Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Premier Exercice: (7,5 Points) Variation de L'énergie Cinétique D'un Système

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 8

‫ ﺍﻟﻌﺎﺩﻳّﺔ‬۲۰۱٦ ‫ﺩﻭﺭﺓ ﺍﻟﻌـﺎﻡ‬ 0B ‫ﺍﻣﺘﺤﺎﻧﺎﺕ ﺍﻟﺸﻬﺎﺩﺓ ﺍﻟﺜﺎﻧﻮﻳﺔ ﺍﻟﻌﺎﻣﺔ‬ ‫ﻭﺯﺍﺭﺓ ﺍﻟﺘﺮﺑﻴﺔ ﻭﺍﻟﺘﻌﻠﻴﻢ ﺍﻟﻌﺎﻟﻲ‬

۲۰۱٦ ‫ ﺣﺰﻳﺮﺍﻥ‬۱۳ ‫ﺍﻻﺛﻨﻴﻦ‬ 1B ‫ ﻋﻠﻮﻡ ﻋﺎﻣﺔ‬: ‫ﺍﻟﻔﺮﻉ‬ ‫ﺍﻟﻤﺪﻳﺮﻳﺔ ﺍﻟﻌﺎﻣﺔ ﻟﻠﺘﺮﺑﻴﺔ‬


‫ﺩﺍﺋﺮﺓ ﺍﻻﻣﺘﺤﺎﻧﺎﺕ‬
:‫ﺍﻻﺳﻢ‬ ‫ﻣﺴﺎﺑﻘﺔ ﻓﻲ ﻣﺎﺩﺓ ﺍﻟﻔﻴﺰﻳﺎء‬
:‫ﺍﻟﺮﻗﻢ‬ ‫ﺍﻟﻤﺪﺓ ﺛﻼﺙ ﺳﺎﻋﺎﺕ‬

Cette épreuve est formée de quatre exercices répartis sur quatre pages numérotées de 1 à 4.
L'usage d'une calculatrice non programmable est autorisé.

Premier exercice : (7,5 points) Variation de l'énergie cinétique d'un système

Le but de cet exercice est de vérifier le théorème de l'énergie


x' 
cinétique d'un système.
i
Un skieur, de masse M = 80 kg, descend de O vers A, à vitesse
  O
constante V = V i , de valeur V = 30 m/s, le long de la ligne de plus G
grande pente d'une piste inclinée d'un angle α = 30o par rapport à
l'horizontale.
La piste exerce sur le skieur une force de frottement constante A
 
f = − fi . α =30°
L'étude du mouvement du skieur se ramène à l'étude du mouvement B
  Figure 1 x
de son centre d'inertie G sur x ' x de vecteur unitaire i (figure 1).
On néglige la résistance de l'air sur le skieur.
Prendre :
• le plan horizontal passant par B comme niveau de référence de l'énergie potentielle de pesanteur du
système (skieur, Terre) ;
• g = 10 m/s2.

1) Nommer et représenter en G les forces extérieures qui s'exercent sur le skieur le long du trajet OA.

2) a) Montrer que la quantité de mouvement P du skieur est constante.

b) En appliquant au skieur, entre les points O et A, la deuxième loi de Newton, déduire la valeur f de f .
 
3) Pour s'arrêter en B, le skieur exerce à partir de A une force de freinage constante f1 = −f1 i . Le skieur
parcourt AB pendant un intervalle de temps Δt = 3 s.
 
 ∆ P dP
a) Déterminer la valeur de f1 , en admettant que ≈ .
∆t dt
b) L'énergie mécanique du système (skieur, Terre) diminue de A à B. Nommer les forces responsables
de cette diminution.
c) Déterminer la distance AB parcourue par le skieur au bout de l'intervalle de temps Δt.

4) a) Déterminer entre A et B :
i. la variation ΔEpp de l'énergie potentielle de pesanteur du système (skieur, Terre) ;
ii. le travail effectué par son poids W Mg .
b) Comparer ΔEpp et W Mg .
5) ΔEC et ∑W 
Fext
sont respectivement la variation de l'énergie cinétique du skieur et la somme algébrique
des travaux des forces extérieures appliquées au skieur entre A et B.
Vérifier, entre A et B, le théorème de l'énergie cinétique ΔEC = ∑ WF ext .

1
Deuxième exercice : (7,5 points) Caractéristiques d'un circuit (RLC)
On dispose :
• d'un générateur G délivrant une tension alternative sinusoïdale :
uAM = uG = U 2 cos ωt (uAM en V et t en s), où U = 5 V et ω = 2πf avec f fréquence réglable ;
• d'une bobine d'inductance L de résistance négligeable ;
• d'un condensateur de capacité C ;
• d'un conducteur ohmique de résistance R = 150 Ω ;
• d'un oscilloscope ;
• d'un milliampèremètre de résistance négligeable ;
• d'un interrupteur K et de fils de connexion.

Dans le but de déterminer L et C, on réalise les expériences suivantes :


A i K
B
A- Première expérience +
On réalise successivement le montage de la figure 1 et celui de la figure 2.
G L
Pour une valeur f = 500 Hz, l'intensité efficace I, indiquée par le milliampèremètre, prend la
1
même valeur I = 50 mA dans chacun des deux montages considérés. Prendre = 0,32.
π M
A
D
1) La bobine est branchée aux bornes de G (figure 1) ; le circuit est parcouru par un Figure 1
π
courant d'intensité i = I 2 cos(ωt − ) . (i en A et t en s) A i K B
2 +
a) Déterminer l'expression de la tension uBD = ub en fonction de L, ω, I et t. q
b) Déduire la valeur de L. G C

2) Le condensateur est branché aux bornes de G (figure 2) ; le circuit est parcouru par un courant
A
π M D
d'intensité i = I 2 cos(ωt + ) . Figure 2
2
a) Déterminer l'expression de la tension uBD = uc en fonction de C, ω, I et t.
b) Déduire la valeur de C.

A i K
B- Deuxième Expérience +
++
Pour s'assurer des valeurs de L et C obtenues dans la première expérience, on réalise le montage L
du circuit schématisé par la figure 3. Ce circuit comprend le générateur, la bobine, le G
condensateur et le conducteur ohmique de résistance R = 150 Ω. L'oscilloscope, q B
C
convenablement branché, visualise sur la voie (1), la tension uAM aux bornes du générateur, et
sur la voie (2), la tension uDM aux bornes du conducteur ohmique. Ces tensions sont M R D
schématisées par l'oscillogramme de la figure 4. Figure 3

Le circuit est parcouru par un courant d'intensité


i = I 2 cos(ωt + ϕ) .
1) Reproduire la figure 3 et indiquer les branchements de uAM
l'oscilloscope.
2) En appliquant la loi d'additivité des tensions et en donnant à t
1 uDM
− Lω
une valeur particulière, montrer que : tan ϕ = Cω .
R
3) En se référant à l'oscillogramme de la figure 4 visualisé sur
l'écran de l'oscilloscope, déterminer :
a) la valeur de la fréquence f de uAM ;
b) la valeur du déphasage φ entre uAM et i.
Figure 4
Sensibilité horizontale : 0,5 ms/div
2
4) La tension efficace U aux de G étant maintenue constante, on fait varier f. On observe que uAM et uDM
deviennent en phase lorsque f prend la valeur f0 = 500 Hz.
a) Nommer le phénomène mis en évidence.
b) Écrire la relation donnant ω0 en fonction de L et C.
5) Déterminer L et C.

Troisième exercice : (7,5 points) Aspect corpusculaire de la lumière


Le but de cet exercice est d'étudier le spectre d'émission de l'atome d'hydrogène et d'utiliser la lumière émise
pour produire l'effet photoélectrique.
Données :
• Constante de Planck : h = 6,62×10-34 J⋅s ;
• Célérité de la lumière dans le vide : c = 3×108 m/s ;
• 1 eV = 1,602×10 –19 J ;
• Charge élémentaire= : e 1, 602 ×10−19 C ;
• 1 nm = 10-9 m.
A- Atome d’hydrogène
Ce spectre est constitué, dans sa partie visible, de quatre raies notées Hα , Hβ , Hγ et Hδ de longueurs d’onde
respectives dans le vide 656,27 nm , 486,13 nm, 435,05 nm et 410,17 nm.

I- En 1885, Balmer remarqua que les longueurs d'onde λ de ces quatre raies vérifient la relation
n2
empirique : λ = λ 0 2 où λ0 = 364,6 nm et n un entier positif non nul.
n −4
1) La plus petite valeur de n est 3. Justifier.
2) Calculer la longueur d'onde de la raie correspondante.
3) Déduire les valeurs de n qui correspondent aux longueurs d'onde des trois autres raies visibles du
spectre d'émission de l'hydrogène.
II- Les niveaux d'énergie quantifiés de l'atome d'hydrogène sont donnés par la relation :
13, 6
En = (en eV) où n est un entier positif non nul.
n2
En utilisant l'expression de En , déterminer l'énergie de l'atome quand il est :
1) dans le niveau fondamental ;
2) dans chacun des cinq premiers niveaux excités ;
3) à l'état ionisé.
Radiations
B- Effet photoélectrique
Une lampe à hydrogène de puissance Ps = 2 W, émet uniformément des radiations
dans toutes les directions dans un milieu homogène et non absorbant. Cette lampe
éclaire la cathode C d'une cellule photoélectrique au potassium ayant une surface (C) (A)
2
utile s = 2 cm , et située à une distance D = 1,25 m de la lampe (Figure 1). Le
travail d'extraction du potassium W0 = 2,20 eV.
1) Calculer la longueur d'onde seuil de la cathode de potassium.
2) Parmi les raies de la série de Balmer, préciser les radiations qui peuvent
provoquer l'émission photoélectrique. µA
G
3) À l'aide d'un filtre, on éclaire la cellule par la lumière bleue Hβ de Figure 1
longueur d'onde
λ = 486,13 nm. Le générateur G est réglée de façon à permettre à l'anode (A) de capter tous les
électrons émis par la cathode dont le rendement quantique est r = 0,875 %.
a) Montrer que la puissance rayonnante P0 reçue par la cellule vaut 2,04×10-5 W.
b) Déterminer le nombre N0 des photons incidents reçus par la cathode en une seconde.
c) Déterminer l'intensité du courant traversant le circuit.

3
Quatrième exercice : (7,5 points) Pendule pesant

Le but de cet exercice est d'étudier le mouvement d'un pendule pesant. A (R)
On considère un pendule pesant (P) constitué :
• d'une tige (R) rectiligne, homogène, de longueur AB =  et de masse m ;
• d'un solide (S) ponctuel de masse m1, pouvant coulisser le long de la
Epp= 0
partie OB, O étant le milieu de la tige.
O
On fixe (S) en un point C tel que OC = x (x > 0). (P) peut osciller, dans un
plan vertical, autour d'un axe horizontal (∆) perpendiculaire en O à la tige θ (S)
Figure 1
(Figure 1). C
On écarte le pendule de sa position d'équilibre d'un angle θm faible, puis on
le lâche sans vitesse à la date t0 = 0 ; le pendule oscille alors, sans B
frottement, autour de sa position d'équilibre. À la date t, l'élongation

angulaire du pendule est θ et sa vitesse angulaire est θ ' = .
dt
1
On donne : moment d'inertie de la tige par rapport à l'axe de rotation (∆) : I0 = m 2 ;
12
m = 3m1 ;  = 0,5 m ; g = 10 m/s2 et π2 = 10.
θ2
Pour θ faible : cos θ ≈1 − et sinθ ≈ θ (θ en rd)
2
G est le centre d'inertie du pendule et le plan horizontal passant par O est pris comme niveau de référence de
l'énergie potentielle de pesanteur.
1) Montrer que :
x
a) OG = ;
4
m 2
b) l'expression du moment d'inertie du pendule par rapport à (∆) est : I = (  + 4x 2 ) .
12
2) Déterminer l'expression de l'énergie mécanique du système (pendule, Terre) en fonction de θ, θ', m, x et  .
3) a) Établir l'équation différentielle du second ordre en θ qui régit les oscillations du pendule.
4x 2 +  2
b) Déduire que l'expression de la période propre du pendule est T0 = .
x
4) a) Déterminer la valeur de x pour laquelle T0 est minimale.
b) Déduire que T0 (min) = 1,41 s.

5) À l'aide d'un dispositif de couplage, le pendule (P) joue le rôle d'un excitateur pour un pendule simple (P1)
de longueur  1 = 65 cm. Les oscillations de (P) et (P1) sont faiblement amorties.
a) Sachant que la période propre d'un pendule simple, pour de faibles oscillations, est donnée par

T = 2π , calculer la valeur de la période propre T01 de (P1).
g
b) i) (P) oscille maintenant avec sa période minimale. On constate que (P1) n'entre pas en résonance
d'amplitude avec (P). Justifier.
ii) On déplace (S) entre O et B. Pour une valeur x0 de x, on constate que (P1) oscille avec une grande
amplitude. Déterminer la valeur de x0.

4
‫ العاديّة‬6102 ‫دورة العـام‬ ‫امتحانات الشهادة الثانوية العامة‬ ‫وزارة التربية والتعليم العالي‬
6132 ‫ حزيران‬31 ‫االثنين‬ ‫ علوم عامة‬: ‫الفرع‬ ‫المديرية العامة للتربية‬
‫دائرة االمتحانات‬
‫مسابقة في مادة الفيزياء‬ ‫مشروع معيار التصحيح‬
:‫االسم‬
‫المدة ثالث ساعات‬
:‫الرقم‬

Premier exercice : Variation de l'énergie cinétique d'un système 7½


Q Corrigé Note
Le skieur est soumis aux forces suivantes:

 réaction normal N ;

1  Poids mg ; ¾

 La force de frottement f
Schéma

2.a P = M V comme V = Cte  P = Cte ¾

dP
2.b = p + N + f = 0 suivant x'x : Mgsinα – f = 0  f = 400 N 1
dt

dP   P  P 
= p + f + N + f1 = or p + f + N = 0  = f1
dt t t
MVB  MVA MVA
Suivant x'x :  f1    f1 = 800 N.
t t
3.a 1
P PO  P A
Ou bien :   Fext    Fext
t t
0  MVA
projection suivant x'x :  Mg sin   f  f1  0  f1  f1  f1  800N
t
Force de freinage f1
3.b ½
Force de frottement f
 
ΔEm = W( f ) + W ( f 1 )  EmB – EmA = W( f ) + W ( f 1 ) 
3.c -1/2 MV2 –Mg AB sinα = - f .AB – f1 . AB  ( 40×900) + (400 × AB) = 1200 × AB 1
 AB = 45 m.
4.a.i ΔEpp = EppB  EppA  0  Mg ABsin  = - Mg AB sinα = - 1800 J ¾

4.a.ii W( Mg ) = Mgh = Mg AB sinα = 1800 J ½

4.b ΔEpp = - W( Mg ) ¼
ΔEC = ECB – ECA = 0 – ½ M VA2 = - 36 000J
W Fext
 WMg  WN  Wf  Wf  1800  0  (400  800)45  36000J
1

 ΔEC = W Fext

5 Ou bien : 1

ΔEm = ΔEC + ΔEpp = W( f ) + W ( f 1 )
  
 ΔEC = W( f ) + W( f 1 ) - ΔEpp = W( f ) + W( f 1 ) + W( Mg )
Or W( N ) =0  ΔEC = W Fext

1
Deuxième exercice : Caractéristiques d'un circuit (RLC) 7½
Q. Corrigé Note
di 
A.1.a uBD = ub = L  LI 2 sin(t  ) ¾
dt 2
  
u AM  u BD  LI 2 sin(t  )  U 2 cos t  LI 2 cos(  t  )  U 2 cos t
2 2 2

par comparaison : U 2  LI 2  L = 0,032 H = 32 mH.


A.1.b ¾

Ou bien : LI 2 sin(t  ) =U 2 cos t
2
Pour t = 0 : U 2  LI 2  L = 0,032 H = 32 mH.
du C 1 I 2 
A.2.a i C  u C   idt  sin(t  ) ¾
dt C C 2
I 2  I 2  
u AM  u BD  U 2 cos t = sin(t  )  U 2 cos t = cos(  t  )
C 2 C 2 2
I 2
par comparaison : U 2   C  3, 2 106 F  3, 2 F
C
A.2.b ¾
I 2 
Ou bien : u AM  u BD  U 2 cos t = sin(t  )
C 2
I 2 
Pour t = 0 : U 2 = sin( )  C  3, 2 106 F  3, 2 F
C 2
branchements de l'oscilloscope
A K
i
Y1 +
++
L
G
B.1 ¼
q B
C
Y2
R
M D

u AM  u AB  u BD  u DM 
I 2
U 2 cos t  LI 2 sin(t  )  sin(t  )  RI 2 cos(t  )
B.2 C 1
1
 L
 I 2 C 
Pour t   0  LI 2 cos   cos   RI 2 sin   tan  
2 C R
1
B.3.a T = 4 ms  f   250Hz . ½
T
2 
B.3.b    rad ½
8 4
B.4.a Résonance d'intensité ¼
1 1 1 1
B.4.b   0  tg   0   L0  LC  2 . 02   0  ½
C0 0 LC LC

2
1  1
Ou bien : f0   0  0 
2 LC 2 LC

1
A la résonnance : LC 
42f 02
1
 L

 1  C
1
Pour     L = R  1  LC2  RC
B.5 4 R C 1½
1 2 1 
 1  2   RC  C =  2 = 3,210-6 F = 3,2 F
0 R 0  R

1 1
 LC  L= = 32 mH
0
2
C02

Troisième exercice : Aspect corpusculaire de la lumière 7½


Q. Corrigé Note
λ , λ0 et n sont positifs alors n – 4 > 0  n2 > 4 et n > 2 ; la plus petite valeur de n est
2 2
A.I.1
alors 3
½

 λ = 364,7 x 9 = 656,46 nm
2
A.I.2 λ = λo 2n ½
n 4 94
Dans ces conditions n prend les valeurs suivantes :
n = 4 on trouve λ = 486,13 nm ,
A.I.3
n = 5 on trouve λ = 435,05 nm , ¾
n = 6 on trouve λ = 410,17 nm
A.II.1 Niveau fondamental n = 1 alors E1 = - 13,6 eV 0.5
 13,6
Premier niveau excité n = 2 alors E2 = = - 3,4 eV ;
A.II.2 4 1.25
deuxième niveau excité n = 3 alors E3 = -1,51 eV ;
E4 = - 0,85 eV ; E5 = - 0,54 eV ; E6 = -0,38 eV .
A.II.3 L’atome est ionisé lorsque n    E  0 ½
hc hc
B.1 W0   S   5, 65 107 m  565 nm ¾
S W0
Les raies de la série Balmer capables de produire l'émission photoélectrique doivent avoir
B.2 une longueur d'onde λ < λs  les raies Hβ , Hγ et Hδ provoquent l'émission photoélectrique ½
car λβ < λs ; λγ < λs et λδ < λs
P s
B.3.a La puissance rayonnante P0 reçue par la cellule est donnée par : P0  s 2  2, 04 105 W ¾
4D
Le nombre N0 de photons incidents sur la cathode en une seconde est :
E en 1s E reçue en 1s
B.3.b N0  reçue  4,99 1013 photons / s ¾
E photon hc

Le nombre des photons efficaces = nombre des électrons émis Ne
 Ne = r × N0 = 4,37×1011 électrons/s
B.3.c
q Ne e ¾
I0    6,99 108 A
t t

3
Quatrième exercice : Pendule pesant 7½
Q. Corrigé Note
x
1.a (m + m1 ) OG = m OO + m1 OM  OG = ½
4
1 m 2 m
1.b I(sys) = I(tige) + I(S)  I = m 2  x  (4x 2  2 ) . ½
12 3 12
1 2 m 4m x
2 I  (m  m1 )gOG cos   (4x 2  2 )2  g cos  ¾
2 24 3 4
dE m m m
Em = Cte   0  (4x 2  2 )  gx sin   0
dt 12 3
3.a
 4gx  ¾
Pour des faibles oscillations : sin ≈      2 2 
  0
 4x  
Cette équation différentielle est de la forme :
3.b 4 gx 4x 2   2 ½
   02  0  0   T  .
4x 2   2
0
x
1  4x 2  2

 
dT0 2  x2  ; T est minimale lorsque dT0 = 0  4x 2 
 0
2
 0 ; alors T0 est
4.a
dx 4x 2
 2 dx

x
minimale pour 4x2 =  2  x   or x > 0  x 
2 2
2
 2
T0   2 =1,41s.
4.b ½
2

5.a T01  2 1
= 1,61 s ½
g
Le phénomène de résonance d'amplitude aura lieu lorsque au cours des oscillations forcées,
imposées par l'excitateur sur le résonateur, la période propre de l'excitateur devient égale (très
5.b.i
voisine) de celle du résonateur. Comme T0 =1,41 s de (P) est plus petite de T01 = 1,61 s de
½
(P1), donc le phénomène de résonance ne peut pas avoir lieu.
(P1) oscille avec une grande amplitude, donc il est en résonance d'amplitude avec (P); alors la
période propre de (P) est égale à T01.
4x 2   2
T0  = 1,61  4 x 2  (1,61) 2 x   2  0 . La solution de cette équation du second
x
5.b.ii  1½
degré donne ; x1 = 53 cm (inacceptable car elle est > que = 25 cm) et x2 = 11,75 cm
2
(acceptable)

Vous aimerez peut-être aussi