Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

BD Définition

Télécharger au format docx, pdf ou txt
Télécharger au format docx, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 11

Introduction à la Bande Dessinée :

La bande dessinée : définition

Si la bande dessinée est très diverse et hétérogène, personne ne l’a encore confondu
avec un film ou un roman. C’est bien que certaines caractéristiques de la BD lui
appartiennent en propre. Cette spécificité doit donc être définissable.

Les attributs de la bande dessinée

Pour certains, la bande dessinée n’est, ni plus ni moins, qu’un album aux couleurs
criardes, avec des dessins médiocres, des scénarios stupides et des types avec des gros
nez. Pourquoi pas… mais une telle affirmation est plutôt relative à une concrétisation
possible de bande dessinée.

Certains défenseurs de la bd particulièrement rigoureux trouvent que le sigle BD est


dévalorisant et préconisent de s’en tenir toujours à l’expression bande dessinée.

L’inventeur de la bande dessinée (le créateur du premier vrai petit album de BD) est
Rodolphe Töpffer, un suisse. Il a décrit son travail dans les années 1830 en indiquant
que c’était « un livre qui, parlant directement aux yeux, s’exprime par la
représentation, non par le récit. » On peut penser que par « récit », il entendait texte
(car les BD de Töpffer sont de nature narrative, donc avec un récit). Le génie de
Töpffer est d’avoir privilégié l’image sur le texte dans sa narration et de le rappeler
dans cette première définition de la bande dessinée.

La naissance et l’évolution ainsi que la narration dans la BD , sont des cours


confectionnés en ppt dans le cd ci-joint )
Histoire de la BD

À l'époque préhistorique, les hommes peinturaient déjà sur les murs des grottes pour
différentes raisons, à propos desquelles les scientifiques ne s'entendent pas (récits de
chasse en images, dessins à fonction chamanique ou magique, etc.). De ces « peintures
rupestres », les plus célèbres sont celles de la grotte de Lascaux, en France.

Plus tard, soit 3000 ans avant Jésus-Christ, les Égyptiens développaient une forme
d'écriture qui consistait à dessiner des personnages humains, des dieux, des animaux et
des objets sur la pierre ou la pâte de roseau. Ces récits, utilisant comme caractères les
hiéroglyphes, dessins disposés sur de longues bandes verticales ou horizontales,
constituent les premiers véritables récits en images de l'histoire

1814. Au Japon, le peintre Hokusai innove en présentant certaines pages de ses


croquis, dont quelques caricatures, dans des cases accompagnées de texte. L'oeuvre
prend le nom de Manga, qui en japonais veut dire « image maladroite », ou «
caricature ». Le terme désignera plus tard la bande dessinée japonaise.

Dès la fin du XVIIIe siècle, l'Imagerie d'Epinal commence à diffuser de petites


vignettes narrant des sujets populaires, non seulement des images pieuses, mais aussi
des comptines, des devinettes, des épisodes de l'histoire de France, etc. De 1870 à
1914, ce sont plus de 500 millions de planches qui sont vendues !

Cependant, la bande dessinée telle qu'on la connaît aujourd'hui, composée de rangées


d'images et de bulles de dialogues, a été inventée en 1827 par le Suisse Rodolphe
Töpffer, un maître de pensionnat qui voulait divertir ses élèves. Aux États-Unis, on
attribue la paternité de la bande dessinée à l'Américain Rudolph Dirks, auteur de The
katzenjammer kids, une histoire de vilains garnements (1897).

Cependant, la bande dessinée telle qu'on la connaît aujourd'hui, composée de rangées


d'images et de bulles de dialogues, a été inventée en 1827 par le Suisse Rodolphe
Töpffer, un maître de pensionnat qui voulait divertir ses élèves. Aux États-Unis, on
attribue la paternité de la bande dessinée à l'Américain Rudolph Dirks, auteur de The
katzenjammer kids, une histoire de vilains garnements (1897). En 1896, dans le New
York Journal dirigé par le grand magnat de la presse William R. Hearst, Richard F.
Outcault est le premier à faire parler son héros, The Yellow Kid, dans un balloon. Mais
c'est dans le Little Nemo in Slumberland de Winsor McCay, publié en 1905 dans le
New York Herald que l'usage des balloons est systématisé. C'est aussi l'un des
premiers strips dans lequel l'auteur adapte la taille des cases aux nécessités du récit. Et
c'est également d'une grande beauté

En 1896, dans le New York Journal dirigé par le grand magnat de la presse William R.
Hearst, Richard F. Outcault est le premier à faire parler son héros, The Yellow Kid,
dans un balloon. Mais c'est dans le Little Nemo in Slumberland de Winsor McCay,
publié en 1905 dans le New York Herald que l'usage des balloons est systématisé.
C'est aussi l'un des premiers strips dans lequel l'auteur adapte la taille des cases aux
nécessités du récit. Et c'est également d'une grande beauté

En 1905, le périodique illustré La Semaine de Suzette publie le premier épisode des


aventures de Bécassine, que les jeunes Français vont suivre pendant un demi-siècle. Si
on a peu retenu les histoires de la gentille bonne bretonne, la modernité des dessins de
Joseph Pinchon inspirera la fameuse « ligne claire » adoptée par Hergé pour . Dans
une veine plus populaire, Les Pieds nickelés (aka Croquignol, Filochard et
Ribouldingue) sont publiés à la même époque.

En 1929, à l'âge de 24 ans, le Belge Georges Remi, alias Hergé, publie Tintin chez les
Soviets, premier album des aventures de Tintin. Elles vont durer plus de cinquante ans,
avec le succès qu'on connaît, jusqu'à la mort de leur créateur en 1983. L'éternelle
jeunesse du héros intrépide donne à la série un caractère atemporel, tandis que le mot «
tintinophile » est aujourd'hui entré dans le langage courant. 1938. Les premières
aventures de Superman paraissent dans le magazine Action Comics. A la suite du
krach de 1929, les Américains ont le moral en berne et rêvent de héros qui pourraient
venir à leur secours. C'est l'âge d'or des « super héros » : Superman, Batman, Captain
Marvel, Wonder Woman... D'autres héros plus « humains » envahissent les cases des
comic strips américains, et bientôt européens : Mickey Mouse, Tarzan, Popeye,
Mandrake, Flash Gordon...
A partir de 1946, le Journal de Tintin, notamment, promeut des auteurs belges et
français commeEdgar P. Jacobs (Blake et Mortimer), Jacques Martin (Alix), Greg
(Achille Talon), Jean Graton (Michel Vaillant), Tibet (Ric Hochet), Dupa (Boule et
Bill)... Portée par le succès de Tintin, la bande dessinée belge connaît un succès
international

Comme le Journal de Tintin, la revue belge Spirou, créée en 1938 par Dupuis, va
porter de nombreux héros et anti-héros dont le succès ne se dément toujours pas.
André Franquin y raconte les aventures de véritables icônes : Spirou et Fantasio,
Gaston Lagaffe, le Marsupilami... En 1959, Uderzo, Goscinny et jean-michel charlier
font sécession et créent la revue Pilote : là naissent Blueberry, Achille Talon, la
Rubrique-à-brac de Gotlib, Lucky Luke, Iznogoud, et, les plus connus d'entre tous,
Astérix et Obélix.

En 1967 paraît l'album Ballade de la mer salée, qui raconte les expéditions
mélancoliques d'un marin maltais, Corto Maltese. Son auteur, Hugo Pratt, est
considéré comme un précurseur de ce que l'on nommera le graphic novel, où la bande
dessinée prend une dimension littéraire. Petit à petit, une partie des auteurs de bande
dessinée (Enki Bilal, Moebius, Tardi, Van Hamme, Shuiten...) se démarque de
l'univers de l'enfance, pour affirmer la maturité de leurs héros.

1976 : le terme « graphic novel » apparaît simultanément pour désigner trois albums
parus aux Etats-Unis cette année-là, notamment A Contract With God And Other
Tenement Stories de Will Eisner. Entre roman et BD, le graphic novel (ou roman
graphique) marque l'orientation d'une part de la bande dessinée vers le champ
littéraire. La série de Frank Miller, adapté au cinéma par l'auteur lui-même, en est l'un
des meilleurs exemples récents. On peut également citer les oeuvres de Bill
Sienkiewicz, Chris Ware, ou Alan Moore, maîtres du genre.

Sous-genre du graphic novel, la bd autobiographique joue la carte de l'introspection,


avec le décalage que permet le recours au dessin. Robert Crumb commence dans les
années 1970 à évoquer sa vie personnelle, dans un registre sombre. Le premier volume
de d'Art Spiegelman, paru en 1986, use de la métaphore pour évoquer la survie de sa
famille pendant l'Holocauste

Ni vraiment auteurs de bande dessinée, ni tout à fait « artistes contemporains », Jochen


Gerner et Glen Baxter, chacun dans leur style, illustrent des modes d'expérimentation
réalisés à partir des codes de représentation de la bande dessinée. Si Gerner (membre
de l'OuBaPo, Ouvroir de Bande dessinée Potentielle) abstrait les formes jusq'au signe,
Baxter joue sur l'absurde en associant aux images des textes incongrus. Ouvrant ainsi
une énième voie pour la bande dessinéeFait intéressant, à ses débuts, la bande dessinée
européenne était surtout destinée au jeune public (Les Schtroumpfs, Astérix le
Gaulois, Tintin et Milou, Lucky Luke), tandis qu'aux États-Unis, elle visait surtout les
adultes (Tarzan chez les singes, Superman, Dick Tracy, Mandrake). La raison est
simple: en Amérique, on s'est vite aperçu que les journaux qui publiaient des bandes
dessinées se vendaient à beaucoup plus d'exemplaires que les journaux sans bande
dessinée! Pour se donner une idée de l'influence importante qu'exerçaient les
personnages de bandes dessinées sur la population, voici une anecdote étonnante: peu
de temps avant sa mort, le célèbre président des États-Unis John F. Kennedy avait
demandé aux auteurs de Superman de souligner dans leurs histoires les vertus de la
bonne forme physique!

Le vocabulaire de la BD :

Définition : une bande dessinée est une succession d’images

organisées pour raconter une histoire et présentée de façons diverses (en

planche, en illustré, en petit format, en album, etc.). En d’autres termes,

une BD est une histoire comique ou réaliste racontée en images. Le concept

de bande dessinée est appelée ‘’Manga’’ au Japon et ‘’Comics’’ aux Etats-

Unis.

1) La 1ère de Couverture :
Désigne le "plat supérieur" du livre généralement cartonnée en BD, où se trouve le
titre, le nom du ou des auteurs, le nom de l’éditeur.

2) Pages de gardes : Les pages de gardes sont les pages qui précèdent et qui succèdent
le corps du livre contenant l’œuvre de l’auteur. Les deux premières pages de garde
comportent : une page dite habituellement de "couleur" (contre-collée sur la face
interne de la 1ère de couverture), puis d’une ou deux pages de garde dites "blanches"
(celles qui accueillent habituellement la dédicace de l'illustrateur lors des salons de
BD).

3) Page de titre : Elle se place juste après les pages de garde blanches . Cette page "de
titre" comporte, comme son nom l'indique : le titre, mais aussi le ou les noms des
auteurs, nom de l’éditeur. Elle peut aussi présenter une note d'intention de l'éditeur ou
la dédicace de l'auteur, ainsi qu'un crayonné illustrant l'accueil du livre.

4) L’incipit : désigne le début d’un texte, en général la première phrase d’un livre.
Dérivé du latin incipio qui signifie "commencer". En bande-dessinée, l’incipit est
souvent dans un cartouche appelé "récitatif", ou dans la première bulle du premier
dialogue rencontré dans le livre.

5) La planche : C’est la page entière de B.D. Elle est composée de plusieurs bandes.
Une planche comprend trois à quatre bandes superposées. Elle tire son nom de la
planche sur laquelle les illustrateurs réalisaient initialement leurs dessins.

6)La bande : (aussi appelée le “Strip”) est la succession horizontale de plusieurs


images. Une bande comprend entre une et six images environ.

7) La case: (aussi appelée Vignette) est une image d’une bande dessinée délimitée par
un cadre.

8) La gouttière : l’espace qui sépare deux cases juxtaposées. C’est le signe le plus
visible qui participe à figurer l’ellipse de l’action ou/et du temps, mais aussi à
construire le découpage d’une séquence.
9) La bulle : (aussi appelée un phylactère) est une forme variable qui, dans une case,
contient les paroles ou pensées des personnages reproduites au style direct
10)Un appendice : relié au personnage, il permet d’identifier le locuteur. Il prend la
forme d’une flèche pour les paroles et de petits ronds pour les pensées.

11)Le récitatif : Ce sont des encadrés généralement situés au bord des vignettes servant
aux commentaires de la part du narrateur , pour donner des indications de temps et de
lieu ou pour fournir des informations permettant une meilleure compréhension de
l'action. Elles peuvent dans certains cas contenir la « voix » du narrateur. Elles ont
communément une forme de cartouche rectangulaire. Elles se différencient de la bulle
par l’absence de la "queue".

12) Une onomatopée : mot qui imite un son ; les onomatopées constituent le bruitage
de la bande dessinée.

13)un idéogramme : icône, symbole ou petit dessin exprimant une pensée ou un


sentiment
Bibliographie :

AHNOUCH, Jamila, 2005, L’enseignement du français langue seconde au Marox : le


rôle de la B.D. comme support pédagoique, thèse de doctorat, Université Paris 7.

AZAM, Julien et Rodolphe BLAISE, 2003, « La bande dessinée, le 9e art en SES« ,


Idées, n°1313

BARDY-GUILLEMANT, Valérie, 2008, Fable et bande dessinée avec La Fontaine,


CRDP de Poitou-Charentes, collection la BD de case en classe, Poitiers.

BAUDOU, Jacques, 1974, La Bande dessinée à l’école, CRDP, Reims.

BONREPAUX, Christian, 2005, « La bande dessinée en classe, mode d’emploi », Le


Monde de l’éducation, n°339.

BORNEL-RAINELLI, Béatrice et Alain DERNARCO, 2011, « La BD au collège


depuis 1995 : entre instrumentalisation et reconnaissance d’un art », Le Français
aujourd’hui, n°172, n°1/2011.

CARTON, Mireille et Christophe ROINÉ (dir.), 2000, « La bande dessinée », Cahiers


pédagogiques, n°382.

CHANTE, Alain, 1996, 99 réponses sur la bande dessinée, CRDP Languedoc-


Roussillon, Montpellier.
GUAY, Luc et Dominic CHARRETTE, 2009, « La bande dessinée : un outil
didactique pour enseigner l’histoire« , Traces, vol. 47, n°2/2009.

HESBY, Wendy, 1999, Comics in Education. The link between Visual and Verbal
Literacies: how readers read comics, thèse de doctorat en sciences de l’éducation,
University of Southampton.

HUERTA, Nicolas, 2005, Comment utiliser la bande dessinée comme outil


pédagogique à l’école ?, mémoire IUFM, académie de Montpellier.

LAMOTTE, Jocelyne, 2008, « Un projet pour ma classe : fabriquer une bande


dessinée », La Classe maternelle, hors-série n°24, septembre 2008.

LESBÉ, Sylvie et Patrick CLASTRES, 2005, Dessiner l’indicible autour de


“Auschwitz” de Pascal Croci, CRDP de Poitou-Charentes, collection la BD de case en
classe, Poitiers.

LESSOUS, Laurent, 2000, Utilisation d’oeuvres de bande dessinée en histoire, classe


de première, CRDP de Poitou-Charentes, collection Le Petit Bullaire 2000, Poitiers.

LESSOUS, Laurent, 2006, Jean Monnet, bâtisseur d’Europe. Exploitation


pédagogique, CRDP de Poitou-Charentes, collection la BD de case en classe, Poitiers.

Bédéthèques

Vous recherchez une information précise sur un album, un auteur, un personnage ? Les
bases de données consacrées à la BD répondront à toutes vos questions. Conçue
spécialement pour les enseignants, la base de données L@bd, créée par le Centre
national de documentation pédagogique (France), constitue ainsi un outil de recherche
et d'information sans équivalent offrant aux bédéphiles, enseignants de toutes
disciplines, élèves, bibliothécaires, documentalistes et chercheurs, de larges
possibilités de recherche multicritères : albums, documentaires, magazines et fanzines,
pédagogie, sites, vidéos... Réalisé par Jean-Michel Block, spécialiste en bande
dessinée, Bande-dessinée.org présente quant à lui plus de 3500 bandes dessinées
francophones classées par séries, collections, auteurs et éditeurs. Le site propose
également des fiches biobibliographiques illustrées de scénaristes et d'illustrateurs,
classées par ordre alphabétique. Ma collec BD, site personnel français connecté à une
base de données, se révèle particulièrement intéressant pour les biographies d'auteurs
et les bibliographies qu'il propose. Vous trouverez enfin sur BDTheque des centaines
de BD avec résumé d'histoire et images, ainsi que des milliers de critiques de lecteurs.
La recherche s'effectue par titre, auteur, style, éditeur, collection, etc.

Sélections de BD

Contrairement au secteur de l'édition littéraire, le marché de la bande dessinée se porte


très bien ! Pour vous aider à vous y retrouver parmi l'offre proposée (en France par
exemple, plus de 4000 nouveaux titres ont été publiés en 2006 !), nous vous invitons à
vous appuyer sur les sélections proposées par des professionnels du secteur.

Le site du Centre national de la bande dessinée et de l'image (CNBDI), qui fait le point
sur tout ce qui concerne le monde de la bande dessinée en France, propose ainsi sous
l'entrée "ressources documentaires", une "bédéthèque idéale", renouvelée chaque
année. Au programme, une sélection "Jeunesse" et "Adultes" (romans graphiques,
séries, mangas, comics…). Dans un dossier intitulé "La bande dessinée en France",
l'Association pour la diffusion de la pensée française (ADPF) propose quant à elle une
sélection de 50 auteurs emblématiques de la bande dessinée francophone
contemporaine. Pour ouvrir le panorama à la BD africaine, la revue des littératures du
Sud Notre librairie consacre un numéro à la bande dessinée sur le continent africain,
dans laquelle vous pourrez consulter une sélection de cinquante albums africains (on y
trouve notamment une présentation de Gbich!, magazine de bandes dessinées qui
connaît un formidable succès en Côte-d'Ivoire). Ce dossier comprend également des
analyses d'experts, des témoignages de dessinateurs, de scénaristes ou de rédacteurs en
chef de journaux de BD, ainsi que plusieurs planches entières dont certaines inédites.
Pour coller à l'actualité, Nouvelles bulles, sur le site de la chaîne de télévision France 5
éducation, propose une sélection de nouveautés, classées par âge : 7 ans, 10 ans, 13
ans, 15 ans, adultes.

Suivre l'actualité de la bande dessinée

Sites spécialisés
Les sites francophones consacrés à l'actualité de la BD sont très nombreux sur la Toile.
Magazine d’actualité de la bande dessinée, Actua BD propose ainsi des brèves
d’actualité, une sélection d’albums chroniqués, des interviews d’auteurs de BD, des
dossiers, etc. BD Sélection suit également à un rythme soutenu les sorties d’albums.
Toutes les semaines six à huit nouvelles critiques sont publiées sur le site, tous les
quinze jours une interview et un dossier et enfin, tous les mois, un nouveau palmarès
"Top Albums" confrontant les avis de neuf journalistes BD (France 2, Télérama, Le
Figaro...). 30 jours de BD présente pour sa part chaque jour une page toute fraîche,
dessinée par un auteur différent : un espace de repérage bienvenu pour les bédéphiles.
Visitez également BD Paradisio : ce site belge en français créé par Catherine Henry,
passionnée de bandes dessinées, dresse un panorama complet sur les auteurs
contemporains de la BD, surtout européenne, avec un coup de pouce pour les jeunes.
Les rubriques sont alimentées régulièrement par contact avec les éditeurs ou les
auteurs. Quelques nouveautés, "les BD en ligne", bénéficient de prépublication. Les
biographies et bibliographies sont agrémentées de photographies et de reproductions
de couvertures d'albums. Vous pourrez également suivre les nouvelles publications
belges et québécoises en consultant les sites Brusselsbdtour et BD Québec. Enfin, pour
découvrir la BD indépendante, ne manquez pas le site Clair de bulle.

Vous aimerez peut-être aussi