SM Bac RL Tous
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(R)
Cet exercice a pour but d’étude de la réponse de dipôle RL (B)
constituée de la bobine (B) et d’un conducteur ohmique.
On effectue l’expérience suivante en utilisant le montage de
La figure 1 qui se composé de : K
— La bobine (B) i
— le conducteur ohmique (R) de résistance R réglable.
— un générateur (G) idéal de force électromotrice E
Constante E = 2,4V ; Figure : ⃝
1
— Un interrupteur K.
On ajuste la résistance R à la valeur R1 = 20Ω, puis on ferme l’interrupteur K à l’instant t = 0.
L’enregistrement de l’évolution de la tension uR entre les bornes
i(mA)
du conducteur ohmique (R) permet d’obtenir la courbe repré- (T )
sentant les changements d’intensité du courant i(t) en fonction 120
de temps (Figure 2). Le droite (T) représente la tangente de la
80
courbe à l’instant t = 0 .
1. Trouver l’équation différentielle que vérifie l’intensité du 60
courant i(t).
40
AMMARI
différentielle s’écrit
2. Sachant que la solutionde l’équation
t 20
−
sous la forme i(t) = A. 1 − e τ . Trouver l’expression t(ms)
2,5 5 7,5 10 12,5
des constantes A et τ en fonction des paramètres du cir-
cuit. Figure : ⃝
2
3. A l’aide de la courbe 2, déterminer les valeurs de r et L.
AMMARI 1
(D), un échelon de tension ascendant de valeur E, puis descendant de valeur nulle. Le document
de la figure 2 représente les variations de la tension uP Q et la tension u aux bornes du résistor en
fonction du temps.
AMMARI
figure 2
1. Montrer, en justifiant votre réponse, que la courbe (2) représente les variations de la tension
u en fonction du temps.
2. Établir l’équation différentielle vérifiée par la tension u au cour de l’établissement du courant
dans le circuit.
3. a) Trouver l’expression de A et celle de τ , en fonction des paramètres du circuit, pour que
soit solution de l’équation différentielle u = A.(1 − e−t/τ ).
b) Déterminer graphiquement, à partir de la figure 2, la valeur de E, et celle de la constante
de temps τ .
c) En déduire la valeur de L, sachant que r = 22, 2Ω
4. Le document de la figure 3, représente les variations de la tension u aux bornes du résistor
(D), et la tension ub aux bornes de la bobine (B), en fonction du temps, dans l’intervalle de
temps [0 ;10 ms].
AMMARI
AMMARI 2
Exercice 3 : Étude du régime transitoire dans une bobine (SM 2010 N)
On réalise le montage expérimental représenté dans la figure ( 1) pour étudier l’établissement du
courant électrique dans un dipôle (AB), constitué d’un conducteur ohmique de résistance R et d’une
bobine d’inductance L et de résistance r.
Un générateur électrique idéal applique une tension constante E = 6V aux bornes du dipôle (AB) .
1. On règle la résistance R sur la valeur R = 50Ω .
On ferme l’interrupteur à l’instant t = 0. On enregistre à
l’aide d’un dispositif approprié l’évolution de l’intensité
i du courant en fonction du temps, on obtient la courbe
représentée sur la figure (2).
Le coefficient directeur de la tangente (T) à la courbe i
= f(t) à t = 0 est a = 100A.s−1 .
La tension u aux bornes du dipôle (AB) s’exprime par
di
la relation u = (R + r).i + L.
dt
di
a) Est-ce que la grandeur L. augmente ou dimi-
dt
nue au cours du régime transitoire ? justifier la ré-
ponse. AMMARI
di
b) Exprimer en fonction de E et L à l’instant t
dt
=0. Trouver la valeur de L.
di
c) Calculer la valeur de pour t > 5ms et en dé-
dt
duire la valeur de r.
2. On utilise le même montage expérimen-
tal de la figure (1) et on fait varier dans
chaque cas la valeur de l’inductance L
de la bobine et celle de la résistance
R du conducteur ohmique comme l’in-
dique le tableau ci -contre.
cas L(H) R(Ω) r(Ω)
1er cas L1 = 6, 0 × 10−2 R1 = 50 10
AMMARI
−1
2eme cas L2 = 1, 2 × 10 R1 = 50 10
3eme cas L1 = 4, 0 × 10−2 R1 = 30 10
La figure (3) donne les courbes (a), (b)
et (c) obtenues dans chaque cas.
a) Préciser, en justifiant votre réponse, la courbe correspondante au 1er cas et la courbe
correspondante au 2ème cas.
b) On règle la résistance R2 sur la valeur R2′ pour que la constante de temps τ soit la même
dans le 2ème cas et le 3ème cas.
Exprimer R2′ en fonction de L2 , L3 , R3 et r . Calculer R2′ .
Exercice 4 : Rép. d’une bobine de rést. négl. à un échelon de tension (SM 2011 N)
AMMARI 4
Exercice 6 : Étude du dipôle RL (SM 2013 R)
AMMARI
— Un interrupteur K .
On ferme l’interrupteur K à l’ins-
tant de date t=0. Un système
d’acquisition informatisé adéquat
permet de tracer la courbe re-
présentant la tension uR1 (t) aux
bornes du conducteur ohmique
(fig.2). (La droite (T) représente
la tangente à la courbe à t=0).
1- Établir l’équation différentielle régissant l’évolution de uR1
2- Déterminer la valeur de la résistance r de la bobine.
3- Vérifier que L = 0,6H.
AMMARI 5
Exercice 8 : Réponse d’un dipôle RL à un échelon de tension (SM 2016 N)
AMMARI 6
2.2. En se basant sur l’équation différentielle vérifiée par i(t) lors de la rupture du courant,
di
déterminer à l’instant t =0, la valeur de et celle de la tension aux bornes de la bobine.
dt
3. Justifier le rôle de la branche du circuit formé par la diode et le conducteur ohmique de
résistance R2 dans le circuit au moment de l’ouverture de l’interrupteur K .
Dans une réveil ”éveil lumière”, une fois l’heure de réveil programmée est atteinte, la lampe du réveil
émet de la lumière qui augmente petit à petit jusqu’à une valeur maximale modifiable qui permet le
réveil d’une personne.
On modélise cet effet en construisant un circuit électrique qui permet de faire varier la luminosité
d’une lampe en utilisant la propriété électrique d’une bobine.
La luminosité de la lampe est liée à la puissance électrique qu’elle reçoit.
On rappelle l’expression de la puissance électrique reçue par la lampe soumise à la tension u et
u2
traversée par un courant d’intensité i en l’assimilant à un résistor de résistance R : P = R.i2 =
R
On réalise le montage électrique représenté sur la figure 1, qui comporte :
— Un générateur idéal de la tension de force électromotrice E = 9V ;
— Une lampe (La) assimilée à un conducteur ohmique de résistance R =
4Ω ;
— Une bobine (b) d’inductance L et de résistance r ;
— Un interrupteur K.
On ferme l’interrupteur K à un instant choisi comme origine des dates (t =0).
On visualise, à l’aide d’un système d’acquisition informatique adéquat, la tension u(t) aux bornes
de la lampe. On obtient l’oscillogramme représenté sur la figure 2. (T) représente la tangente à la
courbe au point d’abscisse t=0.
1. Établir l’équation différentielle vérifiée par la tension u(t) aux bornes de la lampe.
2. Vérifier que r = 6Ω et L = 1H.
3. La solution de l’équation différentielle établie à la question 1. a pour solution u(t) = Umax .(1 −
e−t/τ ) avec τ la constante de temps du dipôle ainsi réalisé. On estime que pour réveiller une
personne, la lumière est suffisante lorsque la puissance électrique reçue par la lampe a atteint
98,01% de sa valeur maximale.
AMMARI 7
AMMARI
Exercice 4 : Rép. d’une bobine de rést. négl. à un échelon de tension (SM 2011 N)
AMMARI