CU 01 Métier Et Formation
CU 01 Métier Et Formation
CU 01 Métier Et Formation
OFPPT
Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail
DIRECTION RECHERCHE ET INGÉNIERIE DE FORMATION
SECTEUR : TOURISME
FILIERE : CUISINE
NIVEAU : TECHNICIEN
FILIERE : CUISINE
NIVEAU : TECHNICIEN
Introduction ………………………………………………………………………………………………04
DESCRIPTION DE LA COMPETENCE…………………………………………………………………06
Apports théoriques
METIER et FORMATION
Apports pratiques
Fiche d’évaluation
Bibliographie……………………………………………………………………………………
INTRODUCTION
Dans le PPF chaque module est découpé en séquences de formation afin de suivre une logique
de progression dans les apprentissages.
Le PPF répond aux objectifs fixés en amont au cours de l’AST comme l’ensemble du programme
de formation Les découpages sont réalisés en référence aux contenus du Programme d’études et
du Guide pédagogique
Les séquences et les séances proposées sont définies par rapport aux éléments permettant de
développer les compétences :
apport de connaissances
développement des savoir faire
adaptation des comportements
Il est important de noter que ces ressources ne sont pas directement utilisables. Les formateurs
doivent préparer chaque cours à partir des ressources pédagogiques proposées
En ce qui concerne les exercices pratiques à caractère répétitif une fiche détaillée de travaux
pratiques ou une méthodologie de réalisation sont proposées il incombe au formateur de définir la
gamme des travaux pratiques en faisant varier les paramètres concernés
La fiche d’évaluation qui est proposée pour chaque module est en conformité avec le contenu du
guide d’évaluation.
Durée
Code No Titre du module
(heures)
CU 01 01 Métier et formation 30
CU 02 02 Hygiène et salubrité alimentaires 45
CU 03 03 Santé et sécurité 15
CU 04 04 Exploration du milieu de travail 60
CU 05 05 Outillage et équipement 30
CU 06 06 Qualités organoleptiques des aliments 30
CU 07 07 Techniques de cuisson 30
CU 08 08 Préparations fondamentales 90
CU 09 09 Fruits et légumes 45
CU 10 10 Potages 45
CU 11 11 Français appliqué à une cuisine 45
CU 12 12 Viandes, volailles et gibiers 120
CU 13 13 Cuisine marocaine 45
CU 14 14 Poissons, mollusques et crustacés 90
CU 15 15 Relations professionnelles 30
CU 16 16 Gestion et organisation d’une cuisine 45
CU 17 17 Initiation au métier 90
CU 18 18 Pâtes de base 60
CU 19 19 Hors d’œuvre, entrées, salades et canapés 75
CU 20 20 Desserts 105
CU 21 21 Présentations culinaires 45
CU 22 22 Conception de menus 60
CU 23 23 Mise en place et service des buffets 75
CU 24 24 Mise en place des petits déjeuners 60
CU 25 25 Mise en place et service des banquets 60
CU 26 26 Mise en place des menus de production 120
CU 27 27 Mise en place des menus table d’hôte 105
CU 28 28 Mise en place des menus à la carte 120
CU 29 29 Recherche d’emploi 15
CU 30 30 Intégration au marché du travail 180
OBJECTIF OPÉRATIONNEL
COMPÉTENCE
PRÉSENTATION DU MODULE
Cette compétence se situe en tout début de formation dans le but d’informer le stagiaire sur
le métier et la démarche de formation.
CONTEXTE DE RÉALISATION
À partir de brochures, de dépliants sur les divers types de restaurants, hôtels, etc. ;
À partir du rapport de l’analyse de situation de travail et du programme de formation ;
À l’aide de méthodes de prise de notes ;
À l’aide de règles de discussion ;
Présentation du métier par divers professionnels.
RÉFÉRENCES
Revues spécialisées
Rapport d’analyse de situation de travail
Programme de formation
Brochures
Dépliants
REFERENCES
Références des ouvrages sélectionnés :
La cuisine professionnelle, éditions Lanore, auteur : JL DANJOU
Cuisine de référence, éditions BPI, auteur : M.MAINCENT
Documents multimédia :
http://www.ac-versailles.fr site de l’éducation nationale française
Cassette vidéo : L’accueil téléphonique (Le Génie des Glaciers)
Cassette Vidéo : Le téléphone, outil de communication (Action Image, 7 rue Régale, 30000 Nîmes)
Site : www.assistance-marketing.com
Site : http://www.anpe.fr/espacecandidat/romeligne/RliIndex.do fiches ROME
Prendre des notes est un moyen de représenter des informations en les synthétisant dans
une forme propre à l’auteur. C’est une activité complexe qui nécessite un entraînement long
et régulier car il s’agit d’écrire l’essentiel avec un maximum de rapidité. Dès le collège,
l’initiation à la prise de notes contribue à faire acquérir une certaine autonomie aux élèves.
La compétence à prendre des notes constitue un objectif de formation à atteindre à la fin du
premier cycle secondaire.
Quand on parle de prise de notes, on pense immédiatement à une prise de note à partir
d’une source orale, mais il est bon de rappeler que les notes peuvent provenir de quatre
sources différentes :
A partir de l’oral : cours, réunions… ;
A partir de sa propre source mentale (mémoire, réflexion) ;
A partir d’une observation directe de la réalité ;
A partir d’un écrit (documents, revues, livres…).
Les conditions nécessaires à une prise de notes efficace relèvent principalement de la
mémorisation, de l’attention/concentration, de l’organisation/structuration.
La mémorisation (Application 1)
Prendre des notes développe l’activité de l’esprit. Il est utile de rappeler la différence de
fonctionnement entre nos deux hémisphères cérébraux : le gauche et le droit.
Chez un droitier, l’hémisphère gauche (côté droit du corps) commande le langage, la
logique, le raisonnement, le calcul ; le cerveau droit (côté gauche du corps), l’intuition,
l’émotion, le sens artistique, la musique et la reconnaissance des formes.
On peut constater, au sein d’une classe, cette différence chez les élèves : un élève peut très
bien exprimer une idée par le dessin (hémisphère droit) et un autre peut exprimer cette
même idée par la parole (hémisphère gauche). On peut donc en déduire qu’il y a deux
modes d’appréhension du monde et des autres. Normalement les deux modes collaborent,
mais dans certaines situations, pour un travail particulier, l’un des deux cerveaux va prendre
le pas sur l’autre. Par conséquent, faire travailler les deux cerveaux favorise la mémorisation.
À ce sujet, on remarquera que tout le monde ne perçoit pas les informations de la même
façon, en effet, pour une même information, nous pouvons avoir un mode de représentation
différent :
on voit un objet, une image : mémoire visuelle ;
on entend un son : mémoire auditive ;
on ressent une émotion ou on sent une odeur : mémoire kinesthésique
La structuration/organisation
Préparation matérielle
prévoir la quantité de feuilles suffisante (utiliser les feuilles recto, afin de ne pas
perdre de temps en retournant la feuille), des stylos ou crayons de rechange ;
si les thèmes abordés sont connus d’avance, préparer les feuilles avec les différentes
rubriques
1. Mémoire visuelle
Voici un exemple d’exercice pour entraîner la mémoire visuelle mais l’image proposée ici
peut être remplacée par n’importe quelle photo ou illustration de votre choix Faire observer le
tableau ci-dessous pendant 2 minutes1.
Les élèves n’ayant plus l’image sous les yeux, leur demander de répondre aux questions ci-
après :
1
Le livre de la chasse de Gaston Phébus – XIVme siècle – Paris, Bibliothèque Nationale de France
Consortium SFERE -OFPPT Programme MEDA2 – Marché AIDCO/2002/0687 lot 15
CU 01
Corrigé :
- 8 chiens
- 1 chien
- 3 hommes assis
- 4 hommes agenouillés
- 5 chiens n’ont pas de médaille
- 4 arbres
- On peut penser à des chasseurs qui soignent leurs chiens
- 14me siècle (par les costumes)
Exploitation
Le professeur fera constater que les mêmes informations parviennent aux élèves sur des
modes de représentation différents (exemple du marché) :
Cette différenciation est importante car dans une situation de prise de notes chacun
retiendra les informations en fonction de sa perception.
Trois personnes (A, B, et C) sont réunies amicalement dans un salon ; elles discutent
lorsqu’une quatrième personne arrive, annonçant qu’elle va au supermarché faire des
courses. Immédiatement, les trois autres lui demandent, à tour de rôle, de leur acheter
certains articles.
Déroulement du jeu :
A 2 kg d’oranges
4 yaourts à la fraise
250 g de beurre salé
2 beefsteaks
B 1 lait démaquillant
1 paquet de mouchoirs en papier
1 litre d’eau de javel
1 litre de lait entier
1 flacon de dissolvant
Exploitation
Cet exercice est destiné à entraîner l’esprit à la mémorisation d’informations, par les
procédés visuels, auditifs ou kinesthésiques. L’élève chargé de faire les courses pourra
faire part aux autres du procédé de mémorisation qu’il a utilisé, en fonction de sa propre
perception des articles demandés.
On peut enregistrer une émission culinaire simple et courte ; la projeter aux élèves et leur
demander de ne rien noter, de mémoriser la recette. Ensuite, ils devront écrire de façon
claire et structurée cette recette.
Série 1
Série 2
Série 3
Exploitation
Définir Décrire
Sélectionner Comparer
Associer Distinguer
tester
condamner comparaître
trancher débouter
casser annuler
écriture
impression saisie
recherche sélection
suppression répétition
1. Méthode structurée
Situation : Dans le cadre des Journées du patrimoine, le professeur demande aux élèves de
visiter un site de leur choix, afin de se sensibiliser au patrimoine de leur région et de réaliser
un dossier.
Les élèves vont donc devoir choisir un site, collecter des informations et prendre des notes
lors de la visite. Ils préparent un questionnaire pour ordonner les idées.
Prenons un exemple : visite d’un musée : exemples de questions (liste non exhaustive)
Site visité :
9. …………………………………….
Concerne :
Date : Heure :
En votre absence :
M De :
N° de tél : Service
Vous a appelé
Vous rappellera
Désire un rendez-vous
Message :
Message :
Faire écouter (ou lire) des messages téléphoniques enregistrés sur répondeur et
demander aux élèves de les prendre en notes à l’aide du document ci-dessous :
En reprenant la situation «Journées du Patrimoine», faire prendre des notes par les élèves
sur les tâches à réaliser avant, pendant et après la visite du site choisi :
Avant
Préparer le questionnaire
Questionner
S’informer Affiches
Pendant
Être attentif
Prospectus
Après
Préparer le dossier
Soit le professeur lit le texte joint «Partir à l’étranger» et demande aux élèves de
prendre des notes selon le schéma heuristique ;
Soit le professeur remet ce même texte aux élèves qui doivent le lire et prendre des
notes selon le schéma heuristique.
Proposition de schéma :
Partir à l’étranger :
quels documents Hors Europe
Europe Passeport
emporter ?
Carte d’identité
Visa
Permis conduire
Permis conduire inter.
Devise
Carte européenne s
assurance maladie Zone euro et hors euro
Espèces
Chèques voyage
Carte bancaire
Partir à l’étranger, même pour quelques jours, ne s’improvise pas. Un certain nombre
de formalités doivent être accomplies suffisamment à l’avance.
Afin de ne pas gâcher vos prochaines vacances, assurez-vous que tous les papiers
officiels exigés pour séjourner à l’étranger sont bien en règle. N’attendez pas la dernière
minute pour effectuer votre demande, les délais pour vous les procurer peuvent se trouver
considérablement allongés, notamment à la veille des vacances scolaires.
Efficacité de la communication
Une communication efficace est une communication qui répond à ses objectifs : informer un
salarié, fidéliser un client, etc. Elle s’appuie, de façon simplifiée, sur :
la prise en compte des intérêts et des attitudes du récepteur
la qualité de la relation établie : interrelation, écoute, respect des rituels…
la clarté du message, liée à la maîtrise des règles de l’expression orale ou écrite
Pour obtenir une action Pourriez-vous m’adresser un rapport sur cette étude ?
S’exprimer correctement
Il peut arriver que les interlocuteurs ne recourent pas spontanément aux mêmes codes et
aux mêmes registres de langage car ils ne sont pas issus des mêmes cultures
(professionnelle, milieu social, nationalité). Pour comprendre son interlocuteur et se faire
comprendre, il faut donc décrypter correctement ces différences culturelles et les prendre en
compte.
Par exemple, lors d’un stage en entreprise, l’élève doit s’adapter aux codes et au registre de
langage qui y dominent et renoncer, dans ce contexte, au langage familier voire codé qu’il
utilise avec ses camarades de classe.
Il faut savoir trouver les mots justes dont les caractéristiques sont les suivantes : clarté,
concision, considération (afin de ne pas heurter l’interlocuteur et provoquer des sentiments
négatifs).
L'apparence : c'est l'allure générale d'un individu que l'on voit en premier lieu :
le vêtement, la coiffure, les accessoires. Le choix des vêtements se fait généralement
en fonction de l'âge, de la morphologie et de la situation professionnelle. On peut
constater une évolution dans la tenue vestimentaire, une plus grande décontraction,
surtout dans le choix des tissus et des couleurs.
Par le choix de notre tenue, nous voulons donner une certaine image de nous-mêmes. Il faut
rappeler les trois types d'images :
image projetée : image de soi
image souhaitée : celle que l'on aimerait donner
image reçue : celle qui est perçue par les autres.
On connaît l'expression "garder ses distances". Chacun d'entre nous marque ses distances
en parlant à l'autre. On distingue quatre zones de communication :
zone intime (15 à 45 cm), ton de la confidence
zone personnelle (entre 45 et 1,20 m), relations professionnelles, voire amicales
zone sociale (1,20 à 3,50 m), marque la fonction de chacun
zone publique (> 3,50 m), face à un public.
La gestuelle se manifeste par des postures ; celles-ci concernent la tête, le buste, le bassin,
les jambes et les bras. Par nos gestes, nous nous exprimons et nous pouvons avoir un
comportement de défense. Si, par exemple, nous sommes mis directement en cause,
interpellés, nous avons alors des gestes barrières. Parmi les plus courants :
les mains sur les oreilles,
les bras croisés,
se frotter les mains,
les formes de réajustement : la mèche des cheveux, le pli d'un pantalon, d'une jupe,
la poussière imaginaire, le raclement de la gorge...
Les mimiques : C'est l'ensemble des expressions de visage. On peut relever les
expressions des émotions : la joie, la surprise, le dégoût, la tristesse, la colère, la peur.
Il est intéressant également de présenter un aspect particulier de la mimique faciale : ils sont
appelés les modificateurs (ou langage des regards) : ils changent, en effet, la signification
dans toute communication
le clin d'œil : il indique que ce qui est dit ne doit pas être pris au sérieux,
le regard soutenu : intention hostile,
le regard panoramique : comme son nom l'indique, il parcourt lentement tous les
interlocuteurs - (implication de tous dans un message apparemment individuel),
Les rituels
Il s’agit de pratiques sociales habituelles, que l’on relève dans des situations courantes. On
distingue le plus souvent les rituels de salutation, de séparation, de remerciements et de
présentation.
Ces rituels sont différents selon les cultures. Il existe, par exemple, différentes façons de se
dire bonjour : en se serrant la main, en s’embrassant, en s’inclinant… Ce rituel de salutation
varie selon les pays, et aussi selon les milieux (famille, entreprise…)
Communiquer efficacement nécessite de connaître ces rituels afin de comprendre le
comportement de nos interlocuteurs et aussi de les prendre en compte afin de ne pas les
heurter.
- s’asseoir, s’installer confortablement car téléphoner est avant tout un acte physique.
La posture, la manière dont la personne est assise «s’entend» au téléphone ;
- supprimer les bruits parasites : tous les bruits s’entendent (soupirs, circulation
extérieure…) ;
- être positif : téléphoner ne doit pas être une corvée ; c’est un moyen de
communication efficace qui permet un gain de temps.
2. La préparation matérielle
Lorsqu’on est droitier, il faut placer le téléphone à gauche de façon à pouvoir prendre des
notes avec la main droite (inverser la position dans le cas contraire).
Il faut avoir à portée de main : crayon, bloc note, fiches téléphoniques, répertoire, liste du
personnel, agenda… tout document utile aux situations téléphoniques habituelles. Il est
indispensable d’étaler devant soi tous ces outils de travail.
Le téléphone est avant tout un moyen de gagner du temps en évitant des déplacements
inutiles. Il faut donc le considérer comme un outil complémentaire à tous les autres utilisés
dans la vie professionnelle. Son utilisation paraît simple, et pourtant, elle n’est pas sans
inconvénient, car un mauvais accueil téléphonique peut avoir de graves répercussions sur la
bonne marche de l’entreprise.
Situation d’émission
Situation de réception
Mais qu’il s’agisse de situation d’émission ou de réception d’appel, les règles d’or sont
identiques :
- prendre en charge son interlocuteur : lui montrer qu’il a «frappé à la bonne porte »
en annonçant votre fonction et en l’appelant par son nom, l’interlocuteur est ainsi
reconnu (signe de reconnaissance de l’individu).
Comme nous l’avons dit précédemment, il est très important de parler clairement d’une voix
naturelle. Il est donc utile d’analyser sa voix en l’enregistrant, en l’écoutant et en la critiquant
afin d’en améliorer la qualité : ton, débit, articulation…
Le ton
Toutes les intonations sont porteuses de signification. En parlant, nous manifestons nos
émotions : autorité, indifférence, joie, surprise, tristesse…Il ne faut donc pas oublier que
l’interlocuteur les percevra.
Le débit
Parler trop vite peut rendre le message incompréhensible. Il est donc utile de s’entraîner afin
d’obtenir un débit de la parole convenable : bien tenir compte des pauses qui permette à
l’interlocuteur de s’exprimer à son tour et tenir compte de la ponctuation qui, mal marquée,
peut dénaturer le sens d’une phrase. On considère que nous pouvons avoir, en face à face,
un débit de 120 à 160 mots/minute ; on ne devrait pas dépasser 120 mots.
L’articulation
Nos paroles reflètent notre état, une voix nerveuse peut agir négativement sur l’interlocuteur
alors qu’une voix calme repose. Comme un comédien, lire des phrases phonétiquement
difficiles, à débit différent, améliore la diction afin d’augmenter l’impact de la voix et, de ce
fait, permettre une meilleure perception du message.
L’expression orale
Il est recommandé de ne pas utiliser la forme négative (ex : Monsieur X n’est pas là
aujourd’hui), de trouver les mots qui vont permettre à l’interlocuteur d’être satisfait et soi-
même plus à l’aise (Monsieur X est en réunion toute la journée….), donc, plus efficace. Et
surtout, ne jamais oublier les mots basiques de la politesse (je vous remercie….) on les
appelle «mots magiques» car les personnes aiment les entendre et ils donnent à la
conversation téléphonique une image très positive.
Distribuer la photo (ou la projeter sur transparent) et demander aux élèves de l’observer
et ensuite de dire ce qu’ils ont vu. (Cette image représente pour certains une femme
jeune et pour d’autres une vielle femme)
Cet exercice permet de constater que, sur un fait objectif, nous ne voyons pas tous la
même chose.
On peut donc en déduire qu’il peut être difficile de communiquer avec une personne qui
ne voit pas, en toute bonne foi, la même chose que nous. On peut alors essayer
d’expliquer la ou les raisons de cette divergence : la culture, l’éducation la personnalité,
l’âge, le groupe de travail, de loisir, l’expérience, la classe sociale… En fait, tout ce qui
constitue notre système de référence.
Conclusion :
On améliore la communication en apprenant à observer, à tenir compte d’autrui
(acceptation de l’autre), et en adoptant une attitude de contrôle à l’égard de ses propres
perceptions, de ses interprétations.
________________________________________________________________________________
Age1 : 20/30 ans 40/50
Habitation : ville campagne
Niveau de vie : Riche aisée modeste pauvre
Situation de famille : mariée : oui non
Profession : Sans profession
Profession :……………………
Nombre d’enfants : 0 1-2 +2
Niveau d’études : <bac bac supérieur
Critères A2 B C D S. O.
Sympathique
Sérieuse
Responsable
Courageuse
Honnête
Pacifique
Dynamique
Généreuse
Bien dans sa peau
Inspire confiance
1
entourer la réponse
2:
mettre une croix dans la colonne correspondante : A :très, B : plutôt, C : peu, D : pas du
tout, S.O. : sans opinion
Femme
Identité de la personne
Homme
Jeune < 20 ans
Entre 20 et 40 ans
Âge
Entre 40 et 60 ans
> 60 ans
Allure sportive
Etat physique de la personne (silhouette)
Allure tassée
Tenue soignée
Apparence physique (vêtements, accessoires) Tenue décontractée
Tenue peu soignée
Commentaires :
Un homme à l’allure sportive fera plutôt penser qu’il est tonique, actif et que plus qu’un
autre il peut s’impliquer et répondre à une demande.
La tenue vestimentaire peut être révélatrice d’un milieu social (apparence).
Une personne âgée ou malade, à la silhouette tassée, ne s’ouvrira que peu aux autres.
Une personne peu soignée, avec des épaules basses, indique qu’elle tient peu compte de
l’environnement social.
* Editions ACTION IMAGE (la communication non verbale – Mercedes de Rodrigo) 7 rue
Régale 30000 Nîmes
Les psychologues affirment que la démarche d’une personne donne également des
informations sur la forme d’esprit de la personne observée :
Au bout de deux ou trois minutes, les faire stopper, chaque participant se fige et se retourne
vers son voisin le plus proche, il doit le regarder en face, sans faire aucun geste (sourire,
soupirs, clin d’œil…).
Cet exercice démontre que lorsque deux personnes sont face à face, il leur est impossible
de ne pas communiquer, ne serait-ce que par des comportements non verbaux.
les habiletés :
- Cognitives ;
- Sensorielles ;
- Motrices.
les attitudes :
- Responsabilité ;
- Ponctualité ;
- Assiduité ;
- déontologie professionnelle.
les aptitudes :
- dextérité gestuelle ;
- diverses techniques.
2) Sous forme d’un exercice chaque stagiaire se positionnera et définira ses propres
habilités, aptitudes et connaissances. Ce document pourra être repris durant la formation,
notamment avant le stage pour que le stagiaire se repositionne.
Le programme de formation
les buts ;
les objectifs généraux ;
les compétences attendues ;
la démarche de formation
l’organisation des travaux pratiques
Il existe différents types d’établissements. Les 50 enseignes les + connues font l’objet d’un
classement national annuel en chiffre d’affaires et nombre d’unités.
Restaurant Gastronomique
Formule traditionnelle de type familial, de plus ou moins haute gamme, caractérisée par un
service à table soignée et de qualité. Fortement concurrencée par les autres formules.
Cafétéria
Mot d’origine espagnole, apparu vers 1950. Grande surface de restauration souvent ouverte
de 11 h à 23 h, proposant des mets froids et chauds en self-service. Plusieurs formules de
distribution : comptoir linéaire
scramble (comptoir dissocié en ligne brisée)
free-flow (comptoir buffets sous forme d’îlots)
carrousel (meuble tournant muni d’étagères garnies de mets)
Souvent située près des centres commerciaux, elle représente environ 10 % du marché (en
nombre de repas) juste devant le fast-food, son principal concurrent : elles répondent aux
besoins des consommateurs qui distinguent à la fois le temps “rationnel” (travail, courses)
qu’ils cherchent à diminuer, et le temps “festif” (loisirs, sports) qu’ils cherchent à augmenter,
en proposant des formules différentes le midi et le soir.
Ex : FLUNCH, Cafétéria CASINO, MIAMI (repris par Flunch), LECLERC, …
Restaurants à thèmes
Accent mis sur le décor en corrélation avec les mets, l’ambiance. Thème régionaux (crêpes,
pizzeria, tarteries …), internationaux (chinois, vietnamien, indien …), mono-produit (grillades,
poissons, moules-frites …). Souvent situés au cœur des villes . Certains, sous-produit de
chaînes hôtelières, sont situés en périphérie des villes.
Ex : COURTE-PAILLE, HIPPOPOTAMUS, BISTRO ROMAIN, PIZZA PIE, COTE à COTE,
BUFFALO GRILL, LEON DE BRUXELLES, PIZZA DEL ARTE.
Brasseries
Cuisine simple avec 1 ou 2 plats de jour. Amplitude horaire importante. Service à table dans
un souci d’efficacité et de rapidité.
Coffee-shop
Formule de type “Snack-bar”, qui cohabite souvent avec d’autres unités de restauration au
sein d’un établissement hôtelier. A pour particularité le service des petits-déjeuners à l’hôtel.
Pubs
D’origine Anglaise, a pour vocation le service des cocktails et boissons anglo-saxonnes et
quelques plats chauds et froids servis au bar ou à table.
Restauration d’autoroute
Développement depuis 1970, de type grills, snack-bars, cafétérias.
Ex : L’ARCHE, Groupe ELIOR.
catering : ensemble des services hôteliers aériens dont toutes les fonctions sont
assurées par une entreprise appelée “commissariat” (Ex : SERVAIR)
restauration maritime
Progression exponentielle depuis 1982, ils se situent derrière les cafétérias. Forme de
restauration la plus médiatisée.
Types de fast-food :
- snack-bars : préparations simples devant le client, possibilité de se restaurer toute la
journée.
- drive-in : formule issue des USA, commande par interphone à partir de son véhicule.
- restauration automatique : pas de personnel de service. Introduction de monnaie ou
jetons ou cartes rechargeables, dans des distributeurs garnis de plats cuisinés, mets
froids, boissons. Salle équipée de micro-ondes. Présente dans les cantines de
personnel, les hôtels économiques.
Service traiteur
Souvent proposé par des restaurateurs, part non négligeable de leur chiffre d’affaires et outil
de promotion de leur établissement. Secteur qui offre des opportunités de développement de
par les mutations observées dans les habitudes alimentaires des Français.
Restauration “livrée”
Naissance d’un nouveau marché originaire des USA. Livraisons à domicile (coupe-faim,
pizza, plateau repas d’affaires, …) en scooter, camionnette …Solution de dépannage pour la
clientèle, mais secteur en progression.
Les avantages et les inconvénients des différents types de self-service pour le restaurateur :
1 Le service linéaire
Avantages Inconvénients
Facilité d’approvisionnement Faible débit de client (le moins élevé des
Coût faible, investissement peu élevé trois types de self-service)
Peu de personnel
Pas de service à table
Facilité d’entretien
Incitation à la vente
Avantages Inconvénients
Gain de place (50% par rapport au service Coûts d’investissements élevés
linéaire) Clientèle désordonnée
Peu de personnel Mauvaise visibilité
Important débit de clientèle Aucune relation client serveur
Grosses entreprises
Avantages Inconvénients
Grand débit de clientèle Difficulté d’approvisionnement
Animation, décor, Plus de personnel
Promotion Plus d’espace
Stand à thème Investissement coûteux
Accueil plus chaleureux
Avantages Inconvénients
Bonne visibilité du produit File d’attente
Relation client – serveur Non liberté de circulation
Décor scolaire
Température des plats (utilisation de
cloches, micro-ondes)
Avantages Inconvénients
Rapidité Pas de relation
Pas d’attente Mauvaise visibilité
Pas de choix de garniture
Avantages Inconvénients
Pas de file d’attente Port du plateau (personnes âgées, enfants)
Rapidité Risques de casse
Pas de stress Pousse à la consommation
Liberté dans les choix
Plus d’espace
Ce sont des hôteliers qui unissent leurs efforts et leur savoir-faire, sous forme d’une
association (loi 1901), afin de mettre en commun des actions communes (pub,
animation…). Ils restent indépendants dans leur gestion, les prestations fournies, la
formation de leur personnel…
Ils sont propriétaires et peuvent à tout moment reprendre leur totale liberté. Ils versent
une cotisation à la chaîne, qui permet de financer la publicité, une centrale de
réservation, les guides et actions communes.
- l’extension de la chaîne
- la politique de création
- l’embauche du personnel
- la hiérarchie des postes
- le système commun de gestion…
La franchise :
Elles mettent à la disposition des touristes des chambres ou des appartements pourvus de
tout l’équipement indispensable. Cette habitation est seulement destinée à la location
saisonnière.
C’est un secteur qui attire une clientèle de plus en plus nombreuse recherchant un contact
avec la nature. Il concerne les campings et les parcs résidentiels de loisirs.
- Les camps de tourisme : classés par un nombre d’étoiles (de 1 à 5),
correspondant au confort des aménagements. Séjours d’une nuit, d’une semaine,
ou d’un mois.
- Les camps de loisirs : classés en 2 catégories (confort et grand confort), les
clients y séjournent plus d’un mois.
NB : des panonceaux sont obligatoirement apposés à l’entrée pour renseigner le
client s’il s’agit de camps de loisirs ou de tourisme, accueillant des tentes ou des
caravanes, ou exclusivement des caravanes.
- Les parcs résidentiels de loisirs : c’est un terrain aménagé pour accueillir des
caravanes, des mobil-home, des chalets. Ils sont exploités sous régime hôtelier et
s’adressent à une clientèle y résidant à la nuitée, à la semaine ou au mois.
Ils sont pourvus de restaurants, de commerces, d’une piscine, de tennis, et
d’animations diverses.
Il s’est développé grâce aux saturations des hauts lieux touristiques et par la recherche
d’une certaine clientèle, d’une nouvelle qualité de vie.
On y trouve :
- Les auberges rurales : de qualité modeste, mais devant répondre à des normes
administratives. Souvent regroupées en chaîne volontaire.
- Les gîtes ruraux : identifiables par le panonceau « Gîtes de France ». Cette
fédération propose différentes formules telles que : gîte rural, gîte table d’hôte,
gîte camping à la ferme, gîte chambre d’hôte, gîte étape
La brigade de cuisine est dirigée par le Chef ou « GROS BONNET » pour le seconder, il a
sous son autorité, un ou plusieurs Sous-Chefs, ainsi que des Chefs de partie. Le nombre
varie suivant l’importance de l’établissement.
Les Chefs de partie sont aidés selon leur tache par les premiers commis, les commis, les
apprentis et les stagiaires.
ABOYEUR
SAUCIER POISSONNIER
3°) EXECUTION : RESPONSABLE
DES PRINCIPALES PARTIES GARDE MANGER
ENTREMETIER
ROTISSEUR
PATISSIER
TOURNANT
POISSONNIER
COMMUNARD
EXECUTION : RESPONSABILITES
ACCESSOIRES CHEF DE GARDE
Rôle technique :
Il est le responsable et l’organisateur du travail en cuisine (production culinaire,
gestion, rendement, animation, recherche analyse etc.....)
Etablit en collaboration avec la direction de son service, les menus, la carte, fait des
suggestions.
Détermine les prix de revient et suggère le prix de vente.
Etablit les fiches techniques d’exécution, surveille attentivement l’exécution du travail,
conseille et répartit les fonctions équitablement en fonction de l’importance de
l’établissement.
Il peut être l’Aboyeur.
Rôle social :
Suivant l’importance de l’établissement peut engager le personnel, établit à l’aide de
l’organigramme les roulements des congés hebdomadaires, annuels.
Etablit un système d’information et de communication entre les différents services.
Etablit un système de valorisation et de promotion de ses cuisiniers.
Sensibilise ses employés à la vie de l’entreprise en suscitant la motivation.
Il est responsable de la politique sociale de sa cuisine et du perfectionnement
professionnel de son personnel ainsi que de la formation des apprentis.
SOUS-CHEF
Le sous-chef est chargé de seconder le chef dans toutes ses fonctions, il le remplace
pendant ses absences. Dans une brigade moyenne, il est un chef de partie responsable
d’une partie importante ( la sauce ou le garde-manger )
ABOYEUR
Intermédiaire entre le restaurant et la cuisine, l’aboyeur se tient au passe pendant la durée
du service, il reçoit les bons de commande, les contrôle, les annonce, fait marcher, réclame
les plats, contrôle leur exécution, les recouvre d’une cloche.
Généralement le chef ou le second se charge de ce travail.
SAUCIER
Le saucier était dans les grandes brigades traditionnelles le chef de partie qui avait le travail
le plus délicat. Les responsabilités de son poste le conduisaient souvent vers la fonction de
second. Aujourd’hui les sauces étant tombés un temps soit peu en désuétude le rôtisseur ou
plus exactement le grillardin a prit le relais.
Le saucier confectionne tous les fonds, sauf le fumet de poisson, toutes les sauces sauf la
hollandaise, toutes les viandes en sauces, les sautés, les poêlés, les braisés, les viandes
pochées, ainsi que les petites garnitures d’accompagnement;
GARDE-MANGER
Le garde-manger reçoit, contrôle, « garde en dépôt » les denrées en provenances de
l’économat, prépare toutes les denrées avant la mise en cuisson : découpe les poissons:
(filets, Darnes, tronçons) et les stocke dans les timbres à glace ; désosse, dénerve, pare,
pièce les viandes, distribue toutes les marchandises aux différentes parties pendant le
service;
Il est le responsable de l’entretien de la chambre froide, et du rangement de toutes les
denrées s’y trouvant ; Il s’occupe de toutes les préparations froides : gelées, sauces froides,
buffet froid, parfois des hors-d’oeuvre.
Surveille, renouvelle les stocks, établit un relevé journalier des denrées. Le garde-manger
peut être aidé par un boucher et par un chef de froid pour la réalisation des plats froids.
ROTISSEUR
Le rôtisseur Traite tous les aliments rôtis au four ou à la broche, grillés et frits (viandes,
légumes, œufs, volailles, gibiers). Il est responsable de l’habillage des volailles pour la mise
en place du garde manger. Il taille toutes les pommes de terre traitées à la friture. C’est lui le
communard lorsqu’il n’y en a pas. La tradition veut qu’il soit responsable de la mise en place
du persil haché dans tous les autres postes. Il est secondé par un grillardin et un friturier. La
préséance donnée au saucier par rapport au grillardin suivant l’importance de la brigade
s’explique mal à notre époque ou les grillades prennent de plus en plus une large part dans
notre alimentation.
PATISSIER
Le travail du pâtissier d’hôtel est très différent de celui de « boutique » car il n’est pas
responsable uniquement de la confection des pâtisserie mais aussi de tous les entremets de
cuisine (crèmes, charlottes,, pudding, fruits condé, oeufs à la neige, crêpes etc...). Il réalise
comme en boutique les petites et les grosses pièces de pâtisserie, les glaces, les sorbets,
les bombes, les petits fours.
Il est aussi le responsable, de la fabrication des pâtes salées pour la cuisine (pâtes à choux,
à crêpes salées, à nouilles, brisées, à foncer, feuilletées pour la réalisation des bouchées,
des vols au vent, des croustades, des quiches etc...).
POISSONNIER
Ce travail est effectué par le saucier dans toutes les petites brigades. Dans un restaurant
spécialisé dans les produits de la mer, c’est évidemment le poste le plus important.
Il est traite tous les poissons, les mollusques, les crustacés sauf ceux qui se font frire ou
griller.
Il réalise tous les fumets de poisson, les veloutés de poisson et toutes les sauces
« poisson » en général.
Il est responsable des petites garnitures accompagnant les poissons, des pommes anglaise,
de la sauce hollandaise et parfois de la sauce béarnaise.
TOURNANT
Le tournant remplace les chefs de partie lorsqu’ils sont de repos.
Le problème ne se pose pas dans les établissements bénéficiant de deux jours de fermeture
hebdomadaire.
Dans certains grands établissements une véritable équipe de chefs tournants est nécessaire.
Pour un jeune cuisinier désirant se perfectionner rapidement c’est le poste le plus intéressant
en raison de la fréquence de la rotation.
COMMIS TOURNANT
Même chose que le tournant mais, au niveau des commis
COMMUNARD
Le communard est responsable de la préparation des repas du personnel. Ce poste est
généralement confié suivant l’importance de l’établissement, à un bon premier commis ou à
un jeune chef de partie débutant.
Lorsque l’importance du restaurant ne nécessite pas un communard, c’est le rôtisseur qui est
chargé de ce travail.
LE SAUCIER LE POISSONNIER
- Les fonds de base ( brun, blanc, etc...) - Tous les poissons ( sauf frits et grillés )
- Les sauces chaudes ( béarnaise ) - Le fumet de poisson
- Les sauces blanches et brunes - Le velouté de poisson
- Les plats du jour - La soupe de poisson
- Les ragoûts, les sautés, les braisés, et les poëlés - La sauce hollandaise
- Les sauces chaud-froid - Les pommes à l’anglaise, à la vapeur
- La sauce tomate
- Les veloutés
LE ROTISSEUR L’ENTREMETIER
- Les viandes et les légumes rôtis, frits et grillés - Les légumes verts et secs
- Habillage de la volaille et du gibier à plume - Les garnitures de grosses pièces
- Les poissons frits et grillés - Tous les oeufs ( sauf à la coque )
- Le persil haché - Les hors d’oeuvre chauds
- Le sel fin en mise en place ( les soufflés, les farinages etc...)
- Les beurres composés - Les potages
LE GARDE-MANGER LE PATISSIER
Perceptive d’emploi
Définition de l'emploi/métier :
Exécute des tâches simples préalables à la préparation des mets (épluchage des légumes,
écaillage et nettoyage des poissons...). Procède au nettoyage, à l'entretien et au rangement
de la vaisselle, du matériel et des ustensiles de cuisine, des équipements et des locaux.
Dans certains cas, peut être spécialisé dans le dressage de certains plats (crustacés et
coquillages, glaces...) ou chargé de l'entretien d'une partie de la vaisselle (verrerie,
argenterie...).
Formation et expérience :
Définition de l'emploi/métier :
Exécute des tâches simples préalables à la préparation des mets (épluchage des légumes,
écaillage et nettoyage des poissons...). Procède au nettoyage, à l'entretien et au rangement
de la vaisselle, du matériel et des ustensiles de cuisine, des équipements et des locaux.
Dans certains cas, peut être spécialisé dans le dressage de certains plats (crustacés et
coquillages, glaces...) ou chargé de l'entretien d'une partie de la vaisselle (verrerie,
argenterie...).
Formation et expérience :
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en oeuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en oeuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en oeuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en oeuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en œuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en oeuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Confectionne des produits alimentaires variés pour les vendre au détail ou exécuter une
commande : hors-d’œuvre, préparations charcutières (porc, volaille ou gibier, pâtisseries
sucrées, pâtisseries charcutières, préparations à base de poissons, de crustacés ou
légumes, plats cuisinés...).
Met en œuvre des techniques de conservation et de cuisson.
Peut participer à la préparation de repas, de réceptions ou de banquets pour le compte d'un
particulier, d'une collectivité ou d'une entreprise. Peut aussi assurer des tâches de vente et
de conseil à la clientèle, ainsi que la mise en place des repas commandés.
Formation et expérience :
L'apprentissage constitue une forme fréquente d'accès à l'emploi/métier. L'accès direct est
possible à partir de formations de niveau V (CAP de "charcutier-traiteur" ou diplôme
d'"employé-traiteur" obtenu en complément d'un CAP ou d'un BEP des autres métiers de la
bouche). Une formation de niveau supérieur (brevet professionnel ou brevet de maîtrise,
stages de perfectionnement) facilite l'embauche, une expérience professionnelle de
quelques années peut être exigée.
Définition de l'emploi/métier :
Confectionne des produits alimentaires variés pour les vendre au détail ou exécuter une
commande : hors-d’œuvre, préparations charcutières (porc, volaille ou gibier, pâtisseries
sucrées, pâtisseries charcutières, préparations à base de poissons, de crustacés ou
légumes, plats cuisinés...).
Met en œuvre des techniques de conservation et de cuisson.
Peut participer à la préparation de repas, de réceptions ou de banquets pour le compte d'un
particulier, d'une collectivité ou d'une entreprise. Peut aussi assurer des tâches de vente et
de conseil à la clientèle, ainsi que la mise en place des repas commandés.
Formation et expérience :
L'apprentissage constitue une forme fréquente d'accès à l'emploi/métier. L'accès direct est
possible à partir de formations de niveau V (CAP de "charcutier-traiteur" ou diplôme
d'"employé-traiteur" obtenu en complément d'un CAP ou d'un BEP des autres métiers de la
bouche). Une formation de niveau supérieur (brevet professionnel ou brevet de maîtrise,
stages de perfectionnement) facilite l'embauche, une expérience professionnelle de
quelques années peut être exigée.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en œuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
Définition de l'emploi/métier :
Prépare, cuisine des plats, des mets ou des repas. Met en œuvre des techniques et des
règles de fabrication culinaire. Réalise en particulier les préparations relevant de sa partie
(légumes, poissons, viandes, sauces...).
Intervient lors de la finition des plats et contrôle leur qualité. Dans certains cas, élabore de
nouvelles recettes. Peut assurer la conception des menus et des cartes, l'achat et le
stockage des denrées, la distribution ou le conditionnement de la production.
Selon son niveau de responsabilité, peut participer au recrutement ou recruter le personnel
de cuisine et, dans certains cas, l'encadrer.
L'emploi/métier s'exerce généralement dans tous les établissements ayant une fonction de
production culinaire (restauration de collectivité commerciale, sociale, traiteur, cuisine
centrale et industrielle...).
L'activité s'effectue seul ou en équipe. Elle implique une station debout prolongée, la
manutention de charges et des expositions fréquentes à la chaleur et parfois au froid.
Les horaires sont décalés de jour (avec ou sans coupure). Le rythme journalier se
caractérise par l'alternance de périodes d'activité soutenue ("coup de feu") et de périodes de
moindre activité. Les dimanches et les jours fériés sont ouvrés. Souvent, la rémunération est
constituée d'un intéressement au chiffre d'affaires de l'établissement avec l'assurance d'un
minimum garanti, et est associée parfois à des avantages en nature (repas, logement...). Les
contrats saisonniers sont fréquents. Les contacts avec les fournisseurs peuvent entraîner
des déplacements occasionnels. L'emploi/métier nécessite de respecter des normes
d'hygiène et de sécurité (manipulation de denrées alimentaires et d'équipements
spécifiques).
Les dispositions légales rendent obligatoire le port d'une tenue de travail (veste, chaussures
de sécurité, toque...).
Formation et expérience :
Cet emploi/métier est généralement accessible avec des formations spécifiques de niveaux
V à III (CAP, BEP cuisine, Bac professionnel de restauration, BTH option cuisine ou BTS
spécialisé).
Ces formations doivent être complétées d'une expérience professionnelle confirmée pour
accéder aux emplois à responsabilité (chef de partie, second de cuisine). Dans le secteur
public, l'emploi/métier est accessible par concours sous certaines conditions de recrutement
et de niveau de formation.
GaultMillau http://www.guides-gaultmillau.fr/
Michelin http://www.viamichelin.fr/viamichelin/fra/tpl/hme/
MaHomePage.htm
Bonduelle http://www.bonduelle.fr/
Guide des produits élaborés (groupe Creno) - http://84.96.12.58:8000/GPE_CRENO/
informations sur les 4ème et 5ème gammes
Fruits
Site dédié aux fruits comestibles du monde http://tous-les-fruits.com/
la châtaigne http://www.chataigne-de-france.com/
site sur les châtaignes (en anglais et en espagnol) - http://www.marronglace.net/
recettes, informations diverses
Musée de la Fraise et du Patrimoine http://musee-fraise.net/
kiwi http://www.kiwi-france.com/
poire http://www.lapoire.com/
Différentes variétés de pommiers et d'autres arbres http://www.pommiers.com/
fruitiers
la Pomme http://www.lapomme.org/
Les Mordus de la Pomme http://www.fruitsdebretagne.net/index.php
champignons http://www.e-champignons.com/
Les champignons http://alain.tachenon.free.fr/index.html
truffe http://www.sainte-alvere.com/
truffe http://www.truffiere.org/
La Truffe (Terroir de Provence) http://www.truffes.fr.fm/
huîtres http://www.langouste.com/pages/huitre.htm
Huîtres en Bretagne http://www.huitres-de-bretagne.com
Conchyliculture en Normandie http://www.huitre-normandie.com/
coquillages http://www.coquillages.com/
pintade http://pintade.com/
Centre de documentation sur l'oeuf et les http://www.oeufs-asso.com/
ovoproduits
CertiFerme - filière volaille de référence en terme de http://www.certiferme.com/
sécurité et de traçabilité
CIDIL http://www.cidilait.com/
La maison du lait (fiches sur les produits laitiers, les http://www.maison-du-lait.com
fromages AOC, ...)
Le blog des produits laitiers http://www.produits-laitiers.com/
Elle et Vire - Compagnie Laitière Food service http://www.elleetvire-pro.com
le lait http://www.lelait.com/cgi-bin/affiche?profil=3&type=profil
Adresses utiles pour les produits laitiers http://www.fromag.com/Adresses.html
Toute la vérité sur le beurre - Collective des beurres http://www.laveritesurlebeurre.fr/
AOC Charentes-Poitou
Fromages français
La Journée nationale du fromage http://www.journeenationaledufromage.com/
l'Univers du Fromage http://www.univers-fromages.com/
Tout sur le fromage (liste AOC, ...) http://www.richesmonts.com/page_fr/tout_sur/tout_sur.html
Les Fromages de France http://fromages.focus-design.com/
tous les fromages français http://www.francefromages.com/
roquefort http://www.roquefort-societe.com/
pain http://www.espace-pain-info.com/
sucre http://www.lesucre.com/
Extrasucre.org - service du cedus destiné aux http://www.extrasucre.net/accueil.asp
professeurs de pâtisserie
le sucre - Fiches pédagogiques http://www.lesucre.com/article.php?id=306
Recettes culinaires
PLatsnet. Moteur de recherche culinaire http://www.plats-net.com/
ABC de la cuisine française, plus de 30000 recettes http://www.recettesdecuisine.net/
de cuisine
Histoire de l’alimentation
escargot http://www.fontaine-escargots.com/
escargot - héliciculture - recettes http://escargot.free.fr/
La cuisine des fleurs http://cuisine-des-fleurs.floralice.com/
Le pissenlit http://www.univers-nature.com/dossiers/pissenlit.html
La diététique http://www.i-dietetique.com/
Prodimarques - La vie des Marques http://www.prodimarques.com/index.php
CUISINE
No 01 – Métier et formation Code du module : CU - 01
Version A
Nom stagiaire :
Établissement : RÉSULTAT :
Signature du formateur :
DEUXIEME ETAPE :
Détermination des habiletés, des aptitudes et des connaissances
nécessaires pour pratiquer le métier.
Rapport sur les habiletés, les aptitudes et les connaissances
2.1 Détermination judicieuse des habiletés, des aptitudes et des 0 20
connaissances nécessaires.
Remarques :
http://www.anpe.fr/espacecandidat/romeligne/RliIndex.do
Supervision
SLAOUI SAID Directeur de la DRIF
Coordination
Conception et rédaction
MRECHES Stéphane
Expert International
Mise en page
M. SLAOUI
DRIF