CORR Bac-Blanc Bis@Tle STi2D
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−20 t
Or, on sait, par le cours, lim e−t = 0 donc en posant X=
t→ ∞ 459
−20t
lim e 459
=lim e−X =0
t→ ∞ X →∞
Puisque la température du lait tend vers celle de l’air de la pièce, on en déduit que la température de la pièce
est de 26,4°C
(
−20t 0
)=ln ( 13,6
459×ln ( 13,6
37 )
37 )
459
Par application de la fonction ln, continue sur R∗+, ln e ↔ t 0=
20
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Application numérique: t0 = 22,96 min. Or, 0,96 min = 0,96 × 60 s = 58 s. D’où t0 = 22 min 58 s . Ce résultat
est cohérent avec le tableau donné car on doit trouver t0 > 15 min.
En simplifiant, il reste:
( UeUs )
R R
Ue
Us
=10 20 ↔ log
Ue
Us ( )
=10 20 =
R
20
↔ R=20 log
En sachant que le log est strictement croissant sur R∗+ et que log(1) = 0, on peut distinguer deux cas:
log ( )>0
Ue Ue
— s’il y a atténuation, Us < Ue donc >1 et donc donc R > 0.
Us Us
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R −R
2.2. D’après la formule d’atténuation, Ue=Us×10 20 → Us=Ue×10 20
0,09
−
Application numérique : Us=20 × 10 20 → Us = 19,8 mV . On a R > 0 donc il s’agit d’une atténuation, on
doit donc trouver Us < Ue, ce qui est le cas.
2.3. Les questions effectuées précédemment permettent de mettre en évidence l’influence du câble
sur l’atténuation de sa tension de sortie par rapport à sa tension d’entrée. Et le graphe proposé
montre que l’affaiblissement R semble indépendant de la fréquence (grave ou aiguë), et toujours
égal à 0,09. En l’état, les propriétés électriques du câbles seul ne permettent pas de justifier
une modification de timbre.
2.4. A hautes fréquences (sons aigus), on constate que la courbe 2 (câble important) est décalée à
gauche par rapport à la courbe 1 (presque pas de câble). Cela signifie que le câble tend à
diminuer l’amplitude de fréquences hautes, donc à modifier le timbre des hautes fréquences.
1,76×10−19
f= −34
→ f= 2,65x1014 Hz
6,63×10
c 3,00×10⁸
λ= = → λ = 1,13x10-6 m soit 1130 nm>800 nm → il s’agit d’un infrarouge, hors du
f 2,65×1014
domaine visible.
1.2.
1.2.1. On utilise la formule classique : Pmax = Umax× Imax.
Application numérique : Pmax = 30,7 × 8,15→ Pmax = 250 W .
1.2.2. La puissance reçue par un panneau solaire est Precue= φ × S avec φ = 1000W·m−2 et
S = 0,990m × 1,677m = 1,66 m2. Ainsi, Precue = 1000 × 1,66 → Precue = 1660 W . On définit
donc le rendement η comme le rapport de la puissance reçue sur la puissance délivrée :
Pu Pelc 250
η= = = → η =15 % : rendement faible mais symptomatique des panneaux solaires.
Pa Plum 1660
1.2.3. On détaille les énergies chronologiquement en utilisant la puissance électrique
Pmax = 250 W :
On utilise la relation E = P x Δt
– de 8h à 12h : 8 panneaux contribuent pendant 4h donc l’énergie reçue est E1 = 8 × 4 h × 250 W = 8 kW.h
– de 12h à 15h : 12 panneaux contribuent pendant 3h donc l’énergie reçue est E2 = 12× 3 h × 250 W = 9 kWh
– de 15h à 18h : 4 panneaux contribuent pendant 3h donc l’énergie reçue est E3 = 4 × 3 h × 250 W = 3 kWh
L’énergie totale récupérée sur la journée est donc E = E1 + E2 + E3.
Application numérique : E = 20 kWh
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1.2.4. Les panneaux solaires couvrent l’ensemble de la consommation électrique journalière, mais
pas le chauffage. Même par par une belle journée le temps peut être frais/froid et par mauvais
temps le chauffage par poêle à bois est absolument nécessaire.
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