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les OSC

POLITIQUE

Togo- Voici ce qui se cache derrière le silence de la CEDEAO,


révélé par les OSC
written by L'Alternative 25 avril 2024 1,9K vues 16 minutes de lecture Mettre en
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La Délégation de la Commission de la Communauté Economique des


Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui a séjourné au Togo du 15
au 20 avril derniers, a rencontré des représentants des
Organisations de la société civile togolaise le 18 avril. Dans une
déclaration rendue publique ce jour, les OSC livrent le contenu des
discussions et dévoilent ce qui se cache derrière le silence de
l’organisation sous-régionale sur les multiples coups d’état
constitutionnel et autres violations des textes et des droits humains
par le régime des Gnassingbé.
Déclaration liminaire
Adoption de la loi sur le changement constitutionnel sur fond
d’impopularité au Togo : les organisations de la société se félicitent
de la prise de position du Bureau des affaires africaines du
Département d’État américain et encouragent les autres partenaires
en développement à abonder dans ce sens.
L’exaspération des populations vis-à-vis de l’oppression du régime togolais
sur fond de la mauvaise gouvernance caractérisée par la brutalité, la
confiscation des libertés d’expression, d’opinion, de presse et d’association
dans l’unique but de faire pérenniser un régime qui se traduit par la
corruption au sommet de l’État, le détournement des deniers publics,
l’accentuation de la pauvreté et de la vie chère, le chômage, l’absence d’eau
potable, d’électricité, d’infrastructures routières, sanitaires, écolières, avec un
système judiciaire aux ordres où les juges et leurs décisions sont
constamment sous l’influence de l’exécutif, est véritablement à son comble.
Alors que dans sa patience, le peuple se bat pour la reconquête de ses droits
et libertés, le système oppresseur cherche à s’assurer un pouvoir à vie à
travers un changement de la constitution pour un régime monarchique dans
l’optique de renforcer l’oppression et le totalitarisme.
Lire aussi : Togo- Voici le nouveau rapport d’Amnesty International
qui épingle le régime de Faure Gnassingbé
 Sur la complaisance de la CEDEAO vis-à-vis du régime togolais
Dans leur détermination à refuser la pérennisation d’une gouvernance qui se
résume au culte de la personnalité et à œuvrer pour mettre fin à une
souffrance inouïe de leurs concitoyens, les organisations de société civile ont
engagé des actions multiformes, tant sur le plan national qu’à l’échelle
internationale. Dans ce cadre, une délégation a rencontré la mission de la
commission de la CEDEAO qui a séjourné au Togo du 15 au 20 avril 2024.
En effet, le 18 avril 2024, les organisations de société civile ont été reçues
par le Chef de mission de la commission de la CEDEAO, SEM Maman Sambo
SIDIKOU et ses collaborateurs M. Ebenezer ASIEDU, chef Division Démocratie
et Bonne Gouvernance CEDEAO, M. Constant GNAKADJA, chef Division
Médiation et Coordination CEDEAO, en présence de M. Bacar BANJAI,
Représentant Résident de la CEDEAO au Togo, dans les locaux de la BIDC à
Lomé.
Les discussions ont essentiellement porté sur la crise politique togolaise
actuelle marquée par le coup d’État constitutionnel orchestré par le chef de
l’État togolais, son gouvernement et les député(e)s en fin de mandat.
Sur la polémique née des deux communiqués substantiellement différents de
la CEDEAO par rapport à sa mission au Togo, les Responsables de
l’organisation sous-régionale n’ont pas donné des réponses convaincantes à
cela, et tout porte à croire que, sur la crise togolaise, la CEDEAO a des mains
très liées au point qu’elle soit incapable d’afficher un ton de fermeté vis-à-vis
des autorités togolaises.
Lire aussi : Togo- Nouvelle Constitution : « où allons-nous ? », Mgr
Benoît Alowonou
Sur la question relative au coup d’État constitutionnel, la mission de la
CEDEAO a été bien édifiée sur les interprétations réelles de la constitution en
vigueur, notamment celle du 14 octobre 1992, avec les violations en cours,
en passant par l’illégitimité et l’illégalité de l’Assemblée nationale, le
caractère anti-constitutionnel du changement opéré, le mépris des normes,
pratiques et principes universels sur les changements de constitution, le
mépris et la spoliation des droits du peuple, et plus précisément la
violation de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples de juin
1980, du protocole de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance
de décembre 2001 et de la charte africaine de la démocratie, des élections et
de la gouvernance de janvier 2007.
Les organisations de société civile ont clairement expliqué aux émissaires de
la CEDEAO la cause profonde du coup d’État constitutionnel qui est le refus
d’alternance politique au sommet de l’État et l’intention de M. Faure
Gnassingbé qui est très assoiffé du pouvoir et qui cherche à s’y éterniser
après 19 ans de pouvoir qui viennent s’ajouter aux 38 années de son feu
père, Éyadema Gnassingbé, alors que ce n’est un secret pour personne que le
manque d’alternance au pouvoir est source de crise au Togo.
Les organisations de société civile ont notifié à la CEDEAO que M. Faure
Gnassingbé est l’objet de la crise politique togolaise et qu’il devrait avoir de
la considération pour les autres membres de son cercle qui sont aussi
présidentiables et capables de diriger le pays, peut-être mieux que lui.
Lire aussi : Togo- Changement de constitution : les USA sont
profondément préoccupés
De manière rigoureuse et sur un ton grave, les organisations de société civile
n’ont pas manqué de rappeler à la délégation de la CEDEAO ses différentes
prises de positions légères, erronées et complaisantes sur le Togo dans les
crises politiques de 2005, 2012, 2017 et 2020.
Sur la question des élections législatives et régionales en cours, les
organisations de société civile ont relevé le caractère non fiable du fichier
électoral du fait des fraudes et les nombreuses irrégularités qui ont émaillé le
recensement électoral ; le refus délibéré de la Commission nationale
électorale indépendante (CENI) illégale de recenser plusieurs citoyens en âge
de voter, sans oublier le rejet de certaines listes des candidatures de
l’opposition sur des motifs fallacieux.
En réponse à la préoccupation majeure des togolais qui refusent le
changement de la constitution et toute réforme qui permettrait à M. Faure
Gnassingbé de s’éterniser au pouvoir, la mission de la CEDEAO dit avoir pris
bonne note et qu’elle rendra compte à la Commission.
En considérant les échanges et à l’analyse de la position de la CEDEAO sur la
crise togolaise, il ressort clairement que le problème se situe au niveau de la
Conférence des chefs d’État qui dicte leur décision à la Commission, ce qui
justifie le silence et l’absence de fermeté vis-à-vis des autorités togolaises du
fait certainement de leur « générosité » et de leur « gentillesse » vis-à-vis
des responsables de cette institution sous-régionale. Sinon, rien ne peut
justifier une attitude de deux poids deux mesures de la même institution, qui
a déployé avec promptitude un arsenal de sanctions contre les autorités des
autres pays comme la Guinée, le Niger, le Burkina Faso et le Mali pour des
faits antidémocratiques, et lorsqu’il s’agit des faits similaires au Togo, la
CEDEAO semble justifier sa complicité en se cachant derrière la souveraineté
du Togo. Il est inadmissible que la CEDEAO se soit intéressée promptement à
la violation de la constitution au Sénégal et garde encore silence sur cette
même violation de constitution au Togo.
De quelle souveraineté parle-t-on ?
Quand on parle d’une CEDEAO des peuples, Y a-t-il une autre souveraineté en
dehors de celle du peuple ? Quand la CEDEAO fait semblant de ne pas savoir
la position du peuple togolais, pourquoi garde-t-elle le silence sur la
confiscation des libertés d’expression au Togo, où les manifestations
pacifiques sont systématiquement interdites ? La CEDEAO ne reçoit-elle pas
les informations sur le Togo par le biais de sa représentation qui est sur
place ?
Lire aussi : Ghana- Pourquoi Nana Akufo-Addo sera poursuivi en
justice à la fin de son mandat
En tout état de cause, il apparaît désormais clair que la mission de la CEDEAO
a pour but de faire valider le coup d’État constitutionnel à travers les
élections dont les fraudes sont déjà actées en amont depuis les
recensements électoraux ; bref, la CEDEAO est venue remplacer le rôle de
l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) dont la fourberie a été
dévoilée par les organisations de société civile. La CEDEAO ne doit pas perdre
de vue que l’arrivée de M. Faure Essozimna Gnassingbé au pouvoir en 2005 a
occasionné plus de 500 morts selon le rapport de la mission onusienne
d’enquête et d’établissement des faits.
En conséquence, par sa complaisance qui dure encore et son silence
continuel sur les nombreuses dérives de la dictature togolaise, la CEDEAO est
disqualifiée à intervenir comme médiateur dans la crise togolaise. Les
organisations de société civile invitent les acteurs de la vie sociopolitique à la
récuser purement et simplement.
 Sur le recours devant la Cour de justice CEDEAO
Il est important de relever que la Cour de justice de la CEDEAO reste la seule
institution crédible qui inspire encore confiance aux populations de l’Afrique
de l’ouest. C’est pourquoi un recours a été déposé devant cette juridiction,
par les organisations de la société civile, les partis politiques, pour voir
ordonner à l’État du Togo le retrait pur et simple de cette loi sur changement
constitutionnel prise en violation de la charte africaine des droits de l’homme
et des peuples, du protocole de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne
gouvernance et de la charte africaine de la démocratie, des élections et de la
gouvernance. Il convient de souligner que l’État togolais a reçu notification
dudit recours et devrait répondre conformément au Règlement de procédure.
À cet effet, toutes contributions visant à soutenir cette action en justice sont
les bienvenues.
 Sur l’appel des organisations de société civile à l’endroit des
autres partenaires en développement
Les organisations de la société civile se félicitent de la réaction du Bureau des
affaires africaines du Département d’État américain qui a exprimé sa
profonde préoccupation suite à l’approbation par l’Assemblée nationale du
Togo d’importants changements constitutionnels sans consultation populaire
préalable et qui a exhorté le gouvernement togolais à engager un débat
ouvert, inclusif et transparent autour avant d’opérer une telle réforme
majeure et à respecter les droits des Togolais de se réunir et de manifester.
Les organisations de société civile lancent un appel ultime aux autres
partenaires en développement, notamment l’Union africaine, l’Union
européenne et l’Allemagne qui ont toujours préservé une dignité par rapport
à la moralisation et à l’éthique vis-à-vis des compromissions des dirigeants
africains, à abonder dans ce sens et à œuvrer pour sauver les acquis
démocratiques au Togo.
En regrettant l’inefficacité de la CEDEAO et profondément concernées et
vivement préoccupées par la longue crise sociopolitique au Togo, les
organisations de la société civile demandent, avec insistance, une médiation
plus crédible de la communauté internationale, notamment les États-Unis
d’Amérique, la République Fédérale d’Allemagne, la France et l’Union
Européenne, en vue de mettre ensemble les fils et les filles du Togo autour
d’une table de discussion pour redéfinir librement les choix de ses
orientations politiques.
Les organisations de la société civile réitèrent leur appel aux sanctions
ciblées des partenaires en démocratie contre le chef de l’État togolais et tous
ses collaborateurs ministres, conseillers et députés qui cherchent à priver le
peuple de son droit fondamental qui est la Constitution de 1992 qu’il s’est
librement doté par référendum.
Lire aussi : Ghana- La Cour Suprême suspend les salaires des
épouses du président et du Vice-Président
En tout état de cause, la Communauté internationale joue sa crédibilité vis-à-
vis de l’attitude qu’elle affichera face à la tendance de « russification » et de
« poutinisation » qui guette le Togo. Le peuple togolais attend de chaque
partenaire qu’il affiche une position claire et ferme pour la défense et la
protection de la démocratie au Togo.
Pour ceux qui ont vendu leur dignité en acceptant de prendre des présents à
travers des financements politiques occultes de l’argent du pauvre
contribuable togolais, il est temps de cesser ces pratiques immorales qui
diminuent substantiellement les principes et valeurs qu’incarne et véhicule
une démocratie vraie et sincère. À ceux-là encore, il faut clairement signifier
que quand nos dirigeants viendront vers eux dans l’optique d’acheter leur
silence devant les graves violations des droits de l’homme et entraves à l’État
de droit et à la démocratie, qu’ils leur disent que les temps ont changé et
qu’ils doivent changer de paradigme ; qu’ils leur disent que la valeur ne se
trouve point dans les richesses et encore moins dans l’argent du sang et de la
corruption ; qu’ils leur disent que la valeur de l’homme se trouve dans la
connaissance de la source de la vérité, de l’intelligence et de la sagesse ;
qu’ils leur disent que l’argent public des togolais appartient aux togolais ;
qu’ils aient le courage de leur dire de ramener cet argent pour équiper les
hôpitaux pour que les femmes n’accouchent plus par terre comme l’a relevé
une enquête d’Amnesty International ; qu’ils leur disent d’équiper les
hôpitaux de scanner, de doter leurs populations d’eau potable et d’électricité,
de construire les routes et les écoles, de créer les emplois et de lutter contre
la pauvreté et la vie chère au Togo ; qu’ils leur disent que des dizaines de
togolais meurent tous les jours faute de moyens et de soins adéquats ; qu’ils
leur disent de cesser de torturer et de tuer leurs frères pour le pouvoir ; qu’ils
leur disent que le pouvoir n’est pas éternel ; qu’ils leur disent de libérer la
centaine de prisonniers politiques ; qu’ils leur disent de respecter les
décisions de la Cour de justice CEDEAO ; qu’ils leur disent d’indemniser les
victimes de tortures ; qu’ils leur disent de chercher à faire la paix avec leur
peuple ; qu’ils leur disent enfin qu’il n’est pas encore tard de se corriger pour
bien faire car ils ne sont pas tous puissants comme ils le prétendent.
La fin ne sera pas une fatalité, chacun choisit comment il voudra finir, soit par
la grande porte, soit par les fenêtres ou les claustras.
 Sur l’éventualité d’une promulgation du coup d’État
constitutionnel
En outre, si d’aventure monsieur Faure Gnassingbé, dans sa boulimie du
pouvoir, venait à promulguer sa forfaiture et son abus de pouvoir au mépris
de la loi et du peuple, les organisations de la société civile invitent les
populations togolaises à ne pas accepter le fait accompli, car la flamme des
contestations et du rejet doit être maintenue pour mettre un terme à la
forfaiture.
Étant donné que les initiateurs ne sont pas légitimes du fond en comble, la
constitution de 1992 reste la seule convention nationale ratifiée par le
peuple, le seul contrat social accepté par toutes les parties légitimes de la
société togolaise. Les conventions n’engagent que leurs signataires et les
togolais ne se sentiront pas liés des suites de ce coup d’État constitutionnel
d’un réseau sectaire.
Les organisations de la société civile convient donc l’ensemble des
populations togolaises à la résistance jusqu’à l’alternance politique pacifique
et au retour effectif de la constitution d’octobre 1992.
Fait à Lomé, le 25 avril 2024
Ont signé :
M. Daguerre K. AGBEMADOKPONOU (ALCADES)

M. Monzolouwè B. E. ATCHOLI KAO (ASVITTO)

M. Christophe Komlan TETE (GAGL)

M. Bassirou TRAORE (GCD)

M. Koffi DANTSEY (GLOB)

M. Poro EGBOHOU (FDP)

Dr Emmanuel H. SOGADJI (LCT)

Me Célestin Kokouvi G. AGBOGAN (LTDH)

Me Raphaël N. KPANDE-ADZARE (MCM)

M. Issaou SATCHIBOU (MJS)

M. Bertin BANDIANGOU (SEET)

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