Le Système Sensoriel COURS
Le Système Sensoriel COURS
Le Système Sensoriel COURS
- L’Education thérapeutique
• Le malade est une personne qui a perdu son indépendance ou son autonomie, le
milieu hospitalier avec lequel il prend contact pour la première fois aggrave son
déséquilibre psychologique, d’où la nécessité pour le personnel soignant de tenir
compte de ces aspects pour rendre agréable et supportable son séjour à l’hôpital
par un accueil chaleureux.
• I-2-1) L’importance de l’accueil
• Accueillir un patient est un soin à part entière qui s'inscrit dans une démarche du
prendre soin. Première rencontre du patient avec un environnement souvent angoissant,
l'accueil est aussi la première image que le malade gardera de son séjour et du
personnel soignant qui le reçoit.
• Pour mettre à l’aise le patient dès son arrivée, le contact doit être chaleureux, sécurisant
et respectueux. L’écoute, la disponibilité, la patience et le sourire doivent être de
rigueur. Cette relation initiale participe à la création d’un climat de confiance.
➢ La réception proprement dite :
➢Formalités :
• Devant un nouveau client, le personnel de santé doit être parfait dans son accueil et doit
toujours garder à l’esprit cette précieuse parole de Pasteur : « Je ne veux pas savoir de quelle
patrie tu es, je ne veux pas savoir de quelle religion tu es, tu souffres cela me suffit ».
• La démarche est ritualisée, que le patient soit seul ou accompagné: le soignant se lève, se met
face au patient et le regarde dans les yeux. Il lui serre la main, se présente en lui donnant son
prénom, son nom et sa fonction. Il détermine le degré d’urgence puis invite le patient à prendre
place en salle d’attente. «Ce rituel valable pour tout le personnel médical ou infirmier.»
• Récupérer les documents administratifs complets, nécessaires aux formalités
d’hospitalisation, ou déléguer un membre de sa famille pour qu’il s’en charge
(vérifier
le nom de la personne de confiance et de la personne à prévenir).
- Récupérer, le cas échéant, les documents médicaux (lettre du/des médecin(s),
ordonnances, résultats d'examens biologiques et radiologiques), vérifier que le
nom du
médecin traitant apparaît.
- Vérifier que le patient a le livret d'accueil et lui présenter le contenu.
➢ Accompagnement :
- Etre à l'écoute du patient et/ou de ses proches et leur apporter des réponses
• Le soin s'inscrit dans une prise en charge globale du patient. Une hygiène corporelle
rigoureuse et adaptée contribue à la prévention et à la lutte contre les infections
associées aux soins.
• Les soins d'hygiène corporelle et de propreté : sont un « Ensemble d'actes que chaque
personne effectue en vue d'assurer son bien-être physique et mental et de préserver
l'intégrité de ses téguments.
Ainsi, avant de réaliser un soin, le soignant se rassure des conditions d’hygiène du
patient. Il se prépare lui-même en effectuant une hygiène des mains rigoureuses avec un
lavage au savon ou au gel hydroalcoolique.
II-1-1) Lavage des mains
• On distingue trois types de lavage des mains : le lavage simple, le lavage hygiénique
ou antiseptique et le lavage des mains chirurgicales.
• Pour chaque type de lavage, il est impératif de respecter la bonne gestuelle, la durée
recommandée et de choisir des produits adaptés. Le lavage des mains est obligatoire
pour diminuer les risques de contamination virales et bactériennes peut s’accompagner
d’autres gestes barrières, comme le port de masque, de gants ou d’autres vêtements de
protection. Cela dépendra de la situation et des protocoles en vigueur pour limiter le risque
infectieux.
• A titre individuel, il concerne les gestes de la vie courante, dans le domaine privé ou public,
pour une hygiène des mains simple et efficace. Il concerne aussi les collectivités, entreprises,
les activités hôtelières et tous les lieux de vie communs où la prévention des contaminations de
personne à personne s’impose. Le lavage des mains est obligatoire avant et après
l’administration des soins.( Suite voir fiche technique)
II-1-3) Le lavage chirurgical
• Il s’impose :
• avant tout geste pour lequel une asepsie de type chirurgical est nécessaire : pose
de cathéter central ou rachidien, chambre implantable, ponction amniotique,
drain pleural et autre actes analogues. (Suite voir fiche technique)
II-1-4)Toilette du patient
• Les soins corporels quotidiens sont assurés avec l’aide partielle ou totale de
l’infirmière en fonction du dégré de la dépendance de la personne soignée. Ils
sont nécessaires à l’entretien du besoin de protection cutanée et à l’élimination
d’excrétions telle que, la sueur, les poussières, ou des formations épidermiques
durillons.
• Les escarres apparaissent sur les zones d'appui, les zones les plus touchées par
les escarres sont celles où l'os se trouve près de la peau, comme au niveau des
hanches, du coccyx, des coudes, du sacrum, des tubérosités ischiatiques, des
trochanters, des malléoles et des talons, la nuque, les occiputs, les omoplates,
mais ils peuvent également se développer ailleurs.
III) Règles générales pour effectuer un soin
➢Quelques indicateurs :
➢ Définition
Ils constituent des indicateurs cruciaux qui peuvent nous renseigner sur le bienêtre
physique ou psychologique d'une personne.
Pour servir de référence à l’admission d’un patient et tout au long de son hospitalisation
Pour dépister une modification de l’état de santé: une complication, une amélioration,
un dysfonctionnement. Permet une surveillance clinique du patient Pour déceler un
signe d’alerte
➢ La fréquence de la prise des paramètres
- le climat : Dans les pays tropicaux, la t° organique est plus élevée que
dans un climat modérée.
- l’heure, le moment de la journée : elle est à son minimum vers 4h du
matin, elle est à son maximum entre 14h et 18h.
- travail physique : l’effort, l’émotion élèvent la t° de quelques
dixièmes de dégré.
- l’alimentation : un jeûne va faire diminuer la température.
-l’âge : le nouveau-né a une température autour de 36°,sa t° est
irrégulière car son centre thermorégulateur est encore immature, le
vieillard a une t° basse ( ralentissement du travail cellulaire)
- le sexe : l’ovulation chez la femme augmente sa température.( ceci est
due à l’action des hormones).
- Le repos, le sommeil abaissent la t° de quelques dixièmes
Variations pathologiques :
Variations pathologiques :
La fièvre ou hyperthermie :
• Toute élévation de la température au-dessus de la normale. C’est le résultat d’une
agression due à des agents infectieux, des virus. Le terme d’hyperthermie est
utilisé lorsque l’origine de l’élévation de la température est liée à un apport
excessif de la chaleur de l’extérieur. On distingue plusieurs variations dans la
fièvre :
➢ Les fièvres légères = pyrexie, fébricule vers 37°5 à38°
➢ Les fièvres moyennes = 38°2 à 39°
➢ Les fièvres élevées = 39°1 à 39°
➢ Les fièvres très élevées = au-dessus de 40° et plus
Les signes cliniques d’une hyperthermie :
• Chez tous, prendre sa température avec un thermomètre électronique dit "digital", flexible, par
voie rectale est la méthode de référence pour mesurer la température corporelle.
• . La prise de la température chez le nourrisson en intra-rectale est limitée à 3 fois par jour.
• "Toutes les mesures de température, exceptée celle réalisée au niveau rectal, ne sont que des
mesures approximatives" estime le Haut Conseil de la Santé Publique.
La température buccale
• Indications:
• Surveillance systématique de tout patient au cours d’une
hospitalisation dans le but de détecter une anomalie respiratoire
(dyspnée)
• Surveillance hémodynamique d’un patient, dans le cadre d’une
hospitalisation, si celui-ci présente un risque de décompensation
cardiaque ou respiratoire
➢ Identifier le patient
➢ Il n’est pas nécessaire d’informer le patient pour le soin, car si le patient est
prévenu, il sera tenté de modifier sa fréquence respiratoire en prévenant plus ou
moins consciement une grande insufflation
➢ La fréquence cardiaque
La fréquence cardiaque est le nombre de
pulsations pendant une minute = le pouls
Le pouls est :
la perception tactile de l’artère battante une onde de distension perçue dans la paroi
artérielle due à la contraction du ventricule gauche
hémodynamiques
➢la température extérieure, l’âge.
➢ la digestion,
➢ la prise des médicaments, le café
➢ le stress
1. Informer le patient
2. Laisser le patient au repos 10 minutes
3. Utiliser une montre à trotteuse ou un chronomètre
4. Repérer l’artère avec deux doigts: l’index et le majeur
5. Déclencher le chronomètre et compter pendant une
minute le nombre de pulsations tout en appréciant la régularité et la force
6. Noter la fréquence et le rythme cardiaque dans le dossier de soins du patient
La saturation en oxygène
• Définition
La pression (ou tension) artérielle est la pression ou la force exercée par le sang contre
les parois des vaisseaux sanguins où il circule. La pression est généralement mesurée
dans l'artère brachiale (du bras) et elle est exprimée par deux chiffres. La pression
artérielle systolique (le chiffre du haut ou chiffre le plus élevé) est la valeur de la
diastolique (le chiffre du bas ou le chiffre le plus faible) est la valeur de la pression dans
- La résistance périphérique
- La quantité de sang
- La viscosité du sang
SYSTOLIQUE DIASTOLIQUE
Avant 1an 80 50
De 1 à 2ans 90 60
De 4 à 5ans 90 60
De 5 à 10 ans 100 60
De 10 à 14 ans 110 60
Les variations de la pression artérielle
La pression artérielle fluctue sous l’influence de divers facteurs
- l’âge: chez les sujets de plus de 60 ans, le chiffre de la pression artérielle 150/90 mmhg
est toléré ( pression est élevée car les artères sont plus rigides)
- La digestion
- L’alcool et le tabac
Les éléments qui peuvent faire diminuer la PA
• Le patient assis ou allongé, au repos, bras étendu et dénudé, paume de la main vers le haut.
Placer le brassard du tensiomètre autour du bras (choisir de préférence le bras gauche, du côté
du cœur), 1 à 2 cm au- dessus du pli du coude
• Tout au long de son cheminement à travers le cœur, le sang exerce une pression sur les parois
artérielles. C'est pourquoi on parle de "tension" ou de "pression" artérielle. La tension
artérielle permet d'évaluer la force et la quantité de sang pompée par le cœur, ainsi que la
souplesse et l'état général des artères
• Quel doit être l'écart entre systole et diastole ?
sécrétion d’urine
diurèse
des mictions
LA MESURE DE LA DIURESE
lui
• -Au départ, faire uriner et jeter les urines
- Garder les urines pendant 24 heures ou 12 heures
-Relever le volume de la diurèse, observer la couleur,
l’aspect et le transmettre dans le dossier de soins du
patient
• LA BANDELETTE URINAIRE
Il s’agit de réaliser une analyse d’urines sur un prélèvement d’urines fraîches.
L’analyse se pratique au moyen de bandelettes urinaires (réactif)
Elle permet le dépistage et la prévention de pathologies.
Les paramètres
- le glucose = glycosurie (diabète, pathologies rénales)
- l’acétone ou corps cétonique = acétonurie (diabète, à
jeun)
- les nitrites = les nitrates sont transformés en nitrites
par un germe (infections urinaires)
- les leucocytes = présence de leucocytes (infection
urinaire)
- les protéines = protéinurie (lésions glomérulaires;diabète HTA)
- le sang = hématurie (traitement anticoagulant, lithiase,
lésions urologiques ou prostatiques)
- le pH : N = 5 à 6 (alcalose acidose : lithiase urique ou
• LA BANDELETTE URINAIRE
Le matériel
- Des bandelettes urinaires valides
- Un verre à pied
- Un chronomètre
- Des gants de soins
•
LA MESURE DE LA BANDELETTE URINAIRE
•
1. Réaliser une toilette uro-génitale au savon ou
antiseptique
2. Uriner et recueillir les urines dans un
contenant
3. Le récipient doit être propre, stérile si possible
4. l’examen se réalise sur des urines fraîchement
émises
5 Tremper alors la bandelette verticalement dans les urines
6 La ressortir immédiatement en l’égouttant sur le bord du récipient afin
d’éliminer l’excès d’urine.
7 Tenir la bandelette horizontalement (afin d’éviter d’éventuels
mélanges avec les réactifs des plages adjacentes et l’écoulement
d’urines sur les doigts).
8 Respecter le temps de lecture indiqué sur le flacon
9 Noter aussitôt le résultat dans le dossier de soin
10 Transmettre oralement en cas d’anomalie
• LA MESURE DU POIDS ET DE LA TAILLE
La mesure du poids et de la taille
La prise de poids se réalise avec un
pèse personne
La taille se réalise debout avec une toise
Les résultats des mesures sont à transmettre dans le
dossier de soins de la personne soignée
• CONCLUSION
• Deltoïde à l’épaule
• Vaste externe de la cuisse (face latérale)
• Muscle droit de la cuisse (face antérieur)
➢ Indication :
• elle permet l'administration facile d'un médicament qui diffusera rapidement
dans l'organisme.
➢ Contre-indication : troubles de la coagulation, traitement à l'héparine ou aux
antivitamines K.
Comment faire une injection intramusculaire ?
• Selon Nathalie Le Guyader, pour commencer, "il faut respecter les règles
d'asepsie classiques : l'infirmière doit se laver les mains et installer le
patient". Ensuite c'est une piqûre d'un geste un peu sec, d'un coup, à 90°C
par rapport à la peau. Puis on injecte doucement le médicament. Il y a
moins de risque iatrogène,
• comme une perfusion où l'on est plus invasif, c'est ici plus ponctuel. On peut
recommander dans certaines localisations de ré-aspirer un tout petit peu en
tirant sur le piston juste avant d'injecter le médicament pour vérifier que l'on
n'est pas dans un vaisseau, puis injecter. On retire ensuite l'aiguille, on maintient
légèrement la compresse sur le point de ponction au cas où il y ait un
saignement. Il faut ensuite que le patient surveille le point de ponction. Il faut
qu'il n'y ait pas de saignement, pas d'induration, pas de rougeur liée à une
réaction.
• Le choix se fera en fonction de l'état des tissus (éviter les zones infectées ou indurées).
• Après désinfection de la peau à l'alcool, l'aiguille seule de préférence, est enfoncée perpendiculairement à
la peau d'un coup sec.
• Avant d'injecter le produit, s'assurer que l'aiguille n'a pas pénétré un vaisseau en aspirant légèrement avec la
seringue.
• Une perfusion est une injection longue et progressive d'un liquide dans
l'organisme. "Un cathéter, sorte de tuyau souple, est introduit dans une
veine périphérique (voie veineuse périphérique : main, coude…), ou
parfois une grosse veine pour permettre la diffusion de plus gros débit
(voie veineuse centrale : cou, aine), posée en cas de traitement long ou
spécifique.
•
Une perfusion permet une injection rapide dans l'organisme, différents
produits peuvent être administrés en intraveineuse pour traiter un
symptôme ou diagnostiquer une maladie.
Quelques indications des perfusions :
• Dans quelles indications ?
• Le corps médical procède à une perfusion lorsque le patient n'est pas
en état de prendre son traitement par voie orale ou lorsque l'on
recherche une efficacité plus rapide dans le cadre de certaines
infections potentiellement graves.
• - "La perfusion sanguine ou transfusion sanguine (si le liquide
d'injection est du sang) est administrée en cas d'anémie (diminution de
la quantité d'hémoglobine dans le sang),
• -En cas d'hémorragie ou d'une chute de la pression artérielle, d'autres
médicaments peuvent être injectés comme des solutions composées de
molécules ou de médicaments appelés " drogues vasoactives "
(administrées sous forme de perfusion lente et contrôlées grâce à des -
-perfusion médicamenteuse ou d'hydratation". ( déshydratation)
• Dans le cadre d'un accouchement, la pose d'un cathéter est réalisée
afin de sécuriser la maman au cas où un problème surgirait. "Il peut
aussi servir à injecter des médicaments déclenchant ou favorisant le
travail de l'utérus (ocytocine).
• En fin de vie
• Lors d'une fin de vie, un patient pourra se voir proposer une perfusion
de confort afin de lui apporter des médicaments pour soulager la
douleur physique (antalgique) et morale (sédatif, anxiolytique), une
solution de glucose ou salée permet de garantir le bon fonctionnement
du cathéter (rinçage régulier)..
Comment poser une perfusion ?
• Pour la pose dans une veine périphérique, le patient est installé sur une
table d'examen, un fauteuil ou un lit d'hôpital. Un patch ou une crème
anesthésiante peut être posé en amont. "L'infirmier ou le médecin place un
garrot afin d'identifier la veine dans laquelle le cathéter sera posé. Il pique
avec le dispositif composé du cathéter et de l'aiguille puis retire l'aiguille,
ne laissant que le " tuyau " dans la veine. Un pansement est réalisé et refait
en fonction des protocoles d'hygiène en vigueur", explique l'infirmière.
Pour des traitements ou une hospitalisation longue, la voie veineuse
centrale sera privilégiée.
• La pose sera réalisée stérilement et une anesthésie locale pourra être
proposée au patient. Le pochon ou la seringue sera branché au cathéter
via une tubulure pour permettre de conduire le produit jusqu'à
l'organisme du patient.
• Matériel : à quoi sert le cathéter ?
• Il s'agit d'un petit tuyau fin, en plastique souple, doté d'une très fine
aiguille à placer dans la veine. Une perfusion se compose également
d'une poche contenant le liquide à faire passer et d'une tubulure qui
conduit le liquide jusqu'au cathéter.
Quels sont les risques de complications ?
• "Les complications possibles d'une perfusion sont principalement des
inflammations (rougeurs provoquées par le matériel lui-même), des infections
locales ou systémiques (dans l'ensemble de l'organisme). Les infections sont
limitées par des mesures strictes d'hygiène des professionnels de la santé et du
patient lui-même", remarque l'infirmière.
Les embolies gazeuses (bulles d'air) sont des accidents peu fréquents dû à une
mauvaise installation des matérielles ou retiré dans de mauvaises conditions
(surtout sur les voies veineuses centrales).
Le débit d’une perfusion
• Un débit se calcule en mettant en rapport une quantité (volume, masse ou autre)
avec une durée.
• La quantité est un volume exprimé en litre , en ml ou en centimètres-cubes. La
durée est exprimée en heures.
• Pour répondre à la demande, je devrai donc, dans un premier temps convertir les
quantités données en unités attendues en fonction de règles simples :
• 1 litre = 1000ml = 1000cc
• 1ml ou 1cc = 20 gouttes
• 1 heure = 60 minutes
• La plupart des débits de perfusion se calculent en nombre de millilitres par minute.
• Il faudra donc d’abord effectuer une conversion avant d’effectuer l’opération qui va
permettre d’exprimer le débit
• Le débit ne doit pas être trop lent, le sang coagulerait dans la
tubulure
• Il ne doit non plus être rapide, le malade présenterait des signes
d’intolérances
• Calculer le débit suivant la durée de celle-ci pour une solution de
soluté isotonique
• 1cc ----------20 gttes
• Débit= Quantité voulueX 20 gouttes =Quantité
Durée (en mn) 3Xt (t en heure)
Exemple
- 2. Kuhn (T.S) La structure des révolutions scientifiques. Traduction Meyer (L), Ed.
Flammarion, Paris,1983, (p 117)
- 3. De Toffol (B), Lemoine (M) (Coordonné par). Manuel des sciences humaines en
médecines. Ed. Ellipses, Paris,2008.
- 4. Kerouac (S), Pepin (J), Ducharme (F), Duquette (A), Major (F) La pensée infirmière. Ed.
Études Vivantes, Laval Quebec, 1994.
- 5. Debout (C) (Dossier coordonné par) Les théories de soins infirmiers. In « Soins », n° 724,
avril 2008, (pp 27 à 55)