QCM La Boite À Merveille Du CH 4 À 12
QCM La Boite À Merveille Du CH 4 À 12
QCM La Boite À Merveille Du CH 4 À 12
CHAPITRE 4 :
89 – Lalla Zoubida et son fils ont rendu visite à : Lalla Aicha – Lalla Khadija – Lalla Salama.
100 – Le jeu a été terminé par : - des applaudissements – des compliments – une dispute.
102 – Le Mari de Lalla Aicha s’appelle : - Allal – Moulay Abdelkader – Moulay Larbi.
103 – Quelle était la formule sacrée employée par les hommes ? : - Puis-je entrer ? – Puis-je passer ? – Puis-je
sortir ?
104 – En attendant le retour de Lalla Aicha, Lalla Zoubida se leva pour : - revenir à sa maison – regarder par la
fenêtre – préparer le déjeuner.
105 – Après être revenue, Lalla Aicha commence à : - Rire – sourire largement – pleurer.
106 – Dans la conversation des deux femmes, l’enfant a entendu le mot : - Ogre – Voleur – Pacha.
107 – Moulay Larbi a été trahi par son associé : Abdelkader – Abdeslam – Abdennabi.
110 – la boite à merveilles permet au narrateur de : s’évader du monde réel – de jouer avec ses camarades – de
s’évader du monde invisible.
112 –Lahbib a jeûné plus d’une semaine : pour se purifier de son mensonge – pour se purifier de sa colère –
pour l’amour d’Allah.
CHAPITRE 5 :
113 – le maître du Msid est heureux car : c’est le jour de Achoura – il ira au pèlerinage – la fête de l’Achoura
approche.
117 – Lalla Aicha, pour aider son mari : a fait une dette de son ami Zoubida – a visité Sidi Ali Boughaleb – a
vendu ses bijoux et son mobilier.
118 – le narrateur relate le souvenir de la mort de : Sidi Mohammed Ben Tahar – Lahbib et Abdennabi –
Abdellah l’épicier.
122 – « des torrents de larmes lui inondèrent le visage » est : une hyperbole – une comparaison – une
synecdoque.
123 – Moulay Abdeslam a raconté une histoire à son fils pour : lui décrire une tombe – pour le consoler – pour
lui faire découvrir les secrets de la mort.
125 – le cadeau offert par la mère à Sidi Mohamed était : un cabochon – un clou taillé – une chaînette de
cuivre.
126 –La chainette est prise par : Zineb- le chat de Zineb-la chouafa
127 – une dispute s’est éclatée entre : Sidi Mohammed et Hamoussa –Sidi Mohammed et Zineb
CHAPITRE 6
129 – le narrateur relate le souvenir de : - la fête de sacrifice – la fête du trône – la fête de Achoura.
130 – le narrateur se sent : - d’une tristesse profonde – très heureux – d’une inquiétude incomparable.
131 – Sur la terrasse, l’enfant a joué : - avec une baguette – avec chaînette – avec ses objets.
132 – La mère a traité son fils de juif et de chien galeux car : - il s’est disputé avec Zineb – il n’a pas voulu aller à
l’école – il s’est tardé en jouant sur la terrasse
133 – Le narrateur n’est pas allé au Msid car : - il irait avec sa mère au marché des tissus – car il était malade –
car c’était un jour de congé.
134 – La mère a acheté à son fils : - une chemise neuve et un gilet – une Djellaba blanche et un gilet – une
chemise neuve et une Djellaba.
136 – Le narrateur s’est disputé avec Zineb car : - elle lui a fait une grimace – elle lui a volé sa chaînette – elle lui
a volé son gilet.
137 –La femme qui chantait les lambeaux d’une cantilène s’appelait : Fatma Bziouiya – Lalla Khadija – Rahma.
139 – Qui a raconté l’histoire de l’oncle Othman : - Fatma Bziouiya – Lalla Khadija – Rahma.
140 – Oncle Othman traite sa femme Khadija comme : - sa sœur – sa mère – sa fille.
Chapitre 7 :
143 – La figure de style employée dans cette expression : « Ma mère me pria de monter sur la terrasse, braire
tout à mon aise », est : - une hyperbole – une métaphore – une comparaison.
146 – La mission accomplie par les enfants au Msid correspond à : - La préparation du chaux – la préparation
des nattes – la préparation des lustres.
152 – Qu’est-ce qui inquiète le narrateur dans sa sortie avec son père ? : - La séance du Coran – la séance du
coiffeur – la séance du bain maure.
154 –« Je lui posais mille questions » est : -une métaphore – une oxymore – une hyperbole.
157 – Le cierge acheté par le père à son fils était destiné : - à la mère – à Lalla Kenza – au Fquih.
159 – « Elles nous conseillèrent d’aller sur la terrasse charmer les oreilles des voisins » est : - une anaphore –
une périphrase – une antiphrase.
160 – Le cadeau offert au Fquih était : - un cierge et deux francs – un cierge et cinq francs – un cierge et sept
francs.
161 – « Les petites flammes dansaient » est : - une personnification – une métaphore – une hyperbole.
162 – Qui a rendu visite à la mère du narrateur ? : - Fatma Bziouiya – Rahma – Lalla Aicha.
SAISON :ETE
Chapitre 8 :
163 – Les insectes et les mouches ont envahi la maison à cause de : - la saleté – la chaleur – la pollution.
164 – L’école fut installée dans : - un village plus proche – une Zaouiya – un sanctuaire.
165 – Les jeunes filles visitaient le mausolée (où s’est installée l’école) pour : - se marier – se débarrasser de
leurs maux – faire des invocations.
166 –« La petite fontaine circulaire chantonnait dans un coin » est : - une métaphore – une anaphore – une
personnification.
167 – Le père a emmené sa femme et son fils au : - Souk des tissus – Souk des bijoux – Souk des épices
168 – Le jour où le narrateur est sorti avec ses parents était : - Lundi – Mardi – Jeudi.
169 – Le père est sorti avec sa femme et son fils pour acheter : - une chemise à son fils – des épices et des
provisions - des bracelets à sa femme.
170 – Le père annonce la mort de : - La mère de Allal – La mère de Driss El-Aouad – La mère de Driss le
teigneux.
171 – « Les bijoux, c’est beau comme les fleurs » est : - Une comparaison – Une hyperbole – Une
personnification.
172 – « Le souk des bijoutiers ressemblait à l’entrée d’une fourmilière » est : - Une comparaison – Une
hyperbole – Une personnification.
173 – Qui est sortie avec le narrateur et ses parents : - Rahma – Fatma Bziouiya – Lalla Aicha.
174 – Le malheur du jour était : - la ruine du père – la dispute du père avec un courtier – la maladie de l’enfant.
175 – La mère a refusé ses bracelets car : - ils sont de mauvaise augure – ils sont moins chers – ils ne sont pas
de bonne qualité.
176 – Zoubida a pensé que les bracelets achetés par son mari sont : - des bijoux fabuleux – des porte malheur –
le meilleur cadeau qu’on lui a offert.
177 – Moulay Larbi (le mari de Lalla Aicha) : - a épousé une seconde femme – s’est disputé avec son associé
Abdelkader – a perdu tout son capital.
178 –Le père de la nouvelle épouse (de Moulay Larbi) s’appelle : - Oncle Othman – Abderrahmane – Si Allal.
179 – Le narrateur Sidi Mohamed : - a dormi profondément – est tombé malade – s’est cassé le doigt.
Chapitre 9 :
180 – La mère a préparé à son fils : - un plat de ragoût – un bol de bouillon – des beignets
II-EVENEMENT PERTURBATEUR :
. 181 – Le malheur de la famille du narrateur est : - la ruine du père – la maladie de Sidi Mohamed – la dispute
de la mère avec les voisines
182 – La mère se lamente parce que : - son fils est malade – Rahma l’a insulté – son mari s’est ruiné.
183 – Le père a perdu son capital : - dans la cohue des enchères aux haïks – au souk des bijoux – sur son chemin
à la mosquée.
III-PERIPETIES :
184 – Que décide le père : - travailler comme ouvrier dans un atelier – travailler comme moissonneur – vendre
tout le mobilier de la maison.
189 – « Le bruit de ses narines me rappela le son de la trompette du Ramadan » est : - une hyperbole – une
comparaison – une métaphore.
190 – Sidi Mohamed est allé avec sa mère à : - Sidi Ahmed Tijani - Sidi Ali Boughaleb – Sidi Ali Bousserghine.
191 – Sidi Mohamed, sa mère et Lalla Aicha ont visité : Sidi Ahmed Tijani – Sidi Ali Boughaleb – Sidi ElArfi.
Chapitre 10
192 – « Lalla Aicha se mit à respirer comme un soufflet de forge » est :- une comparaison – Une métaphore –
Une personnification.
194 – Sidi El-Arfi a conseillé au narrateur de réciter souvent : - Le premier chapitre du Coran – Le verset du
trône – Le chapitre de « ELBAQARA ».
196 – Sidi El-Arafi a demandé à sa femme : - un panier – un bol – un œuf et une assiette.
200 – L’enfant s’est caché dans les plis du haïk de sa mère car : - il a vu passer le Fquih –il avait peur d’un
aveugle – il peur de la femme de Sidi El-Arfi.
201 – « mon teint rappelait l’écorce de grenade » est : - une comparaison – Une métaphore – Une
personnification.
202 – Le messager envoyé par le père apporte : - une lettre et un poulet – des provisions et de l’argent – une
bouteille d’huile et des œufs.
Chapitre 11
204 – La nouvelle visiteuse était : - une voyante – une marieuse professionnelle – une neggafa professionnelle.
205 –Salama est venue pour annoncer : - une bonne nouvelle – un grand malheur – une mauvaise surprise.
206 – La jeune femme qui s’est mêlé à la conversation : s’appelle : - Khadija – Salima – Zhor.
207 – La bonne nouvelle annoncé par les deux visiteuses est : - Moulay Larbi a l’intention de répudier la fille du
coiffeur – le père du narrateur est revenu de la campagne –Sidi Mohamed apprend vite le Coran.
Chapitre 12 :
209 – le Fquih a envoyé un enfant au narrateur : pour lui demander de revenir au Msid – pour lui offrir un
cadeau – pour prendre de ses nouvelles.
210 – quelle est la bonne nouvelle dans ce chapitre ? : Le retour du père – la guérison de l’enfant – la visite de
Sidi El-Arafi ?
213 – la personne qui est venue féliciter Maalam Abdeslam pour son retour ? Allal le jardinier –Driss le
teigneux- Driss El Aouad
214 – la bonne nouvelle de Lalla Aicha est : l’achat d’une nouvelle maison – le divorce entre Moulay Larbi et la
fille du coiffeur – la mort de la fille du coiffeur
216 – pendant la conversation des deux hommes, l’enfant : a ouvert sa boite à merveilles – jouait avec Zineb –
s’est évanoui.