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Physique

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Biologie

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Biologie

Partie de Science de la nature

Pratiqué par Biologiste, biology student (d)

Champs Morphologie

écologie

botanique

zoologie

archéobiologie

anatomie

mycologie

génétique

biologie des couleurs (d)

biologie cellulaire

biologie de l'évolution
biologie computationnelle

neurobiologie (d)

microbiologie

biotechnologie

biochimie

biophysique

Vie
Objets
organisme

Histoire Histoire de la biologie

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La biologie (du grec bios « la vie » et logos, « discours ») est


la science du vivant. Elle recouvre une partie des sciences de la nature et
de l'histoire naturelle des êtres vivants1.

La vie se présentant sous de nombreuses formes et à des échelles très


différentes, la biologie s'étend du niveau moléculaire, à celui de la cellule,
puis de l'organisme, jusqu'au niveau de la population et de l'écosystème.

Étymologie

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Portrait de Jean-Baptiste Lamarck, 1893.

Le terme biologie est formé par la composition des deux


mots grecs βίος / bios, « vie », et λόγος / lógos, « discours, parole »2,3.

Ce néologisme est créé à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle et


de façon indépendante :

 en allemand par Theodor Georg August Roose en 17974, Karl


Friedrich Burdach en 1800 et Gottfried Reinhold Treviranus dans son
ouvrage Biologie oder Philosophie der lebenden Natur, publié
à Göttingen en 1804 ;
 en français par le naturaliste français Jean-Baptiste de Lamarck dans
ses Recherches sur l’organisation des corps vivants en 1802 :

« Tout ce qui est généralement commun aux végétaux et


aux animaux comme toutes les facultés qui sont propres à chacun de ces
êtres sans exception, doit constituer l'unique et vaste objet d'une science
particulière qui n'est pas encore fondée, qui n'a même pas de nom, et à
laquelle je donnerai le nom de biologie. »

Chez Lamarck on trouve, pour la première fois, une conception de l'être


vivant qui reconnaît son originalité, comparativement aux objets inanimés
sans pour autant la faire déroger aux lois de la physique, contrairement à
ce qu'avaient tendance à faire les vitalistes et les fixistes.

Le même Lamarck, bien avant de donner des cours de biologie en 1819,


sépare dans son ouvrage Hydrogéologie, paru également en 1802, la
physique terrestre en trois parties :

 la météorologie (étude de l'atmosphère) ;

 l'hydrogéologie (étude de la croûte minérale) ;

 la biologie (étude des corps vivants).

Les savants allemands, à l'appel de Treviranus, lancent les méticuleux


inventaires de la flore et de la faune, réalisés par ceux qui,
respectivement, se nommeront botanistes et zoologistes. Vers le milieu
du XIXe siècle, un intérêt pour les fonctions du vivant oriente la recherche
biologique vers la physiologie.

Histoire

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Articles détaillés : Histoire de la biologie et Chronologie de la biologie.

Principes fondateurs

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Définition de l'objet

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Définir la vie

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L'objet de la biologie est l'être vivant et la vie, dans son ensemble et son
fonctionnement. Mais qu'est-ce qu'un être vivant ? En quoi se différencie-t-
il des objets inanimés et des machines ? Et qu'est-ce que la vie5 ? À ces
questions, les biologistes n'ont actuellement pas de réponse précise, qui
fasse l'unanimité dans la communauté scientifique. Certains d'entre eux
pensent même que ces questions sont sans objet.

Ainsi en 1878 Claude Bernard, dans la première des Leçons sur les
phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux 6, déclare
explicitement « on peut caractériser la vie, mais non la définir », car la
biologie doit être une science expérimentale ; ce serait là une définition a
priori et « la méthode qui consiste à définir et à tout déduire d'une
définition peut convenir aux sciences de l'esprit, mais elle est contraire à
l'esprit même des sciences expérimentales ». En conséquence, « il suffit
que l'on s'entende sur le mot vie pour l'employer » et « il est illusoire et
chimérique, contraire à l'esprit même de la science, d'en chercher une
définition absolue ».

La biologie semble être restée fidèle à cette conception, puisqu'elle


continue à ne pas précisément définir la notion de vie pour se limiter à
l'analyse de « choses naturelles » ou parfois en partie créées par l'humain
(via la sélection puis le génie génétique) que le sens commun lui désigne
comme vivants. Cette analyse permet de mettre en évidence un certain
nombre de caractères communs à ces objets d'étude, et ainsi d'appliquer
ce qualificatif de vivant à d'autres objets présentant les mêmes
caractères. Cette méthode, exclusivement analytique et expérimentale, a
considérablement renforcé l'efficacité et la scientificité du travail du
biologiste, comparativement aux conceptions souvent spéculatives
d'avant Claude Bernard. Elle a cependant amené une « physicalisation »
telle que l'on a parfois l'impression que, pour rendre scientifique la
biologie, il a fallu nier toute spécificité à son objet.

De fait, certains biologistes en viennent à déclarer que « la vie n'existe


pas ! », ou plus exactement qu'elle serait un processus physico-chimique
parmi d'autres.

Le premier d’entre eux est probablement Albert Szent-Györgyi, prix Nobel


de médecine en 1937, qui a déclaré :

« La vie en tant que telle n’existe pas, personne ne l’a jamais vue 7. »

Le plus connu est François Jacob :

« On n'interroge plus la vie aujourd'hui dans les laboratoires. On ne


cherche plus à en cerner les contours. […] C'est aux algorithmes du
monde vivant que s'intéresse aujourd'hui la biologie 8. »

Plus récemment, c'est aussi la position d'Henri Atlan :

« L’objet de la biologie est physico-chimique. À partir du moment où l’on


fait de la biochimie et de la biophysique, et où l’on comprend les
mécanismes physico-chimiques qui rendent compte des propriétés des
êtres vivants, alors la vie s’évanouit ! Aujourd’hui, un biologiste
moléculaire n’a pas à utiliser pour son travail le mot « vie ». Cela
s’explique historiquement : il s’occupe d’une chimie qui existe dans la
nature, dans un certain nombre de systèmes physico-chimiques
particuliers, aux propriétés spécifiques, et appelés animaux ou plantes,
c’est tout !9 »

Cette dernière citation illustre la confusion entre l'étude de la vie et celle


de la matière des êtres vivants, où transparaît la tentation de réduire la
biologie à la seule biologie moléculaire en niant au vivant, grâce au
nivellement que permet la chimie, toute spécificité qui ne soit pas une
simple différence physico-chimique. Autrement dit, il est tentant, en
réduisant la biologie à la biologie moléculaire, de ne différencier le vivant
de l'inanimé que par les critères par lesquels la biologie moléculaire se
différencie du reste de la chimie.

Vivant et inanimé

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André Pichot affirme que « Cette négation de la spécificité du vivant


pourrait venir d'une conception où l'on n'admet aucune discontinuité entre
vivant et inanimé pour conserver un univers cohérent et unifié »10. On peut
y admettre une gradation progressive entre l'inanimé et le vivant, tant
dans les formes actuelles (les virus, censés être à la limite du vivant et de
l'inanimé) que dans l'apparition de la vie sur Terre (cette apparition y est
comprise comme une phase prébiotique progressive sans discontinuité
marquée).

Cette « négation de la spécificité du vivant », qui se veut matérialiste,


semble confondre simplement le matérialisme épistémologique (l'étude
critique des sciences) et les sciences de la matière proprement dites 10.

En biologie, tenter d'expliquer la notion de vie et la spécificité de l'être


vivant, peut conduire aux notions de vitalisme ou même d'animisme, car
en s'écartant un peu de la physico-chimie on peut sortir du
matérialisme épistémologique. Si bien qu'aujourd'hui « on a l'impression
que ce que vise la biologie n'est pas tant l'étude de la vie (ou de l'être
vivant dans ce qu'il a de spécifique relativement à l'objet inanimé) que sa
pure et simple négation, le nivellement et l'unification de l'univers par la
physico-chimie. Comme si, pour unifier, il valait mieux nier les solutions de
continuité que les comprendre »10.

Une autre approche, plus systémique, est ainsi résumée en 1970 par
François Jacob : « Tout objet que considère la Biologie représente un
système de systèmes; lui - même élément d'un système d'ordre supérieur,
il obéit parfois à des règles qui ne peuvent être déduites de sa propre
analyse » ; c'est une des bases de l'écologie scientifique et de son
« approche écosystémique »11.

Le problème de la spécificité de l'être vivant n'est donc pas encore réglé


par la biologie moderne qui ainsi n'a donc aucune définition claire et
explicite de son objet. Ce problème est seulement occulté de diverses
manières, qui toutes tendent à ramener, faute de mieux, la conception
de Descartes de l'être vivant comme plus ou moins semblable à
une machine très complexe10.

Rares sont les biologistes qui s'inscrivent en faux contre cette


approximation en avançant une conception du vivant plus précise, visant à
se rapprocher de la réalité10,12. Un certain nombre de travaux en biologie
théorique tentent en effet de dépasser les limitations auxquelles on s'est
heurtées jusqu'à présent, tels que ceux de Francisco Varela, Robert Rosen
ou Stuart Kauffman13. L'enjeu est alors souvent de tenter d'appréhender
les différences entre biologie et physique14.

Évolution

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Article détaillé : Évolution.


Charles Darwin en 1868.

Page titre du Origin of Species (L'Origine des


espèces) de Charles Darwin.

La première théorie de l'évolution du vivant a été avancée par Jean-


Baptiste Lamarck dans son ouvrage Philosophie Zoologique en 1809.
Comme son titre l'indique, elle se présente sous la forme d'un système
philosophique, bien qu'elle pose les bases essentielles pour la
compréhension des êtres vivants et de leur évolution. Cinquante ans plus
tard, en 1859, avec la parution de L'Origine des espèces15, Charles
Darwin propose une explication scientifique de l'évolution, sous la forme
d'un mécanisme simple, avec le principe de sélection naturelle. Avec le
temps, la théorie originelle de Darwin a été affinée avec les résultats des
expériences et observations que les biologistes ont effectuées. La théorie
faisant actuellement consensus est celle de la théorie synthétique de
l'évolution, appelée aussi néodarwinisme.
Le caractère évolutionniste de la vie a pendant très longtemps été discuté
et est même encore mis en doute par certaines personnes en dehors de la
communauté scientifique, mais aucune de ces objections à la théorie de
l'évolution n'est scientifiquement fondée. La communauté scientifique a
depuis très largement admis l'évolutionnisme de la vie comme un fait
démontré par l'expérience et l'observation à maintes reprises notamment
par :

 l'examen des fossiles en paléontologie qui montre l'évolution des


formes de vie à travers le temps ;

 l'anatomie comparée qui met en évidence les similitudes


morphologiques entre des animaux pourtant différents ;

 l'hérédité qui explique les variations génétiques d'une génération à


une autre ;

 l'étude comparée du génome de plusieurs organismes qui montre


l'éloignement plus ou moins important dans l'arbre phylogénétique,
permettant ainsi de retracer l'évolution et l'éloignement des
différentes formes de vie ;

 la culture sélective des plantes et la domestication des animaux sont


la mise en application par les humains du principe de sélection
naturelle.

Diversité

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Article détaillé : Biodiversité.

Si la biologie est si vaste, c'est en raison de l'extrême diversité du vivant


qui se présente sous tellement de formes que l'on peut avoir du mal à
discerner des points communs. Une hiérarchisation du vivant a tout de
même été réalisée, qui est le domaine de la systématique et de
la taxinomie. Tous les êtres vivants sont classés en trois domaines :

 les bactéries ;

 les archées ;

 les eucaryotes.

Universalité

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Structure en 3D de la molécule d'ADN.

Bien qu'étant différentes, toutes les formes de vie partagent des


caractères communs. Ce qui porte à croire que la vie sur Terre a pour
origine une seule et même forme de vie, désignée sous
l'acronyme de LUCA (pour l'anglais : Last universal common ancestor), qui
serait apparue sur Terre il y a au moins 2,5 milliards d'années.

Les principaux caractères universels du vivant sont :

 le carbone qui, par ses caractéristiques physiques, sert de


« squelette » à tous les composés organiques ;

 l'ADN et l'ARN, qui servent de support au génome et assurent la


transmission de ce dernier à la descendance lors de la reproduction ;

 la cellule qui est la plus petite unité vivante. Ce dernier point est
discuté au sein de la communauté scientifique, car les virus sont
considérés comme vivants par certains biologistes, alors qu'ils ne
sont pas faits de cellules.

Domaines d'études

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En raison du caractère extrêmement vaste du sujet, l'étude de la biologie


nécessite un morcellement en domaines d'études. Une approche un peu
« réductrice » mais ayant l'avantage de clarifier les thèmes consiste à
définir des niveaux d'organisation. Dans un souci de parvenir à une
compréhension plus globale de la biologie, des ponts se sont
naturellement créés entre les différentes disciplines. Permet l'exploration
de différents sujets originaux comme la biologie moléculaire,
la biotechnologie, la toxicologie, la science biomédicale, etc.
Structure du vivant

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Articles détaillés : Biologie moléculaire et Biologie cellulaire.

Structure d'une cellule végétale.

Les domaines étudiant la structure du vivant sont à l'échelle de


l'atome pour la biologie moléculaire et de la cellule pour la biologie
cellulaire.

Le domaine de la biologie moléculaire étudie les composés de bases du


vivant, comme l'ADN et les protéines. Pendant longtemps, on a cru que les
lois de la chimie régissant le vivant étaient différentes de celles pour la
matière inanimée. Mais depuis la synthèse de nombreux composés
organiques, il est clairement admis que les lois chimiques sont les mêmes
que pour la matière inorganique. Aucune force vitale n'insuffle la vie à la
matière comme on le pensait avant avec la théorie vitaliste.

La mise au point du microscope avec lequel Robert Hooke a découvert les


cellules en 1665 a marqué la naissance de la biologie cellulaire et celle
d'un monde alors insoupçonné. Cette découverte et les nombreuses qui
ont suivi ont permis d'expliquer certains phénomènes comme ce que l'on
qualifiait à l'époque de génération spontanée. C'est à cette échelle que
l'on rencontre les premiers organismes vivants.

Anatomie et physiologie

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Aspect de différents squelettes d'après
le Larousse de 1922.

Articles détaillés : Histologie, Physiologie et Anatomie.

Prise au sens structurelle et fonctionnelle, la biologie recouvre également


l'ensemble des disciplines, classiques et modernes, qui étudient des
structures comme les tissus avec l'histologie ou les organes avec
l'anatomie. La physiologie quant à elle étudie les principes mécaniques,
physiques et biochimiques des organismes vivants et est séparée en deux
branches : la physiologie végétale et la physiologie animale.

Diversité et évolution

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L'arbre phylogénétique.

Articles détaillés : Taxinomie, Systématique, Biologie de


l'évolution, Botanique et Zoologie.

L'extrême diversité du vivant n'empêche en rien le groupement en entités


ou taxons (Taxinomie), leurs relations les uns par rapport aux autres et
leur classement (systématique).

Interactions

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Articles détaillés : Écologie et Éthologie.

Les interactions des êtres vivants entre eux et les liens les unissant avec
leur environnement est le domaine de l'écologie. L'éthologie quant à elle
étudie le comportement animal dans le milieu naturel.

Niveaux d'observation et disciplines

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Les Sciences de la Vie comprennent de nombreuses disciplines et sous-


disciplines plus ou moins reliées entre elles et parfois imbriquées. Ces
disciplines sont organisées soit par niveau d'observation, soit par approche
méthodologique, soit par type d'organisme étudié.

Niveau
d'observat Exemple Disciplines
ion

chimie
moléculair molécules biologiques : protéine
organique, biochimie, bio
e s, ADN, ARN
logie moléculaire

composants de biologie
la cellule (organites) cellulaire, cytologie

cellules, organismes unicellulair


microscop microbiologie
es
ique
tissus histologie

organes physiologie

biologie des
macrosco
organismes, individus organismes, anatomie, ét
pique
hologie

biologie des
populatio colonies, populations, métapopu
populations, génétique
nnel lations
des populations

taxinomie, phylogéograp
spécifique espèce
hie, etc.

groupes
supra- systématique, écologie,
d'espèces, écosystèmes, évoluti
spécifique phylogénie
on humaine
Applications

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Un laboratoire à l'institut
de biochimie de Cologne.

Les applications des découvertes en biologie sont nombreuses et très


présentes dans le quotidien de l'être humain. Les avancées importantes de
ces dernières décennies en médecine ont principalement pour origine les
découvertes sur le fonctionnement du corps humain. Le
domaine pharmaceutique profite également des avancées en chimie
organique.

Plus récemment, la découverte de la structure de l'ADN et une meilleure


compréhension de l'hérédité ont permis de modifier finement les êtres
vivants, par notamment les techniques de génie génétique, et trouvent
des applications dans les domaines agricole et agro-alimentaire.

La biologie peut également avoir des applications en criminologie. Dans


la Revue française de criminologie et de droit pénal, Laurent Lemasson
présente trois corrélations entre biologie et criminalité mises en évidence
par différents chercheurs: la présence des gènes MAOA et HTR2B chez une
part importante de criminels16 ; un fonctionnement anormal des régions
frontales et temporales du cerveau17 ; enfin un état de sous-excitation
physiologique chez les criminels multirécidivistes 18.

Impacts sur la société

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Depuis le développement de la biologie moléculaire et de la physiologie


cellulaire dans la seconde partie du XXe siècle, les progrès de la biologie
sont devenus quotidiens et ont un impact énorme sur la société :
compréhension des mécanismes moléculaires de plusieurs centaines de
maladies, amélioration des traitements contre le cancer, compréhension
des mécanismes neurologiques, amélioration des traitements des
maladies mentales et dépistage de tares génétiques in utero. Une
meilleure compréhension de l'évolution moléculaire, substrat physique à
l'évolution des espèces, permet de transposer aux humains les
découvertes faites sur les animaux, y compris des vers comme C.
elegans ou la mouche drosophile, dont on a montré que les mécanismes
moléculaires de segmentation du corps au cours de l'embryogenèse sont
identiques à ceux de l'humain, et, de manière générale, à tout le
vivant métazoaire.

Toutefois, les progrès très rapides de la biologie suscitent parfois des


interrogations philosophiques, de vives inquiétudes, voire une forte
opposition de certaines associations ou organisations non
gouvernementales (ONG). On peut citer notamment : le clonage,
les organismes génétiquement modifiés (OGM), le séquençage, et les
problèmes de propriété intellectuelle qui en découlent.

Animalia - Bos primigenius taurus.

Planta - Triticum.

Fungi - Morchella esculenta.

Stramenopila/Chromista - Fucus serratus.


Bacteria - Gemmatimonas aurantiaca (- = 1 Micrometer).

Archaea - Halobacteria.

Virus - Gamma phage.

Notes et références

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1. ↑ Peter H Raven, Kenneth A Mason, Georges B Johnson, Jonathan B


Losos, Susan R Singer, Biologie, De Boeck Supérieur, 2017 (lire en
ligne [archive]), p. 2

2. ↑ « Logos et Biologie. Étymologie et historique », Portail lexical


du CNRTL en ligne.

3. ↑ Prs Geerinck et Balleux, Répertoire des racines d'origine


hellénique, utilisées dans la terminologie des sciences biologiques.
Biologie à l'Athénée Fernand Blum [archive], sur afblum.be (consulté
le 1er septembre 2014).

4. ↑ Jean-Claude Laberche, Biologie végétale, coll. « Sciences


sup », éditions Dunod, Paris, 1999, p. 3 (ISBN 2-10-004548-2).

5. ↑ Erwin Schrödinger, Qu'est-ce que la vie ?, 1944.


6. ↑ [Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et
aux végétaux. Première leçon, 1878 : lire en ligne [archive]

7. ↑ 1948 ; cité par Henri Atlan, 1994.

8. ↑ François Jacob, La Logique du vivant, une histoire de l’hérédité,


1970, p. 321.

9. ↑ Henri Atlan, Question de vie, éd. Seuil, 1994, p. 43-44.

10. ↑ Revenir plus haut en :a b c d et e André Pichot. Histoire de la notion de vie,


éd. Gallimard, coll. « Tel », 1993 : lire concluion en cligne [archive]

11. ↑ François Jacob, La logique du vivant, une histoire de


l’hérédité, coll. « Tel », 1re éd., 1970, éditions Gallimard, Paris, 1987,
356 p. (ISBN 978-2-07-029334-6)

12. ↑ Gérard Nissim Amzallag, L'homme végétal, pour


une autonomie du vivant, 2002

13. ↑ (en) Giuseppe Longo, Maël Montévil et Stuart Kauffman, « No


Entailing Laws, but Enablement in the Evolution of the
Biosphere », Proceedings of the 14th Annual Conference Companion
on Genetic and Evolutionary Computation, ACM, gECCO
'12, 1er janvier 2012, p. 1379–
1392 (ISBN 9781450311786, DOI 10.1145/2330784.2330946, lire en
ligne [archive], consulté le 4 décembre 2016).

14. ↑ (en) Giuseppe Longo et Maël Montévil, Perspectives on


Organisms, Springer (ISSN 2195-1942, DOI 10.1007/978-3-642-
35938-5, lire en ligne [archive]).

15. ↑ Charles Darwin, L'Origine des espèces [édition du


Bicentenaire], trad. A. Berra sous la direction de P. Tort, coord. par M.
Prum. Précédé de Patrick Tort, « Naître à vingt ans. Genèse et
jeunesse de L’Origine ». Paris, Champion Classiques, 2009.

16. ↑ Bertrand Jordan, « Encore le « gène


du crime » ? », Médecine/Sciences, vol. 31, 2015 (lire en
ligne [archive]).

17. ↑ (en) Adrian Raine, Monte Buchsbaum et Lori LaCasse,


« Brain Abnormalities in Murderers Indicated by Positron Emission
Tomography [archive] ».

18. ↑ (en) Jonathan Wells, « Low resting heart rate linked to 'future
violent or anti-social behaviour' », The Telegraph.uk, 17 septembre
2015 (lire en ligne [archive]).

Voir aussi
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Bibliographie

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Un article bibliographique spécifique serait utile (juillet 2023).


Compte tenu du nombre d'ouvrages ou d'études relatives au sujet de
l'article, il serait utile de créer un article bibliographique spécifique. On ne
garderait alors dans l'article que les ouvrages biographiques ou de
référence principaux, ainsi que ceux utilisés pour écrire l'article.

Introduction à la biologie : dictionnaire, traité, présentation


générale, réflexion

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 Neil A. Campbell et Jane B. Reece, Biologie, 7e éd., adaptation de


l'édition en anglais et révision scientifique de René Lachaîne et
Michel Bosset, Pearson Education, 2007.

 Jacques Berthet, en collaboration avec Alain Amar-


Costesec, Dictionnaire de Biologie, De Boeck & Larcier, Bruxelles,
2006, 1034 p. Préface de Christian de Duve (ISBN 2-8041-2798-2)

 Jean-Louis Morère, Raymond Pujol, Dictionnaire raisonné de biologie,


éditions Frison-Roche, Paris, 2003, 1222 p. Préface de Jean
Dorst et Yves Coppens (ISBN 978-2-87671-300-0)

 William K. Purves, Gordon H. Orians, H. Craig Heller, Traité de


Biologie, Sciences Flammarion, Paris, 1994, 1224 p. Traduction par
Jacqueline London de Life: The science of biology, 3e éd., Sinauer
associates, Sunderland, Massachusetts, 1992 (ISBN 978-2-257-
15025-7)

 (en) Hans Günter Schlegel (de), General Microbiology, Seventh


Edition, Cambridge University Press, 1992, 656 p. Translation
of Allgemeine Mikrobiologie, Georg Thieme Verlag, Stuttgart, 1969-
1992, by Margot Kogut (ISBN 978-0-521-43980-0)

 Boyce Rensberger, Au cœur de la vie, au royaume de la cellule


vivante, De Boeck Université, 1999, Bruxelles, 348 p. Traduction
de Life itself : exploring the realm of the living cell, Oxford University
Press, 1996 (ISBN 978-2-7445-0054-1)

 Günther Vogel, Hartmunt Angermann, Atlas de la biologie,


Encyclopédie d’aujourd’hui, La Pochothèque, Le livre de poche,
1994, 641 p. Adaptation du dtv-Atlas zur Biologie, zweite Verfassung,
Deutsche Taschenbuch Verlag, München, 1984, sous la direction de
Georges Carric. La première adaptation scientifique de l’édition 1970
est dirigée par le biologiste généticien Matthieu Ricard avec Michel
Stephan, Élisabeth Loubet, Jean-Pierre Bobillot, Dominique Marie,
Alain Saint-Dizier et la traduction de Anne Sebisch, Michel Brottier et
Claude Sebisch (ISBN 978-2-253-06451-0)

 Le livre de la vie, sous la direction de Stephen Jay Gould, textes de


Peter Andrews, Michael Benton, Christine Janis, J. John Sepkoski,
Christopher Stringer, dessins de John Barber, Marianne Collins, Ely
Kish, Akio Morishima, Jean-Paul Tibbles, coll. « science ouverte »,
Seuil, Paris, 1993, 256 p. Traduit de l’anglais par Marcel
Blanc (ISBN 978-2-02-019988-9)

 Guillaume Lecointre (dir.), Guide critique de l’évolution, Belin, Paris,


2009, 504 p. (ISBN 978-2-7011-4797-0)

 Guillaume Lecointre, Hervé Le Guyader, Classification


phylogénétique du vivant, 3e éd. revue et augmentée
après 1re éd. de 2001, Belin, 2006, 560 p. (ISBN 978-2-7011-4273-9)

 Pierre-Paul Grassé, L’évolution du vivant, coll. « sciences


d’aujourd’hui », Édition Albin Michel, Paris, 1973.

 Jacques Ruffié, Traité du vivant, coll. « Le temps des sciences »,


Librairie Arthème Fayard, Paris, 1983, 796 p. (ISBN 978-2-213-
01159-2)

 Louis de Bonis, Évolution et extinction dans le règne animal, Les


grands problèmes de l’évolution, Masson, 1991, 192 p. (ISBN 978-2-
225-82322-0)

 Edward O. Wilson, La diversité de la vie, édition Odile Jacob


Sciences, 1993, 496 p. Traduction par Marcel Blanc de The diversity
of life, 1992 (ISBN 978-2-7381-0221-8)
 Christian de Duve, À l’écoute du vivant, Odile Jacob sciences, Paris,
2002, 402 p. (ISBN 978-2-7381-1166-1)

 Patrick Tort, Dictionnaire du darwinisme et de l’évolution (dir.), Paris,


PUF, 1996, 3 vol., 5000 p. Ouvrage couronné par l’Académie des
sciences.

 Peter Hamilton Raven, Georges Brooks Johnson, Kenneth A. Mason,


Jonathan B. Losos et Susan R. Singer (trad. Jules
Bouharmont), Biologie, De Boeck Supérieur, 2019 (1re éd. 2007),
1400 p. (lire en ligne [archive])

 Tania Louis, Agatha Liévin-Bazin et Éléa Heberle, La battle du vivant,


Paris, De Boeck Supérieur, 28 février 2024 (1re éd. 2024),
168 p. (ISBN 978-2-8073-4539-3, lire en ligne [archive])

Botanique

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 Frederik Liubenstein, Dictionnaire de la Botanique


Européenne (Europaïsch Botanisch Wörterbuch) Brême, 1862

 Gaston Bonnier, Les noms de fleurs trouvés par la méthode simple,


Librairie générale de l’enseignement, Paris, 1971, 338 p.

 Dietmar Aichelé, Quelle est donc cette fleur ?, éditions Fernand


Nathan, Paris, 1975, 400 p. Illustrations de Marianne Golte-Bechtle.
Traduction par Thomas Althaus de Was blüht denn da ?, Frankh’sche
Verlagshandlung, Kosmos Verlag, Stuttgart, 1973.

 Bernard Boullard, Dictionnaire de Botanique, Ellipses, 1990.

 Aline Raynal-Roques, La botanique redécouverte, Belin/INRA


éditions, 1994, 512 p. (ISBN 978-2-7011-1610-5)

 Brian Capon, La botanique pour jardinier, Belin, 2005,


256 p. Traduction par Georges Ducreux de Botany Gardeners, édition
de 1990 révisée en 2005 (ISBN 978-2-7011-3919-7)

 Paul Mazliak, Traité de physiologie végétale, Hermann

 Marcel Bournérias, Christian Bock, Le Génie végétal, Nathan, Paris,


1992, 232 p. (ISBN 978-2-09-241040-0)

 Christine Bourquin-Mignot, Jacques-Elie Brochier, Lucie Chabal,


Stéphane Crozat, Laurent Fabre, Frédéric Guibal, Philippe Marinval,
Hervé Richard, Jean-Frédéric Terral, Isabelle Théry-Parizot, La
Botanique, coll. « Archéologiques » sous la direction d’Alain Ferdière,
éditions Errance, Paris, 1999, 208 p. (ISBN 978-2-87772-174-5)
 Suzanne Amigues, Études de botanique antique, préface de Pierre
Quézel. Paris, de Boccard, 2002, XV-501 p.

Espèces animales

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 Henri Tachet (dir.), Philippe Richoux, Michel Bournand, Philippe


Usseglio-Polatera, Invertébrés d’eaux douces, systématique,
biologie, écologie, CNRS Éditions, Paris, 588 p. (ISBN 978-2-271-
05745-7)

 René Jeannel, « Introduction à l’entomologie » in Nouvel atlas


d’entomologie, éditions N. Boubée & Cie, 1960.

 Michel Lamy, Les insectes et les hommes, coll. « Sciences


d’aujourd’hui », Albin Michel Sciences, Paris, 1997, 416 p. (ISBN 978-
2-226-08896-3)

 Lars Svensson, Peter J. Grant pour les textes, Dan Zetterström, Kilian
Mullarney pour les illustrations, Le guide ornitho, les 848 espèces
d’Europe en 4 000 dessins, coll. « Les guides du naturaliste »,
Delachaux et niestlé, Paris, 2000, 400 p. Traduction de l’ouvrage
suédois Faogel guiden, Europas och Medelhavsomraodets faoglar i
fält, Albert Bonniers, Förlag, Stockholm, 1999 par Jean-Louis
Parmentier avec adaptation et supervision scientifique de Guilhem
Lesaffre (ISBN 978-2-603-01142-3)

 Louis Chaix, Patrice Méniel, Archéozoologie, les animaux et


l’archéologie, coll. « des Hespérides », éditions Errance, Paris, 2001,
240 p. (ISBN 978-2-87772-218-6)

 Jared Diamond, Le troisième chimpanzé, essai sur l’évolution et


l’avenir de l’animal humain, Gallimard, Paris, 2000. Traduction
de The Third Chimpanzee, Harper-Collins, New York, 1992.

 André Langaney, Les Hommes, passé, présent, conditionnel, Armand


Colin, Paris, 1998, 252 p. (ISBN 978-2-200-37117-3)

Écologie et milieux

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 Jean-Louis Morère (dir), Les êtres vivants dans leur milieu, sciences
naturelles 2de, Hachette, Paris, 1985, 240 p. (ISBN 978-2-01-010680-
4)

 Gunnar Thorson, La vie dans la mer, coll. « L’Univers des


connaissances », Hachette, Paris, 1971, 256 p. Texte français de
Georges H. Gallet.
 Bernard Boullard, Guerre et paix dans le règne végétal, Ellipses,
Aubin Imprimeur, Paris, 1990, 336 p. (ISBN 978-2-7298-9033-9)

 Claude Leroy, La forêt redécouverte, Belin, Paris, août 2009,


732 p. (ISBN 978-2-7011-4886-1)

Biogéographie et culture botanique

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 Paul Ozenda, Végétation du continent européen, Delachaux et


Niestlé, Lausanne /Paris, 1994, 272 p. (ISBN 978-2-603-00954-3)

 François Couplan, Ce sont les plantes qui sauvent, ma botanique


gourmande, récit, Plon, Paris, 2005, 462 p. (ISBN 978-2-259-19670-
3)

 Gérard Debuigne, François Couplan, Petit Larousse des plantes qui


guérissent, 500 plantes, édition Larousse 2006, 896 p. (ISBN 978-2-
03-582256-7)

 Christian et Élisabeth Busser, Les plantes des Vosges, médecine et


traditions populaires avec un guide de découverte et d’emploi de
200 plantes médicinales, La Nuée bleue, DNA Strasbourg, 2005,
348 p. Préface de Jean-Marie Pelt (ISBN 978-2-7165-0657-1)

Initiation à la biophysique et biologie humaine

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 André Aurengo, Bertran Auvert, François Leterrier, Thierry Petitclerc


sous la direction de François Gremy, Biophysique, coll. « PCEM »
éditée par François Grémy en 1982, 2e tirage corrigé, Médecine
Sciences Flammarion, Paris, 1994, 494 p. (ISBN 978-2-257-10594-3)

 Alain Blacque-Belair, Bernard Mathieu de Fossey et Max


Fourestier, Dictionnaire des constantes biologiques et physiques en
médecine, applications cliniques pratiques, 6e éd., éditions Maloine,
Paris, 1991, 848 p. (ISBN 978-2-224-01907-5)

 P. Boulanger, J. Polonovski, G. Biserte et M. Dautrevaux, Abrégé de


biochimie médicale, Masson, Paris, 1re éd., 1981, 2e éd., 1989 :

 1. Les constituants des organismes vivants, 2e éd., 1989,


348 p. (ISBN 978-2-225-81640-6)

 2. Métabolismes et régulations, 1re éd., 1981,


344 p. (ISBN 978-2-225-68740-2)
 G. Crouzols, M. Lechaud, avec la mise à jour de F. Lasnier, Hygiène
et biologie humaines, éditions Jacques Lanore, Malakoff, 1993,
288 p. (ISBN 978-2-86268-035-4)

 Christian Robert et Pierre Vincent, Biologie & physiologie humaines,


Vuibert, Paris, 1995, 678 p. (ISBN 978-2-7117-5234-8)

 Pierre Jacquemin, Jean-Louis Jacquemin (illustrations), Abrégé de


parasitologie clinique, Collection d’abrégés de médecine sous la
direction du Pr Le Guyon, Masson et Cie éditeurs, Paris, 1974,
228 p. (ISBN 978-2-225-36091-6), réédition 1987 (ISBN 978-2-225-
80910-1)

 IMS Wilkinson, Neurologie, coll. « En bref », De Boeck Université,


Bruxelles, 2002, 284 p. Traduction par Patrick Chaynes, avec révision
scientifique de Mathieu Zuber, de l’ouvrage
anglais Neurology, 3e éd., Blackwell Science, 1999 (ISBN 978-2-
7445-0134-0)

 Jean-Marie Bourre, Le cholestérol, Les classiques santé, édition


Privat, Toulouse, 1997, 160 p. Préface de Jean-Louis
Étienne (ISBN 978-2-7089-3703-1)

Histoire de la biologie

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 Georges Petit, Jean Théodoridès, Histoire de la zoologie, des origines


à Linné, coll. « Histoire de la pensée, de l’école pratique des hautes
études », t. VIII, Hermann, 1962, 360 p.

 (de) Gottfried Reinhold Treviranus, Biologie oder Philosophie der


lebenden Natur, 6 t., Göttingen, 1802.

 Bernard Mantoy, Jean-Baptiste de Lamarck, créateur de la biologie,


éditions Seghers, Paris, 1968, 192 p.

 Charles Darwin, L'Origine des espèces [édition du Bicentenaire],


trad. A. Berra sous la direction de P. Tort, coord. par M. Prum.
Précédé de Patrick Tort, « Naître à vingt ans. Genèse et jeunesse
de L’Origine ». Paris, Champion Classiques, 2009. Traduction de On
the origin of species by means of natural selection or the
preservation of favoured races in the struggle of life publié en 1859.
Texte de Daniel Becquemond à partir de la traduction de l’anglais
d’Edmond Barbier. Introduction de Jean-Marc Drouin (ISBN 978-2-08-
070685-0)
 Paul Mazliak, Les fondements de la biologie, le XIXe siècle de
Darwin, Pasteur et Claude Bernard, Vuibert, Adapt, 2002,
346 p. (ISBN 978-2-7117-5352-9)

La biologie, source de débats contemporains

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 Edward O. Wilson, L’unicité du savoir, de la biologie à l’art, une


même connaissance, Robert Laffont, Paris, 2000, 398 p. (ISBN 978-2-
221-08877-7) Traduction de Consilience, Alfred A. Knopf, New-York,
1998 (ISBN 978-0-679-45077-1)

 Bernard Dussart, Henri Friedel, Roger Dajoz, Roger Molinier, Jacques


Daget, Jean Keiling, François Ramade, René Oizon, Claude-Marie
Vadrot, François Lapoix, Michel et Claire Corajoud, Dominique
Simonnet, Jean-Pierre Charbonneau, Encyclopédie de l’écologie, le
présent en question, Librairie Larousse, 1977, 488 p. Présentation de
Henri Friedel. Conclusion de René Dumont. Un livre vert à plusieurs
voix, contemporain de l’essor du courant politique vert (ISBN 978-2-
03-070102-7)

Articles connexes

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Une catégorie est consacrée à ce sujet : Biologie.

 Histoire de la biologie

 Biologistes célèbres

 Biologie numérique

 Biosystémique

 Naissance du vivant

 Vie sur d'autres planètes

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