Rapport D'activite Boulhana
Rapport D'activite Boulhana
Rapport D'activite Boulhana
Il va sans dire que le métier de banquier est le métier du risque par excellence. Le
risque constitue pour la banque, une source de profits qu’il y a lieu de gérer avec la plus
grande vigilance. En effet, une méconnaissance des conditions du marché, une mauvaise
simulation de la part du banquier, ou toute autre action non bien calculée, risque de jouer sur
la liquidité et la rentabilité de la banque et par là la mener au bord de la décadence et de la
faillite.
Le risque zéro n’existe pas, mais d’après les recommandations de Balle I, II et III, la
banque doit mettre en place les mesures nécessaires pour minimiser le risque.
♦ Les banques de dépôts classiques : Attijariwafa Bank, BMCE et les trois filiales
françaises, en l’occurrence la SGMB, la BMCI et le Crédit du Maroc.
♦ Le Crédit Populaire du Maroc (CPM) : constitué de la BANQUE CENTRALE
POPULAIRE (BCP), son réseau de Banques Populaires Régionales (BPR) et ses
filiales.
♦ Les anciens organismes financiers spécialisés qui ne financent plus les secteurs
d’activités particuliers, mais la totalité des secteurs de l’économie : il s’agit du Crédit
Immobilier et Hôtelier (CIH), et du Crédit Agricole du Maroc (CAM).
♦ Diverses autres banques dont la création répond à des besoins spécifiques :
Bank Al Amal, pour le financement de projets d’investissements des
Marocains du Monde (MDM),
De nos jours, le secteur bancaire évolue vers une intégration croissante, au sein du
système financier mondial, cette tendance prend toute son ampleur au niveau réglementaire, à
travers l’adoption des nouvelles dispositions réglementaires de Bâle, et au niveau
capitalistique, par le biais de l’accroissement de prise de participations étrangères, notamment
françaises.
Depuis 1991, un certain nombre de mesures ont été prises, il s’agit en l’occurrence de :
La levée, par les autorités monétaires, de l’encadrement du crédit (qui a été mis en
place en 1974) et la libéralisation de l’ensemble des intérêts débiteurs et créditeurs
(sauf pour les intérêts appliqués aux crédits à moyen terme accordé aux PME) ;
La diversification des intermédiaires financiers, par la création de deux nouvelles
banques, Banque Al Amal et la Banque de Développement des Collectivités Locales
L’adoption des règles prudentielles permettant un contrôle adéquat de l’activité
bancaire ;
L’adoption de normes internationales, notamment le ratio « Cook » correspondant au
minimum de couverture de l’ensemble des risques bancaires par des fonds propres.
Ces réformes ont en effet permis au système bancaire marocain, une plus large ouverture vers
l’extérieur et c’est ainsi que plusieurs banques commerciales marocaines ont ouvert des
succursales à l’étranger. L’année 2005 a été déterminante dans le processus de consolidation
du système financier avec la réalisation de plusieurs avancées.
En vertu des crédits immobiliers, de consommations et bien d’autres produits et services que
les banques accordent, de milliers de Marocains ont pu accéder à la propriété qui est un
facteur de poids pour la stabilité sociale et politique du Maroc et ont pu aménager leurs
foyers, voire leur mode de vie.
1964 Création du premier siège de la BCP par feu Sa Majesté le Roi Hassan II
Le CPM
A titre introductif, il est important de rappeler que l’appellation « Crédit Populaire du
Maroc (CPM), Groupe Banques Populaires ou encore Groupe Banque Centrale Populaire
(GBCP) désigne la même entité. Il s’agit d’une évolution du concept non dans sa
composition, mais plutôt en étroite relation avec les mutations qui l’ont caractérisé depuis sa
mise en place.
Bien qu’il ne constitue pas une entité juridique au vrai sens du terme, le concept du
« CPM » a été adopté par les instances gouvernementales pour désigner l’ensemble composé
de la BCP et des BPR. Donc, il vise l’unicité de cet organisme, notamment pour la publication
et la communication financière et le règlement de l’Impôt sur les Sociétés.
Le Groupe Banque Populaire du Maroc est issu du principe coopératif, basé sur la
solidarité et la régionalisation. Il a connu une évolution continue qui est en corrélation avec
celle de l'économie marocaine.
Il s'occupe non seulement des transferts des marocains du monde (MDM), mais aussi
de servir l'économie nationale, l'entreprise et le particulier local. D'où, vient la nomination de
« banque hybride » qui assure un travail bancaire d'une part et joue un rôle social d'autre part.
Fondations Filiales
1
Les BPR étaient au nombre de 11. Depuis la fusion absorption de la BP Casablanca par la BCP, ce nombre est
de 10.
b) Mission
La BCP, qui assure un rôle central au sein du groupe, est investi de deux missions
principales :
A ce titre, elle coordonne la politique financière du Groupe, assure le refinancement des BPR
et la gestion de leurs excédents de trésorerie à travers la salle des marchés ainsi que les
services d’intérêt commun pour le compte de ses organismes.
c) Valeurs
Fidèle à son esprit d’entreprise, le Crédit Populaire du Maroc s’est fixé comme
objectif d’accompagner toutes entreprises grandes moyennes ou petites, artisanales,
industrielles ou de services par la distribution de crédit à court, moyen et long terme
Le Crédit Populaire du Maroc développe ses activités en direction de cinq orientations
majeures :
Conçu comme l’un des outils de la politique de développement économique et comme
le support de certaines options financières de l’Etat.
Le Crédit Populaire du Maroc compte à son actif des réalisations d’envergure. Il a ainsi initié
et développé des actions permanentes.
L’un des mérites du GBP est d’avoir, dans le droit fil de sa mission, contribué à faire
valoir les avantages et les bienfaits de l’économie sociale. En favorisant l’adoption du
cautionnement mutuel pour toutes les catégories socioprofessionnelles et en popularisant le
sociétariat, toutes formules qui mettent en œuvre les principes de solidarité et de mutualité, le
Crédit Populaire a démontré que l’on peut concilier les impératifs de l’économie avec les
bienfaits de la coopération, au profit de l’homme. La Fondation Banque Populaire pour
l’éducation et la culture qui se préoccupe notamment de la scolarité des enfants émigrés, en
est une manifestation.
d) Vision du groupe :
Le Crédit Banque Populaire propose une gamme élargie et complète de services et
produits financiers répondant à l'ensemble des besoins de sa clientèle. Il développe également
ses activités à travers quatre orientations stratégiques majeures :
Disposant du plus large réseau de secteur bancaire, le groupe ouvre une centaine
d’agences chaque année.
La banque citoyenne
Banque de proximité, le Groupe Banque Populaire joue un rôle de premier plan dans
le développement des régions à travers l'action des Banques Populaires Régionales. Il est
l'accompagnateur financier de la région à travers la mobilisation de l'épargne, son utilisation
au niveau local, au bénéfice des acteurs économiques et sociaux.
Le Groupe Banque Populaire est le 1er réseau bancaire du pays. Son réseau est
constitué à fin Avril 2011 de 950 agences et 930 guichets automatiques à fin décembre 2010.
Le soutien aux activités à fortes retombées sociales est également encouragé par le
biais de développement des micro-crédits, dont l’encours ne cesse d’augmenter et qui
enregistre une évolution annuelle moyenne de plus de 50%, grâce à l’ouverture de nouvelles
branches au niveau de toutes les localités du pays et après l’absorption de la fondation
« ZAGOURA ».
Enfin, les PME-PMI sont accompagnées dans l’action de leur mise à niveau.
Ainsi, la rentabilité financière est fortement appréciée, fruit des résultats nets
consolidés du groupe, ainsi que la nette progression du produit net bancaire, et la maîtrise des
charges d’exploitation. La productivité quant à elle, connaît une amélioration surtout grâce à
l’automatisation accélérée des opérations effectuées au niveau des agences.
La part des commissions dans le produit net bancaire enregistre une évolution
moyenne annuelle de l’ordre de 10%.
Par ailleurs, le GBP a adhéré aux recommandations de Bâle, en mettant en place des
entités de contrôle interne, l’objectif est de cibler les zones de risques, et mettre des moyens
nécessaires pour les minimiser.
Un nouvel élan est pris par le GBP dans son intervention dans les opérations de la
corporate banking, pour conforter son positionnement stratégique dans ce créneau, et plus
spécifiquement dans les métiers de conseil aux entreprises et de l’ingénierie financière,
d’émissions obligataires, du capital-risque, de la gestion collective de l’épargne, de
l’intermédiation boursière et de financement du commerce international.
Actuellement, une nouvelle réforme est entamée par le Groupe des Banques
Populaires. Elle est dictée par les impératifs prudentiels et de rentabilité proposés par le
nouvel accord Bâle II.
Le Comité Directeur élit parmi ses membres un président dont la nomination est
soumise à la ratification du Ministre des finances. Le président du Comité Directeur peut
appeler toute personne, dont la collaboration est jugée utile, à participer à titre consultatif aux
réunions de ce comité. Par ailleurs, le Comité Directeur dispose d’un corps d’inspection
générale qui lui est directement rattaché pour effectuer ses missions de contrôle, d’un
secrétariat assuré légalement par la BCP et de tout comité ou commissions chargés d’étudier
les questions qu’il leur soumet.
Tandis que les Banques Populaires Régionales sont organisées sous la forme de
sociétés anonymes à capital variable, à directoire et à conseil de surveillance. Elles sont régies
par la loi 12/96 du 17 Octobre 2000, par la loi bancaire du 6 Juillet 1993 et par la loi sur les
sociétés anonymes à capital variable promulguée par le Dahir du 11/08/1922. Le capital de la
BPR n’est soumis à aucune limitation.
En effet le Groupe Banque Populaire occupe une position importante dans le système
bancaire marocain. D’ailleurs, la banque gère l’actif le plus important du système bancaire.
Elle est la banque la plus capitalisée et détient des fonds propres qui atteignent 6800 millions
de DH.
La Banque Populaire est le premier collecteur de l’épargne avec 30% des dépôts
bancaires. En ce qui concerne les crédits á l’économie, elle occupe la première place avec
19% du marché, ce qui équivaut á 24 milliards de DH. Son produit net bancaire, frôle la barre
des 3400 millions de DH, occupant ainsi le premier rang.
Division Achats et
Moyens Généraux
Etablir en concertation avec les entités concernées le programme annuel des marchés
(PAM)
Veiller au lancement des appels d’offres (Marchés dont le montant est égal
ou supérieur à 200 000.00DH) et l’adjudication des marchés
Veiller au respect des contrats des divers prestataires
Etablir les bons de commande d’achat et de prestations
Procéder aux engagements de dépenses conformément aux règles et
procédures en vigueur.
2. Les départements
- Département Marchés ;
- Département Suivi Budgets ;
a) Département Marchés
Ce Département organise pour le compte des fonctions de la Banque Centrale
Populaire ou BPR, la passation des marchés à travers trois modes (cités ci-après) dans les
conditions fixées par la circulaire LOG 310 :
Chaque fin d’année, le Département des Marchés consolide les besoins identifiés par
les différentes entités de la BCP et BPR, à travers le PAM (Plan Annuel des Marchés) qui
regroupe les différents projets, les montants correspondants (supérieur ou égal à 200.000,00
Dhs), ainsi que le mode de passation (appel d’offres ouverts, restreints, négociés, …).
Il se peut aussi que le Département ne procède pas par des appels d’offres, quand la
nature de la commande est inférieure à 200 000,00 Dhs. Dans ce cas le Département procède
par passation de bon de commande ou de devis contradictoires. Ces bons de commande
Après la validation du PAM, le Département des Marchés réceptionne les cahiers des
charges établis par les entités BCP, pour concrétiser leurs besoins.
Ce cahier des charges comprend le dossier administratif, le dossier technique ainsi que
l’offre financière
Les dossiers administratifs et techniques font l’objet d’une notation, tout prestataire
n’ayant pas atteint la note minimale est écartée définitivement.
La commission étudie les différentes offres financières et dégage une note technico-
financière pour le choix du candidat le moins disant. Un Procès-Verbal est établi mentionnant
le nombre de dossiers retirés, le nombre des offres déposées, les notes des différents
soumissionnaires ainsi que l’adjudicataire du marché.
Ce dernier est informé par fax afin d’établir un contrat et verser une caution définitive
après récupération de la caution provisoire et ce dans un délai de dix jours à compter de
l’envoie du fax.
Pour les soumissionnaires non retenus, la banque est tenue de leur transmettre des lettres de
regret, en leurs restituant les dossiers administratifs et techniques ainsi que les cautions
provisoires.
Il existe plusieurs types de marchés :
Marché de travaux : tout contrat ayant pour projet l’exécution de travaux liés à la
construction, à l’aménagement d’un bâtiment, d’un ouvrage, ou d’une structure.
Marché de fournitures : tout contrat ayant pour objet l’achat, la prise en crédit-bail la
location des produits ou matériels.
Marché de services : désignant tous les contrats ayant pour objet la réalisation de prestations
de services.
Marché-cadre
Marché reconductibles
Marchés à tranches conditionnelles
Marchés allotis
Selon le prix :
Ce Département comporte un effectif de sept personnes, son rôle principal est d’assurer :
Les factures comportant la date de réception du jour sont remises au Directeur pour
visa et transmises au Chef Département Suivi Budgets, pour vérification et répartition entre
les agents du Service Facturation.
Après validation, les factures sont retournées au Servie Facturation pour traitement.
On procède les cas échéant, au rapprochement des données desdites factures avec les
données figurant sur les bons de commande ou contrats d’une part, et les données du bon de
livraison ou procès-verbal de réception d’autre part.
Il est possible, toutefois, de réaliser le règlement sur la base d’un duplicata de la facture,
quand la preuve est apportée que l’original de celle-ci a été égaré et que par conséquent, la
Les factures régulièrement établies doivent être complétées par les modalités de
paiement et le compte d’imputation.
b) Processus de règlement
Les factures libellées en DHS ou en devises sont acheminées par les fournisseurs à la fonction
chargée de la logistique pour traitement.
La fonction logistique procède à la saisie des factures et à leurs vérifications :
♦ Si la facture comporte une anomalie, elle est automatiquement rejetée au fournisseur
pour modification ou complément d’informations.
♦ Si la facture est conforme, on procède alors au contrôle des justificatifs.
♦ Si les justificatifs ne sont pas conformes ou manquants, on s’adresse aux fournisseurs
pour faire le nécessaire.
♦ Si les justificatifs sont conformes, la fonction logistique procède à l’engagement de la
dépense en apposant le cachet « bon à payer » sur la facture qui comportera deux
signatures accréditées.
Au niveau de la fonction chargée de règlement de la facture, il y a lieu de souligner que les
factures en devises sont soumises à l’appréciation de la fonction chargée de la fiscalité pour
se prononcer sur le prélèvement ou non de la retenue à la source de 10%. Par la suite les
factures sont comptabilisées et les fournisseurs sont réglés, les pièces justificatifs sont alors
classées.
s’assure que la facture n’a pas été déjà présentée et dans le cas contraire, que celle-ci est
régulière et que les coûts facturés sont en rapport avec les prestations fournies.
procède ,le cas échéant ,au rapprochement des données de ladite facture avec les données
figurant sur le bon de commande ou contrat d’une part, et les données du bon de livraison
ou procès-verbal de réception d’autre part.
Au niveau de la fonction chargée des marchés et budgets, il est procédé aux opérations
suivantes :
s’assurer que la facture correspond à une prestation régulière réalisée dans le cadre du
marché ou de la commande concernée.
rapprocher les données de la facture avec les éléments figurant sur le dossier du
marché ou de la commande concernée et notamment le bon de livraison, le procès-
verbal de réception ou encore l’échéancier de paiement du contrat.
transmettre à la fonction chargée de la comptabilité, les factures y compris celles
libellés en devises, dûment signées et comportant la mention « Bon à payer ».les
factures sont obligatoirement accompagnées des originaux des documents suivants :
Bon de commande.
Bon de livraison ou procès-verbal de réception.
En cas de facturation partielle, les suivis relève de la fonction chargée des Marchés et
Budgets.
L’étape de paiement
Le mode de règlement
Les factures ne présentant aucun vice ni de fond ni de forme, sont ensuite complétées par
les références et le mode de paiement. Ce dernier ne peut être que le chèque barré non
endossable ou le virement bancaire.
Le recours au virement sur un compte tenu dans les livres de l’un des organismes du
Crédit Populaire du Maroc est fortement recommandé.
Les chèques ainsi que les virements bancaires de règlement doivent obligatoirement
porter une double signature de responsables accrédités de la fonction chargée de la
comptabilité. L’une des signatures est nécessairement de premier rang.
Les dépenses inférieures à mille dirhams (1000 DH) peuvent être réglées en espèces par
la caisse de règlement tenue au niveau de la fonction chargée de la comptabilité.
Cette caisse est alimentée au fur et à mesure des besoins sans que le total de l’encaisse ne
dépasse dix milles dirhams (10 000 DH).
L’agent chargé de la gestion de la dite caisse est tenu de produire quotidiennement une
situation de caisse que son responsable hiérarchique immédiat doit viser.
Les travaux assurés par des prestataires externes sont de quatre types :
♦ Acquisition ;
♦ Abonnement ;
♦ Assistance technique ;
♦ Maintenance.
Le règlement des factures en devises, en faveur des prestataires externes, fait l’objet
d’une retenue à la source de 10%, il est appliqué au montant brut de la rémunération, TVA
non comprise.
Les retenues opérées sur les paiements et transferts d’un mois donné, doivent être
versées avant la fin du mois qui suit, au percepteur des impôts.
Raison sociale.
Adresse du siège social.
Déclaration annuelle
La banque est tenue de souscrire une déclaration annuelle au titre des rémunérations
versées aux entreprises étrangères. L’obligation de déclaration incombe à la banque même au
cas où l’entreprise marocaine cliente s’engage à effectuer la retenue à la source et à la verser
au percepteur.
Le retard de traitement des factures peut atteindre dans certains cas un mois, ce qui a
engendré 406 réclamations des fournisseurs en 2014, soit une moyenne mensuelle de 34
réclamations.
Dans le cadre de la gestion et le suivi des budgets, la solution informatique doit prendre
en charge :
Il y a lieu de noter que le suivi doit être assuré par rubrique et ce en terme de
budget et de réalisation.
Le projet est agrée par les instances supérieures en tant que budget
d’engagement ;
Le budget est engagé effectivement par un marché, un contrat ou un bon de
commande ;
Il est exécuté par des décaissements effectifs.
D’où la notion de :
Problématique
Ce rapport a pour but d’analyser le processus de règlement des factures.
Dès lors l’on peut se proposer les questions suivantes :
♦ Comment faire face au nombre important des factures à traiter ?
♦ Comment faire pour éviter les retards des traitements ?
♦ Faut-il simplifier les modalités de règlement des dépenses de fonctionnement
et d’investissement afin d’éviter d’éventuelles réclamations ?
Le plan d’action
Cette nouvelle approche s’appuie sur :
♦ Elaboration d’un cahier des charges informatique qui définit les fonctionnalités de la
solution ;
♦ Lancement d’un appel offres public et adjudication du marché à la société
« INVOLYS » pour mettre en place la solution « VECTIS » avant la fin de l’année
2015 ;
♦ La solution « VECTIS » étant orientée vers les administrations publiques, le
prestataire « INVOLYS » s’est engagé à adapter la version standard à travers un
paramétrage ;
♦ Des ateliers de convergence ont été tenus les mois de Mai et Juin 2015 pour définir
les besoins de la Banque et communiquer les modèles des éditions au prestataire
« INVOLYS ».
♦ Des actions de formation ont été initiées par le prestataire et des supports de formation
ont été remis à l’équipe projet.
D’autres travaux n’ont pas encore été réalisés et bloquent le démarrage du logiciel à savoir :
♦ Paramétrage non encore achevé il y a lieu de l’activer ;
♦ Les chiffres relatifs aux budgets d’investissement et de fonctionnement ne sont pas
disponibles par l’exercice 2015. S’agissant d’une solution évolutive, il y a lieu de se
baser momentanément sur le PAM pour assurer le démarrage en 2015 ;
♦ Assistance des utilisateurs ;
♦ Reprise de l’existant ;
♦ Gestion des interfaces ;
♦ Lancement des tests.
[3] Projet de circulaire relative au contrôle interne au sein des établissements de crédits et
organismes assimilés……………………………………………………………
CREATION : 1961
Casablanca.
CAPITAL : 660.982.480 DH
CNSS : 1698648
I.F : 01084612
PATENTE : 34770085
TELEPHONE : 0522 20 25 33 / 22 41 11
FAX : 0522 22 26 99 / 20 53 40
Organigramme :