SYSTEMES DE GESTION

DES BASES DE DONNEES

Prof. Mohammed El Mohajir

Email: m.elmohajir@aui.ma
2020 - 2021
 Notion de relation
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 Une relation est la prise en charge par le SI du fait qu’il

existe une association entre des entités et prendra une
association entre les objets correspondants.
 Ex:
◼« Said est marié à Salima » exprime par la relation « est marié
à » une association entre les objets Said et Salima.
◼ Entre l’entité Bon de command (N°BC, Date) et l’entité Produit
(Réf, Prix) peut exister la relation CONCERNE exprimant
l’association qui existe entre l’objet COMMANDE et certains objets
de type PORDUIT.

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 Notion de relation (suite)
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 A une relation peuvent également être rattachées des

propriétés, exactement comme pour les entités
 la relation CONCERNE peut être porteuse de la propriété
QUANTITÉ exprimant pour chaque produit commandé (concerné
par la commande) la quantité commandée
 Bon de Commande (N°BC, Date) CONCERNE(Qté)
PRODUIT (Réf, Désignation, Prix)
◼ Les 2 entités BON DE COMMANDE et PRODUIT sont
reliées par la relation CONCERNE si le produit est
commandé sur le bon de commande par une certaine
quantité.

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 Classification des relations
Relations permanentes
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 Ce sont des relations entre entités permanentes qu’on

conserve en permanence et dont on peut modifier les
propriétés à tout moment. Ce sont des relations
structurelles.
 Employé (matricule, nom) Affecté a (heure début, heure fin)
(horaires peuvent être modifiés à tout moment) Service (code,
intitulé) Said, employé A12 est AFFECTÉ (tous les jours ouvrables
de 8h à 17h) au service 18, Commerciale (les horaires de
AFFECTÉ peuvent changer)

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 Classification des relations
Relations de type mouvements
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 Ce sont des relations entre entités permanentes ou de

mouvements qui représentent le souvenir d’un événement
(RELATION CONJONCTURELLES)
 Conjoncture : situation qui résulte d’un concours de
circonstances
 COMMANDE (N°BC, date) SE COMPOSE DE (quantité)
PRODUIT (Réf, désignation, prix)
◼ La commande 125 du 15 novembre 2005 SE COMPOSE de trois
produits (X01, chemise, 120dh) et de deux produits (X25, pantalon,
200dh)

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 Types et occurrences
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Un type est un Une occurrence d’un

ensemble d’éléments type est un élément
ou d’objets ayant les particulier
mêmes appartenant à cet
caractéristiques. ensemble.

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 ENTITÉ-TYPE
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 classe d’entités particulières ayant des propriétés

analogues
 OCCURRENCE D’ENTITE-TYPE : entité particulière
appartenant à ce type
 Ex : CLIENT est une entité-type,
client Halim et Client Fatima sont des occurrences de cette
entité-type.

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 ENTITÉ-TYPE (suite)
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 IDENTIFIANT (ou clé d’identification): Une propriété

particulière, appelée identifiant (ou clé
d’identification), permet de distinguer sans ambiguïté
cette entité particulière de tout autre entité du même
type.
 L’identifiant est une propriété qui caractérise de manière
unique chaque occurrence de l’entité-type. Il ne peut pas
changer au cours du temps.
 Entité-type CLIENT (code client, nom client). Code-client est
l’identifiant (clé) de l’entité – type CLIENT

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 RELATION-TYPE
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 relation (association) entre plusieurs entités-types.

 La COLLECTION est la liste des entités-types qui
participent à cette relation
 Chaque ensemble d’occurrences des entités composant
la relation-type constitue une occurrence de la relation-
type

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 PROPRIETE-TYPE
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classe de propriétés semblables. Une occurrence d’une propriété-type est une

valeur prise par cette propriété. Elle peut être de type code, libellé ou
montant. Elle peut être élémentaire ou concaténée, mémorisé ou calculée.

• NOM-CLIENT est une propriété-type de l’entité-type CLIENT et

représente la classe des noms de tous les clients.
• Les occurrences Said et Fatima de cette propriété-type sont des valeurs
prises par cette propriété pour deux clients particuliers (deux
occurrences de l’entité-type CLIENT)

Une propriété-type est caractérisé par une certaine structure :

• sa classe (numérique (chiffres), alphabétique (caractères ou espaces),

alphanumérique (tous caractères)
• sa longueur (nombre de caractères)
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 Exemple général
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 Il ne faut pas confondre
 ENTITE-TYPE et OCCURRENCE de l’entité-type,

 ni PROPRIETE-TYPE et VALEUR de propriété

 ni RELATION-TYPE et OCCURRENCE de la relation

 Exemple: COMMANDE (N°cde, date), COCERNE (Quantité) PRODUIT (Référence,

libellé, Prix de vente)
ENTITE-TYPE OCCURRENCE de l’entité-type
COMMANDE numéro 123, du 08/10/02
PRODUIT Manteau de référence 456 à 100€
PROPRIETE-TYPE VALEUR de la PROPRIETE-TYPE
N° cde: 123
Date: 08/10/02
Référence : 456
Libellé: Manteau
Prix de vente: 100€
RELATION-TYPE OCCURRENCE de la relation-tye
CONCERNER lien entre la commande 123 et le manteau 456 pour une quantité de 3 unités
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 Formalisme Représentation Schématique
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 L’identifiant est toujours souligné

 La relation AFFECTÉ A est définie sur la collection
{SALARIÉ, SERVICE}

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 Exemple occurrence
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 Dans cet exemple, on voit que DURAND et DUBOIS sont affectés à

la comptabilité et MARTIN au service commercial
 On représente souvent les occurrences d’une entité-type sous forme
d’un tableau. Les lignes correspondent aux occurrences, et les
colonnes correspondent aux valeurs des propriétés-types
 ETUDIANT (CNE, Nom, Prénom, Adresse)
CNE Nom Prénom Adresse
2341 Aarab Said Rue de fes, 6
4532 Bakali Ahlam Rue du jardin, 19
6542 Badir Kamal Route Imouzar, 8
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 types de relations
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 Binaire

 Réflexive

 Ternaire  N-aire ou multiple

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 DIMENSION
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 La dimension d’une relation-type est le nombre

d’occurrences d’entités concernées par une occurrence
de la relation-type. Elle est supérieur ou égale au
nombre d’entités de la collection
 Une relation de dimension 2 est  Une relation de dimension 3 est
une relation binaire une relation ternaire

 Par exemple JEAN A VENDU CHEMISE A

PAUL: deux occurrences de PERSONNE
et une occurrence de PRODUIT).
II faut deux occurrences de la relation

 Une relation de dimension n est
PERSONNE pour une occurrence de la
relation EST MARIE A (II faut être deux dite n-aire
pour se marier).
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 FONCTIONALITE
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on définit la fonctionnalité d’une relation-

type par rapport à deux entités-types X et
Y. On distingue les relations:

1A1 1 A Plusieurs Plusieurs A

Plusieurs
(1 – 1) (1 – n) (n – n)

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 FONCTIONALITE (suite)
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 1 A 1 (1 – 1) : A toute occurrence de X ne correspond

qu’une seule occurrence de Y et réciproquement

homme n’est marié qu’à une femme et une femme n’est mariée qu’à un homme
 1 A Plusieurs (1 – n) : A toute occurrence de X correspond une ou
plusieurs occurrences de Y et à toute occurrence de Y une seule de X.

 Plusieurs A Plusieurs (n – n) : A toute occurrence de X correspond

une ou plusieurs occurrences de Y et réciproquement.

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 TOTALITÉ / PARTIALITÉ
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 Une relation mettant en jeu les entités X et Y est

dite :Totale : si aucune occurrence de X et aucune
occurrence de Y ne peuvent exister sans participer a une
occurrence de la relation.
 Ex : Enseignant --- Enseigne --- CLASSE

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 TOTALITÉ / PARTIALITÉ
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 Partielle : si certaines occurrences de X ou certaines de

Y peuvent n’être impliquées dans aucune occurrence de
la relation.
 Ex : PERSONNE ---- POSSEDE ---- VOITURE

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 Cardinalités
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 La notion de cardinalité minimum/maximum permet d'exprimer la

fonctionnalité et la totalité/partialité d'une relation.
 CARDINALITÉ MINIMUM d'une relation est le nombre minimum
de fois où chaque occurrence d'une entité-type participe à la
relation-type.
 Cardinalité minimum 0: correspond à une relation partielle
 Cardinalité minimum 1: signifie qu'une occurrence d'entité-type ne
peut exister sans participer à une occurrence de la relation
 Cardinalité minimum n: implique que toute occurrence d'entité-type
participe obligatoirement à n occurrences de la relation
 Les cardinalités minimum non nulles correspondent à des relations
totales.

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 Cardinalités (suite)
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 CARDINALITÉ MAXIMUM d'une relation est le nombre

maximum de fois où chaque occurrence d'entité- type
peut participer à une occurrence de la relation-type.
 Cardinalité maximum 1: signifie que toute occurrence de
l'entité-type ne peut participer qu'à une occurrence de la
relation, au plus.
 Cardinalité maximum n: signifie qu'une occurrence de l'entité-
type peut être impliquée dans un maximum de n occurrences
de la relation
 Les cardinalités traduisent aussi des règles de gestion. Ce
sont des règles propre au SI étudié, qui expriment des
contraintes d’intégrité du modèle. Ces contraintes
d’intégrité représentent les lois de l’univers réel modélisé
dans le SI.
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 Représentation graphique (formalisme)
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 Un homme est fils d’au moins et d’au plus une femme, c’est-à-dire d’une femme et
d’une seule. Une femme peut n’avoir pas d’enfants (0 enfant) ou au contraire en avoir
plusieurs (n enfants).

 Un Enseignant fait au moins un enseignement. Il peut en faire plusieurs. Une matière

peut ne pas être enseignée. Si elle l’est, elle peut l’être plusieurs fois.

 Une classe a au moins un enseignant et peut en avoir plusieurs.

 L’identifiant d'une relation est le produit cartésien (concaténation) des identifiants des
objets participant à la relation. Par exemple, l'identifiant de la relation "HABITER"
est: "NUM CLIENT - CODE GEOGRAPHIQUE"
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 Règles de gestion (décidées par le
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Système de pilotage)
 Les règles de gestion du MCD précisent les contraintes
d’intégrités qui doivent être respectées par le modèle.
 Ex : Dans le MCD d’une école les règles de gestion
peuvent être les suivants :
 RG1 : tout professeur enseigne en principe au moins une matière, mais certains
d’entre eux peuvent être dispensés d’enseignement en raison de leurs travaux
de recherche
 RG2 : toute matière est enseignée dans au moins une classe
 RG3 : toute classe a au moins trois enseignants

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 Contraintes statiques
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sur une propriété :

• Forme, liste de valeurs possibles, fourchettes de valeurs admissibles

sur diverses propriétés d’une même relation ou entité :

• Commande (N°cde, date_cde, date_livraison)
• On doit toujours avoir date_cde < date_livraison
sur des propriétés d’occurrences distinctes d’une relation ou entité
• Ligne_écriture(N°ecriture, libellé, Montant, Sens)
• La somme des montants des lignes de sens « D » (débit) doit être égale à celle des lignes de sens
«C»
sur des propriétés d’entités/relations différentes
• La somme des CA des produits doit être égale à celle des CA clients

sur les cardinalités

sur les dépendances fonctionnelles

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 Contraintes dynamiques
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 Les Contraintes d’Intégrités dynamiques expriment les

règles d’évolution et portent directement sur le passage
du SI d’un état dans un autre
 Ex : Le salaire d’un employé ne doit pas diminuer

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 Dépendances fonctionnelles entre
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propriétés
 On dit que 2 propriétés a et b sont reliées par une
dépendance fonctionnelle (a --- df --- > b) si la
connaissance de la valeur de a détermine une et une
seule valeur de b
 Ex: Code-client ------ df ----→ nom-client
◼ La connaissance du Code-client détermine une et une seule valeur
de nom-client. Autrement dit, si on connaît le code du client, on doit
pouvoir connaître son nom et celui-ci sera unique.
◼ La réciproque est fausse. Le nom du client ne permet pas de
déterminer son code, car plusieurs clients peuvent avoir le
même nom. Nom-client ---- df → code-client n’est pas vraie.

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 Dépendance fonctionnelle élémentaire
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 on parle de DFE entre les propriétés a et b (a → b) si (a

--- df --- > b) et si aucune partie de a ne détermine b
 Code-client + Nom-Client --------- df -------- > Adresse-Client
n’est pas élémentaire puisque la connaissance de Code-Client
(partie de Code-Client + Nom-Client) suffit à déterminer
l’adresse
 Code-client ------ df -------- > Adresse-Client est élémentaire

et on peut écrire Code-Client ----- > Adresse-Client

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 Dépendance fonctionnelle
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élémentaire directe
 on dit que la propriété b dépend fonctionnellement de a
par une dépendance fonctionnelle élémentaire directe si
cette dépendance est élémentaire a ---- > b et s’il
n’existe pas de propriété c telle que a --- df ------ > c et
c ----- df --- > b (càd on élimine toute transitivité)
 exemple
 N°Prof ---- > Code-matière
 Code-matière ---- > Nom-matière
 N°Prof --- > Nom-matière
◼ Les 2 premières dépendances fonctionnelles sont directes, mais la
troisième ne l’est pas en raison de la transitivité
(N°Prof --- > Code-matière ----- > Nom-matière).
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 Dépendances fonctionnelles entre entités
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 On dit qu’il existe une dépendance fonctionnelle

entre deux entités A et B et on note (A → B) si toute
occurrence de A détermine une et une seule
occurrence de B.
 La cardinalité maximum 1 correspond toujours à une DF
 On peut assimiler les dépendances fonctionnelles
entre entités aux dépendances fonctionnelles entre
les identifiants de ces entités.
 Commande ---- > Client
Est assimilable à : N°cde --- > Code_Client

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 Propriétés des DF
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Réflexivité : • a --- df → a

Projection : • a --- df → b +c ➔ a --- df → b et a --- df → c

Augmentation : • a --- df → b ➔ V c : a+c --- df → b

Additivité : • a --- df → b et a --- df → c ➔ a --- df → b + c

Transitivité : • a --- df → b et b --- df -→ c ➔ a --- df → c

Pseudo-transitivité : • a -- df → b et b +c --- df -→ d ➔ a +c --- df → d

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