Chap 10 Emsol
Chap 10 Emsol
Chap 10 Emsol
Quand la tige descend, les charges positives subissent une force vers la droite selon la
règle de la main droite. C’est donc le côté droit de la tige qui est au potentiel le plus
élevé.
2. Il n’y a pas de différence de potentiel dans la tige horizontale parce qu’elle n’est pas
perpendiculaire à la vitesse et au champ magnétique.
E = vBℓ
= 50 ms ⋅ 0, 02T ⋅ 0, 6m
= 0, 6V
4. a)
En descendant vers le sol, la force sur la charge positive dans le bloc est en sortant
de la page. Les charges positives vont donc s’accumuler sur le devant du cube et
les charges négatives vont s’accumuler sur le derrière du cube. C’est donc le devant
du cube qui a le potentiel le plus élevé et le derrière du cube qui a le potentiel le
plus bas.
v = gt
= 9,8 kgN ⋅ 5s
= 49 ms
E = vBℓ
= 49 ms ⋅ 0, 00005T ⋅ 0, 2m
= 0, 49mV
5. Le flux est
φB = BA cos θ
1
A = base ⋅ hauteur
2
1
= ⋅ 0,3m ⋅ ( 0,3m ⋅ cos 30° )
2
= 0, 03897 m 2
φB = BA cos θ
= 0, 2T ⋅ 0, 03897m2 ⋅ cos 0°
= 7, 794 ×10−3Wb
6. Comme le champ change, il faut séparer l’aire en région où le champ est constant. On
aura ainsi la moitié gauche du rectangle et la moitié droite du rectangle. En utilisant
un vecteur A qui entre dans la feuille, le flux à travers la partie gauche est
φ1 = BA cos θ
= 0, 05T ⋅ ( 0, 2m ⋅ 0, 2m ) ⋅ cos 0°
= 2 × 10−3Wb
φ2 = BA cos θ
= 0, 0125T ⋅ ( 0, 2m ⋅ 0, 2m ) ⋅ cos180°
= −0,5 ×10−3Wb
φ = φ1 + φ2
= 2 ×10−3Wb + −0,5 ×10−3Wb
= 1,5 ×10−3Wb
7. Comme l’angle change, il faut séparer l’aire en région où l’angle est constant. On aura
ainsi la partie verticale du cadre et la partie horizontale du cadre.
Pour la partie verticale, on utilise un vecteur A qui va vers les y positifs, le flux à
travers cette partie est
φ1 = BA cos θ
= 0, 08T ⋅ ( 0, 24m ⋅ 0,36m ) ⋅ cos 25°
= 6, 264 ×10−3Wb
Pour la partie horizontale, on utilise un vecteur A qui va vers les z négatifs, le flux à
travers cette partie est
φ2 = BA cos θ
= 0,08T ⋅ ( 0, 24m ⋅ 0,36m ) ⋅ cos 65°
= 2,921×10−3Wb
φ = φ1 + φ2
= 6, 264 ×10−3Wb + 2,921×10−3Wb
= 9,186 ×10−3Wb
φ = BA cos θ
2
= 0, 02T ⋅ π ⋅ ( 0,12m ) ⋅ cos 0°
= 9, 048 × 10−4 Wb
φ ′ = B′A cos θ
2
= 0, 024T ⋅ π ⋅ ( 0,12m ) ⋅ cos 0°
= 10,857 × 10−4 Wb
∆φ
E = −N
∆t
φ′ − φ
= −N
∆t
10,857 × 10−4 Wb − 9, 048 ×10 −4 Wb
= −1 ⋅
0, 04 s
= −4,524mV
E
I=
R
−4, 524mV
=
2Ω
= −2, 262mA
Puisque la réponse est négative, le courant est dans le sens contraire des aiguilles
d’une montre selon la règle de la main droite.
9. En prenant un vecteur A qui entre dans la page, la différence de potentiel induite est
E = RI
= 12Ω ⋅ ( −0,15 A )
= −1,8V
La valeur est négative, car le courant est dans le sens contraire du sens positif donné
par la règle de la main droite. On a donc
dφ
E = −N
dt
dφ
−1,8V = −1 ⋅
dt
dφ
= 1,8V
dt
dφ d ( BA cos θ )
=
dt dt
dφ dB
= A cos θ
dt dt
2 dB
1,8V = ( 0, 08m ) ⋅ cos 0°⋅
dt
dB
= 281, 25 Ts
dt
10. En utilisant un vecteur A qui entre dans la feuille, la différence de potentiel est
dφ
E = −N
dt
d ( BA cos θ )
= −N ⋅
dt
dB
= − NA cos θ
dt
d (1, 2G + 0, 5 Gs ⋅ t + 0, 02 sG² ⋅ t 2 )
= − NA cos θ
dt
= − NA cos θ ( 0,5 s + 0, 04 s ² ⋅ t )
G G
2
E = −1 ⋅ π ⋅ ( 0,12m ) ⋅ cos 0°⋅ ( 0, 00005 Ts + 0, 000004 sT² ⋅ 5s )
= −3,167× 10−6 V
Le courant est dans le sens contraire des aiguilles d’une horloge selon la règle de la
main droite.
= NA cos θ ( 0, 005 Ts )
2
E = 1 ⋅ π ⋅ ( 0,1m ) ⋅ cos 70°⋅ ( 0, 005 Ts )
= 5,372 ×10−5 V
Le courant est dans le sens montré sur la figure suivante selon la règle de la main
droite.
12. La dérivée du flux à t = 0,4 s est égale à la pente sur le graphique à t = 0,4 s. Cette
pente est
d φ ∆φ
=
dt ∆t
−5Wb − 10Wb
=
0, 6 s − 0, 2 s
= −37,5 Wbs
dφ
E = −N
dt
= −30 ⋅ ( −37,5 Wbs )
= 1125V
E
I=
R
1125V
=
50Ω
= 22,5 A
φ = BA cos θ
2
= 0, 06T ⋅ π ⋅ ( 0, 06366m ) ⋅ cos 0°
= 7, 639 × 10−4 Wb
φ ′ = B′A cos θ
2
= 0, 02T ⋅ π ⋅ ( 0, 06366m ) ⋅ cos180°
= −2,546 ×10−4 Wb
∆φ
E = −N
∆t
−2,546 ×10−4Wb − 7, 639 ×10−4Wb
= −500 ⋅
0,12s
= 4, 244V
E
I=
R
4, 244V
0, 25 A =
R
R = 16,98Ω
E2
P=
R
2
=
( 4,524V )
25Ω
= 0,8186W
15. Si on prend un vecteur A qui entre dans la page, le courant est négatif dans le circuit
selon la règle de la main droite.
E = RI
= 0, 2Ω ⋅ ( −12 A )
= −2, 4V
Une réponse négative signifie que le flux augmente. Il faut donc que la tige se déplace
vers la droite.
E = vBℓ
2, 4V = v ⋅ 0, 02T ⋅ 0, 6m
v = 200 ms
L’aire délimitée par la boucle est une portion de cercle. S’il y a l’angle θ (en radian)
entre la tige mobile et le fil sur lequel il y a la résistance, cette aire est
θ
A = π r2
2π
θ r2
=
2
Le rythme de changement d’aire est (le rythme est négatif puisque l’aire diminue)
dA r 2 dθ
=−
dt 2 dt
r2
=− ω
2
dA
E = − NB cos θ
dt
r2
= − NB cos θ − ω
2
r2
= NB cos θ ω
2
E = 1 ⋅ 0, 6T ⋅ cos 0° ⋅
( 0, 2m ) ⋅ 0,1 rads
2
= 0, 0012V
E
I=
R
0, 0012V
=
20Ω
= 6 × 10−5 A
Puisque la réponse est positive, le courant dans le circuit est dans le sens des aiguilles
d’une montre. Le courant dans la résistance est donc vers la gauche.
17. Quand la boucle est entré de la distance x dans le champ, le flux dans la boucle est
φ = BA cos θ
= B ⋅ ( x ⋅ 0, 2m ) ⋅ cos θ
dφ d ( B ⋅ ( x ⋅ 0, 2m ) ⋅ cos θ )
=
dt dt
dx
= B ⋅ 0, 2m ⋅ cos θ ⋅
dt
= B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ
dφ
E = −N
dt
= −1 ⋅ ( B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ )
= − B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ
E = − B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos 0°
= − B ⋅ 0, 2m ⋅ v
E
I=
R
B ⋅ 0, 2m ⋅ v
=
50Ω
Q = I ∆t
Mais ce temps d’entrée est facile à trouver. C’est le temps qu’il faut au derrière du
cadre pour arriver dans le champ à partir du moment où le devant du cadre arrive dans
le champ. Le derrière du cadre doit alors parcourir 30 cm à la vitesse v. Le temps est
donc
0, 3m
∆t =
v
Q = I ∆t
B ⋅ 0, 2m ⋅ v 0,3m
= ⋅
50Ω v
B ⋅ 0, 2m ⋅ 0,3m
=
50Ω
0,1T ⋅ 0, 2m ⋅ 0,3m
=
50Ω
= 120µC
d ( B cos θ )
E = − NA
dt
d cos θ dB
= − NA B + cos θ
dt dt
d cos ( 6π rads ⋅ t + π4 ) d ( 2 ×10−3 Ts ⋅ t + 10−4 T )
= − NA ( 2 × 10−3 Ts ⋅ t + 10−4 T ) + cos ( 6π rad
⋅ t + π4 )
dt s
dt
(
= − NA ( 2 × 10−3 Ts t + 10−4 T ) ⋅ 6π rad
s
⋅ − sin ( 6π rad
s
⋅ t + π4 ) + cos ( 6π rad
s
⋅ t + π4 ) ⋅ 2 ×10−3 Ts )
(
= NA ( 2 × 10−3 Ts t + 10−4 T ) ⋅ 6π rad
s
⋅ sin ( 6π rad
s
⋅ t + π4 ) − cos ( 6π rad
s
⋅ t + π4 ) ⋅ 2 × 10−3 Ts )
À t = 2 s, la différence de potentiel est
E = 3000 ⋅ 0,1m ⋅ 0, 2m
(
× ( 2 × 10−3 Ts ⋅ 2 s + 10−4 T ) ⋅ 6π rad
s ⋅ sin ( 6π rad
s ⋅ 2 s + π4 ) − cos ( 6π rad
s ⋅ 2 s + π4 ) ⋅ 2 × 10 −3 Ts )
(
= 60m 2 ⋅ ( 4,1× 10−3 T ) ⋅ 6π rad
s ⋅ sin ( 494π ) − cos ( 494π ) ⋅ 2 × 10−3 Ts )
= 60m 2 ⋅ ( 0, 05323 Ts )
= 3,194V
E
I=
R
3,194V
=
10Ω
= 0, 3194 A
dφ d ( B ⋅ ( x ⋅ 0, 2m ) ⋅ cos θ )
=−
dt dt
dx
= B ⋅ 0, 2m ⋅ cos θ ⋅
dt
= − B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ
La valeur est négative parce que l’aire diminue à mesure que le cadre avance. La
différence de potentiel induite est alors
dφ
E = −N
dt
= − N ( − B ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ )
= NB ⋅ 0, 2m ⋅ v ⋅ cos θ
E = 1 ⋅ 0,1T ⋅ 0, 2m ⋅ 20 ms ⋅ cos 0°
= 0, 4V
Pour trouver le courant, il nous faut la résistance du fil. Cette résistance est
l
R=ρ
A
1, 6m
= 1, 678 × 10 −8 Ωm ⋅ 2
π ⋅ ( 0, 001m )
= 0, 008546Ω
E
I=
R
0, 4V
=
0, 008546Ω
= 46,81A
Selon la règle de la main droite, ce courant est dans le sens des aiguilles d’une
montre.
b) Seuls les fils qui sont dans le champ magnétique subissent une force. Le fil du haut
subit une force vers le haut et le fil du bas subit une force vers le bas de même
grandeur. Ces deux forces s’annulent et il ne reste donc que la force sur le fil de
gauche. La force sur ce fil est
F = I ℓB sin θ
= 46,81A ⋅ 0, 2m ⋅ 0,1T ⋅ sin 90°
= 0, 9361N
20. Avec la force sur la tige, on peut trouver le courant dans le circuit.
F = I ℓB sin θ
0, 288 N = I ⋅ 0, 6m ⋅ 0, 02T ⋅ sin 90°
I = 24 A
E = RI
= 0, 2Ω ⋅ 24 A
= 4,8V
E = vBℓ
4,8V = v ⋅ 0, 02T ⋅ 0, 6m
v = 400 ms
21. Il y a deux forces sur la tige qui tombe. Il y a la force gravitationnelle vers le bas et la
force magnétique vers le haut. Cette force est due au courant induit. Trouvons
premièrement ce courant.
Le flux dans la boucle (celle délimitée par la tige tombante, les rails et le fil avec la
résistance est) est
φ = BA cos θ
= B ⋅ ( x ⋅ 0, 6m ) ⋅ cos θ
Où x est la distance entre la tige tombante et le fil avec la résistance. À mesure que la
tige tombe avance, cette valeur de x augmente. La variation du flux est donc
dφ d ( B ⋅ ( x ⋅ 0, 6m ) ⋅ cos θ )
=
dt dt
dx
= B ⋅ 0, 6m ⋅ cos θ ⋅
dt
= B ⋅ 0, 6m ⋅ v ⋅ cos θ
dφ
E = −N
dt
= − N ⋅ ( B ⋅ 0, 6m ⋅ v ⋅ cos θ )
= − N ⋅ B ⋅ 0, 6m ⋅ v ⋅ cos θ
E = −1⋅ 0, 2T ⋅ 0, 6m ⋅ v ⋅ cos 0°
= −0,12Tm ⋅ v
E
I=
R
0,12Tm ⋅ v
=
1Ω
= 0,12 Tm
Ω
⋅v
F = I ℓB sin θ
= 0,12 Tm
Ω ⋅ v ⋅ 0, 6 m ⋅ 0, 2T ⋅ sin 90°
= 0, 0144 T ²Ωm ² ⋅ v
Quand la tige atteint sa vitesse limite, cette force est égale à la force de gravitation.
On a donc
Fg = Fmag
0,1kg ⋅ 9,8 kgN = 0,0144 T ²Ωm ² ⋅ v
v = 68, 05 ms
Pour la trouver, on doit connaitre la force qui s’exerce sur la cadre. Cette force est
donnée par
F = I ℓB sin θ
E
I=
R
E = vBℓ
= 10 ms ⋅ 0,1T ⋅ 0, 4m
= 0, 4V
E
I=
R
0, 4V
=
0,8Ω
= 0,5 A
Selon la loi de Lenz, ce courant est dans le sens contraire des aiguilles d’une
montre.
F = I ℓB sin θ
= 0,5 A ⋅ 0, 4m ⋅ 0,1T ⋅ sin 90°
= 0, 02 N
P = Fv cos θ
= 0, 02 N ⋅10 ms ⋅ cos180°
= −0, 2W
P = RI 2
2
= 0,8Ω ⋅ ( 0,5 A)
= 0, 2W
c) Oui, les deux puissance sont égales. Cela signifie que l’énergie cinétique se
transforme en chaleur.
φ ′ = B′A cos θ
= 0, 2T ⋅ ( 0,8m ⋅ 0, 6m ) ⋅ cos 0°
= 0, 096Wb
∆φ
E = −N
∆t
0, 096Wb − 0,192Wb
= −5 ⋅
60s
= 0, 008V
Q = C ∆V
= 20mF ⋅ 0, 02921V
= 584, 3µC
On doit maintenant calculer le flux à travers dans le solénoïde ayant le rayon de 4 cm.
Toutefois, il n’y a pas de champ partout dans ce solénoïde, il n’y a que du champ à
l’intérieur du solénoïde ayant le rayon de 2 cm.
On doit donc séparer l’aire en deux parties. Une des parties est l’aire à l’intérieur du
solénoïde ayant un rayon de 2 cm et l’autre partie est l’aire entre les deux solénoïdes.
Comme il n’y a pas de flux dans la deuxième partie, on ne calcule que le flux dans le
solénoïde ayant un rayon de 2 cm. On a donc
φ = BA cos 0°
2
= 3, 767 × 10 −3 T ⋅ sin ( 377 rads t ) ⋅ π ⋅ ( 0, 02m )
= 4, 737 ×10 −6 Wb ⋅ sin ( 377 rads t )
=
dt dt
−6
= 4, 737 × 10 Wb ⋅ 377 rads ⋅ cos ( 377 rads t )
= 1, 786 × 10−3 Wbs ⋅ cos ( 377 rads t )
dφ
E = −N
dt
= −2,5 ⋅1, 786 × 10 −3 Wbs ⋅ cos ( 377 rads t )
= −4, 465 × 10−3V ⋅ cos ( 377 rads t )
À t = 0,71 s, on a
= 4021V
On a donc
∆v0 = NBAω
50V = 1 ⋅ 0,1T ⋅ 0,8m ² ⋅ ω
ω = 625 rads
À t = 0,01 s, on a
∆V
I=
R
9, 589V
=
200Ω
= 47, 95mA
τ = NIAB sin θ
θ = ωt + θ 0
= 500 rads ⋅ 0, 01s + 0
= 5rad
τ = NIAB sin θ
= 1 ⋅ 0, 04795 A ⋅ 0, 2m² ⋅ 0,1T ⋅ sin ( 5° )
= −9,195 × 10−4 Nm
P = RI 2
2
= 200Ω ⋅ ( 0, 04795 A )
= 0, 4598W
e) Le moment de force externe qui fait tourner la boucle doit faire un moment de force
de 9,195 x 10-4 Nm dans le sens de la rotation pour annuler le moment de force qui
s’oppose à la rotation. La puissance de ce moment de force externe est (selon ce
qu’on a vu en mécanique)
P = τω
= 9,195 × 10 −4 Nm ⋅ 500 rads
= 0, 4598W
Ça bien de l’allure que la puissance fournie par le moment de force externe soit
égale à la puissance dissipée par la résistance.
Toutefois, la vitesse de la tige n’est pas la même partout. Plus on est loin de l’axe de
rotation, plus la vitesse est grande. Pour contourner ce problème, on va séparer la tige
en petits morceaux.
dE = vBdr
v = ωr
dE = ω rBdr
L
E = ω rBdr
0
L
= ω B rdr
0
L
r2
= ωB
2 0
ω BL2
=
2
2
20 rads ⋅ 0,1T ⋅ ( 2m )
=
2
= 4V
30. Quand le cadre entre, la différence de potentiel induite est (comme on l’a fait dans
les notes de cours)
dφ
E =−
dt
d ( BA cos 0° )
=−
dt
dA
= −B
dt
dx
= − BL
dt
= − BLv
Version 2024 10-L’induction électromagnétique 23
Luc Tremblay Collège Mérici, Québec
(On a utilisé un vecteur A qui entre dans la page, même direction que le champ,
puisque l’angle est 0°.)
BLv
I =−
R
Comme le courant est négatif, le courant est dans le sens antihoraire (vu que A entre
dans la page).
La force sur la partie verticale du cadre dans le champ (le devant du cadre) est
Cette force est vers la gauche. Elle ralentit donc le cadre. On a donc
B 2 L2 v
Fx = −
R
F
ax =
m
B 2 L2 v
=−
mR
On a donc
B 2 L2 v
ax = −
mR
dv B 2 L2 v
=−
dt mR
dv B 2 L2 v
=−
dt mR
2 2
dv B L
=− dt
v mR
dv B 2 L2
v = − mR dt
B 2 L2
ln ( v ) = − t + cst
mR
B 2 L2
ln ( v ) = − t + cst
mR
B 2 L2
ln ( v0 ) = − ⋅ 0 + cst
mR
ln ( v0 ) = cst
On a donc
B 2 L2
ln ( v ) = − t + ln ( v0 )
mR
B 2 L2
ln ( v ) − ln ( v0 ) = − t
mR
v B 2 L2
ln = − t
v0 mR
B 2 L2
v − t
= e mR
v0
B 2 L2
− t
v = v0 e mR
B 2 L2
− t
v = v0 e mR
2 2
B L
dx − t
= v0 e mR
dt
B 2 L2
− t
dx = v0 e mR
dt
2 2
B L
− t
dx = v0e mR
dt
B 2 L2
− t mR
x = v0 e mR
− 2 2 + cst
B L
2 2
v0 mR − BmRL t
x=− 2 2 e + cst
B L
v mR B L 2 2
− t
x = 0 2 2 1 − e mR
B L
10 ms ⋅ 0,1kg ⋅ 0, 02Ω B L 2 2
− t
0,1m = 1 − e mR
( 2T ) ⋅ ( 0,1m )
2 2
−
B 2 L2
t
0,1m = 0, 5m 1 − e mR
B 2 L2
− t
1
5 = 1− e mR
B 2 L2
− t
4
e mR
= 5
On pourrait trouver le temps, mais ce n’est pas nécessaire puisque la vitesse est
B 2 L2
− t
v = v0 e mR
= 10 ms ⋅ 45
= 8 ms
E = BLv
(même chose qu’en entrant, sauf que le flux diminue au lieu d’augmenter, ce qui
change le signe)
BLv
I=
R
Ce courant positif est maintenant dans le sens horaire. Il y a alors une force qui
s’oppose à la vitesse sur la partie verticale à l’arrière du cadre. Cette force est encore
B 2 L2 v
Fx = −
R
B 2 L2 v
ax = −
mR
Avec la même accélération qu’à l’entrée, la solution est identique à ce qu’elle était en
entrant dans le cadre
B 2 L2
− t
v = v0 e mR
v mR B L 2 2
− t
x = 0 2 2 1 − e mR
B L
v mR B L 2 2
− t
x = 0 2 2 1 − e mR
B L
8 ms ⋅ 0,1kg ⋅ 0, 02Ω B L 2 2
− t
0,1m = 1 − e mR
( 2T ) ⋅ ( 0,1m )
2 2
B L 2 2
− t
0,1m = 0, 4m 1 − e mR
B 2 L2
− t
1
4 = 1− e mR
B 2 L2
− t
3
e mR
= 4
B 2 L2
− t
v = v0 e mR
= 8 ms ⋅ 34
= 6 ms