A. de la relation conflictuelle entre parents et adolescents.
B. de l’éducation des jeunes pour s’adapter à la vie en société.
C. des caractéristiques psychologiques de la jeune génération actuelle.

2. Selon D. Marcelli, la capacité de choisir… 1 point


A. est acquise à la naissance.
B. maintient l’enfant dans l’immaturité.
C. se développe par l’apprentissage.

3. Selon D. Marcelli, en quoi consiste le rôle des parents dans la petite enfance ? 1,5 point
A. Accompagner leur enfant dans l’expérience du choix.
B. Poser des questions simples à leur enfant.
C. Laisser leur enfant choisir de manière autonome.

4. Un enfant incapable de choisir peut se trouver dans un état… 1 point


A. de peur.
B. d’anxiété.
C. de tristesse.

5. Quel changement d’attitude apparaît chez les adolescents ? 1 point


A. Ils se construisent en s’opposant à leurs parents.
B. Ils réclament plus d’attention et de compliments que les enfants.
C. Ils acceptent plus facilement l’autorité de leurs parents.

6. Quel reproche exprime D. Marcelli à l’égard de certains parents ? 1,5 point


A. Il désapprouve que les parents choisissent la plupart des activités de leurs enfants.
B. Il reproche aux parents de ne pas partager d’activité avec leurs enfants.
C. Il regrette que des parents s’opposent aux loisirs collectifs pour leurs enfants.

7. Quel est le bienfait des activités communes ? 1,5 point


A. Elles apprennent à vivre en société, à se mesurer aux autres.
B. Elles favorisent l’individualisme.
C. Elles incitent les jeunes à plus de discipline.

18
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Exercice 3 7 points Comprendre le point de vue d’un locuteur
francophone
Vous lisez ces trois avis sur un blog dédié à la vie quotidienne des jeunes parents.
Ils répondent à la question : pour ou contre le congé paternité obligatoire ?

Alexa
À ce jour, seul le congé maternité est obligatoire en France. Il est censé protéger
la mère qui vient de donner naissance à son enfant, mais ce n’est pas évident de se
remettre d’un accouchement lorsque l’on gère son nourrisson en solo toute la journée.
Pourquoi serait-ce aux mères d’assumer seules l’obligation d’être parent et d’en subir
les conséquences en termes de fatigue et de déclassement professionnel  ? Notre
société doit évoluer sur ce point : la paternité n’est pas uniquement un droit, les pères
ont aussi le devoir de prendre en charge les premières semaines de leur enfant au
même titre que les mères. Une parentalité partagée permet de soulager la mère et
d’assumer ensemble la période post-natale.

Oscar
L’arrivée d’un enfant, c’est un bouleversement dans la vie d’un couple et aussi un
moment unique où chaque parent crée un lien affectif avec son enfant. Je trouve que
la présence du père est indispensable à la naissance car elle lui permet de prendre sa
place dans ce nouvel équilibre familial. Je pense que beaucoup de pères ne s’autorisent
pas ce congé parce qu’ils craignent la réaction de leur employeur et les conséquences
de leur absence au travail. Si on rendait le congé paternité obligatoire, les hommes
s’investiraient plus sereinement dans leur rôle paternel. Heureusement, les mentalités
évoluent dans le milieu professionnel, à l’instar de ces sociétés qui accordent d’office
un congé paternité prolongé aux nouveaux pères.

Sacha
En tant que dirigeant d’une petite entreprise, je reconnais que si l’un de mes employés
s’absente quelques semaines, cela perturbe l’organisation de notre activité car je
dois soit endosser sa charge de travail soit la répartir sur le reste de l’équipe. Cela
a également un coût non négligeable pour les petites structures forcées d’employer
temporairement un remplaçant et qui doivent payer la partie du congé non prise en
charge par l’État. Pour ces raisons, le congé paternité obligatoire me paraît plus simple
à instaurer dans les grandes entreprises. Enfin, on ne devrait pas obliger les pères
mais leur laisser la liberté de prendre ou pas ce congé : ils sont bien assez responsables
pour organiser leur vie professionnelle et familiale.

19
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2
ÉPREUVE COLLECTIVE 2
À quelle personne associez-vous chaque point de vue ?
Pour répondre aux questions, cochez ( ) la bonne réponse.

1. L’absence d’un salarié en congé paternité peut avoir des répercussions


économiques dans les entreprises de petite taille. 1 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

2. Actuellement, les femmes supportent majoritairement seules la charge parentale


pendant le congé maternité. 1 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

3. La peur de s’éloigner provisoirement de leur travail empêche des pères


de prendre leur congé paternité légal. 1,5 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

4. Le congé paternité permet aux parents de se relayer auprès de l’enfant


et de se répartir les tâches après l’accouchement. 1 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

5. Les pères n’ont pas besoin d’un congé paternité obligatoire pour gérer
simultanément leur travail et leur vie de famille. 1 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

6. Signe que la société change, les entreprises acceptent aujourd’hui


plus facilement la prise du congé paternité. 1,5 point
A. Alexa.
B. Oscar.
C. Sacha.

20
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2

ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Production écrite 1 heure 25 points

Vous étudiez le français dans une école de votre pays. Tous les ans, vous participiez
au voyage de deux semaines qu’elle organisait en France, pour découvrir les
différentes régions et pratiquer la langue. Mais, cette année, l’école a décidé
de remplacer ce voyage par un atelier de cuisine française, pour des raisons
financières.
Vous écrivez au directeur de l’école pour lui exprimer votre déception. Vous expliquez
ce que vous apportait ce voyage sur un plan linguistique, culturel et personnel, et
vous essayez de le convaincre de ne pas l’annuler. (250 mots minimum)

. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .
. . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . . .. . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . ... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . .. .. . . . .. . . . . .. . . . . . . . . .. . . . . .

21
Épreuve blanche 2 web 0ption tout public DELF B2
ÉPREUVE COLLECTIVE 2
Production et
interaction orales 20 minutes 25 points

Vous tirez au sort deux documents parmi ceux proposés par l’examinateur et vous
en choisissez un. Vous disposez alors de 30 minutes de préparation.
Pendant le monologue suivi, vous dégagerez le problème soulevé par le document
que vous avez choisi, puis vous présenterez votre opinion sur le sujet de manière
claire et argumentée. Si nécessaire, vous défendrez votre point de vue au cours du
débat avec l’examinateur. Lors de la passation, les deux parties s’enchaînent.

Sujet 1
Bientôt un permis pour adopter un animal ?
Une proposition de loi a récemment été déposée en faveur du bien-être animal. Parmi
les mesures prévues, la création d’un permis de détention d’animaux domestiques.
Il faudra bientôt montrer patte blanche pour adopter un animal. Sept députées LREM(*)
ont déposé une proposition de loi pour améliorer le bien-être animal le 30 juin dernier.
Cette dernière prévoit, entre autres, l’interdiction d’animaux sauvages dans les cirques,
celle de la vente de chiens et chats en animalerie mais surtout, la création d’un « permis
de détention d’un animal de compagnie ».
[…] Il ne sera pas nécessaire de payer ou de passer un examen pour l’obtenir, le document
serait délivré automatiquement lors de l’adoption d’un animal domestique mais pourrait
être retiré en cas de mauvais traitement empêchant ainsi une adoption future. « Nous
voulons responsabiliser les propriétaires. Acheter un animal n’est pas anodin. Avec ce
permis, nous envoyons ce message : la société vous accorde sa confiance mais, si vous
êtes négligent ou maltraitant, on peut vous retirer votre animal et votre permis » explique
Laëtitia Romeiro Dias, la députée ayant mené cette proposition de loi au Parisien. […]
Rita Santourian, pleinevie.fr, 17 juillet 2020
(*) LREM (La République En Marche) est un parti politique français créé en 2016 par Emmanuel Macron.

Sujet 2
Faut-il autoriser les tests ADN récréatifs en France ?
[…] Le député Modem(*) Bruno Fuchs a déposé deux amendements pour légaliser les
tests ADN récréatifs en France. Ils sont discutés aujourd’hui à l’Assemblée nationale
dans le cadre de la loi bioéthique.
D’après lui, 100 000 personnes y auraient recours chaque année. En théorie, ils sont pas-
sibles d’une amende de 3 750 euros. En pratique, cette sanction n’est jamais appliquée.
« On ferme les yeux, on dit que c’est interdit et on laisse faire », a-t-il déploré au micro de
France Info. « Comme on ne peut pas interdire, il faut encadrer », a-t-il ajouté.
[…] Les tests ADN récréatifs posent plusieurs problèmes. Ils ne sont pas toujours fiables
et révèlent aussi parfois des secrets de famille. Ils engagent non seulement les données
des utilisateurs, mais de tous ceux avec qui ils partagent un patrimoine génétique.
Enfin, les sociétés qui les proposent sont étrangères comme My Heritage ou 23andMe,
stockant les résultats sur des serveurs hors de France et revendant certaines informa-
tions à des laboratoires ou à des fins publicitaires. […]
Amélie Charnay, 01net.com, 30 juillet 2020
(*) Le Modem (mouvement démocrate) est un parti politique français de centre.

22
Références des audios :
P3 : piste 3, d3, t2 : Extrait de l’émission « Appart’Âges : des étudiants logés dans des résidences réservées aux
séniors », Aram Mbengue, 21/09/2020 ©RFI – p14 : piste 6, d1, t3 : © Radio France / France Inter / Valère Corréard ;
piste 6, d2, t4 : © Radio France / France Info / Philippe Duport.

Retrouvez l’intégralité des émissions RFI sur le site internet de RFI.

Références de textes :
4 : Sylvie Boistard © Sciences et Avenir, mars 2021 – 6 : Sylvie Lecherbonnier, © Le Monde, 8 avril 2021 – 11, S1 : © Le
Point, 01/02/2021 – 11, S2 : France 3/France TV – 15 : Caroline Lumet / lexpress.fr / 19.02.2021 – 17 : Claire Alméras
et Sylvie Bocquet/Famille & Education, mars-avril 2021 – 22, S1 : Rita SANTOURIAN - Pleine Vie - Reworld Media
Magazines – 22, S2 : Amélie Charnay/www.01net.com, 30/07/2020.

DR : Malgré nos efforts, il nous a été impossible de joindre certains photographes ou leurs ayants droit, certains
producteurs ou leurs ayants droit ainsi que les éditeurs ou leurs ayants droit pour certains documents, afin de solliciter
l’autorisation de reproduction, mais nous avons naturellement réservé en notre comptabilité des droits usuels.

Vous aimerez peut-être aussi