Rapport VF
Rapport VF
Rapport VF
Effectué par
EL HAMIDI Brahim
OUHMOUDOU Zakaria
Encadré par
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Liste des figures
Figure 18:Essaie concernant la rotation du moteur dans le sens direct en charge ................... 22
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Introduction générale
l’automatique.
position, angle...etc.), il est donc très souvent nécessaire d’avoir recours à une
une méthode qui a fait ses preuves et qui donne des bons résultats, grâce à
ARDUINO et le moteur.
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Chapitre I : Modélisation du moteur à courant continu
1 - Introduction
L’évolution des technologies conduit à utiliser des machines nécessitant des vitesses de
robotique...etc.
Dans notre étude, on s’intéresse aux moteurs à courant continu car ils offrent une
Les moteurs à courant continu ont pendant longtemps été les seuls aptes à la vitesse
variable à large bande passante, comme dans le domaine robotique. Ils ont donc fait
aujourd’hui.
Un moteur à courant continu est une machine électrique. Il s'agit d'un convertisseur
D’un stator qui est à l'origine de la circulation d'un flux magnétique longitudinal
fixe créé soit par des enroulements statoriques (bobinage) soit par des aimants
permanents. Il contient la partie porte balais et les balais assurant les contacts
D'un rotor bobiné relié à un collecteur rotatif inversant la polarité dans chaque
enroulement rotorique de façon à faire circuler un flux magnétique transversal
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Figure 1:Composition d'un MCC
3 - Schéma équivalent
4 - Mise en équation
Equation électrique :
Equation mécanique :
Equation électromécanique :
Equation électromécanique :
5
Avec
Cr : Couple résistant
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Figure 3:Schéma fonctionnel du MCC
Avec :
Avec :
coefficient d’amortissement
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7 - Fonction de transfert en z
telle que :
Pour ceci, on choisit donc le système discret pour cette valeur de Te est :
8 - Conclusion
Dans cette partie, nous avons modélisé notre système avec des équations
qui nous va permettre, dans la partie suivante, de le représenter sur Simulink afin de le
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Chapitre II : Simulation du système sous Matlab
1 - Introduction
Dans ce chapitre, on vise l’étude du système sous le logiciel Matlab. Ceci nous permettra de visualiser
la dynamique de ce dernier pour essayer de le performer.
Tout d’abord, on manipule un programme sous Matlab pour définir les paramètres caractérisant le
système en boucle ouverte. Ensuite, on construit le schéma fonctionnel représentant cette dernière sous
Simulink. Enfin, on lance la simulation.
La visualisation nous donne le comportement représenté ci-dessous:
0<t<0.15 24 80
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0.15<t<0.3 12 40
0.3<t<0.5 18 60
En faisant un zoom sur cette figure, on remarque que le système discret coïncide avec le
système continu aux instants d’échantillonnage, d’où la figure suivante :
0<t<0.15 80 61.62
0.15<t<0.3 20 15.40
0.3<t<0.5 60 46.22
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La visualisation de la sortie simultanément avec l’entrée nous donne le
comportement suivant :
4 - Choix du correcteur PI
Tels que les paramètres et sont choisis pour répondre au cahier des
charges suivant :
Précision : =0
Elimination de la perturbation Cr
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= 0.7115 et
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La commande appliquée sur le système est donnée dans la figure suivante :
t3=0.37s
Donc on observe que la perturbation est éliminée à chaque fois qu’elle est
appliquée au système
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Alors le correcteur choisi répond bien au cahier des charges demandé.
vitesse, c.-à-d.
perturbation.
6 - Conclusion :
Dans cette partie, d’abord, nous avons simulé notre système sous Simulink, en
boucle ouverte et en boucle fermée sans correction. Ensuite, nous avons posé
notre cahier des charges désiré. Enfin nous avons inséré, dans notre système, le
charges.
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Chapitre III : La réalisation virtuelle sur Proteus
1 - Introduction :
Dans ce chapitre, nous allons se servir du logiciel ISIS-Proteus pour simuler une
de notre moteur commandé, en vitesse, par une carte Arduino. Le programme utilisé est
basé sur des variables paramétrées à partir des coefficients du correcteur PI modélisé
dans le chapitre 2
2 - ISIS-PROTEUS
ISIS-PROTEUS est un logiciel qui permet de dessiner des schémas électroniques, de les
Pour une telle simulation, nous avons assemblé les différents composants:
Un encodeur optique
Un Bloc d’alimentation
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4 - Les blocs constituant le circuit
a - Bloc d'alimentation :
optique et H-BRIDGE dans le but de faire tourner le disque du moteur selon la vitesse
sollicitée. Cette carte est basée sur un microcontrôleur ATmega 328 et des composants
complémentaires. Elle contient une mémoire morte de 1 kilo. Elle est dotée de 14
entrées/sorties digitales (dont 6 peuvent être utilisées en tant que sortie PWM), 6
entrées analogiques, un cristal à 16 MHz et une connexion USB. Ainsi, elle possède un
Notre bloc de puissance comprend un H-bridge L298. Nous avons choisi ce composant
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Ce composant dispose de 15 broches décrites comme suit :
de d'Arduino ).
INPUT2.
d - Bloc de mesure
Le bloc de mesure est un capteur dont le rôle est de détecter la vitesse du disque selon
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Figure 13:Capteur de mesure
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Le circuit est composé de :
Un H-bridge L298
la carte ARDUINO
observe que : si on pousse le bouton poussoir, lié à la broche N°1, (1 est en position
haute) donc la broche 5 est désactivé et PWM=0 et vice versa. Si on pousse le bouton
poussoir, lié à la broche N°0, (0 est en position haute) donc la broche N°10 est activée
ce qui fait tourner le moteur dans le sens inverse, sinon la broche 9 est activée et le
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Donc le code global, manipulé sur l’environnement de la programmation IDE ARDUINO,
est le suivant :
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c - Simulation du schéma électrique :
On met le potentiomètre à 0%, donc le moteur est à vide. Puis on active la simulation et
Donc ici on a le bouton poussoir, lié à la broche 1, est au repos donc PWM est activé et
on a le bouton poussoir lié à la broche 0 est aussi au repos (la broche 9 est activé) donc
le moteur va tourner dans le sens direct ce qui explique l’affichage d’une valeur positive
pour la vitesse puisque pour une consigne de 24V, on obtient une vitesse positive de
83.8rad/s.
Maintenant, on met le bouton poussoir lié à la broche 0 à l’état haut (la broche 10 est
activé) et on laisse toujours l’autre bouton à son état précédent (repos), donc
théoriquement la carte va faire tourner le moteur dans le sens inverse. Ce qui est
confirmé pratiquement par le résultat illustré dans la figure suivante puisque l’affichage
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Figure 17:Essaie concernant la rotation du moteur dans le sens inverse
Et sachant que la vitesse théorique équivalente à une consigne de 24V est 80 rad/s.
Alors d’après les deux essaies précédents, on remarque que la vitesse mesurée est très
proche de la vitesse nominale désirée puisqu’on a dans le premier essai un petit écart de
2,3 rad/s entre la consigne et la sortie et on a dans le deuxième un écart de 4,4 rad/s.
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Alors, on constate que le résultat est parfait puisque la vitesse mesurée est 79,1 rad/s
Par conséquent, et d’après les trois essais précédents, on peut dire que les coefficients,
6 - Conclusion
Sur le plan pratique, une manipulation adéquate du logiciel « Arduino » nous permet
d’utiliser un compilateur ; il s’agit de « IDE ».Ce dernier possède une capacité de créer
un code HEX, qui est injecté sur son microcontrôleur. Le moteur fait tourner le disque
On peut conclure que les résultats obtenus sont satisfaisants compte tenu des
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Conclusion Générale
Durant notre projet, nous avons vu que la commande PI appliquée aux moteurs
stabilité.
régulateur idéal n’existe pas, chaque optimisation d’un paramètre (précision, ...)
se fait aux dépends d’un autre. Il convient alors de trouver le meilleur compromis
L’essentiel est alors de s’éloigner le moins possible du modèle théorique pour qu’il
reste valable
Une telle réalisation n’est pas dénuée de difficultés. Il est à noter que nous nous
carte.
Cependant, on peut dire que malgré ces difficultés, les résultats obtenus à
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