SVT 8eme de L'eb
SVT 8eme de L'eb
SVT 8eme de L'eb
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Nous serions ingrat de passer sous silence toutes celles et tous ceux
qui nous ont appuyé tant spirituellement, moralement, matériellement et
financièrement, chacun à la hauteur de ses capacités, tout au long de notre
parcours estudiantin du premier cycle.
L’auteur
iii
SIGLES ET ABREVIATIONS
1. INTRODUCTION
1.1. Problématique
C’est dans le souci de pallier, tant soit peu à ces difficultés que nous nous
sommes proposé le présent travail intitulé « ELABORATION D’UN CONTENU DE
COURS DES SIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE DESTINE A LA 8 ème ANNEE DE
L’EDUCATION DE BASE ET CONFORME AU PROGRAMME EDUCATIF DU DAS 2019.
Citons :
a. TFC
b. MEMOIRES
1.6. Délimitation
1.7. Subdivision
1.1.1. Élaboration
1.1.2. Un contenu
1.1.3. Cours
1.1.4. Sciences
1.1.5. Vie
D’après le Wiktionnaire, le concept « vie » pris dans son sens particulier désigne
« l’activité de l’homme dans son milieu naturel et social ».
1.1.6. Terre
D’après le Wiktionnaire, le concept « terre » peut désigner le sol sur lequel nous
marchons, sont construites les maisons, qui produit et nourrit les végétaux.
Une équipe a été mise en place pour relire et ajuster les contenus des
programmes éducatifs du niveau terminal de l’Education de Base dans le
domaine d’apprentissage des Sciences. Ce domaine comprend les sous-domaines
des Mathématiques, des Sciences de la Vie et de la Terre ainsi que des Sciences
Physiques, Technologie et Technologie de l’Information et de la communication.
Heures/Semaine Heure/Semaine
Algèbre 4 4
Arithmétique 1 1
Mathématique
Géométrie 2 2
Sciences
Statistique 1 8 1 8
Sciences de la vie et de Botanique 1 1
la Terre Anatomie Anatomie 1 3 1 4
5
Zoologie 1 2
Sciences
1
Physique 1
Sciences Physiques
Technologie Technologie 1 1
TIC 1 3 1 3
a. Définition
Une approche par les situations est celle qui se fonde sur le principe
suivant lequel une personne construit mieux sa compétence, l’adapte et la
développe en situation et en actions en s’appuyant sur ses propres
expériences et connaissances plus anciennes comme sur celles des autres
(JONNAERT, 2010 cité par BIRUNGI, 2018 : 12)
L’APS se fonde sur les principes selon lesquels une personne construit,
développe et adapte ses connaissances, ses compétences et actions à travers
ses propres expériences et actions en situation, ainsi que ceux des autres ;
La situation est centrale dans l’APS : elle est le point de départ des actions de
la personne à travers les défis qui lui sont imposés ; lorsque la situation est
traitée avec succès, les connaissances et les compétences de la personne y
sont temporairement variables ;
L’environnement social ;
1° Définition
Les méthodes utilisées sont les méthodes modernes qui partent du principe
selon lequel l’école est faite pour l’enfant et non l’enfant pour l’école. La
doctrine de base est traduite par le terme cher à Montessori et J.J.
Rousseau : « le pédocentrisme ». (ROUSSEAU, 1762 cité par RR’DDA,
2018)
L’autonomie (self-government).
1.2.2. Compétence
a. Définition
─ Le traitement réussi ;
Pour développer une compétence, l’élève doit s’appuyer sur les différentes
ressources. Celles-ci sont des moyens qu’il utilise pour traiter une situation. Ces
moyens sont :
un cadre d’action ;
un cadre d’évaluation.
Ainsi, une politique éducative est fortement ancrée dans les valeurs qui
caractérisent une nation.
8
l’Accord de Florence ;
la loi portant protection de l’enfant ainsi que des recommandations des états
généraux de l’Education tenus à Kinshasa en février 1996.
Selon ABBAT (1993) cité par KANDADHU (2011), elle aide le rédacteur
à planifier, rédiger, produire et évaluer les matériels qui aideront les élèves à
apprendre. Ces matériels vont des simples pages qui seront utilisées pendant le
cours jusqu’aux manuels complets que les enseignants utilisent.
DIFFICULTE RENCONTREE
f. Biodiversité
g. Importance de la forêt
1.1.5. La déforestation
a. Définition
b. Causes de la déforestation
c. Agents de la déforestation
d. Conséquence de la déforestation
e. Renouvellement des forêts
1.2. Protection et amélioration du sol (MSVT 2.2)
1.2.1. Techniques de l’amélioration du sol
a. Définition du sol
b. Composition du sol
c. L’eau du sol
d. Type des sols
1.2.2. Quelques techniques de fertilisation du sol
a. Mise en jachère du sol
10 Définition
20 Importance
b. La culture itinérante
c. Le compost
d. Emploi des engrais biologiques
1.3. Jardinage (MVST 2.3)
1.3.1. Planification du jardinage
a. Définition du jardinage et du jardin
b. Importance du jardinage
c. Choix du terrain
d. La méthode de culture sur plate-bande
e. Stabilisation du sol
f. Différents outils utilisés dans la réalisation d’un jardin
Le Fumier
Le Paillage
L’engrais vert
Le Compost
Les Cendres
20 Qualité des semences
30 Comment planter ?
40 Travaux d’entretien du jardin :
Amendement
Drainage et irrigation
Le Sarclage
L’arrosage
Le binage
Le buttage
Le paillage
La taille
Le tuteurage ou le palissage
50 La lutte phytosanitaire
3.1.1. Définition
3.1.2. Mécanisme de la germination
a. Etape de la germination de Haricot
b. Condition de la germination
3.2. Nutrition (MSVT 2.6)
3.2.1. Nutrition de la plante à partir du sol
3.2.2. Nutrition de la plante à partir de l’air
a. Description
b. Mécanisme de la photosynthèse
c. Importance de la photosynthèse dans la nature
d. Facteurs influençant la photosynthèse
3.2.3. Distribution de la sève organique
3.3. Croissance (MSVT2.7)
3.3.1. Notion
3.3.2. Condition de la croissance
3.3.3. Mécanisme de croissance
a. Croissance en longueur
b. Croissance en largeur
3.4. Respiration (MSVT 2.8)
3.4.1. Définition
3.4.2. Comparaison entre la respiration et la photosynthèse
3.5. Reproduction (MSVT 2.9)
3.5.1. Définition
3.5.2. Types
a. Reproduction végétative ou asexuée
- Notion
- Types
b. Reproduction sexuée
- Notion
- Organes de reproduction
SECTION IV : CORPS HUMAIN
4.1. Appareil digestif et excréteur (MSVT 2.10)
4.1.1. Appareil digestif
a. Structure de l’appareil digestif :
14
- Tube digestif
- Les glandes digestives
b. Fonctionnement de l’appareil digestif
c. Hygiène de l’appareil digestif
4.1.2. L’appareil excréteur
a. Appareil urinaire :
- Structure
- Fonctionnement
- L’Urine
b. D’autres organes excréteurs
c. Hygiène du système excréteur
4.2. Appareil respiratoire (MSVT 2.11)
4.2.1. Structure de l’appareil respiratoire
4.2.2. Fonctionnement de l’appareil respiratoire
4.2.3. L’échange gazeux dans les poumons
4.2.4. Hygiène du système respiratoire
4.3. Appareil circulatoire (MSVT 2.12)
4.3.1. Structure de l’appareil circulatoire
4.3.2. Le cœur :
a. Structure
b. Fonctionnement
4.3.3. Vaisseaux Sanguins
4.3.4. Le sang
a. Notion
b. Composition
4.3.5. Trajet du sang dans l’organisme
4.3.6. Hygiène de l’appareil circulatoire
4.4. Système nerveux (MSVT 2.13)
4.4.1. Notion
4.4.2. Structure du système nerveux cérébrospinal
a. Les centres nerveux
b. Les nerfs
4.4.3. Fonctionnement du système nerveux
4.4.4. Hygiène du système nerveux
15
SECTION V : VERTEBRES
Introduction
5.1. Classification des vertébrés (MSVT 2.14)
5.1.1. Classe des Mammifères
5.1.2. Classe des Oiseaux
5.1.3. Classe des Reptiles
5.1.4. Classe des Batraciens ou Amphibiens
5.1.5. Classe des Poissons
5.1.6. Conclusion sur les Vertébrés
5.2. Elevage (MSVT 2.15)
5.2.1. Définition
5.2.2. Importance
5.2.3. Domestication
5.2.4. Types d’élevage
5.2.5. Système d’élevage
5.2.6. Modes d’élevage
5.2.7. Elevage des poules
SECTION VI : NUTRITION
Alimentation humaine (MSVT 2.16)
6.1. Besoins alimentaires de l’homme
6.1.1. Définition de l’alimentation
6.1.2. Principaux types de l’alimentation
6.2. La malnutrition
6.2.1. Notion
6.2.2. La sous-alimentation
6.2.3. La suralimentation
6.3. Prévention des maladies nutritionnelles (malnutrition)
SECTION VII : EAU
Eau et vie (MSVT 2.17)
7.1. Sources d’eau
7.2. Importance de l’eau dans l’organisme
7.3. Gains et pertes d’eau dans l’organisme
7.4. Qualité et quantité de l’eau de consommation
7.5. Pollution de l’eau
16
17
SECTION I : PLANTE ET
1.1. PROTECTION DE LA FLORE (MSVT 2 .1)
Exemple de situation
Selon que les interactions se réalisent entre les individus de la même espèce, on
parle de relations intraspécifiques ou réactions homotypiques.
effet de groupe : ce sont des modifications qui interviennent quand les ani-
maux de mêmes espèces sont groupés par deux ou plus de deux.
la coopération : les deux espèces forment une association qui n’est pas in-
dispensable, chacune pouvant vivre de façon isolée.
- purifient l’air vicié par la respiration des animaux et végétaux, par les activi-
tés humaines (usines, feux de brousse, culture sur brûlis), l’échappement des
gaz des moteurs des engins motorisés et les éruptions volcaniques.
- sont les seuls à produire les matières organiques utilisées par les êtres vi-
vants hétérotrophes.
Exemple : le cyprès, …
7o les plantes utilisées comme sources des diverses formes de bois (chauffage,
construction, meuble).
Remarque :
a. Définition
Une forêt est une vaste étendue boisée relativement grande constituée
d’arbres arbustes, arbrisseaux et d’autres plantes. C’est un vaste terrain couvert
des bois, de nombreux arbres proches.
b. Ecosystème ou biogéocénose
Un écosystème est une unité fonctionnelle qui regroupe une
communauté animale et végétale (biocénose) et le milieu que cette communauté
occupe (biotope)
c. Biocénose
C'est l'ensemble des êtres vivants végétaux, animaux et micro-
organismes, qui se trouvent dans le milieu des conditions leur permettant de
vivre et de se reproduire.
d. Le biotope
Le biotope est le milieu physique et chimique où est implantée la
biocénose. Le biotope est un ensemble des facteurs du milieu (facteurs
21
2º Sortes
la strate herbacée : elle est composée des plantes non ligneuses (dont la
tige n’a pas la consistance du bois)
la strate arborée : elle est composée d’arbres dont la hauteur débute vers
les 8 mètres.
b. Flore
La flore est l’ensemble des espèces végétales présentes dans un milieu
déterminé.
c. Faune
La faune est l’ensemble des espèces animales présentes dans un milieu
déterminé.
d. Biodiversité
La Biodiversité est la diversité des espèces vivantes (animales et végétales)
e. Importance de la forêt
La forêt, grâce au phénomène de la photosynthèse, favorise la
respiration des animaux en général et celle de l’homme en particulier.
Elle est l’habitat des animaux sauvages, des insectes, des oiseaux. La
forêt fournit des matériaux divers : ébénisterie, construction, menuiserie. Elle
protège le sol contre l’érosion.
1.1.5. La déforestation
a. Définition
b. Causes de la déforestation
L’explosion démographique
Ils provoquent la perte de tout ou d’une partie des feuilles d’une plante
par défoliation. Ils sont destinés surtout en temps de guerre à détruire le couvert
forestier, les récoltes, les sources d’alimentation des troupes ennemies à des
conséquences désastreuses sur l’environnement (flore et faune).
les incendies
La biomasse est le poids de la matière fraiche ou sèche des individus par unité de
surface ou de volume.
L’activité pastorale
23
Les strates les plus menacées sont les strates arbustives et arborées.
c. Agents de la déforestation
En effet, les forêts, les eaux, le sol et l’atmosphère se détruisent chaque jour.
d. Conséquences de la déforestation
la dégradation de sol
C’est ainsi par exemple qu’après une forte pluie, l’eau ruisselle au lieu
qu’elle soit retenue et s’infiltre dans le sol. Elle entraine avec elle le sol (érosion).
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituez la définition de :
a) la forêt
b) la savane
c) l’écosystème
d) la strate
e) la flore
f) la faune
g) la biodiversité
h) la déforestation
i) le reboisement
Exemple de situation
a. Définition du sol.
Energie solaire
Energie chimique
b. Composition du sol
c. L’eau du sol
26
L’eau apporte au sol s’infiltre d’autant plus vite que la porosité est plus
élevée. La perméabilité d’un sol dépend de sa structure.
On distingue :
Le sol sableux
C’est un sol léger, ne retenant pas l’eau et ses éléments sont vites
lessivés par la pluie. Il existe plus d’engrais (matières organiques, compost,
fumier).
Le sol argileux
Le sol limoneux
Le sol limoneux est une terre entrainée par les eaux et déposée dans
le lit et rives des rivières. Il contient 0 à 10% d’argile.
Le sol volcanique
Définition
Importance
b. La culture itinérante
c. Le compost
Le compost nourrit les plantes les plus naines et résistantes aux maladies.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituer la définition de :
a) le sol
b) la jachère
a. Notions
b. Importance du jardinage
C’est aussi une contribution à l’option politique de notre pays qui vise
l’autosuffisance alimentaire et l’émergence économique.
c. Choix du terrain
En milieu rural et semi- urbain, le placer près d’une source, d’un ruisseau,
d’une rivière ou d’un point d’eau où vous pouvez facilement puiser de l’eau
pour l’arrosage. Pendant la saison des pluies, il y a beaucoup d’avantage de
placer un jardin près de la maison.
En ville, le placer dans votre parcelle près ou non du point d’eau tel que le
robinet.
Les côtés des planches peuvent être soutenus par des bambous ou des
branches d’arbre.
Pendant le labour, il faut prendre soin d’enlever toutes les pierres, les
boites de conserves vides, les morceaux de plastiques et d’autres impuretés en
les jetant loin du jardin.
e. Stabilisation du sol
Le jardinage biologique :
la machette : elle est utilisée pour couper les herbes, les stipes et
préparer le matériel du compost ;
râteau : il sert pour aplanir les plates-bandes ainsi que pour rassembler et
ramasser les déchets ;
Pelle
Hache Brouette de jardin
39
Râteau
Figure 1. Outils de jardinage.
Pour atteindre ces objectifs, il faudra d’abord labourer l’espace choisi pour y
installer le jardin.
Les sols tropicaux sont faibles. Il faut les enrichir en humus par les
apports extérieurs selon diverses techniques traditionnelles, semi-traditionnelles
et modernes.
1º Fertilisation du jardin
Le fumier
Le paillage
dépose à la surface du sol soit sur une parcelle de terre cultivée mais non encore
plantée ou entre les plantes sur une parcelle cultivée.
Le paillage convient bien pour les cultures qui exigent des espaces
entre les plantes telles que le manioc, le haricot, la tomate, le poivron et les
arbres fruitiers. Il est déconseillé d’utiliser des feuilles toxiques, irritantes, ou
celles qui se décomposent très lentement ou encore celles qui portent les
41
L’engrais vert
Le compost
Tout déchet biologique (pelure, tiges, feuilles de légumes et fruits pourris, …) est
bon pour le compost.
Les cendres
3º Comment planter ?
42
Il existe deux principaux types de semis : les semis en place et les semis en
pépinière.
pour les grosses graines, on les tasse légèrement pour qu’elles soient en
contact intime avec la terre environnante.
─ La pépinière
─ Le repiquage
Pour protéger les racines contre les infections et nourrir les radicelles,
on peut tremper les racines nues des jeunes plants dans la boue collante appelée
pralin. Cette boue liquide est faite d’eau, d’excrément d’animaux ou purin et de
l’humus.
Les travaux d’entretien seront effectués tant sur la plante que sur le
sol. Il s’agit de l’amendement, le drainage et l’irrigation, le sarclage, l’arrosage, le
binage, le buttage et le tuteurage ou le palissage.
─ L’amendement
Un sol trop argileux sera par exemple amendé par un apport en sable.
─ Le drainage et l’irrigation
─ Le sarclage
─ L’arrosage
─ Le binage
─ Le buttage
─ Le tuteurage ou le palissage
5° La lutte phytosanitaire
Les plantes et surtout les cultures sont des êtres à l’instar des animaux
qui sont attaquées par les virus, les bactéries, les champignons et d’autres
45
parasites tels que les insectes, les escargots, les acariens, les oiseaux et
mammifères rongeurs.
─ La lutte préventive
─ La lutte curative
- les cendres de bois à épandre sur la surface des feuilles pour lutter contre les
insectes ;
Les extraits de feuilles et graines ou fruits de tabac, ail, eucalyptus, piment ont
des propriétés insecticides et insectifuges, fongicides, bactéricides, nématicides.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituez la définition de :
a) le jardin
b) le jardinage
Exemple de situation
Deux enfants d’une même famille, tous de l’EB dont le plus jeune est
ème
en 7 année et l’aîné en 8ème année discutent sur la notion de la plante au
moment où le cadet répétait se leçon sur les végétaux. Son enseignant lui a
appris que l’arbre à deux types d’appareils : appareil végétatif (racine, tige et
feuilles) et l’appareil reproducteur (fleur, fruit et graine). Son frère de la 8 ème
année ajoute une information en lui disant qu’il existe aussi des végétaux qui
manquent l’un ou l’autre élément. Le cadet n’est pas convaincu de cette
information et se réfère à son enseignant qui confirme l’information. L’enseignant
profite de cette occasion et demande à ses élèves lors d’une leçon des SVT de
citer quelques plantes sans fleur, d’identifier le nom du groupe et les différents
types des plantes sans fleurs. Il leur demande de faire de même pour les plantes
à fleurs.
2.1.1. Thallophytes
On distingue :
─ Milieu de vie
─ Appareil végétatif
Néanmoins, comme les thallophytes, les algues ne sont pas dotées des
vaisseaux conducteurs (xylème et phloème).
─ Reproduction
─ Types d’algues
Les algues sont un des éléments constitutifs du plancton (aliment des pois-
sons).
B.1. Champignons
─ Notion
Figure 4. Champignons
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─ Reproduction
Deux types de reproduction sont reconnus chez les champignons :
asexuée et sexuée. La reproduction asexuée est parfois appelée somatique ou
végétative. Les modes dont elle use sont : la fragmentation, la fusion de cellules
somatiques en cellules-filles, le bourgeonnement. La plupart des champignons se
reproduisent grâce à des spores, cellules spécialisées dont la germination
produit un nouveau mycélium (ensemble constitué par les filaments ramifiés
des champignons).
Les champignons communs des prés et des bois produisent chacun des
milliards de spores. Les spores résultent soit d'une reproduction sexuée, soit
d'une reproduction asexuée. Il y a reproduction sexuée quand les spores se
forment après fusion de deux cellules provenant d'individus différents. La
formation de spores varie selon le groupe de champignons.
L’appareil végétatif d’un grand champignon comprend :
─ Nutrition
─ Sortes de champignons
On distingue :
Notion
Les lichens sont des organismes composites formés d'un champignon
et d'une algue vivant en association symbiotique. Le champignon fournit une
structure qui peut protéger l'algue contre le dessèchement et les conditions
difficiles. L'algue synthétise et sécrète un hydrate de carbone spécifique, prélevé
et utilisé comme nourriture par le champignon. Leur taille varie de moins de
1 mm à plus de 3 m.
Types de lichens
Les lichens sont classés selon le type de composant fongique (appelé
mycobionte). Le composant algal (appelé phycobionte) est habituellement
une algue verte. Selon les types de champignons, on distingue trois classes des
lichens :
- les Ascolichens : lorsque les champignons qui forment les lichens
appartiennent aux Ascomycètes.
51
2.1.2. Bryophytes
Malgré leur structure simple et une affinité nette avec certaines algues
vertes, les Bryophytes (du grec : bryon= mousse et phyta= plante) constituent
déjà le début d’un monde nouveau, celui des Cormophytes, progressivement
adaptés au milieu terrestre.
Exemple type : Mousses
Appareil végétatif
Les Bryophytes ont des tiges, feuilles mais ils n’ont pas de vraies
racines. Les fausses racines (ne jouant pas le rôle de vraies racines : absorption
d’eau et de sels minéraux) servent à fixer le pied de la Mousse au sol ou au
rocher. Elles sont appelées des rhizoïdes.
Reproduction
2.1.3. Ptéridophytes
Milieu de vie
52
Les fougères vivent au bord des ruisseaux, dans les bois, sur les palmiers, sur les
vieux murs, …
Appareil végétatif
Racines adventives
La tige est souterraine et croit plus ou moins horizontalement dans le sol. Elle
est couverte d’écailles : c’est un Rhizome. Ce dernier peut porter une tige aé-
rienne.
Appareil reproducteur
A maturité, les sporanges libèrent les spores qui tombent dans un sol
humide et germent elles forment ainsi les lames vertes chlorophylliennes et
possèdent des suçoirs qui leur permettent d’absorber la sève minérale. Cette
lame verte est appelée ’’prothalle’’. Elle est capable de réaliser la
photosynthèse.
A sa face inférieure, en plus des suçoirs, elle porte des cellules males et des
cellules femelles.
Fougère sporange
Spor
Cellule mâle
Prothall
e
53
Embryo Œuf
n Figure 6. Schéma du cycle vital de la fougère
Types de fougères
Fougères arbustes : elles sont de grande taille tout comme les ar-
bustes.
Les fougères arbustes sont utilisées tout comme les autres ar-
bustes : construction des cases, construction des ponts sur des ruisseaux,
…
2.2.1. Généralités
2.2.2. Gymnospermes
54
a. Description
Appareil végétatif
Appareil reproducteur
Ce sont des végétaux dont les ovules sont nus (non enfermés dans un ovaire).
Inflorescence mâle
Fruit issu de l’inflorescence
femelle
Figure 7. Appareil reproducteur de cyprès.
b. Mode de vie
55
Les conifères sont des arbres toujours verts ils doivent se défendre
contre une trop grande perte d’humidité pendant les saisons sèches ; d’où la
forme de leurs feuilles : petites, épaisses, en forme d’écailles.
2.2.3. Angiospermes
a. Description
Appareil végétatif
Appareil reproducteur
Fruit : c’est une drupe ou fruit à noyau. Il est constitué d’une enveloppe,
d’une coque et d’une ou plusieurs graines ou amendes ou coco qui contiennent
de l’huile.
Type : le bananier
Figure 9. Bananier
Appareil végétatif
Feuilles : très grandes et constituées par une longue gaine terminée par un
limbe étalé.
Racine : fasciculées
Appareil reproducteur
57
Appareil végétatif
Racines : fasciculées
Appareil reproducteur
Fleurs : l’inflorescence est une panicule composée d’épillet ; les fleurs sont
petites et cachées entre les petites feuilles appelées des glumes et des
glumelles.
Appareil végétatif
Appareil reproducteur
Fleurs : inflorescence est une panicule. Les fleurs sont unisexuées mais on
peut trouver les deux sexes à la fois sur la même inflorescence.
Les dialypétales sont des végétaux qui ont des pétales libres (non soudés).
Type : le haricot
Appareil végétatif
Feuilles : les premières feuilles sont opposées et simples ; toutes les autres
sont alternes et composées avec 3 folioles ; elles sont munies à leur base de
stipules ; il y a pétiole et graine.
Appareil reproducteur
Fleurs : le calice a 5 sépales soudés tandis que les pétales sont libres mais
soudés au tube des étamines.
Fruits : le fruit est une gousse ; fruit déhiscent qui s’ouvre par 2 fentes
Appareil végétatif
Fleur : solitaire
Appareil végétatif
Racine : pivotante
Appareil reproducteur
Fruit : est une capsule déhiscente s’ouvrant par deux fentes contenant de
nombreuses petites graines.
─ Famille de Rubiacées
Appareil végétatif
Appareil reproducteur
Fleurs : les fleurs sont rangées à l’aisselle des feuilles ou au-dessus des
cicatrices des feuilles.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituez la définition de :
a. systématique végétale ;
b. cryptogames ;
c. phanérogames ;
d. gymnospermes ;
e. angiospermes ;
f. lichen.
a. Cryptogames
b. Phanérogames
a. Halophytes
b. Bryophytes
c. Ptéridophytes
a. Thallophytes
61
b. mousses
62
Exemple de situation
3.1.1. Définition
4º La tigelle s’allonge ;
5º Les cotylédons sont soulevés par la tige : on dit que la graine lève ;
La germination est achevée quand la jeune plante a déjà ses racines et les
premières feuilles en place et qu’elles sont en mesure de se nourrir à partir des
éléments puisés dans son milieu.
63
b. Conditions de la germination
Conditions internes
État de la graine : il faut que tous les tissus soient intacts ; la plantule ne
soit pas rongée.
Condition externes
Questionnaire
Exemple de situation
La sève brute monte des racines jusqu’aux feuilles grâce aux vaisseaux
conducteurs (xylèmes) situés dans les bois.
a. Description
b. Mécanisme de photosynthèse
L’air entre dans les feuilles par les stomates et y circule grâce aux
lacunes que présentent les feuilles.
L’intensité de la lumière
La température
- le centre d’une canne à sucre n’est pas aussi sucré que les parties
périphériques.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
3.3.1. Notion
a. Humidité
L’eau est indispensable à la plante : elle dissout les sels minéraux qui
seront absorbés avec elle par la plante. Cette solution constitue la sève minérale.
N.B. : Une cellule est turgescente quand sa vacuole est remplie d’eau, ce qui la
rend rigide. Une plante herbacée aux cellules turgescentes est bien
dressée.
b. Sels minéraux
Dans un sol riche, la plante absorbe avec l’eau les sels minéraux
nécessaires à l’édification de son organisme.
c. La lumière
d. L’air
e. La température.
a. La croissance en longueur
b. La croissance en largeur
La première région se trouve sous l’écorce chez les tiges de deux ans et
plus ; sous l’épiderme chez les tiges des moins de deux ans. Cette couche
produit des cellules qui forment les nouvelles couches de l’épiderme.
La deuxième région est localisée entre le bois et le liber. Elle produit d’une
part le bois et de l’autre le liber.
68
N.B. : En absorbant attentivement une souche sciée on constante que le bois est
constituées de couches successives. Chaque couche correspond à une
feuillaison (renouvellement des feuilles d’un arbre). Les couches de bois
permettent de déterminer l’âge d’un arbre dans les pays tempérés où les
arbres n’ont qu’une seule feuillaison annuellement.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
3.4.1 Définition
Expérience
La photosynthèse se fait :
en présence de la chlorophylle
69
en rejetant de l’oxygène.
en absorbant de l’oxygène.
Conclusion
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
Lors d’une visite dans le jardin des Etudiants de l’ISP/Bunia, les élèves
ème
de la 8 année de l’EB de l’IDAP/ISP-Bunia observent la culture de maïs, de
manioc, des patates douces et du bananier. L’enseignant des SVT qui les y a
conduits leur demande d’identifier les modes de reproduction (multiplication) des
plantes observées.
3.5.1 Définition
Le bouturage :
Le marcottage
Une tige est amenée en terre sans âtre séparée du tronc nourricier. Après
un certain temps, des racines se formeront sur la partie enfouie dans la
terre. Lorsque ces racines seront suffisamment développées pour nourrir la
plante, on pourra sectionner la tige entre la marcotte (nouvelle plante) et
la plante mère.
Ex : cas de fraisier
La greffe ou greffage
Le greffage est une soudure pratiquée entre le sujet planté qu’on veut
améliorer, et le greffon, rameau d’un autre arbre.
- Que le sujet et le greffon soient de même espèce (Ex : les différentes variétés
de manguier) ou espèces hautement apparentées (Ex : Oranger + mandari-
nier)
- Que la soudure des deux plantes soit à l’abri de l’air qui risquerait de la des-
sécher ; la soudure est recouverte par un mastic spécial : une bouse de
vache et un peu de paille hachée.
71
- Que la greffe soit faite lorsque la circulation de la sève est la plus active (sai -
son des pluies).
Réalisation du greffage.
- Prendre sur le greffon un œil appelé écusson, muni d’une partie d’écorce de 3
cm de longueur environ ;
- Ligatures et mastiquer
Le drageonnage
Le drageon est une tige qui part du pied d’une plante, s’enracine et se
développe pour sortir de la terre un peu plus loin. On le coupe et on le
transplante avec ses racines. Cette opération est le drageonnage.
b. Reproduction sexuée
Notion
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
On distingue successivement :
La paroi de l’estomac est parcourue en tous sens par des muscles dont la
contraction provoque des mouvements pour brasser et mélanger les aliments.
Le rectum, plus étroit que le côlon et non bosselé, il se termine par l’anus.
Les intestins sont enveloppés dans une sorte de sac appelé péritoine.
1° les glandes parotides (2) : elles sont les plus grosses et sont situées de
chaque côté du visage au-dessous et en avant des oreilles.
3° Les glandes sublinguales (2) : elles déversent la salive dans la bouche par
l’intermédiaire des canaux de Walther et de Rivinus. Elles s’abouchent sous la
langue.
Le pancréas est une glande rose-pâle, située dans une anse de l’intestin.
Les dents, la langue et les glandes salivaires sont annexées à la cavité buccale.
75
Les Dents
Il y a 3 sortes de dents :
- les molaires. Elles sont 6 par mâchoire. Elles ont 4 cuspides et 2 ou 3 ra-
cines. Elles écrasent et broient.
La dent est creuse. Dans sa cavité arrivent des vaisseaux sanguins qui
nourrissent la dent et un nerf qui la rend sensible.
Hygiène dentaire
- Il faut éviter tout ce qui peut nuire à l’émail des dents ; par exemple enle-
ver les capsules des bouteilles, manger ou boire trop froid ou trop chaud,
abuser des sucreries.
Carie de la dent
des abcès
Définition
Processus digestifs
il faut mâcher convenablement les aliments afin que les glandes salivaires
secrètent la salive en plus grande quantité et pour que les dents ne
laissent pas beaucoup de travaux à l’estomac ;
Les adolescents surtout doivent bien manger parce que leur corps doit encore
croître et se développer.
Il faut manger à des heures fixes, jamais entre les repas afin d’habituer
l’estomac à un travail régulier.
Il faut être de bonne humeur pendant le repas parce que la joie et la gaité
donnent de l’appétit et facilitent ainsi la digestion.
- l’excès des condiments comme le poivre et le sel fatigue les glandes diges-
tives ;
- l’excès de viande, poisson, d’œufs fatigue les foies et les reins. Notre corps
n’a pas besoin de grandes quantités d’albumine.
a. Appareil urinaire
Structure
Les reins sont les organes principaux de l’appareil urinaire. Ils ont la
forme de haricot et mesurent, chacun, 12 cm de long, 6 cm de large, pèsent 150
g et sont placés de chaque côté de la colonne vertébrale en haut de l’abdomen.
Les reins ont pour rôle de purifier le sang des matières nuisibles et
inutiles des aliments qui ont été absorbés par le sang.
Les uretères
Les uretères ont pour rôle actif le transport de l’urine des reins vers la vessie.
La vessie
Elle est un sac musculaire lisse situé derrière la symphyse pubienne. Elle
comporte 3 orifices : 2 pour l’arrivée des uretères, 1 pour le départ de l’urètre.
L’urètre
L’urine
L’urée est un poison qui, avec quelques autres produits, fait de l’urine
un liquide toxique. Une injection de 90 cm 3 d’urine humaine suffit à tuer un lapin.
Un homme mourrait si on lui injectait entre 2 et 3 litres d’urine. Les reins
produisent entre 1 et 1,5 litres d’urine.
les poumons
le rectum
le foie et la peau
- Evitez les excès de table parce qu’ils surchargent et fatiguent le foie et les
reins. Ils peuvent entrainer de graves maladies de ces organes.
- Il vaut mieux boire souvent mais peu à la fois que rarement et par grande
quantité.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
a. Les poumons
Le poumon droit est divisé en trois lobes, le poumon gauche n’en a que deux.
L’entrée des fosses nasales (vestibules) est recouverte de peau et de poils (vi-
brisses) qui filtrent les grosses particules étrangères. En arrière du vestibule, les
fosses nasales sont recouvertes d’une muqueuse respiratoire parsemée de nom-
breuses glandes muqueuses qui sécrètent le mucus participant à l’épuration de
l’air inspiré en englobant les poussières et les petits débris et à la défense anti-
bactérienne.
La trachée-artère
L’air inspiré arrive dans les vésicules pulmonaires. Les parois de ces
vésicules contiennent beaucoup de vaisseaux capillaires. C’est à travers la
membrane très mince des vésicules que l’oxygène est extrait de l’air et remplacé
par le gaz carbonique.
- respirer par le nez parce qu’en passant par les fosses nasales, l’air s’échauffe
et les poussières sont retenues par le mucus nasal ;
- respirer profondément afin que l’air entre dans les parties les plus profondes
des poumons. Pour cela il faut faire de l’exercice physique et de profonds
mouvements respiratoires en plein air. Avoir aussi un bon maintien quand
vous lisez, écrivez, cousez, dessinez.
- dormir la fenêtre ouverte mais être bien couvert parce que pendant le som-
meil aussi, les cellules ont besoin d’oxygène et le corps se débarrasse du gaz
carbonique.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
même exercice pour observer les gros et les petits conduits du sang. Il leur
demande de :
- détecter les contractions de l’organe qui pompe le sang dans les conduits ;
- nommer les conduits qui font sortir le sang de cet organe et ceux qui ra -
mènent le sang vers lui ;
- déterminer la couleur du sang qui quitte cet organe et celle du sang qui y re -
vient ;
- décrire le sang ;
A. Le cœur
A.1. Structure
A.2. Fonctionnement
B. Vaisseaux sanguins
Elles conduisent le sang du cœur vers les organes et ont les parois
épaisses et élastiques. Elles sont situées en profondeur sauf au pouls.
Elles ramènent le sang des organes vers le cœur et ont les parois
moins épaisses que les artères et plus flasques. Elles Sont situées à la surface et
on n’y perçoit pas les pulsations.
Les artères et les veines se ramifient de plus en plus dans tous le corps
et dans les poumons. Elles deviennent très fines, plus minces qu’un cheveu ; on
les appelle vaisseaux capillaires (capillaire vient d’un mot latin qui signifie
cheveu). Ce sont donc les vaisseaux sanguins les plus fins qui relient les
artérioles et les veinules et permettent les échanges entre le sang et les cellules.
4.3.2. Le sang
a. Notion
Le sang est le liquide qui coule dans les vaisseaux : les artères, les
veines et les capillaires, Il y est propulsé par le cœur. Le sang assure le transport
des matières nutritives.
b. composition
Liquide ou plasma
Le plasma contient :
- le sérum qui contient surtout de l’eau avec les matières digérées absor-
bées : sucres, acides, graisses, sels.
87
N.B. : Le corps contient environ cinq litres de sang dont chaque millimètre cube
renferme des millions de globules.
A travers les fines parois des vaisseaux capillaires, le sang cède son
oxygène et les éléments nutritifs et nourrit ainsi le corps.
Dans les poumons, à travers les vaisseaux capillaires, le sang cède son
gaz carbonique et se charge d’oxygène ; il se transforme ainsi en sang rouge ou
sang pur.
88
a. Hémorragies
Une hémorragie est une perte de sang qui a comme cause la rupture d’un
vaisseau sanguin.
Hémorragies externes.
- Hémorragie veineuse.
- Hémorragie artérielle
Entre temps, dans les cas plus graves, on placera un « garrot » entre le cœur et
la plaie.
Comment faire ?
- Hémorragie capillaire
Hémorragies internes
b. Syncope
Causes : Il n’y a pas assez de sang qui arrive au cerveau ou le sang arrive suffi-
samment mais il n’est pas assez oxygéné.
Ainsi la syncope se produit lorsqu’on respire trop longtemps de l’air vicié (Par
exemple : dans une salle de cinéma).
Soins
- le placer de telle façon que la tête soit plus bas que les épaules ;
- Si cela dure trop longtemps, frapper le visage avec un linge mouillé, faire
venir le médecin ou faire transporter le malade à l’hôpital.
c. Apoplexie
Soins
Il faut :
d. Saignement du nez
- appuyer le doigt pendant quelques minutes sur la narine qui saigne, pour
que le sang puisse se coaguler ;
- mettre des compresses froides sur le nez, sur le front ou dans la nuque ;
Il faut :
- éviter les vêtements serrants, surtout ceux qui serrent la taille, parce qu’ils
gênent la circulation du sang ;
91
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
Exemple de situation
4.4.1. Notion
b. L’encéphale
Le cerveau
93
Le cervelet
Le bulbe rachidien
La moelle épinière est un long cordon blanc, logé dans le canal vertébral.
b. Les nerfs
Les nerfs sont des cordons blanchâtres qui partent de l’encéphale ou de la moelle
épinière et qui se terminent dans les organes.
Ce sont les nerfs qui partent de l’encéphale. On trouve parmi ces nerfs, les nerfs
de la vue, de l’ouïe, de l’odorat, du goût.
Ce sont les nerfs qui partent de chaque côté de la moelle épinière. Ils
s’échappent par les espaces laissés libres entre les vertèbres pour se rendre
dans le cou, le tronc et les membres.
- Les nerfs moteurs : ce sont les nerfs qui transmettent les ordres de mou-
vement qui viennent du cerveau ou de la moelle épinière aux muscles ou aux or-
94
- Les nerfs sensitifs : ce sont les nerfs qui reçoivent et conduisent les im-
pressions venant de l’extérieur :
soit par la moelle épinière aux muscles sans que le cerveau n’intervienne.
Le mouvement raisonné est celui qui est commandé par les nerfs
crâniens. Par exemple, on se réchauffe au feu. A un moment donné, on sent la
chaleur devenue trop grande et on se retire du feu.
3º L’abus du tabac pour les adultes ou son simple usage chez les enfants amène
la diminution de la mémoire.
4º Régler son travail : fuir l’agitation et les préoccupations inquiètes. Pour cela, il
faut se procurer de saines distractions qui nous font oublier totalement nos oc-
cupations habituelles.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
3) Déterminez :
Les innombrables animaux qui vivent sur terre ou dans les eaux, qui
volent dans les airs, se répartissent en deux grands groupes ou
embranchements : les vertébrés et les invertébrés.
Exemple de situation
lézard, un coq, une souris. Il demande à ses élèves d’observer ces animaux,
d’identifier les animaux qui ont des os et ceux qui en manquent, de les classer et
de déterminer leurs caractéristiques : mode de locomotion, de respiration, de
nutrition et de reproduction.
5.1.1. Notion
Les vertébrés sont des animaux ayant une colonne vertébrale. Ils sont
repartis en cinq classes : Mammifères, oiseaux, Reptiles, Batraciens et
Poissons
a. Classification
Ces 4 premiers ordres forment les groupes des Ongulés (mammifères avec
ongles ou griffes)
b. Caractères communs
Ils sont vivipares c’est-à-dire qu’ils mettent au monde des petits vivants.
a. Classification
On divise la classe des oiseaux en ordres dont voici les principaux avec
quelques espèces connues :
b. Caractères généraux
ils ont les membres antérieurs en ailes ; la plupart sont organisé pour le
vol ;
ils respirent par des poumons qui communiquent avec des sacs aériens et
un squelette creux (sans moelle) ;
leur appareil digestif, bâti toujours sur le même plan, débuté par un bec
dépourvu de dents et se termine par un cloaque ;
a. Classification
On divise la Classe des Reptiles en ordres dont voici les principaux avec quelques
espèces connues :
98
b. Caractères généraux
ils sont ovipares ou ovovivipares (les petits sortent des œufs juste avant
leur expulsion du ventre de la mère).
a. Classification
Tous les crapauds ont des verrues cachées sous la peau. Chacune de
ces verrues marque l’endroit d’une grosse glande de poison. Ce poison devient
toxique lorsqu’il est mis en contact avec la bouche et lorsqu’il est absorbé.
b. Caractères communs.
ont un squelette interne avec la colonne vertébrale. Ils sont des vertébrés ;
respirent par les poumons, par les branchies au stade larvaire ou de têtard
mais surtout par la peau (respiration cutanée).
Ils sont ovipares. L’ensemble des transformations que subit le têtard pour
devenir une grenouille adulte s’appelle métamorphose.
a) Classification
Les lamproies
Ils se caractérisent par la présence d’un squelette complet mais cartilagineux. Ils
sont également pourvus de 5 à 7 fentes branchiales sur leurs flancs.
Ils ont :
CARACTERES BATRACIENS OU
MAMMIFERES OISEAUX REPTILES POISSONS
GENERAUX AMPHIBIENS
Revêtement du Poils Plumes Ecailles épidermiques Peau nue Ecailles dermiques
corps
Habitat Surtout terrestre Aériens Terrestre et aquatique Terrestre et Aquatique
aquatique
Locomotion Marche-Saut-Course Vol-marche-saut- Reptation- nage Saut-nage Nage
course
Membres 2 Paires pattes 1 paire d’ailes 2 paires de pattes 2 paires de pattes 2 paires de
verticales 1 paire de pattes latérales ou non nageoires
Circulation 1 Cœur avec 4 cavités. 1 cœur avec 1 cœur avec 3 cavités, 1 cœur avec 3 1 cœur à 2 cavités,
circulation double 4 cavités circulation double cavités, circulation circulation simple
Circulation double
double
Respiration Poumon en grappe, Poumon en Poumon en sacs, cage Poumons en sacs, Branchies
cage thoracique et grappe, sacs thoracique rudimentaire, respiration cutanée,
diaphragme complets creux. Cage et diaphragme nuls cage thoracique et
thoracique diaphragme nuls
complète
Diaphragme
incomplet
Température Elevée et constante Elevée et Variable Variable variable
o
moyenne 37 C constante
moyenne 42 o C
Reproduction Vivipare Ovipare ou Ovipare ou Ovovivipare Ovipare Ovipare
102
Ovovivipare
Digestion Lèvres préhensiles, Bec préhenseur, Langue et dent Langue et dent Lèvres et dents
dents masticatrices, langue peu préhensiles, tubes et préhensiles, tubes et préhensiles, Tubes
Langue mobile, tube et mobile, jabot, glandes Cloaque glandes Cloaque et glandes
glande. gésier, tube et
glandes, 2
Coecums,
Cloaque
103
b. Caractères principaux
- Sauf les serpents et quelques poissons, les vertébrés ont quatre membres et un
squelette interne dont la pièce maîtresse est une colonne vertébrale.
- Les mammifères et les oiseaux ont une température constante : ils sont
homéothermes.
- Les reptiles, batraciens et les poissons ont une température variable. Ils sont
poïkilothermes.
- Les Mammifères, les oiseaux, les Reptiles et les batraciens (au stade adulte)
respirent par les poumons tandis que les poissons et les batraciens (avant le
stade adulte) respirent par les branchies.
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
a) homéothermes
b) poïkilothermes
Exemple de situation
5.2.1. Définition
5.2.3. Domestication
a. Définition
b. Étapes de la domestication
105
- Centre européen : vache, porc, cheval, oie, chat, pintade, âne, cheval, la-
pin canard, vache, reine …
d. Avantages de la domestication
e. Inconvénients de la domestication
Dans ce type d’élevage, les animaux sont élevés dans un enclos fermé
où ils sont nourris et soignés selon les besoins.
Sortes de stabulation
On distingue :
b. Elevage en ranching
Exemple :
c. Elevage en liberté
b. Elevage semi-intensif
107
c. Elevage intensif
a. Elevage au sol
C’est un système qui consiste à exposer les animaux sur le sol tassé
pourvu de la litière ou d’un pavement en ciment. La litière est composée
de copeau de bois, de foin, de paille, de coques d’arachides, des feuilles
sèches.
- Les bêtes sont facilement attaqués par les ennemis (prédateurs) : les four-
mis, les vers, les animaux sauvages, les serpents, etc.
108
b. Elevage en batterie
- Il est exigeant
a. Poulailler
Ainsi :
b. Types de poulailler
- Poulailler dont les poules sont élevées au sol avec litière (copeau de
bois, paille, …)
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituez la définition de :
a) la domestication
b) l’élevage
SECTION 6 : NUTRITION
109
Exemple de situation
Les aliments naturels (lait, œuf, viande,) sont des mélanges d'aliments simples.
Eau 87 71 77
Protides 4 16 20
Lipides 4 12 2
Glucides 4 Traces Traces
Outre l'eau prise sous forme de boisson et certains sels minéraux (NaCl
ou sel de cuisine ajouté à l'alimentation), la ration alimentaire doit contenir
autant de gramme de chaque corps simple ou chaque corps composé non
synthétisable par l'organisme.
- la ration d'entretien
- la ration de travail
- la ration de croissance
6.2.1. Notion
6.2.2. La sous-alimentation
Ils perdent une grande partie de leur graisse ainsi que la masse musculaire,
le corps utilisant ces tissus pour produire de l’énergie, ce qui permet aux
fonctions vitales de rester actives (système nerveux et les muscles du cœur,
notamment)
Ces maladies peuvent elles-mêmes causer des diarrhées, des exanthèmes, des
œdèmes et des insuffisances cardiaques.
6.2.3. La Suralimentation
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
1) Restituez la définition de :
a) l’alimentation
b) la sous –alimentation
c) la suralimentation
SECTION 7 : EAU
Exemple de situation
Une expression dit « l’eau c’est la vie ». Lors d’un travail de recherche
sur l’eau, l’enseignant des SVT en 8 ème année de l’EB de l’IDAP/ISP Bunia
demande à ses élèves de déterminer les sources d’eau, ses éléments constitutifs,
les types, les états physiques et d’expliquer l’origine de l’eau de pluie, de la
nappe phréatique, de citer les différents usages de l’eau, les qualités de l’eau
potable, d’identifier le rôle de l’eau dans le corps humain et la vie des plantes, les
conséquences de manque de l’eau dans un organisme. Il leur demande enfin de
citer les polluants et les pollueurs de l’eau, de définir et d’identifier les maladies
hydriques.
Tout d'abord l'homme prélève l'eau douce dans les eaux libres de
surfaces, les plus visibles et les plus accessibles : sources, rivières, lacs.
Quand cela n'est pas suffisant, ou possible, il creuse pour avoir accès
aux réserves d'eau souterraine. Les puits lui permettent alors de puiser dans les
nappes phréatiques qui peuvent parfois être non renouvelables dans le cas de
l'eau fossile. D'autre part si les prélèvements sont trop importants, des masses
d'eau impropre à la consommation (eau salée, polluée) peuvent envahir les
nappes phréatiques et compromettre l'approvisionnement.
S'il n'y a pas de pluie, on peut encore capter l'humidité de l'air et des
nuages en favorisant la condensation de l'eau grâce aux énergies renouvelables
ou à des arbres- fontaines.
Il existe également des projets pour exploiter la glace des icebergs. Les
difficultés techniques et coût de l'opération ont laissé cette idée à l'État de projet,
malgré quelques entreprises de " chasse aux icebergs ".
114
- l'eau de pluie ;
- l'humidité de l’air ;
- l'eau de mer.
- L'eau libre ou solvant : C'est la fraction la plus abondante, c'est l'eau qui
dissout tout ce qui est hydrosoluble. Elle est vaporisable, hyophilisable. Elle
dissout, transporte, disperse, ionise et reconstruit.
- L'eau d'adsorption qui se fixe sur certaines substances comme les protéines.
- L'eau d'inhibition des gels : C'est le cas par exemple du mucus, secrété par
les cellules épithéliales et muqueuses et qui est une éponge musculaire.
- L'eau d'hydratation qui correspond aux molécules d'eau (H 2O) qui sont des
dipôles (H2O donne des ions les ions H + et OH- qui interviennent dans le maintien
du pH et dans les réactions de synthèse et de dégradation).
besoins en eau sont de 2,5 litres par jour, mais ces besoins peuvent varier en
fonction de l'âge, de la température extérieure, de l'activité physique, de
l'altitude, de l'adiposité.
Les apports en eau par jour et par personne proviennent de trois sources :
- Eau de boisson : Elle correspond aux deux tiers de l'eau apportée dans
l'organisme soit 1 à 1,5 litre.
- Eau de constitution des aliments : Elle est loin d'être négligeable puisque la
teneur en eau des végétaux est de 90%. Celles des fruits est de 70 à 85% et celle
des viandes, de 70%. Au total, cela représente en moyenne 0,5 à 1l d'eau par
jour.
Les pertes en eau par jour et pour une personne se présente de la manière
suivante :
- pertes urinaires : ce sont les plus importantes avec une perte de 1500 ml.
Une eau potable ou de consommation est une eau que l'on peut boire
ou utiliser à des fins domestiques et industrielles sans risque pour la santé.
Pour être considérée comme potable, l'eau doit respecter certains paramètres
dont :
L'eau ne doit contenir aucun germe pathogène comme les virus, les
bactéries ou les parasites pouvant provoquer des maladies, voire des épidémies.
Ils concernent les substances telles que les nitrates, les nitrites et les
pesticides, la teneur en nitrates ne dépassant pas 50 mg/l et celle en fluor doit
être inférieure à 1,5 mg/l.
On distingue :
La pollution biologique
Pollution chimique
Les herbicides sont très toxiques pour le phytoplancton tandis que les
détersifs synthétiques sont très toxiques pour la flore microbienne. Les vertébrés
et les invertébrés qui vivent dans l'eau douce sont victimes d'innombrables
substances chimiques rejetées dans les eaux par les industries.
Pollution physique
La pollution thermique
On distingue :
QUESTIONNAIRE DE SYNTHESE
CONCLUSION GENERALE
Nous voici au terme de notre travail qui a porté sur l’élaboration d’un
contenu de cours des Sciences de la Vie et de la Terre. En effet, la République
Démocratique du Congo a adhéré aux innovations ou réforme du système
éducatif à travers le PEQPESU. Elle a doté les écoles des nouveaux programmes
éducatifs pour l’enseignement des sciences mais elle n’a pas disponibilisé les
manuels adéquats pour aider les enseignements à guider les apprenants lors des
traitements des situations prévues par les programmes ; tel est le cas en
8emeannée de l’EB pour les sciences de la vie de la terre.
BIBLIOGRAPHIE
a. Ouvrages généraux
b. Manuels
ZONO, I. & al. (2014), BIOLOGIE 3ème année secondaire, MEDISPAUL, Kinshasa
79p.
c. Notes de Cours
R’DDA, B., (2017), Notes de cours de PEDAGOGIE GENERALE destinées aux étu-
diants de 1er graduat (Tous), Inédit, ISP/Bunia.
d. Mémoire et TFC
ADIRODU, A., (1989), Analyses de quelques manuels de chimie utilisés dans l’en-
seignement secondaire du Zaïre, TFC, inédit, ISP
e. Webographie
Anonyme 5 : https://www.caducée.net,
Anonyme 6 : https://www.google.com,
SECTION VI : NUTRITION....................................................................21
SECTION VII : EAU.............................................................................21
SECTION I : PLANTE ET ENVIRONNEMENT............................................22
1.1.PROTECTION DE LA FLORE (MSVT 2 .1)..........................................................22
1.1.1.Les composantes de l’environnement (ZONO, 2014)..................................22
a. Composantes de l’environnement....................................................................22
a.1. Facteurs abiotiques. (SENDEKI, 2015 :293-294)............................................22
a.2. Facteurs biotiques (SENDEKI, 2015 :293-294).............................................23
1.1.2.Importance des plantes dans la vie de l’homme (Anonyme 1)....................25
1.1.3.Usages des quelques plantes (Anonyme 2).................................................25
1.1.4.La forêt (ZONO, 2014)................................................................................. 26
a.Définition........................................................................................................... 26
b.Ecosystème ou biogéocénose...........................................................................26
c.Biocénose.......................................................................................................... 26
d.Le biotope......................................................................................................... 27
c.Strate (MBAYO, 2020)........................................................................................ 27
d.Flore.................................................................................................................. 27
e.Faune................................................................................................................ 27
f.Biodiversité........................................................................................................ 28
g.Importance de la forêt....................................................................................... 28
1.1.5.La déforestation.......................................................................................... 28
a.Définition........................................................................................................... 28
b.Causes de la déforestation................................................................................ 28
c.Agents de la déforestation................................................................................. 30
d.Conséquences de la déforestation....................................................................30
e.Renouvellement des forêts................................................................................ 31
1.2.PROTECTION ET AMELIORATION DU SOL (MSVT 2.2)......................................32
1.3.JARDINAGE (MSVT 2.3)................................................................................... 35
SECTION 2. CLASSIFICATION DES VEGETAUX (MSVT 2.4).....................49
2.1.VEGETAUX SANS FLEURS (SENDEKI, 2015 :245-250).....................................49
2.1.1.Thallophytes................................................................................................ 49
B.Les Thallophytes sans chlorophylle...................................................................51
B.1. Champignons................................................................................................ 51
─Reproduction................................................................................................... 52
B.2. Lichens.......................................................................................................... 55
123
Notion.............................................................................................................. 55
2.1.2.Bryophytes.................................................................................................. 55
Exemple type : Mousses....................................................................................... 55
2.1.3.Ptéridophytes.............................................................................................. 56
Exemple type : Fougères (KAHINDO , s. d :23).....................................................56
2.2.VEGETAUX A FLEURS ( SENDEKI , 2015 : 250-264)........................................59
2.2.1.Généralités.................................................................................................. 59
2.2.2.Gymnospermes........................................................................................... 59
2.2.3.Angiospermes.............................................................................................. 60
SECTION 3 : PHYSIOLOGIE VEGETALE.................................................69
3.1. GERMINATION (MSVT 2.5)............................................................................. 69
3.1.1. Définition.................................................................................................... 69
3.1.2.Mécanisme de la germination.....................................................................69
3.2.NUTRITION (MSVT 2.6)................................................................................... 72
3.2.1.Nutrition de la plante à partir du sol............................................................72
3.2.2.Nutrition de la plante à partir de l’air..........................................................72
3.2.3.Distribution de la sève organique................................................................74
3.3.CROISSANCE (MSVT 2.7)................................................................................ 75
3.3.2. Conditions de la croissance........................................................................75
3.3.3. Mécanisme de la croissance.......................................................................76
3.4.RESPIRATION (MSVT 2.8)................................................................................77
3.4.2 Comparaison entre respiration et photosynthèse.......................................78
3.5.REPRODUCTION (MSVT 2.9)...........................................................................79
3.5.1 Définition..................................................................................................... 79
3.5.2. Modes de reproduction..............................................................................79
SECTION 4. CORPS HUMAIN...............................................................83
4.1. APPAREIL DIGESTIF ET EXCRETEUR (MSVT 2.10)...........................................83
4.1.1Appareil digestif........................................................................................... 84
Les Dents............................................................................................................ 87
a.Appareil urinaire................................................................................................ 92
b.D’autres organes excréteurs............................................................................. 93
c.Hygiène du système excréteur..........................................................................94
4.2.APPAREIL RESPIRATOIRE (MSVT 2. 11)...........................................................94
4.3.APPAREIL CIRCULTOIRE (MSVT 2.12)..............................................................98
4.4.SYSTEME NERVEUX (MSVT 2.13)..................................................................108
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