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TP1: AMPIFICATEUR OPERATIONNEL

L’amplificateur d’une façon générale est un circuit intégré qui permet d’amplifier des tensions de
toutes fréquences : du continu aux fréquences élevées. Il est obtenu par l’intégration sur un même
substrat, de transistors, de résistances et de diodes.

I. Rappels théoriques

I.1. Présentation
L’amplificateur opérationnel comporte généralement deux entrées E+ (entrée non inverseuse) et E-
(entrée inverseuse) et une sortie. La polarisation du circuit nécessite une alimentation continue
extérieure symétrique +Vcc,-Vcc de l’ordre de 12 à 15 V pour les circuits intégrés usuels.
Un amplificateur opérationnel est schématisé par la figure 1.

1 8
2 Vcc = +15V
- 7
2 7 6
A741
3 6
+ 4
4 5 3
-Vcc = -15V

Figure 1. Schéma de l’amplificateur opérationnel

I.2. Paramètres fondamentaux

Gain différentielle : Si on applique une tension différente aux entrées inverseuse et non inverseuse,
on obtient à la sortie une tension Vs telle que Vs = µ (V+-V-) = µ (ε)
Vs

V  V


Impédance d’entré : C’est l’impédance que présente le circuit lorsqu’on se place du point de vue du
dipôle d’entrée, entre E+ et E-.
Impédance de sortie : Lorsque l’amplificateur est alimenté par un système de tension aux entrées E+
et E-, on obtient à la sortie une tension Vs entre la borne 6 et la masse. Vu de la charge, le circuit est
2 7
équivalent à un générateur de thévenin de fem e et d’impédance Zs (impédance de sortie).
Caractéristique de transfert : la tension de sortie est comprise entre –Vcc et +Vcc quelle que soit la
4
tension ε =V+-V- appliquée entre les entrées E+ et E-.
La caractéristique de transfert Vs=f(ε) du circuit intégré est présentée par la figure 2 :

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Figure 2. Caractéristique de transfert de l’amplificateur opérationnel

 Vsat V
 En régime linéaire : -Vsat<Vs<+Vsat et    sat
 
 Vsat
Vs  Vsat pour 
 
 En régime saturé : 
V  V Vsat
pour  
 s sat


Bande passante : Le gain différentiel de l’amplificateur dépend de la fréquence : il peut être très élevé
en courant continu ou en très basse fréquence et diminuer très rapidement lorsque la fréquence s’élève.
Vitesse de balyage (slew-rate) : Elle caractérise la rapidité avec laquelle l’amplificateur répond à une
modification du signal d’entrée.

dVs
 Elle s’exprime en V.µs-1
dt

I.3. Amplificateur opérationnel idéal

Un amplificateur opérationnel idéal est caractérisé par :
 Un gain différentiel µ infini
 Une impédance d’entrée Ze infini
 Une impédance de sortie nulle

I.4. Montages fondamentaux (en régime linéaire)

Les montages de base utilisant l’amplificateur sont les suivants :
 Montage suiveur ;
 Montage inverseur et non inverseur
 Sommateur et sommateur non inverseur
 Soustracteur
 Dérivateur et intégrateur

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II. Manipulation
Pour l’étude expérimentale, on utilise un amplificateur opérationnel intégré 741 dont on supposera
qu’il possède toutes les caractéristiques d’un amplificateur opérationnel idéal.

II.1. L’amplificateur non inverseur

1. Réaliser le montage de la figure 4 (On prend R1=10 kΩ et R2=47kΩ).

Figure 4. Montage de l’amplificateur non inverseur

2. A l’aide du G.B.F, appliquer une tension d’entrée Ve(t) d’amplitude V emax = 1V et de

fréquence f=1kHz, Ve(t)  1.sin(2  t  .

3

● Visualiser à l’oscilloscope en mode bi-courbe les deux tensions Ve(t) et Vs(t). Tracer les
deux allures dans un même repère. Déterminer le gain et le comparer à la valeur théorique.
● Relever la caractéristique de transfert pour -5 V< Ve <5 V.
3. En gardant la même tension d’entrée Ve, mesurer la tension de sortie Vs pour le cas
R2=0. En déduire le gain ainsi que la nature du montage.
4. Augmenter la fréquence du GBF jusqu’à ce que le signal à la sortie de l’AOP devient
triangulaire. Mesurer alors la vitesse de balayage (le slew-rate).

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II.2. L’amplificateur inverseur

1. Réaliser le montage de la figure 5 (On prend R1=10 kΩ, R2=47 kΩ et R3=10 kΩ).

Figure 5. Montage de l’amplificateur inverseur

2. Donner l’expression de Vs en fonction de R1, R2 et Ve.

 A l’aide du G.B.F, appliquer une tension d’entrée Ve(t) d’amplitude V emax = 1V et de

fréquence f=1kHz, Ve(t)  sin(2  t  .

3

 Visualiser à l’oscilloscope en mode bi-courbe les deux tensions Ve(t) et Vs(t). Tracer les deux
allures dans un même repère. Déterminer le gain G et comparer à la valeur théorique.
Conclure
3. Tracer la courbe Vs=f(Ve) pour -5 V< Ve <5 V.

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II.3. L’amplificateur Sommateur

1. Réaliser le montage de la figure 6 (On prend R1 =10 kΩ et R2 = 47 kΩ).

Figure 6. Montage de l’amplificateur Sommateur

2. Donner l’expression de Vs en fonction de R1, R2, V1 et V2 dans le cas de fonctionnement

linéaire.
3. Pour trois couples de valeurs de V1 et V2, mesurer la tension de sortie Vs.
4. Comparer les résultats avec les valeurs théoriques.

II.4. L’amplificateur différentiel

1. Réaliser le montage de la figure 7 (On prend R1 =10 kΩ et R2 = 47 kΩ).

Figure 7. Montage de l’amplificateur Différentiel

2. Donner l’expression de Vs en fonction de R1, R2, V1 et V2 dans le cas de fonctionnement

linéaire.
3. Tracer pour deux valeurs de V1 (-1 et 1 V), la courbe Vs = f(V2).
4. Quelle fonction réalise t’on si R2 >> R1 ?

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TP2 : ETUDE DES FILTRES

I- Introduction

Un filtre est un circuit qui a la propriété de ne transmettre qu’une bande de fréquence. Il

permet d’éliminer es fréquences non désirées.

On distingue quatre catégories de filtres :

 Passe-bas : qui ne transmettent que les fréquences basses et éliminent les

signaux de fréquences élevées.
 Passe-haut : qui éliminent les fréquences basses et ne laissent passer que les
fréquences élevées.
 Passe-bande : qui favorisent la transmission d’une bande unique de fréquence.
 Coupe-bande : qui laissent passer l’ensemble du spectre à l’exclusion d’une
bande déterminée qui se voit éliminée.
On appelle fonction de transfert d’un filtre le rapport en régime harmonique entre sa tension
de sortie et sa tension d’entrée

Vs
H ( j )  ; Vs et Ve sont les fonctions complexes associés aux tensions de sortie et
Ve
d’entrée respectivement.

Ve Vs
Filtre

Figure 1. Schéma synoptique

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II - Rappels théoriques

II.1 - Diagramme de Bode

Le diagramme de Bode consiste en une représentation graphique des deux fonctions

suivantes :

 Le gain en décibels de la fonction de transfert tracé en fonction du

logarithme décimal de la pulsation g = f(log ω) avec g(dB) = 20 log H

On rappelle que le gain réel est G = H ( j )

 La phase ou l’argument de la fonction de transfert, tracée en fonction du

logarithme décimal de la pulsation   f (log  ) avec   ArgH .
II.2 - Caractéristiques d’un filtre

Les tracés du diagramme de Bode en amplitude et en phase permettent de mettre en évidence

les principales caractéristiques d’un filtre qui sont :

a- Sa bande passante à –3dB, c’est à dire le domaine de fréquences dans lequel le gain
en décibels subit une atténuation maximale de 3dB par rapport à sa valeur maximale
go, en régime harmonique
b- Sa fréquence de coupure fc à -3dB, ou sa pulsation de coupure wc = 2p fc définies par :
g(dB) (fc) = 20 log H ( jc = go (dB) – 3 dB

Go
G(fc ) = H ( jc =
2

c- Son atténuation, c’est – à – dire les pentes du diagramme de Bode en amplitude, dans
le domaine des fréquences éliminées. L’atténuation s’exprime en dB/décade. Une
décade est un intervalle de pulsation correspondant à un rapport de 10 entre les deux
pulsations extrêmes : [ω, 10ω] [10ω, 100ω] ;

II .3 - Filtres actifs

A l’aide de composants actifs tels que les amplificateurs opérationnels, on peut réaliser des
filtres de toutes sortes, (passe-bas, passe-haut, passe-bande) tout en utilisant que des
résistances et des condensateurs. On peut en même temps amplifier la puissance du signal
d’entrée.

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Dans les filtres passifs, la présence de la charge peut influencer leurs caractéristiques.

D’autre part, la réalisation de filtres R.L.C en basse fréquence conduit à des circuits aux
bobinages encombrants dont les pertes sont souvant élevées.

II.3.1- Filtre passe-bas de premier ordre:

Le schéma de montage d’un tel filtre est représenté sur la figure 2.

Figure 2. Filtre passe-bas de premier ordre

L’amplificateur opérationnel est supposé idéal et fonctionne en régime linéaire.

La fonction de transfert est :

Ve R1 I

1
R
jc
VS   I
1
R
jc

D’ou :

VS R 1
H  j    . (1)
Ve R1 1  jRc 

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Le gain en décibels est :

R

GdB  20 log H  20 log   10 log 1  Rc 
2

 R1 
(2)

La phase est :     Arctg Rc  (3)

1
La pulsation de coupure est :   (4)
Rc

II.3.2 - Filtre passe-haut de deuxième ordre

Un filtre est dit de deuxième ordre si sa transmittance H (jω) est un polynôme d’ordre 2 en jω.

Son schéma de montage est représenté sur la figure 3.

Figure 3. Filtre passe-haut de deuxième ordre

En supposant que l’amplificateur est idéal et qu’il fonctionne en régime linéaire, au nœud N

on peut écrire : i1  i2  i3  O

soit :

Vs  V N
(Ve  VN ) jC   (V s  VN ) jC  0 (5)
R1

par ailleurs :

1
V N  ( R 2  )i3
jC

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Vs
avec : i3 
R2

1 1 1
et donc : VN  ( R2  )Vx  (1 )Vs
R2 jC jR 2 C

En remplaçant VN par sa valeur dans (II) on obtient :

Vs - RR 2 C 2 2
H ( j )   (6)
Ve 1 j 2 R1C  R1 R2 C 2 2

Sachant que :

1
o  : pulsation de résonance
C R 2 R1

(7)

1 R2
Q= : coefficient de surtension (8)
2 R1

La transmittance devient alors :

1
H ( j ) 
o 2  1
1- ) j o.
  Q

Le gain de décibels est :

   1
g  20 log H  10 log (1 - ( 2 ) 2  ( o ) 2 2 
   Q

La phase est :

  1 
  Arg H(j )  - Arctg (-( o ). ) /(1  o ) 2 ) 
  Q 

  
= Arctg ( o ) / 1  ( o ) 2 
 Q 

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III - Manipulation

III.1 - Filtre actif passe-bas de premier ordre

Réaliser le montage représenté sur la figure 4,

R1 = 10KΩ

R2= 22 KΩ Figure 4 : Filtre passe-bas de premier ordre

C2 = 22 nF

 Appliquer à l’entrée du montage une tension sinusoïdale Ve d’amplitude

maximale VeMax = 1V et de fréquence variable.
 Faite varier la fréquence du signal d’entrée et noter à chaque fois le gain G de
l’amplificateur et le déphasage entre la tension d’entrée et la tension de sortie.
 Tracer les diagrammes de Bode d’amplitude et de phase du filtre : G = f(fréq) ;
Φ= f(fréq)
 Déterminer le gain maximal du filtre, la fréquence de coupure et sa bande
passante.
 Comparer avec la théorie et conclure.

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III. 2 – Filtre passe-haut de deuxième ordre

Réaliser le montage représenté sur la figure 5,

R1=1kΩ

R2=2,2 kΩ

C=22nF

Figure 5. Filtre passe-haut de deuxième ordre

 En suivant le même mode opératoire que le filtre actif passe-bas. Tracer la

courbe du gain G = f(fréq) et de déphasage  en fonction de la fréquence G =
f(fréq) ; Φ= f(fréq)
 Déterminer la fréquence de coupure du filtre et comparer ce résultat avec la
valeur théorique.
 Préciser la pente de la courbe représentative de G pour les basses fréquences.

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TP3 : COMPARATEUR ET MULTIVIBRATEUR ASTABLE

Dans ce type de fonctionnement l’amplificateur opérationnel est utilisé en

régime de saturation. L’amplificateur se trouve dans l’un des états suivants :
(ε=V+-V-)

  0 et Vs  Vsat

  0 et Vs   Vsat

I. RAPPELS THEORIQUE

I.1. Comparateur Simple :

La comparaison de deux tensions Ve et Vref (Vref tension de référence) utilise un
amplificateur opérationnel fonctionnant en régime de commutation. L’état de
sortie de l’amplificateur permet de savoir si Ve est supérieur ou inférieur à V ref.

On a Vs = G (Ve-Vref) avec G : Gain de l’amplificateur.

Si Ve  Vref  Vs  Vsat


Si Ve  Vref  Vs   Vsat

Vs
+

- +Vsat
Ve
Vs
Vref Ve
Vref

-Vsat
Comparateur Caractéristique de transfert

Figure 1. Comparateur simple

I.2. Comparateur à hystérésis (Trigger)

L’amplificateur opérationnel subit une réaction positive par les résistances R1 et
R2. Les seuils de basculement dépendent de l’état de sortie de l’amplificateur.

Le comparateur à hystérésis est représenté sur la figure 2.

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+ Vs

- +Vsat

V+ R2 Vs Ve
Ve VB2 VB1
R1

-Vsat

Figure 2. Comparateur à hystérésis

R1
Par application du diviseur de tension on a : V   Vs
R1  R 2

R1
 Si Vs=+Vsat, le seuil est égal à VB1  Vsat
R1  R 2
R1
 Si Vs=-Vsat, le seuil est égal à VB2  Vsat
R1  R 2
R1
 La largeur de l’hystérésis est égale à : VB1  VB2  2 Vsat
R1  R 2

I.3. Multivibrateur astable :

La multivibrateur astable est un montage fonctionnant en régime de
commutation. Il comporte deux états dont la durée est déterminée par une
constante de temps RC. C’est un oscillateur non sinusoïdal, il fonctionne en
relaxateur.

Le montage comprend :

 Une réaction positive par Ra et Rb qui le fait travailler en

commutation.
 Un rebouclage sur l’entrée inverseuse par un réseau RC.
En supposant initialement l’amplificateur opérationnel saturée à +Vsar et la
tension aux bornes du condensateur Uc nulle, les expressions de l’évolution
temporelle de la tension Uc(t) ainsi que celle de la tension V+ sont :

 U c (t )  Vsat 1  e  t / RC  (c’est l’équation de charge d’un

condensateur).
Ra
 V  Vsat .
Ra  Rb

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L’instant de basculement du multivibrateur s’obtient lorsque Uc(t)=V+ ; On

obtient :

Ra  Rb
 t 1  RCLog
Rb

Après basculement du multivibrateur, la tension aux bornes du condensateur

ainsi que le potentiel de l’entrée non inverseuse deviennent tout en posant t’1 = t-
t1 :

 U c ( t '1 )  Vsat 1 

Ra  t '1 / RC
e  Vsat (c’est l’éq de décharge d’un
 Ra  Rb 
condensateur).
Ra
 V   Vsat
Ra  Rb
L’instant de basculement du multivibrateur s’obtient lorsque Uc(t’1)=V+ ; On
obtient :

2Ra
 t '1  RCLog (1  )
Rb

A cet instant t’1 commence une nouvelle phase de charge parfaitement

symétrique à la précédente.

R Vs

+ +Vsat

-
t

C V+ Rb Vs
Ra -Vsat

Figure 3. Multivibrateur

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II. MANIPULATION

II.1. Comparateur Simple :

1. Réaliser le montage représenté sur la figure 4.
+15V

R1

+
R2
Ve Vs
GBF

Figure 4. Comparateur à Hystérésis

2. A l’aide du G.B.F appliquer une tension d’entrée Ve(t) d’amplitude

Vemax et de fréquence f=1kHz, Ve(t) = Vemax.sin(2ω103t).
3. En agissant sur R2 changer le niveau de comparaison. Relever la
caractéristique Vs=f(Ve) et comparer avec la théorie.
4. Mesurer le slew rate σ (en V/µs) (en changeant la fréquence du
GBF)

II.2. Comparateur à hystérésis

1. Réaliser le montage représenté sur la figure 5.
Voie 1

- Voie 2

+
Ve GBF
Vs

R1 R2

Figure 5. Comparateur à Hystérésis

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2. A l’aide du G.B.F appliquer une tension d’entrée Ve(t) d’amplitude

Vemax=4V et de fréquence f=0,5kHz, Ve(t) = 4.sin(ω103t).
3. Observer le cycle d’hystérésis (en mode XY). Mesurer sa largeur et
comparer avec la théorie.

II.3. Multivibrateur astable

1. Réaliser le montage représenté sur la figure 6.

R
3
+ 7
6

- 4
2

C V+ R2 Vs
R1

Vs

Figure 6. Multivibrateur astable

2. Visualiser la tension à la sortie du montage ainsi que celle aux

bornes du condensateur.
3. Mesurer la période de fonctionnement du montage
4. Déterminer les instants de commutation du multivibrateur et
comparer avec la théorie.

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