Le document présente plusieurs expériences sur les freinages et les facteurs influençant la distance d'arrêt comme la vitesse, le coefficient de frottement et l'énergie cinétique se dissipant en énergie thermique. Malgré ces expériences, certains problèmes restent sans solution.
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Le document présente plusieurs expériences sur les freinages et les facteurs influençant la distance d'arrêt comme la vitesse, le coefficient de frottement et l'énergie cinétique se dissipant en énergie thermique. Malgré ces expériences, certains problèmes restent sans solution.
Le document présente plusieurs expériences sur les freinages et les facteurs influençant la distance d'arrêt comme la vitesse, le coefficient de frottement et l'énergie cinétique se dissipant en énergie thermique. Malgré ces expériences, certains problèmes restent sans solution.
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Présentation des résultats
D’après nos expériences on a déduit plusieurs relations entre de nombreux
paramètres, tel que la relation entre la vitesse du freinage et les frottements du sol avec la distance de freinage qui s’exprime par la formule suivante : v² da= ; avec α ≤coeficiant de frottement ;v la vitessede freinage Le fait que le coefficient de 2 αg frottement ait une influence sur la distance d’arrêt cela implique que la distance d’arrêt dépend également de la nature du sol, l’humidité, la surface de contact entre le corps et le sol et une myriade d’autres facteurs qui sont directement lié à ce paramètre comme la déclivité étant la pente (en cas de descente) ou rampe (en cas de montée) qui agit également sur la distance d’arrêt. Tous ces facteurs et d’autres (distance de réaction, frottements d’air , obscurité... ) influencent amplement la distance de freinage sauf que nous pouvons constater que quelques-uns parmi ces paramètres (notamment ceux mentionnés précédemment) agissent directement sur le coefficient de frottement K.
On a aussi induit que l'énergie cinétique Ec et durant le freinage se dissipe à cause du
travail des forces frottements en effet on a prouvé Ec =-W(f), la question qui se pose maintenant : En quoi est ce que l'énergie cinétique dissipée se transforme-t-elle ? En réponse à la question posée précédemment, on a décidé de faire une expérience qui montre l’action du travail des frottements, sur l’énergie cinétique. Cette expérience vise à établir l’égalité entre deux formes d’énergies différentes qui se produisent généralement d’une manière consécutive, à savoir l'énergie mécanique et l'énergie thermique, il s’agit de mettre en évidence expérimentale l’équivalence entre ces deux énergies-là en procédant principalement à la mesure de la variation de la température et le nombre de tours effectués par le calorimètre. On a donc conclu que le travail de ces forces frottements conduit à l’apparition d'une énergie thermique, et en fin on peut conclure que durant le freinage l'énergie cinétique se dissipe essentiellement en énergie thermique. Finalement on a conduit une expérience cruciale, celle qui met l’accent sur l’effet motrice d’une autre force s’appliquant sur un système lors de son mouvement, à savoir la force d’inertie d’entrainement. L'expérience vise à générer un mouvement relatif d’une masse sur un mobile entrainé par translation et observer l’effet d’entrainement qu’elle subit. Dans le repère relatif la masse est soumis en plus de son poids et la réaction du plan à une force nommée force d’inertie, cette force apparaît lorsqu'on a une accélération où décélération du repère relatif par rapport au repère absolu supposé galiléen, et on constate aussi que cette force s’oppose au sens du mouvement du repère relatif, c'est comme que la masse essaie de rester dans son état de mouvement avant l’accélération du repère relatif (dans notre cas la masse essaie de rester en équilibre). Les problèmes qui restent sans solution Malgré toutes ces expériences on trouve toujours plusieurs problèmes sans solution comme l’établissement expérimental de la force de freinage nécessaire pour le décollage de la roue puisqu’elle dépend de plusieurs facteurs, ainsi que l’influence de la pente et des frottement fluides sur la distance de freinage. Ce que nous avions appris du travail : Il n’est point latent que durant notre étude de ce thème purement mécanique, nous avons pu concrètement utiliser pour la première fois d’innombrables théorèmes et loi physiques. Ainsi que côtoyer une nouvelle sorte de matériel du laboratoire. Sans oublier les myriades de compétences acquises notamment la patience, savoir exploité la quantité colossale d’informations accessibles, le travail d’équipe, apprendre à homogénéiser nos idées différentes et propos pour au final aboutir un travail commun, développer l’aptitude à détecter les failles de nos travaux, ainsi qu’être le plus méticuleux possible quand cela concerne le traitements des résultats, entrer en contact avec un nouveau logiciel qui permet d’enregistrer et traiter le mouvement d’un certain corps étant Cineris. Sans non plus omettre l’importance de corriger les diverses erreurs commises préalablement. On a aussi appris la méthodologie de l’esprit scientifique qui est une méthode exemplaire pour réaliser une expérience qui vise à trouver les facteurs qui sont responsables d’un certain un phénomène ou à montrer une relation qui puisse exister entre ces différents paramètres ce qui nous a permis d’acquérir une démarche scientifique pour l’étude des phénomènes physiques ainsi que renforcer les compétences expérimentales. Initiatives : Autres idées que vous jugez importantes Il est indéniable que lors de notre approche théorique nous avons négliger une deuxième éventualité d’accidents de freinage étant le dérapage, en effet en appliquant une force de freinage intense et brutale au moment du virage et surtout avec une vitesse élevée, cela pourra causer le glissement de la roue arrière. Le cycliste devra donc trouver un bon angle d’inclinaison par rapport à la verticale et régler correctement sa vitesse sans risquer de déraper. On pourra aussi évoquer le phénomène de cabrage de la roue en avant. En effet, ce phénomène éventuellement physique se produit lorsqu’on applique une grande force sur la pédale, ce qui provoque une accélération colossale au niveau de la roue arrière. Par conséquent, le vélo aura tendance à s’enfoncer vers l’arrière et se lever vers l’avant à cause de l’accumulation de la force d’inerties d’entrainement.