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Exercices

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1. Faites les accords si besoin.

Attention, c’est un personnage féminin


qui parle.

J’étais fort (innocent) quand vous m’avez vue. Un cordelier me séduisit


aisément. Les suites en furent (affreux). Si un fameux médecin n’avait pas pris
pitié de moi, j’étais (mort). Sa femme qui était (jaloux) à la rage me battait tous
les jours impitoyablement ; c’était une furie, ce médecin était le plus (laid) de
tous les hommes et moi la plus (malheureux) de toutes les créatures.
Voltaire, Candide

2. Complétez chaque phrase avec le pronom personnel qui convient.


(aidez-vous des verbes, des adjectifs, des participes passés…)

…………. reviennent épuisées de leur séance de gymnastique.


…………. pas encore sûr que nous puissions répondre à sa demande.
………… as relu une dernière fois le poème.
Tous les mercredis, ……………… est occupée par les activités de ses petits-
enfants.
Emportés par des vagues violentes, ………… tentent de ne pas passer par
dessus bord.
………….veillerez à mettre des majuscules au début de vos phrases !
…………..partirons tous ensemble en vacances.
…………..ont été prévenues à temps du début des travaux.

3. Réécris ces phrases en remplaçant le sujet par le pronom personnel


correspondant. Vous conjuguerez les verbes entre parenthèses au passé
composé. (attention aux accords)
Ex : Camille, Sandrine et moi (dîner) ensemble hier. Nous avons dîné
ensemble hier.

Vincent et toi (nager) trop longtemps.


Des docteurs et des infirmières (arriver) très vite sur le lieu de la catastrophe.
Un seul des cinq cents candidats (obtenir) le gros lot !
Beaucoup de ses admiratrices (se rendre) au nouveau concert de ce chanteur
célèbre.
Le directeur du journal (convoquer) son équipe pour préparer le prochain
numéro.
Paul, François, Adeline et moi (devoir) marcher sur près de trois kilomètres.
Un train rempli de passagers (tomber) en panne en rase campagne.
Le docteur et son assistante vous (expliquer) le déroulement de l’intervention.

4. Entourer le bon accord.


L’arrivée de mes amis me fais /fait /font plaisir.
Tu les accueille /accueilles /accueillent.
Les élèves lui rend /rendent leur copie.
5. Mettez chaque verbe à l’imparfait.
Ces propositions t’ (intéresser)-elles ?
Les jeux vidéos ! Voilà ce qui les (passionner).
Le jardinage te (prendre) un temps fou !

6. Mettez les verbes entre parenthèses à l’imparfait.

Tous les trois, un instant après, nous (être) installés au fond de la boutique
rouge et chaude. De temps à autre, dans la rue, (passer) des dames du
village. Personne ne (dire) rien. Parfois, le travail paisible de la boutique
(s’interrompre). L’ouvrier (rester) la main en l’air à la chaîne du soufflet,
(mettre) son poing gauche sur la hanche, et nous (regarder) en riant.

7. Reliez les bonnes associations.

C’est vous qui * * chante juste.


Ce sont eux qui * * parles trop vite.
C’est moi qui * * avez raison.
C’est toi qui * * ont tort.

8. Remplacez « Fabrice » par « Céline et Clara » et faites toutes les


modifications nécessaires.

A la tour Farnèse, on trouve le prisonnier Fabrice bien étrange. L’amour l’a fait
prisonnier. Il a l’air mélancolique et trouve le temps long. Rêvant de trouver la
porte de sa cellule ouverte, il confectionne une corde avec ses draps.

9. Conjuguer les verbes au futur.


Votre nom, votre date de naissance, vos coordonnées (devoir) figurer en 1 e
partie. Puis (apparaître) votre parcours de formation qui (préciser) les options
suivies au collège et les langues étudiées. Enfin vous (évoquer) vos activités
extrascolaires qui (indiquer) vos centres d’intérêt.

10. Soulignez les antécédents et conjuguer les verbes à l’imparfait.

Il avait les yeux d’un bleu azur qui vous (dévisager).


Il contemplait les montagnes de feu qui (fermer) l’horizon.
Je pris en photo ces girafes au cou gracile qui (marcher) tranquillement.
Les notions de grammaire qui vous (manquer) sont-elles acquises ?

12. Faites les accords au passé composé.


Les haricots, les tomates, les fraises, tout (partir).
C’est le proviseur, le professeur et moi qui (décider) cela.
Les comédiens et vous (avoir) du succès.
Un lion, une lionne et une girafe (arriver) au zoo.
13. Complète ces phrases avec ces sujets : Anthony et ta sœur – tu – ton
père – ta sœur et toi – je – Ton frère et moi.

…………………… êtes encore une fois en retard.


………………………. ne penses pas assez à ton avenir.
……………………………. avons trouvé la solution.
…………………………….ignoraient tout de cette histoire.
………………………ignorait tout de cette histoire.
…………………veillerai à ce que vous ne manquiez de rien.

14. Remplacez les sujets par ceux proposés entre parenthèses et faites
les modifications nécessaires.

Les élèves savent la leçon par cœur. (je)


Il récupère sa voiture à midi. (Tu)
Au loin s’envolent des nuages. (une montgolfière)
Tu as de la chance d’être encore en vie. (Les soldats)
Je cherche un magasin de disque. (nous)
Ton frère nous doit beaucoup d’argent. (vous)
Le jeune héros aperçoit enfin le bout de sa route. (Les jeunes héros).
Les garçons sont rentrés de la salle de sport. (les filles)
Ils annoncent de fortes pluies pour demain. (La météo)
Ton père et toi avez eu beaucoup de chance. (ton père et ta mère)
La cavalerie du roi prit la tête du cortège. (Le roi et ses cavaliers)
Le public et les comédiens ont applaudi l’auteur de la pièce. (le public et toi)
Les leçons et les règles doivent être apprises par cœur. (Les leçons et les
cours)
Bertrand, son père et son frère sont arrivés trop tard. (Bertrand sa mère et toi).
Autrefois les hivers étaient très rudes. (l’hiver)
Pierre et Jean sont rentrés de l’école. (Sophie et Julie)
Ma sœur et ma cousine sont enchantées par tout ce qu’elles ont vu. (Ma sœur
et mon cousin.)
Vos travaux doivent être déposés sur le bureau. (vos fiches)
Toi et moi avons beaucoup de choses en commun. (Antoine et toi)
Les troupes de Jules César furent repoussées à Gergovie en -52. (Les soldats
de Jules César)
La reine se regarda dans le miroir. (je)
Les rues semblent calmes ce matin, alors qu’hier elles étaient noires de
monde. (Le boulevard)

15. Remplacez « elle » par « je ».

Au fond de son âme, cependant, elle attendait un événement. Comme les


matelots en détresse elle promenait sur la solitude de sa vie des yeux
désespérés, cherchant au loin quelque voile blanc dans les brumes de
l'horizon. Elle ne savait pas quel serait ce hasard, le vent qui le pousserait
jusqu'à elle, vers quel rivage il la mènerait, s'il était chaloupe ou vaisseau à
trois ponts, chargé d'angoisses ou plein de félicités jusqu'aux sabords. Mais
chaque matin, à son réveil, elle l'espérait pour la journée, et elle écoutait tous
les bruits, se levait en sursaut, s'étonnait qu'il ne vînt pas ; puis, au coucher du
soleil, toujours plus triste, désirait être au lendemain.
Flaubert, Madame Bovary

16. Remplacez « je » par « nous »

Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance.


Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel : vieillards,
hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde
se mettait aux fenêtres ; si j'étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se
former autour de moi; les femmes mêmes faisaient un arc-en-ciel nuancé de
mille couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent
lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que
moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais
sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : Il faut avouer qu'il a l'air bien
persan. Chose admirable ! Je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais
multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait
de ne m'avoir pas assez vu.

Montesquieu, Lettres Persanes (XXX)

17. Justifiez l’accord des verbes dont la terminaison est soulignée.


Je passai deux ou trois ans à la ville. Je remontais au village pour les
vacances et, à peine arrivé, ne pensais plus qu’à Vanguélio. Saisies d’une
sorte de jalousie, ma mère et ma sœur commencèrent à prendre ombrage de
cet attachement. « Mon pauvre enfant, me disait ma mère, quel miel a donc
cette fille pour t’attirer à ce point ? »

18. Recopiez ce texte en soulignant les sujets et en accordant les verbes


à l’imparfait de l’indicatif.
Après le salut du drapeau, les animaux (gagner) ensemble la grange. Là (se
tenir) une assemblé qui (être) l’assemblée générale, mais qu’on (appeler)
l’Assemblée ; on y (établir) le plan de travail de la semaine et on y (débattre) et
(adopter) différentes résolutions. Celles-ci, les cochons les (proposer)
toujours.

19. Accordez les verbes en conjuguant au passé simple.


Meaulnes (s’envelopper) les jambes dans une couverture. A deux heures, il
(traverser) le bourg de la Motte et (s’amuser) de le voir désert et endormi. A la
sortie du village, aussitôt après la maison de l’école, il (hésiter) entre deux
routes et (croire) se rappeler son chemin. Il (remettre) au trot sa jument qui
(filer) sur la route. Il (longer) un bois de sapins.
20. Recopiez les phrases, soulignez chaque sujet et conjuguez le verbe
au temps demandé de l’indicatif.
Comment (penser, présent) –tu réaliser ton rapport de stage ? – Tout cela
nous (impressionner, imparfait). – Je (pouvoir, imparfait) facilement l’aider et
ne (savoir, imparfait) pas comment le lui suggérer. – Ils nous (apprécier, futur
simple) en fonction de nos résultats. – Dans la plaine neigeuse (se distinguer,
imparfait) quelques rares arbres noirs. – Comment (prévoir, imparfait)-ils de
supporter une chaleur aussi forte ? – Je le (surprendre, présent) par mon
courage.

21. Accordez correctement les verbes que vous conjuguerez au temps


de l’indicatif demandé.
Ni son frère ni son oncle n’(envisager, imparfait) de quitter le village. – Sa
perspicacité et la rapidité de se décision me (surprendre, passé simple). – La
plupart des récits de poilus (témoigner, présent) des terribles conditions de vie
dans les tranchées. – Peu d’auteurs (parvenir, présent) à créer un univers tel
que celui de la Comédie Humaine. – Combien de pièces de Ionesco (se jouer,
présent) encore ? – Trop de gens (croire, présent) que la représentation
théâtrale n’aura pas lieu.

22. Accordez les verbes au présent de l’indicatif.

Cette récompense, les participants au concours la (souhaiter). Après


l’annonce des résultats, les gagnants la (montrer) à tous. Elle les (passionner),
elles les (entraîner) à poursuivre leurs efforts.

23. Accordez les verbes au futur simple de l’indicatif.

Nos amis nous (attendre) à l’aéroport. Nous les y (rejoindre), puis nous les
(conduire) chez nous. Nous (mettre) au point une exposition de photos
animalières et nous les (présenter) dans le hall de la mairie. Nous (disposer)
les photos et nos amis les (commenter).

24. Transformez chaque phrase en remplaçant le GN COD par un pronom


personnel. Puis transposez les phrases obtenues au passé composé.

Le vieux remarque des traces de griffures. – Les indigènes annoncent une


nouvelle. – Les animaux sauvages encerclent le village. – Le vieux connaît les
habitudes des jaguars.

25. Soulignez les sujets et accordez les verbes au temps demandé.

On (croire, plus-que-parfait) que la pirogue ne repartirait pas.


Chacun des passagers (donner, imparfait) son avis sur la solution qui lui
(paraître, imparfait) la plus appropriée. – Aborder les rivages ne (sembler,
imparfait) pas chose facile. – Personne ne (crier, imparfait), chacun (observer,
imparfait) avec prudence, tant le maire du village et le médecin (émettre,
imparfait) des doutes sur la suite de l’expédition. – Un groupe de scientifiques
(préférer, passé simple) rester quelques nuits au village ; chacun à son tour
(saluer, passé simple) le maire ; plusieurs d’entre eux (fabriquer, passé
simple) un camp de fortune. Peu d’étrangers (connaître, présent) l’Amazonie ;
ce (être, futur simple) l’occasion pour eux de la découvrir.

26. Soulignez les sujets et accordez les verbes.

Marguerite (rentrer, plus-que-parfait) chez elle sans prévenir. Elle (sonner,


plus-que-parfait) à l’entrée de service. La domestique, qui ne la (connaître,
imparfait) pas, la prenant pour une colporteuse, lui (claquer, passé simple) la
porte au nez. Elle (sonner, passé simple) alors à la grande porte. Ses parents
(apparaître, passé simple) en grande tenue. Ils ne (manifester, passé simple)
aucune tendresse. Après tout (se dire, passé simple)-elle, pourquoi
aujourd’hui plus qu’avant ? On (rameuter, passé simple) la domesticité.

27. Soulignez les antécédents des pronoms relatifs et accordez les


verbes.

Le bélier bêlait, tirait sur son licol vers toutes les femelles qui (s’en aller,
imparfait), ingrates, en balançant leur croupe, sans le regarder. – Plus loin, ce
fut Marie, une amie d’enfance, qui l’(interpeller, passé simple). – Elle avait un
visage aux rides aimables, un dos rond et des mains gonflées de veines, qui
(pendre, imparfait) sur sa jupe comme des outils. – Il jeta un regard sur les
pics de granit qui (repousser, imparfait) le ciel. – Tiens, une photo de l’épave,
prise par le pilote qui l’(survoler, passé composé). – Dans le silence qui
(suivre, passé simple), on entendit un paquet de neige qui (glisser, imparfait)
du toit.

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