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Biologie 7,8,9 Année-1

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REPUPLIQUE DU MALI

UN PEUPLE...UN BUT…UNE FOI

CLASSE : …….Eme année

ANNEE SCOLAIRE. : 2019/2020

AUTEUR : MAHAMADOU CAMARA


CAM’S REVO LE CHE

CELL : 79125541/69125541

M.CAMARA Maitre de biologie et physique-chimie tel : 79125541/69125541


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I Morphologie

Définition de la morphologie : la morphologie est l’étude externe du corps.

Le corps humain comprend : la tête, le tronc et les membres.

1) la tête : elle présente le crâne qui porte les cheveux et la face sur laquelle se
trouvent les oreilles, les joues, la bouche, le menton, le nez, les yeux protégés
par les paupières, les sourcils et cils.

2) le tronc : il comprend le thorax (la poitrine et le dos) et l’abdomen (le ventre).

3) les membres : il y a deux membres supérieurs et deux membres inférieurs.

- un membre inférieur : le bras, l’avant bras, la main formée par le poignet, la


paume et les doigts.

- un membre inférieur : la cuisse, la jambe, le pied formé par la cheville, la


plante du pied et les orteils.

II Anatomie

Définition de l’anatomie : l’anatomie est l’étude interne du corps.

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I Le squelette

Définition du squelette : le squelette est l’ensemble des os de notre corps.

Il comprend 208 os repartis entre la tête, le tronc et les membres.

1) Le squelette de la tête :

a) le squelette du crâne : il est formé de 8 os plats solidement soudés.

La boite crânienne protège le cerveau

Les principaux os du crâne sont : les pariétaux, le frontal, l’occipital et les


temporaux.

b) le squelette de la face : il compte 14 os soudés entre eux dont 1 seul mobile :


la mâchoire inférieure, il s’articule grâce aux condyles.

2) le squelette du tronc:
Le squelette du tronc est l'ensemble des os de la colonne vertébrale, les côtes et
sternum.

a)La colonne vertébrale : Elle est constituée de trente trois (33) vertèbres
empilées les uns sur les autres.

b) Les cotes : Ils sont au nombre de 12 paires de et un sternum (os plat devant
la poitrine).

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NB: l’ensemble des 12 vertèbres dorsales, les côtes et le sternum forment la
cage thoracique.

3)Le squelette des membres :


Les quatre membres sont constitués de la même façon.

Membres supérieurs Membres inférieurs

Ceinture scapulaire : omoplate, Ceinture pelvienne : les os du bassin


clavicule

Bras : l’humérus Cuisse : le fémur

Avant bras : radius et cubitus Jambe : le tibia et le péroné

Main : métacarpiens Pied : métatarsiens

Doigts : phalanges Cheville : tarsiens

Poignets : carpiens Orteils : phalanges

II Les différentes sortes os:

On distingue les os longs (radius; cubitus, l’humérus);les os courts (métacarpe,


phalanges) et les os plats (sternum, omoplate, os du bassin).

III Articulation

Définition : l’articulation est le mode d’union des os.

Il existe trois sortes d’articulation.


Les articulations semi mobiles: qui effectué les mouvements de faibles portées
(les os du cou).
Les articulations mobiles: qui effectué les mouvements de grandes portées (les
os du genou)
Les articulations fixes: qui n'effectuent pas de mouvements(les os du crâne).

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La denture: la denture est la disposition et le nombre de dents sur les
mâchoires.
I Les différentes sortes de dents

Les différentes sortes de dents sont : les incisives, les canines, les prémolaires et
les molaires.

Une dent comprend : une partie externe couronne et une partie interne racine
enfoncée dans les maxillaires

III Role des dents

- les incisives servent à couper les aliments;

- les canines servent à déchirer les aliments ;

- les molaires et prémolaires servent à broyer les aliments.

II La denture de l’adulte et de jeune

- Formule dentaire de l’adulte :

4 ÷ 4I + 2 ÷ 2C + 4 ÷ 4PM + 6 ÷ 6M = 32dents

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- Formule dentaire de l’enfant (ou jeune):

4 ÷ 4I + 2 ÷ 2C + 4 ÷ 4PM = 20dents

IV Régime alimentaire

L’homme mange des aliments variés :

- d’origine minérale : l’eau, sel

- d’origine végétale : les légumes

- d’origine animale : la viande, le lait, les œufs…

Conclusion : l’homme est un omnivore.

Définition :

Un omnivore : un omnivore est un être vivant qui mange un peu de tout.


La dentition: la dentition est la formation et sortie naturelle des dents.

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I Morphologie

Le corps de la souris est couvert de poils et comprend trois parties : la tête, le


tronc qui se termine par une queue et les membres.

1) La tête : elle porte deux oreilles, deux yeux, deux narines.

Le museau porte de longs poils appelés vibrisses.

La formule dentaire de la souris :

1 ÷ 1I + 0 ÷ 0C + 3 ÷ 3M

Cette formule est l’ordre des rongeurs.

2) Le tronc et la queue : le tronc est allongé et porte chez la femelle trois paires
de mamelles ventrales : la souris est un mammifère. La queue, aussi longue que
le corps.

3) Les membres : il existe deux membres supérieurs et deux membres


inférieurs. Chaque membre porte des doigts munis de griffes.

II Mode de vie

1) La locomotion : le déplacement de la souris est assuré par les membres.

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2) La nutrition : la souris est omnivore car elle mange un peu de tout.

3) La respiration : la respiration est pulmonaire car elle respire par les poumons.

4) La reproduction : après l’accouplement, la femelle donne directement des


petites souris appelées les souriceaux qui sont aveugles et très faibles à la
naissance.

La femelle les nourrit du lait de ses mamelles, les réchauffe et prend soin d’eux :
la souris est un vivipare.

III Lutte contre les souris

Pour lutter contre les souris, il faut :

- les détruire par des appâts empoisonnés, par des pièges et par des chats ;

- éliminer les déchets alimentaires et autres déchets domestiques dans les lieux
indiqués…

IV Caractères généraux des rongeurs

- présence de colonne vertébrale ;

- absence de canine ;

- température constante ;

- ils sont ovipares ;

- membres terminés par des griffes.

Définition :

Un vivipare : un vivipare est un animal dont les petits naissent entièrement


formé

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I
Morphologie

Le pigeon est un oiseau dont le corps est couvert de plumes.

Son corps comprend : la tête, le tronc, les membres et la queue.

1) La tête : elle porte un bec, deux narines, deux yeux et deux conduits auditifs.

2) le tronc : il est rigide et se termine par une queue.

3) Les membres : ce sont les pattes et les ailes.

4) Les plumes : les différentes plumes du pigeon sont : les tectrices, les duvets
et les régimes.

- les tectrices : recouvrent la tête, le dos et le dessus des ailes

- les duvets : protègent les parties ventrales

- les régimes : plantées sur le croupion, constituent la queue et orientent le vol.

NB : les régimes et les tectrices sont appelés pennes.

II Mode de vie

1) La locomotion : le pigeon peut marcher ou bien voler.

Les pattes lui permettent de marcher.

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Le vol est assuré par les deux ailes.

 on distingue deux sortes de vols : le vol ramé et le vol plané.


 Adaptation du pigeon au vol :
Par la transformation des membres antérieurs en ailes et la puissance des
muscles qui les mettent en mouvement, par la rigidité de la cage thoracique, de
la colonne vertébrale et du bassin, par la présence de sacs aériens et d’os
pneumatiques, par sa forme aérodynamique, le pigeon est un animal
parfaitement adapté au vol.

2) La nutrition : le pigeon se nourrit essentiellement de graines : c’est un


granivore.

Cependant, il peut se nourrir aussi des verdures.

3) La respiration : le pigeon a une respiration pulmonaire.

4) La reproduction : après l’accouplement, la femelle pond des œufs dans un nid


fait de brindilles végétales, de pailles et de duvets.

Les œufs sont couvés alternativement par le male et la femelle.

L’incubation dure 17 ou 18 jours. Le pigeon est un ovipare.

I Classification des oiseaux

Classe Ordres Exemples

O Rapaces Aigles, hibou, épervier, chouette

I Grimpeurs Perroquet, pie

S Colombiens Pigeon, tourterelle

E Gallinacés Coq, dindon

A Echassiers Héron, cigogne

U Palmipèdes Canard, cygne, oie

X Passereaux Moineau, hirondelle

Coureurs Autruche

II Caractères généraux des oiseaux

- le corps couvert de plumes ;

- présence de bec ;

- respiration pulmonaire ;

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- température constante ;

- membres antérieurs transformés en ailes ;

- ils sont ovipares.

III Définition :

Un ovipare : un ovipare est un animal qui pond des œufs.

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I Morphologie

Le margouillat est un reptile de petite taille. Son corps est couvert d’écailles,
allongé et étroit.la femelle est plus petite que le mâle.

Le corps comprend trois paries : la tête, le tronc et les membres.

1) La tête : elle porte deux yeux protégés par des paupières très mobiles, un
tympan, une bouche contenant une langue et de petites dents.

2) Le tronc : il comprend une face ventrale et une face dorsale.

Il porte sur la face ventrale le cloaque d’où sortent les excréments et l’urine.

1) Les membres : il y a deux pattes postérieures et deux pattes antérieures qui


sont fixées latéralement au tronc. Elles se terminent chacune par 5 doigts longs
munis de griffes pointus.
II Mode de vie

1) La locomotion : le margouillat se déplace en rampant et en grimpant.

2) La nutrition : le margouillat est omnivore.

3) La respiration : le margouillat a une respiration pulmonaire.

4) La reproduction : le mâle féconde la femelle. Le moment de la ponte venu, la


femelle creuse dans le sol un trou peu profond dans lequel elle dépose des œufs.
Les jeunes qui en sortent sont des adultes en miniatures. Il n’y a pas de
métamorphose.

II Caractères généraux des reptiles

- corps couvert d’écailles ;

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- respiration pulmonaire ;

- température variable ;

- ils sont ovipares ou ovovivipares ;

- présence de colonne vertébrale ;

- la reptation.

Définition :

Un reptile : un reptile est un animal vertébré à peau écaillée, à respiration


pulmonaire et dont les membres sont réduits ou absents.

CLASSIFICATION ET CARACTERES GENERAUX DES REPTILES

I Classification des reptiles

Ordres Exemples

Sauriens Lézard, Gecko

Chéloniens Tortue, Caméléon

Crocodiliens Caïman, Crocodile

II Caractères généraux des reptiles

- corps couvert d’écailles ;

- respiration pulmonaire ;

- température variable ;

- ils sont ovipares ou ovovivipares ;

- présence de colonne vertébrale ;

- la reptation.

Définition :

Un reptile : un reptile est un animal vertébré à peau écaillée, à respiration


pulmonaire et dont les membres sont réduits ou absents.

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MORPHOLOGIE : La grenouille a un corps nue et toujours humide, comportant
trois parties : la tête, le tronc et les membres.

1-La tête : Elle est une tête aplatie et large portant deux gros yeux ; une bouche
largement fendue contenant une langue et des dents.

2- Le tronc : Elle est la masse principale de l’animal. Il porte les membres.

3-Les membres : Elle possède des membres antérieurs et des membres


postérieurs. Ils sont minus de doigts.

MODE DE VIE :

La locomotion : sur terre, la grenouille se déplace en marchant ou en sautant.


Dans l’eau elle se déplace en nageant grâce a ses membres palmaires.

La nutrition : elle se nourrit d’insectes, de larves, qu’elle capte avec sa langue.

La respiration : chez l’adulte la respiration est pulmonaire et cutanée.

La reproduction : elle ponde des œufs dans l’eau ;

Au bout de quelques jours un germe noir se développe dans chaque œuf.

De l’œuf sort une larve, toute différente de la grenouille. Elle a un corps arrondi,
dépourvu de patte mais une queue.

Cette larve qui se fixe sur une plante voisine est appelé têtard.

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Les larves subissent des transformations successives :

 Apparition des membres postérieurs a la base de la queue, puis des


membres antérieurs ;
 Disparition de la queue ;
 Disparition des branchies et formation des poumons ;
L’ensemble de ces transformation est appelée la métamorphose.

Animaux voisins et caractères généraux des batraciens


Animaux voisins : le crapaud et la grenouille sont des batraciens
Caractères généraux :
 Un squelette osseux ;
 Une peau nue, humide, visqueuse et intervient dans sa respiration,
 Une reproduction par œufs.

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Morphologie

La carpe encore appelée tilapia est un poisson d’eau douce très répandue en
Afrique. SON COPRS COMPREND TROIS Parties :la tête ;le tronc et la queue

1. La tête : relativement petite et limite en arrière par les fentes branchiales,


il possède une bouche, deux narines, deux yeux dépourvues de paupières.
EN ARRIERE et latéralement on observe les opercules qui couvrent les
branchies.
2. Le tronc : il s’étend des fentes branchiales a la papille anale ou s’ouvre
l’anus .il porte les nageoires paires (pectorales et abdominales) et des
nageoires impaires (dorsale, caudale et anale)
3. LA QUEUE : commence a partir de la papille anale et ce terminée par la
nageoire caudale.

MODE DE VIE

1) LA LOCOMOTION : la carpe est adaptée a la nage grâce a ses nageoires


2) LA NUTRITION : elle se nourrit d’herbes, de ver et de petits insectes de
reste d’aliments son régime est omnivore
3) LA RESPIRATION : elle est assure par les branchies. le carpe respire l’air
dissous dans l’eau.
4) LA REPRODUCTION :la carpe est un ovipare .LA FEMELLE pond de
nombreuses boules que le male recouvre ensuite d’un liquide blanchâtre
appelé laitance ;il se forme des œufs qui donnent des alevins qui se
développe .

ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX DES POISSON :

Animaux voisins : le capitaine ; le silure ; le poisson chien ; le requin ;les


raie ……

CARACTERES GENERAUX DES POISSON :

 Ils sont exclusivement aquatiques ;


 Ils respirent par les branchies ;
 Ils se déplacent en nageant ;
 Ils ont une température variable ;
 Ils sont ovipares ;

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I Définition de la botanique

La botanique est la science qui étudie les plantes et de leur vie.

II Les différentes sortes de plantes

On distingue les plantes à fleurs et les plantes sans fleurs.

2) Les plantes à fleurs : Ce sont des plantes qui possèdent les feuilles, la tige et
les racines.
Ex : l’arachide,

3) Les plantes sans fleurs : Ce sont des plantes qui n’ont ni feuilles, ni tige et ni
racines.
Ex : la fougère, les champignons,

III Les différentes parties des plantes à fleurs

Les différentes parties des plantes à fleurs sont : les feuilles, la tige et les
racines.

IV Pollinisation – Fécondation – Germination

1) Pollinisation : c’est le transport du pollen des étamines sur le stigmate.


2) Fécondation : c’est l’union d’une cellule male et d’une cellule femelle
aboutissant à la formation d’un œuf.
3) Germination : c’est l’ensemble des phénomènes par lesquels une graine se
développe et donne naissance à une nouvelle plante. /.

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I Appareil végétatif

1) Les racines : le système racinaire de l’arachide est de type pivotant.

A partir d’une racine principale qui est terminée par une coiffe partent les racines
secondaires. Les racines de l’arachide portent des nodosités.

2) La tige : la tige de l’arachide est herbacée, ramifiée, dressée ou couchée selon


les variétés.

3) Les feuilles: les feuilles de l’arachide sont composées, chaque feuille est
formée d’un pétiole long et d’un limbe constitué de quatre (4) folioles opposées
deux à deux.

II Appareil reproducteur

1) L’inflorescence : Les fleurs de l’arachide sont axillaires et solidaires. Elles


prennent naissance aux aisselles.

L’inflorescence de l’arachide est une grappe.

2) La fleur :

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a) Les organes protecteurs : Ce sont des pièces protectrices de la fleur qui sont :
les sépales et les pétales

- les sépales : de couleur verte, ils sont au nombre de 5 dont 4 soudés et 1 libre.

L’ensemble des sépales forme le calice.

- les pétales : de couleur jaune parfois striées de rouge, ils sont au nombre de 5.

L’ensemble des pétales forme la corolle.

NB : le calice et la corolle forment le périanthe.

b) Les organes reproducteurs : c’est l’ensemble des pièces reproductrices mâles


et femelles de la fleur : les étamines et le pistil.

- les étamines : ils sont au nombre de 10 dont 9 soudés et 1 libre.

Une étamine est formée d’un filet et d’une anthère contenant les grains de
pollen.

L’ensemble des étamines forme l’androcée.

- le pistil ou gynécée : il est formé d’un stigmate, d’un style et de l’ovaire.

3) Fruit et graine de l’arachide :

Après la fécondation, l’ovaire se transforme en fruit et l’ovule en graine.

Le fruit de l’arachide est une gousse.

La graine est formée de deux cotylédons enveloppés dans un tégument rose ou


rouge selon les variétés.

NB : l’arachide a une pollinisation directe car les grains de pollen des étamines se
déposent directement sur le stigmate du pistil.

4) Formule florale et diagramme floral

a) Formule florale de l’arachide :

FF = 5S + 5P + 10E + 1C

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Les plantes à fleurs diffèrent non seulement par leurs appareils végétatifs mais
aussi par leurs appareils reproducteurs.

I Les différents types de plantes à fleurs

Noms des plantes Fleurs Fruits Graines

Le flamboyant 5S + 5P + 10E + 1C Gousse dicotylédone

L’arachide 5S + 5P + 10E + 1C Gousse dicotylédone

Le cotonnier 5S + 5P + 8E + 5C Capsule dicotylédone

La pomme de terre 5S + 5P + 5E + 2C monocotylédone

L’oignon 3S + 3P + 6E + 3C Capsule monocotylédone

La crotalaire 5S + 5P + 10E + 1C Gousse dicotylédone

II Les différents types floraux : On distingue les fleurs complètes et les fleurs
incomplètes.

1) Les fleurs complètes : ce sont des fleurs qui après fécondation donne un fruit.

2) Les fleurs incomplètes : ce sont des fleurs qui ont une réduction des appareils
protecteurs ou une absence des étamines et du pistil.

III Les différents types de fruits

On distingue les fruits charnus et les fruits secs.

1) Les fruits charnus : ce sont des fruits à noyaux à pépin.

Ex : le raisin, la tomate, la datte, l’orange, la papaye, la banane…

2) Les fruits secs : ce sont des fruits qui s’ouvrent souvent à la maturité

Ex : le cotonnier, le carcéral, le gombo, le flamboyant l’haricot, l’arachide…

IV Les différents types de graines

On distingue les monocotylédones et les dicotylédones

1) Les monocotylédones : ce sont des plantes dont la graine présente un


cotylédon. Ex : l’oignon, la pomme de terre…

2) Les dicotylédones : ce sont des plantes dont la graine présente deux


cotylédons Ex : l’arachide, la crotalaire.

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I Technique de culture de la moisissure du pain

Mettre un peu d'eau, sans excès dans un morceau de pain. Mettre le morceau de
pain dans une boîte. Exposer le tout à l’air libre pendant quelques temps (1
heure environ). Placer la boîte fermée dans l’obscurité à l’abri de la dessiccation.
Nous le verrons noircir en quelques jours

(4 à 5 jours).

II Observation et description à l’œil nu

A l’œil nu, la moisissure du pain apparaît comme une masse duveteuse


constituée de fins filaments entrelacés (feutrage) saupoudrée de points noirs.

III Observation et description au microscope optique

Observée au microscope une touffe de cette moisissure, apparaît former de trois


types de filaments qui sont : les stolons, les rhizoïdes et les sporanges spores.

NB : L’ensemble de filaments de la moisissure constitue le mycélium qui est un


thalle

IV Reproduction

Il y a deux modes de reproduction :

- la reproduction asexuée ou directe : quand les conditions sont favorables, les


spores libérés tombent et germent pour donner un nouveau mycélium.

- la reproduction sexuée ou conjugaison : quand les conditions sont défavorables


(température élevée, nourriture insuffisante) deux filaments voisins émettent
l’un vers l’autre deux prolongements formant des pros gamétanges qui se
transforment en gamétanges et suspenseurs.

Les deux contenus se fusionnent pour former un œuf ou zygote qui peut attendre
le retour des conditions favorables pour germer et donner une nouvelle talle.

V Autres plantes sans fleurs

Les algues, les champignons, les lichens, les mousses, les fougères…

Définitions :

Un thalle : un thalle est une plante qui n’a ni tige, ni racine et ni feuilles.

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I La désertification

1) Définition de la désertification : la désertification est un phénomène qui


favorise le désert.

2) Les causes de la désertification :

a) causes naturelles :

- volcans ;

- Les tremblements de terre ;

- Les grands vents ;

- manque de pluie

b) action de l’homme :

- les feux de brousse ;

- la déforestation par les coupes de l’arbre ;

- mauvaise exploitation agricole des terres.

3) Conséquences de la désertification :

- la sécheresse ;

- la famine ;

- déplacement de la famille ;

- disparition des espèces animales et végétales.

4) Lutte contre la désertification :

On lutte contre la désertification en faisant reboiser le maximum possible


l’environnement, en sensibilisant la population contre les feux de brousse et la
coupe des arbres.

II La disparition des espèces animales et végétales

1) Les causes :

- la sécheresse ;

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- la chasse ;

- le manque de pluies ;

- les feux de brousse ;

- la coupure incontrôlée du bois (déboisement)

2) Les conséquences :

- la famine

- l’exode rural

III La pollution de l’environnement

1) Définition de la pollution : la pollution est la dégradation d’un milieu naturel


par les substances chimiques, des déchets toxiques industriels et organiques.

2) Les causes de la pollution :

- les fumées des industries, des machines, des véhicules ;

- les cadavres d’animaux ;

- les ordures pourries.

IV La protection de l’environnement

1) définition de l’environnement : l’environnement est l’ensemble des éléments


naturels et artificiels qui entourent les hommes, les animaux et les végétaux.

2) La protection de l’environnement :

Pour protéger notre environnement, il faut lutter contre :

- la désertification ;

- la pollution ;

- la disparition des espèces animales et végétales ;

- le massacre des animaux ;

- remplacer l’utilisation des bois par les foyers améliorés ;

- les feux de brousse ;

- le déboisement.

V Quelques définitions

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- Un écosystème : c’est un ensemble d’un milieu, des facteurs écologiques qui le
caractérisent, des êtres vivants qui l’habitent, de tous les phénomènes
biologiques dont il est le siège.

- Une chaîne alimentaire : c’est une suite ordonnée d’êtres vivants dans laquelle
chacun mange celui qui le précède puis devient nourriture de celui qui le suit.

- La nature : c’est un ensemble de toutes les choses qui composent l’univers.

- Le désert : c’est un lieu inhabité, vide, peu fréquenté.

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Les arthropodes: sont des insectes qui ont des pattes articulées.
Les orthoptères : sont des insectes qui ont des ailes postérieures restant droites
au repos

A…Morphologie

Le corps du criquet comprend trois parties : la tête le thorax et les abdomens

La tête : Elle porte deux antennes ; trois ocelles (yeux simples) et deux yeux

composes .A la parties inferieur la bouche armée de pièces buccales de type


broyeur.

L’appareil buccal est formé par :

- une lèvre supérieure ou labre,


- deux mandibules très dures, chitineuses t dentées ;
- deux mâchoires avec palpes maxillaires ;
- une lèvre inférieure ou labium portant des palpes labiaux.
- Thorax : Il est formé de trois anneaux qui porte chacun une paire de
patte .Il porte deux paires ailes .Les ailes sont droit au repos.

Abdomen : Formé de 10(ou 11) anneaux dont les 8 premiers portent de


chaque cote un stigmate (orifice respiratoire) .Il porte l’anus et les organes
génitaux Externes.

B… MODE DE VIE

Locomotion : IL se déplace en marchant ou en sautant grâce a ces pattes et en


volant grâce a ces ailes.

Nutrition : Il se nourrit de végétaux : c’est un végétarien.

Respiration : Elle est trachéenne

Reproduction : Il pond des œufs. Les œufs donnent des donne des larves qui se
développent par mue .les larves subissent des phases pour devenir des insectes
parfaits .Le criquet a une métamorphose incomplète

III Les dégâts causés par les criquets sur les végétations

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Les criquets détruisent toute la végétation sur leur passage. La nourriture
consommée par jour est de l’ordre de quelques de tonnes. Ils peuvent provoquer
la famine en détruisant les récoltes (cas de l’Algérie en 1867 avec plus de
500000 morts).

LUTTE CONTE LES CRIQUETS :


Il faut :
 Une surveillance des zones peuplées par les larves ;
 Rependre des insecticides sur toutes les zones peuplées ;
 Une destruction des œufs par ramassage et brulure ;
 C…ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX DES ARTHROPODES
1. ANIMAUX VOISINS : La sauterelle ; la mente religieuses, les guillons
2. CARACTERES GENERAUX AUX ARTHOPODES :
Ils possèdent :
 Ailes antérieures en élytres ;
 Six pièces buccales broyeuses ;
 métamorphose incomplète ;
 Absence de la colonne vertébrale ;
 un corps divisé en tête, thorax et abdomen ;
 des pattes articulées

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Le coléoptère est un insecte articule dont les élytres protectrice sont les ailes.

l /LA MORPHOLOGIE :

Le Corps Du hanneton Comprend trois parties : la tête ; le thorax et l abdomen

LA TETE : Elles
portent deux
yeux ; deux
antennes
mobiles portant des lamelles et une bouche munie de deux lèvres (supérieure et
inferieure), d une paire de mâchoire dentée et d’une paire de mandibules
masticatrice .L appareil buccal est de type broyeur

Son appareil buccal comprend :

- une lèvre supérieure ;

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- deux mandibules masticatrices ;
- deux mâchoires épaisses et dentées ;
- une lèvre inférieure.
LE THORAX : Forme de trois segments portant deux paires d ailes (antérieur et
postérieur). Chaque anneau porte une paire de patte.

L’ABDOMEN : Il est forme d anneaux portant chacun deux stigmates

ll/MODE DE VIE :

LA LOCOMOTION : Il se déplace en volant grâce à ces ailes et en marchant

LA NUTRITION : IL se nourrit de végétaux ; de d’autre insectes.

LA RESPIRATION : sa respiration est trachéenne.

LA REPRODUCTION : Il est ovipare, la femelle pont des œufs.

Des œufs sortent des larves ou (vers blanc) qui se développe par mue .La larve
s’entoure d’un corps résistant : c’est la nymphe. Enfin de développement la
nymphe devient un insecte parfait.

L’hanneton a une métamorphose complète.

Œuf → larve → nymphe → insecte parfait

lll/ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX :

1 /ANIMAUX VOISINS : La coccinelle, le lampyre, le scarabée, les charançons, le


dytique…

2/CARACTERES GENERAUX : Ils possèdent :

 Une peau chitineuse et un corps articule ;


 Deux ailes antérieures en étui qui protègent les ailes membraneuses ;
 Un appareil buccal de type broyeur ;

 une métamorphose complète.

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Le lépidoptère est un insecte dont les ailes sont membraneuses et couvertes
d’une poussière écailleuses.

MORPHOLOGIE

Le corps du papillon comprend trois parties : la tête ; le thorax et l’abdomen

LA TETE : Elle porte deux yeux ; deux antennes .compose a facette une trompe
sueur forme par la soudure des deux mâchoires transformes en trompe.
L’appareil buccal est de type sueur

LE THORAX : Il porte trois paires de pattes très faibles et quatre ailes


membraneuses et écailleuses.

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L’ABDOMEN : il est long et cylindrique, mou et forme d’anneaux pourvu de
stigmates.

MODE DE VIE :

LA LOCOMOTION : Il se déplace en marchant et en volant grâce à ces ailes

LA NUTRITION : Il se nourrit de nectars

LA RESPIRATION : Il a une respiration trachéenne.

LA REPRODUCTION : Il se reproduit en pondant des œufs (ovipare).Les œufs


donnent des larves ou chenilles qui se développe par mue

ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX :

ANIMAUX VOISINS :

Le petit bleu ; le papillon oranger ; la piéride ; l’épiphane ; le papillon-feuille.

CARACTERES GENERAUX :

ILS ont en communes :

 Des ailes membraneuses recouvertes d’écailles finement imbriquée ;


 Un appareil buccal de type sueur ;
 ILS sont ovipares ;
 Quatre ailes écailleuses,
 Une métamorphose complète.

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A.MORPHOLOGIE

Le corps de la termite comprend trois parties : la tête ; le thorax ; et l’abdomen.

La tête : Elle porte deux yeux ; deux antennes ; A facette une bouche munie de
pièces buccale ; composé de deux mandibule ; deux lèvres (inferieure et
supérieure).deux mâchoires

Le thorax : Elle porte trois paires de pattes ; quatre ailes membraneuses de


même longueur.

L’abdomen : Il est formé de segments et leur forme varie suivant les membres
de la société

B.MODE DE VIE

LA SOCIETE : les termites sont des insectes sociaux leur sociétés constituée : le
roi ; la reine ; les soldats et les ouvriers.

 Le roi : vit dans la loge royal avec la reine


 La reine : abdomen volumineux pond les œufs
 Les soldats : défendent la société.
 Les ouvriers : sont chargent des travaux domestiques

Locomotion : IL se déplace en marchant ou en volant.

Nutrition : Elle se nourrit de végétaux

Respiration : Elle est trachéenne

Reproduction : Elle pond des œufs. Le développement des termites comprend


trois phases :

œufs larves insectes parfaits

Elle a une métamorphose incomplète.

ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX :

ANIMAUX VOISINS : La citerne ; l’abeille ; la fourmi.

CARACTERES GENERAUX

 Une peau chitineuse ;


 Ils sont ovipares ;
 Des ailes membraneuses identiques ;
 Un appareil buccal de type broyeur ;
 Une métamorphose incomplète.

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I Caractères généraux des insectes

- un corps divisé en trois parties : la tête, le thorax et l’abdomen ;

- une tête portant 2yeux composés et 2 antennes ;

- un corps couvert de chitine et fait des segments articulés ;

- un appareil respiratoire formé de trachées ;

- ils se développent avec métamorphoses.

II Tableau de classification des insectes

Métamorphoses Appareil Ailes Types Ordres


buccal

COMPLETE broyeur 2élytres, 2 Hanneton, Coléoptères


ailes coccinelle,
membraneuses
Scarabée
sacré

COMPLETE suceur 4 ailes papillon Lépidoptères


écailleuses

COMPLETE lécheur 4 ailes Abeille, Hyménoptères


suceur membraneuses guêpe
avec nervures
nombreuses

COMPLETE suceur 2 ailes Mouche, Diptères


souvent membraneuses moustique
piqueur te 2 balanciers

INCOMPLETE broyeur 4 ailes fourmilion Névroptères


membraneuses
nervurées

INCOMPLETE broyeur 2 élytres, 2 Criquet, Orthoptères


ailes sauterelle
membraneuses

INCOMPLETE broyeur 4 ailes avec


nervures fines
membraneuses termites Isoptères

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NB : Définition des mots, suivants :

- Orthoptères : ce sont insectes qui ont des ailes droites.

- Coléoptères : ce sont des insectes qui ont des ailes en étui.


- Lépidoptères : ce sont des insectes qui ont des ailes multicolores.
- Isoptères : ce sont des insectes qui ont des ailes identiques.
- Diptères : ce sont des insectes qui ont deux ailes.
- Névroptères : ce sont des insectes qui ont des ailes à nervures./.

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Un arachnide est animal qui a quatre paires de pattes.

MORPHOLOGIE :

Le corps de l’araignée comprend deux parties : le céphalothorax et l’abdomen

LE CEPHALOTHORAX : (est la fusion de la tête au thorax).il est de forme


rectangulaire et légèrement renfle vers l’arriere.il porte 8 ocelles (yeux simples),
la face dorsale fortement chitineuse.

En avant de la bouche deux appendices venimeuses très dures et quatre paires


de pattes.

L’ABDOMEN : ils portent sur sa face ventrale trois paires de filières en forme de
mamelon, deux orifices pulmonaires, deux stigmates trachéens.

L’anus se place au sommet du mamelon.

MODE DE VIE :

HABITAT : L araignées tisse des toiles, sur les maisons, sur les arbres, et même
dans la brousse.

LOCOMOTION : elle se déplace en marchant grâce à ces pattes.

LA NUTRITION : il est un carnivore. Il se nourrit d’insectes qu’il capte à l’aide de


son toile.

LA RESPIRATION : sa respiration est pulmonaire : qui se fait à partir des


poumons.

LA REPRODUCTION : il se reproduit en pondant des œufs, les petites restent


accrocher a leur mère qui les protèges et les nourrisses. Chez l’araignée le
développement se fait par mues.

ANIMAUX VOISIN ET CARACTERES GENERAUX :

ANIMAUX VOISINS : L’araignée sauteuse, l’araignée loup, le mygale, épeire, les


néphrites, les veuve noires,

CARACTERES GENERAUX :

 Toutes huit pattes ;


 Des yeux simples et multiples ;
 Pas d’ailes ni d’antennes ;
 Chasse leur proies ;
 Ils sont ovipare ;
 Ils se développent par mues.

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UN myriapode est un animal qui possède plusieurs

MORPHOLOGIE :

Le Corps De La Scolopendre Comprend Trois Parties : La Tête ; Les Anneaux Et


Le Telson

La tête : Elle porte deux antennes segmentées dorsalement ; deux ocelles .A la


base ; une bouche formée par mandibules coupante deux mâchoires broyeuses.

Les anneaux : le nombre d’anneaux varies suivant les espèces (17 a 33


anneaux) ; la première paire d’anneau pore de pattes non locomotrice ; chaque
anneaux porte une paire de patte locomotrice

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Le telson : il est forme par le dernier anneau .il porte l’anus et deux pattes non
locomotrices

MODE DE VIE

Locomotion : elle se déplace en rampant grâce à son pied

Nutrition : elle est carnivore : elle tue des vers ; des insectes ; des araignées ;

Respiration : elle est trachéenne

Reproduction : elle pond des œufs dans lesquels sortent des petites scolopendres
qui se développent sans métamorphose

1/ ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX DES MYRIAPODES

A : ANIMAUX VOISINS : les lithobies ; les iules sont des animaux voisins

B : CARACTERES GENERAUX DES MYRIAPODE

Ils ont en communs

 Une peau chitineuse


 Un corps forme d’anneaux et des membres formés de stigmates mobiles
grâce à leur articulation
 Un corps forme de plusieurs anneaux.

 une tête pourvue d’une paire d’antennes et des pièces buccales broyeuses.

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I Caractères généraux

- un corps formé d’anneaux recouvert d’une peau chitineuse ;

- un corps et les membres formés de segments mobiles grâce à des


articulations ;

- un développement comportant des mues.

II Tableau de classification des articulés

Classes Pattes locomotrices Antennes Respirations

Insectes 3 paires 2 Trachéenne

(criquet)

Coléoptères 2 paires 2 trachéenne

(hanneton)

Arachnides 4 paires 0 Trachéenne et


pulmonaire
(scorpion)

Myriapodes Nombreuses semblables 2 trachéenne

(scolopendre)

Crustacés Nombre variable 4 brachiale

(scarabée)

NB : les articulés (ou les arthropodes) sont :

- les insectes (criquets, hannetons, papillons, termites, etc.)

- les arachnides (scorpions, araignées, tiques, etc.)


- les myriapodes (scolopendres, l’iules, lithobies, etc.)
- les crustacés (scarabée, écrevisse, etc.)

Définition d’un articulé (ou arthropode) : est un animal qui a les pieds formés de
segments.

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Un gastéropode est un animal dont l’estomac est voisin du pied ventral.

A. MOPHOLOGIE
Le corps de l escargot comprend trois parties : la tête ; le pied ventral et le
tortillon.

1) la tête : elle porte deux paires de tentacules (la plus grande porte les yeux
et la plus petite sert pour le toucher). Son appareil buccal est de type
broyeur.

2) Le pied ventral : sert à la locomotion. La peau ventrale du pied secrète du


mucus formant une traînée bouillante sur le sol.
3) Le tortillon :: c’est une enveloppe calcaire enroulée en spirale, elle
augmente durant la vie de l’animal.
Dans la coquille, le tortillon comprend le foie et le cœur

B. MODE DE VIE :

Locomotion : il se déplace en rampant.

Nutrition : Il est herbivore (mange des feuilles et des bougeons)

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Respiration : Il a une respiration qui est pulmonaire

Reproduction : l’escargot est un hermaphrodite, c’est-à-dire à la fois male et


femelle. Il pond dans un trou creusé par la tête. Au bout de trois semaines les
œufs éclosent et donnent des petits escargots pourvus d’une coquille.
C. ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX DES GASTEROPODES

ANIMAUX VOISINS

Les caries ; les limnées ; les planorbes sont des animaux voisins.

CARACTERES GENERAUX

- ils sont ovipares ;


- un corps mou, le plus souvent protégé par la coquille ;
- un estomac voisin du pied ventral ;
- une tête distincte ;
- une respiration pulmonaire ou branchiale.

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I Caractères généraux des mollusques

- un corps mou, le plus souvent protégé par une coquille calcaire ;

- une masse viscérale enveloppée par un manteau qui sécrète la coquille ;

- un pied, organe musculeux ;

- ils sont ovipares.

Tableau de classification des mollusques

Classes Coquille Pied Tête

Gastéropodes 1 pièce Ventral Distincte

(cauris, limnées,
planorbes,
escargot)

Lamellibranches 2 valves Ventral Pas distinct


ou bivalves

(moule)

Céphalopodes 1 valve réduite Sur la tête Très distincte


ou absente
(seiche, pieuvre,
nautile, moule)

NB : Définition des mots suivants :

- Un gastéropode : est un animal qui a le pied voisin de l’estomac


- Un lamellibranche : est un animal qui possède deux valves ;
- Un céphalopode : est un animal qui a le pied sur la tête. /.

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L’annélide est un invertébré au corps mou et formé de plusieurs annaux.

MORPHOLOGIE

LE LOMBRIC a une forme cylindre ; le corps du lombric comprend trois partie :


le lobe frontal ; les anneaux et le telson.

Le lobe frontal : c’est un petit bourrelet situe dorsalement et allongé en avant


suivant la ligne médiane .il ne porte ni œil ; ni autre organes sensoriels visibles.
Il masque la bouche

Les anneaux : le nombre d’anneaux varient. Les anneaux sont séparée les uns
aux autres par des étranglements. La peau masque dorsalement la
segmentation : c’est la selle. La peau est riche en glande sécrétant du mucus.

Le telson : c’est le dernier anneau ; sur lequel s’ouvre l’anus.

B. MODE DE VIE

Locomotion : Il vie dans les endroits humides et se déplace par reptation.

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Nutrition : IL se nourrit de débris végétaux mélangé à la terre : c’est un
saprophage

Respiration : Il a une respiration cutanée. Le mucus secret par la peau maintient


celui –ci humide.

Reproduction : Le lombric est hermaphrodite mais il ne peut s’autoféconder;


l’accouplement est indispensable. Elle pond des œufs .De ces œufs sortent de
petites larves de lombric parfaites.

IMPORTANCES

On utilise le ver de terre comme appât pour la pêche. En creusant les galeries
souterraines, il aère et ameublit le sol. Les plantes bénéficient ainsi des éléments
minéraux et de l’air. Ses déjections constituent une excellente fumure.

ANIMAUX VOISINS ET CARACTERES GENERAUX

ANIMAUX VOISINS

Le ver marin ; la sangsue ; L’arénicole, le néréis, la sabelle…

CARACTERES GENERAUX

 Un corps mou, constitue d’anneaux ;


 Ils sont ovipares.
 - Une paire de néphridies par segment ;
 - Un appareil circulatoire clos ;
 - Une symétrie bilatérale./.

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Introduction

Le parasite est un animal qui vit au dépend d’un autre.

Le ténia est ver parasite relativement fréquent chez l’homme, il se fixe dans
l’intestin grêle au niveau du duodénum.

On rencontre deux espèces de ténia : le ténia saginata (viande du bœuf) et le


ténia solium (viande du porc).

MORPHOLOGIE

Le corps de ténia est formé d’anneaux et comprend trois parties : la tête, le cou
et le corps proprement dit.

1) La tête ou le scolex : elle porte 4 ventouses circulaires. Les ventouses et les


crochets sont des organes de fixation.
2) Le cou : c’est la zone de prolifération de l’animal.
3) Le corps proprement dit : il est formé d’une succession d anneaux ou
proglottis dont les plus âgés se trouvent à la partie postérieure et sont bourrés
des œufs.
II Mode de vie

1) La nutrition : Le ténia puise par osmose ses aliments dans le chyle intestinal
de son hôte (homme). Donc il vit aux dépends de son hôte.
2) La respiration : Le ténia a une respiration cutanée ;
3) La reproduction et le cycle de développement :
- La reproduction : Le ténia est hermaphrodite. Cependant la fécondation
s’effectue entre les anneaux antérieurs et les anneaux moyens. Les anneaux

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fécondés sont repoussés vers la partie postérieure et sont expulsés avec les
selles.
- Le cycle de développement : le développement du ténia nécessite deux hôtes :
l’hôte intermédiaire et l’hôte définitif.
 Lhote intermédiaire : le bœuf est l’hôte intermédiaire du ténia saginata. Dans
l’intestin du bœuf, un œuf, avalé avec les aliments (herbes), libère une larve à
six crochets appelée embryon hexacanthe ; celui-ci passe dans le sang, atteint
les muscles où il se transforme en une larve vésiculaire appelé cysticerque.

 L’hôte définitif : l’hôte définitif du ténia saginata est l’homme. Le cysticerque,


absorbé avec de la viande mal cuite, engendre le ténia. (Schéma)
III Les conséquences du ténia chez l’homme

Lorsque le ténia se trouve dans l’intestin grêle de l’homme, peut provoquer des
manifestations extérieures : malaises, amaigrissement, nausées, maux de tête,
vomissement, lassitude ; il peut provoquer aussi des troubles nerveux.

IV Autres vers parasites

L’ascaris, le trichocéphale, la trichine, les filaires, l’oxyure, les schistosomes ou


bilharzie, l’échinocoque…

V caractères généraux des vers parasites

- organe de fixation développé ;

- Organisation simplifiée (pas d’appareil digestif, circulatoire, respiratoire) ;

- fécondité très développée.

Définitions

- Un endoparasite : est un parasite qui vit à l’intérieur de l’organisme.


- Un ectoparasite : est un parasite qui vit à l’extérieur de l’organisme./.

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I Technique de cellule de la paramécie

On réalise une infusion d’herbes sèches en faisant macérer des brindilles


d’herbes sèches dans l’eau tiède puis on laisse reposer le dispositif pendant
quelques jours. On ajoute à cette eau tiède quelques gouttes d’eau stagnante.

L’observation au microscope laisse voir des paramécies de forme ovale dont le


corps est couvert de nombreux cils vibratiles et se déplaçant rapidement.

II Mode de vie

1) La locomotion : c’est le battement des cils qui assure le déplacement de la


paramécie par des mouvements péristaltiques (rotation hélicoïdale).

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2) La nutrition : La paramécie se nourrit des bactéries, des débris végétaux et
des algues : La paramécie est un saprophage.
3) La respiration : La paramécie a une respiration cutanée.
4) La reproduction : Il existe deux modes de reproduction :
a) La reproduction asexuée : lorsque les conditions de vie sont favorables (la
nourriture abondante, la température convenable), la paramécie se divise par
étranglement transversale du cytoplasme pendant que les noyaux s’étirent, se
divisent ou se repartissent entre deux cellules filles.

b) La reproduction sexuée : elle se produit lorsque la multiplication active se


ralentit. Deux paramécies se fécondent réciproquement en faisant passé son
petit noyau dans l’autre : c’est la conjugaison.
III Résistance aux conditions défavorables

Lorsque les conditions deviennent très défavorables les paramécies forment des
spore appelées kystes : c’est l’enkystement. Ils reprennent leur vie active
lorsqu’ils tombent dans les milieux humides.

IV Quelques protozoaires parasites

Définition d’un parasite : un parasite est un organisme qui vit au dépend d’un
autre être vivant.

- Les plasmodiums : ce sont des protozoaires qui provoquent le paludisme.


- Les amibes : ce sont des protozoaires qui provoquent la dysenterie amibienne.
- Les trypanosomes : ce sont des protozoaires qui provoquent la maladie de
sommeil./.

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I Définition de la géologie

La géologie est la science qui étudie la terre.

II Les branches de la géologie

- La pétrographie : c’est l’étude des roches


- La stratigraphie : c’est l’étude des différentes couches de la terre ou strates.
- La paléontologie : c’est l’étude des fossiles.
- La tectonique : c’est l’étude des d »formations des sols.
- La géologie dynamique : c’est l’étude des phénomènes géologiques actuels
(érosion, sédimentation,…)
III Les différentes sortes de roches

Définition d’une roche : une roche est un matériau constitutif du sous sol. On
distingue trois sortes de roches : les roches sédimentaires, les roches
magmatiques et les roches métamorphiques.

1) Les roches sédimentaires : elles proviennent de la destruction des roches


préexistantes sous l’influence des agents d’érosion (vent, eaux, être vivants)
Ex : l’argile, le pétrole, le sable, les grés, le calcaire, etc.

2) Les roches magmatiques : ce sont des roches de profondeurs.


Ex : le granite etc.

3) Les roches métamorphiques : ce sont des roches intermédiaires entre les


roches sédimentaires et les roches magmatiques.
Ex : le gneiss, le micaschiste, le quartzite, le graphique, etc.

IV Rôle du géologue

Pour construire un pont, un barrage, un bâtiment, on fait appel au géologue


pour étudier les terrains. Pour avoir du pétrole, de l’or, du fer, etc. ; le
géologue fait d’abord des études de terrains.

V Importance de la géologie

La géologie contribue à l’amélioration des conditions de vie de l’homme. Elle


nous renseigne sur l’histoire de la terre et sur les phénomènes géologiques
aussi (tremblement de terre, volcan etc.)./.

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Les caractéristiques des roches sédimentaires :

Aspect et constituants : le sable est forme de graines Independent les uns des
autres ;il constitue une roche meuble

On trouve des sable de couleurs jaunes ; rouge ; violet et en d autre couleur


dues.

ACTION DE L’EAU : après la pluie ;un terrain forme d un épaisse couche de


sable s’assèche vite ,l’eau s’infiltre rapidement dans le sable et en profondeur.

On dit que le sable est une roche perméable.

ACTION DE L’ACIDE CHLORHIDRIQUE : une goutte d’acide déposée sur un pince


de sable qui contient pas de débris de coquille ne produit aucune action ; si le
sable est calcareux ; il y’a effervescence.

ACTION DE LA CHALEUR : La chaleur n’a pas d’action sur le sable pur sauf s’il est
mélange a du carbonate de soude ou de chaux ;après 15 minutes ;de chauffe
environ ;on obtient une fusion .

ORIGINE ET GISEMENTS:

Origine : le sable provient de l’altération des roches granitiques par les eaux de
pluies par la filtration : c’est une roche destructive.

GISEMENTS : sous forme de dune fixe ou mobile on distingue du sable martine ;


du sable fluviale ; du sable destructive

Usages du sable : Le sable pur est emploie dans pour la fabrication des verres
purs ; la construction des maisons dans le lavage des ustensiles de cuisine.

Les caractéristiques des roches sédimentaires :

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Aspect et constituants : c’est une roche compacte mais tendre ; rayable.

Elle est formée de fins particules de silicate d’alumine hydrate.

Elle a la couleur blanche ; rouge ; souvent noir.

ACTION DE L’EAU : le terrain argileuses n’absorbe pas de l’eau :l’argile est une
roche avide d’eau alors il est une roche imperméable a l’eau.

ACTION DE L’ACIDE CHLORHIDRIQUE : une gout d’acide pose sur un échantillon


d’argile ne fait pas d’effervescence :l argile ne contient pas de calcaire

ACTION DE LA CHALEUR : un terrain argileuse brule devient dur ; rouge ;


cassant ; fissure.

ORIGINE ET GISEMENTS:

Origine : l’argile provient de la désagrégation des roches pré existantes ; son


origine détritique de l’altération du schiste.

GISEMENTS : on trouve de l’argile le long du fleuve Niger ; et principalement


affluent DU BANI ; a Macina ; a l’ouest du mali ;au nord de la ligne
Kayes /Bafoulabe on trouve aussi dans les bas fonds et les valles.

USAGE DE L’ARGILE :

L’argile est utilise pour le modelage : poteries ; briques ; truies. Elle est utilisée
dans la construction d’habitation

ETUDE D’UNE ROCHE SEDIMENTAIRE : LE GRES

I Caractères physiques

1) L’aspect à l’œil nu ou à la loupe :


Le grés est une roche compacte formé de l’agglomération de grains de sable
soudés les uns aux autres par un ciment. Ainsi, on distingue les grés grossiers et
les grés fins.

Il existe des grés colorés en jaune, en rouge, en violet, etc.

2) La dureté : Les grés siliceux et les grés ferrugineux sont les plus durs que
l’acier tan disque les grés calcaires et argileux sont moins cohérents et s’effritent
facilement.

3) La perméabilité : Les grés siliceux et les grés ferrugineux sont imperméables.


Mais les grés calcaires et les grés argileux sont peu perméables.

4) La solubilité : Les grés sont insolubles dans l’eau.

II Caractère chimique

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Les grés siliceux, les grés ferrugineux et les grés argileux ne font pas
effervescence au contact de des acides.

Les grés calcaires comme toutes les roches calcaires font effervescence au
contact de l’acide chlorhydrique.

III Origine des grés

Les grés proviennent de l’altération des roches préexistantes.

Ainsi, on obtient des grés siliceux, des grés ferrugineux, des grés argileux et des
grés calcaires.

IV Gisement des grés

On rencontre le grés au Mali : Koulikoro, Sotuba, Kati, Sikasso, Koutiala,


Douentza…

V Utilités des grés

Les grés servent pour la construction des bâtiments (palais de Koulouba,


cathédrale, gare, lycée Askia Mohamed…)

Ils servent aussi à la fabrication des meubles, comme pavé ou ballast et pour
l’empierrement des routes goudronnées./.

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I. Morphologie :

Le Corps Humain Comprend Trois Parties : la tête, le tronc et les membres

1/La tête : c’est une boite osseuse comprenant le crane portant des cheveux et
les deux oreilles. La face renferme les organes de sens (les yeux, le nez, la
bouche munie de la langue et des dents)

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2/Le tronc : c’est la partie massive du corps, il comprend deux parties : le
thorax (la poitrine) et l’abdomen(le ventre)

3/LES MEMBRES : on distingue les membres inferieurs et les membres


supérieurs chaque membre est constitue de trois segments :

Un membre supérieur comprend : le bras, l’avant bras et la main formée


par le poignet, la paume et les doigts.
Un membre inférieur comprend : la cuisse, la jambe et le pied formé par la
cheville, la plante du pied et les orteils.

II. ANATOMIE

L’anatomie est l’étude interne du corps.

1/ CELLULE-TISSUS –ORGANES

a / La cellule : est l’élément constitutif fondamental de tout être vivant.

Il existe deux types de cellule :

 Unicellulaire ou protozoaire : est forme d’une seule cellule.


 Pluricellulaire ou métazoaire : est forme de plusieurs cellules

Ex : spermatozoïde, ovule, globule etc.…

b/Le tissu : est l’ensemble des cellules.

Il existe trois type d tissus : tissu épithéliums ; les tissu conjonctifs et les tissus
spéciaux.

Ex : tissus osseux, tissus musculaires, le derme, l’épiderme etc.…

c/Organe : est l’ensemble de tissus qui accomplissent la même fonction bien


déterminé.

Exemples : le cœur ; le poumon ; l’estomac, l’intestin, l’œsophage, le foie, etc.…

d/Les appareils : est l’ensemble des organes.

Ex : appareil digestif, appareil respiratoire, appareil circulatoire, appareil


reproducteur

NB : L’ensemble des appareils donne l’organisme :

Cellules → tissus → organes → appareils →organisme.

III. Fonction de l’organisme :

Il existe trois fonctions de l’organisme : relation, nutrition et reproduction

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1) Fonction de relation : elle établit des liaisons entre l’organisme et le milieu
extérieur.

2) Fonction de nutrition : elle assure la croissance et le maintien de l’organisme.

3) Fonction de reproduction : elle assure Et la multiplication et la continuité des


espèces animales et végétales.

Définition du squelette

Le squelette est l’ensemble des os de notre corps.

Il forme la charpente osseuse et comprend trois parties. Le squelette humain


comporte 208 os.

A/ DESCRIPTION DU SQUELETTE

Le squelette de la tête, le squelette du tronc et le squelette des membres

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1/LE SQUELETTE DE LA TETE : il est composé des os du crâne et des os de la
face.

a).Le crâne :

C’est une boîte solide qui comprend 8 os soudés entre eux (un occipital, deux
temporaux, deux pariétaux, le frontal, l’ethmoïde et le sphénoïde).

b) La face :

Elle comprend 14 os dont un seul mobile (le maxillaire inférieur) et les 13 soudés
(deux nasaux, deux joyeux, deux lacrymaux, deux cornets deux palatins, deux
maxillaires supérieurs et les condyles d’articulation

2/LE SQUELETTE DU TRONC : Il comprend 33 vertèbres :

- 7 vertèbres cervicales (cou)


- 12 vertèbres dorsales (dos) portant 12 paires de cotes et un
sternum
- 5 vertèbres lombaires (au niveau des reins)
- 5 vertèbres sacrées soudées (sacrum)
4 vertèbres atrophiées (le coccyx

3/LE SQUELETTE DES MEMBRES :

- les os d’un membre supérieur : la clavicule et l’omoplate(les os de l’épaule),


l’humérus (l’os du bras), le cubitus et le radius(les os de l’avant-bras), les
carpes, les métacarpes et les phalanges(les os de la main).

- les os d’un membre inférieur : l’os iliaque (l’os du bassin), le fémur (l’os de la
cuisse), le tibia et le péroné(les os des jambes), la rotule (l’os du genou), les
tarses, les métatarses et les phalanges(les os du pied).

B/Les articulations :
4) Définition : l’articulation est le mode d’union des os.

On distingue trois types d’articulation :

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les articulations fixes, les articulations mobiles et les articulations semi mobiles.

 Les articulations fixes : Elles ne permettent aucun mouvement.

Ex : articulation des os du crâne.

 Les articulations semi- mobiles : Elles permettent des mouvements très


réduits.

Ex : articulation des vertèbres, articulation des tarses, articulation des carpes.

 Les articulations mobiles : elles permettent des mouvements très


importants.

Ex : articulation du coude, articulation de l’épaule, articulation du genou

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Accidents et
Maladies des
articulations

4) Accidents :
- La fracture : On dit qu’il y a fracture lorsqu’un os est brisé ou cassé.

-La luxation : C’est le déplacement ou le déboîtement d’une articulation.

-L’entorse : C’est l’étirement ou la déchirure des ligaments d’une articulation.

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5) Maladies :
4) La synovite : C’est l’inflammation d’une membrane synoviale à la
suite de sécrétion abondante de synovie. L’articulation se gonfle.
5) L’arthritisme ou la goutte : C’est le dépôt d’acide urique sur les
articulations à cause d’une alimentation trop riche en viande. /.

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Les os sont des éléments essentiels de notre corps qui se relient au niveau des
articulations.

DESCRIPTION DES OS :

A /Les différents types d’os

Les os sont repartis selon leur forme en trois catégories : les os longs, les os
courts et les os plats.

1)
Les
os
plats : l’omoplate (l’os de l’épaule), iliaque (l’os du bassin), les os du crâne.

2) Les os courts : la rotule, les carpiens, les tarsiens, les phalanges.

3) Les os longs : l’humérus, le cubitus, le radius, le fémur, le tibia, le péroné.

NB : Un os long comprend : diaphyse et les épiphyses

- le corps de l’os ou diaphyse,

- les deux extrémités de l’os ou épiphyses

Structure des os long :

1) Structure macroscopique :

Sur la coupe longitudinale d’un os long, on distingue :

- la diaphyse formée d’os compact et contient de la moelle jaune riche en


graisse, le périoste recouvre la diaphyse

- les épiphyses recouvertes de cartilages articulaires soutenues par des os


spongieux abritant la moelle rouge.

NB : il n’y a ni cavité ni moelle dans les os courts et plats qui sont tous formés
d’os compact à l’extérieur et d’os spongieux à l’intérieur.

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2) Structure microscopique :

Si on use sur une meule un fragment d’os compact jusqu’à ce qu’il devient
transparent, on observe des fins canaux entourés de couches osseuses, des
cellules munies de prolongement relié aux vaisseaux sanguins.

B/ Composition chimique de l’os (matière osseuse) :

L’os est formé d’une substance organique et d’une substance chimique.

1) Mise en évidence de la substance organique (schéma)

Plongeons un os long dans une solution d’acide chlorhydrique pendant quelques


jours, l’os devient mou, souple et flexible, gardant sa forme mais perd les 2/3 de
la substance qui le rendait dur. Il reste une substance organique appelée
osséine.

2) Mise en évidence de la substance chimique (schéma)

Un os brûlé devient friable et poreux. L’os perd 1/3 de son poids : l’osséine a
disparu.

Il reste de phosphate de calcium, de carbonate de calcium et de sels divers :


c’est la substance minérale.

Conclusion : l’os est formé d’un tiers (1/3) de substance organique (osséine) qui
brûle par calcination et de 2/3 de substances minérales qui sont dissoutes par
l’acide.

C/Croissance des os :

1 / Croissance e en longueur : (schéma)

Fixons quatre (4) clous d’argent de part et d’autre d’un os de veau : AB et CD.
Au bout de quelques temps on constate que les intervalles AB et CD augmente

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tandis que B et C restent constants. L’os s’accroît en longueur à partir des
cartilages (ossification cartilagineux).

Le cartilage est donc responsable de l’accroissement des os en longueur.

2) Croissance en largeur : (schéma)

Fixons une aiguille en argent sous le périoste d’un veau. Quelques mois après,
l’aiguille se trouve dans l’os compact. En prolongeant l’expérience assez
longtemps l’aiguille se trouve dans la moelle du canal osseux.

Développement des os : la plus part des os sont cartilagineuses avant d’être


dure la classification se fait :

 Par formation des os périphérique sa partir du périoste


 Par remplacement des tissus osseux ;
 A partie du d’ossification (diaphyse) l’os s’accroit en longueur,
 A partie du cartilage l’os s’accroit en épaisseur par périoste (épiphyse)
cette activité s’effectue jusqu'à 20 ans.

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I Le rachitisme

Définition : Le rachitisme est une maladie de croissance due à une alimentation


pauvre en sels minéraux et en vitamine D.

Il se manifeste chez les enfants entre 5 et 8 mois.

1) Symptômes du rachitisme :
L’enfant atteint par le rachitisme devient chétif, le ventre énorme, les jambes
déformées en O ou en X, les dents apparaissent tardivement, les colonnes
vertébrales déviées.

2) Les remèdes :
Pour lutter contre le rachitisme et donner au squelette sa solidité il faut :

- exposer le corps au soleil qui permet la transformation de la provitamine D en


vitamine D ou vitamine anti-rachitisme.

- Une alimentation riche en phosphore et en calcium

- Consommer des aliments tels que : le poisson, la viande, les œufs, les
légumes, les fromages, l’huile de foie de morue, etc.

L’hygiène du squelette droit vise à atteindre trois buts.

II Les déformations de la colonne vertébrale

 La cyphose : est une courbure anormale vers l’arrière de la colonne


vertébrale.
 La lordose : est une courbure vers l’avant de la colonne vertébrale.
 La scoliose : est une déviation de la colonne vertébrale
HYGIENE

L’hygiène du squelette droit vise à atteindre trois buts.

 Une bonne minéralisation : quand les os se minéralise mal, ils restent


mous et se déforment les jambes en x ou en arc (). La colonne vertébrale
se courbe latéralement en avant de tel déficience du squelette est
caractérise de la maladie du rachitisme.
 Le développement complet des os il dépend de l’activité prolongée du
cartilage.
 Eviter les déformations du squelette pour assure une forme normale et
harmonieuse du squelette il faut :
 Eviter les mauvaises attitudes asses ou debout ;
 Un rapport d’une alimentation convenable en sel minéraux et en
calcium (lait, fruits, phosphore, viande)
 Eviter la fracture des os,

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I Les différentes sortes de muscle

Les muscles se différenciées d'après leurs formes et de leurs aspects.

1/Formes et aspects des muscles : (schéma)


a) les muscles rouges: Les muscles rouges sont des muscles qui
s'attachent généralement aux os.
Ils se présentent sous trois formes qui sont:
 Les muscles en fuseau comprenant un ventre et des tendons (biceps,
triceps);
 Les muscles circulaires ou ronds qui entourent les orifices naturels qu'ils
peuvent fermer en se contractant (sphincter, orbiculaires)
 Les muscles plats en éventail ont les racontent au niveau de la poitrine
(grand pectoral), du diaphragme, de la peau (peauciers), des fesses
(fessiers).
b) Les muscles blancs ou lisses: ils constituent la paroi des viscères
(muscle de l’estomac, muscle de l’intestin…)
c) Les muscles cardiaques : c'est un muscles du cœur, il fait partie des
muscles rouges striés mais a une structure et une fonction spéciale avec
les propriétés des muscles viscéral (muscle du cœur).
D. II Structure des muscles

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La coupe transversale d’un muscle rouge montre qu’il est formé par des fins
filaments appelés fibres musculaires. Ces fibres sont des longues cellules à
plusieurs noyaux et rayent transversalement : on dit que ses muscles son
striés.

Les muscles blancs sont constitués par des fibres non striés et ont un seul noyau.

Propriétés des muscles :

Les muscles possèdent trois propriétés essentielles qui sont : la contractilité,


l’élasticité et l’excitabilité.

1) Contractilité : Sous l’effet d’un excitant, un muscle se raccourcit en se


gonflant : on dit qu’il se contracte.

2) Elasticité : Sous l’action d’un poids, un muscle s’allonge puis reprend sa


longueur après relâchement : on dit qu’il est élastique.

3) Excitabilité : c’est la propriété de réagir sous l’effet d’un excitant (acide,


courant électrique) : on dit qu’il est excitable.

E. Rôle des muscles : tout mouvement du corps est les résultats de la


contraction d’un ou de plusieurs muscles.

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Pour assurer une bonne hygiène des muscles, nous devons pratiquer des

Exercices physiques bien équilibrés

A/Effet pratique de l exercice musculaire

Un muscle qui travail augment de volume et la force de travail qu’effectuent les


muscles participe au modelage des os. L’exercice musculaire correctement
pratique procure l force et l’harmonisent.

B/Avantage des exercices musculaires :

1) Ils augment les échanges respiratoire et active la circulation,


2) Une augmentation du volume musculaire,
3) Augment l’appétit,
4) Calme le système nerveux,
5) Brulent les graisses et élimine les déchets du corps,
6) Renforce la sante,
7) Favorise la digestion ;

C/Accidents musculaires :

Pratiquer avec exagération, les exercices physiques peuvent provoquer des


troubles graves comme : l’élongation, le claquage ou déchirure musculaire, le
crampe, le torticolis, l’hypertrophie …

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A/ Etude morphologie du système nerveux :

Le système nerveux est un appareil complexe qui dirige le fonctionnement des


muscles et des glandes. Il est alors le siège de l’intelligence et de la conscience.

Il se compose de deux parties qui sont : les centres nerveux ou axe cérébro-
spinal et les nerfs.

B/Les centres nerveux ou axe cérébro-spinal

Les centres nerveux comprennent : La moelle épinière et l’encéphale protégé par


trois enveloppes appelées méninges.

La méningite est une maladie qui est due à l’inflammation des méninges.

1) Morphologie :
a)La moelle épinière : est un cordon blanc d’un (1 cm) de diamètre pour 50 cm
de longueur environ et se termine au niveau de la région lombaire (2è vertèbre)

b) L’encéphale : Il comprend :

- Le cerveau : partie volumineuse et divisé en hémisphères cérébraux.

- Le cervelet : formé de deux hémisphères cérébraux et le vermis.

- Le bulbe rachidien : partie supérieur élargie de la moelle épinière

2/ Les nerfs Le corps humain comprend :

- 12 paires de nerfs crâniens qui partent de l’encéphale ;


31 paires de nerfs rachidiens qui partent de la moelle épinière

C/Anatomie du système nerveux :

a/ Structure centre nerveux ou axe cérébro-spinal

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La coupe transversale de l’encéphale et de la moelle épinière présente deux
sortes de substances : la substance blanche et la substance grise.

La coupe transversale de la moelle épinière présente une substance blanche


externe et une substance grise interne.

Celle de l’encéphale montre que dans le cerveau et dans le cervelet la substance


blanche est interne et la substance grise est externe. Le neurone est une cellule
spécialisée. Il comprend : un corps cellulaire, un axone cylindraxe et une
arborisation terminal

b/Structure des nerfs : les nerfs sont des filaments blancs très fragiles. Un nerf
est forme d’un corps cellulaire renferment un noyau et présentant des
prolongements. On distingue deux types de nerfs : les nerfs rachidiens et les
nerfs crâniens.

Conclusion : le fonctionnement de l’organisme est sous le contrôle du système


nerveux.

Le neurone est une cellule spécialisée. Il comprend : un corps cellulaire, un


axone cylindraxe et une arborisation terminale.

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A/Fonctionnement du centre nerveux :

1) L’encéphale :
a. Rôle du cerveau :
Il est le siège de la sensibilité consciente, de la motricité volontaire et de
l’intelligence.

- Sensibilité conscience : l’homme a conscience qu’il voit, qu’il entend, qu’il


perçoit de l’odeur et de goût : on parle de sensibilité conscience.

- Motricité volontaire : l’homme effectue des actes conscient et réfléchit : ce sont


des mouvements volontaires.

b. Rôle de cervelet :
Il joue un rôle important dans l’équilibration et la coordination de nos
mouvements volontaires et involontaires,

c. Rôle du bulbe rachidien :


Il joue un rôle de coordination des réflexes médullaires, il intervient dans la
nutrition et la respiration.

2).La moelle épinière :

Il est le centre de nos actes involontaires

B/Fonctionnement des nerfs :

Les nerfs suivants leur rôle se divise en trois (3) catégories :

- Les nerfs sensitifs ou centripètes : Ce sont des nerfs qui conduisent l’influx
nerveux d’un organe de sens à un centre nerveux.

- Les nerfs moteurs ou centrifuges : Ce sont des nerfs qui conduisent l’influx du
centre nerveux vers le muscle.

- Les nerfs mixtes : Ce sont des nerfs qui possèdent à la fois sensitif et moteur.

a-propriétés d es nerfs : le muscle gastronomie d’une grenouille se contracte par


excitation des nerfs sciatique.

Les deux propriétés des nerfs sont :

 L’excitabilité : c’est la propriété qu’on les nerfs d’ entre en activité sous


l’effet d’une excitation a partir du point excite.
 La conductibilité : c’est la propriété qu’on l’on les nerfs de transmettre
l’excitation a partie du point excite.

Rôle des nerfs : les nerfs a pour rôle de conduire les excitations dans l’organe.

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L’excitation qui circule dans les nerfs s’appelle l’influx nerveux.

III Quelques définitions

-Un acte réflexe : C’est un acte involontaire, automatique et inconscient.

-Un centre réflexe : C’est un centre nerveux qui réfléchit.

-Un réflexe : C’est une réponse à une excitation.

-Un arc réflexe : C’est le trajet suivi par l’influx nerveux. Il comprend une voie
sensitive, un centre nerveux et une voie

Motrice. /.

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A/ Description

L'œil comprend : le globe oculaire et les organes annexes

1/Le globe oculaire : la dissection du globe nous montre qu’il comprend de


parois constituées de trois membres emboitées.

a)Les membranes :

Il existe trois membranes qui sont : la sclérotique, la choroïde et la rétine.

b) Les milieux transparents :

L’œil comprend 4 milieux transparents qui sont : la cornée, le cristallin,


l'humeur vitrée et l’humeur aqueuse.

2/Les organes annexes : les organes annexes de l’œil sont des organes
protecteur il comprend :

 L’orbite : logée dans le globe oculaire


 Les paupières : doublées par la conjonctive qui se replie dans l’œil.
 Les sourcils : situés au-dessus de l’œil et recouvert de poils.
 Les cils poils de la paupière
 L’appareil lacrymal : forme de lacrymale qui nettoient les surfaces de
l’œil.

B/Fonctionnement de l’œil :

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a/Formation des images : lorsqu’on regarde un objet éloigné, puis brusquement
un objet rapproché on voit ce dernier flou, puis net. L’œil réalise une mise au
point : c’est l’accommodation

b/Définition de l’accommodation : est l’effort fournie par l’œil pour la mise au


point d’une image.

C/Anomalies de la vision : -

 Le daltonisme : est la mauvaise vision des couleurs (c’est-à-dire une


confusion entre le rouge et le vert). Il ne se corrige pas

 L’hypermétropie : est la mauvaise vision d’un objet rapproché. Elle se


corrige par le port des verres convergents.
 La myopie : est la mauvaise vision d’objet éloigné elle se corrige par le
port des verres divergents.
 La presbytie : est la faible accommodation du cristallin. Elle se corrige
par le port des verres convergents.

D/Règles d’hygiène de l’œil :

 Eviter de frotter ou de toucher les yeux avec les mains sales,


 Eviter de lire ou écrire en plein soleil,
 Enlever les corps étrangers qui y tombent,
 Laver les yeux après le sommeil,
 Protéger les yeux lors des grands vents par le port des lunettes.
 éviter de lire les écritures trop petites
 Habituez-vous à tenir vos cahiers et vos livres de 30 à 40 cm des yeux. /.

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A-Structure de la peau :

Il comprend: l’épiderme en surface, le derme en profondeur

1/L’épiderme :

Définition : l’épiderme est tissu stratifié qui se renouvelle constamment par ses
cellules profondes.

NB : La couche de l’épiderme renferme un pigment noir responsable du


brunissement, surtout abondant chez les noirs : la mélanine.

L’épiderme produit aussi les poils, les ongles et les sabots.

2/ Le derme :

Définition : le derme est un tissu conjonctif résistant et élastique situé sous


l’épiderme.

NB : Sous le derme, se trouve l’hypoderme. Ce dernier contient : des glandes


sudoripares, des glandes sébacées et des terminaisons nerveuses

B/Fonctions de la peau

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Les fonctions de la peau sont nombreuses et importantes :

1) Sensibilité : la peau est le point de départ de sensation de contact, de chaud,


de froid et de douleur.

2/La protection : elle nous protège contre les microbes et les agents mécaniques

3) Régulation thermique : elle joue un rôle dans la lutte contre le chaud (avec
production de sueur qui s’évapore) et contre le froid (avec production abondante
de poils et de graisses chez certains animaux).

4/Les éliminations : elle participe à l’épuration du sang grâce aux glandes


sudoripares.

5/La respiration : au niveau du capillaire de la peau, le sang absorbe l’oxygène et


prend du gaz carbonique.

6/L’élaboration de la vitamine D : elle élabore la vitamine D quand elle est


exposée au soleil.

7/ Absorption : la peau peut absorber des solutions alcooliques (teinture d’iode)


ou graisseuses (pommades).

8/Réserve : une grande partie de la graisse s’accumule dans l’organisme

C/ Quelques parasite de la peau

On peut citer parmi tant d’autres : les puces, les poux de tête, les poux du corps,
le trichophyton, le sarcopte...

D/Hygiène de la peau

Pour avoir une peau propre et saine, il faut :

-se laver au moins une fois par jour après le travail ;

-se laver les mains avant de manger ;

-se couper les ongles de temps à autre ;

-tuer les parasites de la peau ;

-éviter d’utiliser les objets de toilette des autres ;

-éviter de porter des habits trop sales ;

-éviter les brûlures.

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A/L’appareil digestif:

L’appareil digestif comprend deux parties : le tube digestif et les glandes


digestives.

1- Le tube digestif :

Définition: Le tube digestif est un long tube creux qui commence par la bouche
et se termine par l’anus. Il comprend : la bouche, le pharynx, l’œsophage,
l’estomac, l’intestin grêle et le gros intestin.

La bouche : représente le début (et l’entrée) du tube digestif, contenant la


langue et les dents

Le pharynx : est un carrefour qui oriente le passage des aliments vers


l’œsophage

L’œsophage : est un tube fin qui relie le pharynx à l’estomac

L’estomac : est une « poche » capable de se contracter et de se dilater

L’intestin grêle : est un tuyau peu large replié sur lui-même à l’intérieur de
l’abdomen

Le gros intestin : est un tuyau plus large disposé en cadre autour de l’intestin
grêle

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2 les glandes digestives qui secrètent les sucs digestifs : les glande salivaires,
les glandes gastriques et intestinales ; le foie et le pancréas. Ces glandes sont
des organes qui secrètent des liquides particuliers : les sucs digestifs et la bile :

Les glandes salivaires secrètent la salive ;

Les glandes gastriques secrètent le suc gastrique ;

Les glandes intestinales secrètent le suc intestinal ;

Les glandes pancréatiques secrètent le suc pancréatique ;

Le foie secrète la bile.

B/La digestion:

1 Définition : la digestion est transformation des aliments assimilables par en


éléments assimilables par l’organisme.

2 LES ETAPES DE LA DIGESTION

La digestion se fait par étapes :

a) La digestion buccale : Dans la bouche, les aliments sont coupés, écrasés et


broyés par les dents : c’est la mastication.

A la mastication s’ajoute l’insalivation permettant de rendre les aliments à une


sorte de bouillie que la langue façonne en bol alimentaire.

La déglutition : c’est le passage du bol alimentaire de bouche à travers


l’œsophage.

b) La digestion gastrique : Les aliments subissent des mouvements de brassage


dû à la contraction des muscles de l’estomac.

Les aliments ainsi imprégnés de suc gastrique sont rendus en bouillie acidulée et
devient alors le chyme stomacal.

c/ La digestion intestinale : L’arrivé du chyme dans le duodénum, subit l’action


combinée du suc pancréatique, de la bile et du suc intestinal qui agissent sur les
aliments. Enfin on a une bouillie claire résultat de toutes ces transformations :
c’est le chyle intestinal

3) L’absorption intestinale :

L’absorption des aliments s’effectue au niveau de l’intestin grêle. Les substances


nutritives peu à peu traversent par absorption les villosités intestinales et
gagnent le sang et la lymphe qui les transporteront aux cellules des tissus.

Les déchets passent dans le gros intestin et sont ensuite évacués au dehors par
l’anus

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C/Hygiène de la digestion: pour avoir une bonne digestion il faut :

- Manger à des heures régulières, sans excès ;


- assurer la propriété de la bouche et des dents ;
- mastiquer bien les aliments pour favorises la digestion ;
- éviter de boire de l’alcool ;
- Eviter excès des de sucrerie ;
- Boire peu en mangeant.
- manger lentement et sobrement
- observer un léger repos après le repas

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Le sang est un liquide vital, rouge, visqueux et salé qui échappe de notre corps à
la moindre blessure. L’adulte possède en moyenne 5 litres de sang dans son
corps.

I Composition du sang (schéma)

Le sang est constitué de plasma, des globules blancs (ou leucocytes) et des
globules rouges (ou hématies).

I. Le plasma :
Définition : Le plasma est la partie liquide du sang dans lequel baignent les
cellules du sang.

Rôle du plasma : le plasma a pour rôle de véhiculer les principes nutritifs et les
déchets dans le corps.

II. Les globules rouges (ou hématies) :


a. Description et origine :
Les globules rouges sont des cellules arrondies, sans noyau et une durée
d’existence limitée (1 à 4 mois). On compte 5 millions/mm3 de sang.

Leur couleur rouge est due à l’hémoglobine qui les imprègne.

Les globules rouges se forment dans la moelle rouge des os. Elles sont
constamment renouvelées et seront détruites dans le foie et la rate.

b. Rôle des globules rouges :


L’hémoglobine permet aux globules rouges de capter l’oxygène qui entre dans
l’organisme pendant la respiration et de ravitailler les cellules et les tissus en
oxygène. Donc les globules rouges transportent l’oxygène des poumons aux
tissus et le gaz carbonique des tissus aux poumons.

III. Les globules blancs (ou leucocytes) :


On distingue deux catégories : les leucocytes hyalins et les leucocytes granuleux.

a) Origine des leucocytes :


- Les leucocytes hyalins ou mononucléaires (formés dans les ganglions
lymphatiques)

- Les leucocytes granuleux ou polynucléaires (formés dans la moelle osseuse).

b) Rôle des leucocytes : Ils se déplacent par pseudopode et traversent les


parois des capillaires : c’est la diapédèse. Ils détruisent les cellules
mortes, les microbes et leurs toxines : c’est la phagocytose.
Ils sont donc des organes défenseurs de l’organisme.

II Coagulation du sang : (schéma)

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Le sang recueillit dans un vase se prend en une masse : c’est le caillot. On dit
qu’il s’est coagulé.

Au dessus du caillot surnage un liquide jaune : c’est le sérum.

La transformation par l’air du fibrinogène en fibrine coagule le sang.

III Différence entre le plasma et le sérum

Le plasma contient le fibrinogène alors que le sérum n’en contient pas.

IV La lymphe

- Définition : La lymphe est un liquide organique jaunâtre qui circule dans les
vaisseaux lymphatiques.

- Rôle de la lymphe: Il est le véritable milieu nutritif des cellules. Donc, il joue le
même rôle que le plasma.

V Quelques anomalies du sang

L’anémie, la polyglobulie, la leucémie, l’hémophilie, la drépanocytose

- L’anémie : est une diminution pathologique du nombre de globules rouges ou


du taux d’hémoglobine dans le sang.

- La polyglobulie : est une augmentation pathologique du nombre de globules


rouges dans l’organisme.

- La leucémie : est un cancer du sang caractérisé par une prolifération anormale


de globules blancs.

- L’hémophilie : est une maladie héréditaire de la formule sanguine.

- La drépanocytose : est une anomalie héréditaire, visible dans la déformation


des globules rouges et qui provoque de graves anémies.

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A - Description : L’appareil circulatoire comprend un organe propulseur (le cœur)
et les vaisseaux sanguins qui se répartissent en (artères, veines et capillaires).

1/Morphologie du cœur:

Le cœur est un muscle creux de 300g


environ et de forme ovale. Il
comprend : les oreillettes et les
ventricules.

- La face ventrale ou face artérielle porte l’artère aorte et l’artère pulmonaire.

- La face dorsale ou face veineuse porte les veines caves supérieures, les veines
caves inférieures et les veines pulmonaires

2) Anatomie du cœur

La dissection du cœur nous laisse voir quatre (4) cavités qui représentent les
deux oreillettes et les deux ventricules. Le cœur est divisé en deux parties par la
cloison inter ventriculaire. Ainsi, on a un cœur droit et un cœur gauche composé
chacun d’une oreillette et d’un ventricule qui communique entre eux par une
membrane appelée valvule auriculo-ventriculaire.

B/Les vaisseaux sanguins

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Le sang circule dans les vaisseaux sanguins qui sont : les artères, les veines et
les capillaires.

1) Les artères : Ce sont des vaisseaux qui conduisent le sang du cœur vers les
autres organes.

2) Les veines : Ce sont des vaisseaux qui ramènent le sang au cœur.

3Les capillaires : Ce sont des vaisseaux fins qui établissent des liaisons entre les
artères et les veines.

C/ Circulation du sang (ou circulation sanguine)

- Contraction cardiaque :
Un battement cardiaque est une révolution cardiaque. Il comprend trois (3)
phases : la systole auriculaire, la systole ventriculaire et la diastole

- la systole auriculaire (la contraction des oreillettes, le sang est chassé des
oreillettes aux ventricules.

- la systole ventriculaire (La contraction des ventricules), le sang est lancé dans
les artères.

- la diastole (un repos général), les oreillettes et les ventricules se relâchent.

NB : Un cœur humain fait 70 battements par minute.

La dissection du cœur nous laisse voir quatre (4) cavités qui représentent les
deux oreillettes et les deux ventricules. Le cœur est divisé en deux parties par la
cloison inter ventriculaire. Ainsi, on a un cœur droit et un cœur gauche composé
chacun d’une oreillette et d’un ventricule qui communique entre eux par une
membrane appelée valvule auriculo-ventriculaire.

D/Double circulation :

a/La grande circulation ou circulation générale :

Le sang rouge vif sort du ventricule gauche par artère aorte, distribue tous les
organes à travers les capillaires. Il les alimente en oxygène.

Il le reçoit au retour des organes du gaz carbonique et les déchets.

Devenu du sang noir, il fait retour par les veines caves dans les oreillettes droites
du cœur.

Le cœur gauche est le moteur.

b/La petite circulation ou circulation pulmonaire :

Le sang noir lancé par le ventricule droit dans l’artère pulmonaire part vers les
poumons. Il se décharge du gaz carbonique et se charge d’oxygène à ce niveau

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et redevient rouge vif. Des poumons, les veines pulmonaires le ramènent à
l’oreillette gauche du cœur.

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A/ L’appareil respiratoire :

L’appareil respiratoire de l’homme comprend deux parties : la voie


respiratoire et les poumons.

1/Les voies respiratoires :

Elles comprennent : les fosses nasales, le pharynx, le larynx, la tracée artère et


les bronches.

2/Les poumons :

Les poumons sont situés dans la case thoracique reposant sur le diaphragme.
Ainsi, nous avons un poumon droit plus développé à trois lobes et un poumon à
deux lobes.

B/ Fonctionnement de l’appareil respiratoire : la respiration

1) La ventilation pulmonaire : est la pénétration d’air dans les poumons


(inspiration) et un rejet d’air en dehors des poumons (expiration).
a) Une inspiration : c’est une pénétration de l’air dans les poumons.
b) Une expiration : c’est un rejet de l’air en dehors des poumons.
2) La respiration :

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- Involontairement, nous absorbons ou rejetons 0,5l d’air pendant une
ventilation : c’est l’air courant.

- Volontairement, nous absorbons ou rejetons en plus de l’air courant un volume


d’air de 1,5l appelé air complémentaire pour une inspiration forcée et air de
réserve pour une expiration forcée.

* La capacité vitale:

0,5l (air courant) +1,5l (air complémentaire) +1,5l air de réserve) =3,5l (air
vital)

* la capacité pulmonaire :

Il restera toujours dans les poumons de façon permanente 1,5l (air résiduel) qui
s’ajoute à la capacité vitale pour donner la capacité pulmonaire (5l d’air).

3) Les échanges gazeux respiratoires :


- dans les poumons, l’oxygène passe de l’air dans le sang et le gaz carbonique
passe du sang dans l’air.

- Dans les tissus, l’oxygène passe du sang dans les cellules et le gaz carbonique
passe des cellules dans le sang.

C/Hygiène de la respiration

Pour un bon échange gazeux entre le sang et les vésicules pulmonaires d’une
part, entre le sang et les tissus de nos différents organes d’autre part :

- respire par le nez et non par la bouche ;


- éviter l’asphyxie en vivant dans les milieux riches en oxygène ;
- avoir un habillement et un logement propres ;
- faire des exerces physiques ;
- éviter les milieux trop humides ou trop secs ;
- éviter de fumer ;
- éviter les maladies qui peuvent affecter l’appareil respiratoire. /.

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Les reins sont des organes vitaux sans lesquels on ne peut pas survivre.
Cependant, on peut très bien vivre avec un seul rein qui fonctionne.

I L’appareil urinaire

L’a
ppareil
urinaire
compren
d : les deux reins, les voies urinaires.

1) Les reins : De forme allongée et aplatie, les reins ressemblent à des grains de
haricot se regardant par leurs concavités ou hiles.

La coupe longitudinale du rein présente :

Une capsule surrénale protectrice ;

-une écorce granuleuse ;

-une zone médullaire ;

-Les papilles ;

- Une cavité

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Les voies ou conduits urinaires :

Ce sont des uretères qui partent de la partie concave de chaque rein ou hile pour
aboutir à la vessie.

La vessie : C’est un véritable réservoir à paroi musculaire, la vessie peut contenir


200 à 300cm3 d’urine, elle s’ouvre à l’intérieur par l’urètre.

II L’urine

L’urine un liquide organique jaune transparent d’odeur caractéristique due à des


acides volatils. Elle est normalement claire.

1-Les constituants normaux de l’urine :

Les expériences montrent que les constituants normaux de l’urine sont : l’eau,
les chlorures, les substances azotés, l’urée, l’acide urique et les pigments jaunes

a- Les constituants anormaux :


Les plus fréquents sont : l’albumine et le glucose.

b- Les constituants accidentels :


L’urine peut contenir des substances médicamenteuses (paracétamol, quinine,
pénicilline, sulfamides et autres antibiotiques) et de l’alcool.

III Excrétion

1) Définition : L’excrétion est l’action par laquelle certains organes rejettent


au-dehors des matières liquides ou solides.
2) Rôle des reins :
Les reins jouent un double rôle : rôle épurateur et rôle régulateur

- un rôle épurateur qui consiste à débarrasser le sang des substances inutiles ou

Toxiques pour l’organisme ;

- un rôle régulateur qui consiste à maintenir l’équilibre du milieu intérieur.

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3) Autres organes excréteurs :
Dans la fonction d’excrétion, les reins sont aidé par d’autre organes tels que : la
peau, le foie, les poumons.

- la peau : les glandes sudoripares extraient la sueur du sang qui sera évacué
par la peau.

- le foie : le foie élimine les produits toxiques, transforme les protéines en


élément que l’urine peut éliminer facilement.

- les poumons : l’expiration rejette de l’azote, du gaz carbonique et de la vapeur


d’eau.

Organe excréteurs Les reins Les poumons L a p e a u L e f o i e

Déc h et s c o r r es p o nd an t U r i n e Co 2 (gaz carbonique) La sueur L a b i l e

IV Mauvais fonctionnement des reins

Un mauvais fonctionnement des reins peut conduire à des troubles graves tels
que :

- l’œdème : est l’excès de sels dans les tissus entraînant ainsi leur gonflement ;

- l’urémie : est l’excès d’urée dans le sang ;

- l’albuminurie : est la présence de l’albumine dans l’urine ;

- la glucoserie : est l’excès de glucose dans le sang.

V Hygiène

Pour maintenir les reins et les autres organes en parfait état, il faut :

- éviter le surmenage des organes excréteurs (alimentation trop riche en azote


surmenage les reins)

- éviter la formation des calculs urinaires ;

- éviter l’excès de graisse qui fatigue le foie ;

- éviter l’abus de l’alcool ;

- faire des exercices physiques.

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I Description des appareils génitaux

1) Appareil génital masculin :


a) Les organes externes :
- le pénis ou la verge dont l’extrémité enflée est le gland qui est recouvert à son
tour par le prépuce.

- La bourse ou le scrotum qui contient les testicules.

b) Les organes internes :


Les organes internes sont : les testicules, les canaux déférents, l’urètre,
l’épididyme, les vésicules séminales et la prostate.

2) Appareil génital féminin :


a) Les organes externes :
La vulve est l’unique organe externe. Elle est constituée par deux grandes lèvres
et deux petites lèvres ; en écartant celle-ci on voit le clitoris, l’orifice urinaire et
l’orifice vaginal.

b) Les organes internes :


Les organes internes sont : le vagin, l’utérus, les trompes et les ovaires.

Les cellules sexuelles ou gamètes :

- Les cellules sexuelles ou gamètes :


 Le gamète mâle ou spermatozoïde :
Un spermatozoïde comprend une tête contenant un noyau et une queue assurant
le déplacement de la cellule. Sa durée de vie est de 72 heures.

 Le gamète femelle ou ovule :


Un ovule comprend un noyau, un cytoplasme et une membrane cytoplasmique.
Sa durée de vie est de 48 heures.

II Fonctionnement des appareils génitaux

3. Appareil génital masculin :


Les testicules fabriquent les spermatozoïdes. L’épididyme assure leur maturité.
Les canaux déférents conduisent les spermatozoïdes dans la vésicule séminale
qui les met en réserve tout en les empêchant de monter dans la vessie. La
prostate produit le sperme. L’urètre sert au transport tantôt de l’urine, tantôt du
sperme.

4. Appareil génital féminin :


Le vagin laisse couler le sang des règles et se dilate au moment de
l’accouchement. C’est le lieu de dépôt du sperme et la voie de transport des
spermatozoïdes. Les ovaires sont des producteurs d’ovules ; à chaque cycle (et à
tour de rôle) un ovaire libère un ovule. L’utérus a pour rôle :

-d’accueillir et de nourrir l’œuf fécondé ;

-de se contracter pour expulser le bébé à l’accouchement ;

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-de produire le sang des règles si l’ovule n’est pas fécondé.

III Le cycle menstruel de la femme

Définition : Le cycle menstruel est l’ensemble des manifestations intervenant


dans le fonctionnement de l’appareil génital féminin.

IV Fécondation et Grossesse

- Fécondation : La fécondation est la fusion d’un spermatozoïde et d’un ovule


avec formation d’un œuf.

- La grossesse : La grossesse est la période qui s’étend de la fécondation à la


naissance.

V Cas des jumeaux

1) Les faux jumeaux :


Deux ovules ont été produits simultanément étant été fécondé par deux
spermatozoïdes, les deux œufs ainsi formés se développent dans l’utérus mais
séparément. Il y a deux poches amniotiques et deux placentas.

2) Les vrais jumeaux :


Un seul ovule est fécondé par un seul spermatozoïde. L’œuf fécondé se divise en
deux œufs identiques qui se développent ensemble dans la même poche
amniotique avec un seul placenta.

VI La régulation des naissances ou méthodes contraceptives

On peut citer entre autres : le préservatif masculin, le préservatif féminin, le


diaphragme vaginal, le stérilet, le spermicide, les pilules, l’implant, les colliers,
l’injectable (confiance), la ligature des trompes, la ligature des canaux déférents,
l’abstinence…

VII Les maladies vénériennes

Les maladies sexuellement transmissible (MST) ou les infections sexuellement


transmissibles (IST) sont très fréquent chez les gens qui font le “ vagabondage
sexuel “.Parmi ces maladies on peut citer : la gonococcie ou blennorragie, la
syphilis, le chancre mou, la vaginite, le SIDA…

VIII Hygiène sexuelle

 Les organes génitaux doivent être toujours propres surtout après le coït;
 éviter les mauvaises habitudes sexuelles ;
 après une maternité, il est prudent d’observer
quelques temps avant de nouvelles relations ;
 s’abstenir de tout rapport douteux ;
 éviter les grossesses précoces. /.

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I Définitions

- Un microbe : est un être infiniment petit.

- Un microbe pathogène : est un microbe qui provoque des maladies.

- Un saprophyte : est un microbe qui se nourrit de matières organiques en


décomposition mais qui n’est pas pathogène.

- La microbiologie : est la science qui s’occupe de l’étude des microbes.

- la bactériologie : est la science qui s’occupe de l’étude des bactéries.

II Les différents groupes de microbes

Les différents groupes de microbes sont : les bactéries, les champignons, les
protozoaires et les virus.

1/Les bactéries : ce sont : le bacille subtil, le bacille diphtérique, le bacille


tétanique, le bacille tuberculeux, le bacille typhoïdique, le méningocoque, le
pneumocoque, le gonocoque, le staphylocoque du furoncle, le spirochète de la
fièvre récurrente, le tréponème de la syphilis.

2/Les champignons : ce sont : les levures, les moisissures…

3/Les protozoaires : ce sont : l’amide, le plasmodium, le trypanosome…

4/Les virus : ils sont invisibles au microscope optique, sauf au microscope


électrique, responsable des maladies graves : grippe, rougeole, variole, rage,
poliomyélite, fièvre jaune, fièvre typhoïde, SIDA…

III Pasteur et la génération spontanée

1/La génération spontanée :

Avant Pasteur les savants se disaient que les microbes sont des êtres vivants qui
pouvaient venir au monde sans parents ; dans ce ils venaient spontanément. On
croyait à leur génération « spontanée ».

2/L’œuvre de Pasteur :

Pasteur détruit la théorie de la génération spontanée en démontrant


successivement que :

 l’air contient des germes vivants ;


 un liquide stérilisé se conserve indéfiniment à l’abri de l’air ;
 les microbes sont inégalement repartis dans l’atmosphère ;

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 - un liquide stérilisé se conserve indéfiniment en présence d’air privé de germes
par chauffage ou par filtration ;
un liquide organique (sang) prélevé « aseptiquement » dans un récipient
stérilisé sur un animal sain, reste stérile en présence d’air filtré.
IV Pasteur et les fermentations

Par des observations et expériences bien précises, Pasteur montre que les
fermentations sont produites par l’activité des micro-organismes (les levures, les
bactéries).

V La pasteurisation

Pasteur montre que les maladies de vin et de la bière sont dues à des fermants
qu’on peut détruire préalablement par un court chauffage à 55°c : c’est la
pasteurisation.

VI Applications pratiques des expériences de Pasteur

Il révolutionne les industries de fermentation ; permet la conservation des


aliments (froid, chaleur, dessiccation et par le sel) ; la médecine et la chirurgie
furent les grandes bénéficiaires ; il découvre le mode de contamination du
charbon, du furoncle… et met au point les vaccins contre le charbon et la rage. /

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l / L’infection microbienne :

1° Définition de l’infection microbienne :

L’infection microbienne est la pénétration et le développement d’un microbe


pathogène dans un organisme vivant.

2° Les étapes de l’infection :

Les étapes de l’infection sont : la phase inflammatoire, la phase lymphatique et


la septicémie.

a) Phase inflammatoire: Les microbes se multiplient activement caractérisant une


inflammation (rougeur, chaleur, douleur, tumeur)

b) Phase lymphatique : Les microbes victorieux s’introduisent dans les vaisseaux


lymphatiques qui grossissent, deviennent douloureux et se remplissent parfois de
pus.

c) La septicémie : Les microbes encore victorieux arrivent par le sang dans le


foie, la rate et par suite envahissent tout l’organisme : c’est la septicémie, qui
peut être rapidement mortelle.

II Lutte contre l’infection

1) Défense naturelle :
a) Défense extérieure : Assurée par la peau et la muqueuse.

b) Défense intérieure :

- les leucocytes ingèrent et digèrent les microbes et les toxines : c’est la


phagocytose.

- Production d’anticorps qui peuvent neutraliser les microbes te leur toxines.

2) Défense artificielle :
a) L’antisepsie : est une méthode curative qui consiste à détruire les microbes
sur les plaies et sur les instruments de pansement.

b) L’asepsie : est une méthode préventive qui empêche le développement des


microbes.

c) La chimiothérapie : est un traitement à usages d’antibiotiques ou de


sulfamides.

d) La sérothérapie : est l’emploie de sérum fournissant une défense immunitaire


toute prête qui aide l’organisme dans sa lutte immédiate. /.

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Le charbon est une maladie contagieuse propre à certains animaux domestiques
(mouton, bœuf, cheval). Elle est transmissible à l’homme. Donc on a le charbon
animal et le charbon humain.

I Les symptômes

Il y a trois formes cliniques :

- la forme cutanée ou externe : elle se manifeste par l’apparition des vésicules


sur la peau, le visage, les mains et provoque des démangeaisons.

- la forme pulmonaire : elle est caractérisée par une toux avec expulsion de
crachats sanguinolents, de frissons.

- la forme intestinale : elle est caractérisée par des douleurs au ventre, des
vomissements et une septicémie hémorragique entraînant la mort en 2 ou 3
jours.

II Agent pathogène

L’agent pathogène du charbon est le bacille charbonneux.

Si la maladie n’est pas traitée, le bacille charbonneux envahit tout l’organisme :


c’est la septicémie (bacillémie).

III La contagion

- les animaux contractent le charbon en broutant de l’herbe souillée de bacille ou


de spores par les urines sanguinolentes.

- l’homme contracte le charbon en mangeant la viande des animaux


charbonneux ou en manipulant les cadavres, les peaux, les cornes des animaux
charbonneux.

IV Lutte contre le charbon

1) La lutte préventive (prophylaxie) :

Pour éviter la propagation du bacille et de ses spores, il faut :

- isoler les animaux charbonneux ;

- interdire la vente de la viande des animaux charbonneux ;

- désinfecter les endroits souillés ;

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- incinérer des cadavres charbonneux ;

- vacciner les animaux par le vaccin anti-charbonneux.

2) La lutte curative (traitement) :

On traite le charbon chez l’homme par des remèdes comme la pénicilline à


laquelle on associe la streptomycine ou le sérum anti-charbonneux.

NB :

- certains animaux tels que (les moutons Algériens, les chiens et les poules) ne
contractent pas le charbon : on dit qu’ils possèdent une immunité naturelle.

- les bovins, après leurs guérissons, sont réfractaires au charbon : on dit qu’ils
sont immunisés : c’est une immunité acquise.

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La diphtérie est une maladie infectieuse contagieuse due au bacille de klebs –
loffler.

I Les symptômes

- la diphtérie pharyngée caractérisée par une angine particulière ;

- la diphtérie nasale caractérisée par l’obstruction des voies nasales ;

- la diphtérie laryngée caractérisée par une toux sèche et une respiration pénible.

II Agent pathogène :L’agent pathogène de la diphtérie est le bacille diphtérique.

III La contagion

Elle peut être directe ou indirecte :

- Le malade en parlant, en toussant, en éternuant, projette des fragments de


fausses membranes riches en bacille diphtérique qui peuvent contaminer
directement un individu sain.

- Un individu sain peut être contaminé indirectement par des objets souillés.

IV Lutte contre la diphtérie

1) La lutte préventive (prophylaxie) :

Pour éviter la propagation et la contamination de la diphtérie, il faut :

- isoler totalement le malade ;

- se faire vacciné par le vaccin antidiphtérique.

2) la lutte curative (traitement) :Le traitement est basé sur l’utilisation du sérum
antidiphtérique.

V Comparaison entre la sérothérapie et la vaccination

1) Comparaison :La vaccination est un moyen préventif appliqué sur un individu


sain tandis que la sérothérapie est un moyen curatif appliqué sur un individu
malade.

2) Leur rapport

- La sérovaccination : est l’emploi combiné du sérum et du vaccin à titre


préventif.

- la séro-anatoxithérapie : est l’emploi combiné du sérum et du vaccin à titre


curatif.

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Le paludisme est une maladie endémique et parasitaire, transmis à l’homme par
l’anophèle femelle.

I Symptômes

- fièvre accompagnée de violente céphalée (maux de tête) ;

- des vomissements (nausées) ;

- élévation de température (40o ou plus)

- le malade frisonne et transpire abondamment ;

- le malade a froid, ses dents claquent.

II Agent pathogène et transmission

1/Agent pathogène :L’agent pathogène du paludisme est l’hématozoaire


(plasmodium).

2/Transmission :Le paludisme est transmis par la piqûre de moustique (anophèle


femelle)

III Le cycle évolutif

Quand le moustique pique un malade paludéen, il aspire le sang de ce dernier


contenant les microbes. En piquant plus tard une personne saine, il introduit les
microbes sous la peau et ainsi la personne est contaminée.

IV Lutte contre le paludisme

1- Les moyens de prévention (prophylaxie) :


-utiliser les moustiquaires imprégnées d’insecticides ;

-garnir les portes et les fenêtres de grillages fins ;

-éviter la culture des céréales à proximité des habitations ;

-pulvériser les chambres avec un ou des produits insecticides ;

-enduire son corps pendant la nuit d’un produit anti-moustique ;

-utiliser et fermer les poubelles ;

-évacuer les eaux usées.

2- La lutte curative (traitement) :


Le traitement du paludisme se fait avec la combinaison thérapeutique (palu
simple) et les sels de quinine dans le sérum (palu grave).

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I/ Les symptômes

- la fatigue générale et un léger maux de tête

- le blancheur de la langue

- des légers troubles intestinaux ;

- des douleurs abdominales ;

- des selles fréquentes (12 émissions quotidiennes) ;

- un amaigrissement.

II Agent pathogène : L’agent pathogène de la dysenterie est l’amibe

Cycle évolutif de l’amibe

Quand un sujet sain absorbe des kystes, dans son estomac, ces kystes se
transforment en kystes à 8 noyaux qui s’éclatent et libèrent autant d’amibes. Ces
amibes se multiplient par bipartition et forment de nouveaux kystes.

III La contagion

Elle peut être directe ou indirecte :

- en serrant la main d’un amibien ou en mangeant dans le même plat que lui, on
peut attraper la maladie directement,

- en mangeant les fruits et les légumes secs sans être désinfecté, on peut
attraper indirectement la maladie.

IV Lutte contre la dysenterie

1) La lutte préventive (prophylaxie) :

- ne pas serrer la main d’un amibien ;

- ne pas manger dans le même plat qu’un amibien ;

- stériliser l’eau de boissons avant la consommation ;

- laver les mains avec du savon à la sortie des toilettes ;

- désinfecter les légumes et les fruits crus avant la consommation;

- protéger les aliments à l’abri des mouches et des poussières.

2) la lutte curative (Traitement) :

Le traitement se fait selon les symptômes de la maladie: l’antibiotique,


l’antalgique, Anti diarrhéique, SRO (Sirop de Réhydratation Orale), le sérum.

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Les antibiotiques sont des médicaments très efficaces dans la lutte contre les
maladies. Leurs observations et leurs découvertes ont été réalisées par le savant
Britannique, le bactériologiste Alexander Fleming en 1828.

I La pénicilline

Après de longs travaux, Fleming réussit à extraire de la moisissure (appelée


pénicillium notatum), une substance capable d’arrêter le développement de
certaines bactéries pathogènes dans le corps de l’homme et l’appela : la
pénicilline.

II Les antibiotiques

1) Définition d’un antibiotique : Un antibiotique est une substance sécrétée par


un organisme vivant capable de détruire d’autres organismes principalement les
bactéries et les champignons pathogènes.

2) Les principaux antibiotiques :

a) les antibiotiques produits par les moisissures : Ce sont : la pénicilline, la


streptomycine, la chloromycétine, l’auréomycine

b) Les antibiotiques produits par les bactéries : On peut citer la tyrothricine,


antibiotique utilisé sur les plaies (poudre ou pommade) et en pastille contre
l’angine.

c) Les antibiotiques de synthèse : Ce sont les isoniazides, les PAS (para-amino-


salicyliques), les sulfamides

3) Action des antibiotiques : ils ont :

- une action bactériostatique qui s’oppose à la multiplication des bactéries.

- une action bactéricide qui permet de détruire les bactéries.

4) Utilisation des antibiotiques :

Les antibiotiques sont des remèdes très efficaces.

Mais, il ne faut en abuser et en utiliser sans raison.

L’abus entraîne des conséquences très graves : résistance des microbes,


production des toxines, destruction des microbes utiles…

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L’alcoolisme est la consommation abusive des boissons alcoolisées. En raison de
ces méfaits sur l’individu et de ses répercutions sur la société, l’alcoolisme est un
fléau social.

I Les boissons alcoolisées

On distingue deux groupes de boissons alcoolisées : les boissons fermentées et


les boissons distillées.

1/Les boissons fermentées : Ce sont :

 la bière (bière de mil ou « dolo », bière de maïs)


 le vin (vin de palme « bandji », vin du jus de raisin)
 le cidre (fermentation du jus de pomme)
 le poiré (fermentation du jus de poire)
2/Les boissons distillées :

Obtenues par distillation des boissons fermentées :

 orge germée (whisky)


 canne à sucre (rhum)
II Causes de l’alcoolisme

- par imitation, entraînement, curiosité, snobisme ou solitude ;

- hérédité : le buveur est souvent fils de buveur ;

- préjugés sociaux : beaucoup de personne mal informées croient à la valeur


nutritive de l’alcool ;

- faiblesse de caractère : entraînement par des camarades tarés.

III Conséquences de l’alcoolisme

1/L’alcoolisme aigu ou ivresse :

 une tristesse excessive ou une joie intense, une fureur anormale


avec des paroles altérées ;
 une démarche titubante, des mouvements désordonnés ;
 des vomissements et des chutes.
2/L’alcoolisme chronique :

 la perte d’appétit ;
les cauchemars nocturnes ;
 les crampes musculaires ;
 les dépressions, la colère, la violence, la fatigue avec une régression
physiologique généralisée et une mauvaise vision ;

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 accidents de circulation, de travail, de crime et de surmortalité
masculine.

IV Lutte contre l’alcoolisme

 une taxation lourde sur la commercialisation de l’alcool ;


une limitation des lieux de vente des boissons alcooliques ;
l’éducation par la sensibilisation et l’information sur les méfaits de l’alcool
pour l’individu et la société ;
la réalisation des séances de désintoxication des alcooliques à l’aide des
produits médicaux provoquant chez eux un dégoût profond de l’alcool.

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I Le tabagisme

Le tabagisme est une intoxication aiguë ou chronique due à une consommation


abusive du tabac.

1) Le tabac :- Le tabac à fumer ou à cliquer est obtenu à partir des feuilles de


tabac coupées en fines lamelles .Le tabac à priser (aspirer) est le tabac réduit en
poudre.

Le tabac est constitué de nicotine, des goudrons et d’oxyde de carbone.

.La nicotine : est l’excitant actif de la cigarette, elle stimule la sécrétion


d’adrénaline qui, à forte dose, est très nocive.

.Les goudrons : ils sont très toxiques et très cancérigènes.

.L’oxyde de carbone : agit sur l’hémoglobine dans son rôle de transport de gaz
carbonique.

2) Les raisons du tabagisme :

Généralement, la consommation de la drogue se fait par certaines pratiques


telles que : snobisme, imitation, timidité.

3) Les méfaits du tabagisme : Le tabac provoque le cancer (cancer des poumons,


de l’estomac, de la vessie), l’artérite, des palpitations cardiaques, l’hypertension
artérielle. Il diminue l’intelligence et la résistance du fumeur et de son entourage.

Le fumeur peut se brûler et provoque des incendies.

Le tabac coûte cher au fumeur et sa famille.

Les femmes enceintes ou allaitantes ne doivent pas fumer.

4) Lutte contre le tabagisme :

Elle est basée sur :

- la ferme volonté du fumeur (volonté et discipline individuelles)

- des techniques diverses dans certains pays développés : acupuncture,


homéopathie, médicament,...

II Les drogues

Les drogues sont des substances très toxiques pour l’organisme.

1) Les principaux types de drogues :

- les drogues pures sont : la cocaïne, le chanvre indien (ou cannabis) et l’opium.

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- Autres drogues : les LSD, les barbituriques, les amphétamines, les solvants, les
colles

- les dérivées des drogues : la morphine, l’héroïne, le haschich, le marijuana.

2) Les raisons de se droguer :

On se drogue par imitation, curiosité, la recherche d’un état second caractérisé


par une euphorie, une exaltation et un plaisir, pour supprimer les souffrances, les
insomnies, les douleurs.

3) Les effets et dangers des drogues :

a) les effets : Les drogues créent des phases d’euphorie, de plaisir, d’exaltation,
d’hyperexcitation, de vertige, d’hallucination et d’état hypotonique.

b) Les dangers : La toxicomanie est la consommation des drogues. Elle a des


conséquences très graves : des troubles nerveux, une déchéance physique et
intellectuelle conduisant souvent au suicide, une agression envers son entourage,
d’accidents graves et mortels, une insécurité dans la famille. Le drogué pour se
procurer de sa dose peut voler, truander, agresser, tuer...

4) Lutte contre les drogues :

- éviter l’abus de l’utilisation de certains médicaments ;

- éviter de goûter ces produits ;

- créer des centres de désintoxication des toxicomanes ;

- considérer un drogué comme un malade qu’il faut soigner et récupérer ;

- solutionner certains problèmes sociaux qui poussent les faibles à se droguer :


chômage, ennuis familiaux, conflits sociaux, difficultés scolaires, solitude.

- punir sévèrement les trafiquants de drogues

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Introduction

Le SIDA (Syndrome Immunodéficitaire Acquis) est une maladie très grave


provoqué par un virus (VIH : Virus Immunodéficience Humaine) identifié sous
deux formes : VIH1 en 1983 et VIH2 en 1986. Le virus attaque les globules blancs
(lymphocytes T4) qui ont un rôle important dans la coordination des défenses de
l’organisme.

I La contagion

La transmission du virus du SIDA se fait selon trois modes principaux :

- par la voie sexuelle (homo-hétérosexuelle) c’est à dire avoir de multiples


partenaires sans se protégé;

- par la voie sanguine

- et la transmission de la mère à l’enfant (lors de l’accouchement, ou lors de


l’allaitement)

II Lutte contre le SIDA

Les moyens de lutte contre le SIDA sont multiples et variés :

- dépistage du VIH particulièrement à toute femme enceinte ;

- l’analyse systématique des produits sanguins avant leur utilisation ;

- utiliser le préservatif masculin lors des rapports sexuels.

La tuberculose est une maladie contagieuse, infectieuse et meurtrière.

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Il existe plusieurs types de tuberculoses : la tuberculose pulmonaire, osseuse,
rénale et vésiculaire, ganglionnaire, cutanée, méningée, péritonéale et
intestinale.

La plus répandue est la tuberculose pulmonaire.

I/Les symptômes

La tuberculose se manifeste par :

- une toux sèche qui dure au moins deux semaines ;

- une perte de poids ;

- une fatigue générale ;

- des sueurs et de la fièvre nocturnes ;

- des douleurs thoraciques

II Agent pathogène

L’agent pathogène de la tuberculose est le bacille de Koch (BK).

III La contagion

La tuberculose se transmet à travers les voies respiratoires.

Les facteurs qui favorisent la tuberculose sont : la pauvreté, le manque


d’hygiène, la promiscuité, le dépistage tardif des malades, la malnutrition, le
SIDA, le tabac, l’alcool…

IV Lutte contre la tuberculose

La lutte préventive (prophylaxie) :

Pour empêcher la dissémination du Bacille de Koch, il faut :

- faire le dépistage ;

- désinfecter couramment certains lieux publics : écoles, hôpitaux, camps


militaires, sales de spectacles…

- arroser le sol avant de le balayer ;

- éviter la promiscuité ;

- améliorer les conditions d’hygiènes individuelles et collectives ;

- pratiquer les efforts physiques et intellectuels ;

- lutter contre le tabac, l’alcool et la misère ;

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- se faire vacciné avec le vaccin antituberculeux (BCG = Bacille de Calmette et
Guérin)

2) La lutte curative (traitement) :

Le traitement se fait avec l’utilisation des antibiotiques mais en ambulatoire.

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