Serie 1 (Enoncé+corrigé)
Serie 1 (Enoncé+corrigé)
Serie 1 (Enoncé+corrigé)
Série de TD n◦1
Exercice 1.
1) Soient P , Q et R trois assertions. Montrer par un raisonnement directe qu’on a :
(a, b)R(c, d) ⇔ a2 + b2 = c2 + d2 .
f : R2 /R −→ [0, +∞[
(a, b) 7−→ a2 + b2
Exercice 9. Soit E un ensemble non vide et R une relation d’équivalence. Montrer que l’en-
semble quotient modulo R forme une partition de E.
Exercices Supplémentaires
Exercice 10.
1) Soient P , Q et R trois propositions. Montrer en utilisant la table de vérité qu’on a :
Exercice 11.
1) Montrer par contraposée que ∀n ∈ N, n2 pair ⇒ n pair.
ln(2)
2) Montrer par l’absurde que ln(3)
est irrationnel.
Exercice 13.
√
1) Montrer que 2 est irrationnel.
2) En déduire qu’il existe deux nombres irrationnels x et y tel que xy est un nombre rationnel.
Exercice 14.
1) En utilisant un raisonnement direct montrer que toute fonction réelle est une somme d’une
fonction réelle paire et d’une fonction réelle impaire.
2) Soit a ∈ R. Montrer que (∀ε > 0, |a| ≤ ε) ⇒ a = 0.
3) Démontrer que l’équation 9x5 − 12x + 6x − 5 = 0 n’admet pas de solution entière.
4) Soit n ∈ N∗ . Montrer que :
a) 2 divise n(n + 1),
b) 3 divise n(n2 − 1).
Exercice 15. Montrer qu’il n’existe pas deux carrés parfaits consécutifs dans N∗ .
Exercice 16 (Le principe des tiroirs). Démontrer que si vous rangez (n + 1) paires de chaus-
settes dans n tiroirs distincts, alors il y a au moins un tiroir contenant au moins 2 paires de
chaussettes.
Exercice 17. Soit E un ensemble. Montrer que
∀A, B, C ∈ P(E), (A ∩ B = A ∩ C et A ∪ B = A ∪ C) ⇐⇒ B = C.
f /
E =F
φ
g
E/R
Exercice 20. Dire si les relations suivantes sont réflexives, symétriques, antisymétriques, tran-
sitives.
1) E = Z et xRy ⇔ x = −y.
2) E = R et xRy ⇔ cos2 (x) + sin2 (y) = 1.
3) E = P(E) et ARB ⇔ A = B ou A = B̄.
Quelle sont parmi les exemples précédents les relations d’ordre et les relations d’équivalences ?
Exercice 21. Soient E, F et G des ensembles non vides. Soient f : E → F et g : F → G des
applications. Montrer que :
1) Soit f : N2 → N∗ , (n, p) 7→ 2n (2p + 1). Démontrer que f est une bijection. En déduire une
bijection de N2 sur N.
2) Soit f : Z × N∗ → Q, (p, q) 7→ p + 1q , f est-elle injective, surjective ?