Cahier Des Clauses Techniques Particulieres
Cahier Des Clauses Techniques Particulieres
Cahier Des Clauses Techniques Particulieres
A BANGANGTE
SOMMAIRE
CHAPITRE 0. GENERALITES........................................................................................................................9
0.1.6. Liste des plans et documents graphiques ayant servi à l'établissement du présent C.C.T.P.....14
1.0.0. Normes..............................................................................................................................................24
1
1.0.1. DTU....................................................................................................................................................26
2
PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE HOTELIER DE 3 ETOILES : S-1, R+5
A BANGANGTE
1.0.2. Certification.......................................................................................................................................27
1.7.0. Maçonneries......................................................................................................................................47
3
1.8.0. Prescriptions techniques..................................................................................................................52
1.9. ETANCHEITES......................................................................................................................................53
1.10 ASCENSEUR.........................................................................................................................................55
1.6.1. Ascenseurs.........................................................................................................................................58
1.10.5. Voirie...............................................................................................................................................63
4
PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE HOTELIER DE 3 ETOILES : S-1, R+5
A BANGANGTE
2.2. SIGNALETIQUE.................................................................................................................................78
2.2.1. Principe..............................................................................................................................................78
2.2.6. Contraste...........................................................................................................................................79
2.2.7. Descriptif...........................................................................................................................................79
2.3. PEINTURE.........................................................................................................................................80
2.3.2. Subjectiles..........................................................................................................................................81
5
2.5.2. Prestations à la charge du présent lot............................................................................................88
3.0.3. Panneau-composite..........................................................................................................................93
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PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE HOTELIER DE 3 ETOILES : S-1, R+5
A BANGANGTE
4.1. Station de production d’énergies électrique...............................................................................126
4.2. Le transformateur..........................................................................................................................126
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4.0.14. Equipement d'alarme type 4...................................................................................................142
5.5.1. Ventilation......................................................................................................................................152
8
PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE HOTELIER DE 3 ETOILES : S-1, R+5
A BANGANGTE
5.5. Bases de calcul et de dimensionnement des équipements............................................................153
5.6. Acoustique..........................................................................................................................................155
5.7.0. Généralités......................................................................................................................................157
5.7.1. Matériel............................................................................................................................................157
9
CHAPITRE 0. GENERALITES
o SOUS-SOL
1
0
PROJET DE CONSTRUCTION D’UN COMPLEXE HOTELIER DE 3 ETOILES : S-1, R+5
A BANGANGTE
1
1
o REZ DE CHAUSSE
10
o ETAGE 1 2 3 4&5
11
10
0.0.2. Phasage des travaux
L'opération sera réalisée conformément aux stipulations du Cahier des Clauses Administratives
Particulières (C.C.A.P) dès la notification du marché ou dès l'ordre de service de démarrage des
travaux. Le marché est en une tranche ferme.
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Et d'approvisionnement. Les Entrepreneurs sont réputés, par le fait de leur acte d'engagement, avoir
pris connaissance de la nature et de l'emplacement de l'opération, des conditions générales ou locales,
des possibilités d'accès et de stockage des matériaux, des disponibilités en eau et en énergie
électrique, des possibilités d'accès des engins et véhicules ainsi que des conditions d'exécution.
En résumé, les Entrepreneurs soumissionnaires sont réputés avoir parfaite connaissance des lieux et en
général de toutes les conditions pouvant, en quelque sorte que ce soit, influer sur l'exécution, la qualité
et le prix des ouvrages à exécuter.
Aucun Entrepreneur ne pourra arguer d'ignorances quelconques à ce sujet pour prétendre à des
suppléments d'ouvrages ou de prix.
La responsabilité du Maître d'ouvrage et/ou du Maître d'œuvre ne pourrait en aucun cas être
recherchée au titre de l'état et de l'importance des travaux et bâtiments.
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-Lot 105 : Etage 1
-Lot 106 : Etage 2
- Lot 107 : Etage 3
- Lot 108 : Etage 4
- Lot 109 : Etage 5
-Lot 110 : Toiture
0.1.6. Liste des plans et documents graphiques ayant servi à l'établissement du présent C.C.T.P.
Les plans et documents graphiques ayant servi à l'établissement du présent C.C.T.P. et formant la base
contractuelle des marchés sont :
a) Bâtiment :
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• Le plan de distribution du rez de Chaussée
• Le plan de Toiture
• La façade Sud
• La façade Nord
• La façade Est
• La façade Ouest
• La coupe 1
• La coupe 2
• Le plan de fondation
• Les semelles
• Les longrines
• Les poteaux
• Les poutres
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• Les planchers
- Les plans d’électricité
16
• Plan de plomberie et de protection incendie sous-sol
17
• Plan de ventilation de confort RDC
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0.2. CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (C.C.T.P.)
Le Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P.) de l'opération est constitué du présent
Cahier des Prescriptions Communes à tous les corps d'état et du C.C.T.P propre à chaque lot.
L'ensemble de ces documents même matériellement dissociés, constitue un ensemble et forme
le C.C.T.P. contractuel.
Il est impérativement stipulé que le département construction ne pourra en aucun cas opposer entre
eux les différents documents constituant le C.C.T.P.
En cas de divergences implicites ou explicites entre ces documents, la décision et le choix sont
uniquement du ressort du Maître d'ouvrage ou de son représentant.
L’entrepreneur est tenu d'avertir le Maître d'ouvrage ou le Maître d'œuvre au cas où la concordance ne
serait pas parfaite entre le C.C.T.P. et les plans.
Il convient de rappeler que ce devis descriptif n'a pas un caractère limitatif et que les entrepreneurs ne
pourront réclamer aucun supplément pour d'éventuels travaux indispensables non décrits, ni définis au
C.C.T.P.
L’entreprise chargés des travaux des différents corps d'état sont réputés connaître parfaitement :
- La nature, la qualité, les caractéristiques, les dimensions et l'importance de tous les ouvrages
sont indiqués dans les plans et au C.C.T.P.
- Les clauses, conditions et prescriptions des documents techniques de référence.
- Les textes de réglementation de toute natures applicables en la matière et plus particulièrement
ceux relatifs à la protection contre l'incendie, à l'accessibilité des personnes handicapées et la
sécurité des personnes.
L’entrepreneur devra prévoir tous les appareils, échafaudages etc…nécessaires, et devra tenir compte
lors de l'établissement de leur proposition de prix de toutes les conditions particulières éventuellement
rencontrées. Il devra mettre en œuvre
Tous les moyens matériels et le personnel nécessaire pour respecter leurs détails d'exécution et tenir
les délais sur lesquels ils se sont engagés.
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Dans le même esprit, les divergences d'interprétation que pourraient soulever éventuellement certaines
dispositions du présent C.C.T.P. (ou du bordereau des prix unitaires) seront réglées par référence aux
règles de l'art, aux dispositions des documents techniques de référence et conformément aux décisions
du Maître d'œuvre.
De toute manière, le fait pour le conducteur de travaux d'exécuter sans en rien changer les
prescriptions des documents techniques remis par le Maître d'œuvre ne peut atténuer en quoi que ce
soit sa pleine et entière responsabilité de constructeur, s'il n'a pas présenté ses réserves par écrit au
moment de la remise de son offre.
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- La location et la mise en œuvre de tous les matériaux pour ouvrages et installations provisoires, y
compris double transport et pertes ;
- Les frais d'outillage (y compris double transport, avaries, pertes et équipements, fourniture d'énergie,
frais d'entretien, de réparation, de fonctionnement, location de véhicules, double transport de postes
de soudure, de groupe électrogène etc…)
- Les frais de main d'œuvre de fabrication en atelier et/ou sur site, de pose et de prestations diverses, y
compris les charges afférentes et les indemnités diverses pour petits et grands déplacements, paniers,
intempéries, etc… conformément aux textes des conventions collectives pour les jours et heures
normalement travaillées. Ces frais de main d'œuvre intègrent les frais de pose, réglages et fixations
dans la mesure où le C.C.T.P. spécifique du lot ne stipule pas expressément que ces ouvrages
accessoires seront payés à part dans les conditions définies par ledit C.C.T.P ;
- Les frais d'assurances (responsabilité civile et cotisation d'assurance décennale) ;
- Les frais pour études techniques et de facturation (exécution des relevés, plans, piquetage ou
traçages, sujétions de coordination ou de Co-exécution avec les autres corps d'état, temps passés lors
des relations avec le Maître d'ouvrage, le Maître d'œuvre ou leurs représentants, rendez-vous de
chantier, formalités administratives, devis, essais, factures ou mémoires, etc.) ;
- Les frais de gestion, de siège, de marché, frais financiers, impôts, taxes et bénéfices ;
- Les droits de brevet s'il y a lieu ;
- Le transport pour livraison au chantier des matériaux et fournitures, le déchargement, la manutention
pour amener à pied d'œuvre et toutes manutentions pour approvisionnement, la reprise pour
répartition avec montage ou descente ;
- L'enlèvement aux décharges publiques y compris manutention, chargement des déchets et résidus des
matériaux mis en œuvre ;
- Le nettoyage des locaux ou l'ouvrage est effectué, ainsi que ses abords et accès ;
- Le déplacement et la protection éventuelle d'objets ou meubles ;
- Les frais occasionnés par la protection et la sécurité des ouvriers, y compris l'éclairage artificiel ;
- Les frais de compte-prorata ou de comptes inter-entreprises.
D'autre part les Entrepreneurs devant intervenir sur le chantier sont contractuellement réputés pour
établir leurs prix et avant la remise de leur offre :
- Avoir pris pleine et entière connaissance de tous les documents utiles à la réalisation des travaux,
ainsi que des sites, lieux et terrains d'implantation des ouvrages et de tous les éléments généraux et
locaux en relation avec exécution des travaux ;
- Avoir apprécié exactement toutes les conditions d'exécution des ouvrages et s'être parfaitement et
totalement rendu compte de leur nature, de leur importance, de leur complexité et de leurs
particularités
;
- Avoir procédé à une visite détaillée des lieux et avoir pris parfaitement connaissance de toutes les
conditions physiques et de toutes sujétions relatives à ces lieux ainsi qu'aux accès et abords, à la
topographie et à la nature des terrains, à la possibilité d'exécution ainsi qu'à l'organisation
fonctionnelle du chantier dans sa totalité ;
- Avoir contrôlé toutes les indications des documents contractuels du dossier d'appel d'offres, s'être
assurés quelles sont exactes, suffisantes et concordantes, s'être entourés de tous les renseignements
complémentaires éventuels auprès du Maître d'ouvrage, du Maître d'œuvre, des bureaux d'études
techniques et avoir pris tous renseignements auprès des services publics, parapublics ou
concessionnaires.
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prévoir pour une parfaite exécution des ouvrages et complète finition.
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En cas d'incertitude ou s'il apparaît sur les documents susmentionnés des omissions ou des erreurs, le
département construction et les entrepreneurs devront compléter leurs renseignements auprès du
bureau d’étude pour parfaire et suppléer à un manque d'indications et /ou omissions.
En conséquence, le prix souscrit dans l'acte d'engagement correspond à des bâtiments livrés au
complet et en parfait état de finition.
Il est formellement stipulé que le prix forfaitaire comprendra tous les ouvrages utiles à l'exécution
convenable et complète des travaux, de façon que leur achèvement dans les conditions déterminées par
les plans, documents graphiques, notes de calculs et C.C.T.P. ne donnent lieu à aucun supplément.
Ne seront considérés comme travaux " en plus", et de ce fait, ne pourront donner lieu à un ordre de
service ou à des comptes, tous les travaux nécessaires à l'entier et parfait achèvement de l'ouvrage
dans le cadre défini et souscrit en parfaite connaissance de cause. Partant le conducteur de travaux et
les entrepreneurs ne pourront réclamer aucun supplément en s'appuyant sur ce que les désignations
mentionnées sur ces pièces contractuelles pourraient présenter d'incomplet ou de contradictoire ou sur
des omissions évidentes qui pourraient se révéler.
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0.2.3.0. Règles de l'art & Obligations de conseil
S'il estime que les ouvrages décrits dans le présent C.C.T.P. ne sont pas conformes aux règles de l'Art,
l'Entrepreneur doit en référer au Maître d'Ouvrage ou à son représentant avant d'établir sa proposition
et au plus tard avant toute exécution.
Il est rappelé que l'Entrepreneur a une obligation de conseil en tant que professionnel impliqué
contractuellement dans une opération de construction. Cette obligation de conseil ne se limite pas aux
Maître d'ouvrage et aux Maître d'œuvre mais oblige l'Entrepreneur vis à vis de ses collègues et/ou de
ses sous-traitants et l'Entrepreneur n'en est pas dispensé même si la direction générale du projet est
confiée à un Maître d'œuvre.
Ainsi, l'Entrepreneur est tenu d'appeler l'attention du Maître d'ouvrage ou du Maître d'œuvre sur les
défauts de conception du plan, sur les imprécisions, erreurs ou incertitudes du présent CCTP, sur les
risques de l'opération et doit procéder à toutes vérifications utiles avant le commencement des travaux.
Ces observations, réserves ou refus doivent être formulées par écrit afin de prouver que le Maître
d'ouvrage ou le Maître d'œuvre a délibérément accepté les risques liés à leur choix.
NOTA : Tous les bétons de structure seront conformes à la norme NF EN 206-1 qu'ils soient prêts à
l'emploi ou fabriqués sur chantier
25
NF P 18-010 : Bétons - classification et désignation des bétons hydrauliques
NF P 18-011 : Bétons - classification des environnements agressifs
26
NF P 18-050 : Cendres volantes pour
béton NF P 18-303 : Eaux de gâchage pour
béton NF P 18-306 : Bétons - laitier
granulé
NF P 18-307 : Bétons - laitier expansé
NF P 18-308 : Bétons - pouzzolane
NF P 18-309 : Granulats d'argile ou de schiste expansés destinés à la confection des bétons
NF P 18-325-1 : Béton - partie 1 : spécifications, performances, production + Amendement
A1 et A2 (NF EN 206-1 avril 2004)
NF P 18-370 : Adjuvants - produits de cure pour bétons et mortiers
NF P 18-450 : Exécution des ouvrages en béton
NF P 18-500 : Béton de sable
NF P 18-501 : Additions pour béton hydraulique - fillers
NF P 18-502 : Additions pour béton hydraulique - fumées de silice
NF P 18-503 : Surfaces et parements de béton - Eléments
d'identification NF P 18-504 : Mise en œuvre des bétons de structure
NF P 18-506 : Additions pour béton hydraulique - laitier vitrifié moulu de haut-
fourneau NF P 18-508 : Additions pour béton hydraulique - Additions calcaires
NF P 18-800 / NF P 18-802 / NF P 18-821 / NF P 18-822 / NF P 18-823 / NF P 18-840 / NF P 18-
870/880 / NF P 18-901/902 : produits spéciaux destinés aux réparations, collages,
Injections, calages, scellements applicables aux constructions en béton hydraulique
- Les normes de la série NF P51 : Fumisterie
- Les normes de la série NF P7 : Plâtrerie, vitrerie et décoration, NF P72 : Eléments en plâtre
Les articles précisent les caractéristiques techniques particulières des ouvrages à réaliser.
L'Entrepreneur devra en fonction de ces éléments tenir compte des règles de l'art encadrant ses travaux
et en particulier :
1.0.1. DTU
- Le DTU 12 (NFP11-201) : Terrassement pour le bâtiment
- Le DTU 13-2 (NFP 11-212) : Travaux de fondations profondes pour le bâtiment
- Le DTU 13-3 (NFP 11-213) : Dallages, conception, calcul et exécution
- Le DTU 13-11 (NFP 13-11) : Fondations superficielles
- Le DTU 14-1 (NFP 11-221) : Travaux de cuvelage
- Le DTU 20-1 (NFP 10-202) : Ouvrages en maçonnerie de petits éléments
- Le DTU 21 (NFP 18-201) de Mars 2004 intégrant la norme NF EN 206-1 : Exécution des travaux en
béton
- Le DTU 22-1 (NFP 10-210) : Murs extérieurs en panneaux préfabriqués de grande dimension
- Le DTU 23-1 (NFP 18-210) : Murs en béton banché
- Le DTU 25-1 (NFP 71-201) : Enduits intérieurs au plâtre
- Le DTU 25-31 (NFP 72-202) : Ouvrages verticaux de plâtrerie ne nécessitant pas l'application d'un
enduit au plâtre
- Le DTU 25-51 (NFP 73 201) : Mise en œuvre des plafonds en staff
- Le DTU 26-1 (NFP 15-201) : Enduits aux mortiers de ciment, de chaux et de mélange plâtre et chaux
aériennes
- Le DTU 26-2 / 52-1 (NFP 61-203) : Mise en œuvre de sous couches isolantes sous chape ou dalles
27
flottantes et sous carrelage
28
- Le DTU 27-1 (NFP 15-202) : Réalisation de revêtement par projection mécanique de fibres
minérales avec liant
- Le DTU 27-2 (NFP 15-203) : Réalisation de revêtement par projection de produits pâteux - le DTU
59-2 (NFP 74-202) : Revêtements plastiques épais sur béton et enduits à base de liants hydrauliques
- Le DTU 60-32/33 (NFP 41-212/213) : Canalisations en PVC, évacuations des E.P., E.U et E.V.
- Le DTU 64-1 (XP DTU 64-1) : Mise en œuvre de dispositifs d'assainissement autonome
1.0.2. Certification
Le présent C.C.T.P. fait référence et donne la priorité aux produits ayant une certification et
bénéficiant du marquage CE, cette identification informative des caractéristiques et des qualités
reconnues d'un produit, établie après essais, par un organisme agréé par les autorités administratives,
engage le fabricant sur le suivi et les contrôles permanents de conformité du produit avec les mentions
de la certification. Cette certification d'un produit doit permettre, automatiquement, lorsqu'il sera
requis, le marquage CE de conformité aux directives européennes.
Dans le cadre du présent C.C.T.P., l’Entrepreneur devra, dans la limite des marquages en cours,
proposer des produits ayant au minimum les mêmes garanties.
29
- La norme XP ENV 1991-3 (octobre 1997) Eurocode 1 : « Bases de calcul et actions sur les structures
» et document d'application nationale - Partie 3 : Charges sur les ponts dues au trafic.
- Réglementation thermique 2005 (règles th-bât, th-u, th-s, th-i, th-c, th-e)
- Réglementation acoustique (NRA 2000) : arrêtés du 30/06/1999 et circulaires du 28/10/2000 - Les
Eurocodes (en particulier EN 1992-1-1) au fur et à mesure qu'ils s'appliquent en remplacement des
textes nationaux
1.0.4. Avis Technique
Les articles précisent les caractéristiques techniques des ouvrages de gros-œuvre ainsi que leur mode
de réalisation.
L'Entrepreneur devra en fonction de ces éléments tenir compte des règles de l'art encadrant ses travaux
et en particulier :
- les DTU, s’ils existent
- Les avis techniques encadrant les travaux de gros œuvre, en particulier les avis techniques formulés
par :
- Le GS1 : préfabrication lourde
- Le GS2 : construction, façades et cloisons légères
- Le GS3 : structures, planchers et autres composants structuraux
- Le GS 16 : produits et procédés spéciaux pour la maçonnerie
- Le GS 17 : réseaux
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1
Parois cages d’escaliers et ascenseurs
Plancher à plancher Coupe-feu 1h
Bloc porte munis des ferme porte Pare flamme ½h
30
1.2. PRESTATIONS A LA CHARGE DU PRESENT LOT
1.2.0. Pièces à fournir à l’appui de la présente offre
Les entreprises devront fournir à l'appui de leur proposition tous documents permettant l'analyse et la
compréhension des prestations proposées.
En particulier, les produits et techniques proposés relevant d'avis techniques seront appuyés de tous les
documents nécessaires.
Dans le bâtiment, on ne prend pas en compte les actions thermiques, parce que les dimensions sont
inférieures à 40 mètres.
Modèles de calcul
L’analyse est menée à bien selon des hypothèses simplifiâtes au moyen de modèles pertinents entre
eux, adaptés à l’état limite à vérifier et à différents niveaux de détail, permettant d’obtenir des efforts
et des déplacements entre les pièces de la structure et sur leurs assemblages entre eux et avec les
fondations.
Les modèles correspondant à la structure en béton et aux fondations du projet ont été réalisés au
moyen du logiciel informatique CBS (Concrete Building Structure) et ROBOT STRUCTURAL
ANALYSIS de la société AUTODESK.
L’analyse des sollicitations est réalisée au moyen d’un calcul spatial en 3D, par des méthodes
matricielles de rigidité, en prenant tous les éléments qui définissent la structure (piliers, poutres, et
dalles).
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La compatibilité des déformations est établie sur tous les nœuds, en considérant 6 degrés de liberté
possibles pour chaque nœud et l’hypothèse de non-déformabilité des hourdis horizontaux est créée sur
son plan. Ainsi, les déplacements relatifs entre les nœuds du même plan sont impossibles (chaque
niveau peut seulement tourner et se déplacer dans son ensemble).
Pour tous les états de charge, un calcul statique a été réalisé, impliquant un comportement linéaire des
matériaux et par conséquent un calcul de premier ordre face à l’obtention de déplacements et des
efforts.
La structure est numérisée au moyen d’éléments de type barre, grilles de barres et nœuds et éléments
finis triangulaires :
Piliers : ce sont des barres verticales entre chaque niveau, avec un nœud de départ de fondation ou
autre élément tel qu’une poutre ou un hourdis. Quant à l’intersection de chaque niveau,
l’axe correspond à celui de la section transversale.
Poutres et cerces : ils sont définis en plan, en fixant des nœuds à l’intersection de l’axe des piliers
ou leurs côtés ainsi qu’aux points de coupe avec des éléments d’hourdis ou des poutres.
Des nœuds sont ainsi créés sur l’axe et sur les bords latéraux et de manière analogue aux
extrémités des surplombs et des extrémités libres ou en contact avec d’autres éléments de
l’hourdis. Ils possèdent toujours 3 degrés de liberté, en maintenant l’hypothèse de non-
déformabilité de leur plan.
Écrans en béton armé : ce sont des éléments verticaux à section transversale, formée par des
rectangles multiples à chaque niveau et définis par un niveau initial et un niveau final. La
dimension de chaque côté a une hauteur constante mais leur épaisseur peut être réduite.
Murs en béton armé : ce sont des éléments verticaux à section transversale, formée par des
rectangles à chaque niveau et définis par un niveau initial et un niveau final. La
dimension de chaque côté a une hauteur constante mais leur épaisseur peut être réduite à
chaque niveau. Sur une paroi (ou mur), une des dimensions transversales de chaque côté
doit être cinq fois supérieure à l’autre dimension car si cette condition n’est pas respectée,
sa numérisation comme élément fini ne sera pas adéquate et il pourra être considéré
comme un pilier ou un autre élément en fonction de ses dimensions. La numérisation
effectuée est par éléments finis de type lamelle épaisse tridimensionnelle qui prend en
compte la résistance à l’effort tranchant. Ils sont formés par six nœuds aux sommets et
aux points moyens des côtés, avec six degrés de liberté chacun. Leur forme est
triangulaire et un maillage du mur est réalisé en fonction des dimensions, de la géométrie,
des espaces, produisant un maillage avec un raffinement dans les zones critiques, ce qui
réduit la dimension des éléments près des angles, des bords et des singularités.
Hourdis unidirectionnels : les nerfs sont des barres qui sont définis sur les pans creux entre
les poutres et les murs et qui créent des nœuds aux intersections de bord et un axe
correspondant à la poutre de l’intersection.
Dalles massives : la numérisation des pans de dalle massive est réalisée en mailles
Formées d’éléments de type barre de 25 cm maximum. Elle est effectuée par
condensation statique de l’ensemble des degrés de liberté.
32
Caractéristiques des matériaux structurels
Structures en béton.
Acier
Désignation ....................................................................... Fe E500
33
Coefficient de minoration γC ........................................... 1,5
L’enrobage est la distance entre la surface la plus extérieure des armatures et la surface du béton la
plus proche :
Sur piliers.....................................................................................................30 mm
Sur poutres.....................................................................................................30 mm
Sur dalles.......................................................................................................30 mm
Sur fondations................................................................................................30 mm
CARACTÉRISTIQUES ET SPÉCIFICATIONS DES MATÉRIAUX
Granulat 20 mm 20 mm 25 mm 25 mm
Dimensions maximales (mm)
B Typification B 30 B 25 B 15 B 15
É Résistance caractéristique : 30 N/mm2 25 N/mm2 15 N/mm2 15 N/mm2
T
Dosage en ciment : 350 kg/m3 300 kg/m3 150 kg/m3 150 kg/m3
O
Rapport maximum E/c : 0.50 0.60 0.65 0.65
N
Valeur nominale de l’enrobage : 30-70 mm 30 mm
34
A Désignation : Fe E500 Fe E500
C Limite élastique : 500N/mm2 500N/mm2
I STRICT
Niveau de contrôle : STRICT
E
Coefficient γs :
R 1.15
1.15
FONDATIONS
Fondations superficielles
Mur sous-sol
Densité apparente des terres......................................................................18 kN/m3
Densité immergée des terres...................................................................11 kN/m3
Angle de frottement interne......................................................................35º
Action gravitationnelle.
Charges permanentes
35
Appartements................................................................................2,50 KN/m2 Hall de
Réception, zones de passage, escaliers.......................2,50 KN/m2
Aménagements sur toiture.....................................................5,00 KN/m2
Entretien toiture non accessible............................................1,00 KN/m2
Coefficient de majoration des surcharges d’utilisation : 1.5
Fermetures
Action du vent
Action sismique
La berge côtière de Kribi est classée en zone sismique 1b, ce qui correspond à une sismicité d´impact
"faible" mais non négligeable sur les structures
Certaines prestations (enduits, béton à parement spécifique, etc…) pourront faire l'objet d'une
réalisation test à présenter au Maître d'Œuvre pour accord.
Ces échantillons ne feront pas l'objet de plus-value et sont à intégrer dans l'offre.
36
1.4. INSTALLATION DE CHANTIER – DISPOSITF D’EXECUTION ET TERRASSEMENTS
Le présent descriptif concerne le lot 101 de la liste et décomposition des lots.
L'ensemble des règlements relatifs à l'hygiène et à la sécurité sont bien entendu applicables et
l'installation de chantier mise en place ainsi que les modes opératoires adoptés y seront conformes
sans qu'il soit nécessaire que la description en soit faite dans les articles suivants. Par dérogation aux
textes généraux de l'opération, il est signalé à l'entreprise les spécificités suivantes :
Amené et repli de :
- Matériel de levage : La mise en place et l'exercice d’un matériel de levage seront assurés par le
présent lot pour les corps d'état le sollicitant. Les frais engendrés étant à la charge du maitre
d’ouvrage.
-Une Bétonnière et une centrale à béton : par dérogation aux pièces générales du marché, l'entreprise
tiendra compte des éléments suivants :
- Responsabilité collective et organisation matérielle du chantier ;
-Implantation générale des bâtiments.
La construction des baraques de chantier comprenant :
• Salle de réunion
• Bureau d’ingénierie de chantier
• Bureau du chef chantier
• Un magasin d’outillage et de petit matériel
• Un magasin de ciment
• Un magasin de plomberie
• Un magasin du matériel d’électricité
• Un magasin de stockage des éprouvettes à essais
• D’un bloc sanitaire moderne de 2 pièces. Dont une pour le personnel d’administration
et deux pour l’entreprise
• Une zone vestiaires
• Des ateliers de ferraillage et de coffrage
• Des bacs de trempage des éprouvettes
-Voie d'accès au chantier ;
-Branchements provisoires ;
-Clôtures et signalisation ;
- Panneau de chantier ;
-Equipements collectifs de sécurité ;
-Mise en place des bennes à gravats ;
De ce fait, les prestations décrites ci-après ne constituent en rien une liste exhaustive opposable au
Maître d'Œuvre mais précisent certaines particularités propres à l'opération et/ou facilitent l'analyse de
l'opération par l'entreprise lui indiquant les moyens qu'elle devra mettre en œuvre.
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1.4.0.0. Matériel de levage
L’entreprise doit l'installation d'une grue de capacité et flèche suffisante pendant les travaux du gros
œuvre et même de finition.
Les frais afférents à l'installation, la réception, le maniement, l'entretien et le démontage sont à la
charge de l’entreprise.
Le choix du type de matériel est sous la responsabilité de l'entreprise.
Le matériel de levage devra être suffisant pour la mise en place du matériau et matériel soit 1 tonne, à
50 m et à 25m de hauteur.
L'entreprise fera son affaire de toutes les obligations légales de vérification et de maintenance des
appareils de levage. Ces obligations font partie intégrante de la prestation.
1.4.1.0. Terrassement
L’entrepreneur prendra possession du terrain dans l'état où il se trouve. Il devra l'exécution des
débroussaillages et des dessouchages éventuels ainsi que le ramassage des immondices et l'élimination
des déchets par tous moyens appropriés.
L'Entrepreneur du présent lot devra le nivellement du terrain sur toutes les surfaces d'emprise des
bâtiments par tout moyen approprié. Les plates-formes devant présenter une surface homogène, sera
exempte de roche, vestige de fondations, de canalisations ou de souches, etc….
Les travaux de nivellement seront réalisés au moyen d'appareils appropriés et le nettoyage et décapage
seront exécutés par engins mécaniques de type approprié.
Décapage superficiel de terre végétale sur une épaisseur d'environ 30cm.
Ce décapage est à prévoir sur toutes les emprises de construction. Les terres végétales provenant de
celui-ci seront mises en dépôt sur le terrain afin d'être reprises ultérieurement pour l'aménagement des
espaces verts le cas échéant.
Les terres destinées aux remblais provenant des emprunts ou pas seront mises en cavalier. Après
l'exécution des travaux d'infrastructure, les remblais seront exécutés aussitôt que possible autour des
fondations et dans les tranchées après la pose des diverses canalisations y compris toutes sujétions de
compactage.
Ces terres ne devront contenir aucun déchet végétal, gravois, glaise, et détritus de tout genre. Si la
qualité des terres était jugée impropre, l'Entrepreneur devrait, comme étant inclus dans son forfait,
l'apport de terres complémentaires saines et validés par le maitre d’œuvre.
Après décapage de terre végétale, exécution de fouilles en puits et fouilles superficielles pour
encaissement des différents ouvrages en fondation.
Après démolition des sols prévue par ailleurs, il sera procédé à un décapage du terre-plein existant
pour mise à la cote du fond de forme, compte tenu des ouvrages prévus ci-après, en fonction des cotes
de niveau fini déterminées avec l'architecte.
Fouille à prévoir sur toute l'emprise de la construction, suivant indication des plans pour mise à la cote
du fond de forme.
38
1.4.1.0.1. Fouilles en Tranchée
Suivant définition du DTU 12, Réalisation de :
Fouilles en rigoles (largeur inférieure à 2 m et hauteur 2 m).
Les fonds de fouille à définir suivant plans seront dressés horizontalement (une pente de 2% à 5% sera
tolérée pour assainir la fouille en cas de présence d'eau).
Tolérances d'exécution :
Aucun écart par défaut, écart par excès inférieur à 10 cm pour les fouilles en tranchée et en trou et à 5
cm pour les fouilles en rigoles.
Le talutage fait partie de la prestation, l'Entrepreneur devant s'assurer dans tous les cas de la stabilité des
parois.
Il fera son affaire de toutes les sujétions liées à la présence d'eau (pompage, épuisement etc…).
39
1.5.0.0.0.1. Réception du ferraillage
Avant bétonnage, le Conducteur des Travaux informera le Maître d’œuvre de la finition des
ferraillages en vue de leur réception. Le terme "Bon à bétonner" sera précisé sur le Journal de Chantier
par le représentant du Maitre d’œuvre.
- Sable naturel ou de concassage 0/5 (la proportion d'éléments retenus sur le tamis de 5 mm doit
être inférieure à 10%)
Nota : le sable du Wouri est à proscrire
Les concassés
Ils seront livrés sur le chantier et seront soumis au préalable à l'agrément du BEAT. L'origine des
agrégats devra être approuvée par la Maîtrise d’Ouvrage. Ils proviendront des carrières ou de
concassage de roches stables et seront exempts de corps étrangers, de matières organiques, de
poussières, de vases et argiles.
Les sables
Les sables devront être fins, graveleux et crissant sous la main, ne s'y attachant pas. Ils seront
débarrassés de toutes parties terreuse ou calcaire, et des déchets divers.
Ils passeront au besoin à la claire ou au crible et lavés. Les sables viendront des carrières agréées et
aussi des rivières. Ils ne devront pas contenir en poids plus de 5% de grains passant au tamis à 900
mailles centimètres carré et ne doit pas renfermer des fines dont les plus grandes dimensions
dépasseraient les limites ci-après :
- Pour mortier 0/2 mm
- Pour béton armé 0/5 mm
- Pour béton non armé 0/5 mm
- Propreté :
Les sables doivent avoir un équivalent de sable (ES) supérieur à 75.
40
1.5.0.0.1.1. Ciments
Le ciment sera du type CPA 45, CEM I 42,5 ou à défaut du CPJ 35, voir ciment équivalent approuvé
par le Maître d’Ouvrage.
Les ciments employés seront des ciments portland artificiels qu’on trouve sur le marché local NF P15-
302 et suivantes. Tout ciment humide ou ayant été altéré par l'humidité sera rejeté et enlevé
immédiatement du chantier.
Des prélèvements contradictoires pourront être effectués sur chaque lot et soumis aux frais du
département construction, aux essais prévus par la NF P15-301 de l'AFNOR, dans un laboratoire
agréé.
Les lots qui ne possèderaient pas de caractéristiques requises devront être enlevés du stock destiné aux
travaux et évacués hors du chantier.
Les sacs devront être en bon état au moment de leur dépôt sur le chantier et conservé dans des endroits
couverts, parfaitement secs et sur une aire de planches isolées du sol de dix centimètres (10 cm) au
minimum.
1.5.0.0.1.2. Aciers
Toutes les armatures ou treillis métalliques mis en œuvre dans le béton seront conformes aux
spécifications du BAEL 91 modifié 99. Les aciers auront les caractéristiques conformes à la norme NF
A35-027. Les aciers utilisés sur le chantier seront de la nuance Fe 235 pour les ronds lisses et Fe 400
pour les aciers à haute adhérence. Les barres seront coupées de préférence à la cisaille.
L'assemblage des armatures doit se faire dans la zone prévue suivant le plan d’installation de chantier
approuvé, mais jamais à l'intérieur d'un coffrage.
L’enrobage des armatures dans les coffrages sera contant et obtenu à l'aide de cales à béton
préfabriqués de 3 cm d’épaisseur pour les bétons en élévations et de 4 cm pour les bétons en
fondations.
En cas de doute sur la qualité des aciers approvisionnés sur le chantier, le bureau d’étude technique
pourra demander des essais de résistance in situ sur des échantillons prélevés, tous les frais y relatifs
seront à la charge du département construction. Ces essais seront effectués par un organisme agréé.
Les armatures présentant des traces de rouille non adhérentes seront énergiquement brossées avant
mise en place dans les coffrages. Les armatures façonnées ou non seront stockées sur des madriers et
non à même le sol.
1.5.0.0.2. Fabrication et mise en œuvre des
bétons 1.5.0.0.2.0. Qualité
Quinze (15) jours au plus tard après l'ouverture du chantier, et avant toute exécution, l'Entrepreneur
devra soumettre au Maître d’œuvre pour approbation, une composition détaillée de tous les bétons et
mortiers devant être mis en œuvre, tenant compte des matériaux livrés sur le chantier.
Tous les bétons pour béton armé devront satisfaire impérativement aux conditions de résistances
demandées :
41
Au cas où ces valeurs ne seraient pas obtenues, le département construction produira une note de
calcul justificative de la sécurité des ouvrages concernés en conformité avec les règles BAEL 91
révisée 99. A défaut, il sera demandé la démolition des ouvrages concernés ou leur renforcement.
1.5.0.0.2.1. Fabrication
La confection du béton sera effectuée par une bétonnière. Quel que soit le procédé de fabrication
retenu, les produits obtenus doivent être homogènes et présenter des granulats parfaitement enrobés de
liant. La mise en œuvre du béton sera facilitée par l'emploi obligatoire de pervibrateur.
Un échantillon de béton prélevé directement dans une gâchée devra pouvoir former une boule
régulière, après mouvement alternatif rapide dans le creux de la main et se détacher facilement de cette
dernière sans la salir. Des essais au cône d’Abrams seront imposés. Le rapport eau/ciment sera
déterminé en fonction de l'humidité des agrégats.
Il sera exécuté sur le chantier avant le démarrage des travaux, un béton témoin pour chaque "atelier"
de bétonnage. On considère comme atelier de bétonnage, un ensemble déterminé d'appareils qu'il soit
à poste fixe ou déplaçable d'un chantier à l'autre et qui est servi par une équipe déterminée. Le nombre
minimal des éprouvettes soumises à l’essai est de 9.
La fabrication effective du béton pour la construction pourra démarrer, après accord de la maîtrise
d’œuvre, si les résistances nominales à la traction et à la compression à 7 jours, sont au moins égales
aux 75% des résistances minimales exigées à 28 jours. La résistance caractéristique à la compression à
28 jours doit au moins être égale 200 bars. Dans le cas contraire il conviendra de recommencer
aussitôt l'épreuve avec une nouvelle composition. Les épreuves des bétons en cours de travaux sont
faites sur des éprouvettes cylindriques 16x32 cm.
1.5.0.0.2.4. Défaut d'exécution, état de surface
En cas d'état de surface des bétons jugé non recevable par le Maître d’œuvre, l'Entrepreneur devra
exécuter à ses frais exclusifs, un ragréage complet des ouvrages correspondants avec un enduit à base
de résine synthétique du type SIKALATEX ou équivalent. La mise en œuvre et les dosages de cet
enduit devront être conformes à la fiche technique du fabricant.
1.5.0.0.3. Coffrage
1.5.0.0.3.0. Coffrage des
trous
Les trous et vides à ménager pour le scellement ou à d'autres fins seront réservés par la mise en place
de coffrages appropriés, agencés de manière que la totalité de leurs éléments puisse être aisément
retirés au décoffrage. Il sera admis d'utiliser des blocs de polystyrène expansé par endroit.
Nettoyage
42
Immédiatement avant mise en œuvre du béton, les coffrages seront nettoyés avec soin de façon à les
débarrasser des poussières et débris de toutes natures.
Humidification
Les coffrages en bois courant seront abondamment arrosés avant mise en œuvre du béton.
L'arrosage sera conduit au besoin en plusieurs phases échelonnées de manière à obtenir une
humidification des bois aussi complète que possible, qui aura pour but de resserrer les joints par
gonflement du bois.
Enduction d'huile
Seront huilés avant mise en œuvre du béton :
-Parement soigné : écart de planéité inférieur à 5 mm sous une règle de 2 m et 2 mm sous une réglé de
20 cm.
Les tolérances d'aspect pour parement soigné sont : uniforme et homogène, étendue maximale des
nuages de bulles 10%, surface individuelle des bulles inférieure à 3 cm² et profondeur inférieure à 5
mm
Toutes les dispositions seront prises pour atteindre ce niveau de parement (humidification des
coffrages, emploi de décoffrant etc…). Les balèvres seront éliminées par meulage, les arêtes et
cueillies rectifiées et dressées, les nids de cailloux ragréés avec un produit adapté.
Le coffrage pour tous les éléments est à prévoir suivant les plans.
Les tolérances d'aspect pour parements ordinaire et parement courant seront : uniforme et homogène,
étendue maximale des nuages de bulles 25%, surface individuelle des bulles inférieure à 3 cm² et
profondeur inférieure à 5 mm
43
1.5.0.0.3.4. Coffrage Divers
Fourniture et mise en œuvre de coffrage industrialisé.
Le soin apporté à la mise en œuvre permettra de reprendre les poussées du béton frais, d'atteindre une
étanchéité suffisante pour ne pas provoquer lors de la vibration du béton de perte importante de ciment
et d'obtenir le niveau de parement demandé pour chaque ouvrage.
L'étaiement, les butons à mettre en œuvre font partie de la prestation.
Les caractéristiques du parement demandé conformément au DTU 21 "Béton armé" sont :
-Parement soigné : écart de planéité inférieur à 5 mm sous la règle de 2 m et 2 mm sous le réglet de 20
cm.
Les tolérances d'aspect pour parement soigné seront : uniforme et homogène, étendue maximale des
nuages de bulles 10%, surface individuelle des bulles inférieure à 3 cm² et profondeur inférieure à 5
mm
Toutes les dispositions seront prises pour atteindre ce niveau de parement (humidification des
coffrages, emploi de décoffrant etc…). Les balèvres seront éliminées par meulage, les arêtes et
cueillies rectifiées et dressées, les nids de cailloux ragréés avec un produit adapté.
Coffrage pour tous les éléments à prévoir suivant plans.
45
• Dalle pleine
1.5.0.0.4.1. Béton pour dallage
Le béton pour dallage sera dosé à 300 Kg/m 3. Il sera mis en œuvre en une épaisseur de 13 cm sur un
treillis de ronds lisses posé sur cales à béton reposant elles-mêmes sur un film polyane de 200 micros
d’épaisseur précédé d’une couche de sable 0/5 d’épaisseur 5 cm. Aucune tâche ne sera exécutée sans
la réception de la précédente.
1.5.0.0.4.2. Armatures
Fourniture et mise en œuvre d'armatures pour béton armé conformes à la norme NFA 35-027
"Produits en acier pour béton armé".
Ces armatures feront l'objet d'une étude de structure suivant les règles B.A.E.L91 révisé 1999 et seront
du type Haute Adhérence Fe 400 et le niveau de contrôle sera STRICTE. La prestation comprend le
façonnage, la mise en place, les coupes, recouvrements et ligatures. Toutes les dispositions devront
être prises au stockage pour éviter les déformations et les souillures.
1.5.0.2. Hydrofuge
Incorporation d'hydrofuge pour amélioration de l'étanchéité des bétons et mortiers conforme à la
norme NFP 18.370
1.5.0.2.0. Hydrofuge dans béton dosé à 400Kg/m3
Incorporation d'hydrofuge liquide (incorporé à 1,5% du poids du ciment) pour béton dosé à 400
kg/m3, en contact avec l'eau.
46
1.6. PLANCHER BETON ARME
Les planchers en béton armé décrits ci-après seront dimensionnés en respect des hypothèses de calculs
des articles 1.1.1. En tout état de cause, la norme NFP 06-001 concernant les charges d'exploitation
des bâtiments sera respectée.
Les travaux seront réalisés suivant les règles de l'art et en particulier en respect des préconisations du
DTU 21.
Les performances thermiques, acoustiques et incendie du projet décrit aux articles 1.1.1.0 pour les
exigences acoustiques, 1.1.1.1 pour les exigences liées au feu et 1.1.1.2 pour les exigences thermiques
; font partie intégrante des prestations et les ouvrages réalisés par l'entreprise devront être justifiés par
le calcul quant à leur conformité.
La réalisation des études de béton armé relatives aux ouvrages de planchers est à prévoir au présent
article à la charge financière du présent lot.
48
L'état de parement de la surface de la dalle conformément à l'article 5.2 du DTU 21 sera brut de règle
Prestations à prévoir pour dalles pleines
-Bâtiment : ép. 20 cm pour la toiture terrasse et toutes les dalles pleines du bâtiment suivant les plans ;
-Local gaz : ép. 10 cm pour la toiture terrasse ;
- Coffrage sous-face :
Fabrication avec réemploi et mise en œuvre de coffrage en sous-face.
Le soin apporté à la fabrication permettra de reprendre les poussées du béton frais, d'atteindre une
étanchéité suffisante pour ne pas provoquer lors de la vibration du béton de perte importante de ciment
et d'obtenir le niveau de parement demandé pour chaque ouvrage.
L'étaiement, les butons à mettre en œuvre font partie de la prestation.
Les caractéristiques du parement demandé conformément au DTU 21 "Béton armé" sont : -Parement
soigné : écart de planéité inférieur à 5 mm sous une règle de 2 m et 2 mm sous une règle de 20 cm.
Les tolérances d'aspect pour parement soigné sont : uniforme et homogène, étendue maximale des
nuages de bulles 10%, surface individuelle des bulles inférieure à 3 cm² et profondeur inférieure à 5
mm Toutes les dispositions seront prises pour atteindre ce niveau de parement (humidification des
coffrages, emploi de décoffrant etc…). Les balèvres seront éliminées par meulage, les arêtes et
cueillies rectifiées et dressées, les nids de cailloux ragréés avec un produit adapté.
Des briques de production locale, pourront être utilisées en lieu et place des agglomérés en béton pour
l'exécution des maçonneries à condition qu'elles soient agréées par la Maîtrise d'Ouvrage et que leurs
caractéristiques mécaniques correspondent à la NF P13-301 et 13-304. La résistance mécanique des
agglos (blocs creux) devra répondre à une contrainte de rupture au moins égale à 60 bars (contrainte
de rupture rapportée à la section brute minimale d’un bloc).
49
Les claustras seront fabriqués à partir d’un mortier dosé à 250 kg/m3 de ciment.
41
0
1.7.0.4. Trous - Scellements - Calfeutrements – Raccords
1.7.0.4.2. Scellements
Les scellements de tous les ouvrages sont à la charge de l'Entrepreneur. Les scellements devront avoir
une profondeur déterminée en fonction des efforts qu'ils auront à supporter, compte tenu de l'épaisseur
de l'ouvrage dans lequel doit se faire le scellement.
Dans le cas général, les scellements se feront au mortier de ciment, les cales en bois dans les
scellements sont interdites. Le ciment employé doit être du CPJ 35.
Les scellements devront toujours être arasés de 2 cm environ en retrait du nu fini des murs, afin de
réserver l'épaisseur pour le raccord ou le revêtement (sols et murs).
1.7.0.4.3. Bouchements
Les bouchements sont dus par l'entreprise selon les indications données ci-dessus, notamment en ce
qui concerne les matériaux et l'arasement.
Ces bouchements devront être étanches au bruit, feu et à l'air.
1.7.0.4.4. Fourreaux
Les fourreaux seront fournis, posés et réglés par le département construction. Ces fourreaux seront à
prévoir pour toutes les canalisations traversant un élément de gros œuvre (béton, maçonneries - etc…).
Ils seront de diamètre immédiatement supérieur à celui des tuyaux pour lesquels ils sont prévus, sauf
cas particuliers ou pour des raisons de dilatation, un jeu plus important doit être prévu.
1.7.0.4.5. Raccords –
générales
Les raccords seront toujours réalisés en matériau de même nature que l'ouvrage qui les reçoit. La
finition des raccords devra être parfaite, aucune marque de reprise ne devra être visible, en particulier,
l'arasement au droit des fourreaux, canalisations, gaines, etc… devra être parfaitement dressé.
1.7.0.4.5.1. Raccords et calfeutrements sur éléments verticaux
Ceux-ci seront arasés au nu fini des éléments en béton ou des enduits sur murs et cloisons. L'aspect
fini devra correspondre à celui du parement. Ces raccords et calfeutrements sont à la charge de
l'Entrepreneur.
41
2
Dans lesquels il intervient et sera tenu d'en assurer la protection. Les dégâts occasionnés seront repris
dans les mêmes conditions énoncées ci-dessus.
1.7.0.4.5.4. Supports
L'Entrepreneur devra prévoir tous les supports nécessaires à la parfaite fixation de leur matériel, et en
particulier pour toutes les tuyauteries et canalisations de toute nature en nappes ou isolées. Ces
supports devront être d'exécution soignée, réalisée selon les méthodes de travail de la serrurerie, et
dans toute la mesure du possible, choisis dans des fabrications de série, inoxydables ou protégés contre
la corrosion par traitement de surface en usine. Chaque fois qu'il supportera plusieurs tuyauteries
voisines, le support devra être étudié en fonction de l'ensemble du problème.
Il ne sera admis dans ce domaine aucune improvisation sur le chantier. Les supports importants seront
préparés en atelier. Ceux qui seront exécutés sur le chantier devront l'être d'après des plans approuvés
par la Maîtrise d’Ouvrage. Les supports réalisés par l'Entrepreneur recevront obligatoirement, avant
pose, deux couches de peinture antirouille.
1.7.1.0. Isolation
L’isolation sera assurée par la fourniture et mise en œuvre d'un film polyéthylène de type polyane, ép.
20 Microns.
Ce film sera posé sur une couche de sable (0/5) d’épaisseur 5 cm. Le dallage sera coulé
immédiatement sur le film polyane. L’Entrepreneur exécutera la mise en place du film polyane en
s’assurant celui-ci est enfouit dans le béton périmétrique pour empêcher toute remontée d’eau du
phénomène de de capillarité. Le sable à utiliser pour la forme est du type sable de 0/5 le sable du
Wouri est à proscrire
1.7.1.2. Dallage
Le dallage sera réalisé en béton armé dosé à 300Kg par m3, ép. 15cm avec les treillis de fer HA de
diamètre 8mm en quadrillage de maille 20 x20 cm dans tous les sens.
Ces travaux sont à réaliser suivant les prescriptions du DTU 13-3 (Mars 2005) et les hypothèses de
51
calcul du chapitre 1.1.1 comprendront les joints de dilatation, de fractionnement et de retrait nécessaires
50
Suivant un plan préétabli à soumettre au du bureau d’étude technique. Le dallage sera de type
désolidarisé au sens du DTU.
L’entrepreneur s'assurera de l'absence de corps étrangers avant coulage.
Le béton de consistance plastique sera mis en place par couches successives de 0,05 m.
Une vibration par aiguille vibrante de diamètre adapté augmentera sa compacité et sa résistance.
La mise en place du béton, compte tenu de sa composition, en particulier de ses adjuvants, et du mode
de serrage, doit conduire à un béton en place homogène, sans ségrégation notable (emploi de goulotte
pour limiter la hauteur de chute).
Une attention particulière sera apportée au respect des enrobages minimaux des armatures (l'emploi de
cales spécifiques est exigé ou relevés au crochet).
Toutes les précautions seront prises pour éviter la fissuration (produit de cure, bâchage etc…). Les
éventuelles reprises de bétonnage respecteront les règles de l'art (des renforts d'armatures seront
éventuellement mis en place).
L'état de parement de la surface du dallage conformément à l'article 5.2 du DTU 21 sera brut de règle
1.7.1.3. Chapes
1.7.1.3.0. État du support
Après nettoyage, la surface doit être rendue rugueuse, par des moyens manuels ou mécaniques.
Après ce traitement, la surface doit être à nouveau nettoyée soigneusement, notamment pour enlever la
poussière dégagée par le traitement. Elle doit être ensuite humidifiée ou traitée avec des produits
d'accrochage.
1.7.1.4. Constitution
- Le dosage du mortier est de 250 kg de ciment par mètre cube de sable pour chape sous
grés ;
- Le dosage du mortier est de 300kg de ciment par mètre cube de sable pour les salles d'eau
;
- Le dosage du mortier est de 350kg de ciment par mètre cube de sable pour chape lissée
ou bouchardée ;
1.7.1.4.0. Épaisseur
L'épaisseur est de 2,5 cm à 4 cm suivant les cas.
1.7.1.4.1. Exécution
Le mortier est étalé sur la surface du support, damé puis réglé et taloché.
51
1.7.2.1.1. Dégrossi en mortier de ciment
Dégrossi au mortier de ciment :
- Dosage : 500 kg par m3 de sable sec ;
- Granulométrie du sable employé : 0/5 ;
- Epaisseur 10 mm
Le dégrossi sera projeté à la truelle, la surface sera laissée brute sans aucun dressage.
L'attention de l'entreprise est attirée sur les dosages dégressifs de liants à respecter pour les différentes
couches et sur la projection mécanique en cas d'enduit à 2 couches.
1.7.2.1.3. Ragréage très soigné de béton
Sur murs ou plafond béton conformes aux DTU les encadrant (DTU 23-1, DTU 21, etc…), exécution
d'un ragréage fin avec un produit en pâte de coulis de ciment.
Les supports seront dépoussiérés et les balèvres arasées. La mise en œuvre à la taloche inox laissera
une surface parfaitement lissée et régulière.
1.7.2.1.4. Jointoiement
Rejointoiement après coupe avec du mortier. Un essai de convenance sera présenté pour validation au
Maître d'Œuvre.
Un dégarnissage préalable et un nettoyage devront être réalisés pour une bonne adhérence du joint.
Pour les caractéristiques des mortiers, l'entreprise pourra se rapporter à l’article 1.5.0.1.
52
1.8.1.0. Mode d’exécution
Le mode et le principe d’exécution sont les mêmes que ceux décrits au 1.5.0 pour la fabrication et
mise en œuvre du Béton ainsi que 1.5.0.2.0 pour l’hydrofuge du béton armé dosé à 400kg /m3.
1.9. ETANCHEITES
Le présent descriptif tient lieu des travaux du lot 111 de la liste et décomposition des lots
Sur cet enduit, Application en deux (02) couche(s) de Bitume. Le produit mis en œuvre bénéficiera
obligatoirement d'un avis technique concluant favorablement à son emploi dans le cas de figure des
murs enterrés et son application sera rigoureusement celle décrite dans l'avis technique (à transmettre
au Maître d’Œuvre avant travaux).
54
d’étanchéité PARADIENNE 30 1 GS y compris p.p. de recouvrements, renforts aux angles et
jointures, terminaisons demi-rondes de 50 cm contre jonctions verticales, accessoires de
fixation, joints d’étanchéité, exécution de jointures, tôles de protection.
• Etanchéité monocouche bitume SBS à joints autoadhésifs doublés dans les toitures et terrasses
accessibles aux piétons avec dalles sur plots. Formation de toiture plane admettant de transit
des piétons, pente >1%, sur base résistante, sur mortier de formation de pentes. Écran
d’indépendance VERECRAN 100, posé libre, imperméabilisation de toiture par couverture en
système monocouche TERANAP JS, posée libre plus bande couvre-joint soudée y compris p.p.
de recouvrements, renforts aux angles et jointures, terminaisons demi-rondes de 50 cm contre
jonctions verticales, accessoires de fixation, joints d’étanchéité, exécution de jointures, tôles de
protection, plots zoom, réglables et dalles circulables en bois.
• Etanchéité bitume SBS soudée, dans les toitures et terrasses accessibles-jardins avec terre
végétale. Formation de toiture plane admettant de transit, pente >1%, sur base résistante, sur
mortier de formation de pentes. Imperméabilisation de toiture composée d’imprégnation EIF Si
Plast primer, première couche d’étanchéité pré Flex, soudée en plain, deuxième couche
d’étanchéité gravi Flex, soudée. Plaque de drainage gravi drain, posé libre, non-tissé gravi
filtre, déroulé, terre végétale >30 cm rapportée à l’avancement. Y compris p.p. de
recouvrements, renforts aux angles et jointures, terminaisons demi-rondes de 50 cm contre
jonctions verticales, accessoires de fixation, joints d’étanchéité, exécution de jointures, tôles de
protection.
De jointures, tôles de protection.
IMPERMÉABILISATIONS DE TOITURE
L’imperméabilisation des voiles du sous-sol sera réalisée par imprégnation bitumineuse constituée
d’une feuille de bitume SBS élastomérique et une feuille drainante.
1.10 ASCENSEUR
Le présent descriptif tient lieu des travaux du lot I.6 de la liste et décomposition des lots
NF EN 81-1 + A3 (mars 2010) Règles de sécurité pour la construction et l’installation des ascenseurs
- Partie 1 : Ascenseurs électriques
Remplace (ultérieurement) : NF EN 81-1:199811 ; NF EN 81-1/A1:200603; NF EN 81-1/A2:200505
En révision, voir : PR NF EN 81-20 (mars 2012)
Les règles de sécurité décrites dans le présent document intègrent notamment les exigences du décret
n° 95-826 du 30 juin 1995 (abrogé au 17 décembre 2010 et remplacé par le décret 2008-1325) et de
la loi n° 2003-590 et précisent les exigences applicables aux composants de sécurité dans tous les cas
de remplacement.
XP P 82-511 (avril 1999) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des ascenseurs -
Ascenseurs électriques dans les bâtiments existants.
Dans l'attente de la publication d’une norme européenne, cette norme expérimentale constitue un
document utile permettant de fixer les modalités d'application de la NF EN 81-1 pour la construction
et l'installation d'ascenseurs électriques dans les bâtiments existants.
Ascenseurs hydrauliques :
NF EN 81-2 + A3 (avril 2010) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des ascenseurs -
Partie 2 : ascenseurs hydrauliques
56
NF P 82-312 (novembre 2005) Ascenseurs et monte-charge - Règles de sécurité pour la construction
et l'installation des ascenseurs hydrauliques - Dispositions applicables dans le cas de transformations
importantes ou de travaux d’amélioration.
Les règles de sécurité décrites dans cette norme intègrent notamment les exigences du décret n° 95826
du 30 juin 1995 (abrogé au 17 décembre 2010 et remplacé par le décret 2008-1325) et de la loi n°
2003-
590 et précisent les exigences applicables aux composants de sécurité dans tous les cas de
remplacement.
XP P 82-611 (avril 1999) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des ascenseurs -
Ascenseurs hydrauliques dans les bâtiments existants.
Dans l'attente de la publication d’une norme européenne, cette norme expérimentale constitue un
document utile permettant de fixer les modalités d'application de la NF EN 81-2 pour la construction
et l'installation d'ascenseurs hydrauliques dans les bâtiments existants.
FD CEN/TR 81-10 (février 2010) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs
– Éléments de base et interprétations – Partie 10 : système de la série des normes EN 81
XP CEN/TS 81-11 (juillet 2011) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs
– Fondamentaux et interprétations – Partie 11 : interprétations relatives aux normes de la famille
EN 81
En tant que deuxième publication (voir le CEN/TR 81-10:2008), ce document regroupe les
interprétations relatives à l'EN 81-1:1998, à l'EN 81-2:1998, à l'EN 81-28:2003, à l'EN 81-58:2003, à
l'EN 81-70:2003, à l'EN 81-72:2003 et à l'EN 81-73:2005.
NF EN 81-28 (octobre 2003) Règles de sécurité pour la construction et l’installation des élévateurs –
Elévateurs pour le transport de personnes et d’objets – Partie 28 : Téléalarme pour les ascenseurs et
ascenseurs de charge
NF EN 81-58 (mai 2004) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs -
Examen et essais - Partie 58 : essais de résistance au feu des portes palières
NF EN 81-70 (septembre 2003) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs
– Applications particulières pour ascenseurs et ascenseurs de charge – Partie 70 : accessibilité aux
57
Ascenseurs pour toutes les personnes y compris les personnes avec handicap
Mise en application obligatoire : AR 20060801); AR 20060801; AR 20070321
NF EN 81-70/A1 (août 2005) Règles de sécurité pour la construction et l’installation des ascenseurs.
Partie 70 : Applications particulières pour les ascenseurs et ascenseurs de charge – Accessibilité aux
ascenseurs pour tous les usagers, y compris les personnes avec handicap
NF EN 81-71+A1 (avril 2007) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs -
Applications particulières pour les ascenseurs et les ascenseurs de charge : Partie 71 : ascenseurs
résistant aux actes de vandalisme
NF EN 81-72 (mai 2004) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs -
Applications particulières pour les ascenseurs et ascenseurs de charge -
Partie 72 : ascenseurs pompiers
NF EN 81-73 (novembre 2005) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs -
Applications particulières pour les ascenseurs et les ascenseurs de charges - Partie 73 :
fonctionnement des ascenseurs en cas d'incendie
NF EN 81-80 (janvier 2004) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des ascenseurs
- Ascenseurs existants - Partie 80 : règles pour l'amélioration de la sécurité des ascenseurs et des
ascenseurs de charge existants Cette norme est destinée à identifier et évaluer les risques
significatifs ou situations dangereuses sur les ascenseurs existants et à indiquer des actions
correctives.
FD CEN/TS 81-83 (juin 2010) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs –
Ascenseurs existants – Partie 83 : règles pour l'amélioration de la résistance aux actes de vandalisme
FD P82-020 (décembre 2004) Ascenseurs – Sécurité des ascenseurs existants – Guide pour
l’identification des serrures de porte palière manuelle.
FD P82-021 (février 2005) Ascenseurs – Sécurité des ascenseurs existants – Guide pour l’évaluation
des parachutes et limiteurs de vitesse.
Ces deux guides proposent une évaluation des serrures et des parachutes par rapport au niveau de
sécurité défini par l’arrêté du 18 novembre 2004.
FD P82-022 (septembre 2005) Ascenseurs et monte-charge - Guide pour l'élaboration d'un contrat
d'entretien à clauses minimales réglementaires et d'un contrat d'entretien étendu à caractère volontaire.
FD P82-617 (décembre 2008) Règles de sécurité pour la construction et l'installation des élévateurs –
Ascenseurs existants – Partie 82 : règles pour l'amélioration de l'accessibilité aux ascenseurs existants
pour toutes les personnes y compris des personnes avec handicap
Cette norme fournit des règles sur la façon d'appliquer la norme EN 81-70 à laquelle il est fait
référence dans la norme EN 81-80:2003, 5.2.1 aux ascenseurs existants, et ce afin d'améliorer leur
accessibilité pour les personnes dont les personnes avec handicap.
NF EN 13015+A1 (octobre 2008) Maintenance pour les ascenseurs et les escaliers mécaniques -
Règles pour les instructions de maintenance
58
Autres normes relatives aux ascenseurs :
NF EN ISO 25745-1 (novembre 2012) Performance énergétique des ascenseurs, escaliers mécaniques
et trottoirs roulants – Partie 1 : mesurage de l'énergie et vérification
Cette norme spécifie des méthodes de mesure de la consommation énergétique réelle des ascenseurs,
escaliers mécaniques et trottoirs roulants sur la base d'unités individuelles ; des méthodes de
vérification énergétique périodique des ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants en
service. Elle ne prend en considération que la performance énergétique pendant la période
opérationnelle du cycle de vie des ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants.
NF ISO 14798 (juillet 2010) Ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants - Méthodologie de
l'appréciation et de la réduction du risque
NF EN 627 (novembre 1995) Règles pour l'enregistrement de données et la surveillance des ascenseurs,
escaliers mécaniques et trottoirs roulants (indice de classement : P 82-700)
1.6.1. Ascenseurs
L’ascenseur à installer devra répondre à un minimum de caractère à savoir :
MODELE : O3G_2015 La solution sur mesure. Avec Très grande souplesse et hautes performances.
59
Capacité / charge : 08 personnes / 630 Kg. Vitesse: 1.00 m/s Var. Freq.
Nº d’arrêts/accès : 07 / 7 Course : 20.0 m.
Accès : 2 Accès à 180º Tension : 380 V/ 220 V - 50 Hz
Position du CP : Latéral Parachute CP : f--
Manœuvre : Manœuvre collective
Montée/descente simplex
CABINE
Type : C2 Dimensions (a x f x h): 228 x 279 x 2200 mm
Revêtement parois : MÉLAMINÉ Miroir fond : Sans Miroir
ALUMINIUM BROSSÉ
Miroir latéral : Sans Miroir Matériel éclairage : Inox · Plus
Eclairage : Modulaire / Matériel boite a bouton : Inox · Plus
POLYCARBONATE MASSIF
Main courante : Inox sur les deux cotés Revêtement sol : PVC
Face d’accès : Inox · Plus Matériel plinthe : ALIMINIUM LAQUÉ /
ALIMINIUM LAQUÉ
51
0
SUPPLÉMENT
Alarme et éclairage de secours : Système automatique d'évacuation
Bouton d'ouverture de portes. : Echelle cuvette
INDICATEUR DE SURCHARGE (Sonore et
Lumineux
Ventilateur en cabine
Bouton fermeture de portes
GAINE MINIMALE
Gaine (largeur x profondeurs) : 1600 mm x 2000 mm Cuvette : 1400 mm Hauteur sous dalle :
3900mm- 3500mm-3200mm E. courant.
1.6.2. Le Monte-charge
CABINE
Type : C2 Dimensions (a x f x h) : 2350 x 1875 x 2200 mm
Revêtement parois : Inox plus Miroir fond : Sans Miroir
Miroir latéral : Sans Miroir Matériel éclairage : Inox · Plus
Eclairage : Modulaire / Matériel boite a bouton : Inox · Plus
POLYCARBONATE MASSIF
61
Norme pare-flammes -- EN81/58 (E120) (3 uds)
Finition : Inox · Plus/ Inox · Plus Inox · Plus (3uds)
Système ouverture : Vitesse régulée par variation Vitesse régulée par variation
de fréquence de fréquence
SUPPLÉMENT
Alarme et éclairage de secours Echelle cuvette
Bouton d'ouverture de portes.
INDICATEUR DE SURCHARGE (Sonore et
Lumineux
Ventilateur en cabine
Bouton fermeture de portes
GAINE MINIMALE
Gaine (largeur x profondeur) : 3240 mm x 2150mm Cuvette : 1465 mm Hauteur sous dalle : 6050 mm
ou équivalente.
- Piscine
-l’assainissement des EP
60
1.10.1. Documents de références contractuels
Les études de conception et les travaux d'exécution des ouvrages du présent lot seront exécutés en
conformité avec les spécifications, les prescriptions des normes françaises et européennes, D.T.U.,
Euro classes et règlements techniques relatifs au corps d'état de VOIRIE - RESEAUX DIVERS en
vigueur à la signature des
- La réparation des dommages causés aux installations sur des travaux des autres corps d'état.
Au début du chantier :
En cours de chantier :
- Notes de calcul.
- Pour la réception des travaux, l'Entrepreneur doit fournir à la Maîtrise d'ouvrage l'ensemble des
plans réellement exécutés avec la mention DOE (Dossier des Ouvrages Exécutés).
L'Entrepreneur doit fournir lors de son offre son devis quantitatif et estimatif détaillant les éléments
mis en œuvre et cela répondant au présent CCTP.
62
Lors de variante proposée, département construction doit fournir les fiches techniques des matériaux
variantes par rapport au CCTP.
Ce n'est qu'après accord écrit pour la Maîtrise d’Œuvre et du bureau de contrôle que l'entreprise
pourra intervenir. Elle fournira la liste, les fiches techniques, les avis techniques CSTB et les Procès-
verbaux d'essais des matériels prévus pour ses installations.
En fin de chantier l'entreprise fournira un dossier complet comprenant les plans de récolement et les
notices d'entretien des matériels. Ce dossier sera remis au Maître d'Ouvrage à la réception des travaux.
1.10.5. Voirie
1.10.5.0. Engazonnement
Il est prévu d’utiliser une couche de terre végétale de 30 cm, provenant de l’excavation du terrain et
qui sera préalablement stockée dans le campement du chantier. Sur la terre végétale, sans gravats,
lissée et détachée, il sera planté du gazon du type Paspalum qui ensuite sera protégé par une petite
couche de terre végétale.
- Pose et réglage au cordeau sur semelle en béton dosé à 250 Kg de ciment CLK-CEM III/C de 0,10 m
d'épaisseur. Butées éventuelles en béton dito ci-avant de 0,10m de largeur et régnant à mi-hauteur de
la bordure.
- Lit de pose.
- Joints entre bordures de 0,01 m d'épaisseur constitués de mortier à la fiche ou à la truelle et tirés au
fer (dosage : ciment CPJ-CEM II/A (ou CPJ-CEM II/B) 350 kg/m3 et sable 0/2,5). Le département
construction devra prévoir un joint de dilatation de 1 à 2 cm tous les 20 mètres.
- Nettoyage et finition.
63
1.11.0. Dispositions générales
La présente partie du CCTP a pour but de définir les caractéristiques et les conditions techniques
d'exécution des installations de plomberie et protection incendie à réaliser dans le cadre du présent
projet.
L'ensemble sera exécuté conformément aux pièces écrites et aux documents graphiques du Dossier de
Consultation d’Entreprise.
L’entrepreneur est réputé avoir pris connaissance de toutes les pièces du dossier et les accepte sans
réserve.
Il établira son étude de sorte que ses prix unitaires tiennent compte de toutes les prescriptions
techniques de l'installation et des contraintes imposées par le Maître d'Ouvrage.
L’entreprise devra faire toutes les démarches auprès des concessionnaires, en vue d'obtenir tous
renseignements nécessaires à la réalisation des travaux et participera à la coordination avec les autres
corps d'état en vue de la parfaite réalisation des ouvrages.
Le marché
L'attention de l'entreprise est attirée sur le fait qu'en acceptant le marché elle s'engage pour une
obligation de résultat. Elle se doit de prendre en compte tous les éléments et sujétions d'ouvrages,
même non décrits pour la réalisation de l'ouvrage conformément à sa destination. L'offre de
l'entreprise devra également inclure toutes les sujétions demandées par le bureau de Contrôle.
L'entreprise adjudicatrice présentera toutes les références de qualification se rapportant aux travaux à
exécuter, les attestations d'assurances seront en cours de validité, le département construction pourra
sous-traiter certaines parties du marché à la seule condition que les sous-traitants soient acceptés par
le Maître d'Ouvrage.
Rendez-vous de chantier
La présence du responsable de plomberie et protection incendie est obligatoire à tous les rendez-vous.
Toute absence aux rendez-vous de chantier implique l'acceptation des décisions arrêtées et
mentionnées dans le compte rendu.
Des réunions de coordination pourront en outre être organisées en dehors du rendez-vous chaque fois
que le Maître d'Œuvre le jugera utile, avec présence obligatoire du responsable de plomberie de
l'entreprise convoqué.
L'énumération des travaux décrits ci-dessous n'est pas exhaustive et sous entendant l'exécution de
chacune d'elles dans les règles de l'art, techniques, et conformément aux normes en vigueur.
64
Les travaux de réalisation de ces installations comprennent :
- Le raccordement électrique des équipements depuis les attentes prévues par le lot Electricité ; - Les
liaisons équipotentielles ;
minimum. Toutes les règles de l'art sont aussi déterminantes et contractuelles à la signature du
marché.
Ce présent cahier des charges peut être modifié par le Maître d'Ouvrage tenant compte des
observations, ou variantes que l'Entrepreneur proposera.
De ce fait ce nouveau document sera corrigé et signé afin d'être rendu contractuel.
Les ouvrages du présent lot devront répondre aux conditions et prescriptions des documents
65
techniques qui lui sont applicables dont notamment les normes et DTU.
66
Le département construction prendra connaissance du PGC (Plan Général de coordination de sécurité
et de santé) et des dispositions arrêtées dans le Cahier des clauses Administratives Particulières
(C.C.A.P.).
Il ne pourra en aucun cas considérer les pièces écrites et les plans d'appel d'offres comme
BON POUR EXECUTION.
L’entreprise doit faire part soit des omissions ou des imprécisions dans le présent CCTP et les signalera.
Si des différences entre les plans de base d’architecte et les plans techniques, seuls les plans
d’architecte s'imposent.
L’entrepreneur doit prendre connaissance de toutes les pièces énumérées garantissant ses prestations
vis-à-vis des installations des autres corps d'état, du calendrier prévisionnel d'exécution des travaux et
du planning contractuel fixant les délais d'exécution, date et fin des travaux.
1.11.2.0. Normes
Les installations seront réalisées conformément aux décrets, arrêtés, circulaires, documents techniques
unifiés, normes Françaises et règlements en vigueur à la signature du marché.
La liste des textes énoncés ci-après n'est pas exhaustive et ne constitue qu'un rappel des principales
réglementaires applicables à l'installation.
NF P40-201 Canalisations fontes, évacuations d'eaux usées, d'eaux pluviales et d'eaux vannes.
NF P43-108 Appareillages de contrôle sur site des ensembles de protection sanitaire des réseaux
d'eau potable.
NF S62-201 septembre 2005 : Matériels de lutte contre l'incendie - Robinets d'incendie armés équipés
de tuyaux semi-rigides RIA - Règles d'installation et de maintenance de l'installation.
Textes règlementaires :
Méthode TH-CE
Extrait du §17.6.3.3
La fourniture d’eau chaude sanitaire est assurée par un fonctionnement intermittent si les deux
conditions suivantes sont respectées :
- En l’absence de demande d’eau chaude sanitaire le générateur n’est pas maintenu en température.
- En période de demande d’eau chaude, le générateur fonctionne à pleine puissance.
Guides
Réseaux d'eau destinée à la consommation humaine à l'intérieur des bâtiments Partie 2 guide
technique de maintenance - Avant-propos et sommaire (CSTB septembre 2005).
- Chapitre 7 Réseaux privatifs - guide de maintenance des installations d'eau froide et eau
chaude CSTB septembre 2005.
Normes ENR
Les installations de distribution d’eau, en plus des normes générales indiquées dans le projet de
distribution d'eau, de protection contre les incendies, de sécurité, etc., sont conçues conformément à la
réglementation spécifique suivante :
68
EN 806 Spécifications techniques relatives aux installations pour l’eau destinée à la consommation
humaine à l’intérieur des bâtiments.
- Partie 1 : Généralités.
- Partie 2 : Conception.
- Partie 3 : Calcul des diamètres intérieurs. Méthode simplifiée.
EN 1717 Protection contre la pollution de l’eau potable dans les réseaux intérieurs et exigences
Générales des dispositifs de protection contre la pollution par retour.
EN ISO 15875 Systèmes de canalisations en plastique pour les installations d’eau chaude et froide.
Polyéthylène réticulé (PE-X).
- Partie 1 : Généralités ;
- Partie 2 : Tubes ;
- Partie 3 : Raccord ;
- Partie 5 : Aptitude à l’emploi du système.
EN ISO 15877 Systèmes de canalisations en plastique pour les installations d’eau chaude et froide.
Poly (chlorure de vinyle) chloré (PVC-C).
- Partie 1 : Généralités,
- Partie 2 : Tubes,
- Partie 3 : Raccords,
- Partie 5 : Aptitude à l’emploi du système.
1.11.2.1. DTU
Les installations seront conformes aux Documents Techniques Unifiés. Cette liste n'est pas limitative :
* D.T.U 60.11 Règles de calcul des installations de plomberie et d'évacuation des eaux pluviales.
* D.T.U 60.2 Canalisations en fonte, évacuation d'eaux usées, d'eaux vannes, d'eaux pluviales.
* D.T.U 65.10 Canalisations d'eau chaude ou froide sous pression et canalisations d'évacuation à
L’intérieur des bâtiments.
Ces certifications de qualité des matériaux, sont attestées par un marquage NF, un label ou autres.
69
Il ne pourra être mis en œuvre que ceux faisant l'objet d'une certification de qualité.
E Ecoulement.
A Acoustique.
U Usure.
Le choix du classement est fonction des locaux desservis et selon le cahier des charges de
- Des lavabos
- Des bidets
- Des éviers
- Des douches
* E1 à E3 pour l'écoulement
* A2 pour l'acoustique (20 < Lap < 30 avec lap = 45-D5) * C1 pour le confort, constance de
* nombre de pièces
< F5 E1 A2 U1 E3 A2 U1
> F5 E2 A2 U2 E4 A2 U2
E1 à E3 pour l'écoulement
Des produits, des innovations dans le cadre de l'opération non homologués par les DTU et par les
Normes NF et EN feront l'objet d'avis techniques garantissant un agrément selon les normes
Françaises et Européennes.
Protection des réseaux contre les risques de pollution rappelant l'obligation de mise en place de
disconnecteurs.
Guides
* Réseaux d'eau destinée à la consommation humaine à l'intérieur des bâtiments Partie 2 guide
technique de maintenance - Avant-propos et sommaire (CSTB septembre 2005).
* Réseaux d'eau destinée à la consommation humaine à l'intérieur des bâtiments Partie 2 guide
technique de maintenance.
- Chapitre 7 : Réseaux privatifs - guide de maintenance des installations d'eau froide et eau chaude
(CSTB septembre 2005).
Elle est raccordée aux réservoirs incendie et à la distribution d’eau du groupe suppresseur ; étant
donné que la pression de distribution est suffisante pour atteindre les points de consommation les plus
hauts, on réalise un by-pass sur le groupe pour éviter qu'il ne se mette en marche tant que la pression
du réseau est suffisante.
La distribution se fait par des tuyaux d’arrivée d’eau des pièces humides, à l’entrée de celles-ci on
place des robinets d'arrêt, qui permettent de faire des réparations sans que cela n’affecte le reste des
installations.
Au début de chaque tuyauterie se trouve un clapet anti-retour (EN 1717) qui évite le passage d’eau
utilisée d’un local à un autre.
L’installation est dimensionnée de sorte que la pression de distribution dans les robinetteries soit
comprise entre 1 et 5 bars ; on tient compte des pertes de charge au moment de la consommation de
pointe.
Ce réservoir sera utilisé lorsque l’alimentation de la distribution du réseau tombe en panne ; étant situé
sur la couverture, la distribution sera faite par gravité, en tenant compte que l’eau atteindra l’étage
supérieur avec une pression faible.
1.11.3.1.1. Evacuation
Les installations du système d’évacuation sont de type séparatif entre les eaux vannes, usées et pluviales.
Les tuyaux d’écoulement de chaque système d’évacuation, pluvial, vannes et usées, se regroupent
dans plusieurs collecteurs suspendus avec une pente minimale de 1 % pour les eaux vannes, usées et
pluviales. Ces regroupements donnent plusieurs points de rencontre qui relient le réseau suspendu au
réseau enterré, en atteignant, la cote de déversement par gravité.
Les collecteurs en saillie, eaux pluviales et eaux usées/vannes, permettent de contrôler et de séparer
les déversements, en prévision d’une maintenance efficace et de l'identification et localisation rapide
de l'origine des éventuels incidents.
Sur le muret circonférentiel de la toiture terrasse du bâtiment, il a été fait des trous pour loger chacun
des déversoirs, ce qui permet ainsi l’évacuation d’eaux de la zone sur la toiture circonférentielle.
Les tuyaux d’écoulement d’eaux pluviales se regroupent dans plusieurs collecteurs suspendus aux
plafonds de sous-sol à +-0,00 et enterrés au dernier niveau, jusqu’à atteindre les siphons de sol de
sortie du bâtiment.
70
Les eaux pluviales de l’accès carrossable aux garages sont recueillies à l’aide d’un canal en pente,
imperméabilisé, exécuté par défonçage du radier.
Le réseau enterré recueille à son passage les eaux pluviales de l'accès carrossable et celles du drainage
circonférentiel.
Les tuyaux d’écoulement et leurs collecteurs sont en tuyauterie PVC insonore et réaction au feu
B11d0, fabriqué selon les normes EN1329-1 et EN 13501-1.
Les collecteurs enterrés sont en tuyau PVC pour assainissement, selon la norme EN 1401-1.
Des siphons de sol de 110 mm de diamètre sont disposés dans les salles de compteurs d'eau,
d'électricité et de l’enceinte supérieure d’installation de télécommunications, en prévision de fuites
d’eau et de nettoyage de celles-ci.
Les tuyaux d’écoulement intérieurs, de 110 mm de diamètre, auxquels sont raccordés tous les
équipements, chaque appareil avec son siphon et sa conduite indépendante, les raccordements des
appareils sont réalisés avec un diamètre de 110 mm pour ceux qui correspondent aux WC et de 50
mm pour les autres appareils.
Les dérivations vers les appareils, les tuyaux d’écoulement et les collecteurs suspendus seront en
tuyauterie insonorisée en polypropylène trois couches fabriquées selon les normes EN 1451-1 à
l’intérieur du bâtiment ou les installations, les tuyaux d’écoulement et leurs collecteurs seront en
72
Tuyauterie de PVC insonore et à réaction au feu B-s1, d0, fabriquée selon les normes EN 1329-1 et
EN 13501-1.
Les collecteurs enterrés sont en tuyau PVC pour assainissement, selon la norme EN 1401-1.
Les couvercles des regards, tout comme les grilles et grilles longitudinales, seront dotés d'une
résistance de classe D400, au minimum, selon la norme EN 124.
Deux regards séparateurs de graisses sont placés à proximité des tuyaux d’écoulement qui conduisent
les eaux provenant de cuisines ou de zones similaires susceptibles de contenir des déchets graisseux.
Des manchons coupe-feu sont placés sur les tuyaux d’écoulement et les collecteurs qui traversent
différents secteurs d’incendie.
Avant le déversement à l’extérieur, une station d’épuration des eaux est fabriquée en béton, et où sont
logés la grille de dégrillage, le réacteur biologique, le décanteur de recirculation de boues ainsi qu’un
appareil de pompage pour l’extraction des eaux propres vers l’égout de sortie du bâtiment.
Les tuyaux d’écoulement intérieurs, de 110 mm de diamètre, auxquels sont raccordés tous les
équipements, chaque appareil avec son siphon et sa conduite indépendante, les raccordements des
appareils sont réalisés avec un diamètre de 50 mm pour les appareils.
Les dérivations vers les appareils, les tuyaux d’écoulement et les collecteurs suspendus seront en
tuyauterie insonorisée en polypropylène trois couches fabriquée selon les normes EN 1451-1 à
l’intérieur du bâtiment, ou les installations les tuyaux d’écoulement et leurs collecteurs seront en
tuyauterie de PVC insonore et à réaction au feu B-s1, d0, fabriquée selon les normes EN 1329-1 et EN
13501-1.
Les collecteurs enterrés sont en tuyau PVC pour assainissement, selon la norme EN 1401-1.
73
Pour garantir un bon entretien de l’installation, le raccordement de tuyaux d’écoulement et de
collecteurs suspendus est fait avec des greffes visitables en demi-tuyau de différentes mesures en
fonction du diamètre de sortie et de la profondeur de ceux-ci, dans le réseau enterré. La distance entre
tous les regards est inférieure à 15 m.
Les couvercles des regards, tout comme les grilles et grilles longitudinales, seront dotés d'une
résistance de classe D400, au minimum, selon la norme EN 124.
Des manchons coupe-feu sont placés sur les tuyaux d’écoulement et les collecteurs qui traversent
différents secteurs d’incendie.
74
CHAPITRE 2 : SECOND ŒUVRE
Le fait d'avoir soumissionné suppose qu'il ait obtenu les renseignements nécessaires pour la parfaite
réalisation de ses travaux, et qu'il se soit engagé à exécuter ceux-ci dans le respect des règles de l'Art,
quand bien même il lui semblerait qu'ils ne soient pas parfaitement prévenus et définis dans les
documents d'appel d'offres et ce, sans jamais pouvoir prétendre à aucun supplément sur les prix
convenus, qui ne serait et ne pourrait d'ailleurs être financé.
L’entrepreneur devra vérifier soigneusement toutes les côtes portées aux dessins et s'assurer de leur
concordance.
Suivant les règles énoncées dans le Cahier des Clauses Administratives Particulières (CCAP),
L’entrepreneur sera responsable de tous les dégâts qui pourraient survenir aux ouvrages de son fait, de
celui de son personnel, des intempéries : déshydratation, etc.
Pour pallier ces inconvénients, il lui appartiendra de prendre toutes les précautions utiles : -
Protections diverses, bâchages, etc.,
- Protection contre le vol,
Qui seront implicitement contenues dans sa proposition.
Il assurera directement ou par l'entreprise d'un responsable compétent, une surveillance de son chantier.
75
- La norme NF EN 159 (P61-408) : carreaux et dalles de céramiques pressés à sec à absorption d'eau
>10% Groupe BIII
- La norme NF EN 176 (P61-405) : carreaux et dalles de céramiques pressés à sec à faible
absorption d'eau <3% Groupe BI
- La norme NF EN 177 (P61-406) : carreaux et dalles de céramiques pressés à sec à absorption d'eau
>3% et <6% Groupe BIIa
- La norme NF EN 178 (P61-407) : carreaux et dalles de céramiques pressés à sec à absorption d'eau
>6% et <10% Groupe BIIb
- La norme NF EN 186-1 (P61-402-1) : carreaux et dalles de céramiques étirés à absorption d'eau
>3% et <6% Groupe AIIa - partie 1
- La norme NF EN 186-2 (P61-402-2) : carreaux et dalles de céramiques étirés à absorption d'eau
>3% et <6% Groupe AIIa - partie 2
- La norme NF EN 187-1 (P61-403-1) : carreaux et dalles de céramiques étirés à absorption d'eau
>6% et <10% Groupe AIIb - partie 1
- La norme NF EN 187-2 (P61-403-2) : carreaux et dalles de céramiques étirés à absorption d'eau
>6% et <10% Groupe AIIb - partie 2
- La norme NF EN 188 (P61-404) : carreaux et dalles de céramiques étirés à absorption d'eau
>10% Groupe AIII
- La norme NF EN 202(P61-513) carreaux et dalles céramiques. Détermination de la résistance au
gel
- La norme NF B 10-402 : Roches marbrières. Caractéristiques géométriques
- La norme XP B 10-601 : Pierres naturelles. Prescriptions générales d'emploi des pierres naturelles
- la norme NF EN 1936 : Méthodes d'essai pour pierres naturelles. Détermination des masses
volumiques réelle ou apparente et des porosités ouvertes et totale
- La norme NF P 61-341 : Panneaux de mosaïque de pâte de verre et éléments 2x2 les constituant.
76
2.1.2.3. Fourniture et Matériaux
Des échantillons des différents matériaux correspondant aux critères de qualité décrits dans les
chapitres particuliers seront à présenter au Maître d'Œuvre en temps utile pour établir un choix et ne
pas retarder le délai des commandes.
Carrelage :
Tous les matériaux mis en œuvre seront dans leur emballage d'origine et porteront le nom du fabricant
et la mention exacte du choix.
77
2.1.3.3. Surélévations de surfaces horizontales
Surélévation de surfaces horizontales par pose de bloc de béton de 10 cm d’épaisseur et 4 cm de
mortier de ciment versé avec une pompe afin d’obtenir une épaisseur totale de 15 cm, égalisé et
taloché gros.
Dans les toilettes, il est prévu un carrelage en plaquette de grès de 20x20 mm au sol et de 20x30 sur
les murs, couleur blanche, posé sur mortier de ciment colle, rejointoyé avec du lait de ciment blanc.
2.2. SIGNALETIQUE
Le présent descriptif correspond aux travaux du lot 900 de la liste et décomposition des lots
L’UNAPEI et L’AFNOR ont élaboré en concertation avec d’autres intervenants une « Norme S3A »
(Pictogramme pour le Service d’Accueil, d’Accompagnement et d’Accessibilité) ainsi qu’un guide
d’application.
ERP : « désigne en droit français les lieux publics ou privés accueillant des clients ou des utilisateurs
autres que les employés (salariés ou fonctionnaires) ».
2.2.1. Principe
La signalétique est un point sensible de l’accessibilité souvent oublié et encore mal appréhendé. Celle-
ci doit constituer une chaîne d’informations propre à renseigner le visiteur afin de lui permettre de
s’orienter et de s’informer en fonction des situations ponctuelles auxquelles il est confronté et de
conserver ainsi une autonomie maximale. L’usager doit pouvoir se déplacer d’un maillon à l’autre de
la chaîne sans aucune rupture.
La signalétique adaptée est généralement placée à une hauteur combinant visibilité de loin et facilité
d’accès. La loi 2005 ne spécifie pas de hauteurs d’implantation pour les éléments de signalétique mais
donne des hauteurs pour l’implantation des équipements et dispositifs de commande accessibles
nécessitant de voir, toucher et lire. On parle ainsi d’une zone visuo-haptique ou aire tactile allant de
0,90 m à 1,30 m de hauteur. On préfèrera une information en braille ou en relief proche d’une hauteur
de 1,30 m plutôt que 0,90 m. La disposition des informations doit être étudiée selon l’établissement,
les éléments structurels supports, et appelle au bon sens, à la logique et à la recherche d’un certain
78
confort d’usage à déterminer par le Maître d’œuvre.
79
2.2.3. Éclairage
Les informations accessibles au public doivent, de jour comme de nuit, être bien éclairées. Les zones
d’ombre, éblouissements et reflets doivent être évités.
Utiliser des textes simples, précis et courts. Trop de texte et d’explications nuiraient à la bonne prise
en compte de la réelle information délivrée par la signalétique. Celle-ci doit être claire et concise. Les
principales informations doivent être doublées en braille. Le braille est fortement recommandé pour
les populations non et mal voyantes. Ainsi, la signalétique des espaces particuliers tels que porte
d’entrée, accueil, ascenseur, escalier ou toilettes peut être couplée à une brève reproduction en braille.
2.2.6. Contraste
Les couleurs doivent être choisies contrastées par rapport au fond. Limiter les associations de couleurs
à 2 couleurs. Les codes couleurs en vigueur doivent être respectés (norme NF X08-003). Si une
couleur dominante est choisie sur l’ensemble de la signalétique, l’utiliser de manière récurrente.
Règle de calcul :
Contraste (%) = (i1 – i2)/i1 x 100 (70% minimum requis) i1 = indice de réflexion de la lumière de la
couleur pâle
i2 = indice de réflexion de la lumière de la couleur foncée
2.2.7. Descriptif
2.2.7.0. Signalétique de locaux- petit format
La signalétique de petit format est réalisée par des plaques en méthacrylate suivant les indications et
normes régissant la construction ERP (Etablissement recevant du Public) et plus précisément des hôtels.
71
0
2.2.7.2. Signalétique générale des VRD
Il est proposé de poser des signales métalliques pour renforcer la communication relative à la
circulation des voitures.
2.2.7.3. Panneau en guérite
Le logo situé sur la façade de la guérite principale sera en aluminium anodisé couleur corporative
(voir le plan de détail)
2.2.7.4. Panneau de façade
Le logo situé sur la façade principale sera en aluminium anodisé couleur corporative.
2.2.7.5. Panneau en toiture
Le panneau en toiture aura des caractéristiques similaires à celles définies dans le devis quantitatif. Il
est prévu un caisson lumineux 4 x 4 m. Sur cette structure, les lettres découpées en aluminium couleur
bronze et fixées sur un méthacrylate seront posées. La hauteur des lettres sera de 3,18 m et elles seront
illuminées par deux rangées de lampes fluorescentes.
Le logo situé sur la façade principale sera en aluminium anodisé de couleur corporative.
2.3. PEINTURE
Le présent descriptif correspond aux travaux du lot 205 de la liste et décomposition des lots
Dans le courant du détail d'études, département construction devra signaler, par écrit, toute omission,
tout manque de concordance ou toute autre erreur qui aurait pu se glisser dans l'établissement des
documents de consultation, faute de quoi, il sera réputé avoir accepté les clauses du dossier.
Par le fait de soumissionner, département construction contracte l'obligation d'exécuter l'intégralité des
travaux de sa profession, nécessaire pour le complet et parfait achèvement de la construction projetée,
conformément aux règles de l'art, même s'il n'est pas fait mention explicitement de certains d'entre eux
au devis descriptif.
Dans le cas où les stipulations du devis descriptif ne correspondraient pas à celles des autres pièces,
du marché, écrites et dessinées, l'Entrepreneur se devra d'envisager la solution la plus onéreuse.
De ce fait, il ne pourra réclamer aucun supplément sous prétexte que les pièces du dossier d'appel
d'offres (P.E. et P.D.) présentent des contradictions ou omissions.
-D. T. U. 81.2. Cahier des charges applicables aux travaux de ravalement, peinture Cahier N° 336 du C.
S. T. B.
81
Les normes françaises et notamment les normes T. 30.001 et T. 30. 003
2.3.2. Subjectiles
- Un parement en béton,
- Un enduit au mortier de ciment,
- Des ouvrages en bois pour menuiseries, etc. ayant reçu une couche d'impression,
- Des ouvrages métalliques pour menuiserie, rampe etc… ayant reçu une protection primaire en
antirouille,
- Des ouvrages de charpente ayant reçu deux couches d'antirouille et une couche intermédiaire.
Avant toute exécution, l'Entrepreneur devra, en présence de l’ingénieur, procéder à la réception des
subjectiles.
Afin de poser des termes qualitatifs de référence, le présent cahier cite des marques de produits. Toutes
dérogations aux marques citées doivent faire l'objet de l'approbation écrite du Maitre d’œuvre.
80
Ces travaux comprennent :
- La reconnaissance des subjectiles telle qu'elle est définie au cadre des charges D.T.U. 59.1,
- La fourniture et la mise en œuvre de tous les produits, matériaux et engins nécessaires à la réalisation
des ouvrages définis dans le C.C.T.P.,
- La fourniture de l'outillage du matériel d'exécution ainsi que les échelles et échafaudages,
- L'application des produits suivant le D.T.U. et le présent C.C.T.P.,
- La réfection des ouvrages défectueux constatés en cours d'exécution,
- Les protections nécessaires pendant les travaux des ouvrages non peints,
- Les essais prévus au présent C.C.T.P. visant à contrôler la qualité des surfaces peintes (non la qualité
des produits) qui intéresse plus particulièrement le fabricant de peinture,
- La conservation de tout ouvrage existant sur le chantier et toutes précautions pour assurer la
protection des surfaces qui pourraient être tachées ou détériorées,
- L'exécution des échantillons témoins suivant les coloris choisis par le Maître de l'ouvrage et
l'architecte,
- L'impression des menuiseries avant leur pose, prestations à exécuter soit à l'atelier de menuiserie,
soit sur le chantier si les conditions de stockage le permettent,
- Les raccords de peinture nécessaires à la suite d'un ajustage des menuiseries,
- Le nettoyage des locaux permettant leur mise en service : ce travail sera exécuté pour la visite de
réception et portera sur les sols, faïences, appareils sanitaires et électriques, quincaillerie, vitrerie aux
deux faces et menuiseries.
Il est dû au titre du forfait, tous les raccords de peinture réclamés par le Maître d’œuvre après les
différents passages de réfection jusqu'à la réception des travaux.
En cas de contestation, il devra en référer aux maitres d’œuvre. faute de quoi il serait tenu pour
responsable de la non-observation de ces prescriptions.
L’entrepreneur est tenu de consulter le responsable des corps d'état précédent afin d'être renseigné sur
la composition des ouvrages concernés par ses travaux.
Pour les travaux de peinture à exécuter sur béton, il aura à se rendre compte et à donner son avis au
moment de la préparation du chantier sur les points suivants :
- Nature du support en béton ;
- Finition et présentation du parement ;
- Nature des produits de démoulage ;
- Nature des joints de dilatation s’il y en a ;
- Nature des adjuvants de béton, etc.
82
En résumé et en règle générale, il devra faire toutes les observations sur la nature et finition des
supports, avant tout démarrage des travaux.
La réception provisoire sera prononcée par le Maître d'œuvre après constatation que tous les travaux
ont été exécutés conformément aux pièces du marché et aux règlements en vigueur.
La réception sera prononcée après constatation de la bonne tenue des ouvrages, conformément à
l'article "Qualité des matériaux".
Peinture plastique lisse en couleur ou Blanche type Pantes 1300, sur parements verticaux, lavable
deux couches, y compris impression avec préparation isolante acrylique, rebouchage, ponçage
mécanique et deux couches de finition.
Peinture lisse blanche type 800, sur parements horizontaux en plâtre, lavable deux couches, y compris,
rebouchage, ponçage mécanique et deux couches de finition.
Il est prévu pour les façades extérieures secondaires de la peinture acrylique plastique appliquée au
rouleau, sur parements verticaux et horizontaux de façades, couleur à choisir par le Maitre d’ouvrage.
Il est prévu une peinture antidérapante sur le sol du sous-sol par application de deux couches de
peinture antidérapante type SOLFIX, y compris nettoyage préalable de la base, retouche des joints et
peinture des plinthes du périmètre de 10 cm de hauteur.
84
produits, fournitures et autres nécessaires à la réalisation de l'ouvrage, la réception de l'état des
supports en présence du Maître d'œuvre et de l'Entrepreneur, le nettoyage des supports, la protection
des ouvrages des autres corps d'état pouvant être salis ou détériorés par les travaux du présent lot, les
nettoyages du chantier en cours et en fin de travaux, le ramassage et la sortie des déchets et
emballages, leur tri sélectif et l'enlèvement des gravois.
Les travaux à réaliser par l'entreprise dans le cadre de son marché sont essentiellement les suivants :
- Le Faux plafond en Placoplatre BA 13,
- Le Faux plafond en Placoplatre hydrofugé BA 13,
- Le faux plafond Registre (acoustique).
Les scellements ne seront exécutés qu'après vérification complète des implantations des cloisons, etc.…
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L'incorporation de trappes de visites ou de luminaires, à la demande des corps d'état concernés sera
prévue par l'Entrepreneur ainsi que tous renforts pour suspension de charges lourdes.
L’entraxe et la portée des ossatures seront conformes aux recommandations techniques du fabricant et
feront l'objet d'une note de calcul soumise à l'approbation du Maître d'œuvre.
Pour les faux plafonds ayant une fonction de protection incendie, outre le fait que le type employé
devra être titulaire des procès-verbaux de résistance au feu correspondant au matériau et au type de
support, il sera apporté une attention particulière à la hauteur de plénum préconisé dans les dits PV
d'essais et dans les recommandations techniques du fabricant.
L'ensemble de la mise en œuvre sera conforme aux Avis Techniques du produit ainsi qu'aux
recommandations du fabricant.
Il faut tenir compte également de la formation de fausse poutre à 3 faces avec adossement de plaques
de plâtre pour le passage des installations.
L’entrepreneur ne devra commencer aucun travail sans avoir au préalable, au cours des réunions de
chantier périodiques, soumis au Maître de l'ouvrage et à l'architecte, l'échantillonnage du bois de
menuiseries et des quincailleries à mettre en œuvre.
2.5.1.0.0. Normes
88
- Norme NF EN 324-1 et 2 (B 51-240-1 et 2) : Panneaux à base de bois - Détermination des
dimensions des panneaux.
- Norme NF EN 315 (B 51-357) : Contreplaqué - Tolérances sur dimensions.
- Norme NF B 52-001-1 : Règles d'utilisation du bois dans les constructions – Classement visuel pour
l’emploi en structure des bois sciés français résineux et feuillus.
- Norme NF EN 942 (B 53 631) : Bois dans les menuiseries – Classification générale de la qualité du
bois.
- Norme NF X 10-011 : Résistance des matériaux et essais mécaniques des matériaux – Vocabulaire.
2.5.1.0.1. DTU
DTU N°36.1 : Travaux de bâtiment – Menuiseries en bois :
- Norme homologuée NF P 23-201-1 : Cahier des clauses techniques et amendement A1,
-Norme homologuée NF P 23-201-2 : Cahier des clauses spéciales et amendement A1.
L'Entrepreneur pourra proposer des produits dont les caractéristiques sont au minimum techniquement
équivalentes, d'aspect, de finition et d'esthétique identiques et devra toutes dispositions techniques et
incidences financières nécessaires à l'obtention du label acoustique exigé dans le présent marché.
Les marques et références proposées feront l'objet d'une présentation au Maître d'Œuvre et au Maître
d'Ouvrage, leurs caractéristiques seront attestées par Procès-Verbaux de laboratoires d'essais, Avis
Technique CSTB, certification, label NF et EURONORM. Elles ne seront retenues que si le Maître
d'Œuvre est fondé, au vu des renseignements fournis, à admettre l'équivalence stricte de ces produits.
Dans ce cas, le C.C.T.P. sera rectifié avant signature du marché ou un additif lui sera annexé et sera
soumis à l'acceptation du Maître de l'Ouvrage. Il deviendra alors le C.C.T.P. "Marché", les marques et
références ainsi approuvés ne pourront être changées sous aucun prétexte. Il sera demandé à
89
l'entreprise
81
0
De justifier de ses qualifications à QUALIBAT, et de ses références en rapport avec la nature et
l'importance des travaux à réaliser dans le présent projet.
Avant toute livraison sur le chantier, le Maître d’Œuvre se réserve le droit d'aller inspecter en usine
(par sondage) les conditionnements des ensembles menuisés pour vérifier :
- Que les tolérances de fabrication sont respectées,
- Que les mesures prises pour emballer les ensembles sont de nature à assurer un parfait transport de
ces derniers ; des calages résilients appropriés (polystyrène expansé ou autres) sont indispensables
pour chaque pièce.
Lors de la livraison sur le chantier, une réception sera effectuée par le Maître d'Œuvre et pourra être
réalisée par sondages sur place pour vérifier que les transports n'ont pas engendré de dommages sur les
éléments transportés. Les ouvrages livrés sur le chantier, en attente de pose, devront être stockés à
l'abri des intempéries et des chocs avec des conditions de stockage permettant d'éviter toute
81
1
déformation ou détérioration.
81
2
Les dimensions des ouvrages doivent être conformes aux indications des plans et aux prescriptions du
présent C.C.T.P.
L'Entrepreneur devra toutefois, avant de réaliser ses ouvrages, vérifier sur place les mesures exactes
des emplacements laissés après exécution des ouvrages de gros-œuvre, de maçonnerie et autres corps
d'état.
- Poignée béquille MANUFACTOR DAYLE chromé – barrette plexi noir, y compris entrée de serrure.
PORTES INTÉRIEURES
Le nombre et les caractéristiques de chaque porte sont définis dans les plans.
Il existe différentes typologies de portes. Leurs caractéristiques sont indiquées ci-après :
PB BLOC-PORTE UN VANTAIL
Matériel : Huisserie du bâti bois dur ; Couvre-joint Bois Dito Bâti ; Habillage champ Plat ;
Vantail à âme pleine avec encadrement bois dur au périmètre, revêtement placage bois aux
deux faces.
81
3
Verre : Non
81
4
Ferrage : Fixation par VIS sur précadre ; 4 paumelles en acier chromé ; 1 serrure de sureté 7 1
condamne l’intérieur (toilettes) ; 1 butoir
Matériel : Huisserie du bâti bois dur ; Couvre-joint bois dito bâti ; Habillage champ plat ;
Vantail à âme pleine avec encadrement bois dur au périmètre, revêtement placage bois aux
deux faces.
Verre : Non
Ferrage : Fixation par vis sur précadre ; 4 paumelles en acier chromé ; 1 serrure de sureté/1
condamne l’intérieur (toilettes) ; 1 butoir.
91
2.5.7. Bloc porte iso plane pare flamme 2 heures
L’huisserie sera en bois dur BETE d’ébénisterie, de même que les couvre-joints. Elle sera de
largeur correspondant à l’épaisseur totale de la maçonnerie finie dans laquelle elle s’incorpore (+
1cm de feuillure de recouvrement sur les 2 faces) et sera fixée sur pré cadre par vis chromés.
- L’ouvrant sera à âme pleine coupe-feu 2 heures, épaisseur 40mm minimum, les parements en
panneaux de fibre dure ISOGYL, finition BETE tranché.
- Ferrage
4 paumelles électriques de 160mm
Ferme porte hydraulique 3 temps type BRICARD ou similaire.
Poignée béquille MANUFACTOR DAYLE chromé, barrette plexi noire, y compris entrée de
serrure. Serrure à mortaiser BRICARD ou LAPERCHE ou similaire à canon.
90
CHAPITRE 3 : SECOND-ŒUVRE (deuxième partie)
Le fait d'avoir soumissionné suppose qu'il ait obtenu les renseignements nécessaires pour la parfaite
réalisation de ses travaux, et qu'il se soit engagé à exécuter ceux-ci dans le respect des règles de l'Art,
quand bien même il lui semblerait qu'ils ne soient pas parfaitement prévenus et définis dans les
documents d'appels d'offres et ce, sans jamais pouvoir prétendre à aucun supplément sur les prix
convenus, qui ne serait et ne pourrait d'ailleurs être financé.
L’entrepreneur devra vérifier soigneusement toutes les cotes portées aux dessins et s'assurer de leur
concordance.
Suivant les règles énoncées dans le Cahier des Clauses Administratives Particulières (CCAP),
L’entrepreneur sera responsable de tous les dégâts qui pourraient survenir aux ouvrages de son fait, de
celui de son personnel, des intempéries : déshydratation, etc.
Pour pallier ces inconvénients, il lui appartiendra de prendre toutes les précautions utiles :
- Protections diverses, bâchages, etc., - Protection contre le vol.
Qui seront implicitement contenues dans sa proposition.
Il assurera directement ou par l'entreprise d'un responsable compétent, une surveillance de son chantier.
92
3.0.2.1. Avis Technique
Les articles précisent les caractéristiques techniques des revêtements ainsi que leur mode de pose.
L'Entrepreneur devra en fonction de ces éléments, tenir compte des règles de l'art encadrant ses
travaux et en particulier :
- Les Catégories, si elles existent,
- Les avis techniques et en particulier ceux du GS 13.
Alucobonds :
Tous les matériaux mis en œuvre seront dans leur emballage d'origine et porteront le nom du fabricant
et la mention exacte du choix.
3.0.3. Panneau-composite
La façade ventilée proposée est composée d’extérieur à intérieur de :
Le mur de creux bourrés de béton armé pour la formation de façade sera lisse d’épaisseur 20 cm, posé
à une face apparente et armature verticale formée de 4 barres d’acier Rond Lisse (RL) de D =12 mm
pour chaque ml et armature horizontale formée de 2 barres d’acier RL de D=6 mm par file d’agglos,
remplissage en béton H-200/20 Tmax. 20 mm et avec mortier de ciment.
Le crépi égalisé (avec règles aux angles, creux, coins et à intervalles de 1 m entre pans) des murs,
réalisé avec du mortier de ciment et agent plastifiant et additif hydrofuge à l’extérieur ; épaisseur
minimum 15 mm; les arêtes mises à ras et abattues à la jointure d’autres parements et éléments variés
appliqués au mur ; de plus, une maille de fibre de verre sera posée pour armer le crépi et contrôler les
fissures, finition talochée. Le mouchetage préalable des parements est inclus.
93
3.1.0. Etendue des travaux et prestations à la charge du présent lot
Les prestations à la charge du présent lot comprendront implicitement tous travaux nécessaires à une
parfaite finition de l'ouvrage et notamment: l'amenée sur le site des outillages et du matériel
d'exécution, le transport, le coltinage et l'amenée à pied d'œuvre de tous les matériaux, produits,
fournitures et autres nécessaires à la réalisation de l'ouvrage, la fabrication des ouvrages en atelier, la
pose, la fixation par tous moyens y compris tous calages, scellements, pisto-scellements, chevillages
etc.. Et toutes fournitures accessoires nécessaires ; l'exécution de tous les joints nécessaires pour
garantir une étanchéité absolue, la protection des ouvrages jusqu'à réception, l'enlèvement des
protections et le nettoyage des ouvrages avant réception, et tous moyens de montage le cas échéant
ainsi que toutes autres prestations et fournitures Main-courante pour permettre une finition parfaite de
l'ouvrage.
En cas de fourniture et de pose des vitrages, il sera fait application en complément du présent chapitre
des Clauses Particulières au lot Vitrerie-miroiterie sans qu'il soit nécessaire d'en rappeler ici le détail.
Les travaux à réaliser par l'entreprise dans le cadre de son marché sont essentiellement les suivants :
- Les Baies vitrées
- Les portes en aluminium
- Les cloisons
- Les mains courantes intérieures
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NF A91-451 de septembre 1988 : Qualification des produits d’entretien sur aluminium anodisé.
95
NF P01-012 de juillet 1988 : Règles de sécurité relatives aux dimensions des garde-corps.
NF P01-013 d’août 1988 : Essai des garde-corps – Méthodes et critères.
NF P08-301 d’avril 1991 : Essais de résistance aux chocs – Corps de chocs – Principe et modalités des
essais de chocs.
NF P 08-302 d’octobre 1990 : Résistance aux chocs – Méthodes d’essais et critères.
FD P20-201 de décembre 2001 : Choix des fenêtres et des portes extérieures en fonction de leur
exposition – Mémento pour les Maîtres d’œuvre
NF EN 485-2 de décembre 1994 : Aluminium et alliage d’aluminium – Tôles, bandes et tôles épaisses
– Partie 2 : caractéristiques mécaniques.
NF EN 573-3 d’octobre 1994 : Aluminium et alliage d’aluminium – Composition chimique et forme des
produits corroyés – Partie 3 : composition chimique.
NF EN 755-1 de juillet 1997 : Aluminium et alliage d’aluminium – Barres, tubes et profilés filés –
Partie 1 – Conditions techniques de contrôle et de livraison.
NF EN 755-2 de juillet 1997 : Aluminium et alliage d’aluminium – Barres, tubes et profilés filés –
Partie 2 – Caractéristiques mécaniques.
NF EN 947 de décembre 1998 : Portes battantes ou pivotantes – Détermination de la résistance à la
charge verticale.
NF EN 948 de septembre 2000 : Portes battantes ou pivotantes – Détermination de la résistance à la
torsion statique.
NF EN 949 de décembre 1998 : Fenêtres et façades-rideaux, portes, stores et fermetures –
détermination de la résistance au choc de corps mou et lourd pour les portes.
NF EN 1026 de septembre 2000 : Fenêtres et portes – Perméabilité à l’air – Méthode d’essai.
NF EN 1027 de septembre 2000 : Fenêtres et portes – Perméabilité à l’eau – Méthode d’essai. NF EN
1154 d’août 2000 : Quincaillerie pour le bâtiment – Dispositifs de fermeture de porte avec
amortissement – Prescriptions et méthode d’essai.
NF EN 1155 de juillet 1997 : Quincaillerie pour le bâtiment – Dispositifs de retenue
électromagnétique pour portes battantes - Prescriptions et méthode d’essai.
NF EN 1158 d’avril 1997 : Quincaillerie pour le bâtiment – Dispositifs de sélection de vantaux -
Prescriptions et méthode d’essai.
NF EN 1191 de février 2000 : Fenêtres et portes – Résistance à l’ouverture et fermeture répétée –
Méthode d’essai.
NF EN 1192 de novembre 2000 : Portes – Classifications des exigences de résistance mécanique.
NF EN 1396 de mars 1997 : Aluminium et alliage d’aluminium – Tôles, bandes revêtues en bobine pour
applications générales – Spécifications.
NF EN 1634-1 de juillet 2001 : Essai de résistance au feu des blocs portes et blocs fermetures – Partie
1 : portes et fermetures résistantes au feu.
NF EN 1634-2 d’août 2001 : Essai de résistance au feu des portes et fermetures – Partie 2 : portes et
volets pare-fumées.
NF EN 1670 d’octobre 1998 : Quincaillerie pour le bâtiment – Résistance à la corrosion –
Prescriptions et méthodes d’essais
NF EN 1808 d’août 1999 : Exigences de sécurité des plates-formes suspendues à niveau variable –
Calculs, stabilité, construction – Essais
NF EN 10025 de décembre 1993 : Produits laminés à chaud de construction non alliés.
96
NF B32-500 de juin 1980 : Verres de sécurité pour vitrages
97
NF EN 1036 de février 2000 : Miroirs en glace argentée pour l’intérieur
NF EN 1051-1 de novembre 2003 : Briques de verre et dalles de verre
NF EN 1063 d’août 2000 : Vitrage de sécurité – Mise à essai et classification de la résistance à
l’attaque par balle.
NF EN 1096-1 de décembre 1999 : Verre à couche – partie 1 : définitions et
classification NF EN 1096-2 de juillet 2001 : Verre à couche – partie 2 : exigences et
méthode d’essai
NF EN 1096-3 de juillet 2001 : Verre à couche – partie 3 : exigences et méthode d’essai NF EN
12150- 1 de décembre 2000 : Verre de silicate sodo-calcique de sécurité trempé thermiquement –
partie 1 : définition et prescription
NF EN 12600 de septembre 2003 : Méthode d’essai d’impact et classification du verre plat NF EN
12603 d’août 2003 : Procédures de validité de l’ajustement et intervalles de confiance des données de
résistance du verre
NF EN 12758 d’avril 2003 : Vitrages et isolement acoustique – description des produits NF EN 1288-
1, 1288-2, 1288-3, 1288-4 et 1288-5 de septembre 2000 : Détermination de la résistance du verre à la
flexion
NF EN 12898 de juillet 2001 : Détermination de l’émissivité
NF EN 13024-1 d’avril 2003 : Verre borosilicate de sécurité trempé thermiquement – partie 1 NF EN
13541 de juillet 2001 : Vitrage de sécurité – Mise à essai et classification de la résistance à la capacité
d’explosion
NF EN 356 de septembre 2000 : Vitrage de sécurité – Mise à essai et classification de la résistance à
l’attaque manuelle
NF EN 357 de janvier 2000 : Eléments de construction vitrée résistant au feu incluant des produits
verriers transparents ou translucides – Classification de la résistance au feu
NF EN 410 d’octobre 1999 : Détermination des caractéristiques lumineuses et solaires des vitrages
NF EN 572-1, 572-2, 572-3,572-4,572-5,572-6 et 572-7 de mai 1995 : Produits de base. Verre de
silicate sodo-calcique, définitions et propriétés physique et mécaniques générales : glace, verre armé
poli, verre étiré, verre imprimé, verre imprimé armé, verre profilé armé ou non armé.
NF EN 673/A2 de mai 2003 : Détermination du coefficient de transmission thermique U – méthode de
calcul
NF EN 674 et NF EN 675 de décembre 1998 : Détermination du coefficient de transmission thermique
U – méthode de l’anneau de garde et méthode du fluxmètre.
NF EN ISO 12543-1, 12543-2, 12543-3, 12543-4 et 12543-5 de décembre 1998 : Verre feuilleté et
verre feuilleté de sécurité : définition et description des composants, méthode d’essai concernant la
durabilité, dimensions et façonnage des bords, aspect.
NF EN ISO 14438 de mai 2003 : Détermination de la valeur du bilan énergétique – méthode de
calcul. NF P78-301 de septembre 1985 : Verre étiré pour vitrage de bâtiment
NF P78-302 de septembre 1985 : Glace pour vitrage de bâtiment
NF P78-303 de juin 1980 : Verre feuilleté pour vitrage de bâtiment
NF P78-305 de juin 1980 : Verre armé plan pour vitrage de
bâtiment
NF P78-451 de juillet 1986 : Vitrages isolants : Essais de résistance à la pénétration de
l’humidité. NF P78-454 d’avril 1986 : Vitrages isolants – Essais de détection des André
NF P78-455 d’avril 1986 : Vitrages isolants – Méthode de détermination du coefficient de rigidité Kv
et du coefficient d’aptitude à la déformation
P78-406 d’avril 1994 : Classification et méthode d’essai des vitrages destinés aux usages de
Sécurité dans le bâtiment au regard de l’effraction et du vandalisme XP P78-
280 de juin 2001 : Vitrage THS.
98
3.1.1.3. Normes traitant des garnitures étanchéité
NF EN ISO 11431 d’octobre 2003 : Construction immobilière – Produits pour joints – Détermination
des propriétés d’adhésivité/cohésion des mastics après exposition à la chaleur, à l’eau et à la lumière
artificielle à travers de verre. NF P78-331 de janvier 1971 : Mastic à l’huile de lin
P78-101 de mai 1977 : Miroiterie : garnitures étanchéité et produits annexes – Vocabulaire P78-504 de
mai 1977 : Miroiterie : garnitures étanchéité et produits annexes – Fonds de joints – Essai de
déformation rémanente.
NF P84-530 de décembre 1992 : Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie –
Mastics de bourrage oléo plastiques – Spécifications
NF P84-531 de décembre 1992 : Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie – Mastics de
bourrage oléo plastiques – Détermination des caractéristiques d’adhésivité – cohésion sous contrainte
de traction.
NF P84-532 de décembre 1992 : Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie – Mastics de
bourrage oléo plastiques – Détermination des caractéristiques de résistance à la compression
NF P84-533 de décembre 1992 : Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie – Mastics de
bourrage oléo plastiques – Essai de compatibilité spécifique entre mastics de bourrage et verre
feuilleté NF P85-530 de décembre 1992 : Garnitures étanchéité et produits annexes pour miroiterie –
vitrerie : Mastics de bourrage oléo plastiques – Spécifications.
NF EN ISO 11600 de mai 2004 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics obturateurs du type élastique – Spécifications.
NF P85-541 de décembre 1992 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics obturateurs du type plastique – Spécifications.
NF P85-550 de décembre 1998 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics en bandes préformés – Spécifications.
NF P85-551 de décembre 1998 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics en bandes préformés – Détermination des caractéristiques en compression.
NF P85-552 de décembre 1998 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics en bandes préformés – Détermination des caractéristiques d’adhésivité – cohésion
en traction
NF P85-553 de décembre 1998 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Mastics en bandes préformés – Evaluation de la stabilité rhéologique NF P85-554 de
décembre 1998 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie –
Mastics en bandes préformés – Détermination de la stabilité à la chaleur. NF P85-560 de décembre
1992 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie – vitrerie – Fonds de joints
en matériaux alvéolaires souples – Spécifications
NF P85-561 de décembre 1992 : Produits pour joints – Garnitures et produits annexes pour miroiterie
– vitrerie – Fonds de joints en matériaux alvéolaires souples – Détermination des caractéristiques sous
contrainte de compression
XP P85-600 de décembre 1997 : Produits pour joints – Produits de collage utilisés en Vitrage
Extérieur Collé (VEC) – Spécifications.
3.1.1.4. DTU
99
NF P85-210 de février 2002 : Partie 1 - Cahier des Clauses techniques - Partie 2 - Cahier des Clauses
Spéciales et Partie 3 - Guide d'emploi.
- DTU 33.2 (P 28-003) de décembre 1996 : Tolérances dimensionnelles du gros œuvre destiné à
recevoir des façades-rideaux, semi-rideaux ou panneaux.
- DTU 34.1 : Travaux de bâtiment - Ouvrages de fermetures pour baies libres
NF P25-201 : Partie 1 - Cahier des Clauses Techniques - Partie 2 - Cahier des Clauses
Spéciales NF P25-201-1/A1 : Amendement n°1
- DTU 34.2 : Choix des fermetures pour baies équipées de fenêtre en fonction de leur exposition au vent
- FD DTU 34.3 : Choix des portes industrielles, commerciales et de garage en fonction de leur
exposition au vent
- DTU 35.1 : Travaux de bâtiment - Cloisons amovibles et
démontables NF P24-802-1/A1 de septembre 2003 : Cahier des
Clauses Techniques
- DTU. 36.1 / 37.1 : Choix des fenêtres extérieures en fonction de leur exposition compris annexe
commune intégrée au DTU 20.1
- NF DTU 36.5 : Mise en œuvre des fenêtres et portes extérieures d'avril 2010
Partie 1-1 : Cahier des clauses techniques NF DTU 36.5 P1-1
Partie 1-2 : Critères généraux de choix des matériaux NF DTU 36.5 P1-2
Partie 2 : Cahier des clauses administratives spéciales types NF DTU 36.5 P2
NF P24-204-1 de décembre 2003 : Menuiseries Métalliques en rénovation sur dormant existant -
Cahier des Clauses Techniques
NF P24-204-2 de décembre 2003 : Menuiseries Métalliques en rénovation sur dormant existant -
Cahier des Clauses Spéciales - DTU 59.1 : Travaux de peinture des bâtiments
NF P 74-01 d’octobre 2000
NF DTU 33.1 P1-1. - Travaux de bâtiment. - Façades rideaux. - Partie 1-1 : cahier des clauses
techniques types (indice de classement : P28-002-1-1).
NF DTU 33.1 P1-2. - Travaux de bâtiment. - Façades rideaux. - Partie 1-2 : critères généraux de choix
des matériaux (indice de classement : P28-002-1-2).
NF DTU 33.1 P2. - Travaux de bâtiment. - Façades rideaux. - Partie 2 : cahier des clauses administratives
spéciales types (indice de classement : P28-002-2).
91
1
Les menuiseries extérieures devront satisfaire, d'autre part aux labels de qualité et/ou aux cahiers des
charges suivants :
1 - certificat CERFF.
2 - Label EWAA ou QUALANOD pour les menuiseries en aluminium anodisé ;
3 - Label QUALICOAT pour les menuiseries laquées ;
4 - Label ECCA : revêtements de parements extérieurs en tôles prélaquées ;
5 - Label SNFJ : produits de calfeutrement et compléments étanchéité pour éléments de construction
Tous les produits verriers doivent comporter une étiquette informative indiquant toutes les
spécifications du produit et notamment :
- Le nom du fabricant ;
- La catégorie du vitrage et sa spécificité ;
- Le type de vitrage dans sa catégorie,
- L'année et le semestre de sa fabrication (dans les cas courant la date de fabrication);
- La mention du label CEKAL s'il y a lieu - Le numéro d'identification du produit - Les dimensions du
volume.
3.1.2.0. Documents de références non contractuels
Pour les matériaux, fournitures, produits et procédés "non traditionnels ou innovants" n'entrant pas
dans le cadre des documents contractuels visés ci-dessus, l'Entrepreneur devra se conformer
strictement aux prescriptions et documents des avis techniques, agréments européens ou à défaut aux
règles et prescriptions de mise en œuvre du fabricant.
Une procédure d'avis technique d'expérimentation (ATEx) pourra être imposée par le Maître d'ouvrage
ou le Maître d'œuvre. Les frais inhérents à cette procédure seront à la charge de l'Entrepreneur.
101
En cas d'infiltrations constatées, l'Entrepreneur devra prendre toutes dispositions afin de remettre au
Maître d'ouvrage une menuiserie avec une étanchéité conforme.
Les menuiseries devront, toujours, répondre à la classe d'étanchéité AEV fixée au présent C.C.T.P.
dans les articles suivants.
L’ensemble des vitrages des façades devra répondre au classement d’affaiblissement acoustique mini
de 35 dBA et de 40dBA mini pour les vitrages iso phoniques.
100
Le vitrage des baies vitrées sera formé de Solarlux Silver de 5mm d’épaisseur, chambre d’air
déshydraté de 12mm et Multiplack 33.1.
Localisation et repérage
• FVC 1,2,3 …12.
Matériel : Cadres tubulaires de 52mm ; Profils de l’Aluminium extrudé ; Aluminium anodisé
classe 15 – épaisseur minimale de 15 microns.
Mécanisme : 2 vantaux
• PVC 1, 2, 3, …8
Matériel : Cadres tubulaires de 52mm ; Profils de l’Aluminium extrudé ; Aluminium anodisé
classe 15 – épaisseur minimale de 15 microns.
Mécanisme : 2 vantaux
• FVF 1,2,3, …7
Matériel : Cadres tubulaires de 52mm ; Profils de l’Aluminium extrudé ; Aluminium anodisé
classe 15 – épaisseur minimale de 15 microns.
Mécanisme : 1 vantail
• FF 1,2,3, …13
Matériel : Cadres tubulaires de 52mm ; Profils de l’Aluminium extrudé ; Aluminium anodisé
classe 15 – épaisseur minimale de 15 microns.
Mécanisme : 1 vantail
Matériel : Bâti dormant avec traverse d’imposte à 1600 mm ; Imposte fixe avec montant
central 2900X700mm ; Vantaux assemblés, montants et traverses ; feuillures et parcloses pour
vitrage de sécurité.
3.1.4.1.2.2. Cloisons
CIMA est une gamme complète de cloisons qui combine une nouvelle esthétique avec des solutions
techniques d'un produit tout à fait industrialisé. CIMA est conçue conformément aux principes
ECODESIGN, et utilise des procédés de fabrication durable ainsi que des matériaux recyclables.
102
CIMA, version vitrée, offre des solutions de séparation en verre continu avec un design propre et une
totale légèreté visuelle. La structure est en acier galvanisé avec des profilés en aluminium. Les verres
se logent dans un profil stylisé avec un système de niveleur intégré et ils sont fixés en utilisant un film
transparent. L’ensemble du périmètre est scellé et permet d’assurer une insonorisation parfaite.
Parallèlement, un « Module Technique » a été ajouté à la gamme, il peut être complètement électrifié
et permet la distribution des fluides à l’intérieur. CIMA, version modulaire, est une cloison pour les
espaces en placage bois ou mélaminé.
La structure intérieure est faite en acier galvanisé, formé par des rails dans le mur et le plafond, et avec
des cadres télescopiques réglables afin d’assurer la rigidité de la structure modulaire.
Les panneaux sont fixés en utilisant "des clips" en acier permettant un montage-démontage ultra
rapide. Tout autour, une mousse en polyéthylène est distribuée pour permettre un contrôle thermique
et acoustique optimal.
Les Portes de CIMA sont l’apogée du système. Ce sont des éléments clés dans tous les projets de
cloisonnements, c’est pourquoi nous avons porté une attention particulière à ce sujet.
Les cadres sont formés par une structure en acier, robuste, revêtue de profils en aluminium,
parfaitement alignés et ajustés avec une fermeture de sécurité, des niveleurs latéraux afin que les
portes puissent être mises d’aplomb verticalement. Ils sont de plus fournis avec un amortisseur de
choc, un revêtement décoratif et un stoppeur.
Les portes peuvent être faites en verre trempé, en bois ou en mélamine et sont toujours fournies avec
les poignées et des charnières spécialement conçues pour un rendement optimum et une esthétique
parfaite.
VANTELLES
- Dimensions : h = 400 mm
Constitué de :
- Cadre aluminium des baies
- Supports de lames tous les 800 mm fixés sur cadre - Lames inclinées à 20° et espacées de 27
mm
- Finition en aluminium anodisé naturel (TDS 20 alu).
104
Fixation par tous moyens compris tous calages, scellements, pistoscellements, chevillages etc... Et
toutes fournitures accessoires nécessaires ; l'exécution de tous les joints nécessaires pour garantir une
étanchéité absolue, la protection des ouvrages jusqu'à réception, l'enlèvement des protections et le
nettoyage des ouvrages avant réception, tous moyens de montage le cas échéant ainsi que toutes autres
prestations et fournitures blocs portes de permettre une finition parfaite de l'ouvrage.
Les travaux à réaliser par l'entreprise dans le cadre de son marché sont essentiellement les suivants :
Repérage et localisation :
Les portes d’extérieur métalliques seront en acier galvanisé, peintes.
• PM 2 BLOCS-PORTE UN VANTAIL
Matériel : Bâti dormant avec traverse et pattes de scellement ; Vantail caisson acier galvanisé
10/15 d’épaisseur.
Grille : Non
Ferrage : 3 Paumelles à souder de 110 ; 1 serrure de sûreté à peine
dormant Localisation : Voir le calepinage de ouvertures plans
Matériel : Bâti dormant avec traverse et pattes de scellement ; Vantail caisson acier galvanisé
10/15 d’épaisseur.
Grille : Oui
Ferrage : 6 Paumelles à souder de 110 ; 1 serrure de sûreté à pêne
dormant Localisation : Voir le calepinage de ouvertures plans :
105
prescriptions et documents des avis techniques, agréments européens ou à défaut aux règles et
prescriptions de mise en œuvre du fabricant.
Une procédure d'avis technique d'expérimentation (ATEx) pourra être imposée par le Maître d'ouvrage
ou le Maître d'œuvre. Les frais inhérents à cette procédure seront à la charge de l'Entrepreneur.
- Normes ou projets de normes A.F.N.O.R. applicables aux travaux de bâtiment, les normes
NFA 49-501 et NFA 49-541.
- Cahier des Charges des constructions métalliques (D.T.U. N° 32.1), ainsi qu'aux documents
auxquels il se réfère en particulier, les règles C.M. 66 et leur Additif 80.
106
- Règles définissant les effets du vent sur les constructions, et annexes (Edition la plus récente).
3.2.3. Spécifications Techniques
Le choix de la nuance est, en principe, limité aux nuances Fe 360, Fe 430 et Fe 510.
Le choix de la qualité est établi en fonction des sollicitations et du mode constructif des éléments
d'ossature, en uniformisant ce choix pour un même élément.
Dans l'hypothèse où l'Entreprise envisage l'emploi d'acier de nuances et qualités différentes de celles
qui sont proposées dans le projet (acier nuance Fe 360), cette dernière doit justifier dans sa proposition
les raisons de son choix et obtenir l'accord de l’ingénieur, étant entendu que, dans l'hypothèse d'un
accord favorable, la remise à jour du projet dans son ensemble est à sa charge.
L'Entreprise doit employer impérativement des aciers ayant des caractéristiques chimiques et
physiques, au moins équivalentes à celles qui sont imposées par la norme française ci-dessus
mentionnée ; les origines de ces aciers et leurs caractéristiques sont à préciser clairement dans la
proposition.
Les aciers de nuances et qualités Fe 360 C, Fe 510 C doivent faire l'objet d'un certificat de contrôle des
produits en usine (C.C.P.U.).
Les aciers de nuance et qualités Fe 360 D, Fe 510 D doivent faire l'objet d'un certificat de contrôle des
produits en usine (C.C.P.U) et d'une vérification de contrôle en usine (CU).
Ces documents seront transmis au Maitre d’œuvre tout début de fabrication en atelier.
Par ailleurs, Le département construction doit effectuer tous les contrôles nécessaires, afin de limiter
les aléas de fabrication, par exemple : le contrôle aux ultrasons des zones de tôle soumises à des
sollicitations perpendiculaires à leurs faces, où il est susceptible de se produire un phénomène de
décohésion lamellaire dû à des défauts internes de la structure de l'acier.
3.2.3.2. Assemblage
Par ailleurs, l'agrément des soudeurs appelés à travailler sur les ossatures, ainsi que le contrôle et la
réception des soudures, en atelier et sur le chantier, doivent être effectués suivant les directives et par
les soins d'un organisme qualifié agréé par l’ingénieur.
107
L'entreprise doit fournir au Maitre d’œuvre, les documents suivants : [pour les classes 1 et 2]
106
- Les qualifications des soudeurs et des opérateurs en cours de validité, - le
programme de soudage,
- Qualification du mode opératoire de soudage,
- Les fiches de vérification prévues aux normes NFP 22-471, 472 - 473 et 474, - les
procès-verbaux d'essais effectués par l'organisme agréé.
Les frais correspondant à ces diverses prestations sont à prendre en compte par l'Entreprise.
Le système de soudure sur les pièces en acier moulé devrait prendre en compte la composition de la
pièce moulée (plus particulièrement le carbone équivalent).
Les soudures devront être acceptées par l’ingénieur sur le plan esthétique. En particulier toutes les
soudures visibles doivent être continues et parfaitement meulées.
Les soudures sont contrôlées suivant leur classe 1 ou 2 ; l'étendue des essais est définie par la norme
NF P 22-473 (sauf stipulation plus sévères dans le présent CCTP).
Examen visuel des soudures. Toutes les soudures seront examinées visuellement et vérifiées quant à
leur forme, leurs dimensions et leurs défauts de surface.
L’entrepreneur effectuera des essais sur les plaques d'assise avant et après soudage en vue du risque de
défauts dans la plaque qui peuvent provoquer sa déchirure sous les efforts de traction.
Aux positions où des platines ou tubes sont soudés sur la paroi d'un plus grand tube, les efforts dans le
plus grand tube seront contrôlés selon la norme appropriée ou, à défaut, selon une norme acceptée par
l’ingénieur ou, à défaut, les essais seront effectués.
Pour tout joint dont la performance ne peut pas être clairement prévue par les normes acceptées,
l'Entrepreneur effectuera une série d'essais de prototypes pour vérifier la performance.
2.3.3.2.2. Ancrages
Le département construction titulaire du présent lot doit avant livraison de la charpente suivant le
planning d'exécution, soit fournir les platines avec tiges d'ancrages (platine pré- scellée), soit indiquer
les réservations pour boulons d'ancrage.
109
La fourniture des clefs d'ancrage, la mise en place des tiges ou boulons d'ancrage, le bétonnage des
boîtes d'ancrage sont à la charge du présent lot.
Le calage fin des appuis est à la charge de l’Entrepreneur.
Toutes les masses métalliques entrant dans la composition de l'ouvrage, sont connectées entre elles
pour assurer une liaison équipotentielle et sont reliées à la terre suivant les normes françaises en
vigueur (Norme NF.C.15-100 concernant la protection des ouvrages par mise à la terre et autres
normes de sécurité), en vue d'assurer l'écoulement des charges statiques et des courants induits, ou
ceux dus à des connexions accidentelles.
En conséquence, au droit des jonctions entre les éléments de l'ossature, les surfaces en contact ne sont
pas peintes et devront être dégagées de toutes calamines ou salissures éventuelles (terre, ciment,
graisses etc.).
Si ces conditions ne sont pas respectées, les pièces doivent être alors connectées entre elles par un
câble en cuivre de 30 mm2 de section au minimum, ou par un cordon de soudure d'au moins 200 mm2
de section (cordons a = 4 mm longueur = 50 mm) dans cette éventualité, la fourniture et la mise en
œuvre de ces éléments de jonction est à considérer à la charge de l'Entreprise.
A noter que la mise à la terre proprement dite est à la charge du lot ELECTRICITE.
3.2.3.4.0. Généralités
Le département construction doit protéger contre la corrosion toutes les parties métalliques en fonction
de leur qualité, de leur utilisation et en tenant compte des conditions ambiantes auxquelles elles seront
soumises.
Les parties métalliques noyées dans le béton doivent être protégées par un enduit spécial assurant une
bonne liaison avec le béton et évitant la corrosion.
3.2.3.4.1. Peinture
Les travaux de peinture incluent la préparation des surfaces, l'application des peintures, la protection
pendant le transport et le montage, ainsi que la fourniture de tous les outils, main d'Œuvre et matériels
nécessaires.
Toutes les surfaces à peindre doivent être nettoyées pour éliminer les traces de soudure, rouille,
calamine, incrustations ou autres irrégularités.
Toutes traces d'huile ou graisse doivent être éliminées en utilisant des solvants adéquats.
Toutes les surfaces métalliques à peindre en atelier ou sur place doivent subir un traitement préalable
par sablage, de façon à assurer la parfaite adhérence de la couche de base qui est à appliquer dans les
quatre heures qui suivent la préparation des surfaces à peindre. S’il y a eu ré oxydation entre-temps, le
traitement des surfaces doit être effectué à nouveau.
108
3.2.3.4.1.1. Application de la peinture
Les peintures doivent être appliquées suivant les règles de l'art pour obtenir une pellicule d'épaisseur
uniforme recouvrant tous les angles et porosités de surface. Les arêtes ébarbées doivent recevoir une
couche préliminaire avant application de chaque couche. Chaque couche a une couleur différente.
Toutes les peintures doivent être appliquées sur des surfaces parfaitement sèches et dans des
conditions appropriées de température et d'humidité.
L'application au pistolet doit se faire en respectant les prescriptions du fabricant (viscosité et pression
de pulvérisation, appareils, buses, etc.).
Les surfaces peintes qui auront subi des dommages doivent être retouchées par l’entreprise.
L'implantation des ouvrages s'effectue à partir des repères fixes de référence dont Le département
construction assure sous sa responsabilité la mise en place et l’entretien ; ces repères disposés en-
dehors de l'emprise des ouvrages servent de base pour l'implantation et le nivellement de la charpente
métallique.
Avant le montage, Le département construction est tenu de vérifier l'implantation et le nivellement des
appuis de tous genres sur lesquels doivent reposer ses ouvrages, conformément - DTU ° 32.1 "Cahier
des Clauses Spéciales".
Le montage et le réglage de l'ossature métallique doivent être effectués sur le chantier, selon les règles
de l'art, en observant soigneusement les aplombs, les alignements et les niveaux.
L'Entreprise sera responsable et supportera les frais occasionnés lors de la mise en œuvre des autres
corps d'état par le non-respect des tolérances maximales indiquées ci-après :
La conception de l'ouvrage et les contraintes qui s'y rattachent imposent à l’entreprise une analyse
complète de toutes les sujétions inhérentes au montage et au réglage de l'ossature.
110
En conséquence, la prestation relative au présent lot doit comprendre, outre les moyens de levage
adaptés au chantier, la fourniture, le montage et le démontage de tous les dispositifs complémentaires
nécessaires à la bonne exécution des travaux, et notamment : contreventements, étaiements, etc. de
caractère provisoire, qui ne sont pas indiqués explicitement dans le présent marché, car considérés
comme du ressort exclusif de l'Entreprise.
Il en est de même pour tous les travaux de renforcements localisés de l'ossature, pouvant résulter des
solutions de montage retenues par l'Entreprise, ainsi que de l'étude d'exécution relative à ces choix. Le
marché de l'entreprise du présent lot est réputé tenir compte de la totalité de ces sujétions.
Dans le cas de détérioration accidentelle de certains éléments au cours de ces différentes opérations,
Le département construction a l'obligation d'effectuer à sa charge les réparations nécessaires avant
montage
; Ces interventions en atelier ou sur chantier ne doivent en aucun cas modifier les capacités initiales de
résistance des éléments considérés.
L’entrepreneur devra la mise en œuvre d’ossature verticale des coursives extérieures par poteaux
métalliques en tubes ronds liaisonnés à la structure béton armé par l’intermédiaire de platines.
Compris toutes sujétions de liaisonnement, d’ancrages et fixations, ainsi que celles liées au
positionnement de descentes eaux pluviales dans certains poteaux « non-structurels ».
Une couche de peinture primaire au cromat de zinc, ép. Min 40 µm appliquée en atelier sur
l’ensemble de l’ossature préalablement dégraissée ou tout type de peinture à l’agrément de
l’ingénieur, à l’exclusion du minium de fer.
extérieures
111
Il est prévu d’installer des mains courantes en acier galvanisé de 30cm de hauteur formée d’un tube
Lisse rond de 40mm de diamètre, de supports en tube carré de 40mm tous les 700mm ancrés au mur
de bloc de béton. Finition de peinture à l’huile (glycérophtalique).
112
3.2.3.6.1.1. Barrières d’entrée
Il est prévu d’installer trois barrières aux entrées de la parcelle. Avec un mécanisme électromécanique.
3.2.3.6.1.2. Portes
Les portes d’extérieure métalliques seront en acier galvanisé, peintes.
3.2.3.6.1.3. Lames
Sur les façades du parking, il est prévu une zone de lames d’acier galvanisé de ventilation et qui
empêche l’entrée d’eau. La fermeture est composée de lames d’acier galvanisé, de 22 cm chacune et
épaisseur minimum de 3 mm, y compris, le bâti du périmètre à base de platines pour fixation à la
structure et pieds verticaux intermédiaires nécessaires pour garantir la rigidité des dites lames. Sur la
face interne du bâti, des mailles de protection contre les oiseaux seront fixées.
3.2.3.6.1.4. Clôture
Pour la clôture du site on propose une fermeture avec un grillage galvanisé et plastifié, composé de
fils de 3 mm supporté par des tubes galvanisés et plastifié. Les tubes seront fixés au mur de pourtour
en béton armé. Ils auront des hauteurs différentes en fonction des différentes de la topographie du site.
3.2.3.6.1.5. Grilles
Gilles de ventilation à lames inclinées
Grilles à lames inclinées et doublage intérieur par un grillage type moustiquaire. Dimensions 0,40 x
0,60m hauteur.
L’ensemble sera réalisé en acier galvanisé peint et scellé dans le
Béton Grilles d’aération
Grilles à lames renversées en acier galvanisé peint modèle AES- SONEL scellées dans le Béton.
3.2.3.6.1.6. TRAPPES
Trappe de 0,80 x 0,80m constituée de :
Cadres en cornière de 50 x 50 x 3mm scellés dans la maçonnerie
Trappe en tôle striée le ferrage comprend :
- Paumelles,
- Poignée escamotable,
- Système de condamnation,
- Panneaux posés en feuillure avec butée d’arrête pour maintien en position
d’ouverture.
3.2.3.6.1.7. ECHELLES
Echelle en aluminium anodisé 20 microns et sera constituée de :
- 2 montants latéraux en 40 x 27 mm espaces de 0,40m fixés à la paroi par des crochets en
acier galvanisé peints
- Des barreaux en profilé tubulaire de 22 x 22 mm
113
CHAPITRE 4 : ELECTRICITE COURANT FORT – COURANT FAIBLE
Le présent lot concerne les travaux du lot 300 de la liste et décomposition des lots du présent document.
Le déroulement des travaux devra impérativement respecter le phasage d'exécution fourni par la
maîtrise d'ouvrage.
Il est rappelé que les travaux se dérouleront en zones de travaux libres mais en milieu occupé et que le
maintien opérationnel des installations électriques de ces niveaux et des services généraux pendant le
chantier est une priorité à assurer pour permettre la continuité de l'exploitation.
L'entreprise devra donc tout mettre en œuvre afin d'assurer ce maintien opérationnel et réaliser les
prestations permettant d'éviter les coupures secteur et de communications des installations des zones
en exploitation.
-Les fiches techniques précisant les caractéristiques exactes du matériel, les divers agréments,
Il appartient à cette dernière d'établir son étude pour que les prix unitaires et le prix global qu'elle
indiquera soient calculés en tenant compte des dispositifs, diamètres de canalisations, sections de
gaines, caractéristiques du matériel, des difficultés d'exécution et des impératifs du maître d'ouvrage,
etc...
En toute circonstance, l'entreprise demeure seule responsable de tous dommages ou accidents causés à
des tiers, soit de son propre fait, soit de son personnel lors ou par suite de l'exécution des travaux.
114
Le département construction assurera sous la direction de la maîtrise d'œuvre la synthèse de ces
travaux avec les autres corps d'état.
Le présent lot est traité à prix global forfaitaire. Celui-ci doit être déterminé conformément aux plans
de l'architecte et aux conditions du présent document.
En principe, seul le C.C.T.P propre à chaque lot est joint au dossier de consultation, mais il est précisé
que l'entrepreneur doit prendre connaissance des C.C.T.P des autres lots.
L’entrepreneur ne peut, de ce fait, prétendre ignorer les prestations et obligations des autres corps
d'état dont les travaux sont exécutés en liaison avec les siens.
Dans le courant du délai d'études, il doit signaler par écrit toute omission, tout manque de
concordance ou toute autre erreur qui aurait pu se glisser dans l'établissement des documents de
consultation, faute de quoi il est réputé avoir accepté les clauses du dossier.
Par le fait de soumissionner, chaque entrepreneur contracte l'obligation d'exécuter l'intégralité des
travaux de sa profession, nécessaires pour le complet et parfait achèvement de la construction
projetée, conformément aux règles de l'art, quand bien même il ne serait pas fait mention
explicitement de certains d'entre eux aux C.C.T.P.
Dans le cas où les stipulations du C.C.T.P ne correspondraient pas à celles des plans, notamment en ce
qui concerne les dimensions, Le département construction se doit d'envisager la solution la plus
onéreuse. De ce fait, il ne peut réclamer aucun supplément en s'appuyant sur le fait que la désignation
mentionnée sur les plans d'une part, et sur le C.C.T.P d'autre part, pourrait présenter d'inexact,
d'incomplet ou de contradictoire.
Enfin, il est précisé que l'entrepreneur ne pourra arguer d'un oubli de localisation du C.C.T.P pour
prétendre à supplément sur le prix forfaitaire de son marché, si l'ouvrage concerné figure aux plans.
En toute circonstance, l'entrepreneur demeure seul responsable de tous dommages ou accidents causés
à des tiers, lors ou par suite de l'exécution des travaux résultant, soit de son propre fait, soit de son
personnel.
L’entrepreneur doit vérifier et prendre sous son entière responsabilité, sans possibilité de modification
du montant de son marché, le dimensionnement de l'ensemble de ses ouvrages ; les éléments pré
dimensionnés du dossier de consultation n'étant qu'indicatifs.
Le présent lot devra également prendre en compte dans l’exécution de vos ouvrages, les avis et
recommandations du Bureau de Contrôle.
4.0.0.2.0. Brevets
L’entrepreneur garantira qu'il a la propriété des systèmes, procédés ou objets qu'il emploie et, à défaut,
s'engagera auprès du Maître de l’ouvrage à acquérir toutes les licences nécessaires relatives aux
brevets qui les couvrent.
L’entrepreneur sera chargée d'établir, à ses frais, tous les contacts avec les Services Publics ou Privés
(AES SONEL, ORANGE CAMEROUN, etc…), afin d'assurer une parfaite réalisation des
installations.
115
Ces démarches s'effectueront sous le contrôle et en accord avec le Maître d'œuvre.
116
4.0.0.2.2. Matériaux
Pour le matériel spécifique, l'Entrepreneur fournira, pour chaque appareil, une documentation
complète accompagnée des caractéristiques techniques et des procès-verbaux d'essais en usine.
L’entrepreneur désignera, dès la passation du marché, une personne spécialement chargée du présent
lot.
Cette personne devra avoir toutes les compétences requises pour répondre à toutes les questions
concernant les installations et ceci pendant la durée intégrale d'exécution des travaux.
4.0.0.2.4. Coordination
L'entrepreneur tiendra compte dans le déroulement de ces travaux des interventions des autres corps
d'état.
-de retarder ou d'avancer certains travaux en fonction de l'avancement des autres corps d'état,
-de tenir compte dans ces travaux, des équipements de ces corps d'état.
Aucun changement au projet retenu ne pourra être apporté en cours d'exécution sans l'autorisation
expresse du Maître de l’ouvrage, les frais résultant des changements non autorisés et toutes leurs
conséquences, ainsi que tout travail supplémentaire exécuté sans écrit, seront à la charge du
département construction.
Une période sera prévue pour les réglages et essais avant réception. Cette phase s'effectuera en dehors
des périodes de fonctionnement des installations relatives aux besoins du chantier.
Durant cette phase, tous les frais de main-d’œuvre et d'entretien seront à la charge de l'Entreprise, à
l'exception de ceux concernant la fourniture de l'électricité.
Le Maître de l’ouvrage entrera en possession des ouvrages dès notification favorable du procès-verbal
de réception.
L'Entreprise devra assurer, pendant 3 jours à plein temps après réception, la présence d'un Technicien
qualifié ayant participé à l'étude du projet, afin d'informer le personnel chargé de l'exploitation.
117
4.0.0.5. Garantie de l'entreprise
La période de garantie portera sur deux années à compter de la date de réception, conformément à la
Loi n° 78.12 du 04 Janvier 1978.
Durant cette période, l'Entreprise sera tenue de remédier à tous désordres nouveaux et elle devra
procéder à ses frais (pièces et main-d’œuvre) au remplacement de tout élément défectueux de
l'installation.
Le département construction disposera d'un délai de soixante jours, sauf accord contraire avec le
Maître de l’ouvrage, pour remédier aux désordres dès notification de ceux-ci ; passé ce délai, le
Maître de l’ouvrage pourra faire exécuter ces travaux aux frais, risques et périls de l'Entrepreneur
défaillant.
égard. L’entrepreneur devra tenir compte des phasages de chantier dans son offre.
4.0.0.7.0. Généralités
Les notes de calculs faisant partie de ce dossier constituent un exemple de celles qui doivent être
établies pour l'exécution. Les bases communes calculées avec la tension nominale normalisée de
fonctionnement sont les suivantes :
a) Échauffement :
Compte tenu de la température du milieu dans lequel sont placés les appareillages et canalisations, les
intensités admissibles compatibles avec l'échauffement seront celles indiquées par la norme NFC 15
100 et les recommandations des constructeurs.
b) Chutes de tension :
A l'exception des installations de branchement liées au respect de la norme NFC 14.100, les
installations avales respecteront les impositions ci-dessous :
En dehors de toute valeur numérique, celles-ci ne devront jamais dépasser une limite qui soit
incompatible avec le bon fonctionnement au démarrage et en service normal de l'utilisation alimentée
par la canalisation intéressée,
En règle générale, on peut admettre que pour des utilisations courantes, les valeurs ci-dessous servent
de limites supérieures.
118
c) Eclairage :
3 % au total pour le point le plus défavorisé se répartissant en 1 % dans les réseaux généraux et 2 %
dans les circuits terminaux.
d) Force motrice :
Pouvoir de coupure :
Les appareils utilisés pour la protection et la coupure des différents circuits devront être compatibles
avec le courant de court-circuit possible en régime de crête asymétrique.
f) Résistance mécanique :
Les matériaux utilisés devront présenter une résistance mécanique suffisante pour résister sans
vieillissement ni déformation aux effets statiques et dynamiques courants, ainsi qu'aux contraintes
dynamiques liées au passage des intensités de court-circuit définies ci-dessus.
En conséquence, certaines installations telles que câbles, chemins de câbles, jeux de barres, serrurerie,
supports, etc.…, devront être particulièrement soignées en utilisant des matériels de première qualité.
Les sections des conducteurs portées sur le plan ou indiquées dans le présent document ne sont
données qu'à titre indicatif.
D'une façon générale, toutes les sections seront déterminées par l'Entreprise chargée de la réalisation
des travaux, en tenant compte de la chute de tension, de l'échauffement admissible, du réglage des
appareils de protection et des tableaux de la NFC 15 100, concernant les installations électriques.
Il est rappelé que la chute de tension maximale admissible entre le point branchement basse tension et
le point d'utilisation ne doit excéder en aucun cas 3 % de la tension de régime pour l'éclairage et 5 %
pour la force motrice. Cette chute de tension s'entend lorsque seront normalement alimentés tous les
appareils d'éclairage et les récepteurs force susceptibles de fonctionner simultanément.
Dans tous les cas, les sections portées aux plans joints, constituent des minima que, sauf accord écrit
du Maître d'œuvre et après examen des notes de calcul à produire par l'Entreprise, il convient de
respecter.
En tout état de cause et en règle générale, les sections minimales imposées pour les câbles basse
tension seront de :
Enfin, il est spécifié que la responsabilité de l'Entreprise en matière de détermination de la section des
conducteurs sera pleine et entière. Toutes les canalisations d'un quelconque circuit de l'installation,
dont la section des conducteurs s'avérerait après vérification insuffisante, seront remplacées et
119
refaites, conformément aux prescriptions du présent document par les soins et aux frais exclusifs de
l'Entreprise.
120
La section du conducteur neutre ne devra pas être inférieure à la section (unitaire) du /des
conducteur(s) de phase du circuit.
i) Niveaux d'éclairement :
Les coefficients minimums d'uniformité et les niveaux d’éclairement moyens à maintenir seront ceux
indiqués sont précisés dans le paragraphe ' Appareils d’éclairage '.
Des chutes de tension admissibles par les relais et les indicateurs, de manière à éviter toute défaillance
de chacun des systèmes présents dans ce descriptif, des tensions admissibles par les organes de
commande, du mode de pose des câbles, des impératifs constructeurs.
Pour les traversées de plancher et des parois verticales, les câbles passeront à l'intérieur de fourreau de
diamètre approprié. L'extrémité supérieure de chaque conduit fera saillie au-dessus du plancher d'une
hauteur de 11 cm minimale.
Les extrémités des fourreaux seront obturées afin d'assurer le même degré coupe-feu et la même
protection contre les pénétrations des liquides que ceux prescrits pour les éléments de la construction
dans lesquels ils sont placés. Le produit à utiliser sera du type système coupe-feu étanche aux fumées
avec P.V par organisme agréé, de marque 3M, HILTI ou équivalent approuvé. Ce produit sera soumis
à l'approbation du Service de sécurité avant son emploi.
l) Conditions d'environnement :
Les caractéristiques des matériels et de mise en œuvre seront adaptées aux classes d'influences
externes des locaux dans lesquels ils seront installés conformément à l'article 5.12 de la NFC 15.100.
Les canalisations doivent être protégées par dispositif différentiel de calibre < 500 mA.
Les alimentations des équipements seront directement issues de l'armoire générale avec protection
contre les surcharges et les court-circuit, placés en amont de ces locaux.
Les canalisations étrangères à l'exploitation de ces locaux, mais les traversant, ne doivent pas
comporter de connexions à l'intérieur de ces locaux.
Indice de protection
121
L'IP indiqué ci-après est l'indice de protection minimale que devra respecter L’entrepreneur, suivant le
local considéré pour respecter les conditions d'influences externes.
Dans tous les cas pour tous les locaux, les pénétrations des canalisations dans ces appareils ne devront
pas diminuer les I.P. ; les pénétrations des canalisations "saillies" dans les appareils se feront donc par
presse-étoupe avec joint d'étanchéité et serre-câbles lorsque cela est nécessaire.
Sanitaires 23 07 (2 joules
Les disjoncteurs et les divers équipements des armoires devront être définis de façon à assurer une
sélectivité verticale, compte tenu des équipements réellement installés, il appartient à l'Entreprise de
les déterminer lors de son étude en fonction des éléments suivants :
Les puissances des équipements, les sections des câbles, les longueurs des canalisations,
Entre les différentes protections (sélectivité verticale entre les étages de protection), la protection des
personnes.
Cette remarque est à prendre en compte depuis l'origine de l'installation jusqu'aux protections
terminales des circuits d'utilisation et concerne toutes les protections.
122
4.0.0.8. Documents du présent dossier
Les documents faisant partie du présent dossier de consultation sont les suivants :
- la légende
- Schémas de principe
Toutes les fournitures et tous les travaux nécessaires au parfait achèvement des ouvrages selon les
règles de l'art seront prévus, le présent descriptif n'étant pas limitatif.
D'une manière générale, tous les travaux entraînés par une modification apportée par le titulaire du
présent lot, à la solution de base faisant l'objet de l'appel d'offre seront obligatoirement exécutés par
les titulaires des lots spécialisés, sous la responsabilité et à la charge du titulaire du présent lot.
Les origines et les limites des travaux à exécuter entre les différents corps sont définies comme suit:
- Les câbles d’alimentations électriques laissés en attente au droit des équipements des
lots Climatisation – ventilation / Plomberie avec, pour chaque, 3m de mou - Les liaisons
équipotentielles selon la NF C 15100
- Les raccordements des câbles laissés en attente par le lot Electricité Courant
Fort - Les armoires électriques Climatisation – ventilation / Plomberie
123
A la charge du lot Courant Faibles
- Les raccordements des câbles laissés en attentes par le lot Electricité Courant Fort
- Les raccordements à la terre informatique des équipements VDI à partir des attentes
du lot Electricité Courant fort
- Les plans de réservations pour la sortie des réseaux en toiture du présent lot,
- Les plans de tracés des réseaux en toiture avec indications de l’inter – distances
de fixations des chemins de câbles,
- La fourniture de crosses de toiture.
125
4.0.0.9.8 Lot Cuisine
• Les raccordements électriques de toute nature entre les borniers et jeux de barres laissés en attente
sur les armoires des groupes électrogènes et le TGBT.
NFC 11-200.
NF C11-001 Textes Officiels relatifs aux conditions auxquelles doivent satisfaire les distributions
d’énergie électrique.
NFC 15-100.
Eclairage :
126
Association Française de l’Eclairage.
Norme NF EN 12464-1.
NFC 15-100, Edition 2002 : Pour le choix des caractéristiques électriques et mécaniques approprié à
l’environnement. Section : 237.1, 237.2., 237.3, 237.4.
Système de sécurité incendie –règles de conception –alimentation électrique de sécurité dans les
établissements recevant des travailleurs.
Règlement de sécurité pour les ERP, article EC4, EC6 pour l’éclairage, EL5 pour les locaux de
service Electrique, EL7 pour les groupes électrogènes, chapitre VII section III pour l’Eclairage de
sécurité.
Prises de courant :
Pour les installations temporaires : Les prises doivent être conformes à la norme NF EN 60309-1
(C63300)
NFC 15-100, Edition 2002, les Parafoudres : Section 534.1 (choix et mise en œuvre), 771.443
(Locaux d’habitation).
NFC 15-100, Edition 2002: Section 253.2.: Tableau 53E (Dispositifs de commande et de
sectionnement).
127
NFC 15-100, Edition 2008.
128
Réglementation française de sécurité incendie dans les bâtiments à usage de bureaux et ER.P.
Raccordements électriques :
NFC 32-102, NFC 32-321, NFC 32-207, NFC 32-202: Câbles BT isolés et conducteurs isolés.
NFC 15-100, Edition 2002, Tableaux 52A à 52V: Choix des sections de câbles BT, chute de tension
admissible, Type d’isolation, courant et tension admissible. N.F.C. 52.100 transformateurs de
puissance sec.
Distribution III+N
Tension nominale 230/400 V
Tension nominale
220/380 V
D’utilisation
Tension maximale phase
terre 250 V
Fréquence nominale 50 Hz
Il est proposé l’installation de deux transformateurs secs de 630 kVA dans les bâtiments annexes
d’énergie. Cette puissance sera confirmée dans le projet exécution.
Le deuxième, avec une connexion IT pour alimenter les installations de sécurité et prioritaires. Il sera
installé un transformateur d’isolement IT-TT pour alimenter les installations prioritaires.
Les transformateurs seront dimensionnés pour qu'en cas de défaut du transformateur à raccordement
IT, le transformateur à raccordement TT puisse alimenter la totalité des installations de sécurité. Pour
ce faire, il est prévu d’installer un interrupteur de couplage, en position ouverte, entre les barres de
normal et de prioritaire.
La distribution de secours sera réalisée depuis les deux groupes électrogènes à fonctionnement en parallèle
qu’on prévoie aux bâtiments annexes d’énergie. Ils sont prévus pour fournir l’énergie
129
Électrique nécessaire pour les installations de sécurité et prioritaires de ce bâtiment et du bâtiment
Technique.
Des systèmes à commutation automatique seront installés entre les deux distributions pour empêcher
le couplage simultané de ces dernières.
Les équipements et installations électriques seront conçus pour fonctionner à partir de 02 sources
d’énergie Electrique :
4.2. Le transformateur
Le transformateur sera fixé sur un poteau en béton armé situé à l’entrée du site côté opposé au totem.
Poste de transformation
Le local TGBT doit répondre aux exigences de la partie 7-781 du NFC 15-100.
L’alimentation sera faite en coupure d’artère, une arrivée venant du poste extérieur. Il sera
130
procédé au déplacement du câble HTA 12/15kV cheminant actuellement sur l’emprise du
bâtiment.
131
a) Les équipements
* 02 Transformateurs 630KVA type encapsulées dans une résine époxy (isolation sèche-classe F)
y compris accessoires de raccordement 15kV/400V de type immergé y compris toutes
accessoires de mise en régime TT et IT
* 02 Disjoncteur NT10H débrocha blés avec pouvoir de coupure 65kA, équipés de déclencheurs
numériques, avec affichage du courant, tension, harmoniques, puissances, facteur de puissance et
module de communication en protocole modbus monté dans un tableau Prisma Plus référence
de MGE
* Equipements de sécurité
b) Raccordement et liaisons
132
• Par un câble unipolaire de 50mm² à isolation synthétique (conforme à la spécification HN 33S
90), entre la cellule et le transformateur.
Liaison BT puissance Les
Câbles sont :
• Repérés à chaque extrémité (L1, L2, L3 pour les phases, bleu pour le neutre)
c) Circuits de terre
o De tous les matériels à haute et basse tension o Des écrans métalliques de protection o
Le circuit d’éclairage sera alimenté en aval du disjoncteur BT. Un bloc autonome d’éclairage de
sécurité sera prévu (C13-100 § 762.2)
- Des matériaux suivant permettant d’assurer l’exploitation et les manœuvres nécessaires dans des
conditions de sécurité :
133
o Du matériel d’extinction à poudre (bicarbonate de soude hydrofuge) ou au CO2 (neige
fixés sur râtelier pour la cellule comptage o un lot de 3 fusibles HT fixés sur râtelier
o Une partie de gants caoutchouc 24 KV dans coffret mural rempli de talc o une perche
o Un bloc de sécurité portatif type S11 EDF alimentation sur 1 prise de courant alimenté
à cet effet, prise sur l’éclairage du poste.
f) Protection électrique
Relais de protection :
o Le sur fluxage.
Parafoudres HTA :
Dans le cas contraire, il sera nécessaire de protéger le transformateur avec des parafoudres phase
terre installés directement sur les plages de raccordement HTA (en haut ou en bas) du
transformateur.
Il est impératif d'installer des parafoudres phase-terre dans les cas suivants :
134
Lorsque le poste est alimenté par un réseau comprenant des parties aériennes, puis un câble de
En outre, un verrouillage sera également prévu entre le disjoncteur B.T. placé en aval du
transformateur de puissance et la commande du sectionneur placé en amont de celui-ci afin
que la manœuvre du sectionneur soit effectuée à vide après débrochage du disjoncteur B.T.
o Tableau de comptage
o Canalisation de liaison
La liaison moyenne tension, tension nominale 15 KV, sera constituée par un câble
tripolaire isolé P.R.C. à champ radial, munis de prises embroche ables parties mâles, côté
transformateur uniquement. Le câble sera armé et enterré directement dans le sol avec
protection mécanique.
Les liaisons BT entre transformateur et tableaux basse tension cheminera sur chemin de
câbles perforés
Il devra être réalisé conformément aux Article EL14 ,15 et EL16 du règlement ERP édition 2002.
Il sera prévu des contacts secs en attente pour la remontée des alarmes au niveau du PCS. Le TGS
sera logé dans le local TGS.
135
Le guide UTE C15 105 comporte les longueurs maximales du circuit à ne pas dépasser
pour que la protection contre les contacts indirects en régime IT soit assurée par les
appareils utilisés contre les surintensités figurant dans les schémas électriques.
Toutefois lorsque la longueur d’un circuit excédera la valeur maximale préconisée dans le
guide ci-dessus cité, l’utilisation d’un dispositif différentiel résiduel s’imposera, le réglage
du seuil sera fonction de la valeur du courant de défaut, et pourra atteindre quelques
ampères ou dizaines d’ampères.
Dans l’offre de l’entreprise, les prix d’ensemble de chaque tableau de sécurité devra
prendre en compte le dispositif de protection contre les contacts indirects pour chaque
Circuit.
Pendant les travaux l’entreprise fournira des notes de calcul justifiant le choix des dispositifs de
protection contre les contacts indirects.
Régime de neutre
Installations de Sécurité
• Verrouillages et blocages
Le danger dérivant des fausses manœuvres s’élimine au moyen des verrouillages internes intégrés
dans l’appareillage des cellules et par un système de verrouillage par serrure à clé commune, en
plus des blocages par chaînes.
-Tabouret isolant
-Perche de sauvetage
-Extincteur à CO2 classe de performance 89B à l’intérieur de chaque poste de transformation situé
près de la porte d’accès du personnel.
Les raccordements en basse tension depuis le transformateur situé à l’entrée du site, se fera sous
forme souterraine.
137
Il sera prévu des attentes électriques pour onduleurs modèle de EMERSON ou similaire à chaque
niveau pour l’alimentation des prises ondulées, et des équipements sensibles comme prévu dans les
schémas électriques. Les onduleurs seront logés dans les locaux techniques (Courants forts).
Les tableaux divisionnaires seront placés le plus proche possible de la sortie principale de chaque
niveau, afin d'assurer la répartition, la protection et la commande des circuits « ECLAIRAGE », «
CLIMATISATION »et « USAGES DIVERS ».
Les tableaux de divisionnaires comporteront une séparation physique entre les circuits
"ECLAIRAGE" et "USAGERS DIVERS". Les appareillages de protection, conduits et des
conducteurs devront avoir une température de fonctionnement de 29°C et une température de peak de
35°C, le cas contraire un déclassement des appareillages de protection sera nécessaire.
Les circuits terminaux sont ceux qui alimentent directement les appareils d'utilisation (appareils
d'éclairage, prises de courant et autres usages divers).
Les circuits terminaux ont pour origine les bornes avals du tableau divisionnaire et la limite se
situe au niveau du dernier point raccordé. Dans le présent article, la limite aval sera située au droit de
la dernière dérivation.
Les boîtes de dérivations de dimensions 160mmx160mm seront prévues pour les circuits
D’éclairage, les circuits prises chemineront dans les goulottes ou en encastrées dans la dalle.
Notamment, il y aura lieu de tenir compte des tableaux 52C à 5 2H pour les intensités
admissibles compatibles avec 1'échauffement et des tableaux 53A et 53B de la norme NFC 15.100.
Il sera admis, entre le transformateur et les circuits terminaux, une chute de tension relative de 6
% pour les circuits éclairage et 8 % pour la force motrice. 5% entre le TGBT et les récepteurs (NFC
15- 100 partie 525), 2% entre les tableaux divisionnaires et les récepteurs. La section des
conducteurs ne
138
pourra être inférieure à 2,5 mm2 pour les circuits force et prises de courant et 1,5 mm2 pour les circuits
d'éclairage.
Pour les lignes principales, la section du conducteur neutre pourra être réduite dans la mesure où
l'on pourra calibrer l'appareil de protection omnipolaire à l'intensité maximale admissible par ce
conducteur. La section des conducteurs de terre sera déterminée conformément aux chapitres 4
et 5 de la norme UTE C 15.100.
Les prestations dues au titre du présent article comprennent l’étude du raccordement sur les
borniers des départs situés à l'aval des tableaux électriques et la canalisation jusqu'à la dernière boite
de dérivation raccordée, (point de réservation, point centre). Les canalisations encastrées des circuits
terminaux seront réalisées en conducteurs cuivre série HO7 VU500 passés sous conduit ICTA.3422
pour les foyers lumineux implantés dans les locaux sans faux plafonds (montage encastré).
b. Circuits terminaux "éclairage" en montage non apparent dans les vides des
faux plafonds
Les prestations dues au titre du présent article comprennent les raccordements sur les borniers de
"départs", situés dans les tableaux de distribution jusqu'à la dernière boîte de dérivation.
En conducteurs H07 VU500, sous conduits IRL-3321 fixés en sous face des planchers
Hauts.
Dans les faux plafonds et gaines, les canalisations électriques des circuits, les canalisations de
télécommande des éclairages, les canalisations d'alimentation de l'éclairage de sécurité des niveaux
seront posées sur chemin de câbles en 1 seule couche de section 316mmx96mm et 220mmx50mm
pour le bâtiment annexe, référence de TOLMEGA ou similaire. Ce chemin de câble sera disposé dans
le faux-plafond des circulations, la fixation se fera par suspente dans la dalle des planchers hauts de
chaque niveau, , le dimensionnement sera prévu pour recevoir 1/3 de canalisations en plus de celles
139
prévues au
140
présent dossier. Toutefois dans les couloirs ou il sera impossible de passer les canalisations sur des
chemins de câble, ces canalisations seront passées dans des goulottes PVC ou aluminium dans les
couloirs.
Les conduits pour le fourreautage des dalles seront en gaine annelée avec les diamètres suivants
:
Ø 20 pour les foyers lumineux
Pour les circuits terminaux dans les zones à risque d’incendie les conducteurs seront du type
Résistant au feu avec les diamètres suivants :
141
Interrupteur simple allumage - encastré Schneider-Electric ou similaire Référence ALB 74000
de le série ALCYON. Locaux d’occupation courante non humides,
f. Télérupteurs
142
Les prestations dues au titre du présent article concernent la fourniture et la pose des
télérupteurs bipolaire de la série TL 16A de Schneider-Electric ou similaire, conformément aux plans,
ces interrupteurs sont installés dans les tableaux divisionnaires.
g. Bouton-poussoir
Les prestations dues au titre du présent article ont pour objet la fourniture et pose d'un bouton-
poussoir lumineux réf. ALB 74 035 de la série ALCYON de Schneider-Electric ou similaire.
. Toutefois pour l’éclairage des grands espaces telles que les parkings, il sera prévu des
boutons poussoirs modulaires 10A de Schneider-Electric logés dans des tableaux électriques ou
similaire.
Les canalisations d'alimentation sera constituée par des conducteurs H07 VU500 section
minimale 2,5 mm2 (âme cuivre) disposés sous conduit ICTA 3422, en montage non apparent, sous
conduit IRO en montage apparent (suivant la nature des locaux). Pour les prises dédiées aux appareils
spécifiques, la section du câble sera de 2.5mm² à 4mm² pour les prises alimentées en 20A et de 6mm²
pour les appareils alimentés en 32A
Prises de courant pour attente TV, 2P+T 10/16 A Réf. ALB 74 200 série ALCYON de
Schneider-Electric ou similaire, (localisation : confère plans)
Prises de courant encastrée 2P+T 10/16 A Réf. ALB 74 200 série ALCYON de
Schneider-Electric ou similaire, (localisation : confère plans)
Prise de courant étanche apparent 2P+T 10/ 16A, réf : SAR 36 030 de la Série
MUREVA de Schneider-Electric ou similaire, (localisation : confère plans)
143
Boîtier préfabriqué encastrée équipé de : 01 Bloc de 02 prises ondulées ,01 Bloc de 02
prises 2P+T 10/16A ,01 Bloc de 02 prises RJ45 CAT6, référence U22.734.30 de
Schneider-Electric ou similaire, (localisation : confère plans)
Bornier préfabriqué modèle à poser dans le table équipé de : 02 prises 2P+T 10/16A, 01
prises RJ45 CAT6, référence de BAUCHMAN ou similaire, (localisation : confère
plans)
4.4. Éclairage
Appareils d'éclairage
Le présent article a pour objet de définir les types d'appareils d'éclairage et des sources
lumineuses optimales pour l’éclairage.
144
SERMES LAMDALUX SOUL LED24 31324126 inclus poteau 4ML CYL CON et accessoire
ou similaire, (localisation : confère plans)
SERMES LAMDALUX MILAN LED 84 ou similaire, inclus poteau et accessoires,
(Localisation : confère plans)
BAEA 435 Lumens, référence LENS N8SF A + KADGP LENS de DAISALUX pour
Éclairage d'ambiance référence de Schneider-Electric ou similaire (localisation : confère
plans)
Cet éclairage devra permettre lorsque l'éclairage normal est défaillant, l'évacuation des
personnes et les manœuvres intéressant la sécurité et l'intervention des secours, il sera prévu un
éclairage de type C. Cet éclairage comprendra essentiellement un éclairage avec des flèches de
direction pour trouver la sortie.
L’éclairage de balisage sera assuré par des blocs d'une autonomie 1 h. Leur mise au repos sera
assurée par des blocs de télécommande.
Le présent article a pour objet de définir les installations électriques particulières comprenant
Les installations de mise à la terre et d'interconnexion et les parafoudres et le paratonnerre.
Une sortie en boucle sera prévue dans le local technique et une autre pour le paratonnerre. Il
sera installé dans le local technique une barrette de coupure pour essais.
Seules les prises de terre à fond de fouille, les interconnections entre prise de terre, les lignes
de terre, les interconnections et les liaisons électriques sont concernées par le présent article.
L’entreprise devra fournir un plan d’exécution de la prise de terre du bâtiment.
Les dérivations divisionnaires qui aboutissent aux points de connexion des masses d'utilisation
se rapportent aux installations relevant des canalisations secondaires et des circuits terminaux.
Elles sont, conformément à la NFC 15. 100, de section égale à: Sp = Sph pour Sph < = 16
mm²
146
4.5.1. Compensation d’énergie réactive
La compensation sera automatique et tiendra compte de la puissance des équipements générant
des harmoniques (Onduleurs, redresseurs, variateurs de vitesse,)...Les bancs de compensation devront
être de type sec ,et calculé par la méthode classique , et avec un cos phi finale à atteindre qui est de
l’ordre 0.95 .Les bancs de compensation préconisés seront de type Varset SAH ,avec une protection
automatique type NS630 et un interrupteur en charge type INS 630 de Merlin Gerin ou similaire .Ces
bancs seront installés auront leur départ au TGBTN et au TGBTR .
Coffret déclencheur manuel incendie double action encastré avec volet plombable
(Localisation : confère plans)
Diffuseur sonore classe B (90 dB) monobloc de 140x120x60mm, pose en saillie, série confort.
(Localisation : confère plans)
Détection automatique pour SSI catégorie A comprenant la tête de détection, le socle, avec voyant
d'alarme.
Système optique de fumée permettant la détection rapide d'un début d'incendie avant l'apparition
des flammes pour l'ensemble des locaux <<OU>> thermo vélocimétrique agissant sur élévation
brusque de température avec seuil à + 60 ° C. Ces détecteur sont installés dans les locaux émettant,
en exploitation normales, de la vapeur ou de la fumée pour les locaux à risques (cuisines, combles,
lingerie)
Ces détecteurs peuvent être associés à un indicateur d'action en circulation quand ces derniers
sont situés dans des locaux fermés.
-Détecteur optique
-Indicateur d'action lumineux
(Localisation : confère plans)
147
Ce tableau sera équipé des organes d'alimentation, de gestion du processus d'alarme, de diffusion
du signal sonore (NF S 32.001) et des contacts secs nécessaires à la diffusion de l'alarme restreinte
et de l'alarme générale.
- Des blocs autonomes d'alarme, du type SA, conformes à la norme NF C 48.150 et estampillés NF
AEAS, émettant le son AFNOR NFS 32.001, autonomie 72 heures + 5 minutes d'alarme
générale.
Ces blocs, pilotés par le tableau d'alarme, seront installés en nombre suffisant pour que l'alarme
soit audible par l'ensemble des occupants.
- D’un tableau de signalisation autonome alimenté sur secteur, 1 boucle, équipé des organes
d'alimentation, de gestion du processus d'alarme et d’un diffuseur d’alarme sonore NF S 32-001.
- Des diffuseurs sonores émettent le son AFNOR NF S 32-001. Ces avertisseurs seront installés
en nombre suffisant pour que l’alarme soit audible par l'ensemble des occupants. - de déclencheurs
manuels, répartis à chaque niveau près de chaque escalier et au rez-de-chaussée à proximité de
chaque porte de sortie. Ces déclencheurs manuels, à membrane déformable, seront installés entre
1,30 et 1,80 avec une recommandation à 1,50 m du sol fini.
(Localisation : confère plans)
Le réseau terminal Informatique et téléphonique sera identique, on aura donc avoir une prise RJ45
pour la connexion de la station Ethernet et une autre prise RJ45 pour le Téléphone. Les téléphones
prescrits seront numériques, toutefois un adaptateur RJ45/RJ11 pourra permettre l’utilisation des
téléphones analogiques. L’architecture se présente en 4 points de connexions :
1er point de connexion : le poste de travail (prise RJ45).
2eme point de connexion : Le panneau de brassage 3eme
point de consolidation : La baie de brassage.
4eme point de consolidation : Les sources.
148
Les socles a prises normales et ondulée et les prises RJ45 seront installés dans les meubles.
A) L’équipement principal du réseau
L’équipement principal de ce réseau est le Switch, les switchers de marque CISCO ou similaire
utilisés offrent des avantages tels que :
- Possibilité de paramétrage
- Possibilité de segmentation
Le réseau téléphonique sera un réseau IP qui prend son origine à 01 autocommutateur numérique
IPBX (technologie IP) d'une capacité de :
* Cartes pour 300 postes extensibles à 500 postes ; installé dans le local serveur en Bâtiment
Technique.
* 10 lignes GSM
* 01 ensemble de protection parafoudres pour lignes secteur, lignes réseaux, lignes internes
La continuité de service en alimentation en énergie électrique sera assurée par des onduleurs de :
Le réseau informatique prendra son origine au serveur informatique, ensuite la distribution se fera à
travers les Switch et les panneaux de brassage.
Depuis le Switch fibre optique 1 Gigabit, les canalisations emprunteront les passages suivants :
- Les câbles FTP catégorie 7A par chemins de câbles et boxes dans le plancher. Les
boxes se placeront au-dessous des tables.
- Sur l’échelle verticale en fer profilé dans les gaines de courant faibles. Sur ces
échelles, les câbles seront fixés par des colliers tous les 0.30m maximum et
repérées.
149
- Sur les chemins de câbles à fournir au titre du présent lot dans les faux plafonds
des zones de circulations.
- Sur colliers dans le vide des faux plafonds pour les canalisations passant dans les
locaux.
- Sous conduits encastrés dans les cloisons pour le raccordement des prises. La pose
en vrac ne sera pas admise.
Tous les câbles seront repérés tout le 20 mètre maximum par des étiquettes à caractère durable.
Les chemins de câbles, les échelles verticales et les conduits encastrés aiguillés seront fournis
et mis en place par les lots courants forts suivant les plans des parcours des canalisations à
établir par le présent lot.
La distribution
La fibre optique arrivant à l’immeuble par Camtel sera une fibre 3 paires à structure serrée, type multi
mode. Une paire sera dédiée au réseau informatique et téléphone numérique, l’autre sera la paire de
réserve et la dernière sera dédiée à la télévision numérique.
Un réseau de câbles FTP catégorie 7A permettant de raccorder les prises RJ45 aux différents
panneaux de brassage.
Les postes téléphoniques seront tous numériques.
optique On aura :
• Baie de brassage
01 Baie de brassage 42U (800 mm x 800 mm) située au bâtiment technique de chaussée dans le local
technique, courants faibles comme matérialisés sur les plans.
• Coffret de brassage : On aura 01 coffret de brassage 33 (600 mm x 600 mm) unités pour chaque
niveau (niveau 0 au niveau 04). Ils seront logés dans le local GT courants faibles Le Coffret sera
entièrement fermé, livré avec deux montants intérieurs réglables, une porte avant en verre fermé
trempé et une porte arrière pleine.
- Les deux portes sont articulées, serrure sur la porte avant ;
- Robuste construction en acier, revêtement en époxy ;
- Plateau ajouré, fixe ;
Bandeau secteur montage horizontal.
Les différents coffrets de brassage seront reliés en boucle entre eux par dorsale fibre optique.
Touches de fonctions
Touches de
navigation Mode
main libre
Touche transfert
Clavier
Afficheur graphique
Poste secrétariat numérique, CISCO Unified IP Phone 7965, Giga Ethernet, écran graphique LCD
couleur, réf CP-7911G ou similaire.
Modules d’alimentation
Poste mural téléphonique de sécurité
A chaque niveau à l’entrée des ascenseurs sera installé un poste téléphonique de sécurité de couleur
rouge logé dans un coffret de protection. Ce poste sera analogique.
151
CHAPITRE 5 : CLIMATISATION-VENTILATION ET DESENFUMAGE
Le présent lot concerne les travaux du lot 500 de la liste et décomposition des lots du projet
Le bâtiment sera classé comme établissement assujettit au code du travail et sera classé en catégorie 3
Le département construction déclare avoir pris connaissance de toutes les pièces du dossier et les
accepte sans réserve.
Les ouvrages du présent lot devront répondre aux conditions et prescriptions des documents
techniques qui lui sont applicables.
Le soumissionnaire doit obtenir par écrit tous renseignements des concessionnaires concernant
l'opération tels que :
- Tension.
- Régime du neutre.
- Nature de l'eau.
- Paramètre physico-chimique.
- Conditions thermiques.
- Conditions météorologies.
Le marché
L'attention de L’entrepreneur est attirée sur le fait qu'en acceptant le marché elle s'engage pour une
obligation de résultat. Elle se doit prendre en compte tous les éléments et sujétions d'ouvrages,
L'offre de L’entrepreneur devra également inclure toutes les sujétions demandées par le bureau de
Contrôle.
L’entreprise toutes les références de qualification se rapportant aux travaux à exécuter, les attestations
d'assurances seront en cours de validité et pourra sous-traiter certaines parties du marché à la seule
condition que les sous-traitants soient acceptés par le Maître d'Ouvrage.
Rendez-vous de chantier
152
Toute absence aux rendez-vous de chantier implique l'acceptation des décisions arrêtées et
mentionnées au compte rendu.
Des réunions de coordination pourront en outre être organisées en dehors du rendez-vous chaque fois
que le Maître d'Œuvre le jugera utile, avec présence obligatoire du représentant de l'entreprise
convoquée.
minimum. Toutes les règles de l'art sont aussi déterminantes et contractuelles à la signature du
marché
Avant la signature du marché, ce présent cahier des charges peut être modifié par le Maître d'Ouvrage
prenant en compte les observations de l'Entrepreneur ou des variantes que celui-ci pourrait proposer.
De ce fait ce nouveau document sera corrigé et signé afin d'être rendu contractuel.
Les ouvrages du présent lot devront répondre aux conditions et prescriptions des documents
techniques qui lui sont applicables dont notamment les normes et DTU.
L’entrepreneur du présent lot prendra connaissance des dispositions arrêtées dans le Cahier des
clauses Administratives Particulières (C.C.A.P).
Il ne pourra en aucun cas considérer les pièces écrites et les plans d’appel d'offres comme BON POUR
EXECUTION, et présentera un planning détaillant ses tâches.
L’entrepreneur doit faire part soit des omissions ou des imprécisions dans le présent CCTP et les
signalera.
Si des différences entre les plans de base architecte et les plans techniques, seuls les plans architectes
s'imposent.
Les plans techniques sont des supports et seront ajustés le cas échéant.
L’entrepreneur doit prendre connaissance de toutes les pièces énumérées garantissant ses prestations
vis-à-vis des installations des autres corps d'état, du calendrier prévisionnel d'exécution des travaux et
du planning contractuel fixant les délais d'exécution, date et fin des travaux.
Pour les matériaux et procédés '' non traditionnels ou innovants " n'entrant pas dans le cadre des
documents contractuels, l'Entrepreneur devra se conformer strictement aux prescriptions et documents
des avis techniques, agréments européens et aux prescriptions de mise en œuvre du fabricant.
Est considéré non contractuel tous travaux ayant portés modifications sur des matériaux visés par le
CSTB, La NF et REEF.
153
5.1. Caractéristiques des ouvrages en fonction de leur situation et de leur exposition
5.1.0. Données climatologiques de douala
- Altitude : 9 m
- Latitude : +04
- Les données climatiques (moyennes sur onze années) fournies par le Service Météorologique
de Douala sont inclues dans l’Annexe CLM01 qui comprennent également les détails des
températures de 2010 qui seront appliqués pour la sélection du système de climatisation.
- Salle informatique : 24 + 2 ° C, 50 + 10 %
5.1.1.2.Charges internes et de
Appartements, local TGBT : Mise en route simultanément de toutes les unités de traitement d’air
durant les périodes d’occupation et le temps nécessaire à la mise en température des locaux.
Boutique : La climatisation des locaux TGBT, bureau gérant et pompiste sera réalisée
indépendamment de celle des autres locaux, car ces locaux ont un temps de climatisation de 7h/20h.
154
La différence de pression entre les deux côtés de la porte fermée, entre les escaliers et le vestibule
pressurisés, ne doit pas être inférieure à la PA 50 avec les portes fermées. Surface libre : dans les
parkings couverts : 12 dm2/véhicule
Le bilan thermique des différents types de locaux sera établi sur la base des charges d’ensoleillement,
d’équipement, d’occupation, d’éclairage et de ventilation.
On estime à 20 W/m2 les charges internes d’illumination et des équipements sauf dans les zones de
réunions dans lesquelles on les estime à 15 W/m2.
Dans les locaux où un réseau de conduits est nécessaire pour la distribution de l’air (salle
polyvalente), les vitesses optimales de l’air recommandées dans les différents conduits seront les
suivantes :
- - conduit principal : 3 à 6 m/s
- - conduit secondaire : 1 à 3 m/s
Le débit total et les caractéristiques de l’air soufflé seront déterminés par L’entrepreneur au moyen du
diagramme de l’air humide, pour les conditions intérieures et extérieures de base fixées, les apports
totaux de chaleur sensible et latente calculées par ses soins et soumis au MAÎTRE D’OUVRAGE.
5.1.1.5. Clôtures
Les caractéristiques thermiques des clôtures sont tenues compte voir tableau ci-dessous
W/m2k kcal/hm2K
COUBRIR 1 0,86
VITRAGE 1 5,6 4,82
VITRAGE 2 6 5,16
PAROIS VERTICALES 2,75 2,37
1
PAROIS VERTICALES 2,75 2,37
2
PAROI INTÉRIEURE 0,86 0,74
ÉLÉMENT VITRÉ 5,5 4,73
TOITURE
PLAFOND 0,86 0,74
PLANCHER 1,41 1,21
PLANCHER EXT 1,45 1,25
5.1.1.6. Puissance de réfrigération nécessaire des locaux
La puissance nécessaire pour chaque emplacement sera étudiée à différents moment de la journée, pour
obtenir la charge maximale de la chaleur, en fonction duquel les unités intérieures seront sélectionnées.
155
5.2. Prescriptions techniques spécifiques du système de climatisation
Les réseaux de climatisation traversant des zones extérieures, vide sanitaire doivent être protégés
contre le hors gel en appliquant un cordon chauffant entre la canalisation et le calorifuge.
Le thermostat extérieur du cordon peut être réglé de 0 à 10°c permettant sa mise sous tension.
Pour le réglage des installations de climatisation, il sera employé des vannes de réglage.
Ces vannes ont la particularité de réglage du débit, d'isolement de réseaux, de vidange et de mesure de
débit.
Il est à rappeler que l'Entrepreneur doit mettre en œuvre toutes fournitures et matériaux répondant à ces
réglementations.
Toutes prestations différentes au CCTP portant à des incidences financières font partie de la prestation.
Les marques et modèles indiqués dans le CCTP avec la mention " ou équivalent ", ne sont donc
donnés qu'à titre indicatif.
Le département construction pourra proposer des produits différents sous réserve qu'ils soient
équivalents en qualité et dimensions.
œuvre Canalisations :
Les canalisations ne devront aucunement prendre appui sur les pompes et autres organes.
Les robinetteries seront positionnées de façon dont l'exploitant intervienne très facilement.
Lors de passage dans des voiles coupe-feu, l'Entrepreneur se doit employer des matériaux afin
remettre en conformité coupe-feu des parois traversées.
Etiquetage :
Les canalisations seront repérées par des bandes autocollantes de couleurs conventionnelles avec
inscription du fluide concerné.
Calorifugeage :
Le calorifuge sur les canalisations de climatisation est constitué de coquille ligaturée par fil d’attache.
L'épaisseur est de :
Ø139
Lyre de dilatation :
Les effets de dilatations des canalisations seront gérés par des compensateurs à soufflets inoxydables,
par des lyres réalisées par tubes cintrés et par points fixes absorbant les efforts de réactions.
La puissance nécessaire pour chaque emplacement sera étudiée à différents moment de la journée,
pour obtenir la charge maximale de la chaleur, en fonction duquel les unités intérieures seront
sélectionnées.
Selon les données climatiques, il faudra une installation de refroidissement pendant toute l’année. On
va tenir compte aussi des élevées exigences de puissance de la charge latente en raison d’une forte
humidité relative dans la zone.
À cette fin, un système d’Expansion Directe à Débit de Réfrigérant Variable et régulation Invertir est
proposé et présente les avantages suivants :
Ce système présente des nécessités de mouvement de fluides moindres, tout en évitant les
consommations élevées en matière de circulation d’eau ou d’air.
Ce système requiert moins d’espace pour son installation, tout en créant moins de servitudes dans les
locaux, et en facilitant aussi bien le montage que la maintenance postérieure.
Cependant, c’est un système qui n’admet pas de distances excessives entre les unités extérieures et
157
intérieures. C’est pour cette raison que le bâtiment été divisé en zones, chacune avec ses propres
unités extérieures.
158
Cette répartition permet de grouper toutes les unités extérieures dans la toiture, afin d’éviter leur
dispersion dans le bâtiment, ce qui permet de les entretenir plus facilement.
5.5.1. Ventilation
En raison des températures extérieures et pour éviter des consommations excessives de l’installation,
les débits de ventilation sont limités aux nécessités du confort des personnes.
Il s’agit d’un système d’apport d’air extérieur dans chaque zone, à travers des conduites verticales
avec des dérivations à chaque étage. À la sortie de ces conduites à l’étage, deux clapets coupe-feu sont
montés et les embranchements d’étage sont connectés aux unités intérieures à expansion directe, de
manière que la fonction de réfrigération soit ajoutée à celle de la ventilation des locaux en usage.
Le contrôle des unités intérieures dispose d’une fonction de ventilation pour la maintenance de cette
dernière en cas d’atteinte des consignes de température.
Les locaux avec de grandes occupations et à usage différencié sont dotés de systèmes de ventilation
(apport et extraction) indépendants, de manière qu’ils entrent en fonctionnement uniquement lors de
leur utilisation.
Pour la récupération de chaleur dans la ventilation, on installe de climatiseurs d’air primaire, avec des
échangeurs de chaleur. Pour que l’air extérieur qui s’introduit à l’intérieur du bâtiment se tempère
avec l’air d’extraction et qu’il y aille moins de consommation de refroidissement.
Ces climatiseurs auront aussi des batteries d’eau pour refroidir l’air qui s’introduit à l’intérieur du
bâtiment. Pour que ces batteries d’eau fonctionnent, on installera un réfrigérant condensé d’eau. En
raison de la forte humidité de l’environnement, il y aura aussi un système de déshumidification.
Dénomination R 410 A
Groupe de sécurité L A1
159
Caractéristiques A hautes concentrations, il produit des effets soporifiques
Toxiques
Les unités intérieures sont sélectionnées avec une puissance immédiatement supérieure à celle
nécessaire dans chaque local, tout en veillant à ce qu’elles soient capables de couvrir aussi bien la
charge totale que la charge sensible.
Les unités intérieures pour la plus grande partie des locaux comportent des conduites basse pression,
de manière à permettre leur montage dans le faux plafond des couloirs, en réalisant l’impulsion et le
retour grâce à des grilles placées au-dessus des portes ; ainsi, leur installation n’affecte pas l’intérieur
des locaux et permet la maintenance depuis l’extérieur. Par ailleurs, les unités sont zonées afin de
permettre la réforme interne des locaux sans affecter l’installation de la climatisation, avec les
avantages suivants
:
Adaptation à chaque local. Un thermostat de contrôle est installé dans chacun d’eux afin de permettre
à chaque utilisateur de fixer les consignes de température et de vitesse des ventilateurs qu’il souhaite.
Souplesse : ces unités admettent des changements de locaux sans autre opération que celle de
réaffecter les thermostats de contrôle des locaux concernés.
Simplicité de maintenance, permettant des interventions sans nécessité d’entrer dans les locaux.
Pour les locaux à plus grande charge thermique, il est proposé des unités de conduites haute pression,
ce qui permet la distribution d’air à travers un réseau de conduites à l’intérieur du local.
• CONDITIONS CLIMATIQUES
Conditions climatiques extérieures de
base
161
(BILAN A FOURNIR)
5.6. Acoustique
Le département construction devra prendre toutes les précautions nécessaires pour le respect des
niveaux sonores. Des précautions sont à prendre tant au niveau des équipements que de leur mise en
œuvre et des locaux. L’Entreprise fournira à l’appui de son offre, les caractéristiques de tous les
matériels sur le plan acoustique et les dispositions prises pour éviter les transmissions de bruits et de
vibrations ; les calculs des équipements de production contre le bruit seront soumis au Bureau de
contrôle et au MAÎTRE D’OUVRAGE avant toute exécution.
Des supports antivibratoires seront prévus sous tous les éléments en mouvement, (machines
frigorifiques, moteur de ventilateur, extracteurs etc…). Ces socles seront exécutés en béton ferraillé à
50kg/m3 et désolidarisés de la dalle du local par des panneaux de matériau résilient, incombustible et
résistant à la compression.
Il sera en outre prévu aux endroits précisés sur les plans et schémas ainsi qu’à tous autres
emplacements ou ils s’avèreront nécessaires, manchettes souples, manchons anti vibratiles, etc… Les
niveaux de bruits résiduels dus aux équipements devront satisfaire aux deux conditions suivantes :
- Mesurés globalement en décibels pondérés, être inférieurs aux valeurs imposées,
- Mesurés dans les bandes d’octave 63, 125, 250, 500, 1000, 2000 et 4000 Hz, être inférieurs
aux valeurs données par les courbes ISO NC imposées.
Toutes les précautions seront prises pour que les niveaux sonores résultant des installations, transmis
par l’air, ou les structures et notamment en terrasse ne dépassent pas ISO 40 mesuré à 3m des grilles
d’introduction d’air et de rejet des condenseurs frigorifiques.
L’entreprise devra présenter au MAÎTRE D’OUVRAGE et au bureau de contrôle, avant exécution,
une étude détaillée des protections phoniques adaptées. Celle-ci devra être effectuée par un
acousticien agréé. Le niveau sonore résultant dans les bureaux de direction ne devra en aucun cas
dépasser ISO 30.
Ailleurs les mesures seront faites :
- à 1,50 m des bouches de climatisation et des parois
- à proximité de la zone de travail dans les petits locaux et dans les grands locaux, on prendra la
moyenne des mesures en trois points.
162
Filtre ventilateur (économiseur sur l’air extrait) d’air neuf 85 % ASHRAE (test gravimétrique)
Electricité
Caractéristiques de l’énergie électrique
Le courant électrique aura les caractéristiques suivantes :
- - courant alternatif triphasé avec neutre – 50 Hertz
- - tension 380 / 220 Volts
- - régime du neutre : directement à la terre (conformément aux prescriptions de la norme NFC
15 .100).
Antiparasitage
La proximité de certains équipements peut exiger des précautions spéciales d’antiparasitage des
installations de conditionnement et de ventilation.
Le département construction devra obtenir auprès des services intéressés tous les renseignements à cet
effet et réaliser l’antiparasitage de ses équipements conformément aux conditions imposées.
Protections électriques des Equipements
Dans son offre, l’Entrepreneur devra impérativement prévoir les protections électriques minimales ci-
après :
- Conditionneur de réseau situé au TGBT
- Protection par phase pour chaque unité extérieure.
163
5.7. Principe de conditionnement d’air
5.7.0. Généralités
La climatisation se fera par un système à débit de réfrigérant variable composée d'une unité extérieure
refroidie par air et d’une unité intérieure de refroidissement.
Le système à débit de réfrigérant variable a été retenu par suite d’avantages qu’il offre sur les plans
installation et exploitation : Installation
- les volumes et surfaces du bâtiment nécessaires sont réduits
- les travaux d’installations se réduisent aux jonctions des liaisons frigorifiques en tube cuivre,
- L’absence d’organes mécaniques grands consommateurs d’énergie (pompes et ventilateurs de
caissons de traitement d’air) a une incidence non négligeable sur le lot électricité, - la mise en
service sera moins coûteuse car le système est autorégulant.
Exploitation
- L’absence de certains éléments grands consommateurs d’énergie (pompes, ventilateurs, etc…)
et la présence des systèmes de récupération d’énergie (VAM) conduisent à une économie
d’énergie notable en exploitation,
- La simplicité du système réduira le nombre de personnes affectées à la maintenance et les frais
d’exploitation.
Le compresseur contrôlé par Inverter sera donc capable de réguler sa vitesse par modulation de
fréquence (30 à 116 Hz sur 13 à 21 étages) afin de s’adapter aux besoins frigorifiques demandés par
les unités intérieures (U.I.). Chaque U.I. sera régulée indépendamment par détendeur électronique
(régulation PID). Les U.I. jusqu'au nombre de 16 pour 1 groupe extérieur pourront être de type
cassette encastrable, un, deux, quatre flux ou circulaire, de type gainable, de type mural ou console
(en l’absence du faux plafond). Chaque unité extérieure se raccordera directement sur les unités
intérieures par l'intermédiaire de conduites en cuivre de qualité frigorifique et à l'aide de raccords
REFNETS (dérivation ou collecteurs).
5.7.1. Matériel
165
- Un système de contrôle électronique
- Un ensemble de vannes frigorifiques pour raccordement des canalisations
- Une prise manométrique H.P
- Une prise manométrique B.P
- Une résistance électrique de préchauffage du carter
- Un timer
CHASSIS ET HABILLAGE
Chaque unité reposera sur un châssis de profilés métalliques renforcés sur lequel viendront s'adapter
des panneaux rigides en acier revêtus d'une résine polypropylène imperméable, démontables, pour
faciliter un accès à tout l'équipement intérieur.
Le faible poids et les dimensions réduites des groupes extérieurs faciliteront l'installation et limiteront
les charges au sol (local technique, sur chaise de fixation, terrasse…).
COMPRESSEURS
Les compresseurs des unités VRV seront du type hermétique scroll. L'un d'entre eux sera équipé d'un
contrôle par Inverter capable de modifier sa vitesse en fonction de la charge thermique. Le variateur
de fréquence ou Inverter étagera les montées en puissance s'adaptant ainsi aux besoins thermiques. Il
limitera également les surintensités au démarrage. Les moteurs seront refroidis par les gaz d'aspiration
et protégés par des sondes thermiques. Chaque compresseur disposera d’une résistance électrique de
préchauffage du Carter.
ECHANGEUR DE CHALEUR
L'échangeur de chaleur sera constitué de tubes cuivre sertis sur des ailettes en aluminium pour former
un échangeur à serpentin à ailettes en croix, type HiW.
Les ailettes en aluminium seront revêtues d'un film de résine anticorrosion.
SECTION DE VENTILATION
Les ventilateurs de type hélicoïde seront équilibrés statiquement et dynamiquement. Paliers à
roulements étanches graissés à vie, moteur type IP 44 avec protection thermique intégrée.
CIRCUIT DE REFRIGERANT, SYSTEME DE RECUPERATION D'HUILE
Le circuit de réfrigérant comportera un accumulateur, des vannes d'arrêt liquide / gaz et des
électrovannes.
L'unité sera équipée d'un système de récupération d'huile qui assure un fonctionnement stable pour
une grande longueur de canalisation frigorifique.
Une conduite d'équilibrage maintiendra en permanence une quantité d'huile appropriée aux carter de
chacun des compresseurs.
Unités intérieures
166
Chaque unité intérieure sera équipée des éléments essentiels suivants :
- Un échangeur thermique fluide frigorigène / air en cuivre et ailettes en cuivre
- Un moto-ventilateur à entraînement direct
- Une vanne de détente électronique motorisée pas à pas
- Un système de contrôle électronique
- Un dispositif d'évacuation
Les unités intérieures seront sélectionnées en fonction des besoins thermiques des locaux et des
contraintes d'installation.
FXFQ
Type casse à soufflage circulaire FXFZQ de marque DAIKIN. Elles seront équipées d’un mécanisme
de balayage automatique vertical, actionnant les volets de refoulement vers le haut et vers le bas, pour
une distribution homogène de l’air dans la salle et nécessiteront une hauteur minimum sous faux
plafond de 2,5m. Les différentes opérations de maintenance se feront par la façade. Elles seront
équipées en standard d'une pompe de relevage des condensats.
FXSQ
Type gainable extra plat FXDQ de marque DAIKIN encastrée en faux plafond. Elles seront équipées
en standard d'une pompe de relevage des condensats.
Description technique détaillée :
167
(FICHE TECHNIQUE A FOURNIR)
Les lignes frigorifiques (cuivre de qualité frigorifique) pourront atteindre une distance de 100m réels
(125m équivalents), un dénivelé de 50 m entre le groupe extérieur et l'unité intérieure la plus éloigné
et 15 m de dénivelé entre unités intérieures. Dans le cas où le groupe est situé sous les unités
intérieures, le dénivelé maximum sera alors de 40 m. Les unités intérieures seront situées à une
distance maximale de 40 m de la dérivation (REFNET) la plus proche du groupe extérieur. Aucun
piège à huile ne sera réalisé sur le circuit frigorifique, le retour d'huile étant assuré automatiquement
par le groupe extérieur (aucun appoint d'huile ne sera nécessaire).
Les différentes dérivations seront assurées par des raccords REFNET type JOINT ou HEADER
fournis par DAIKIN.
Les liaisons frigorifiques seront isolées séparément (épaisseur 9mm).
Le groupe sera alimenté en triphasé 400V + Neutre + Terre. Les unités intérieures seront alimentées
indépendamment de l'unité extérieure en monophasé 220V + Neutre + Terre. Le raccordement des
unités sera réalisé par le département construction depuis le coffret électrique privatif du lot concerné,
y compris protections nécessaires et adaptées. Chaque groupe sera équipé par l'entreprise d'une
coupure de proximité.
Une liaison bue (série/parallèle) une paire non polarisée, non blindée assurera la communication entre
unité extérieure et unités intérieures et entre unités intérieures et télécommandes. L'installateur
veillera à limiter le rayonnement électromagnétique des sources susceptibles de perturber le bus.
Un contrôle PID (proportionnel intégral / dérivé) assisté par microprocesseur sera utilisé pour
maintenir une température locale correcte (1°C en régime stabilisé) avec une consommation minimale
et une action très rapide amplifiée par le système de détente directe (très faible inertie).
Des commandes à distance (type BRC) câblées ou infra-rouge avec affichage à cristaux liquides
assureront un contrôle individuel (1 télécommande par unité) ou groupé (jusqu'à 16 unités pour une
télécommande).
Les principales fonctions de ces télécommandes seront :
- Marche / arrêt
- Choix du mode de fonctionnement (rafraîchissement ventilation)
- consigne de température
- Choix de la vitesse de ventilation
- Fonction balayage (selon modèles)
- Affichage des codes défaut
- Affichage d'encrassement de filtre
168
L'entreprise vérifiera avec le constructeur la nécessité ou non de déporter les sondes dans l'ambiance
pour améliorer le confort des occupants.
De plus, les dispositifs de sécurité suivants équiperont l'unité extérieure évitant tout fonctionnement
préjudiciable à l'installation : pressostat haute pression, fusibles, résistance de préchauffage de carter,
douille fusible, protection de surintensité de l'inverter et minuterie anti court-cycle.
L'entreprise fournira les valeurs des puissances restituées et absorbées par les unités intérieures et
extérieures aux conditions de température désirées au régime nominal (100 % des besoins) et en
régime intermédiaire (50 % des besoins).
L'ensemble du réseau frigorifique (raccords dudgeon, raccords REFNET, bouchons sur raccords,
tuyauteries, etc…) sera calorifugé par un isolant de 9mm d'épaisseur.
Lors de la fixation des tuyauteries frigorifiques, l'entreprise veillera à tenir compte de la dilatation
linéaire du cuivre liée aux changements de température (de 0 à 55°C, +/- 0.85 mm/m).
Aucun piège à huile ne sera réalisé sur l'installation.
L'ensemble de l'installation ne nécessitera pas d'appoint d'huile quel que soit le volume de réfrigérant
169
mis en œuvre.
170
Les brasures (minimum 40% d'argent) seront réalisées sous atmosphère neutre
(azote). Les tuyauteries frigorifiques respecteront les préconisations précédemment
décrites.
OPERATIONS AVANT MISE EN SERVICE
L'installation terminée, le réseau seul sera mis sous pression de 32 bars d'azote, un relevé de pression
et de température sera effectué en début et en fin d’essai. Ce test sera réalisé durant 24 heures avec les
vannes de l'unité extérieure fermées.
Une recherche de fuite sera éventuellement faite.
L'installation sera soigneusement tirée au vide (12 heures minimum) et laissée au vide jusqu'à la mise
en route.
Le métré (branche par branche) de l'installation sera nécessaire avant la mise en service afin de
calculer le complément de charge de réfrigérant éventuel.
L'unité extérieure sera mise sous tension 12h au minimum avant la mise en service.
ASSISTANCE ET MISE EN SERVICE DU CONSTRUCTEUR
L’Entreprise devra se faire assister par le constructeur DAIKIN et/ou son représentant local durant
toute la durée des travaux. Cette assistance s’échelonnera sur plusieurs phases donc voici énumérées
quelques-unes :
Accords sur plan:
- Validation des schémas frigorifiques et électriques sur plans d'exécution
- Rappel des préconisations d’installation
Assistance technique :
- Passage sur chantier du Service Technique du constructeur pour aide et contrôle de
l'installation en cours. Dans son offre, l'Entrepreneur devra détailler de façon très claire le
contenu de l'intervention du Service Technique du constructeur et notamment le planning, la
périodicité, le coût et les résultats.
Mise en Service :
- Contrôle des circuits frigorifiques et électriques
- Complément de charge de fluide frigorigène
- Mise en route de l'installation
- Paramétrages
- Vérification du bon fonctionnement de l'ensemble
- Conseils d'utilisation des télécommandes
- Un procès-verbal d'essai rédigé par le constructeur ou son représentant local et contre signé par
les deux parties
Chaque étage de l'immeuble est divisé en deux zones en fonction de leur orientation (nord-sud).
Chacune de ces deux zones est équipée de son propre système extérieur de refroidissement (volume
du système de refroidissement variable). Ces unités seront placées sur le toit extérieur du bâtiment.
171
En règle générale, dans les bureaux et les salles petites, l’unité terminale sera type cassette avec
diffusion circulaire. Dans les grandes pièces et les bureaux diaphanes, les unités intérieures seront
unités de conduits, en réalisant la diffusion à travers d’un réseau de conduits et diffuseurs unités
gainables répartis à travers un réseau de tuyaux et de diffuseurs rotationnels.
Pour l'extraction et la diffusion de l'air, le bâtiment est divisé en deux zones (gauche et droite).
Chacune de ces zones possède une central de traitement d'air (CTA), qui ont un ventilateur de
soufflage, ventilateur de retour, tous les deux avec variateur de fréquence batteries froides, section de
traitement d’humidité, filtres, etc.
Une autre zone à part, est formée par le restaurant, salon VIP restaurant et activités sociales, qu'en
raison du décalage horaire par rapport au reste des bureaux a sa propre central de traitement d'air.
Les CTAs seront placées dans la couverture, où des ouvertures sont prévues pour le passage de
conduits et par la distribution d’air par tout le bâtiment.
Dans les locaux où des unités intérieures de conduits d’air nouveau sont installées, on embouche
directement à cet unité. Aux locaux où les unités intérieures sont type cassette, l’air pénètre dans le
local à travers d’un grille d’aluminium extrudé de déflexion simple avec vannes de régulation type
AT-AG de Trox. Ce type de grilles est employé dans le réseau d’extraction du bâtiment.
Dans les restaurants, salles de visites, de formation etc. où l’occupation n’est pas continue, on va
installer à l’entrée une vanne de régulation de débit qui sera associés avec des capteurs de qualité. La
vanne de régulation laissera entrer plus ou moins d’air en fonction de l’occupation réelle.
La ventilation du parking sera type naturel à travers d’ouvertures réalisées dans la partie supérieure
des parois extérieures. Pour l’entrée d’air, quelques conduites sont prévues, conduites qui baissent
l’air des ouvertures jusqu’au niveau du sol.
La sortie est réalisée à travers des conduits qui communiquent le parking avec les ouvertures de la
façade des locaux techniques.
La porte d’entrée est utilisée pour l’entrée et sortie de
l’air. Les grilles utilisées seront type AE de Trop.
Au centre de transformation on installera un extracteur type SILENS AIR C 500F de France Air
associé avec un capteur de température.
Aux toilettes, l’extraction est réalisée à travers de l’installation d’extracteurs individuelles type VMC
ENERGY 150T de France air, qui seront activées quand on allume la lumière et ils seront temporisés
pour qu’ils continuent à sortir de l’air un moment après avoir éteint la lumière.
Dans les cuisines, on installera des extracteurs individuels type VMC ENERGY 250T de France Air.
L’installateur prévoira la mise en place des clapets coupe- feu des gaines à la traversée des étages, des
parois ainsi qu’à l’entrée des locaux à risques (local TGBT, Local transformateur, Maintenance,
archives, toilettes ….). On prévoira également les grilles de transfert sur les portes des SAS.
L’ensemble des volets de désenfumage sera doté de contacts de position d’attente et de sécurité, Les
commandes de désenfumage seront intégrées au SSI du bâtiment (SSI de catégorie A dépourvu de
détection automatique d’incendie)
Dans le cadre du respect des règles de sécurité, les unités extérieures de climatisation, les ventilateurs
ainsi que les moteurs de désenfumage des parkings qui ne sont pas installés en toiture, devront être
sécurisé.
Le système de renouvèlement d’air fonctionnera simultanément avec le système de climatisation
Désenfumage
172
Volet de dimension
désenfumage type gaien
DTD n 2H de Moteur (largeur X
France air ou désenfumage profondeur)
similaire
Désenfumage Ln Hn
Escalier 700 550 SYGMA XTR 710 800 x 300 Insufflation
Escalier 350 550 (900tr/mn; 400 x 300 Insufflation
Pabs=3KW)
SYGMA XTR 500
(1100tr/mn;
Hall d'accès 525 450 Pabs=1,5KW) 500 x 300 Insufflation
SYGMA XTR 630
(1000tr/mn;
Escalier 525 750 Pabs=2,2KW) 550 x 450 Insufflation
SYGMA XTR
400(1400tr/mn;
Hall d'accès 525 450 Pabs=0,75KW 500 x 300 Insufflation
5.13. Caractéristiques du matériel de ventilation
Insufflation/Extraction
•Ventilation à récupération d’énergie
DAHU Marque Daikin ou similaire
• Conduits laine de verre
- Registre de réglage et accessoires de montage
VMC TOILETTE
• Ventilateur hélicoïde d’extraction ENERGY 150 HT (Pas = 0,035Kw; 250 m3/h): Extraction 1
vitesse, asservissement à un interrupteur ou à l’éclairage. Minuterie intégrée de 5 à 40 minutes. De
plus asservissement à une sonde d’humidité intégrée de 70 % à 90 % HR y compris Clapet anti-
retour
• Conduits Acier galvanisé conduit circulaire et rectangulaire
- - Registre de réglage et accessoires de montage
173
MT
174
• Caisson de ventilation silencieux SILENS C 500F (Pas =3 Kw; 4365 m3/h): Commande par
cordelette 3 positions (arrêt, petite vitesse, grande vitesse). Installation en position verticale ou
horizontale. Filtre intégré, accessible et facilement nettoyable y compris Clapet anti retour
• Conduits Acier galvanisé conduit rectangulaire
- - Registre de réglage et accessoires de montage
NOTES/SUPPLÉMENTS
LW
VENTILATEURS Pression (Pa)
A
175
Totale/Statiqu
Modèle/ Type/
Q(m3/h)/ dB(
ID Accessoires e/Statique Moteur
Catégorie
rpm A)
Dispònible
RDH 900 K/ 57000/ Motor 18,5
E Ventilateur à AV2, AV8 651/559/200 94,7
Réaction/ SFP 3 864 kW-1465 rpm
Légende: AV2 = Variateur de Fréquence (PID), AV8 = Prises de Mesure de Débit
LW
SILENCIEUX
A
Q(m3/h)/ 63H 125 250 500 1kH 2kH 4kH 8kH dB(
ID Modèle
Dp(Pa)z Hz Hz Hz z zzzA)
XSA200-75-10/ B x
C57000/ 93
H=1800 x L=1500
DXSA200-75-10/ B x57000/ 93 70
H=1800 x L=1500
ENTRÉES/SORTIES
ID Type Modèle Régulation
MM-
E Encadrement de Jonction -
1130x1130
SECTIO
NS
VIDES
ID Longueur Notes
176
CTA: B002 - CL 1 sortie
EN 1886: 2007
Casing strength (-1000 /D1/
+1000 Pa) D2
Casing air leakage L1
Filter leakage F9
Thermal transmittance T2
TB
Thermal bridging factor
2
Atténuation Caisson
63 1252505001k 2k 4k 8k
Hz Hz Hz Hz Hz Hz Hz Hz
12 13 25 32 32 29 34 44
NOTES/SUPPLÉMENTS
SILENCIEUX LWA
ENTRÉES/SORTIES
177
6 .14. Désenfumage mécanique (SANS OBJET)
• ventilateurs d'insufflation SYGMA XTR y compris ses accessoires suivants :
- Capot moteur
- Purge de volute
- Trappe de visite
- Grille d’aspiration
- Manchette souple
- Visière grillagée
- Peinture Epoxy
- Plots anti-vibratiles
- Commande de proximité
- Coffret de relayage ORDINYS 3 DS
GENERALITES
Les matériels et matériaux devront être conformes aux normes en vigueur, avec les labels
correspondants.
Tout le matériel proposé sera neuf, traité anticorrosion et tropicalisé.
Les appareils principaux porteront une plaque bien visible mentionnant le nom du fabricant, le type et
les caractéristiques principales de l’équipement.
Les matériels seront de même marque pour un type de matériel donné.
LISTE DE MATERIEL
A l’appui de sa proposition, l’Entrepreneur soumettra au Maître d’œuvre une liste complète en 2
exemplaires du matériel qu’il se proposera d’utiliser avec noms et références du fabricant.
CHANGEMENT DE MATERIEL
Les références des fabricants données, soit dans le présent Cahier des Charges, soit sur les plans, le
sont au titre d’un niveau de prestations exigé.
Un matériel équivalent ou supérieur en qualité pourra être proposé par l’Entrepreneur.
Aucun changement de marque ou de qualité ne pourra être fait sans approbation écrite du MAÎTRE
D’OUVRAGE.
AGREMENT DU MATERIEL
Tout le matériel devra avoir reçu l’agrément du MAÎTRE D’OUVRAGE.
Le département construction devra se soumettre à toute demande d’échantillon du MAÎTRE
D’OUVRAGE. Sauf accord préalable sur un point particulier, ces échantillons resteront la propriété
du MAÎTRE D’OUVRAGE.
GARANTIES - DEFINITIONS DES PRESTATIONS
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Garanties
Garanties de fourniture
Tout le matériel fourni par Le département construction est garanti contre tous vices de construction
ou de matière pendant une durée de deux années à dater de la réception provisoire.
Cette garantie ne s’applique pas aux conséquences de l’usure normale, ni à celles qui pourraient
résulter de la mauvaise utilisation des appareils ou de non-observation des instructions.
Garantie de l’installation
Toutes les installations, faites par l’Entrepreneur, sont garanties conformes aux règles de l’Art et
conformes au projet d’exécution accepté par le maître d’œuvre.
Garantie de fonctionnement
Indépendamment de la garantie décennale, l’installation sera garantie en bon état de fonctionnement
pendant une durée d’un an, à dater de la mise en service régulière.
Au cours de cette période, l’Entrepreneur sera tenu de rectifier tous les défauts de fonctionnement qui
apparaîtraient, qu’elle qu’en soit la nature, et sous les seules restrictions mentionnées ci-dessus.
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