SIG - ArcGis10 - Prise en Main
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SIG - ArcGis10 - Prise en Main
TD « Peyriac-Minervois »
SOMMAIRE
FORMATION ARCGIS 10
Présentation du logiciel
6 Formation au logiciel ArcGIS 10 – TD « Peyriac-Minervois » - Auteur : M. Palibrk, mars 2012
ArcMap
ArcCatalog
ArcToolbox
1 Arborescence du catalogue
2 ArcToolbox
3 Fenêtre d’affichage
1 2 3
FENÊTRE ARCCATALOG
APPLICATION ARCTOOLBOX
Boîte à outils
Jeu d’outils
Outil
APPLICATION ARCMAP
Table des
1
matières
Fenêtre
2
d’affichage
1 2
APPLICATION ARCMAP :
LA TABLE DES MATIÈRES 1/4
• Liste les blocs de données et les couches
Bloc de données • Détermine le tracé des couches :
Couche vectorielle
Couche raster
Différents modes
d’affichage de la
liste des couches ;
ici, les couches sont
répertoriées par
ordre d’affichage
10
APPLICATION ARCMAP :
LA TABLE DES MATIÈRES 2/4
Répertorier par
source
11
APPLICATION ARCMAP :
LA TABLE DES MATIÈRES 3/4
Répertorier par
visibilité
12
APPLICATION ARCMAP :
LA TABLE DES MATIÈRES 3/4
Répertorier par
sélection
13
APPLICATION ARCMAP :
LA FENÊTRE D’AFFICHAGE 1/2
Mode « Données » ou
« Mise en page »
Mode « Données » :
14
APPLICATION ARCMAP :
LA FENÊTRE D’AFFICHAGE 2/2
15
APPLICATION ARCMAP :
LES FENÊTRES
Fenêtres ancrables… …et auto-déployables
Fenêtres ouvertes
mais masquées
Ancrage en haut de
la fenêtre d’affichage
Ancrage en bas de la
fenêtre d’affichage
16
1. Présentation de l’exercice
A partir de la carte IGN au 1/25000° de Peyriac-Minervois scannée et non calée, vous allez digitaliser les
contours communaux de manière à pouvoir produire une carte de l’évolution de la population dans ces
communes entre 1999 et 2007.
- lancement du logiciel et chargement de fichiers existants (carte IGN scannée donc en format raster) ;
- import de points de calages (qui s’apparente à de l’import de points GPS également) ;
- calage de la carte IGN ;
- création d’un fichier vectoriel (=fichier de formes, de type point, ligne, polygone, au format
propriétaire .shp) ;
- digitalisation des contours communaux dans le fichier de forme ;
- manipulations simples de la table attributaire associée au fichier vectoriel (création de champs, calcul
de champs, jointure) ;
- mise en page d’une carte avec les résultats finaux.
Lancez ArcMap.
Cliquez sur OK lorsque la fenêtre suivante apparaît :
La fenêtre ci-dessous apparaît ; pour ajouter des données, il faut tout d’abord ajouter une nouvelle connexion
au dossier « Peyriac-Minervois » qui se trouve sur le disque « DATA (E :) ».
Ouvrez un document Excel vide et créez un tableau à trois colonnes permettant de renseigner les coordonnées
des quatre coins de la carte scannée :
- le nom du point ;
- la latitude du point en degrés décimaux ;
- la longitude du point en degrés décimaux.
Vous devrez ensuite renseigner le système de coordonnées dans lequel les coordonnées des points sont
données ; pour cela, cliquer sur « Edit ». Une nouvelle fenêtre s’ouvre :
Pour finir cliquez sur « OK » pour voir apparaître la nouvelle couche dans
la liste de la table des matières, comme sur la figure ci-contre.
Vous venez donc de créer une couche temporaire et une couche définitive composées chacune de 4 points
spatialisés (ceux décrits dans le tableau Excel de départ), ayant des coordonnées renseignées dans un système
de référence que l’on vient de définir.
Pour visualiser la table attributaire associée aux points qui composent la couche « Points_Calage », faites un
clic droit sur la couche puis choisissez la commande « Open Attribute Table ». Vous retrouvez ainsi les
informations que vous avez rentrées précédemment.
Pour géoréférencer une couche dans ArcMap, vous aurez besoin de la barre d’outils « Georeferencing ». Si elle
n’est pas déjà chargée, cochez-la dans le menu « Customize/Toolbars » de la barre de menu. Vous pouvez aussi
y accéder en faisant un clic droit sur la barre de menu :
Affichez ensuite la globalité de l’étendue de vos couches – à savoir la couche raster de la carte IGN scannée et
la couche vecteur des points de calage – en cliquant sur l’icône « Full Extent » (=Vue générale) de la barre
d’outils « Tools » :
Vous observez que la carte et les points ne se superposent pas encore et qu’ils sont parfois très éloignés l’un de
l’autre. Pour faciliter le travail de calage, vous allez afficher la carte topographique et les points de manière à ce
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qu’ils se superposent ; pour cela, faites un clic-droit sur la couche « Points_Calage » et choisissez la commande
« Zoom To Layer » ; puis, dans le menu déroulant « Georeferencing » de la barre d’outils du même nom, cliquez
sur « Fit To Display » (=Ajuster à l’affichage).
Pour faciliter le repérage des points de calage, vous pouvez afficher le nom des points – les « étiqueter » – en
faisant un clic droit sur la couche « Points_Calage » et en choisissant la commande « Label Features ».
Vous pouvez également modifier leur couleur en double-cliquant sur l’image du point qui se trouve sous le
nom de la couche considérée, ou bien en faisant un clic droit sur la couche « Points_Calage » et en choisissant
l’option « Properties » : l’apparence sera modifiable en cliquant sur l’image du point qui se trouve dans l’onglet
« Symbology ».
Vous allez maintenant effectuer le calage à proprement parlé, c’est-à-dire affecter à un point de la carte un des
quatre points de calage définis.
L’erreur RMS (Root Mean Square) ou erreur quadratique moyenne (EQM) correspond à la différence entre la
position finale du point d’origine par rapport à l’emplacement réel spécifié (point de destination). La RMS,
exprimée dans les unités du système de projection choisi est à comparer avec la tolérance. Elle doit être
inférieure à la tolérance et la plus proche possible de 0.
La carte topographique ayant été géoréférencée grâce aux points de calage, le système de coordonnées de la
carte et des points est identique : il s'agit du système de coordonnées géographiques basées sur le datum
mondial WGS84 (comme indiqué sur la carte IGN). En travaillant dans un tel type de système, il est impossible
de calculer des distances et des superficies. Ainsi, pour pouvoir réaliser des calculs et travailler sur cette
couche, il faudra reprojeter la couche et passer à un système de coordonnées planes ou projetées.
Vous choisirez de travailler dans la projection « NTF Lambert Zone III », puisque la zone d'étude se situe dans le
sud de la France.
Pour projeter une couche raster, il faut utiliser l'outil « Project Raster » de l'ArcToolbox qui se trouve dans «
Data Management Tools/Projections And Transformations/Raster/Project Raster ».
Si vous ne deviez pas vous souvenir de ce chemin, rappelez-vous qu'il est toujours possible de retrouver un
outil en utilisant la fenêtre de recherche « Search » accessible depuis le menu « Windows » (voir encadré) :
ATTENTION : l'outil « Project » qui se trouve dans « Data Management Tools/Projections And
Transformations/Feature » ne modifie que le système de coordonnées de fichiers de type vectoriel. De même,
l'outil « Define Projection » dans « Data Management Tools/Projections And Transformations » ne sert qu'à
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associer une projection à un document qui est déjà bien positionné dans l'espace, et ceci en ne modifiant pas
‘en dur’ les valeurs numériques des coordonnées de la couche considérée.
Ouvrez un nouveau projet ArcMap sans sauvegarder celui en cours (« File / New »), puis ouvrez la dernière
couche créée.
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Vous allez créer une couche vectorielle de polygones « Communes.shp » afin d’y digitaliser les contours des
communes de la carte.
Lancez ArcCatalog depuis le menu « Démarrer » de Windows, puis dans l'arborescence des fichiers, placez-vous
sur le dossier « Peyriac_Minervois » :
Clic-droit
Dans la fenêtre d'affichage, placez-vous sur l'onglet « Contents », faites un clic-droit puis « New/ Shapefile »
(vous pouvez aussi passer par le menu File/New/Shapefile »).
Remplissez la fenêtre qui apparaît comme suit :
Vous allez modifier la table attributaire de cette couche vierge de manière à rajouter des champs qui pourront
être complétés au fur et à mesure. Pour cela, faites un clic droit sur la couche, et cliquez sur « Open Attribute
Table ». Cliquez sur l’icône « Table Options » puis choisissez la commande « Add Field ».
Remplissez la fenêtre comme suit :
Recommencez en ajoutant un champ « Surface » de type « Float » (=réel simple), ayant une longueur de 4 et
une échelle décimale de 2, ainsi qu’un champ « Surface2 » de type «Short Integer » (=entier court) ayant une
longueur de 10.
Pour pouvoir dessiner dans cette nouvelle couche vide, il va falloir ouvrir une session de mise à jour. Pour cela,
allez dans la barre d’outils « Editor » et cliquez sur « Editor/Start Editing » (=ouvrir une session de mise à jour).
Dans la table attributaire, vous remarquerez que l’option « Add Field » apparaît en grisé : en effet, quand une
session de mise à jour est ouverte, il vous est impossible de modifier la structure de la table attributaire.
Fermez la table attributaire.
La barre d’outils « Editor » qui était en grisé devient maintenant utilisable et vous allez pouvoir digitaliser les
communes en vous référant à la carte topographique (voir annexe page 42) :
L’ouverture de la session de mise à jour a provoqué l’apparition d’une nouvelle fenêtre (« Create Features »)
qui va être indispensable à la création des entités :
Si cette mini barre d’outils vous dérange, vous pouvez la déplacer en utilisant la touche « TAB » de votre
clavier.
4. Pour terminer le dessin d’un polygone, cliquez sur l’outil « Terminer la construction » ou faites un clic droit
et choisissez la commande « Finish Sketch » ou bien faites un double-clic.
Si vous souhaitez modifier un polygone, il suffit de le sélectionner avec la flèche de sélection de la barre d’outils
« Editor », puis de choisir l’outil « Modifier les sommets » ; les sommets du polygone sélectionné apparaissent
alors en surbrillance et une mini barre d’outils flottante apparait, pour modifier les sommets :
Ajouter un sommet
Si vous souhaitez supprimer un polygone, il vous suffit de le sélectionner puis de faire un clic-droit et choisir
l’option « Delete » ou bien d’appuyer sur la touche « Suppr » de votre clavier.
Pour vous aider dans le dessin des contours communaux, vous pouvez ouvrir la couche « Communes_50000 »,
et l’afficher de manière à ce que les limites communales soient bien visibles.
Placez-vous à un niveau de zoom correct et dessinez les contours des communes.
Une fois terminé, vous pouvez enregistrer vos modifications, quitter la session de mise à jour et fermer la
couche.
Ouvrez la couche « Communes_PeyriacMinervois » qui contient les contours des communes digitalisés.
Ouvrez une session de mise à jour et ouvrez la table attributaire.
Trois des champs de la table attributaire sont à renseigner, à savoir « NomCommune », « Surface » et «
Surface2 ».
Dans le premier champ, rentrez à la main les noms des communes qui sont indiqués sur la carte topographique.
Pour vous faciliter la tâche, vous pouvez sélectionner la ligne à remplir (clic-gauche sur le carré du début de la
ligne), puis faire un clic-droit et choisir l’option « Zoom To Selected ».
Vous pouvez aussi utiliser l’outil « Attributs » de la barre d’outils « Editor » pour renseigner les champs de la
table attributaire, après avoir sélectionné un polygone.
Vous verrez maintenant deux méthodes pour calculer la superficie des communes (champs « Surface » et «
Surface2 ») :
Une fois sur le site, allez dans l’onglet « Téléchargement » puis pour le produit « ArcGIS Desktop » choisissez «
Les scripts et les outils complémentaires ». Cela va vous permettre de rajouter de nombreuses fonctionnalités
qui ne sont pas encore dans votre logiciel.
Retournez dans ArcMap, faites un clic-droit sur l’entête de la colonne « Surface2 » et choisissez « Field
Calculator » ; la fenêtre suivante s’ouvre :
1
La fenêtre vous permet, en double-
cliquant sur le nom des champs qui
existent dans la table attributaire, de faire
des calculs en utilisant les valeurs déjà
existantes de ces champs.
1 2
La fenêtre vous permet d’écrire la
formule qui vous permettra de calculer la
valeur du champ sur lequel vous êtes en
train de travailler.
2
3
La commande vous permet de
charger un fichier au format .cal qui est un
script déjà écrit, et qui va vous permettre
3 de réaliser des calculs plus complexes.
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Cliquez sur « Load » et retrouvez le fichier Superficie.cal ; un code script s’affiche alors. Cliquez sur OK.
Vous remarquerez que les valeurs affichées dans les colonnes « Surface » et « Surface2 » ne sont pas
identiques. En effet, pour calculer la superficie des polygones grâce à la première méthode, vous aviez choisi
d’afficher les valeurs en km² ; pour la deuxième méthode, aucune possibilité de choix de l’unité ne vous a été
donnée : les calculs se font dans l’unité de mesure de la projection de la carte, soit le mètre. Ainsi, dans la
colonne « Surface2 », les surfaces sont en m².
Faites donc attention à l’unité de vos résultats qui pourra avoir une incidence sur des calculs ultérieurs utilisant
les valeurs d’un ou plusieurs champs de la table.
La jointure est l’opération qui consiste à ajouter les champs d’une table à ceux d’une autre table sur la base
d’un attribut ou d’un champ commun aux deux tables.
Dans le dossier « Peyriac_Minervois », vous disposez d’un tableau Excel au format .xls. Ce fichier «
Pop_Communes » contient les informations relatives aux recensements de la population de 1999 et de 2007.
Dans ArcMap, ouvrez ce fichier comme vous avez ouvert votre fichier de formes (dans la barre de menu,
commande « File/Add Data/Add Data).
ArcGIS ne peut lire la globalité d’un fichier Excel, composé de plusieurs « feuilles » ; il va donc falloir
sélectionner une feuille :
Une fois que la table est ouverte, vous ne pourrez la voir apparaître dans la table des matières qu’en vous
positionnant dans le menu « List by source » (=répertorier par source) puisque aucun objet géométrique n’est
associé aux données de la table.
Faites un clic-droit sur la couche « Communes_PeyriacMinervois », puis choisissez « Joins and relates/Join ».
La fenêtre ci-dessous s’ouvre que vous devez renseigner de la manière suivante :
35 Formation au logiciel ArcGIS 10 – TD « Peyriac-Minervois » - Auteur : M. Palibrk, mars 2012
« Fixez » la jointure : faites un clic-droit sur la couche « Communes_PeyriacMinervois » puis « Data/Export Data
» -> nouvelle couche « Communes_Pop ».
Dans cette dernière étape de l’exercice, vous allez réaliser une carte de l’évolution de la population entre 1999
et 2007 dans les différentes communes.
Basculez en mode « Mise en page » (icône en bas à gauche de la fenêtre d’affichage ou commande
« Layout View » dans le menu « View »).
Notez que le mode « Données » et le mode « Mise en page » sont dynamiques, c’est-à-dire que l’affichage des
couches dans la fenêtre d’affichage est le même dans les deux modes. Si vous zoomez ou si vous vous déplacez
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dans la fenêtre d’affichage dans l’un des deux modes, vous zoomez et vous vous déplacez concomitamment
dans l’autre.
Vous remarquerez également que les seules couches qui sont cartographiées sont celles qui sont cochées dans
la table des matières.
Ne gardez cochée que la couche « Communes_Pop ».
Ajustez le cadre d’affichage de la carte à la taille de la page A4 ; ajustez la taille de la couche au cadre en
zoomant et en la déplaçant à votre guise.
Pour choisir la variable à afficher (« Evol9907 ») et son mode de représentation, faites un clic-droit sur la
couche « Communes_Pop » et cliquez sur « Properties », puis allez dans l’onglet « Symbology » :
1 2
Choisissez ensuite le mode de représentation (1) puis la valeur à afficher (2) et enfin choisissez le mode de
discrétisation et le nombre de classes (3).
Il vous est également possible de modifier le sens de progression du dégradé choisi en cliquant sur l’en-tête «
Symbol » ; mais vous pouvez aussi modifier l’apparence de chaque caisson de légende en double-cliquant
dessus. De la même manière, vous pouvez modifier les étiquettes (=labels) en cliquant sur l’en-tête
correspondant.
Une fois que vous avez terminé, cliquez sur OK pour afficher le résultat.
Pour rajouter les éléments cartographiques (titre, orientation, légende, échelle, source), utilisez le menu «
Insert » de la barre de menu.
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Il vous est possible de modifier à l’infini l’apparence, la taille ainsi que les options de chacun de ces éléments en
double-cliquant dessus une fois que vous les avez insérés sur votre carte.
a. La légende
Les doubles flèches vous permettent de manipuler toutes les couches à la fois.
Les flèches sur le côté droit (3) vous permettent d’ordonner les éléments de la légende.
Cliquez sur « Suivant » une fois que vous avez fait votre choix, et jusqu’à ce que vous ayez la légende d’affichée
sur votre carte : l’ensemble des éléments sera de toute façon modifiable par la suite.
L’organisation de la légende ne convenant pas, vous allez la modifier. On peut modifier tous les éléments qui la
composent, sans exception, de manière à obtenir une légende personnalisée, en double-cliquant dessus :
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Une fois que vous aurez terminé, voici la légende que vous obtiendrez :
Si vous cliquez dessus et que vous essayez de la déplacer, vous remarquerez qu’il s’agit d’un unique bloc. Hors,
vous aurez parfois besoin d’organiser différemment votre légende, de la partitionner, etc.
40 Formation au logiciel ArcGIS 10 – TD « Peyriac-Minervois » - Auteur : M. Palibrk, mars 2012
b. L’échelle
De la même manière que pour la légende, vous pouvez insérer une barre d’échelle qui sera dynamique et reliée
au zoom que vous aurez appliqué.
Si vous zoomez ou dé-zoomez
zoomez sur la carte, les valeurs de la barre d’échelle
d’échelle changeront automatiquement.
Si vous transformez la barre d’échelle en éléments graphiques pour pouvoir modifier manuellement chaque
élément de manière individuelle, vous perdrez également le lien dynamique qui existe entre le zoom et les
valeurs affichées
hées sur la barre d’échelle.
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Pensez à rajouter un titre à votre carte, ainsi que les sources (« Insert/Title » ou « Insert/Text »).
Une fois que la mise en page de la carte est terminée, vous pouvez la sauvegarder en l’enregistrant : dans la
barre de menu, allez dans « File/Export Map ».
7. Le projet ArcMap
Lorsque vous travaillez dans ArcMap, il est possible de sauvegarder votre espace de travail en créant un «
projet ArcMap ». Celui-ci garde en mémoire les couches ouvertes dans ArcMap au moment où vous l’avez
enregistré, leur symbologie, ainsi que la mise en page de la carte.
Mais attention, lorsque vous enregistrez ce document, vous n’enregistrez pas les modifications que vous êtes
en train d’apporter ‘en dur’ sur une des couches :
Il existe deux manières de représenter une image une fois numérisée : le mode raster et le mode vecteur.
- le mode raster ou matriciel : l’image est donnée par la juxtaposition de l’ensemble des pixels qui
auront une valeur particulière elle-même liée à la couleur affichée à l’écran.
Voici une liste d’image raster typiques qui sont dans ce cas : image scannée, image satellitale,
orthophotographie.
Attention à bien distinguer le type d’information qui est portée par les pixels :
• l’information peut être une information visuelle qui est donnée par l’association des valeurs dans
les trois canaux RVB de l’écran de l’ordinateur (c’est le cas pour une image scannée par exemple) ;
• l’information peut être une donnée qui a une réalité physique de terrain, comme pour les images
satellitales brutes, dont chaque pixel donne la valeur du rayonnement physique renvoyé par les
objets à la surface de la Terre (attention, une image satellitale scannée perdra cette information
physique pour ne conserver qu’une information visuelle qui est donc dégradée).
Vous avez sûrement remarqué le fait que lorsque vous créez une ‘couche SIG’, vous créez simultanément
plusieurs fichiers qui portent le même nom mais qui ont une extension différente.
En fonction du logiciel que vous allez utiliser, le nombre de ces fichiers et leurs extensions pourront varier.
Ce qu’il est important de noter et que les différents fichiers générés par défaut lors de la création de votre
couche SIG doivent impérativement rester dans le même dossier dans l’arborescence de votre disque dur,
sinon la couche SIG sera inutilisable par la suite. De la même manière, si vous souhaitez modifier le nom de la
couche SIG, il faudra modifier de la même manière chacun de ces fichiers.
Lorsque vous créez un fichier de formes – ou « fichier shape » – dans ArcMap, voici les fichiers qui seront
générés par défaut :
Il faut au minimum 3 fichiers pour ouvrir un fichier de forme dans ArcMap : le .shp, le .dbf et le .shx.
Vous rencontrerez souvent des problèmes lors de la manipulation de vos fichiers sur ArcMap et vous aurez un
jour aussi besoin de fonctionnalités particulières qui ne se trouvent pas dans l’ArcToolbox.
La meilleure manière de remédier à ces problèmes est de chercher de l’information sur Internet, où les forums
d’utilisateurs des solutions SIG d’ESRI sont très nombreux et actifs : en tapant « ArcGIS » plus certains mots clés
ciblés, voire même une question précise dans votre navigateur, vous serez redirigés sur des forums où très
souvent un autre utilisateur aura déjà rencontré votre problème ; c’est aussi sur ces forums que vous trouverez
des liens pour télécharger des scripts complémentaires, (comme nous l’avons fait sur le site du support d’ESRI
France), ou encore sur des sites Web d’universitaires ayant développé des programmes pour leurs propres
besoins, qu’ils auront ensuite mis en ligne en libre téléchargement.
Flèche de Remodelage Fractionnement Attributs Utiliser les limites s’un polygone existant pour dessiner un nouveau polygone : l’outil « traçage »
sélection Outils de construction d’entité Cet outil vous permet de tracer des lignes déjà existantes, et ceci pour garantir la coïncidence géométrique.
L’outil capture : Utiliser les éléments d’objets déjà existants pour construire une nouvelle entité
Pour dessiner des polygones en respectant la coïncidence avec chaque sommet de l’entité adjacente, vous utiliserez l’outil de
capture, accessible depuis la barre d’outils « Editor » : Editor/Snapping/Snapping Toolbar :
Pour régler les paramètres de capture, allez dans le menu « Snapping » et er ème
Dessinez un 1 polygone, puis commencez à dessiner la partie du 2 polygone qui ne
choisissez la commande « Options » : er
reprend pas le 1 avec l’outil « segment droit ». Ensuite, pour commencer à utiliser la
partie coïncidente entre les deux polygones, cliquez sur l’outil « Traçage », puis cliquez sur
er
un premier point du 1 polygone et avec la souri, suivez la ligne de celui-ci que vous
ème
souhaitez faire correspondre avec le 2 (la partie superposée est surlignée en noir).
Pour terminer la partie coïncidente, cliquez avec la souri puis terminez la forme
Tolerance = distance maximale à laquelle les points, sommets, etc. sont normalement.
détectés.
Show Tips = permet d’afficher ou non les informations concernant les
éléments détectés (nom de la couche sur laquelle se situe l’élément, type Diviser une entité en deux : l’outil « découpe de polygone »
d’élément capturé – point, sommet, etc. –). Si par mégarde vous avez par exemple regroupé deux communes au sein d’un même polygone, plutôt que de recommencer la
digitalisation, vous pouvez scinder le polygone en deux grâce à une ligne.
Sélectionnez le polygone à scinder, puis choisissez l’outil « découpe de polygone » et enfin tracez la polyligne qui servira à la
découpe.