Introduction Au Système DCS
Introduction Au Système DCS
Introduction Au Système DCS
I- Introduction et définitions :
Une alimentation.
Un contrôleur qui est l'ordinateur proprement dit.
Une (ou plusieurs) cartes de communication par réseau de terrain.
Une (ou plusieurs) cartes de communication par réseau avec des ordinateurs.
Une (ou plusieurs) cartes de communication par liaison série RS232 ou
RS422/RS485.
Des cartes de communication classiques (entrées analogiques, sorties
analogiques, entrées logiques, sorties logiques).
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En fait la distinction entre SNCC et API est de plus en plus une question
historique (ou d'habitude) et de moins en moins une réalité profonde.
D'ailleurs SNCC et API utilisent les mêmes langages de programmation définis
par la norme IEC 61131-3.
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avec le contrôleur est tellement intégrée qu'il est difficile au néophyte ( apprenti)
de se faire une image claire de la situation.
Les régulateurs modernes peuvent être considérés comme des mini systèmes
numériques de contrôle commande; certains se programment maintenant avec
des langages conformes à IEC 61131-3 ; la structure définie par le dessin ci
dessus reste valable.
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III- Structure physique du SNCC :
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La structure retenue en 2001 est la suivante :
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Exemple DeltaV avec Fieldbus Foundation :
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Structures utilisées par Freelance d'ABB :
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IV- Conclusion sur les structures physiques :
Il ne faut pas croire qu'un réseau de terrain est associé à un SNCC particulier,
bien au contraire on peut généralement installer plusieurs cartes différentes sur
un même SNCC.
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2. La liaison RS485 :
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- Extrait de la documentation Fisher Rosemount -
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VI- Le système TDC 3000
I. Introduction :
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c) Module historique (HM):
Le module historique permet le stockage de masse de données sur
disques durs. Ces données peuvent être les historiques des alarmes procédé,
modifications opérateur, modifications de l’état du système,…
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Le tableau TabIII.1 nous montre la constitution hardware des modules du LCN.
Carte Carte de
N° Identification du module Co-processeur
processeur personnalité
1. Station universelle K2LCN EPDG -
II.2.1 Présentation :
L'UCN est un réseau qui relie tous les équipements d’acquisition de
données et de régulation. La connexion avec le LCN se fait par le NIM.
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Super process manager (APM) :
L’APM est conçu pour une scrutation souple et puissante et pour assurer
des fonctions de contrôle. Pour ce faire il utilise une architecture multiprocesseur
séparés dédiés à des tâches spécifiques.
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I. Caractéristiques physiques
Le super process manager (APM) est monté dans une armoire Honeywell
montrée à la figure FigIII.2 , il contient les composants suivants :
¾ Le sous-système d’alimentation
¾ Les racks à cartes.
¾ Les cartes APMMs, IOPS, FTAS.
¾ Les câbles UCN.
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FigIII.2 : Aspect extérieur d’un APM
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I.1. Le sous-système d’alimentation :
Comme le montre la figure FigIII.3, l’APM est constitué d’une unité centrale
(APMM) et d’un sous-système d’entrées/sorties.
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NETWORK
INTERFAC
E
MODULE
PROCESSS MANAGER
I/O LINK
16
8
32 16
UCN
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I.3. L’APMM :
Elle agit aussi comme buffer pour les données acquises par le biais des
cartes d’entrées/sorties et qui peuvent être accédées par la carte de contrôle et
s’occupe des communications interne à l’UCN (entre équipements UCN ou
communication peer to peer).
c) Carte I/O link : agit comme maître sur le réseau d’entrées/sorties, elle scrute
les cartes d’entrées/sorties et place les données collectées dans la RAM de la
carte de communication qui seront par la suite mises à la disposition de la carte
de contrôle.
NIMs). Cette adresse est en fait l’adresse de l’APMM primaire avec l’adresse
site.
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Les processeurs d'entrées/sorties disponibles pour un APM sont donnés par le
tableau TabIII. 2.
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Les processeurs d’entrées/sorties ont pour rôle :
¾ L’acquisition du signal.
¾ Le conditionnement du signal (filtrage).
¾ La conversion analogique/numérique (acquisition) et
numérique/analogique (commande)
¾ La conversion des signaux en unités physiques.
¾ La linéarisation.
¾ Mise en repli de sécurité de l’équipement commandé.
¾ Exécution de la logique à relais.
¾ Traitement des alarmes.
La forme de point est utilisée pour différencier des points qui doivent être
mis en œuvre comme point d’interface opérateur et des points qui sont mis en
œuvre comme interface non opérateur ou point support.
a) Forme de point complète (Full Form) : Comporte les repères, les descriptifs
d’alarme et modes de régulation. Elle est destinée à l’utilisation par les
opérateurs et inclut donc tout ce qui est nécessaire pour l’interface opérateur.
2. Point de sortie :
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b) Sortie digitale : Les points de sortie digitale permettent la configuration
des fonctions suivantes :
♦ Types de sortie
• Verrouillé
• Impulsion
• Modulation d’impulsion
¾ PID
¾ PID avec feedforward
¾ PID avec recopie de station à distance
¾ Position proportionnelle
¾ Contrôle de rapport
¾ Rampe palier
¾ Station automatique - manuelle
¾ Sommateur incrémental
¾ Commutateur
¾ Sélection de forçage
Les points régulateurs PV sont eux configurés pour exécuter l’un des
algorithmes suivants :
¾ Acquisition de données
¾ Addition
¾ Compensation de débit
¾ Sélecteur milieu de 3 entrées
¾ Sélecteur moyenne haute-basse
¾ Totaliseur
¾ Linéarisation générale
¾ Calcul
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4. Point logique composite :
Ces points offrent une structure toute prête pour gérer les interverrouillages
dans les vues de groupes, de détail et dans les synoptiques. Les vues
comprennent également les informations nécessaires à la détermination de la
cause du verrouillage.
Une des grandes possibilités des points logique composite c’est l’option
maintenance qui permet de faire le cumul de marche et d’arrêt de l’organe relié à
ce point.
Sorties
(3 maximum )
Permissions Inter
Entrées verrouillage
(2 maximum)
P1 P2 P3 I1 I2 I3
Verrouillages Verrouillages
"Permissifs" "Forçages"
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5. Point logique :
6. Point tableau :
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7. Module de séquences ( Process Module ) :
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Type de point Fréquence d’exécution PUs MUs
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