Leçon 7
Leçon 7
Leçon 7
Il y a des effets entre les parties mais aussi entre les tiers.
Article 1103 : tienne lieu de loi : le contrat a force obligatoire il s’impose aux parties comme
la loi s’imposerait à eux. Ce principe est complété à l’article 1193
A) L’intangibilité du contrat
1) le principe
Art 1193, en principe le contrat ne peut pas être modifié , ni révoqué ( une fois que le contrat
est conclu et par principe on ne peut pas reprendre son consentement) .L’article prévoit le
consentement mutuel des parties ou les cause que la loi autorise.
Les parties peuvent se mettre d’accord pour permettre une révocation du contrat et cet accord
il peut avoir lieu en cour de route ( la vie du contrat = mutuus dissensus) ou il al lieu des
l’origine avec la stipulation d’une clause
2) Exceptions
a) Le mutuus dissensus
Les parties d’un commun accord peuvent se délier d’un engagement contractuelle ( il peuvent
se mettre d’accord pour sortir du contrat) => sa ne pose pas de réel difficulté sur le principe.
Mais il faut se mettre d’accord sur les conséquences du mutuss dissensus. Il y a 2 grande
catégorie
- Soit les parties se mette d’accord sur un mutuuss dissensus a porté rétroactive : les
parties efface le contrat et toutes les conséquences qui on n’ont découlé. Si il y a eu un
début d’exécution il faut prévoir les restitution .`
- Il se mette d’accord pour un mutuus dissensus sans rétroactivité =elle se mette
d’accord pour se délier de leur engagement mais seulement pour l’avenir. On met fin
au contrat mais on ne revient pas sur ce qui a été fait. Dans ce cas on utilise le terme
de résiliation
Dès la conclusion du contrat les parties peuvent avoir convenu d’insérer dans le contrat une
clause qui permet a l’un deux de ce délier de l’engagement , de révoquer l’engagement. La
liberté contractuelle est très importante , les partie choisissent le mécanisme , elle peuvent
choisir d’attribuer cet prérogatives a un seul des contractant ou au deux contractants Elle
peuvent choisir les conséquence qu’il découleront de cette révocation. Elle peuvent choisir de
donner une dimension discrétionnaire a la faculté d’édit selon le choix des parties. La pratique
les nomme de manière assez diverse :
- Clause de d’édit : pour les contrat et exécution instantanée pour lesquelles la
révocation est souvent prévu comme rétroactive
- Clause de résiliation : en particulier pour les contrats qui s’étale dans la durée.
Des clause on en a vu certain nombre : les billet train qui sont annulable ( comme un dédit )
B) La durée du contrat
Il y, a des contrats qui s’exécute en un trait de temp = la durée n’est pas une problématique
Le contrat qui s’étale dans le temps et donc pour lesquelles on n’a une certaine durée qui va
être prévu mais quand il va prendre fini.
Il y a une grande marge de manœuvre pour déterminer les règles qui choisissent = liberté
contractuelle. Cette liberté est tempérée par certaine règles :
- La prohibition des engagements perpétuelle : elle vient limiter la liberté contractuelle
des contractant.
- Article 1211 du Code civil : le contractant pour exercer ce droit doit respecter un
délais préavis raisonnable( en cas de contentieux sa sera au juge de détermine le
délais raisonnable ). En cas de non-respect du préavis : on peut donner a la victime une
compensation
Préjudice causale : qui découle de la faute
Il faut replacer la victime dans l’état dans le cas ou le préavis aurait été respecter
- comme toute prérogative contractuelle elle doivent être exécuté de bonne fois : il ne
pourrait être exercer si il y a une intention de nuire au co – contractant. Y ‘a t- il des
motivations a donné. En droit commun non .
1210 : du fait de la prohibition perpétuel : la durée ne doit pas être si longue qu’elle
transforme le contrat en engagement perpétuel => ce qui est interdit .
Lorsqu’une durée est prévue elle doit être respecter , les parties sont lièé jusqu’au terme
extinctif sauf l’hypothèse qu’il y a une clause de dédit serait stipuler , les parties doivent
exécuter leur contrat jusqu’à leur terme.
A l’arrivée du terme de la relation contractuelle prend fin ; il y a 3 codes dans le Code civil
qui peut étendre le délai
a) Le renouvellement
art 1212 AL 1 :
AL2 : nul ne peut exiger le renouvellement du contrat => au terme du contrat les parties sont
libres de le renouveler ou de ne pas le renouveler. => ce droit il se déduit du principe de
liberté contractuelle ( liberté de contracté , de ne pas contracter et de déterminer les termes du
contrat ) = on a liberté de le faire ou de ne pas le faire
Art 1214 : il peut être renouveler par l’accord des parties=> il se mettent d’accord pour
renouveler le contrat et cet accord peut être donner soit a l’arrivée du terme. Dans ce cas ce
renouvellement donne naissance a un nouveau contrat mais a durée indéterminée. Dans ce
contrat la question de la durée change =>règle supplétive de volonté ( le nvx contrat issu du
contrat es a durée indéterminée est supplétive de volonté). Les parties peuvent se mettre
d’accord pour que le contrat soit de nouveau a durée déterminée.
Ce consentement peut être donnée dès la conclusion du contrat initial n les parties peuvent
avoir stipuler une clause qui prévoit que a l’arrivée du terme , le contrat sera renouveler qu’il
donnera naissance a un nouveau contrat sauf manifestation de volonté contraire. On est obligé
de maintenir cette exception.
=> Cet clause n’a pas de titre mais on peut l’appeler clause de renouvellement. Les praticiens
en pratique appellent sa clause de tacite reconduction.
Mais il est utilisé à l’article 1215 pour autre chose donc il faut faire attention sur cette
appellation.
b) La prorogation
Le législateur a prévu des règles différentes pour une hypothèse assez proche
Art 1213 : les parties avant l’arrivée du terme, il se mettent d’accord pour
continuer le contrat après termes = proroger .
Dans ce cas il n’y a pas de création de nvx contrat, même contrat on a juste décaler le terme
extinctif ( par avenant on s’est mis d’accord pour modifier le contrat)
c) La tacite reconduction
L’hypothèse prévue a l’article 1215 : notion assez complexe ; le terme est arrivé et les parties
continu d’exécuté le contrat comme si de rien n’était.
Contrat de bail : le gens continu a utiliser le bien et paye le loyer même si le terme
est échut. = sa arrive dans les relations d’affaires entre les entreprises.
Dans ce cas si les partis ont continué a exécuté le contrat, on estime que cette exécution
s’analyse en une tacite reconduction et que celle – ci produit les mêmes effets qu’un
renouvellement. Cette exécution du contrat après le terme a créé un nouveau contrat dont les
termes sont identiques mais une durée indéterminée. Chaque partie possédé un droit de
résiliation unilatéral.
C) La révision du contrat
Celle de savoir si en cour d’exécution du contrat , si on peut le modifier ?
Ces toujours le même contrat mais il est réviser : les parties sont liée par les obligations
d’origine plus les obligation qui ont été révisé par avenant. en cas de doute le juge devra
interprété le contrat en fonction des volonté des contractant.
Si la modification est trop radicale et qu’elle donne naissance a un. Nvx contrat n’est pas a
qualifié d’avenant mais on parle de « novation ». Normalement la modification n’est pas
rétroactive mais pour l’avenir
2) Le problème de l'imprévision
Situation dans laquelle il y a un évènement extieur qui est survenu en cour d’exécution du
contrat et qui a modifié l’équilibre de celui-ci . 2 précision :
- L’imprévision ne doit pas être confondu avec la survenance d’un évènement de force
majeur.
Fm : contractant totalement empêcher de s’exécuter . Dans le cas de l’imprévision
le contractant peut s’exécuter mais très difficile du fait d’un évènement extérieur
- Le problème de l’imprévision se pose d’autant plus que le contrat est prévu pour
s’étaler dans la durée ,d’autant plus que la durée est longue. Le problème se pose
essentiellement lorsque le contrat est de durée indéterminée. Soi c’est un CDI : chacun
des contractant dispose d’un droit de resialtion unilatéral ;
a) Ancien droit
( on est en droit commun des contrat , il y a un certain nombre de disposition spécial qui
prévoit des un traitement dérogatoire àl d’hypothèse de l’imprévision comme les contrats
alimentaiter= des dispositions spéciales obligent les parties a insérer une clause de révision de
leur contrat d’approvisionnements qui stipule dans quel cas on va ouvrir les négociations
- Rendre l’exécution onéreuse pour une partie : il va avoir une marge d’appréciation
pour le juge. Excessivement onéreux ≠ impossible ou un peu plus cher
- Que la partie n’est pas accepté le risque : on déduit de cette condition que cet article
est supplétive de volonté. Les parties peuvent assumé le rique de tous élément
extérieur qui viendrait déséquilibrée le contrat .Les parties peuvent continuer a stipuler
des clauses d’imprévision pour avoir avoir des conclusion différentes.
- La victime peut demander une renégociation pendant le temp de cet renégociation elle
doit continuer a exécuter une conditions prévue initialement
- Si la négociation a échoué : les parties peuvent convenir de ressourdre le contrat ( y
metrre fin) Accorder sur les conséquences de cet résolue-
- Les parties ne se met pas d’accord : il saisissent le juge , et alors il peut réviser le
contrat ou y mettre fin. La difficulté est la révison du contrat, car c’est autorisé le juge
a s’immiscer dans l’équilibre contractuelle et fixer le prix
On voit un article qui fait confiance au juge :
- Soit il y met fait
- Soit révisison du prix
Les parties peuvent insérer une clauses de révision , elle pouvait le faire avant la réforme et
c’est comme cela qu’lle contouranait la règle de l’arrêt Canal de Crapone.
Depuis le nvx texte il n’ y a plus de contrat sans clause d’imprévision et écarter l’article 1195.
Les contractant peuvent par le jeu d’une clause ecaret l’article 1195 et decider qu’il n’ y aura
aucune révison en cas de déséquilibre du contrat. Il peuvent aussi amménager l’article 1195.
Elle peut le faire en modifiant les règles prévue .
Art 1194
1994 : nous indique que le contrat ne se réduit pas a ce qui est stipulé , il y a en plus d’autre
obligation que celle qui sont expressément stipulée. Obligation qui découle de l’équité ,
l’usage ou la loi.
Présentation. Convaincante : les complémentes quantitatif et qualificatif
Il ya des obligations qui s’ajoute a celle qui sont souscrite de sorte a rendre le contrat plus
cohérent , plus conforme au attente des partie. Obligation pensé mais expressément écrit. Ou
certaine qu’il on pas été pensé mai que on considère essentielle. ON parle parfois de forcage
du contrat par le juge , il force a faire rentrer dans le contrat des clause qui n y était pas.
La jurisprudence a fait jouer une obligation d’information et de conseil dans certain contrat
ou on estime que c’est équitable de la prevoir.Un devoir d’information et de conseil de son
client sur la portée et les riques lors d’un prêt
L’obligation de sécurité de la part du restaurateur
2) Le complément qualitatif
Art 1104
Obligation qui complète toute les autres . l’exécution de bonne foi dans une
sversion minimal suppose une absence d’intention de nuire. L’obligation de bonne
foi peut aussi signifier qu’il ya une obligation de loyauté , de respect de son co
contractant. C’est la ou c’est plus difficile a appliqué. Peut être qu’il n’ a pas la
même portée dans tous les contrat. IL y en a ou les intérêt son antagoniste : les
contrat de vente . Ici le principe de bonne fois. Va être appliqué de manière
minimale .
Il y a des contrat ou les intérêt des co contractant vont dans le même ses : contrat de
franchise . Plus exigent s’agissant du devoir de bonne foi et que les parties prennent en
compte les intérêt de leur co contractant
- Le salarié qui est cour de formation chez un employeur et qui durant son stage
demande un autre stage chez le concurent de l’employeur. Pas de clause dans le
contrat qui l’interdit=> manquement au devoir de bonne foi=> sa ne se fait pas =>
manque de loyauté de la part du stagiaire
- Dans le contrat de travail , il y a une clause de mobilité , l’employeur a le droit de lui
imposer de travailler ailleurs => l’employeur oblioge le salarié a travailler a l’autre
bout de la France => il est démontré qu’il a fait exprès d’imposer un déménagement a
l’autre bout de la France pour cet employé qui n’a pas les moyen de le faire , il le fait
pour le forcer a démissionné => utilisation de la clause => mauvaise foi
- Contrat de bail => clauses résolutoire « le bailleur pourra résoudre le contrat si le
locataire manque a une des ces obligation » et il est prévu qu’il présente sa police
d’assurance. IL a la police d’assurance mais a oublié de le présenter. Le bailleur prend
cet oublie pour se débarrasser de son locataire => le juge va décider que la clause a été
utiliser de mauvaise foi par le propriétaire .
- Contrat d’assurance : clause de modification unilatéral => l’assureur peut modifier
unilatéralement l’assurance dans prévenir le assureur. Et le risque qui était assurer
mais que a la suite de la modification. Il se plaint de ne pas être couvert et de ne pas
l’avoir prévenu => le juge décide que cette modification unilatéral devait êtes fait de
bonne foi.
Au niveau probatoire la bonne foi se présume , donc c’est a celui qui se prévaut d’une
mauvais fois qu’il incombe de faire la démonstration . C’est sur celui-ci que pèse le risque de
la preuve.
La cour de cassation refuse de faire jouer le devoir de bonne foi et appliquer pleinement la
clause de garantit de passif et estime que ces aux associé de payer .
La clause de garantit de partie est le cœur du contrat = clause doit être totalement respecté et
le devoir de bonne foi ne peut pas l
1104 : il doit être exécuté de bonne foi mais on ne peut pas portée atteinte au cœur du contrat.
On voir