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Intro À La Philosophie

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Introduction à la philosophie
Le mot philosophie est composé de deux mots grecs: « Philia » (sentiment,
affection, «amour ») et « Sophia » (sagesse, science, connaissance). La
philosophie est donc « l'amour de la sagesse ou l'amour de la connaissance).
L'homme, par sa volonté, s'exprime comme celui qui doit vouloir ou aimer la
sagesse ou la connaissance ou la science. Je suis celui à qui est confié le devoir
ou l'obligation d'aimer (philia) la sagesse ou la connaissance ou la science (donc
la Sophia). Être philosophe signifie pour eux être affecté par la beauté ou la
grandeur de la science, de la connaissance, de la sagesse. Si le philosophe est
celui qui aime la sagesse ou la science, donc la connaissance, nous voudrions
savoir alors ce qu'est un « sage ». Les grecs appellent le philosophe un sage
puisqu'il est celui qui sait faire et présenter l'unité des sciences: mathématique,
physique, géographique, astrologique, etc (il suffit de voir votre expérience
personnelle : étudiant depuis l'âge de l'enfance jusqu'à aujourd'hui et une telle
expérience s'ouvre jusqu'à l'infini, en bref je reste étudiants jusqu'à quand ???))
Le philosophe ou le sage n'enferme pas la philosophie dans une science dite
particulière.
'» Essayons d'examiner cect: «Le plus ancien nom de la philosophie fut sagesse.
Elle
apparaissait alors comme l'unité de la science...
Cause, nature et fin du monde et de
l'homme, Réalité de Dieu dans le ciel, Providence ici-bas, organisation des
cités, conduite de la vie, le sage se propose à la fois tous les problèmes...»
/La philosophie dans cette
perspective se dévoile comme une unité des sciences: la science de la cause
(cause du monde), la science de la fin (fin du monde), la science de la nature
(nature de ce monde : ce par quoi les monde est né ou est fait ou est constitué),
science de Dieu (théologie), science de la Providence divine (théologie),
science de l'organisation de la cité (politique) pcience de la conduite humaine
(morale ou éthique), etc. la philosophie en ce sens est constituéepar l'ensemble
des sciences ou l'unité de toutes les sciences. Est sage est celui qui peut avoir
une y vision de l'ensemble ou une vision de l'unité, donc une connaissance d'un
ensemble ou d'une unité des choses crées =
, De cette vision d'un ensemble ou de cette vision d'une unité, nous sommes
ramenés à une vision d'un tout. La philosophie - en tant qu'un vision d'un
ensemble ou d'une unité - est
une science d'un Tout, donc une connaissance d'un Tout = le monde est un tout.
Il est un Tout
composé des parties ou il est un Tout constitué par des éléments = qui connait
le Tout connait les parties = qui ne connait que certaines parties ou certains
éléments ne connait pas le Tout = la connaissance du Tout présuppose la
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connaissance des parties. Dieu connait Tout, par conséquent il connait toutes les
parties ou tous les éléments qui composent le Tout = car les parties ne sont
parties que seulement à l'intérieur du Tout = en d'autres termes, les éléments ne
sont pas des éléments qu'à l'intérieur du Tout = une partie ou un élément qui se
sépare du
Tout est inconcevable = il suffit de voir le rapport entre un ouvrage et les
parties qui le
composent = les parties n'ont de sens et de valeur qu'à l'intérieur de l'ouvrage en
tant qu'un tout = les éléments ne sont des éléments qu'à l'intérieur du tout = les
parties ou les éléments
existent seulement en raison du tout = la philosophie en tant que science d'un
Tout - renvoie
à connaitre tout = le sage est celui qui connait tout =
Ce tout en théologie est Dieu = il est en philosophie l'Être = il est en science
morale le
Bien = il est en anthropologie l'homme ou la personne = ainsi nous sommes
conduits par cette
perspective à dire que la philosophie ou la sagesse est la science d'un « tout ».
Cependant, les autres sciences n'étudient qu'une partie de ce tout. La théologie
prend pour obiet Dieu et le considère comme le tout à travers lequel doit se faire
la compréhension des êtres créés. Dieu est le Tout qui est à considérer comme
cause et finalité de toute tendance visant à expliquer et comprendre le monde ?
Toute analyse ou toute science en ce sens n'est que détermination et saisis et
poussés par l'étonnement. En bref, la philosophie a commencé avec
l'étonnement parce qu en cet etat les philosophes sont attirés à poser cette
question: quelle est la cause et la finalite de l'univers.

' André Lalande, Vocabulaire technique et critique de la philosophie, 941

1. Paul Foulquié : étonnement : état de l'esprit frappé par quelque chose qui
a de caractère extraordinaire = le quelque chose qui possède un caractère
extraordinaire frappe l'esprit, éveille l'esprit, surpris l'esprit =
2. Aristote = étonnement : pousse les penseurs a philosopher, donc à faire
des « spéculations
». des « abstractions », des « reflexions », des « analyses » - Aristote ne revient
plus à dire ce qu'est l'étonnement mais oriente à savoir ce que fait l'étonnement,
c'est-à-dire il « pousse » à « philosopher » - qu est-ce qu'il fait ? « pousser » à
philosopher ==
3) Diderot : étonnement : est le premier effet d'un grand phénomène =
l'apparaitre d'une quelque chose extraordinaire a pour premier effet «
l'étonnement » - quand une chose extraordinaire apparait, son apparaitre produit
3

un effet ou « un grand effet » et ce grand effet est = d'un grand apparaitre d'une
chose : il faut faire dissiper étonnement : comment ? par la connaissance portee
sur la chose =
Etonnement =-= l'étonnement pousse le philosophe à philosopher =
l'étonnement est cet « émerveillement » ou cet « extraordinaire » - donc ce «
caractère merveilleux » ou ce « caractère extraordinaire » - qui englobe les
realites en ce monde = le philosophe ~ en tant que le sage ~ est celui qui est
attire non pas par une mauvaise réalité mais celui qui est suscite et attire par une
realite merveilleuse et extraordinaire = en théologie nous parlons de Dieu
comme le Createur qui a créé le monde pour être le « bien » et le « parfait : le
monde cree est donc englobe par le bien et le parfait : Dieu, le sage, est celui
qui ne se laissa pas attirer que par le « bien » ou le « parfait » : la foi en Dieu est
celle qui fondé par l'amour du bien ou l'amour du partait == le philosophe, de
l'autre côté – par le fait qu’il est un sage s’efforce à montrer que la sagesse n’est
que comme «amour » de ce qui est « merveilleux » ou de ce qui est «
extraordinaire » == la philosophie est une connaissance ou une science portee
sur « ce qui est merveilleux » ou sur « ce qui est extraordinaire »=
L'étonnement - en poussant à philosopher - engager engage a traduire «
philosopher »
par :
1) acte d'observer » le monde, donc acte d'examiner et critiquer les diverses
maniere dont le monde apparait ou se devoile à l'intelligence = l'observation en
tant qu'un acte d'examiner minutieusement essaie de présenter en detail les
divers aspects qui constituent le monde =
4) acte d « abstraire » les idees qui presentent une connaissance du monde à
partir des «opinions », des «apparences », des « sensations»: au niveau des «
sensations », des « apparences », des « opinions = dans l'abstraction,
l'intelligence montre d'abord une connaissance sensible, c'est-à-dire manifeste
d'abord « ce qui est senti par les sens». « les sensations »,opinions », les «
apparences » = ensuite, après le passage dans le sentir, l'intelligence dégage ou
tire des sens ou des sensations « les idees » concernant le monde merveilleux et
extraordinaire = l'abstraction consiste alors à tirer les idées, c'est-à-dire les
connaissances intellectuelles, à partir des « sensations » (done des
connaissances sensibles) = qui connait les idees des choses les choses = qui ne
possède alors que des sensations, des opinions, des apparences, donc des
connaissances sensibles, se trouvent encore dans le domaine d'une ignorance,
celle qui s'oppose à la connaissance == les idees concernant les réalités
existantes sont inscrites dans les livres ou dans les ouvrages
scientifiques ou philosophiques = qui veut avoir les idées sur les choses doit
chercher ces idées dans les livres ou les ouvrages philosophiques === les idées
dans les livres décrivent des réalités détaillées et ordonnées en termes de
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nombre: il suffit ici de voir la table des matière (la plan - la division des parties
ou des sections - la conclusion - etc)===
3) acte d'analyser : analyser un texte signifie dégager les diverses significations
qui peuvent constituer le texte == analyser le monde signifie découvrir et
présenter les
divers elements ou les diverses formes qui constituent le monde = il suffit de
voir
Thales, Anaximène, Anaximandre : les premiers savants dans l'histoire de la
philosophie ===
L'étonnement qui saisit le philosophe le pousse à savoir ou connaître les êtres. Il
fait de la philosophie un exercice du desinteressement, puisqu il ne le pousse
pas à savoir ou a connaitre en vue de gagner de l'argent ou de se faire croire
meilleur, mais seulement dans le but de connaître. Karl Jaspers le met en
évidence en ceci: «s'étonner, c'est tendre à la connaissance»
Cette vision, Aristote l'a déjà enseigné; «Car, (selon lui), c'est l'émerveillement
qui poussa les hommes à philosopher: ils s'étonnèrent d'abord des choses
étranges auxquelles ils se heurtaient puis ils allerent peu a peu plus loin et se
poserent des questions concernant les phases de la lune, le mouvement du soleil
et des astres, et la naissance enfin de l'univers»
L'étonnement philosophique - en poussant à connaitre le monde - pousse a
connaitre « les êtres », c'est-à-dire les chose qui sont ou les realites qui existent
= la connaissance est toujours portée sur « ce qui est » ou sur «ce qui existe »
=== la philosophie - en prenant pour objectif la connaissance (du moins selon
Jaspers) - est « un exercice de désintéressement » ou « un exercice de
renoncement » = la philosophie est :
1) d'abord « un exercice de désintéressement », car la philosophie n'est que pour
la connaissance, en ce sens elle n'est pas pour l'intérêt personnel du soi ou pour
un quelconque intérêt égoïste = le désintéressement s'oppose à tout intérêt du
soi = le désintéressement incarne l'indifference = celui qui est desinteresse est
celui qui est
dans une attitude juste, morale, religieuse = la philosophie - en ordonnant a
exercer
le désintéressement - ordonne le philosophe à devenir un homme desinteresse :
voilà le sage en philosophie =
2) ensuite la philosophie est aussi un « exercice de désintéressement » parce
qu'elle elle apprend à « renoncer à l'amour de l'argent » = la philosophie - en ne
visant que la connaissance ou l'intensification de la connaissance - oriente à ne
pas la traduire par « amour de l'argent » ou « amour de la richesse » = derrière
cela nous entendons dire ceci : le philosophe ou le sage n'a pour interet
principal que connaitre le monde : voilà l'objectit essentiel = le
desinteressement ~ en incarnant l'indifférence à l'égard de l'argent ou de la
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richesse materielle - engage le sage philosophe à être indifférent à l'égard de


tout ce qui n'est pas une « connaissance » :
« le soi » - « l'régent » ==.
3) enfin lap philosophie est un « exercice du desinteressement », car ele
apprend a sa faire indifférent, non seulement vis-à-vis du soi et de l'argent, mais
aussi devant les honneurs == le philosophe ou le sage ne cherche pas l'honneur
mais cherche et
approfondit incessamment le degre de la connaissance = il a un devoir infini
d'intensifier le degré de sa connaissance = un professeur par exemple qui
cherche pas à approfondir sa connaissance est un professeur tiraille et dans ce
cas il ne répond pas aux exigences du être philosophe ===
L'étonnement s'oppose à l'ignorance.
étonnement|gnorance
- le point de départ vers la connaissance
= la pensée du philosophe y est attiré et frappé par un quelque chose de
merveilleux ou de surprenant, donc de qualité ou de valeur
= prend origine ou nait d'une chose qui a un caractère merveilleux, magnifique,
extraordinaire
= un exercice de desinteressement : la visée n est pas de connaitre en vue de
gagner de largent mais de connaître en vue d'atteindre la certitude, c'est-à-dire
le vouloir savoir ou le vouloir connaitre vise à élever la connaissance à l'ordre
d'une connaissance certaine = = état de la personne qui ignore le sens ou la
valeur d'une chose
= l'ignorance est portée sur le sens ou la valeur d'une chose
= L'ignorance s'oppose à la connaissance parce que la connaissance d'une chose
s'explique par la connaissance de « ce qu'est la chose » est, donc de son essence,
c'est-à-dire de sa signification réelle ou de sa valeur réelle = le «ce qu'est» de la
chose présente «sa signification», «son sens», «sa valeur» réelle, en bref, «son
essence» = voir «ce qu'est» l'homme =
= un ignorant ne s'étonne pas = ce qui veut dire qu'un ignorant, en ne s'étonnant
pas, ne voit pas dans les choses quelque chose qui l'attire ou frappe son esprit =
il n'est pas attiré ou frappé
par quelque chose = si comme la chose ou les choses n'ont pas de sens et de
valeur =
4. Questions
Apres I etonnement, nous allons voir maintenant les « questions » = ce qui veut
dire que l'étonnement - en engageant à philosopher - mène a traduire
philosopher par « acte de poser des questions » = ces questions sont: « qu'est-ce
que c'est ? »; « Comment ? »; et « Pourquoi ? » === Ces questions ne se posent
pas a celui qui sait tout Elles temoignent que celui qui les pose n acquiert pas
encore un savoir ou une connaissance et doit prendre savoir ou connaître
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comme un devoir à accomplir ou à réaliser. Illuminés par une telle vision nous
disons: l'étonnement, en orientant a poser des questions sur les etres, renvoie a
repondre aux exigences de notre être spirituel ou intellectuel: savoir ou
connaitre. N est-ce dans l effort de repondre aux questions posées par le
philosophe etonne que regel a publie son ouvrage intitule la philosophie du
savoir, la ou il conçoit le savoir comme un systeme ou une structure ou une
synthèse ?
1) la question : Qu'est-ce que c'est = suite à l'étonnement, les questions
émergent. La première question se formule ainsi : qu'est-ce que c'est ? Voilà
une question qui oriente d'abord à « nommer » la chose, ensuite à découvrir,
donc à connaitre l'essence de la chose = Exemple, qu'est-ce que c'est ? C'est «
un homme » = qu'est-ce qu'un homme ? Un homme est un être qui se determine
ou se définit par la pensée ou par la raison ou par l'esprit = l'homme par
définition est un être qui pense, qui raisonne, qui se spiritualise = la pensee, la
raison, esprit c'est ce qui exprime « la définition essentielle » de l'homme ou
plus précisément l'essence de l'homme est la pensée, la raison. l'esprit = et si on
se demande qu'est-ce que l'essence ? Nous répondons l'essence est « ce qui fait
qu'une chose est une chose », et en termes d'homme « c'est ce qui fait qu'un
homme est un homme » = et si la philosophie tend à connaitre il faut se
demander qu'est-ce qui est à connaitre ? C'est « l'essence » des choses ou «
l'essence » des êtres qui est à connaitre - et si la philosophie ordonne à connaitre
l'essence cela veut dire qu'elle ordonne a connaitre ce qui constitue
profondément chaque chose = l'essence est ce qui constitue
profondément chaque chose, c'est-à-dire « ce qui fait qu'une chose est une chose
» = la philosophie comme connaissance est une « connaissance de l'essence des
choses » = une telle philosophie est une philosophie essentielle. parce que la
visée de l'essence est l'objectif à atteindre = philosophie ou la sagesse - en ne
visant que la connaissance - vise à en effet à faire d'elle devenir « une
connaissance de l'essence de tout ce qui est ou de tout ce qui existe » =
2) la question Comment = la seconde question concerne le « comment » ? = le «
comment » est la question qui oriente à « présenter » l'essence de la chose ou à
« rendre présente de nouveau dans l'esprit (done à représenter) l'essence de la
chose = dire l'essence de la chose est une première étape = et « présenter ou
dévoiler le développement progressif de l'essence de la chose » est une autre
étape, la seconde, et il faut avouer que c'est l'étape la plus difficile à faire et à
franchir = dans la première étape, donc dans le dire l'essence de la chose,
j'exprime une vérité générale concernant la connaissance de l'homme = tandis
que dans la seconde étape, dans le présenter et dévoiler l'essence de la chose,
j'engage mon intelligence à présenter, sous une forme detaillee et ordonnee
numériquement tous les éléments constitutifs d'une seule chose, et il suffit ici de
concevoir tout ce qui est détaillé et ordonné à l'intérieur d'un livre ou d'un
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ouvrage scientifique = le développement présente concernant l'essence d'une


chose ressemble à « ce qui est décrit progressivement à l'intérieur d'un livre»:
voila ce qui detinit exactement une connaissance concernant l'essence de la
chose === la question comment se rapporte non pas à l'acte qui consiste à « dire
l'essence de la chose » mais concerne profondément l'acte de dévoiler ou de
démontrer la manière dont les éléments détaillés et ordonnés forment une
connaissance scientifique et systématique d'une chose: le livre = le comment ne
s'adresse pas à l'essence de la chose comme à une vérité générale, mais
concerne l'explication scientifique et le développement systematique de
l'essence de la chose ou d'une vérité generale ==
La question comment fait passer dans le « dire » l'essence d'une chose et fait
ensuite élever cette démarche jusque vers l'explication scientifique et
méthodique de l'essence de la chose elle-même == elle mene à une philosophie
dite « essentialisme », c'est-à-dire à une doctrine qui enseigne à propos de «
l'essence » = « l'essence » se définit comme « ce qu'est une chose » ou « ce que
nous comprenons qu'elle est » ou « l'idée d'une chose » = « elle enveloppe
l'intelligibilite d'une chose », et par intelligibilité nous entendons « ce par quoi »
ou « ce avec quoi » nous comprenons qu'une chose est réellement une chose » =
si la question se pose quelle est l'essence du stylo ? nous répondons : l'essence
du stylo est « d'écrire » = l'essence n'est pas la matière (la couleur, plastique) ou
la forme (ronde ou longue) = elle désigne « l'acte d'écrire » = et cet « acte
d'écrire» est à distinguer de la matière et de la forme = l'essence est de l'ordre
d'un acte qui constitue fondamentalement le stylo = en bref el'essence - en se
rapportant à l'acte - se situe comme au-delà de la
matiere (physique) et de la forme (plate, ronde, longue, etc.) = elle se situe dans
l'ordre de
la métaphysique ===
La question comment - en orientant vers l'essence - conduit à distinguer
l'essence de l'existence = l'essence s'exprime dans le cadre de la définition, de la
détermination, de la compréhension, de la quiddite = l'existence par contre est
de l'ordre de ce qui renvoie à l'être = l'existence n'est pas l'être mais renvoie
chaque existant à se faire « être » = mon existence par exemple, me renvoie a
me faire être == le fait d'exister signifie pour moi : déterminer mon être et
réaliser mon être = l'existentialisme est donc une doctrine ou un
enseignement qui ordonne le moi a determiner et realiser son etre = l'existence
fait passer
d'abord dans l'essence (donc dans la définition, dans la détermination, dans la
quiddite, dans la connaissance de l'idée des choses); elle fait ensuite passer dans
la realisation ou dans l'accomplissement de l'essence, c'est-à-dire dans la
réalisation de «ce qu'est
Un

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