SIG - ArcGis09 - Prise en Main
SIG - ArcGis09 - Prise en Main
SIG - ArcGis09 - Prise en Main
La protection du document en PDF a pour seul but d’avoir un retour en cas d’erreurs dans le
document. N’hésitez pas à me contacter pour toute suggestion.
Ces fiches sont créées dans un but de formation ou d’autoformation, dans un esprit non
lucratif.
L’utilisation de ces fiches est simple, il suffit de bien lire et comprendre le sommaire pour
retrouver les manipulations du logiciel.
La classification des rubriques est totalement arbitraire. Je suis ouvert à toute proposition de
modification.
Les fiches ont été réalisées avec les versions 9.0 à 9.3.1. Lors de grosses variations, des notes
de versions sont disponibles en bas de page des fiches concernées.
Contact : fabien.guerreiro@gmail.com
Fiches d’aide à l’utilisation de ArcGis
Liste des fiches
F. Guerreiro 2
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis A - Présentation du logiciel
Le principe directeur d’un SIG est le suivant : nous avons d’un coté les données géométriques
et de l’autre les données attributaires. Ces données sont stockées sous format numérique et
organisées par couches (appelées aussi « shapefiles» dans ArcGIS).
Petit point de détail : ArcGIS est en réalité une suite, qui se décline en trois versions
(ArcView, ArcEditor et ArcInfo). La différence entre ces versions est le nombre d’options
supplémentaires disponibles, ArcView en possédant le moins. Ceci est indépendant des
extensions (Spatial Analyst, 3D Analyst… que l’on peut acheter en supplément).
Chacune de ces trois versions de la suite ArcGis est constitué d’une interface ArcMap et
d’une interface ArcCatalog (accessoirement d’une interface ArcToolBox séparée pour les
versions antérieurs à la version 9.0).
Conseil : Maintenez toujours les versions à jours, avec le dernier patch existant ! Les patchs
sont disponibles gratuitement sur les sites d’ESRI et les langues françaises sont sur le site
ESRI France.
Ceci est important dans la mesure où les versions 9.0 et 9.1 étaient instables (plantages
fréquents).
F. Guerreiro 1
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_A01 - Présentation de l’interface : ArcMap
ArcMap montre, questionne, édite, créé ou analyse des données, sous forme de tables ou
de cartes. ArcMap facilite la disposition des cartes lors de la mise en page pour l’impression,
l’intégration dans d’autres documents et l’édition de documents électroniques. L’interface du
logiciel est présentée ci-dessous :
Affichage des
noms des couches
superposées
Affichage
des couches
Barre générale
d’outils
Zoom avant
Zoom arrière
Zoom avant constant
Zoom arrière constant
Déplacer la vue
Zoom général
Revenir au cadre précédant
Revenir au cadre suivant
Sélectionner des entités
Sélectionner des éléments
Identifier des entités
Rechercher
Mesurer une distance
hyperlien
La barre d’outils renferme les outils de navigation sur les données graphiques des couches,
ainsi que les outils d’affichage rapide de données sémantiques (attributaires) liées aux entités
graphiques.
F. Guerreiro 2
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_A02 - Présentation de l’interface : ArcCatalog
ArcCatalog vous permet de passer en revue, organiser, distribuer et modifier les éléments
de propriétés des données géographiques. L’interface permet d’employer des méthodes
graphiques ou textuelles pour passer en revue, contrôler ou modifier l’ensemble des données.
Barre
d’outils et de
gestion des
dossiers
Contenu des
dossiers et
Explorateur fichiers
de dossiers
et fichiers
C’est idéalement dans cette interface que l’on exécutera les actions les plus courantes listées
ci-dessous :
- créer des nouvelles données (couches ou shapefiles, géodatabases…)
- attribuer un système de coordonnées lorsqu’il n’est pas reconnu par le logiciel, ou non
attribué
- supprimer une couche (soit l’ensemble des fichiers correspondants au shapefile)
définitivement de l’ordinateur
F. Guerreiro 3
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_A03 - Présentation de l’interface : ArcToolBox
ArcToolbox
ArcToolbox est le module dans ArcGis 9.x (ou l’application dans ArcGis 8.x) qui permet
d’accéder à toutes les fonctionnalités puissantes de traitement et d’analyse. La boîte à outils
fournit un ensemble très riche de fonctions de géotraitement. Il convertit aussi les formats de
données pour l’importation ou l’exportation de fichiers, ainsi que les changements de
projection.
L’ensemble des outils présents dans chaque boîte à outil n’est pas obligatoirement accessible.
Certains nécessitent l’achat d’extensions supplémentaires.
Généralement, en cliquant sur un outil, une fenêtre correspondant à l’outil s’ouvre, permettant
de paramétrer ce dernier. Il est possible de créer ses propres scripts, que ce soit au travers de
python (livré avec le logiciel) ou en transformant un ModelBuilder.
Attention : avant d’utiliser un outil, consultez l’aide, qui est de mieux en mieux faite selon les
versions et qui explique clairement le paramétrage des outils !
Ligne de commande
Elle permet d’appeler rapidement un outil en saisie de commande ainsi que ses paramètres
d’utilisation. Ce module est plus appréciable pas les utilisateurs de ArcInfo (ancienne version
en ligne de commande).
F. Guerreiro 4
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_A04 - Le Document MXD
La mise en forme des fenêtres, la Mise en page, le choix des styles pour les objets
cartographiques, le positionnement des étiquettes, etc. sont autant d'opérations qu'il est
intéressant de sauvegarder pour ne pas avoir à les reproduire à chaque ouverture de ArcMap.
Le document de travail (*.mxd) vous permet de sauvegarder une session de travail.
Pour enregistrer l’état d’avancement de votre travail dans un document, allez dans le menu
Fichier >Enregistrer sous…
Le document de travail est un fichier unique contrairement à une couche. Il ne contient pas de
données géographiques. Il renferme simplement une série d'instructions qui est donnée à
ArcMap et qui précise les couches géographiques utilisées dans la session, les fenêtres ou
données ouvertes, la mise en forme des objets, etc. Le document ArcMap peut-être assimilé à
une macro des logiciels bureautiques.
Ainsi il peut exister un grand nombre de documents qui utilisent les mêmes tables de données
dans des mises en forme différentes.
Cependant, comme le document contient des instructions sur les tables à utiliser, il est
indispensable de préserver ces tables telles que lors de l'enregistrement du document. Si, par
exemple, une table est déplacée ou renommée et que le document n'est pas réenregistré pour
prendre en compte la modification, ce dernier ne s'ouvrira pas !!
Portabilité du document
Il est possible d’enregistrer le « chemin relatif » des couches utilisées. Ceci vous permet de
déplacer tout votre dossier de travail et de pouvoir rouvrir votre document après le
déplacement, sans encombre. Le document et les couches utilisées doivent tout de même
rester à la même place les uns par rapport aux autres !
Ouvrez votre document. Dans le menu fichier (file), sélectionnez propriétés du document
(map properties). Cliquez sur options des sources de données (data source options).
Sélectionnez enregistrer le chemin relatif (store relatifs path names) et cliquez sur OK.
F. Guerreiro 5
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis B - Gestion des couches
La gestion des couches est essentielle pour bien démarrer l’apprentissage du logiciel.
Bien comprendre comment s’organisent les couches les unes par rapport aux autres et
comment s’organise l’articulation entre la donnée géographique et la table attributaire qui lui
est associée, est la base de la compréhension des logiciels SIG.
F. Guerreiro 6
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B01 - Ouverture et fermeture d’une couche
Vous disposez de ArcMap et ArcCatalog pour ajouter des données dans ArcMap.
Remarque : Si c’est la première fois que vous utilisez un lecteur particulier, ou
simplement pour être sûr que le lecteur utilisé est accessible sous ArcMap,
vérifier les connexions disponibles dans ArcCatalog.
Depuis ArcMap
A l’ouverture du logiciel, une boîte de dialogue apparaît, soyez sûr de travailler sur un
nouveau document vide.
Ajouter des données : Cliquez simplement sur Ajouter des Données (add data).
L’opération réalisée ici a pour objectif de monter l’interactivité entre ArcCatalog et ArcMap.
Connecter un dossier : Cliquez sur le bouton situé dans la barre des tâches du haut de
l’écran pour connecter un dossier de travail.
Propriétés : Changez le nom de votre vue de données . Dans le menu affichage (view),
sélectionnez les propriétés du bloc de données (data frame properties).
Sous l’onglet application (general), changez le nom des données pour reconnaître votre
travail.
Changez le menu déroulant afficher (display) des unités selon vos besoins (kilomètres par
exemple), puis cliquez sur ok.
Zoomer : Dans la barre d’outils, cliquez sur l’outil de zoom (zoom in) pour une meilleure
vue de votre carte, en pressant simplement le bouton de la souris ou en maintenant le bouton
enfoncer pour définir un cadre de zoom.
Fermer des données : Pour fermer une couche dans ArcMap, faites un clic-droit sur son nom
et sélectionnez Supprimer (remove). Cette opération supprime la couche du logiciel, mais
pas de l’ordinateur.
Depuis ArcCatalog
Notez sa ressemblance avec l’explorer de windows.
Si le lecteur de travail où vous stockez vos données n’est pas disponible dans l’arborescence
des fichiers, cliquez sur le bouton connecter un dossier (connect to folder) pour ajouter le
dossier ou lecteur désiré.
Pour ajouter une couche, sélectionnez les fichiers ‘*.shp’ que vous voulez ouvrir dans
l’arborescence de ArcCatalog et faites-les glisser jusque sous la couche (layers) de ArcMap.
NB. : Dans les versions 9.0 et 9.1, et d’une manière générale, évitez de travailler avec ArcCatalog et ArcMap ouverts en
même temps, pour éviter les conflits sur un fichier en lecture dans les deux interfaces et les messages d’erreurs.
F. Guerreiro 7
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B02 - Exploration des couches : ArcMap
Conseil : Créer un répertoire cible pour l’enregistrement des couches différent du répertoire
source, pour éviter les mauvaises manipulations.
Si la barre d’outil fait référence à une extension (sous réserve d’avoir la licence), allez dans le
menu outils> extensions… et cochez la case de l’extension voulue pour l’activer. Cliquez
ensuite sur fermer.
F. Guerreiro 8
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B03 - Exploration des couches : ArcCatalog
ArcCatalog est présenté comme l’explorer Windows : ArcCatalog est l’interface windows
d’ArcGis.
Dans l’arborescence gauche du logiciel, allez dans le dossier où est rangé le shapefile (ou la
couche) que vous voulez observer et sélectionnez le fichier en cliquant sur son nom.
La représentation graphique apparaît dans la fenêtre de droite.
Contrairement à la plupart des logiciels, notamment bureautiques, la particularité d’un SIG est
de permettre d’afficher plusieurs fichiers au cours de la même session. Chaque fichier
représentant une couche de données.
Notez que vous pouvez lancer ArcToolbox depuis ArcCatalog de la même façon que dans
ArcMap. Il est important de savoir que la plupart des outils présents dans les barres d’outils
diverses, ne sont accessibles que depuis ArcMap ; il existe cependant une barre d’outil très
pratique qui n’est visible que depuis ArcCatalog : Outils de Conversion
Cet outil ainsi que tous les outils disponibles dans ArcCatalog (métadonnées…), sont
disponibles à partir du menu Affichage> Barres d’outils (tools> toolbars).
F. Guerreiro 9
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B04 - Affichage des données attributaires à l’écran (ArcMap)
Faites un clic droit sur le nom de la couche et sélectionnez ouvrir la table attributaire (open
attribute table). Observez les données puis fermez la table lorsque vous avez fini.
Une entité correspond à une ligne dans la table attributaire. Lorsque l’on sélectionne une
entité sur la carte à l’aide de l’outil sélection
Dans les tables attributaires, les attributs en caractères (texte) sont justifiés à gauche, les
attributs numériques (flottant, entier, virgule fixe..) sont justifiés à droite.
Ceci a une importance capitale pour la syntaxe des sélections par attributs, mais aussi pour les
jointures réalisées sur les attributs.
F. Guerreiro 10
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B05 - Connaître et modifier la projection d’une couche
La projection d’une couche est très importante. Vous devez, pour travailler proprement sur
vos couches, œuvrer dans un système de projection unique dans la mesure du possible. Ceci
évite les erreurs lors de calculs d’analyse spatiale, ne serait-ce que pour calculer des distances,
ou pour croiser des couches. Evitez de modifier la projection dans la mesure du possible, car
les passages multiples d’une projection à une autre génèrent des déformations sur les entités.
Codes EPSG utiles à connaître (http://www.epsg.org/) utilisés dans les logiciels libres :
2154 : RGF93 Lambert 93, 27561 : NTF Lambert Nord France, 27562 : NTF Lambert Centre France, 27563 :
NTF Lambert Sud France, 27564 : NTF Lambert Corse, 27571 : NTF Lambert zone I, 27572 : NTF Lambert
zone II, 27573 : NTF Lambert zone III, 27574 : NTF Lambert zone IV, 4326 : WGS84 world geographic 2D
F. Guerreiro 11
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_B06 - Attribuer une projection (ArcCatalog)
Si vous observez que le système de projection est « inconnu » dans ArcMap (cf. « connaître le
système de projection de la vue ») et que votre couche ne se superpose pas aux autres
couches, cela peut arriver dans deux cas :
- le logiciel ne possède pas la projection de la couche dans ses références (ou pas
exactement) ;
- votre couche (ou image) ne possède pas de projection
Lorsque vous importez ou exportez des données, il est important (non, indispensable !!) de
connaître le référentiel (et de mettre les métadonnées à jour) afin d’indiquer le bon référentiel
lors de l’importation. Indiquer un mauvais référentiel altère et déforme vos données.
L’étape est importante car les références géographiques permettent tous les calculs de
distances (calculs d’aires, barres d’échelles…) et aussi une superposition parfaites des
couches travaillées.
Attribuer une projection lorsqu’elle n’est pas reconnue
Pour indiquer au logiciel le système de projection de la couche, vous devez aller sous
ArcCatalog et avec un clic-droit sur le nom de la couche, ouvrir les propriétés.
Sous l’onglet champs, cliquez sur le nom du champ correspondant à la géométrie ; il s’agit
ici de ‘shape’. Dans la partie basse s’affichent les propriétés du champ.
Cliquez sur la référence spatiale (définie en ‘Unknow’) pour ensuite importer la référence
spatiale d’une autre couche, ou spécifier une référence prédéfinie.
Attention ! L’attribution d’un système de projection n’est possible que sous ArcCatalog
La couche dont on modifie la projection doit être fermée dans ArcMap pour que les
modifications prennent effet.
Le dessin ci-après reprend les étapes de cette procédure :
ArcGis 9.0 et 9.1 ArcGis 9.2 et 9.3
F. Guerreiro 12
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C - Structure des couches
F. Guerreiro 13
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C01 - Création d’une couche (ArcCatalog)
La création d’une couche doit être précédée d’une étape de réflexion sur la modélisation du
phénomène à intégrer dans le SIG. Il s’agit d’un aspect fondamental qui permettra une
utilisation rationnelle et aisée du SIG. Une étape à ne pas négliger !
Une collection d’objets de même type sémantique correspond à une couche (fichier de forme
sous ArcGis). Tous les objets d’une même couche doivent être du même type géographique
(point, ligne ou polygone).
Chaque objet géographique stocké dans une couche est doté d’un certain nombre d’attributs
(ou champs), qui sont définis ultérieurement, lors de la modification de la structure de la
couche.
Ouvrez ArcCatalog. Allez dans le dossier (dossier cible) où vous voulez créer le nouveau
fichier de forme (couche d’informations).
Par un simple clic droit sur le dossier, allez dans >nouveau> fichier de formes (ou autre pour
un autre type de fichier), (New>shapefile ou layer ou Group layer) selon le niveau de
regroupement souhaité.
Nommez votre fichier et renseignez le type d’entités que vous voulez créer. N’oubliez pas de
modifier le système de coordonnées du fichier de formes. Si vous êtes sur un travail en cours,
faites importer le système d’une couche que vous utilisez. Cliquez sur OK.
Nom de la couche
Eviter les accents, espaces,
caractères spéciaux
Privilégiez les lettres Aa..Zz
Les chiffres 1..9, pas en début de nom
Et le « _ »
Type d’entité
La nature des entités à numériser et
l’échelle ont une incidence directe sur
le type choisi
Une fois la couche créée, elle ne comporte aucun enregistrement graphique, et aucun champ
attributaire, mis à part les champs FID (identifiant géographique propre au logiciel) et SHAPE
(indiquant la géométrie des entités de la couche).
F. Guerreiro 14
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C02 - Création de champs attributaires
La modification de la structure de la table est à éviter dans la mesure du possible, car l’ajout
ou le retrait de champs peut ‘perturber’ la table. Il est donc important de vérifier les données
attributaires après ce type d’intervention.
ArcGis gère différents types d’attributs : texte, entier court, entier long, réel simple, réel
double, date.
Pour supprimer un champ, faites un clic droit sur l’entête du champ à supprimer puis cliquez
sur supprimer un champ (delete field).
Remarque : la suppression d’un champ est irréversible.
Nom du champ
Type de champ
(texte, entier, réel ou date)
Propriétés du champ
(longueur de texte ou du nombre
entier, nombre de décimales…)
F. Guerreiro 15
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C03 - Création d’objets graphiques (ArcMap)
Sélectionner la cible !
Dans la barre d’édition, ouvrir une session de mise à jour. Suivez les instructions de la boîte
de dialogue et cliquez sur OK. Votre couche est alors modifiable.
Prenons l’exemple d’une création de points (je rappelle que le type d’entité créable est défini
lors de la création de la couche !!) :
Sélectionnez le crayon qui permet de créer les objets dans cette boite d’outils Editeur (le
crayon créé des nouveaux points, mais il créé des lignes ou des polygones selon le type
d’entités de la couche). Le menu déroulant de la barre Editeur doit être positionné sur Créer
une nouvelle entité.
Cliquez dans la fenêtre à l'endroit désiré (Attention à chaque clic avec l’outil activé vous
créez un nouveau point, même si vous ne le voyez pas à l’écran).
Préalable : Si plusieurs couches sont ouvertes sous ArcMap, il est nécessaire d’indiquer
quelle(s) couche(s) est sélectionnable pour réaliser les modifications : Sélectionner>Afficher
les couches sélectionnables.
A partir du menu Editeur >Capture (Snapping), affichez l’environnement de capture, et
cochez les sommets (vertex), le bord (edge) et, ou la fin (end) de la couche selon la
localisation des accroches nécessaires. Les sommets de cette couche sont ainsi aimantés à
l’approche du curseur lors d’un déplacement de nœuds. Cette fonction va vous permettre de
placer les points exactement les uns au dessus des autres.
TSVP
F. Guerreiro 16
Mise à jour : Janvier 2011
Attention ! En double cliquant pour faire apparaître les points veillez à ne pas
déplacer l’objet sélectionné en bougeant la souris : en effet le simple clic
sélectionne l’objet et permet son déplacement. Pour annuler une fausse manœuvre
cliquer sur précédent.
Pour supprimer plusieurs enregistrements, utilisez ctrl pour les sélectionner à partir de la
table, utilisez la touche Maj pour les sélectionner à partir de la couche graphique.
F. Guerreiro 17
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C04 - Modification d’objets graphiques
La modification d’une limite requiert une modification de la couche ; vous devez donc mettre
à jour la couche à l’aide de la barre d’outils Editeur. Par le menu Affichage> Barres
d’outils, choisissez Editeur.
Rappel : Si plusieurs couches sont ouvertes sous ArcMap, il est nécessaire d’indiquer
quelle(s) couche(s) est sélectionnable pour réaliser les modifications : Sélectionner>Afficher
les couches sélectionnables.
Attention ! En double cliquant pour faire apparaître les points veillez à ne pas
déplacer l’objet sélectionné en bougeant la souris : en effet le simple clic
sélectionne l’objet et permet son déplacement. Pour annuler une fausse manœuvre
cliquer sur précédent.
A l’aide de l’outil mise à jour du menu Editeur, double-cliquez sur l’entité que vous
voulez modifier.
Une fois les modifications réalisées, n’oubliez pas d’enregistrer les mises à jour depuis le
menu Editeur et de quitter la mise à jour.
Remodelage de limite
Il est possible de remodeler une limite en l’alignant sur une construction manuelle.
Dans la barre d’outils Editeur, sélectionnez l’entité à remodeler avec l’outil mise à jour .
Choisissez ensuite Tâches de modification >Remodeler l’entité dans le menu déroulant de
Editeur. Prenez enfin l’Outil construction et tracez une ligne en suivant les sommets de
l’entité de référence. Cliquez avec le bouton droit sur un endroit quelconque de la carte pour
Terminer la construction. L’entité est alors remodelée.
F. Guerreiro 18
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_C05 - Modification d’objets sémantiques
La modification des données attributaires se fait en concordance avec les objets graphiques
correspondants.
Lien entre objet et table attributaire Lors d’une modification (ou d’une
Création d’objets graphiques création) des données attributaires, il
La numérisation des objets se fait à l’écran sur la couche éditable
faut sélectionner l’entité sur la carte
pour savoir à quelle ligne de la table
correspond cette entité.
La sélection de l’objet sur la carte se
matérialise par un bleu fluo
Saisie des données attributaires (couleur modifiable dans l’onglet
La saisie des données se fait dans la table
en fonction des éléments graphiques Table du menu Outils> Options).
Dans la table correspondante, la
sélection se remarque de la même
façon ( ). La sélection de l’objet
entraîne la sélection de la ligne dans la
table, et inversement.
Pour mettre une table à jour, dans l’éditeur, ouvrez une session de mise à jour, affichez la
table puis changez les données en double-cliquant sur un enregistrement à changer.
Lorsque vous avez fini, terminez la session de mise à jour.
Remarque : Pour ajouter des enregistrements à une table, ouvrez une session de mise à jour, puis la table à mettre à jour.
Allez en bas de la table, remplissez la dernière ligne qui est vide puis quittez la session de mise à jour en enregistrant les
modifications.
F. Guerreiro 19
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_D - Analyse spatiale
L’analyse spatiale participe au traitement même des données à partir de requêtes spatiales
bien définies ou d’actions qui permettent de répondre à un questionnement précis.
Une requête est une opération qui consiste à interroger une partie de la table de données (ou
table attributaire).
Les requêtes peuvent porter aussi bien sur des données attributaires que sur des objets
géographiques.
F. Guerreiro 20
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_D01 - Sélection par attributs (requête attributaire)
La sélection par attributs (requête attributaire) se fait sur une seule couche (ou table
attributaire) et sur un ou plusieurs attributs de cette couche.
A partir du menu sélection choisissez sélectionner par attributs (select by attributes).
Sélection par attributs
Couche concernée
par la sélection
Choix des
champs
Choix des
valeurs
Affichage
des valeurs
Requête
F. Guerreiro 21
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_D02 - Sélection selon emplacement géographique (requête géographique)
Avec la sélection par entités (select by location) du menu sélection, vous pouvez
sélectionner des éléments par leur emplacement relatif à d’autres éléments.
Dans le menu sélection, choisissez sélection par entités. Une boîte de dialogue apparaît.
Suivez le didacticiel présent à l’écran. Ce dernier est aussi simple qu’écrire une phrase
correspondant à votre volonté de sélection.
Méthode de sélection
Couche de sélection
Opérateur
Couche d’interaction
A A A
B
B
Sont complètement contenus dans
Ont leur centroïde dans ( Complet ely wit hin)
(Have their center in ) B
A A
B
NB : Les rectangles
représentent les polygones,
B les cercles représentent
leurs centroïdes
Exemple :
Sélectionner les éléments de la couche ‘riviere’, qui intersectent le département du Nord de la couche
‘departement’ :
Je veux Sélectionner les entités dans/par rapport à, les couches suivantes : rivieres, qui : Intersectent
departement.
Cochez « utiliser les entités sélectionnées ». Vous devez sélectionner le département du Nord préalablement.
NB : Tous les opérateurs sont détaillés dans l’aide, leur définition est indispensable !
F. Guerreiro 22
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_D03 - Jointure attributaire/ Jointure spatiale
Jointure attributaire
La jointure de tables est généralement utilisée pour adjoindre des attributs supplémentaires à
la table d’une couche géographique (couche de départ). Pour joindre deux tables, le type
des données du champ joint doit être identique entre les tables (nombres, chaînes…).
La jointure ne concerne que les lieux géographiques présents dans la couche de départ.
Faites un clic droit sur le nom de la couche géographique de départ et sélectionnez jointures
et relations (joins and relates) puis joindre. La boîte de dialogue suivante apparaît :
Choix du type de jointure (attributaire, spatiale)
Renseignez la table à joindre (qui peut être la table d’une couche) et les champs à joindre pour
les deux tables ( !! Un champ à joindre peut porter un nom différent dans les tables).
Dans les propriétés avancées, sélectionner l’option garder les enregistrements
correspondants (keep only matching records) si besoin.
Cliquez deux fois sur OK pour fermer les boîtes de dialogue. Cliquez sur non lorsqu’on vous
demande de créer automatiquement un index pour la jointure dans la table jointe si vous
n’êtes pas familier avec cette notion.
Faites un clic droit sur le nom de la couche géographique de base et ouvrez la table
attributaire, pour voir si la jointure a réussi. Observez pour cela les entêtes des champs.
Exemple : Vous disposez d’une couche ‘comm.shp’ représentant le contour des communes ; la table attributaire
de cette couche ne contient que le code INSEE de chaque commune (nommé IDINSEE). Vous voulez
sélectionner les communes de plus de 10.000 habitants. Vous disposez, d’autre part, d’une table attributaire
‘comm_attr’ (sans données graphiques) contenant le nombre d’habitants (attribut « hab ») et d’autres champs
pour chaque code INSEE ; ce dernier s’intitule CODE sans la table.
Clic-droit sur la couche ‘Comm’, Jointures et relations> Jointures
1. IDINSEE 2. comm_attr 3. CODE Avancé : garder tous les enregistrements
Jointure spatiale
Permet de joindre les données d’une table attributaire d’une autre couche à partir de
références spatiales.
Choisissez Joindre les données d’une autre couche selon l’emplacement et suivez les instructions.
Les différences de précisions d’échelles entre deux couches altèrent la qualité de la jointure.
Attention ! Les jointures sont temporaires, c’est à dire actives temps que les fichiers sont
ouverts. Pour sauvegarder, il est impératif de créer une nouvelle couche par la procédure
d’exportation : données>exporter les données (data>export data…)
F. Guerreiro 23
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_D04 - Outils d’analyse spatiale
outils d’analyse>superposition>
Intersection
(analysis tools> overlay> Intersect)
pour assembler uniquement les portions d’entités qui se
superposent
sens 1
outils d’analyse>superposition>
Union
(analysis tools> overlay> Union)
pour assembler toutes les entités qui se superposent
sens 2
F. Guerreiro 24
Mise à jour : Janvier 2011
Comparaison des résultats au niveau des tables attributaires
Le choix de l’outil de l‘analyse spatiale est très important en fonction des tables attributaires
attendues en sortie.
Prenons l’exemple d’un input constitué de 4 objets et d’un feature constitué d’un seul objet
Découpage
ID_INPUT NOM
0 aa
1 bb
2 cc
3 dd
Commentaire : le découpage crée 4 objets qui prennent uniquement les attributs de l’input
Intersection
Union
Commentaire : Création de 8 objets qui prennent les attributs respectifs de l’un et, ou de
l’autre.
F. Guerreiro 25
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_E - Analyse thématique/Sémiologie/Symbologie
F. Guerreiro 26
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_E01 - Symbologie/ Affichage simple des entités
Double-cliquez sur la couche ou faites un clic-droit pour afficher les propriétés de la couche
(layer properties). Puis sélectionnez l’onglet symbologie (symbology).
Cliquez sur le rectangle coloré du symbole pour appeler la fenêtre de sélection du symbole
(symbol selector).
Le bouton Propriétés… (Properties…) permet de changer plus d’options dans l’affichage des
entités de la couche.
NB. : L’onglet Affichage (Display) des Propriétés (layer properties) de la couche gère la
transparence absolue de la couche.
F. Guerreiro 27
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_E02 - Analyse thématique/ Affichage avancé des entités
L’analyse thématique a pour objectif principal de mettre en forme les données que vous
voulez faire ressortir de la carte. L’analyse thématique répond aux règles principales de la
sémiologie graphique. Reportez-vous à ces règles (Aide ArcGis/ cours…) pour connaître les
différents types d’analyses et/ou méthodes de classification des données (Jenks, écart-type…).
Importation de la
symbologie (lyr)**
Etiquettes de
Exemple de légende
représentation du
type d’analyse Plages et couleurs
thématique choisi de classement
Méthode de classification
Nombre de classes
Statistiques
Limites de classes
Histogramme de répartition
des valeurs
**Les couches sont enregistrées en fichier de forme/shapefile (*.shp). Il est possible de sauvegarder les symbologies produites sous forme de
fichier de couche (*.lyr). Ce fichier est lié au shapefile d’origine. Pour enregistrer un fichier de couche (*.lyr), faites un clic-droit sur le nom
de la couche désirée (ou fichier de forme *.shp), puis choisissez enregistrer comme fichier de couche.Les fichiers (*.lyr) sont l’équivalent
d’une légende ; pour l’appliquer à d’autres couches, cliquez sur le bouton Importer… (Import…) de l’onglet symbologie.
F. Guerreiro 28
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_E03 - Etiquetage des entités
Consiste à afficher des informations sur une couche (nom, numéro, surface …)
Double-cliquez sur le nom de la couche et sélectionnez l’onglet étiquettes (labels) ou faire un
clic droit sur le nom de la couche>propriétés.
Cliquez sur l’option de placement des étiquettes (placement properties) pour choisir les
caractéristiques de l’étiquetage.
Sélectionner le champ de l’étiquette que vous voulez afficher, assurez-vous que l’étiquetage
des entités dans cette couche est actif (label features in this layer) dans le menu déroulant de
la couche (clic droit sur le nom de la couche)
Exemple d’option de placement :
Poue l’étiquetage d’entités administratives relativement homogènes, assurez-vous que l’affichage est toujours
horizontal (always horizontal), et que l’on place une étiquette par entité (place one label per feature).
Pour modifier le placement des étiquettes, faites un clic-droit sur le nom de la couche
préalablement étiquetée et choisissez convertir les étiquettes en annotation.. Dans la boîte
de dialogue qui apparaît, choisissez stocker les annotations> dans la carte et cliquez sur
convertir. Les étiquettes sont alors converties en textes simples modifiables et déplaçables.
F. Guerreiro 29
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_F - Mise en page
Les logos et mentions légales ne sont pas superflus, ainsi qu’un texte explicatif pour éviter
toute mauvaise interprétation de la carte produite.
F. Guerreiro 30
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_F01 - Création d’une mise en page
La création d’une mise en page permet d’éditer une carte complète pour l’imprimer ou
l’exporter dans un format image standard (jpg, bmp, png…).
Si nécessaire, changez le nom de vos couches en double-cliquant sur chacune d’elles pour
ouvrir les propriétés de la couche, sous l’onglet général. Vous pouvez changer les couleurs
et les symboles de tous les éléments sous l’onglet symbologie.
Sélectionnez la mise en page dans le menu affichage> mode mise en page ou en cliquant sur
le symbole mode de mise en page. Avec un clic droit sur la page, choisissez mise en page
(page and print setup), ou dans le menu fichier> mise en page et changez la mise en page de
portrait vers paysage (landscape). Cliquez ensuite sur OK.
Pour ajouter les éléments indispensables à votre carte comme le titre, la flèche nord,
l’échelle, la légende ou une image, allez dans le menu insérer et sélectionnez l’item désiré.
Lorsque la carte est terminée, allez dans le menu fichier, pour exporter la carte (export
map). Choisissez le format d’exportation, le nom de la carte, et cliquez sur enregistrer.
F. Guerreiro 31
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_F02 - Création d’une légende
Une commande spécifique existe pour créer une légende décrivant toutes les informations
contenues dans la carte. Menu Insérer> Légende… . Pour cela, il faut bien évidemment se
trouver sur l’Affichage> Mode mise en page.
Création d’une légende
Étape 2
Choisir libellés et styles généraux
Puis pour chaque élément
Bordures
Étape 1
Choisir et organiser les éléments
retenus pour la légende
Formes
Espacements
La première fenêtre permet de sélectionner les couches qui seront intégrées dans la légende et
de faire varier l’ordre d’apparition (organisation). La seconde fenêtre permet de faire varier le
titre de la légende alors que la troisième, organise l’aspect général (contour, fond…). L’intérêt
de la quatrième fenêtre est la possibilité de faire apparaître des entités autrement que par
défaut (par exemple, un polygone par un rectangle). La dernière fenêtre modifie l’espca entre
les éléments de la légende.
Lorsque vous avez terminé, une nouvelle fenêtre Légende apparaît.
Pour gérer les libellés de la légende, reportez-vous aux propriétés de la couche concernée. En
effet, sous l’onglet Général, vous pouvez modifier le nom de la couche, et sous l’onglet
Symbologie, vous pouvez gérer les Etiquettes de chaque classe.
Les styles de chaque élément de la légende sont à modifier dans les Propriétés de la Légende
elle-même par un double-clic ou clic droit sur celle-ci.
F. Guerreiro 32
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_F03 - Eléments d’une mise en page
Les éléments de la légendes s’ajoutent à partir du menu Insérer, lorsque l’Affichage Mode
mise en page est actif.
Pour redimensionner un objet il faut le sélectionner puis faire glisser les "poignées" situées
aux coins du rectangle englobant l’objet.
Pour supprimer un élément il suffit de le sélectionner et de presser la touche suppr du clavier.
Disposer les objets :
Il est possible de disposer les objets par rapport à la page (aligner à gauche, aligner à droite,
centrer). Pour cela il faut sélectionner l’objet puis faire un clic droit et dans le menu lancer
l’option Aligner… De la même façon on peut disposer un ensemble d’objets les uns par
rapport aux autres en les sélectionnant tous puis en utilisant le même menu Aligner…
F. Guerreiro 33
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_F04 - Exportation de la mise en page
Lorsque la mise en page est terminée, vous avez le choix de l’imprimer (menu Fichier
>Imprimer) ou d’exporter cette mise en page afin de pouvoir l’insérer dans un document
ultérieurement.
Remarque : lorsque vous exécutez cette action, vous imprimez la fenêtre active, donc
n’oubliez pas de vous positionner sur la mise en page, si elle est la fenêtre que vous désirez
imprimer !
A partir du menu Fichier > Exporter la carte, vous pouvez ainsi exporter la mise en page
(ou l’étendue de la fenêtre, si vous êtes en Affichage> Mode données) vers une image.
La boîte de dialogue représentée ci-dessus propose les différents formats d’image exportables.
D’une manière générale, il est préférable d’exporter en PNG lorsque votre carte ne contient
que des vecteurs et en JPG dès qu’il y a des images ou des rasters sur votre carte.
Quoi qu’il en soit, faites plusieurs essais pour obtenir une image à la fois légère en taille et de
qualité suffisante pour l’utilisation ultérieure que vous voulez en faire.
Exemple : la qualité de l’image doit être plus importante pour une image qui doit être projetée
en présentation (PowerPoint) que pour une image insérée dans le texte d’un rapport d’étude
(Word).
F. Guerreiro 34
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_G - Intégration de données externes
F. Guerreiro 35
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_G01 - Import / Export de données vecteurs (MIF)
Lors de transferts de fichiers entre logiciels différents de SIG, le fichier d’échange utilisé est
par défaut, MIF/MID. Le fichier .MID contient les informations attributaires et le fichier .MIF
contient la structure de la table, la géométrie ainsi que la sémiologie.
Dans ArcView 9.x, les outils de conversion se trouvent dans la barre d'outils Outils ArcGIS
8.x dans ArcCatalog. Vous pouvez ajouter cette barre d'outils en procédant comme suit :
Ouvrez l'application ArcCatalog.
Cliquez sur le menu Affichage, pointez sur Barres d'outils, puis cliquez sur Personnaliser.
Cochez la case Outils ArcView 8.x dans l'onglet Barre d'outils, puis cliquez sur Fermer.
Le tableau suivant présente les outils d'importation disponibles dans la barre d'outils Outils
ArcGIS 8.x dans ArcCatalog.
Barre d'outils Outils ArcView 8.x
Importer depuis Echange
MIF vers fichier de formes
Points SDTS vers couverture
Raster SDTS vers grille
Fichier de formes vers DXF
Les outils d'importation suivants sont également disponibles dans la barre d'outils Outils
ArcGIS 8.x dans ArcCatalog.
• Géodatabase vers fichier de formes
• Géodatabase vers table
• Fichier de formes vers AGF
• AGF vers fichier de formes
NB. : le fichier DXF est directement intégrable à ArcGis en ajoutant des données .
Attention ! Pour convertir un MIF en SHP, le dossier cible doit être
impérativement différent du dossier initial
F. Guerreiro 36
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_G02 - Géoréférencement de données rasters
Le géoréférencement d’une image de carte (souvent des cartes anciennes ou des relevés de
terrain) permet de localiser géographiquement le lieu pour ensuite faire des analyses spatiales.
Ouvrez l’image dans ArcMap. Le logiciel vous indique qu’elle ne possède pas de
référence spatiale connue.
Cliquez sur OK si cette fenêtre s’affiche, puis choisissez de faire
une Vue Générale si d’autres couches sont aussi ouvertes.
La vue générale est à très petite échelle (très éloignée), car le
logiciel a, par défaut, calé l’image aux coordonnées X=0 et Y=0
de la projection courante. Observez la référence spatiale du
fichier dans les propriétés de la couche raster.
A l’aide de ArcCatalog, affectez le système de projection adéquat (fiche B06). Il est
indispensable avant de commencer le géoréférencement.
Ouvrez la barre d’outils Géoréférencement et cliquez sur le bouton Visualiser la table des
liens de la barre d'outils. Pour afficher la bar d’outils de géoréférencement, allez dans le
menu affichage> barres d’outils> géoréférencement (tools> toolbars> georeferencing).
Une fois les 4 points positionnés ArcView vous donne une appréciation de votre calage pour
chaque point en pixel.. Si cette erreur vous paraît acceptable vous pouvez valider le calage en
cliquant sur OK.
F. Guerreiro 37
Mise à jour : Janvier 2011
2. Géoréférencement à l’aide d’une couche de référence
Ajoutez la couche de référence qui contient les coordonnées et l’image à géoréférencer.
Dans la liste des couches (à gauche de l’écran, dans la table des matières), faites un clic droit
sur la couche référencée et cliquez sur zoom sur la couche (zoom to layer).
Dans la barre de géoréférencement, cliquez sur le menu déroulant couche et cliquez sur
l’image à référencer. Attention à ne pas altérer la référence d’une couche déjà géoréférencée !
Pour ajouter un lien, cliquez sur un point de localisation connu de l’image, et cliquer sur ce
même point sur la carte référencée. Les coordonnées de se point sont à jour !
Ajoutez assez de points pour que la transformation prenne effet. Vous avez besoin d’un
minimum de trois points pour une transformation polynomiale de premier ordre, six pour une
transformation de second ordre et dix pour une transformation de troisième ordre. On utilise
une transformation de premier ordre lorsque l’image à référencé est dans la même projection
que l’image de référence.
Remarque : Un grand nombre de points n’améliore par forcément la qualité du
résultat, préférez donc des points près de chaque angle de l’image à référencer et
quelques points au centre.
Vous pouvez supprimer un lien en cours de création en appuyant sur la touche Echap (Esc).
Pour supprimer un point créé, appuyez sur le bouton visualiser la table des liens (view
link table), sélectionner le point non désiré (dont le lien apparaît en jaune sur la carte) et
appuyer sur suppr ou le bouton de suppression .
Remarque : Dans la table des liens, vous pouvez évaluer la transformation.
L’erreur résiduelle de chaque lien y est reportée. Une transformation de deuxième
ou troisième ordre (lors de courbures ou d’incurvations d’images) augmente
l’erreur car la déformation est plus complexe.
3. Enregistrement du géoréférencement
Cliquez sur géoréférencement (georeferencing) et choisissez mettre à jour le
géoréférencement (update georeferencing) pour sauvegarder les informations de
transformation de l’image.
Remarque : Cette action de mise a jour ne modifie pas l’image. Elle créé un
fichier de référencement (*.aux).
Vous pouvez transformer l’image de façon permanente après le géoréférencement en utilisant
la commande rectifier (rectify), disponible par l’action géoréférencement> rectifier.
F. Guerreiro 38
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_G03 – Ajouter un serveur WMS dans ArcGis
Si la projection affichée
par défaut ne vous
convient pas, vous pouvez
la modifier dans les
propriétés de la couche.
F. Guerreiro 39
Mise à jour : Janvier 2011
ArcGis_G04 - Ajouter un serveur WFS dans ArcGis
Sous ArcCatalog, si l’extension Data Interoperability est installée (normalement par défaut),
cliquez sur Add Interoperability connection, puis spécifiez le type (WFS) dans l’endroit
prévu à cet effet, puis sélectionnez le serveur.
F. Guerreiro 40
Mise à jour : Janvier 2011