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MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÈCHE

MARITIME DE DÈVELOPPEMENT RURAL ET DES


EAUX ET DES FORETS

Compte-rendu sur une visite au sien ITSHM.

Le : 10/5/2024

Encadrée par : Madame Biognache.

Sur les ennemies des culture suivant : Amandier ; L’Olivier ; pommier ; La vigne ; les agrumes.

Réalisé par : Sara Agourram .

Les principale ennemies dans l’institut des


techniciens spécialisés en horticulture de
Meknès
Plan
Introduction

Les ennemies de les rosacées à noyaux amandier

 Les insectes
 Puceron
 Capnode
 Scolet
 Faux tigre
 Cétoine

Les maladies d’amandier

 Moniliose
 La cloque foliaire
 Maladie crible

Les ennemies des agrumes

 Cochenille australienne
 La mineuse
 La fumagine sur les agrumes

Les ennemies de pommier

Carpocapse

Les ennemies de l’Olivier

Maladies :

 Oiel de paon
 La tuberculeuse

Les insectes :

 Le psylle
 Trips
Les ennemies de la culture de la vigne

Les maladies :

 Mildiou
 Les mollusques
 Les noctuelles

Conclusion
Introduction

L'agriculture est confrontée à une multitude de défis, parmi lesquels les insectes et
les maladies jouent un rôle significatif. Ces organismes nuisibles peuvent causer
d'importants dommages aux cultures, menaçant ainsi la sécurité alimentaire et les
moyens de subsistance des agriculteurs. Les insectes ravageurs et les maladies des
plantes peuvent se propager rapidement, affectant la productivité des cultures et
nécessitant souvent l'utilisation de pesticides et d'autres mesures de contrôle coûteuses
et parfois controversées. Dans cette introduction, nous explorerons les principaux
insectes et maladies qui affectent l'agriculture, ainsi que les moyens de les gérer de
manière efficace et durable.

Les insectes bénéfiques jouent un rôle essentiel dans l'agriculture en contribuant à


la pollinisation des cultures, en contrôlant les populations d'insectes nuisibles et en
décomposant la matière organique pour enrichir les sols. Les abeilles, par exemple,
sont des pollinisateurs indispensables pour de nombreuses cultures fruitières et
légumières. Les coccinelles et les guêpes parasitoïdes sont des prédateurs naturels qui
aident à réguler les populations d'insectes nuisibles comme les pucerons. Les vers de
terre sont des décomposeurs qui améliorent la structure du sol et favorisent la santé
des plantes. En reconnaissant et en favorisant ces insectes bénéfiques, les agriculteurs
peuvent promouvoir une agriculture plus durable et résiliente.
Les ennemies des rosacées à noyaux
amandier ;

Les ennemis de la culture de l'amandier comprennent


plusieurs maladies et ravageurs qui peuvent affecter la santé
et la productivité des arbres. Parmi les maladies courantes,
on trouve la pourriture des racines, la moniliose (pourriture
des fruits), la bactériose, et la verticilliose. Les ravageurs tels
que le ver de la noix de l'amande, les pucerons, les acariens
et les perce-oreilles peuvent également causer des
dommages significatifs aux amandiers. De plus, les conditions
environnementales telles que les gelées tardives, les
sécheresses prolongées et les tempêtes de vent peuvent
également être préjudiciables à la culture de l'amandier. Une
gestion appropriée des maladies, des ravageurs et des
conditions environnementales est essentielle pour assurer le
succès de la culture de l'amandier.

Les insectes :

Puceron du bois :
Les pucerons du bois, également connus sous le nom de pucerons
du bois de cerisier, sont des insectes nuisibles qui attaquent les
amandiers ainsi que d'autres arbres fruitiers à noyau, tels que les
cerisiers et les pêchers. Ces pucerons se nourrissent de la sève des
jeunes pousses et des branches, affaiblissant ainsi l'arbre et réduisant
sa croissance et sa productivité

Nom commune : puceron

Non scientifique : Aphidoidea

La classe : insecte

L’ordre : hémiptère
Les dégâts de puceron sur les rosacées à noyaux :
Les pucerons peuvent causer plusieurs types de dommages aux
amandiers.

Tout d'abord, en se nourrissant de la sève des feuilles, des pousses


et des fruits,

affaiblissent l'arbre et réduisent sa croissance. Cela peut entraîner


un retard dans le développement de l'arbre et une diminution de la
production de fruits.

, les pucerons excrètent une substance collante appelée miellat, qui


peut recouvrir les feuilles et les fruits, favorisant la croissance de la
fumagine, un champignon noir qui réduit la capacité de la plante à
photosynthétiser

certaines espèces de pucerons peuvent transmettre des virus aux


amandiers

entraîner des maladies et des déformations des feuilles et des fruits.


En résumé, les pucerons peuvent avoir un impact significatif sur la
santé et la productivité des amandiers s'ils ne sont pas contrôlés
efficacement
La lutte conte le puceron :
Lutte biologique
 Des bio-insecticides à base d’huiles ou de sels de potassium d’acide gras sont
homologués pour lutter contre les pucerons.

Lutte chimique
 L’utilisation de pesticides conventionnels doit être considérée comme une solution de
dernier recours, puisqu’ils ont souvent un impact négatif sur les prédateurs naturels qui
réduisent les populations de pucerons.
 Lors de l’apparition des premiers pucerons (ou avant que les pucerons ne sécrètent leurs
fils laineux dans le cas des pucerons lanigères), traiter avec un bio-insecticide ou un
insecticide.
 Vérifier l’efficacité du premier traitement après quelques jours et si nécessaire, faire une
seconde application avec un insecticide d’un autre groupe chimique.
 Plusieurs insecticides conventionnels sont homologués pour lutter contre les pucerons.
 Privilégier les produits à faible risque pour la santé et l’environnement.

La lutte biologique
Capnode noir
Le capnode est un insecte de l’ordre des Coléoptères, famille des
Buprestidés, ennemi des arbres fruitiers à noyau du bassin
méditerranéen. Ces dernières années de sécheresses successives
favorisent la pullulation de cet insecte. En 2003, les premiers dégâts et
la mortalité d’arbres sont observés sur des vergers d’abri- cotiers non
irrigués. Depuis, on rencontre fréquemment des vergers touchés (en sec
ou en irrigation loca- lisée) dans les départements littoraux du
Languedoc-Roussillon. Les espèces fruitières les plus touchées sont
l’abricotier et le pêcher mais on le rencontre également sur l’amandier.

Nom commun : Capnode

Nom scientifique : Capnodis tenebrionis

Plantes affectées : Abricotier, pêcher, amandier, cerisier et prunier

Cycle : 1 génération par an

Contrôle : Mars à Mai et Septembre à Octobre avec des nématodes de


type Steinernema carpocapsae
Dégât de capnode les rosacées à noyaux :
 Les dégâts les plus préjudiciables sont occasionnés par les
larves.
 Celles-ci sectionnent les vaisseaux conducteurs de sève,
rendant l’alimentation de l’arbre difficile et pouvant entraîner la
mort du sujet. La vigueur des arbres et le nombre de larves sont
les 2 facteurs qui influent sur l’avenir du verger.
 Les vergers peu poussants et les jeunes plantations sont les
plus exposés.
 Les arbres attaqués présentent un feuillage anor- mal, d’aspect
chlorotique. La croissance de l’arbre est ralentie, les branches
dépérissent.
 Les dégâts attribués aux adultes ne sont pas de nature à mettre
la vie du verger en péril : écorces des jeunes rameaux de
l’année et feuilles rongées. L’observation de pétioles défeuillés
ou de feuilles vertes au sol peut être une indication de la
présence d’adultes.

La lutte contre le capnod


Aucun produit n’est autorisé pour lutter contre le capnode :

Cependant les œufs et les toutes jeunes larves étant

Sensibles à l’humidité, les vergers irrigués sont sou- vent moins touchés.

 On observe depuis quelques années des dégâts dans des vergers cultivés
en sec ou équipés d’un système goutte-à-goutte (zone humide moins
étendue).
 Dans les parcelles touchées, des arrosages à la lance dirigés au niveau du
tronc tous les 15 jours environ, hors conditions pluvieuses, peuvent
limiter la proli- fération des larves.
 Une protection du collet et sur 80 cm autour du tronc avec une toile
géotextile à maille fine peut constituer une barrière mécanique contre la
migra- tion des larves dans le sol.
 L’intervention la plus efficace à ce jour consiste à pratiquer le capnodage,
c’est-à-dire la destruction manuelle des adultes. Cette technique
régulière- ment utilisée dans les pays du Maghreb est simple mais
laborieuse du fait de la présence de l’insecte sur une longue période.
 Aujourd’hui, des essais sont en cours afin de pou- voir disposer dans un
proche avenir de moyens de lutte efficaces.
La cétoine
En réalité, les cétoines ne sont généralement pas considérées comme nuisibles pour les amandiers. Les adultes
se nourrissent principalement de pollen, de nectar et parfois de pétales de fleurs, mais ils ne causent
généralement pas de dommages significatifs aux amandiers eux-mêmes. Cependant, une forte population de
cétoines peut potentiellement perturber la pollinisation en consommant une partie du pollen des fleurs, ce qui
pourrait avoir un impact sur la production de fruits. Dans la plupart des cas,

Le nom scientifique : cétoine

Famille : scarabaeidae

L’ordre : coléoptére

La lutte conte de la cétoine :


Les cétoines ne nécessitent pas de mesures de contrôle spécifiques sur les amandiers, mais il peut
être utile de surveiller leur population et leur comportement dans les vergers. Si leur présence est
préoccupante, des méthodes de lutte biologique ou des pratiques culturales peuvent être mises en
place pour gérer leur population de manière appropriée.
Les maladies de l’amandier
Moniliose :
La moniliose est une maladie fongique qui affecte souvent les amandiers. Elle peut causer des taches brunes
sur les fruits et les feuilles, ainsi que des pourritures. Pour la gestion, il est recommandé de pratiquer une
bonne hygiène culturale, d'éviter l'excès d'humidité et d'utiliser des traitements fongicides appropriés si
nécessaire.

Type : champignon

Nom scientifique :Monilia laxa

Les symptôme de la moniliose


L'identification de la moniliose sur un amandier implique généralement l'observation de plusieurs symptômes. Voici
quelques signes courants :

 Taches brunes sur les fruits : Les fruits peuvent développer des taches brunes molles qui se propagent
rapidement, entraînant la pourriture.
 Taches sur les feuilles : Les feuilles peuvent présenter des taches brunâtres ou noires, souvent accompagnées
d'un aspect flétri ou fané.
 Fissures sur les fruits : Les fruits infectés peuvent développer des fissures ou des crevasses, favorisant la
croissance des champignons responsables de la maladie.
 Moisissure blanche ou grisâtre : Un revêtement de moisissure blanche ou grisâtre peut se former sur les fruits
infectés, en particulier par temps humide.
 Pourriture des fleurs : Les fleurs peuvent également être affectées, se flétrissant, brunissant et se desséchant
prématurément
Lutte contre la moniliose :
Méthodes culturales

Favorisez les variétés peu sensibles.

Réalisez un éclaircissage des fruits pour éviter la contamination de fruit à fruit.

Éliminez les feuilles tombées au sol.

Éliminez les rameaux et les momies des fruits atteints présents sur l’arbre ou au sol.

Adoptez les bonnes distances de plantations et les conduites de taille aérée.


Les ennemies des agrumes
Le cochenille australienne

Les ennemis des agrumes sont souvent des ravageurs tels que les pucerons, les cochenilles, les
acariens et les aleurodes. Ces insectes peuvent endommager les agrumes en suçant la sève des
plantes, ce qui affaiblit l'arbre et réduit la production de fruits. Il est essentiel de mettre en place des
méthodes de lutte intégrée pour contrôler ces ravageurs, telles que l'utilisation d'insecticides
naturels, la plantation de plantes répulsives et la promotion de leurs prédateurs naturels.

Nom commune : couchenille australienne

Non scientifique : Trichosurus vulpecula

La classe : insecte

L’ordre : hémiptère

Les dégâts de la couchenille australienne


Les dégâts causés par la couchaille australienne sur les agrumes peuvent être importants :

 Ces marsupiaux peuvent se nourrir des fruits,


 des feuilles et des écorces des arbres d'agrumes, ce qui peut entraîner des pertes de récoltes
significatives.

La lutte contre la couchenille australienne


Pour lutter contre la couchaille australienne, il est important de mettre en place des mesures de
gestion appropriées. Cela peut inclure la protection des cultures par des barrières physiques, la
modification de l'habitat pour dissuader les opossums, ou même l'utilisation de répulsifs naturels. Il
est également crucial de surveiller régulièrement les populations de couchailles pour prendre des
mesures préventives si nécessaire.
La mineuse
La mineuse des agrumes est un petit insecte ravageur qui peut causer des dommages importants aux agrumes en
creusant des galeries à l'intérieur des feuilles, des fruits et des pousses. Ces dommages affaiblissent les plantes et
peuvent entraîner des pertes de rendement significatives. Il est crucial de mettre en place des stratégies de lutte
pour contrôler les populations de mineuses et protéger les cultures d'agrumes.

Nom commune : la mineuse

Non scientifique : Phyllocnistis citrella

La classe : insecte

L’ordre : lépidoptères

Les dégâts de la mineuse


La mineuse des agrumes peut causer des dommages importants :

 en creusant des galeries à l'intérieur des feuilles,


 des fruits et des pousses des agrumes. Ces dommages affaiblissent les plantes et peuvent
entraîner des pertes de rendement significatives.

La lutte contre la mineuse


Pour lutter contre la mineuse des agrumes :

 il est essentiel de mettre en place des stratégies de gestion intégrée des ravageurs.
 l'utilisation de pièges à phéromones pour surveiller les populations de ravageurs,
 l'introduction d'ennemis naturels pour contrôler les populations de mineuses,
 des méthodes de lutte biologique telles que l'utilisation de nématodes bénéfiques.
Fumagine sur sur les agrumes :
La fumagine est causée par un champignon appelé : Capnodium spp

La fumagine peut provoquer des dommages sur les agrumes en recouvrant les feuilles, les tiges et les fruits d'une
couche noire, ce qui réduit la capacité de la plante à effectuer la photosynthèse

Les dégâts de fumagine :


La fumagine peut provoquer des dommages :

sur les agrumes en recouvrant les feuilles,

les tiges et les fruits d'une couche noire, ce qui réduit la capacité de la plante à effectuer la photosynthèse.

Une diminution de la croissance et du rendement des agrumes.

La lutte contre la fumagine :

 Pour lutter contre la fumagine sur les agrumes :


 il est important de contrôler les insectes producteurs de miellat, tels que les pucerons, les cochenilles ou
les aleurodes, qui favorisent son développement.
 utiliser des méthodes de lutte biologique pour contrôler ces insectes, comme l'introduction d'ennemis
naturels ou l'utilisation de savon insecticide pour les éliminer.
 En éliminant la source de miellat, vous pouvez réduire la croissance de la fumagine sur vos agrumes.
Les ennemis de pommier
Carpocapse
La carpocapse est un insecte nuisible qui attaque les fruits à pépins comme les pommes et les poires. Ces insectes
pondent leurs œufs sur les fruits, et les larves se développent à l'intérieur, causant des dommages aux cultures. Il
est important de surveiller et de contrôler les populations de carpocapse pour protéger les récoltes de fruits.

Nom commune : carpocapse

Non scientifique : Cydia pomonella

La classe : insecte

L’ordre : coléoptère

Les dégâts de carpocapse :


Les dégâts causés par le carpocapse sur les fruits à pépins comme les pommes et les poires sont dus
aux larves qui se développent à l'intérieur des fruits. Cela peut entraîner des pertes de récoltes
significatives et des fruits de qualité inférieure. Il est essentiel de surveiller et de contrôler les populations
de carpocapse pour protéger les cultures.

La lutte contre le carpocapse :

Pour lutter contre le carpocapse dans les cultures de fruits à pépins,

 il est important de mettre en place des mesures de prévention telles que le nettoyage des zones
de stockage,
 l'utilisation de pièges et d'appâts, ainsi que la mise en œuvre de mesures de protection des
cultures. Maintenir une hygiène adéquate est crucial pour réduire les risques d'infestation et
protéger les récoltes.
Les ennemies de l’olivier
Les insectes:

Le psylle:

Nom commune : psylle

Non scientifique : psylla

La classe : insecte

L’ordre : hémiptère

Les dégâts de psylle :


Les dégâts causés par les psylles peuvent inclure des dommages aux plantes, tels que des
déformations des feuilles, des nécroses, des affaiblissements de la plante et une diminution de la
croissance. Il est essentiel de surveiller et de contrôler les populations de psylles pour protéger les
cultures.

trips :

Nom commune : Tips

Non scientifique : thysanoptera

La classe : insecte

L’ordre : thysanoptère

Les dégâts de trips :


Les trips peuvent causer des dommages importants aux cultures en se nourrissant des tissus végétaux.
Il est crucial de surveiller et de contrôler les populations de trips pour protéger les plantes.

Les maladies :
Oiel de paoun :

Agnat causal : cycloconinum oleaganeum.

Classe : Deutéromycètes.

Les dégâts d’Oiel de paoun :


L'œil de Paoun est une maladie qui affecte principalement les cultures de l’Olivier. Elle provoque des
taches brunes sur les feuilles. Il est important de surveiller et de mettre en œuvre des mesures de lutte
pour limiter les dégâts causés par cette maladie
Les ennemies de la vigne :
Maladie :

Mildiou :

Agnat causal : plasmopara.

Classe : Deutéromycètes.

Les dégâts de mildiou :


Le mildiou est une maladie fongique qui peut causer des dommages importants aux cultures, en particulier
aux plantes telles que la vigne,

 des taches brunes ou pourries sur les feuilles,


 les tiges et les fruits des plantes infectées.

La prévention et le contrôle du mildiou impliquent souvent l'utilisation de fongicides et de pratiques


culturales adaptées pour réduire la propagation de la maladie

Les ravageurs :
La noctuelle :

Nom commune : noctuelle

Non scientifique : noctuide

La classe : insecte

L’ordre : lépidoptères

Les dégâts de la noctuelle :


Les noctuelles peuvent causer des dommages importants aux cultures en se :

 nourrissant des feuilles,


 des tiges et parfois des fruits des plantes hôtes.

Il est essentiel de surveiller et de mettre en place des mesures de lutte pour limiter les dégâts causés par
ces insectes.

Les escargots :
CONCLUSION

En conclusion de ma visite à la ferme, il est crucial de souligner l'importance


de la surveillance constante des cultures pour détecter et gérer efficacement
les ravageurs.

Merci beaucoup Madame Biognache pour ta guidance et tes connaissances


partagées lors de la visite. Tes explications détaillées ont enrichi mon
expérience et m'ont permis de mieux comprendre les enjeux de la gestion des
ravageurs en agriculture. Tes conseils précieux seront certainement utiles
dans mes futures explorations agricoles.

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