Narchi 082639
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INTRODUCTION
1. PHÉNOMÈNE OBSERVER
Le phénomène observé est un fait observé, il s'agit d'un ensemble des observations
empirique sur terrain.
Elle est une situation réelle la présentation empirique sous-entend une recherche
brisée sur l’expérimentation ou l'observation.
Depuis deux déjà, une situation envisagée par un bon nombre de la population en
République Démocratique du Congo.
Elle conçue pour pallier à des questions liées à la Nouvelle Technologie
d’Information et Communication (N.T.I.C) ; c'est la raison pour laquelle il dispense de la liberté
d'accepter la technologie d'information et de communication (T.I.C) ; Il doit pourvoir
(sélectionner) pour que les utilisateurs soit servi.
2. REVUE DE LUTTERATURE
Selon SEM MBIMBI et CORNEL ANNIE (2019) la revue de littérature est
l'inventaire des publicateurs existantes dans le domaine qui permet aux chercheurs de situer son
rapport à ces travaux.
La grille de lecture est une construction qui permet de dégager d'une part les thèmes
majeurs identité chez les auteurs et d'autre part elle permet de ce thème aux différentes
dimensions de la question de recherche et à son contenu global.
a. Ouvrages (Livres)
L’étude de DANIEL ROBEY 1974 « Relation avec les technologies » la relation entre
technologies de l'information et de la communication (T.I.C) et les organisationnel avec
un intérêt marqué pour le changement organisationnel au travers de ses nombreux
travaux.
ROWE FRANT 1998 « Richesse des services téléphoniques » après avoir mis en valeur
la richesse de relation interindividuelle au guichet les possibilités d'appréciation,
d'interprétation, d'ajustement des normes laisse aux gens l'accueil.
WENGER ÉTIENNE 1998 « L'évaluation des technologies de l'information et de la
communication » l'évaluation des technologies de l'autre et de la communication (TIC)
est totalement liée d'un côté à leurs usages et leurs appropriations par les acteurs
humains d'un autre côté ou périmètre fonctionnel qu'elle couvre et à la performance
technique.
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Ainsi, tout au long de notre travail nous ferons appel à la méthode descriptive qui
consiste à décrire le phénomène étudié dans son ensemble et dans ses aspects particuliers nous
mènerons dans les méthodes qualitatives sur le recours aux NTIC leurs utilisations dans la
gestion de clientèle.
Pour arriver à un bon résultat, tout travail scientifique doit utiliser des méthodes de
recherche appropriée afin de certifier les réponses aux conclusions dont il met à la disposition
de la science et ainsi le choix des méthodes et techniques s'avère donc l'importance pour la
démonstration, la recherche, l'analyse et de vérification , des vérités poursuivis et dépend du
chercheur lui-même de la nature et de l'importance du problème qu'il veut résoudre.
Raison pour laquelle nous avons fait recours à certaines méthodes et techniques pour
l'aboutissement heureux de notre travail.
B. TECHNIQUES DE RECHERCHE UTILISEES
Les techniques de recherche sont le support d'un travail scientifique qui vient à l'appui d'une
méthode et elles constituent de ce fait les outils efficaces dans la récolte de données.
Ces sont des instruments des procédés des opératoires pour récolter les données sur terrain.
VARIABLE EXPLICATIVE
- Informatisation à améliorer les niveaux de productivité, ce qui signifie que
les travailleurs bénéficient d'une réduction du temps de travail;
- Les entreprises qui utilisent les NTIC sont en mesure de faire face à la
concurrence,
- De plus en plus des personnes peuvent travailler chez soi,
- Et ça aide aussi à contribuer à la création des emplois, tels que le
développement de logiciels.
VARIABLE EXPLIQUER
- Les NTIC ont tendance à accélérer le rythme delà vie quotidienne et
introduit d'avance de stress ;
- Les NTIC a augmenté la quantité de travail de certaines personnes qui
doivent souvent travailler durant de longues heures,
- Le stockage des données personnelles sur le système informatique on rendu
vulnérable la vie privée des gens.
Ainsi donc, les techniques si après vont aider dans la récolte des informations nécessaires pour
nôtre travail.
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6. OBJECTIF POURSUIT
Notre objectif par rapport à ce travail et que les conditions de la gestion de clientèle
dans une banque :
- Faciliter la gestion de la clientèle et à l'amélioration des communications,
- Informer le particulier sur la technologie de l'information et de la
communication.
7. JUSTIFICATION SUR LE CHOIX DU SUJET
Nous nous sommes assignés la tâche de l'étude afin d'apporter notre pierre à la
construction de l'édifice marketing et ainsi éclairé les uns et les autres sur ce sujet.
C'est aussi une occasion pour nous de nous informer d'avantage sur le sujet et de
donner des armes marketing liée aux nouvelles technologies aux banques dans la gestion de
leur clientèle.
Du point de vue personnel
Pour l'intérêt personnel en rapport avec les sujets, au niveau commercial elles
permettent à un circuit de protection nouveau en développement des innovations de produits et
services.
Du point de vue scientifique
La nouvelle technologie nous aide grandement dans la productivité puisqu'elles
permettent à un meilleur ciblage et qu'elles augmentent la visibilité de la banque.
8. DÉLIMITATION DU SUJET
Dans le cadre d'élaboration d'un travail de recherche, il est recommandé qu'un sujet
d'étude doit avoir les limites dans l'espace et temps bien défini en vue d'un traitement
approfondi et correct.
Limite d'espace
Du point de vue de notre investigation, notre travail a eu comme principale la Rawbank située
sur Sendwe n°91 à Lubumbashi, dans la province du haut Katanga.
Limite temps
Notre travail prendra une durée de 4 ans soit de 2020-2023.
9. STRUCTURE DE RECHERCHE
Hormis l’introduction et la conclusion générale, notre travail comporte trois
chapitres à savoir :
- Chapitre premier : Cadre conceptuel et théorique ;
- Chapitre deuxième : Cadre empirique ;
- Chapitre troisième : Résultat d’étude.
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Elle propose une gamme de service financier tel que les comptes courants, des
cartes des crédits, des prêts immobiliers et des investissements.
d) La clientèle
Est l’ensemble des clients d’une entreprise, d’une organisation ou d’un
professionnel qui utilisent ses produits ou services.
Elle fait référence à un groupe spécifique de clients ciblés par une entreprise en
fonction de critères démographiques.
Est l’ensemble des personnes susceptibles d’acheter un produit ou un service donné.
A. NOTION DE LA BANQUE
1. Définition
Selon le petit Larousse, la banque est un établissement privé ou public qui facilite
les paiements des particuliers et des entreprises, avance et reçoit des fonds, et gère les moyens
de paiement.
Au sens légal et actuel du terme, la banque est l'organisme financier dont la fonction
essentielle est de recevoir des dépôts en vue de les prêter sous formes d'avances aux pouvoirs
publics, aux entreprises industrielles, commerciales et agricoles pour le besoin de leur fonds de
roulement, et, depuis peu pour les investissement à moyen et à long terme, et à des particuliers
pour leurs besoins personnels.
Six catégories d'établissements bancaires sont à distinguer : les banques proprement
dites, les établissements du secteur mutualiste et coopératif, les caisses d'épargne et de
prévoyance, les caisses de crédit municipal, les sociétés financières et les institutions financières
spécialisées.
La banque fait référence à une institution qui offre une gamme de services et de
produits financiers à ses clients.
Les banques jouent un rôle essentiel dans l’économie en facilitant la circulation de
l’argent en accordant des prêts, en permettant les paiements et les transferts de fonds, en
proposant des services d’épargne et d’investissement.
Les principes activités des banques comprennent :
La perception de dépôts : il s’agit de l’activité par laquelle les banques acceptent les
dépôts d’argent de la part de leurs clients.
Que ce soit sous la forme de comptes courants ou de compte d’épargne.
L’octroi de crédits : les banques accordent des prêts à leurs clients, qu’il s’agit de
particuliers, d’entreprises ou d’autres entités.
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La gestion des comptes bancaires : les banques assurent la gestion des comptes bancaires
de leurs clients. Ils incluent le suivi des transactions, la tenue des soldes et l’émission des
relevés bancaires.
L’échange de devises : les banques proposent des services d’échange et de devises
permettant à leurs clients d’effectuer des opérations d’échange entre différentes monnaies.
La gestion des paiements : les banques facilitent les transactions financières en permettant
à leurs clients d’effectuer des paiements, des virements et des transferts de fonds.
La fourniture de services de conseil financier : les banques proposent également des
services de conseil financier à leurs clients en l’aidant à gérer leur patrimoine, à planifier
leur épargne et leurs investissements.
B. TYPES DES BANQUES
L'ensemble des banques, chapeauté par la banque centrale forme le « système
bancaire » d'une zone monétaire. On distingue ainsi trois sortes de banques selon leur rôle :
1. Banque centrale ou banque d'émission
Elle a pour rôle principal l'émission des billets de banque. Outre cela, elle a aussi
pour rôle de règlementer et superviser les opérations des différentes banques, en veillant
notamment à leur solvabilité à l'égard des dépôts.
Raison pour laquelle elle est dite « Banque des banques ».
Elle a aussi pour rôle de superviser la production de monnaie par ces banques, et
d'en réguler l'usage par le biais des taux d'intérêt direct. La théorie économique y voit un moyen
de réguler la croissance, via l'incitation à l'épargne ou à la consommation, et d'agir sur
l'inflation.
2. Banques de dépôts (commercial banks)
Elles travaillent essentiellement avec leurs clients, particuliers, professionnels et
entreprises ; reçoivent du public des dépôts de fonds à vue et à terme et les utilisent en opération
de crédit, essentiellement à court et moyen terme, et sont séparées entre :
- Les banques de détail (Retail banks) : destinées aux particuliers, aux
professionnels et aux PME
- Les banques d'affaires (wholesale banks) : destinées aux moyennes et grandes
entreprises.
Mais le plus souvent, il s'agit de deux départements d'une même banque.
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Dans une interview accordée à Nancy Numérique, Yves SAND, président du Club
N-TECH dit que le vocable TIC (en parlant des NTIC) ne doit pas être confiné à la notion
d'Internet. Il donne quelques exemples supplémentaires d'applications des NTIC que sont :
l'avènement des plates-formes téléphoniques à horaire élargis, des automates d'agence
multiservices, la monétique, la vente à distance et la banque mobile ou en ligne de plus en plus
personnalisée.
1.2. Avantages de l'investissement dans les TIC
L'investissement dans les TIC serait l'un des principaux moteurs de compétitivité
des entreprises. Il est d'ailleurs reconnu que le développement des TIC favorise le commerce et
l'économie.
- Au niveau du système d'information, il y a : hausse de la productivité du travail pour la saisie
de l'information, donc baisse des coûts ; délocalisation de la production (exemple : call
centers) ; meilleure connaissance de l'environnement ; amélioration de l'efficacité de la prise
de décision permise par une veille stratégique plus performante.
- Au niveau de la structure de l'entreprise et de la gestion du personnel, il y a une organisation
moins hiérarchisée, le partage de l'information et une meilleure GRH (recrutement, etc.).
- Au niveau commercial, il y a de nouveaux circuits de production grâce à l'extension du
marché potentiel (e-commerce), il y a baisse des coûts d'approvisionnement, développement
des innovations en matière de services et réponses aux besoins des consommateurs et
amélioration de l'image de marque de l'entreprise.
Il faut quand même noter quelques limites de l'investissement dans les TIC dû au
coût du matériel, des logiciels, de la maintenance et du renouvellement, à l'apparition d'un
suréquipement par rapport aux besoins et donc une sous-utilisation des logiciels, au coût de la
formation du personnel, de sa résistance aux changements, au coût généré par la modification
des structures, par la réorganisation du travail, par la surabondance des informations, à la
rentabilité difficilement quantifiable, etc.
A l'heure actuelle, aucune « gouvernance mondiale » n'est parvenue à une
surveillance ou à imposer un respect de règles « minimales réputées communes ».En RDC, c'est
l'initiative privée qui semble devenir un des déterminants majeurs de la formation et de la
démocratisation des NTIC.
2. APERÇU SUR LES TELECOMMUNICATIONS
Depuis des milliers d'années, l'homme cherche à améliorer ses moyens de
communication. Au 20ème siècle, les télécommunications trouvent dans l'informatique un allié
solide, notamment avec Internet et forment de ce fait, la partie la plus récente de l'histoire de la
communication humaine.
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Internet c'est tout à la fois le www (littéralement « toile d'araignée mondiale »), le
mail (courrier électronique), l'usenet (le système de « forums de discussions »), l'Internet Relay
Chat ou IRC (les chats, littéralement « bavardage ») et le FTP (transfert de fichier) (45(*)) ainsi
que les discussions dans les newsgroups.
En explorant le CYBERSPACE, il est possible de faire des rencontres surprenantes
(exemple : Hi5.com, amitie.fr, ...), surfer de site en site à la recherche d'une information, et
passer en quelques clics de souris de la forêt équatoriale à Wall street en passant par le musée
du Louvre ou la bibliothèque d'Alexandre pour finir sur le boulevard du 30 Juin.
4. LE TELEPHONE MOBILE
Tout commence avec la téléphonie sans fil (46(*)), qui voit le jour dans les années
1950 lorsqu'on commerce à acheminer des conversations entre différents points du réseau par
la voie des ondes. C'est cette technologie qui donne naissance au TELEPHONE MOBILE qui
permet de téléphoner et d'être joint partout dans le monde.
Un « téléphone mobile » (ou simplement mobile, téléphone cellulaire, téléphone
portable ou portable, Natel, GSM ou G) permet de communiquer par téléphone sans être relié
par câble à une centrale.
La transmission des sons se fait électro magnétiquement avec un réseau spécifique.
On peut donc communiquer de tout lieu où une antenne de relais capte les émissions de
l'appareil utilisé.
4.1. Les normes et les différentes générations
Nous nous limitons ici à la simple citation des différentes normes utilisées dans la téléphonie
mobile depuis ses débuts sans trop des détails. Ainsi, donc, nous avons : AMPS, CDMA2000,
CDMA (ANSI-41), EDGE, GPRS, GSM, Radiocom 2000 et UMTS ou WCDMA.
Tableau 1 : Les différentes générations des téléphones mobiles
Génération Acronyme Intitulé
1G Radiocom 2000 Radiocom 2000
Bibop France Télécom
2G GSM Global System for Mobile Communication
2,5G GPRS General Packet Radio Service
2.75G EDGE Enhaced Data rate for GSM Evolution
3G UMTS Universal Mobile Telecommunications System
3,5G HSDPA High Speed Downlink Packet Access
4G OFDM Wimax Orthogonal Frequency Division Multiplexing
N.B. : GPRS et OFDM sont utilisées uniquement pour l'échange de données et non de la voix.
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- Les porte monnaies électroniques (PME) : ces sont des cartes de paiement pré chargées
à puce d'un format proche de celui d'une carte téléphonique et réservées aux petites
dépenses. Les PME se réduisent parfois à une simple puce électronique intégrée au
téléphone portable.
5.3. Guichet Automatique Bancaire (GAB)
Un guichet automatique bancaire (GAB) (en anglais ATM pour Automated Teller
Machine) est un appareil électronique et électromécanique permettant aux clients d'effectuer
différentes transactions bancaires en libre-service. Différent modèles de GAB permettent de
faire des retraits, acceptent des dépôts en liquide ou par chèque, ordonnent des transferts de
fonds, impriment des mises à jour de carnets, augmentent le montant d'une carte d'appel
téléphonique, vendent des timbres - poste et permettent même de régler certaines factures.
Le GAB est une extension du DAB (Distributeur Automatique de Billets), qui est
un GAB simplifié ne permettant que les retraits.
5.4. Terminal de Paiement Electronique
Le terminal de paiement électronique, plus souvent appelé TPE, est un appareil
électronique permettant d'enregistrer une transaction sécurisée de diverse nature (bancaire,
santé, fidélité, etc.) en dialoguant avec d'une part une carte bancaire, un PME ou un téléphone
mobile et d'autre part un serveur d'autorisation (soit par intermittence, soit systématiquement
pour les cartes à autorisation systématique).
Pour utiliser un TPE, un commerçant doit passer un contrat avec sa banque par
lequel sont fixés un montant maximal de transaction au-dessus duquel une autorisation est
obligatoire, ainsi que le montant que la banque prélèvera comme commission sur chaque
paiement effectué. Le TPE peut être autonome ou intégré dans un appareil plus complexe,
comme un automate.
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“ Voir grand pour le Congo “ repose sur ces valeurs elles représentent la capacité à
être leaders du secteur bancaire et notre adaptabilité au changement pour relever de nouveaux
défis au bénéfice de sa clientèle.
Les valeurs individuelles des membres de Rawbank sont :
la famille
le travail
la justice
la vie
le succès
la découverte
la confiance
2.8. MISSION DE LA RAWBANK
Rawbank est un accélérateur de croissance inclusive. Sa mission répond à plusieurs
enjeux qui permettent de pérenniser cette croissance, vertueuse pour l’entreprise mais
également pour les Congolais.
1. Placer le client au centre de toutes nos décisions;
2. Offrir au plus grand nombre des services adaptés à leurs besoins;
3. Innover constamment;
4. Intégrer pleinement le digital dans notre stratégie de développement;
5. Miser sur le capital humain à travers nos collaborateurs.
2.9. LES STRATEGIES DE LA RAWBANK
D’ici 2025, les objectifs de la Rawbank ses concentreras autour de 5 axes
stratégiques qui guideront l’ensemble de ses actions, il est donc primordial de les comprendre,
de se les approprier et de les appliquer.
Les cinq axes stratégiques se résument comme si:
Les cinq axes sont dans trois étapes qui sont: exceller dans le service clients, optimiser le modèle
opérationnel et s’inscrire dans la durée.
2.9.1. Exceller dans le service clients
o Accompagner ses clients dans l’intégration numérique dans toutes les
dimensions de leurs activités financières ;
o Développer ses métiers pour faire progresser l’expérience clients.
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Elle organisera pour le compte des grandes entreprises, des introductions sur le
marché des valeurs immobilières.
Ainsi, la Rawbank dispose déjà de plans d'expansion dans toutes les régions du
territoire congolais où elle sera prête à mettre à profit son savoir-faire pour faciliter les
transactions d'import et d'export.
Un développement international dans l'esprit d'une mondialisation équitable avec
le pays partenaires commerciaux de la république démocratique du Congo, sera à l'étude
aussitôt que la notoriété de la Rawbank dépassera les frontières du territoire national et que leur
assiette financière sera suffisante pour financer son expansion.
2.11. PHILOSOPHIE DE LA BANQUE
Tous les membres du personnel de la Rawbank feront preuve individuellement et
collectivement d'une honnêteté et d'une intégrité sans faille.
Ils fourniront aux clients les meilleurs services qui puissent leur être offerts par le
monde de manière à gagner et à conserver leur respect et leur dignité.
Toutes les paroles et tous les actes devront respecter la dignité et les droits de
chaque personne, qu'elle soit membre de l'organisation ou client de la Rawbank.
Le rôle du profit de l'activité sera en priorité de rémunérer convenablement
l'actionnaire et de financer l'expansion.
2.12. STRUCTURE ET ORGANISATION
La Rawbank est composée d'un carnet de direction et des « Business line » bien
qu'il y a d'abord le conseil d'Administration.
Le conseil d'Administration : c'est l'organe au sein duquel siègent tous les
actionnaires. Il est dirigé par un Président et constitue l'organe le plus important de la Banque.
2.13.1. BUSINESS LINES
Présentement, la Rawbank comprend cinq business lignes. L'on trouve à la tête de
chaque business line un membre du comité de Direction qui coordonne les activités qui lui sont
attribuées.
Ces business lignes sont :
Business line one: dirigé par l'administrateur délégué il comprend le service
suivant : trésorerie, marketing et commercial, sécurité informatique.
Business line two: subdivisé en cinq compartiments ci-après : Corpo rates
Officiers, Privâtes Officiers, Retails Officiers, Opérations et Ressources
Humaines.
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2.15. SUBDIVISION
2.15.1. LES RESSOURCES HUMAINES
La Rawbank a démarré ses activités avec quelques équipes constituées d'hommes
et des femmes de terrain et d'expérience. Au fil de temps sont venus s'ajouter des jeunes, la
plupart Universitaires, selon un plan de recrutement adapté au développement rapide de la
banque.
La banque exerce une politique de recrutement locale. La majorité du personnel est
constitué des nationaux. On dénombre plus d'une vingtaine d'expatriée travaillant dans
différentes agences.
2.15.2. LES MOYENS MATÉRIELS ET FINANCIERS
La banque dispose d'un parc automobile affecté au convoyage des fonds, la banque
utilise des fonds générés par les activités pour financer ses dépenses courantes, les actionnaires
et les propriétaires de la Banque. Les véhicules de la Banque sont principalement des jeeps et
des camionnettes blindées pour le transport des fonds. On voit timidement les voitures dans
cette société.
2.15.3. LES SYSTÈMES INFORMATIQUES
Toutes les opérations de la banque sont gérées par un logiciel de gestion Bancaire
« delta Bank », on utilise aussi l'Excel. Le système Delta Bank permet la synchronisation, la
sécurisation et la centralisation de toutes les opérations de la banque (siège et succursale). Le
système intranet « net look » assume la connexion interne en permettant aux agents d'échanger
différents messages à caractère professionnels. Le système VSAT permet aux agences
d'effectuer les opérations, de passer des écritures de transfert sur toute autre agence sans
échanger des messages et de comptabiliser des écritures de toutes les agences au siège de
Kinshasa.
2.16. LES GOUVERNACES DE LA RAWBANK
Le conseil d’administration de la Rawbank
Le Conseil d’Administration détermine les orientations stratégiques de l’activité de
la banque et veille à leur mise en œuvre. Il exerce ces pouvoirs dans la limite de l’objet social,
sous réserve de ceux expressément attribués par la loi aux assemblées d’actionnaires et dans les
limites du rôle qui lui est dévolu par la législation et la réglementation bancaires.
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Le Comité Exécutif
Le comité exécutif constitue l’organe qui assure l’application effective des
orientations stratégiques définies par le Conseil d’administration.
Composé du Directeur Général, des Directeurs Généraux Adjoints, du Directeur de
la Trésorerie, et de quelques invités permanents actifs dans l’encadrement directionnel,
Le Comité exécutif donne le soutien et les conseils nécessaires, au comité de
direction, pour l’exécution de ses responsabilités opérationnelles.
Le Comité de Direction
Le Comité de Direction est l’organe opérationnel placé sous la responsabilité du
Directeur Général entouré de directeurs membres du Comité de Direction. Son rôle est de
proposer au Conseil d’Administration les grandes lignes de la stratégie de la banque, d’exécuter
cette stratégie conformément aux options prises par le Conseil d’Administration et d’assurer
l’organisation de toutes les tâches de la gestion journalière, pour ensuite en faire rapport régulier
au Conseil d’Administration.
Les comités spécifiques rattachés au Comité de Direction, en accord avec le Conseil
d’Administration, définissent l’organisation, les objectifs et les modalités de fonctionnement.
Ils ont pour objectif d’assurer un fonctionnement optimal de tous les services et départements
de la banque, dans une démarche de qualité et de sécurité. Ces comités se réunissent
régulièrement, chacun selon un rythme préétabli. La banque en compte une vingtaine.
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2.17. ORGANIGRAMME
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B. Le contexte interne
L’analyse PESTEL de la Rawbank (politique, économique, sociologique,
technologique, écologique et légale) c’est un outil d’analyse de l’entreprise dont l’objectif est
d’encourager le créateur de l’entreprise à adopter une démarche globale pour construire la
stratégie de leurs futures entreprises pendant la création du business plan.
L’analyse PESTEL qui existe aussi sous la forme pestel de surveiller les risques et
les opportunités que pourraient rencontrer l’entreprise et son marché, la pluralité de cette
matrice et sa vision globale de l’environnement elle met avance six grands acteurs qui forment
son acronyme.
OPPORTUNITES MENANCES
Environnement politique Stabilité politique croissante : Instabilité politique : les tensions
une stabilité politique accrue politiques les conflits internes ou
peut valoriser un climat les changements de gouvernement
d’affaire plus sûr et peuvent créer un climat
prévisible ; d’incertitude et des instabilités qui
peut affecter les opérations de la
Rawbank et son image auprès des
clients et des investisseurs ;
Environnement socio- Evolution des attentes de Evolution des préférences des
culturel consommateurs : les consommateurs : le changement
consommateurs Congolais dans les préférences des
sont de plus en plus exigeants consommateurs ou dans les
en termes de services habitudes d’utilisation des
bancaires personnalisés services bancaires. Par exemple
rapides et accessibles. (l’essor de paiement mobile)
peuvent nécessiter une adaptation
rapide de la part de la Rawbank
pour rester compétitive sur le
marché.